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anti-national - Page 604

  • Comment arrêter l’immigration ? Il suffit de dire non !

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    L’ancien président de la République tchèque Vaclav Klaus est auteur d’un livre Migration des peuples. Bref manuel pour comprendre la crise migratoire actuelle. Quand on l’interroge sur comment arrêter l’immigration, il a une réponse simple : « Il suffit de dire non ! ». Dit autrement, il faut changer de paradigme : faire passer la souveraineté des peuples avant le gouvernement des juges, le droit à l’identité des Européens avant le droit des étrangers à entrer en Europe.
    Le texte qui suit est plus technique. C’est celui d’un praticien des questions migratoires qui liste les mesures pratiques qu’un gouvernement soucieux de la protection des frontières pourrait mettre en œuvre. Article initialement paru le 29 juin dernier. Polémia


    27 décisions à prendre en matière de lutte contre l’immigration irrégulière

    Avant l’entrée sur le territoire national

    • 1- Créer des « hots spots » délocalisés dans les pays de transit des flux migratoires (Maghreb, Albanie, Syrie, Irak, etc.) pour les étrangers en situation irrégulière (ESI) interceptés en Méditerranée dans les eaux internationales et territoriales des Etats tiers.
    • 2- Idem pour les étrangers en situation irrégulière (ESI) déboutés du droit d’asile,afin de séparer en Afrique/au Moyen Orient/ou ailleurs les vrais réfugiés des migrants clandestins, et les rapatrier ensuite dans leur pays d’origine.
    • 3- Conditionner l’aide financière au développement des pays africains et autres à la délivrance des laisser-passer consulaires (LPC) pour le retour des clandestins dans leur pays d’origine(cela concerne entre autres les Comores : 20 000 expulsions/an).
    • 4- Refouler systématiquement à la frontière les « dublinés » et les personnes ne disposant pas d’un titre d’identité en règle, sans leur permettre de déposer une demande d’asile.
    • 5- Augmenter la liste des « pays sûrs » (Indiens, Afghans, Albanais, Soudanais, Ghanéens, Libyens, Serbes, Bosniaques, etc.) qui conditionne grandement la possibilité de refuser l’obtention du statut de réfugié.
    • 6- Étendre l’étendue juridique des contrôles actuellement limités par Schengen aux frontières (article 2 du code frontières Schengen [CFS]), et par le droit national (cas de l’article 78-2 du Code de procédure pénale récemment modifié par la loi SILT et par l’article L.611-1 du CESEDA : suspicion de crime/délit/violation de contrôle judiciaire ou d’assignation/etc.;dans un rayon maximal de 10 Kms autour de certains points de passages frontaliers aériens et maritimes/certains péages ; dans une bande comprise entre la frontière terrestre de la France et une ligne tracée à 20 km en deçà pour la prévention et la recherche des infractions liées à la criminalité transfrontalières).

    Sur le territoire national

    • 7- Mettre en détention systématique les clandestins franchissant la frontière française ou contrôlés ultérieurement sur le territoire national.
    • 8- Expulser les migrants irréguliers déjà enregistrés dans d’autres pays de l’espace Schengen et de l’Europe.
    • 9- Rallonger le délai laissé aux policiers pour étayer leurs dossiers de reconduite à la frontière de 48 H à 5 jours.
    • 10- Restreindre le dispositif du droit au séjour pour raisons médicales (confié à l’Office français de l’immigration et de l’intégration [OFII]) actuellement : 30 000 dossiers/an), dispositif accordé au motif de soins soi-disant impossibles dans le pays d‘origine.Et pour lesquels les fraudes médicales sont nombreuses.
    • 11- Limiter le bénéfice de l’AME aux maladies graves et urgentes, aux douleurs aigues, aux accouchements, vaccinations, médecine préventive (à renommer aide médicale d’urgence ).
    • 12- Conditionner l’octroi d’aides sociales aux étrangers présents sur le territoire national depuis cinq ans au minimum.
    • 13- Une décision définitive de rejet de demande d’asile doit valoir obligation de quitter le territoire français, faire perdre au requérant tout le bénéfice des conditions matérielles d’accueil et des aides sociales dès notification d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF) ou décision de transfert Dublin.
    • 14- Supprimer le caractère suspensif des recours des demandeurs d’asile déboutés qui bloque actuellement leur expulsion, renvoyer les étrangers en situation irrégulière(ESI) ayant fait une demande d’asile dans un autre pays d’Europe qu’en France vers leur pays d’arrivée dans l’Union Européenne (par lesquels ils ont transité en premier) dans les meilleurs délais.
    • 15- Limiter la durée des cartes de séjour à un an, dès la première admission au séjour (au lieu de 4 ans dans le Projet de Loi Collomb),des demandeurs d’asile dès qu’ils seront soumis à un régime de protection subsidiaire ou titulaires du statut d’apatride.

