La journaliste danoise Ingrid Carlqvist approuve l’interdiction de la Burqa entrée en vigueur fin juillet au Danemark et qui vient de voir une première amende prononcée : « Cette question est très importante parce qu’au début quand nous avons commencé à voir des femmes en Hijab, nous nous sommes dits “Elles ne sont pas si nombreuses, c’est pas un problème”. Je veux dire, je vois ces femmes tous les jours et elles me regardent comme si j’étais une prostituée. Je n’aime vraiment pas ça. Je n’aime pas quand dans mon propre pays, on me regarde comme si j’étais une prostituée. Et ensuite, on a eu ce problème avec le Niqab, la Burqa, et si nous nous disons qu’elles ne sont pas si nombreuses et que cela ne pose aucun problème, je ne suis pas d’accord. Je pense que c’est un problème si nous voulons garder nos pays occidentaux dans l’état dans lequel ils sont. Nous sommes un pays scandinave, nous avons toujours eu l’égalité entre les femmes et les hommes, même depuis les Vikings. Je ne veux pas de ça dans mon pays! »
– RT France, 7 août 2018, 17h11
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Une journaliste danoise : «Je vois des femmes en Hijab tous les jours et elles me regardent comme si j’étais une prostituée. Je ne veux pas de ça dans mon pays !»
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Migrants, l’Allemagne insiste pour tous les renvoyer… en Italie ou en Grèce !
Le ministre allemand de l’Intérieur Seehofer se bat pour rejoindre un accord sur les renvois vers l’Italie et la Grèce mais les discussions sont au ralenti.
Horst Sehofer et Matteo Salvini, le ministre italien de l’Intérieur, ne sont pas très éloignés l’un de l’autre politiquement : les deux contraires à l’immigration, les deux décidés à prendre des mesures.
Dommage cependant qu’ils gouvernent deux pays différents et que sur le thème des migrants leurs intérêts respectifs s’affrontent. Car si ni l’Italie ni l’Allemagne ne veulent accueillir plus de clandestins, l’affrontement est inévitable puisque ceux-ci arrivent quand même en Europe : qui va les récupérer ?
Au dernier Conseil de l’UE sur les migrations, l’Italie et de l’Allemagne se sont opposées sur la questions des renvois des migrants qui ont franchi la frontière allemande après avoir été enregistrés en Italie ou en Grèce. Selon le règlement du Traité de Dublin, Rome et Athènes devraient les reprendre en charge et c’est ce que désire Seehofer. C’est ce que conteste l’Italie qui demande plus d’aide et de solidarité de la part des autres pays européens, les clandestins étant des étrangers autant sur son sol que sur celui des autres pays européens. Le ministre allemand a annoncé que si un accord n’est pas trouvé avant fin août sur la question des renvois, il mettra en place son propre plan d’expulsion.
Le fait est que son homologue italien, Salvini, ne veut en aucune manière reprendre les clandestins qui ont quitté l’Italie. Cette dernière en a déjà pris suffisamment estime-t-il. Ce qu’il demande est donc qu’ils soient redistribués et non d’être contraint de leur ouvrir les portes une deuxième fois. Intelligemment, il a également montré la solution au problème :
« Si les Allemands et les Autrichiens au lieu de ne penser qu’à nous renvoyer les migrants nous aidaient à fermer frontières extérieures nous ferions vraiment un pas en avant », a-t-il déclaré.
Cependant aujourd’hui le ministre allemand Seehofer est revenu à la charge en annonçant que son pays n’accueillera pas d’autres clandestins :
« Nous ne pouvons l’accepter. Les Allemands ne comprendraient pas si nous nous mettions à accueillir plus de réfugiés que nous en renvoyons. »
L’ennui est que les Italiens ne comprennent pas pourquoi ce sont eux qui devraient recueillir tous ces « migrants » uniquement parce que ceux-ci ont décidé de débarquer sur leurs côtes qui sont les plus proches de l’Afrique.
Le meilleur moyen de respecter les aspirations de ces deux peuples européens, aspirations partagée d’ailleurs par d’autres en Europe, reste donc la solution de Salvini : fermer les frontières extérieures du Vieux Continent ! Mais cette décision qui serait réellement efficace pour combatte l’invasion migratoire actuelle est si contraire aux intérêts des mondialistes et des financiers qui dirigent l’UE que le ministre allemand, tout opposé à l’immigration qu’il soit, n’ose pas encore l’adopter…
Francesca de Villasmundo
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La presse quotidienne régionale en guerre contre les locaux identitaires
Par l’Observatoire du journalisme
Depuis plusieurs années, la mouvance identitaire s’illustre par l’ouverture de locaux associatifs un peu partout en France : à Paris, Lyon, Marseille mais aussi à Angers et à Lille. À l’hostilité militante d’une extrême gauche de rue s’ajoute celle de la presse régionale. Deux exemples avec Ouest-France et La Voix du Nord.