    Dispositions dissuasives et conservatrices

    • 16- Supprimer le regroupement familial (parents, frères, sœurs, etc.) y compris pour les mineurs étrangers.

    • 17- Voter une loi pénalisant l’aide aux migrants entrés illégalement sur le territoire national (1 an de prison), interdiction aux ONG d’être présentes à moins de 8 Kms de la frontière française (Hongrie).

    • 18- Supprimer l’article L.622-4 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile (CESEDA) actuel qui exclut de toute poursuite pénale (articles L. 622-1 à L. 622-3)pour l’aide à la circulation ou au séjour irrégulier des ESI « Des ascendants ou descendants de l’étranger, de leur conjoint, des frères et sœurs de l’étranger ou de leur conjoint ; Du conjoint de l’étranger, de la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui, ou des ascendants, descendants, frères et sœurs du conjoint de l’étranger ou de la personne qui vit notoirement en situation maritale avec lui ; De toute personne physique ou morale qui, face à un danger actuel ou imminent, commet un acte, nécessaire à la sauvegarde de la personne d’un étranger, visant à fournir une aide alimentaire, à l’hébergement ou aux soins médicaux, ou bien toute autre aide consistant à préserver ou à garantir la dignité ou l’intégrité physique de l’étranger. »

    • 19- Obliger les ONG à déclarer leurs ressources financières en provenance de l’étranger (Hongrie).

    • 20- Taxer les ONG soupçonnées de venir en aide aux migrants irréguliers et de favoriser l’immigration illégale, sauf si l’ESI est en danger de mort dans son pays (Hongrie).

    • 21- Inscrire dans la Constitution la défense de la culture européenne et chrétienne qui devient une obligation pour toutes les institutions de l’Etat ; interdiction à aucune institution nationale ou étrangère de changer la composition de la population (Hongrie).

    • 22- Mayotte : limiter l’acquisition de la nationalité française par le droit du sol.

    • 23- Supprimer la circulaire « Valls » de 2012 qui facilite les régularisations de clandestins (+ 30 % en 5 ans).

    • 24- Doubler les crédits (80 M€/an en 2018) liés à la lutte contre l’immigration irrégulière pour augmenter le nombre de places des centres de rétention administrative et permettre le triplement des reconduites par avion.

    • 25- Supprimer du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile l’obligation faite à l’Etat français (CESEDA : L553-6 et R 553-14) de fournir des prestations d’assistance juridique aux étrangers retenus dans les CRA pour leur permettre d’exercer leurs droits (6,73 M€ payés chaque année par l’Etat aux associations militantes immigrationnistes La Cimade, FTDA, Ordre de Malte, Forum Réfugiés, ASSFAM, Croix Rouge, qui attaquent l’Etat en justice pour obtenir la libération des retenus ou leur droit à l’asile).

    • 26- Abroger les lois liberticides (loi Pleven) criminalisant la critique de l’immigration

    • 27- Supprimer les subventions publiques (européennes, nationales et territoriales) aux associations immigrationnistes.

    Crédit photo : Migrants protestant dans la gare de Budapest – Par Mstyslav Chernov [CC BY-SA 4.0], via Wikimedia Commons

    https://www.polemia.com/comment-arreter-immigration-dire-non-rediff/

  • Censure sur le moteur de recherche Google ?

    Dans une série de tweets, le président américain a déclaré que les résultats d'une recherche sur le célèbre moteur de recherche à partir des termes «Trump» et «actualités» faisaient apparaître uniquement les médias qu'il désigne sous le nom de «fake news» et non les sites conservateurs.

    «Ils TRUQUENT les résultats, pour moi et les autres». «C'est une situation très grave - qui sera corrigée!».