Un Alvarium angevin mal vu
Un alvarium en latin c’est une ruche, le terme alvéole en est dérivé. À Angers, l’ouverture du local identitaire l’Alvarium ne passe pas chez Ouest-France, qui ne doit pas aimer les abeilles et redouble d’articles, tous à charge, rejoignant ainsi la peu glorieuse croisade de La Voix du Nord contre la Citadelle à Lille et aussi contre la liberté d’opinion et de réunion.
Tout est prétexte pour parler de – et dénigrer– l’Alvarium. Étudiants bloqueurs insultés à la fac début avril ? C’est l’Alvarium qui est mis en cause – et non les étudiants qui souhaitaient dans leur grande majorité réussir leur année. Ouest-France donne aussi la parole ouvertement aux antifas (le 22 février, le 24 avril), tout en passant sous silence leurs pratiques peu démocratiques dont nous vous avons parlé ici. Des antifas parrainés par le directeur artistique du Monde.
En février 2018 encore, Ouest-France s’improvise juriste – et accusateur public – pour exposer les raisons légales de faire fermer le bar. En avril il fait mousser le maire d’Angers qui a commencé à céder au chantage médiatique. Et les nombreuses dégradations sont encore l’occasion de tirer sur l’Alvarium, en avril, encore en avril, en mai… Pendant ce temps l’Alvarium est toujours ouvert, ses tenanciers nourrissent les SDF et essaient de laisser passer l’orage.
Une Citadelle assiégée
Ouest-France n’est du reste pas seul dans sa croisade contre la liberté d’opinion et de réunion. Dans le Nord, La Voix du Nord n’en a pas seulement contre le FN ce qui n’a guère amélioré ses ventes d’ailleurs.
Le quotidien a aussi déclaré la guerre contre le bar identitaire La Citadelle. Avec moins d’articles qu’Ouest-France, mais un ton et une stratégie similaire : taper d’entrée (le 9 septembre 2016), recommencer en donnant la parole aux jeunes socialistes « consternés », couvrir la manifestation opposée à l’ouverture en tendant le micro à tous les antifas qui se présentent, puis mettre en cause les pouvoirs publics, incapables de bien censurer les identitaires.
Que cela soit à Angers ou à Lille, les tenanciers des deux locaux associatifs identitaires n’ont guère pu s’exprimer, expliquer leur démarche, leurs idées. Leurs opposants en revanche ne s’en sont pas privés et ont été nettement mieux traités par Ouest-France et la Voix du Nord. Une curieuse conception du « journalisme », qui ne rime guère avec la liberté et la démocratie.
OJIM 07/08/2018
Source : Observatoire du journalisme
Crédit photo : Ouest-France
https://www.polemia.com/presse-guerre-identitaires-alvarium-citadelle/
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La mort du Politique ?
Partis. Cinquante ans après 1968, le constat s’impose : il n’y a plus rien ni dans l’ordre de la politique, ni dans l’ordre de la pensée. Le temps des idéologies contestatrices aboutit au règne de la pensée unique.
« Appelons de nos vœux les sceptiques, s’ils doivent éteindre les fanatismes », écrivait Raymond Aron à la fin de L’Opium des intellectuels, en 1968. Admirable témoignage de sagesse en un monde alors dominé par les idéologies, les utopies, les contestations, les critiques exacerbées de tout y compris des critiques elles-mêmes, exténué par les surenchérissements révolutionnaires dans tous les domaines. Il n’était alors question que de révolution, non seulement en politique et au sein de la hiérarchie sociale, mais dans la morale, les modes de vie, le langage, l’art et la littérature. L’heure était à la subversion générale et à l’édification du socialisme, dont on débattait inlassablement pour savoir s’il devait être social-démocrate à la scandinave, communiste à la soviétique, communiste à la chinoise, révolutionnaire mais non communiste, libertaire, étatiste ou autogestionnaire. Et, comme nous avions alors le sentiment que les « Trente Glorieuses » allaient durer indéfiniment, on annonçait l’avènement d’une « civilisation des loisirs », stade ultime de la société de consommation.
La puissance du phénomène idéologique était telle que l’épreuve de la dure réalité, à partir du milieu des années 1970, ne l’entama pas. Ainsi, en 1981, au moment où nous nous débattions dans ce qu’on appelait alors « la crise », nos compatriotes crurent, que parce qu’ils venaient de porter Mitterrand et le PS au pouvoir, ils allaient sortir de la période de difficultés des années Giscard-Barre grâce à la mise en œuvre du canulardesque « socialisme à la française ».
L’avènement de la pensée unique
On sait ce qu’il advint de ce « socialisme à la française », qui se changea, à partir de 1984, en social-libéralisme, puis en libéralisme tout court, le PS s’alignant sur le nouvel ordre économique mondial sans frontières, fondé sur les seules lois du marché – et de la spéculation. Simultanément, le pouvoir socialiste organisa une véritable révolution culturelle tout ensemble droit-de-l’hommiste, universaliste, hostile aux nations, polyethnique, pluriculturelle, moralement relativiste, individualiste, hédoniste, sur laquelle la droite la plus bête du monde s’aligna, jetant par-dessus bord ses idées et jurant ses grands dieux qu’elle professait les mêmes « valeurs » que ses adversaires. L’idéologie devenait pensée unique et conditionnait toute la société, s’érigeant en justification et en supplément d’âme de l’ordre existant. Un ordre économique mondial indifférencié, individualiste, libéral, fondé sur des principes prétendument humanistes et universels, considérés comme les seules valeurs en dehors de celles du marché, tel se présente notre monde actuel, et tel est l’aboutissement, en France, du « grand mouvement » de mai 1968, si cher à notre président de la République.
Daniel Cohn-Bendit, libéral libertaire, chantre de l’Europe fédérale, adulateur du capitalisme sans patrie ni frontières ni complexe, contempteur de toute morale, prompt à persifler la gauche « ringarde » comme la droite conservatrice, plus enclin à la promotion du mariage homosexuel et de la GPA qu’à la défense des victimes ou des laissés pour compte du marché – ces ratés, ces inadaptés, souvent vieux et aigris –, est le roi de la fête. Très controversé et critiqué à vingt-trois ans, il fait figure de miroir moral de notre société à soixante-treize.
Plus de grandes causes, désormais, plus de grandes idées ou d’idéaux. La politique, aujourd’hui, en France comme en Europe et en Amérique du Nord, se ramène à la gestion du nouvel ordre économique qui ne connaît d’autre principe que la loi du marché et d’autres valeurs que celles cotées en Bourse. Depuis longtemps, nos compatriotes ont répudié les valeurs fondatrices de notre civilisation : la religion chrétienne, la famille, l’amour de la terre natale, le respect de notre culture et de notre identité, bref, tout ce que d’aucuns considèrent comme les vieilles lunes de la vieille droite. Mais ils ont également pris la mesure de la vanité du socialisme qu’ils avaient tant chéri. Ne leur restent que leurs yeux pour pleurer et leur fameux « héritage » des « Lumières » et de la Révolution : les droits de l’homme et la démocratie, à quoi ils s’accrochent, comme l’y invitent en permanence leur École, leurs médias et leur intelligentsia. Aussi, nos hommes et femmes politiques, et les plumitifs et discoureurs d’émissions télévisées exaltent-ils sans arrêt « les valeurs de la République », car, en dehors de ces mots creux, plus rien n’existe. Ils vont même jusqu’à se chamailler pour la propriété de ces mots : rappelons-nous que toute la gauche, il y a trois ans, a essayé de faire interdire à l’UMP, par voie de justice, l’appellation « Les Républicains », alors qu’en 1977, personne n’avait vu d’inconvénient à ce que les giscardiens décidassent des’appeler « parti républicain », cependant que leurs élus allaient devenir des « députés républicains » ; ceux de notre actuelle droite se voient imposer, quant à eux, le label de « députés Les Républicains » ou LR. En s’appelant « Les Républicains », la droite commettait le crime de paraître dénier aux autres leur légitimité républicaine. Cela dit, ses adversaires ont indirectement raison en ceci que cette appellation ne veut pas dire grand-chose.
La désaffection des Français à l’égard de la politique
Cette insignifiance, ce vide intellectuel, moral et politique, caractérisent d’ailleurs les dénominations de la plupart des partis actuels : le Front national va devenir le « Rassemblement national », cependant que Florian Philippot fonde, pour le concurrencer, une formation dénommée « Les Patriotes » ; à l’autre extrémité de l’éventail politique, on trouve « le Parti de Gauche », inclus dans « La France insoumise ». Tous ces gens semblent vouloir rivaliser de fadeur, d’inconsistance, et, finalement, de médiocrité.
Il est vrai que la désaffection de l’électorat à l’égard de grandes idées qui se sont fracassées contre le réel – le socialisme sous ses diverses formes – ou qu’il a rejetées depuis longtemps au point de les avoir complètement oubliées – les valeurs de la civilisation chrétienne, l’amour de la patrie, l’attachement à une société organique forte et naturellement solidaire – les oblige à se tenir « au plus près des gens », comme ils aiment à dire, et de leurs préoccupations concrètes. D’où ces appellations sans prétention qui paraissent vouloir dire qu’on se bat pour la défense des intérêts concrets des Français, et non pour des chimères… avec le succès que l’on constate : lors du deuxième tour de la présidentielle de 2017, seuls 43% des électeurs inscrits ont daigné voter ; et ce chiffre a encore régressé à 42,65% au second tour des législatives qui ont suivi. Les Français ne croient plus du tout en la politique, ni aux idées.