    «96% des résultats [...] proviennent de médias nationaux de gauche, très dangereux». «Google et d'autres suppriment les voix des conservateurs et cachent les informations et les nouvelles qui sont bonnes. Ils contrôlent ce que nous pouvons et ne pouvons pas voir.»

    Une déclaration qui semble confirmée ici et  (en anglais):

    Capture d’écran 2018-08-29 à 07.34.16

    Google a démenti ces accusations de partialité politique en soulignant que son moteur de recherche «ne classe jamais les résultats de recherche pour manipuler une opinion politique».

    «La recherche n'est pas utilisée pour défendre un programme politique et nous n'orientons pas nos résultats en fonction d'une quelconque idéologie politique». «Notre but est de nous assurer que les utilisateurs qui tapent une recherche dans la fenêtre Google Recherche reçoivent le résultat le plus pertinent en quelques secondes».

    «Google, Twitter et Facebook naviguent vraiment en eaux très troubles et ils doivent faire attention», a déclaré Donald Trump.

    «C'est injuste pour une grande partie de la population». «Vous ne pouvez pas faire ça aux gens, vous ne pouvez pas!». «Nous recevons des milliers et des milliers de plaintes».

    De leurs côtés, Twitter continue sa censure, tout comme Youtube.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Après un nouveau crime commis par des migrants, Angela Merkel dénonce la chasse aux immigrés

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    Alors que la population allemande est confrontée, quotidiennement, à la délinquance des migrants importés par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel, et notamment à des agressions sexuelles et des meurtres commis par ceux-ci, un nouveau drame survenu à Chemnitz, en Saxe, le dimanche 26 août 2018 à 3 h 15 du matin, qui a coûté la vie à un Allemand de 35 ans et envoyé deux autres Allemands, âgés respectivement de 33 et 28 ans, lourdement blessés, à l’hôpital, a conduit, le même jour en fin de journée, des citoyens à descendre dans la rue et à se rassembler afin de s’élever contre ces actes.

    Les forces de l’ordre ont arrêté les auteurs supposés des faits : un Syrien âgé de 23 ans et un Irakien de 22 ans. Selon des informations non confirmées par la police, cet événement aurait pour origine le fait qu’une femme aurait été harcelée par plusieurs hommes, les Allemands blessés et celui décédé – à la suite de 25 coups de couteau ! – étant venus à son secours.

    Comme souvent, les médias subventionnés ont présenté les manifestants, qui sont visiblement de simples citoyens, comme des « extrémistes de droite » et ont mis en avant le fait que l’un ou l’autre étranger se trouvant dans la rue aurait été poursuivi et frappé par des manifestants alors que ces derniers criaient « Les étrangers dehors ! »« Ceci est notre ville ! » et « Nous sommes le peuple ! » (un slogan utilisé en 1989 lors des manifestations qui ont conduit à la chute du régime communiste).

    Cette presse avait été mise en cause lorsque la chaîne de télévision publique ARD n’avait pas évoqué, dans son journal télévisé, le meurtre au couteau, à la mi-août 2018, d’un médecin – son assistante étant lourdement blessée lors de l’attaque – à Offenbourg, au Bade-Wurtemberg, par un demandeur d’asile somalien. Le rédacteur en chef avait alors répondu que cet événement n’avait pas une portée nationale mais seulement régionale.

    Lors des attaques sexuelles de masse perpétrées à Cologne et à Hambourg le 1er janvier 2016 par des migrants nord-africains ou de type arabe, la presse du système avait également été accusée de ne pas avoir abordé immédiatement le sujet alors que celui-ci était largement diffusé sur les réseaux sociaux et les sites allemands de réinformation.

    Ce lundi 27 août 2018, le porte-parole d’Angela Merkel a dénoncé des « chasses collectives »contre les immigrés qui « n’ont pas leur place dans notre État de droit », oubliant que le président de la CSU – son allié social-chrétien bavarois – et actuel ministre de l’Intérieur, de l’Urbanisme et de la Patrie, Horst Seehofer, avait qualifié, en février 2016, la politique des frontières ouvertes de cette chancelière, permettant à de nombreux migrants d’entrer illégalement dans le pays, de « règne du non-droit ».

    Une nouvelle manifestation a eu lieu à Chemnitz, autrefois appelée Karl-Marx-Stadt, lundi en fin de journée, et a rassemblé plusieurs centaines de personnes.