Des politiciens sans conviction et terre à terre
Dès lors, nos politiciens n’ont de cesse de vouloir démontrer leur souci de relever notre pays et de redresser sa situation économique et financière dans l’intérêt de ses habitants. Et, grands seigneurs, ils acceptent le concours des bonnes volontés de tous bords. Foin des convictions, faisons-les rentrer dans le champ privé de la conscience individuelle, et attelons-nous à la grande œuvre de reconstruction. C’est ce que disait Sarkozy lorsqu’au tout début de son quinquennat, il invitait des socialistes de cœur à se joindre à lui pour opérer cette dernière tout en conservant leurs convictions propres. C’est ce que fait Macron, grand bénéficiaire de la désaffectation des Français pour les vieux partis, et dont la LREM et le gouvernement mêlent gens de gauche et de droite.
L’échec prévisible de Macron
Notre président se pose en nouveau Napoléon appelé à moderniser notre pays afin de restaurer sa grandeur et sa prospérité. Mais il ne restaurera rien du tout, pour la simple raison dirimante qu’il ne peut s’affranchir des contraintes du monde où il évolue, et dont il est d’ailleurs l’un des plus beaux fleurons, comme le montre tout son parcours de haut fonctionnaire, puis de banquier. Son rôle historique ne peut être autre chose que celui d’adaptateur de notre pays à l’ordre économique mondial. C’est parce qu’ils l’ont cru capable de l’assumer que les chefs de gouvernement occidentaux l’ont encensé peu après son entrée à l’Élysée. Et ils entendent bien qu’il n’en sorte pas. Ainsi, Angela Merkel, comblée par l’arrivée d’un président capable enfin de réformer la France pour la plier aux exigences budgétaires de l’Europe, regimbe lorsque Macron prétend, en outre, donner un nouveau souffle à la construction européenne, notamment dans le sens d’une plus grande solidarité entre ses membres. C’est que, pour elle comme pour la plupart des dirigeants européens, l’Europe n’est qu’une zone de libre-échange, et pour les pays du sud et de l’est de notre sous-continent, une manne et un filet de sécurité. Macron, en l’occurrence, s’attache à un idéal auquel plus personne ne croit, et s’accroche à cette lubie française consistant à considérer l’Europe comme le moyen pour la France de recouvrer sa puissance en en prenant la tête et ce, alors qu’elle a en perdu le leadership depuis plus de deux décennies. Sa volonté de relancer l’Europe est vouée à l’échec. Quant à sa volonté de transformer la France pour la sauver, elle n’aura d’autre résultat que de la soumettre encore un peu plus aux lois du marché. Telle est la fonction objective et indépassable de toutes ses réformes en cours ou annoncées, qu’il s’agisse de celles du Code du Travail, de celle de la SNCF ou de celle des retraites. Macron l’avoue d’ailleurs quelquefois à mots couverts. Ainsi, en 2016, alors ministre de l’Économie, il récusait le protectionnisme préconisé par Philippot, durant un débat l’opposant à celui-ci, et préconisait implicitement la soumission au libre-échange total en essayant d’y tirer notre épingle du jeu, mais en sachant très bien les dommages qu’il infligeait à notre économie. Se rêvant en moderne Bonaparte, Macron n’est que le président d’une France qui rentre dans le rang de la mondialisation et, toujours plus, abdique sa souveraineté et sacrifie l’intérêt national et les droits sociaux des Français. Et il tire avantage de l’absence d’une opposition qui ne saurait être crédible, dans la mesure où elle s’étaie sur le rejet des fondements mêmes de notre civilisation et l’enracinement obsessionnel en une conception de l’homme et du monde foncièrement matérialiste et, par là même, de nature à priver nos compatriotes de l’élan spirituel nécessaire à l’affrontement des grands défis de l’histoire.
La situation politique actuelle nous montre avec éclat que, privée de transcendance, la politique devient impuissante lors des grandes épreuves. Car, dès lors que les idéologies ont fait faillite, elle s’amenuise jusqu’à s’identifier à la simple gestion de l’existant. À cet égard, notre avachissement politique actuel est riche d’enseignements. ■
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Stéphane Ravier : « Calanques investies par les bandes des cités : il n’y a pas que Sormiou ! Et les Marseillais n’en peuvent plus ! »
Stéphane Ravier, sénateur RN des Bouches-du-Rhône, explique les dessous de la guerre des bandes dans la calanque de Sormiou et déplore l’inaction et le déni des élus LR sur ce dossier.
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Le « vivre ensemble » : un mensonge, doublé d’une absurdité
Un récent article de Mediapart, « Artistes de la diversité, exemplarité et engagement », profite de la bagarre entre rappeurs, à l’aéroport d’Orly, pour faire la promotion de toutes les personnes issues de la « diversité » qui « ont accompli, par [leurs] gestes positifs, un Jihad, pour le bien-vivre ensemble ». Au-delà de cet énième article dénonçant « l’esprit esclavagiste et colonialiste, et notamment la culture dite de l’assimilation », arrêtons-nous sur ce terme de « vivre ensemble ».
De nos jours, les grandes déclarations sur les « projets de société » sonnent systématiquement creux. Ces derniers ne désignent que des façons de produire (le « développement durable ») ou des façons de coexister (le « vivre ensemble »). Ils proposent des modèles de société, mais jamais la finalité de cette société. Ils confondent le moyen (le modèle de société) et la fin (ce que la société doit accomplir).
Car le « vivre ensemble » n’est jamais que la condition minimale d’existence pour une société ; une société du vivre ensemble est une tautologie. Or, cette condition minimale d’existence est devenue – officiellement – la finalité du politique. Même si le « vivre ensemble » n’est, souvent, que le cache-sexe d’une authentique politique révolutionnaire : le Grand Remplacement.
Or, cette version du projet de société des progressistes – le vivre ensemble — est parfaitement compatible avec les exigences des conservateurs. Pour eux, l’État ne saurait donner aucune orientation à la société. La société civile doit être libre de s’organiser, d’entreprendre et de créer, sans qu’aucune institution étatique ne mobilise les énergies dans une direction particulière. Les conservateurs ne condamnent pas le « vivre ensemble » comme idéal – Renan parlait, lui aussi, de « vivre ensemble » – mais critiquent le projet multiculturaliste qui rend le vivre ensemble impossible.
Les conservateurs ne cessent de parler de « projet commun », sans jamais lui donner de contenu autre que des valeurs et une culture commune. Or, ni la culture ni les valeurs ne forment de projet véritable. Elles déterminent seulement le cadre moral et spirituel au sein duquel un projet – directionnel – peut émerger. Le conservatisme est intrinsèquement adirectionnel.
Roger Scruton (conservateur britannique) écrit que « la société existe bel et bien, mais elle se compose d’individus. Et les individus doivent être libres, c’est-à-dire libres de l’insolente prétention de ceux qui souhaitent les reconfigurer. » Comme nombre de conservateurs, Scruton est en fait un libéral, adepte de la théorie du contrat : les individus préexistent à la société, et s’ils font société c’est qu’il en va de leur intérêt (« La société est composée de personnes, qui s’associent librement et forment des communautés d’intérêt… »).
Il n’y a, là, rien d’étonnant : les conservateurs sont toujours les élèves des progressistes du passé. Pour Enzo Traverso, « dès le départ, les anti-Lumières doivent adapter leurs valeurs antimodernes aux transformations de la modernité ». Même Edmund Burke (pourfendeur de la Révolution française, mais nullement réactionnaire) « recherchait […] une conciliation entre les valeurs conservatrices et la société de marché ».
Le « projet de société » des conservateurs – bâtir et conserver la société – se mord la queue. Un véritable projet est nécessairement extérieur à la société. Il pourrait, par exemple, viser des conquêtes scientifiques et techniques (comme la course à l’espace), militaires (même si l’époque ne le permet plus), artistique, voire anthropologique (dépasser l’homme). Tout sauf ces faux projets qui ne se projettent, précisément, nulle part.
Car, comme l’écrit Julien Freund, « une civilisation décadente n’a plus d’autre projet que celui de se conserver ».
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Redoine au petit-dèj, Benalla à midi, Mbappé en soirée… Et l’on s’endort ensuite sur de beaux rêves d’avenir… fin
Sur l’école
(Parcoursup) Il suffit d’être bon élève et d’avoir travaillé pour être sûr d’être pris là où on le souhaite…
Sur l’économie, le social, l’assistanat
La grève se justifie dans le secteur privé. Elle est illégitime dans le service public, où elle correspond à une prise en otage des usagers
Chaque grande région d’Europe a son paradis fiscal : îles anglo-normandes, Luxembourg… Pour la France c’est Monaco
(l’économie française n’occupe plus que la 7e place) Aucune importance… Le fait que les Français deviennent étrangers dans leur propre pays, en revanche…
L’assistanat est, avec l’immigration, le plus sûr moyen de détruire une société
Sur l’environnement
Selon la SNCF, 3 trains sur 4 circuleront : , l’un sera en grève, l’autre en panne, le troisième en retard…
(la Grèce va mieux) Aaah… ! le bétonnage et le tourisme de masse vont pouvoir reprendre leur oeuvre de destruction…
Canicules, incendies, inondations… Eh oui… L’industrialisation, le progrès technique et la société de consommation ont entraîné un enrichissement formidable… Mais aussi une explosion démographique et une dégradation de l’environnement…. Et maintenant il va falloir commencer à payer.