    Lionel Baland

    http://www.bvoltaire.fr/apres-un-nouveau-crime-commis-par-des-migrants-angela-merkel-denonce-la-chasse-aux-immigres/

  • Une nouvelle manipulation chimique se prépare-t-elle en Syrie ?

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    4054819632.jpgC’est John Bolton, le conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, qui a lancé l’affaire mercredi : « Si le régime syrien emploie des armes chimiques, nous réagirons très fortement et ils feraient bien de réfléchir un bon moment avant une quelconque décision. »

    Bolton (Photo) évoque ainsi la prochaine bataille qui sera menée par l’armée syrienne : la reconquête de la province d’Idleb, la dernière tenue par les islamistes.

    Cette déclaration est inquiétante car ce type d’avertissement est à géométrie très variable : les Américains n’ont jamais évoqué cela lors des reconquêtes de Der ez-Zor, où l’armée syrienne avait Daech en face d’elle, ou de Deraa où ils avaient donné leur feu vert aux Russes et abandonné leurs alliés islamistes. Ils s’étaient contentés de demander aux Israéliens l’exfiltration des casques blancs, ces secouristes très islamistes que l’Occident encense, finance et manipule. Russes et Syriens avaient observé cette évacuation, sans intervenir bien sûr, car il y avait un accord.

    Tout a été différent lors de la bataille de la Ghouta. Cette reconquête de 15000 km2 de la banlieue de Damas n’avait pas le feu vert américain : Daech n’était présent que dans le camp de Yarmouk. La plus grande partie était tenue par d’autres groupes islamistes dont certains avaient été soutenus par les Américains ; de nombreux casques blancs étaient présents également. Surtout, cette bataille était décisive : après la reconquête d’Alep l’année précédente, celle de la Ghouta marquerait un tournant, définitif cette fois, de la victoire de l’armée syrienne et du succès de l’intervention russe.

    Les Américains avaient tenté de dissuader les Russes de mener cet assaut, en vain. Et à deux jours, de la chute du dernier quartier de la Ghouta, à Douma, l’armée syrienne fut accusée d’attaque chimique et les casques blancs firent circuler photos et vidéos d’enfants affublés de masque à oxygène….En outre Trump et Macron affirmaient détenir des preuves de la culpabilité syrienne mais personne ne les a jamais vues. Plusieurs frappes eurent lieu, on s’en souvient.

    Se pourrait-il qu’une nouvelle manipulation ait lieu si l’armée syrienne lance l’assaut contre Idleb ?

    Sentant la menace, les Russes ont réagi samedi. Le porte parole du Ministère de la Défense, Igor Konachenkov,  a dénoncé la préparation d’une « nouvelle provocation pour accuser le gouvernement syrien ». Il a rappelé que le groupe Hayat Tahrir al-Sham (HTS pour les intimes), nouveau nom du Front al-Nosra, régnait sur 60% de la province. Ces derniers jours, plusieurs réservoirs de chlore ont été acheminés par HTS vers la ville de Jisr al-Shughur a affirmé Konachenkov  ajoutant que les services secrets britanniques « participaient activement » à cette future manipulation.

    Mais pourquoi préparer un nouveau scénario de ce type puisque le sort de la guerre est jeté ?

    Pour une raison stratégique essentielle : Idleb ne peut être reconquise que si Poutine et Erdogan se mettent d’accord sur l’après : que faire des islamistes hors HTS, soutenus par les Turcs ? Et surtout comment administrer cette province limitrophe de la Turquie ?

    Pour les Américains, qui occupent le reste du nord de la Syrie avec leurs amis kurdes, une entente russo-turque à Idleb serait une défaite diplomatique majeure entraînant inéluctablement leur départ.

    Alors une bonne petite attaque chimique du méchant Assad soutenu par le méchant Poutine…  

    Par Antoine de Lacoste

    Retrouvez l'ensemble des chroniques syriennes d'Antoine de Lacoste dans notre catégorie Actualité Monde.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Europe : La République en marche court après François Hollande

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    Ce dimanche, Richard Ferrand, le patron si charismatique du groupe LREM à l’Assemblée, a souligné, sur BFM TV, l’enjeu « fondamental » des élections européennes : « Les Françaises et les Français ont le choix entre l’Europe que porte le Président Emmanuel Macron et l’Europe d’Orbán, Salvini et compagnie. » Cette phrase mériterait, à elle seule, une explication de texte. Passons sur son mépris affiché pour les dirigeants souverainistes et la pommade qu’il passe abondamment à son cher Président, qui incarnerait une vision dynamique. À y regarder de près, son propos révèle, pour qui en doutait, à quel point la conception macronienne de l’Europe rejoint celle de François Hollande.