Voitures, électriques ou non, camions, bus, motos, scooters, vélos, trottinettes, skates… Les mille-et-une manières de gâcher la vie du piéton…
(trottinettes Uber) Une nuisance supplémentaire pour les piétons, auxquels la ville devrait seuls appartenir
(trottinettes Uber) Les tinettes en ville, oui. Les trottinettes, non
Depuis 40 ans, à la demande du patronat et des bétonneurs, les pouvoirs publics ont sacrifié le transport de marchandises par rail au profit du camion… Pollution, dégradation des routes, insécurité routière, conditions de travail dégradées des chauffeurs…
Eoliennes, TGV, autoroutes, aéroports, zones commerciales, lotissements, agriculture à l’américaine : lorsque les paysages auront tous été détruits, il restera pour s’en souvenir les archives et les musées
Eh oui : la décision de remplacer, dès l’après-guerre, l’agriculture traditionnelle par une agriculture à l’américaine a été une catastrophe (pollution, désertification d’une partie du territoire, saccage des paysages, disparition d’emplois, malbouffe, cancer…).
Grèves, pannes, retards, accidents… Et Pépy est toujours en place… Il faut dire qu’il appartient à certains réseaux (non ferrés) parmi les plus influents…
(extinction du koala) Les hommes sont bientôt 7 milliards : il n’y a de place pour personne d’autre qu’eux
Sur le féminisme, les homos, les mœurs
(les Argentines luttent pour l’IVG) Mon but dans la vie ? Avorter
(en Espagne congé de maternité et congé de paternité ont désormais la même durée) Prochaine étape vers l’égalité : l’accouchement paternel
Pour limiter la reproduction du quart-monde au fil des générations, il faudrait remplacer les allocations familiales par des bons d’achat directement liés à l’éducation des enfants
(Sida et MST) Eh oui : mener une vie conforme à la morale traditionnelle est certes parfaitement ringard et ridicule mais présente toute de même certains avantages…
Autorisé : « Fier d’être homosexuel ». Interdit : « Fier de ne pas être homosexuel »
Sur la modernité, la république, la démocratie, la bourgeoisie
Le populisme consiste à s’efforcer de respecter les voeux du peuple. La démocratie c’est l’inverse
Pourquoi le scoutisme a-t-il du succès ? Parce que la société moderne, individualiste et matérialiste, est vide de sens
Les démocrates sont favorables à la démocratie tant que le peuple vote pour eux
(démontage du mausolée de Franco en Espagne) Et ils peuvent aussi maquiller les photos, rayer les noms, brûler les livres… 1984 donne toutes les recettes
Pour ce qui me concerne, entre une dictature de type franquiste et le totalitarisme communiste, la première me paraît de loin la moins nocive
Les athées détestent la religion catholique mais aime visiter les cathédrales, les abbayes, les monastères… Ils devraient plutôt visiter et célébrer les lieux créés par la modernité athée : centres commerciaux, barres d’HLM, Beaubourg..
Sur l’international
Trump est ridicule. Trump est grotesque. Trump est odieux. Trump est stupide. Il est d’ailleurs milliardaire et président des Etats-Unis : c’est dire à quel point il est bête…
Quel tyran ce Trump : il a osé nommer un juge dont les idées sont proches des siennes !
(pendaison des membres de la secte Aum) Le Japon est un vrai pays, qui existera toujours dans cent ans: et nous les bisounours européens, nous aurons disparu depuis longtemps
Les Anglais ont voté pour le Brexit non tellement pour sortir de l’UE mais dans l’espoir d’arrêter l’invasion migratoire
Pour les Européens, la Turquie n’est ni un ami ni un allié
Les Israéliens veulent vivre, et s’en donnent les moyens… Et nous, les Européens, nous croyons pouvoir vivre dans le monde des bisous…
(Les peuples autochtones en danger) Il y a des peuples autochtones dans toutes les régions du monde. Sauf en Europe…
(Le Mozambique peine à contenir l’explosion démographique) Bah pour régler le problème il suffit d’envahir l’Europe
L’explosion démographique, crime contre l’humanité
Fin
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Redoine au petit-dèj, Benalla à midi, Mbappé en soirée… Et l’on s’endort ensuite sur de beaux rêves d’avenir… partie 2
Sur les politiciens, la sphère politico administrative, la gauche, la droite, la classe dominante
INFAUX EXCLUSIVE : Reconnaissant être « seul responsable » de cette situation qui a donné lieu à de nombreuses et graves irrégularités, M. Macron a demandé à être mis en examen, au même titre que les fonctionnaires impliqués
(« Benalla était exécrable« …) Rien de plus normal : ils nous envahissent et nous ne réagissons pas : il est logique qu’ils nous méprisent…
Avec l’affaire Benalla, Macron-Rothschild montre qu’il se fout ouvertement des institutions et organes constitués : parlement, juges, partis politiques, fonction publique… Il les méprise et les ridiculise… La question est de savoir ce qu’en pensera l’opinion…
Bah on ne voit pas pourquoi on en fait tout un plat : un maghrébin qui agresse un blanc, c’est finalement très banal
Il avait de toute façon décidé de larguer Benalla pour Mbappé
INFAUX EXCLUSIVE Benalla a pété les plombs parce qu’il lui avait annoncé qu’il le quittait pour M’Bappé
Soumis à Rothschild la journée et à Benalla la nuit
(France Bleu sur l’affaire Benalla : « après avoir contredit l’Elysée le directeur de l’ordre public rétropédale ») Le mot pédale, même s’il est un peu rétro, est en effet probablement de circonstance
Les préfets, carpettes galonnées de profession, ont le profil type du fusible
Collomb a une bonne tête de fusible. Mais le problème pour Macron est qu’il en sait long sur le financement de sa campagne…
Pour protéger Macron, le pouvoir va chercher à dériver le débat sur les fautes des fonctionnaires qui ont laissé agir Benalla. Alors que les questions importantes sont ailleurs
1/ Quelle est la nature des liens entre ce Benalla et Macron ? 2/ Macron respecte-t-il la loi, ou s’en affranchit-il dans l’ivresse du pouvoir ? 3/ Ce Benalla binational a-t-il des liens avec les islamistes ?
Ce type de 25 ans au profil douteux bénéficiait de prérogatives aussi floues qu’étendues et de privilèges matériels et symboliques considérables. Qu’est-ce-qui a conduit Macron à le placer dans cette position aussi manifestement anormale ?
Résumons. Ce type de 25 ans a intégré le premier cercle de l’Elysée, dans la proximité immédiate du président et de sa « famille ». Il bénéficiait de prérogatives aussi floues qu’étendues et de privilèges matériels et symboliques considérables et tout à fait hors normes. Il a pourtant le profil d’une parfaite racaille (le délit de fuite ; sa condamnation pour violences sur une femme ; sa violence le 1er mai). En outre il a fait recruter dans les cercles du pouvoir des copains aussi douteux que lui, voisinant avec l’islamisme (Makao le garde du corps, proche de Bendaoud, le logeur ; ses liens avec Achoui…). Pourquoi une situation aussi incroyable ? Et plus précisément, quels sont les liens exacts qui lient ce Benalla et Macron ?
(Benalla était franc-maçon) Franc-maçon = la preuve par neuf de l’arrivisme
L’un des aspects de cette affaire d’Etat : il participait aux réunions consacrées à la sécurité et à la défense… alors qu’il est binational…
Macron a mis un peu de temps à réagir : il attendait les instructions de Rothschild, qui ont un peu tardé
(Pourtant mis à pied Benalla est allé deux fois à l’assemblée) Où est le problème ? Comme il était mis à pied il n’y est pas allé en voiture
Macron-Rothschild renouvelle les méthodes. Il y a celle qui tweete (Sibête). Celle qui mord (Avia). Celui qui casque (El Guerab). Celui qui cogne (Benalla)… Cette diversité, quel enrichissement…
Affaire Benalla : et dire qu’il y a des millions de gens pour croire encore à la démocratie
Le macronisme ? Bouger tout pour que rien ne change…
(Macron réunit le Congrès à Versailles) Versailles est en principe destiné aux rois, pas aux employés de Rothschild
Le bilan de Macron-Rothschild ? Comme prévu : enrichissement des riches et augmentation de l’immigration
(évaluation des ministres) Les moins actifs sont ceux qui nuisent le moins
(un français sur 6 ne sait pas nager) Mais 100 % des politiciens savent nager en eaux troubles
La décentralisation à la Française : gâchis, opacité, mille-feuilles administratif, équipements inutiles, dépenses somptuaires, clientélisme, corruption, népotisme, recrutement de fonctionnaires inutiles… Et j’en oublie probablement…
Oui, il faudrait mettre fin à la centralisation, qui détruit les identités et rogne les libertés. Mais nous aurions besoin d’un fédéralisme véritable, comme partout ailleurs en Europe, et pas de la pseudo décentralisation à la française, source de gâchis, de clientélisme et de corruption.