    Richard Ferrand, reprenant l’antienne de son ancien maître socialiste, rejette « un nationalisme et un conservatisme anti-européen à tout crin qui est en train de se développer ». On se souvient que François Hollande, au Parlement de Strasbourg, attaqua Marine Le Pen en déclarant que « le souverainisme, c’est le déclinisme » et en fustigeant « le retour au nationalisme, au populisme, aux extrémismes ». Notre député si novateur ne dit pas autre chose quand il assure que « la force de la France, c’est une Europe qui soit souveraine et qui soit forte, c’est comme ça, aussi, que notre pays tiendra son rang ».

    Richard Ferrand prétend qu’il n’y a le choix qu’entre « ceux qui disent que nous avons un avenir européen » dans « la gestion de l’immigration »« la politique de défense »« la capacité de créer une Europe de puissance »« les enjeux d’éducation Erasmus »« la recherche », et « ceux qui disent non, il faut se recroqueviller sur soi parce que, tout seul, on va y arriver mieux ». C’est un peu court. Il ne suffit pas d’affirmer sans démontrer : on attend des arguments pour étayer ce point de vue. S’il est vrai que le débat se situe entre les mondialistes et les patriotes, il le simplifie et le déforme d’une façon caricaturale.

    Les pays visés par notre gardien du troupeau LREM n’ont jamais dit qu’ils ne voulaient pas d’Europe ni qu’ils souhaitaient s’isoler (que n’a-t-on reproché à Marine Le Pen la tentation du « repli » !) : ils refusent cette Europe technocratique qui n’a pour ressort que la loi du marché et remplace le débat démocratique par l’imposition de directives. Une autre Europe est possible : une Europe qui ne prive pas les nations de leur souveraineté, une Europe des alliances librement consenties, une Europe des projets décidés en commun, une Europe qui ne renonce pas à son âme ni à ses racines. C’est entre ces deux conceptions de l’Europe que les Français devront choisir dans quelques mois.

    Il est probable que la plupart des partis d’opposition mettront l’accent sur la nécessité de changer fondamentalement l’Europe. Le Rassemblement national, constant dans sa position, La France insoumise, qui veut surtout troquer le moteur capitaliste contre un moteur antilibéral, et même Les Républicains, si Laurent Wauquiez ose franchir le Rubicon et ne ménage pas la chèvre et le chou. Quant à la République en marche, elle se présentera comme le seul promoteur de l’Europe de demain et répétera, à la manière de François Hollande, qu’il faut plus d’Europe pour sauver l’Europe.

    Curieuse façon d’être novateur, que de courir sur les traces d’un ex-Président déchu !

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/europe-la-republique-en-marche-court-apres-francois-hollande/

  • ÉDUCATION SEXUELLE DANS LES ÉCOLES : VERS UNE LÉGALISATION DE LA PÉDOPHILIE

  • Le Planned Parenthood a dissimulé le viol d’adolescentes

    6a00d83451619c69e2022ad3ac6606200b-250wi.pngLe Planning familial Américain (Planned Parenthoodest au cœur d’un scandale, avec l’argent public et le silence des institutions :

    "Mais les pro-vie Américains sont tenaces. Suite à une campagne intense de Live Action, mené par l’excellente Lila Rose, des Républicains se sont mobilisés. En juin dernier, 56 membres du Congrès se sont réunis devant le Capitole des États-Unis pour attirer l’attention sur le scandale et exiger que le Département de la santé et des services sociaux enquête sur les actions de Planned Parenthood.

    Cela fait suite à la campagne d’une grande organisation pro-vie Américaine, Live Action, qui a lancé une grande série de vidéos détaillant comment le planning familial US a permis, par son silence, de nombreuses agressions sexuelles.

    La série « Aiding Abusers » s’appuie sur des reportages, des témoignages oculaires et des vidéos d’infiltration pour exposer la volonté des employés de Planned Parenthood à avorter des filles de douze ans sans signaler de viol ou d’infraction à la loi. Cela permet aux hommes qui ont amené les filles pour les rendez-vous de les ramener à la maison et de continuer à les maltraiter.

    La dernière vidéo, « Prosecution« , est centrée sur une interview de Brian Hurley, un avocat qui a porté deux affaires civiles contre Planned Parenthood Southwest Ohio pour avoir prétendument dissimulé le viol d’adolescentes. Hurley révèle que la principale tactique de l’organisation consistait à éviter de tenter de mener des poursuites, « trop longues et coûteuses« .

    « Le Planning familial a activement participé à des activités illégales, en vendant les parties du corps des bébés avortés en échange de profit« , a déclaré Abby Johnson, ex-défenseur de l’avortement et directrice du Planning familial, qui milite désormais pour la vie. « Ils ont menti aux femmes pour lesquelles ils prétendent se battre. Je l’ai vu de première main quand je travaillais pour le géant de l’avortement et pourtant, ils réussissent toujours à obtenir plus d’un demi-milliard de dollars par an en recettes fiscales. »

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le front des ONG humanitaristes en Méditerranée s’effrite

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    La politique ferme anti-immigration clandestine entamée par le nouveau gouvernement italien et son ministre de l’Intérieur, Matteo Salvini, commence à porter ses fruits : le front des ONG en Méditerranée s’effrite de jour en jour.

    Après l’opération du Diciotti et les dernières opérations de secours en Méditerranée du bateau Aquarius de SOS Méditerranée et de MSF, ces sauvetages, bien souvent organisés entre les passeurs eux-mêmes et les humanitaristes, se raréfient. Pour cause, depuis quelques semaines la plupart des bateaux reste à quai !

    Le navire Aquarius est rentré à Marseille et n’a plus pris le large depuis sa dernière mission où il s’est vu refuser par l’Italie, Malte et l’Espagne le débarquement de son chargement de clandestins. Il a en outre perdu le pavillon le Gibraltar et doit donc maintenant expliquer sa position.

    A Malte, rapporte un quotidien italien, Il Fatto, trois bateaux restent au port : Lifeline, Sea Watch et SeefuchLe premier d’entre eux est d’ailleurs sous séquestre et son équipage doit affronter une bataille juridique concernant l’enregistrement de l’embarcation. La sentence tombera en septembre. De son côte Sea Watch a lancé un appel pour retourner en mer mais sans succès :

    « Ils ne nous font pas sortir. Mais ils ne nous donnent aucune raison : tout simplement nous ne pouvons pas bouger. »

    Pour l’instant, la mer Méditerranée est donc enfin libérée des ONG immigrationnistes, collaboratrices de l’invasion qui submerge l’Europe depuis des années. Les sauvetages dépendent actuellement exclusivement des gardes-côtes des pays méditerranéens qui sont sur la route des « migrants ». Et le blocus des bateaux des ONG pourrait durer encore longtemps.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/le-front-des-ong-humanitaristes-en-mediterranee-seffrite/97124/

  • Donald Trump s'inquiète des meurtres des fermiers blancs en Afrique du Sud

    6a00d83451619c69e2022ad3ac2651200b-800wi.jpgDe Jean Rouxel dans Les 4 Vérités :

    "Les autorités sud-africaines ont fort mal pris un tweet du 22 août, dans lequel Donald Trump signalait qu’il avait demandé au Secrétaire d’État d’étudier avec attention la question des meurtres à grande échelle de fermiers blancs. Quelques mois plus tôt, c’était le ministre de l’Intérieur australien qui avait choqué Prétoria, pour avoir dit que les fermiers sud-africains, menacés par l’anarchie et la démagogique réforme agraire annoncée dans un pays mal sorti de l’apartheid, seraient les bienvenus dans son propre pays.

    On connaît mal la situation réelle des fermiers blancs en Afrique du Sud, mais il est certain qu’ils sont particulièrement menacés. Selon l’organisation AfriForum, qui défend la minorité afrikaner, le taux de mortalité chez les fermiers blancs est 4 fois plus élevé que dans le reste de la population (alors que la société sud-africaine est déjà l’une des plus violentes au monde). Nous assistons en Afrique du Sud à l’une des dernières « guerres coloniales » du continent. Et tout porte à craindre que les résultats de cette guerre civile soient parmi les plus catastrophiques du continent – qui, pourtant, a collectionné depuis quelques décennies les « transitions démocratiques » ratées et mortifères. À moins qu’une pression étrangère forte, comme celle que Donald Trump semble envisager, n’évite le pire, le plus vraisemblable reste que la réforme agraire sud-africaine se passe à peu près aussi mal que dans l’ancienne Rhodésie, devenue le Zimbabwe.

    Ce dernier a réussi le tour de force de passer en quelques décennies de l’un des pays les plus riches d’Afrique à l’un des plus pauvres du monde. Notamment à cause d’une réforme agraire aussi démagogique que celle que prévoit actuellement le président sud-africain Cyril Ramaphosa, qui avait entraîné le massacre d’une large partie des forces vives du pays et un désastre politico-économique qui dure encore.

    Alors, bien sûr, on peut juger que Donald Trump a une bien curieuse façon de pratiquer la diplomatie, avec ses tweets intempestifs. Mais il me semble qu’il a mille fois raison de vouloir éviter l’extermination de tous les fermiers afrikaners d’Afrique du Sud. Pour eux, d’abord, bien sûr, mais aussi parce que le pays ne s’en relèverait pas. Or, cette extermination, sans être certaine, est une hypothèse qui n’a rien d’absurde. Et gouverner, c’est prévoir – y compris le pire ..."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Macron finira par diviser l'Europe

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    Alice Weidel39 ans, a presque le même âge que le président français. Comme lui, elle a commencé dans la banque et surgi au même moment sur la scène politique allemande. Mais la comparaison s’arrête là. Car la patronne de l’AfD, le parti d’extrême droite — désormais troisième force politique outre-Rhin — affiche des postions très anti-européennes.

    Comment jugez-vous le projet pour l’Europe d’Emmanuel Macron ?

    Alice Weidel. Il fait fausse route. « Plus d’Europe », c’est la mauvaise réponse au scepticisme grandissant dans beaucoup de pays membres de l’Union européenne face à la mise sous tutelle des Etats par Bruxelles. Beaucoup de nations ne participeront pas aux projets de fiscalité et de budget commun ou d’armée européenne. Sa tentative de centraliser encore plus l’Europe est vouée à l’échec.

    Le président français veut rassembler les progressistes en Europe. A-t-il une chance ?

    Une renaissance ? Non, je n’y vois que le dernier sursaut d’une vieille élite complètement désorientée. Il arrivera à peine à convaincre le nord et l’est du continent. Je pense au contraire qu’Emmanuel Macron finira par accélérer la division de l’Europe. Macron a parlé de la « lèpre populiste ». Votre parti est évidemment visé par ces attaques... Tout cela est hypocrite et bassement polémique. Lorsque des responsables politiques pensent au bien-être de leur propre pays et de ses citoyens, comment peut-on parler de « nationalisme » ? C’est de la démocratie, au contraire. En parlant d’épidémie contagieuse, Macron méprise le peuple.

    Ce qu’ont réussi les deux partis populistes italiens, en formant un gouvernement de coalition, c’est un modèle à suivre ?

    Ils respectent les inquiétudes de leurs électeurs. Issus de différents courants, ils ont réussi ensemble à prendre la relève d’un establishment usé. Nous souhaitons que cette coalition réussisse.

    Où en sont vos relations avec Marine Le Pen et son parti ?
    J’ai beaucoup de respect pour sa personnalité et pour sa performance politique qui a permis de faire bouger l’establishment. Elle a su nommer les problèmes et donner une voix à la détresse des citoyens normaux.

    Votre vision de l’Europe aujourd’hui, c’est quoi ?

    Pour l’AfD, c’est « l’Europe des patries » selon l’idée du général De Gaulle : des Etats-nation souverains qui forment une zone de libre-échange. Ces Etats collaborent à une politique extérieure, commerciale et de défense. Nous voulons une Europe sans la bureaucratie centraliste de Bruxelles qui met les Etats sous tutelle. Nous refusons surtout cette monnaie artificielle, l’euro, qui n’est rien d’autre qu’une gigantesque machine servant à répartir la pauvreté.

    Propos recueillis par Christophe Bourdoiseau (correspondant à Berlin, Allemagne) pour Le Parisien du 28/8/2018