(démissions nombreuses de maires) Il ne s’agit que de maires de petites communes… Les politiciens professionnels, eux, s’accrochent au gâteau…
(Fabius ancien ministre des affaires étrangères entendu sur l’affaire Lafarge) Les affaires en question lui étaient restées tout à fait étrangères
(Fabius ancien ministre des affaires étrangères entendu sur l’affaire Lafarge) Ministre des affaires serait plus juste (Lafarge, sang contaminé…)
(Placé jugé) Dans le marigot politicien, les « écologistes » sont les pires
(mort de Lanzman) 92 ans, pas mal pour une victime du nazisme
Lanzman ? Les victimes du nazisme lui ont procuré un grand succès
(Selon l’économiste William N. Goetzmann, la finance a fait la civilisation) C’est parce qu’il leur était interdit d’être agriculteurs…
(suicide d’une des fondatrices des Femen) Les Femen ? Moitié des prostituées rétribuées, moitié des dingues manipulées…
(suicide d’une des fondatrices des Femen) Elle trouvait ses seins trop petits
(Kouchner stupéfait des résistances face à la consommation de cannabis) Toute une vie passée à détruire la civilisation européenne….
Cantat est de gauche et a une bonne droite
Le bilan de Mme Le Pen… Le passage au second plan de la question de l’immigration était une erreur. Les positions perçues comme anti-européennes étaient une erreur. Le choix de M. Phillipot était une erreur. Avoir cru que Mme Le Pen est présidentiable était une erreur
Sur la délinquance, la police, la justice
(Meurtre de Maelys) Un crime de Français de souche… Il convient pour le Système de saisir l’aubaine et d’occuper le terrain pendant des mois
Lelandais, Daval… Pour le Système, les crimes de Français de souche sont pain-bénit
En ce moment le Système nous fait manger du Mbappé et du Lelandais
(suicide d’un policier) Les policiers ont instruction de laisser filer les racailles, de détourner les yeux au passage des caïds et de ne pas répliquer aux émeutes des « quartiers »… Tout cela crée un contexte propice aux frustrations et à la dépression…
On demande à la police de ne pas provoquer les racailles et de harceler plutôt les Français moyens de souche en excès de vitesse : on comprend qu’ils dépriment
(Les 80 km/h) Matraquer les Français moyens de souche et laisser filer les caïds
(5 mort à Pau) Eh oui, voilà ce qui arrive quand on aime la diversité…
(Jeune tué par la police à Nantes) Il est mort… Macron, ne pourra pas, comme Hollande, se rendre à son chevet
(jeune tué à Nantes) Au lieu de se mêler de ce qui ne les regarde pas, les policiers devraient se concentrer sur la répression des excès de vitesse commis par les Français moyens
(Jeune tué à Nantes. Belloubet affirme que l’Etat de droit sera respecté) Que doit-on comprendre ? Qu’elle a l’intention de s’attaquer à la délinquance ?
(Nantes le policier qui a tiré en garde à vue) Quant au délinquant décédé il a été décoré à titre posthume
(jeune tué à Nantes) Comme les autres journaux du Système, le Figaro oublie de préciser que ce « jeune » en question était un délinquant (NB : commentaire supprimé par les modérateurs du Figaro)
Deux France, en guerre civile larvée désormais : ceux pour qui l’homme tué à Nantes était un « jeune » ; ceux pour qui c’était un délinquant…
Eh oui, l’ouest à son tour touché… Mais où vont pouvoir se réfugier les bisounours immigrationnists ?
Dans la France envahie, les racailles pavoisent, les flics vont en tôle et les Français de souche rasent les murs
(Brouillage des portables en prison) Mesurette destinée à amuser la galerie… Pas d’issue sans fermeture des frontières…
Sévérité démesurée envers les uns (fumeurs, automobilistes…). Laxisme absolu envers les autres (immigrés, islamistes, racailles…)
(évasion Faïd) Qu’il s’agisse de ses frontières ou des murs de ses prisons, la France est une passoire…
(évasion Faïd) Bah, le séjour des délinquants est de toute façon de courte durée (peines pour partie avec sursis ; aménagement des peines ; remises de peine automatiques…)
(Commerçant tué lors d’un braquage à Aubervilliers) Heureusement que ce commerçant n’a pas tiré pour se défendre : sinon il risquait la prison…
Eh oui, la peine de mort n’a été supprimée que pour les coupables
(Policiers caillassés près d’Avignon) Mais aussi que faisaient-ils là , à provoquer la population… ?
Les prisons sont pleines et pourtant la plupart des délinquants sont… en liberté (80 000 personnes entrent en incarcération chaque année pour un séjour moyen de quelques mois ; à comparer aux 3,5 millions de crimes et délits officiellement enregistrés).
(une enquête ouverte après le caillassage d’une voiture de police) Plutôt que d’ouvrir une enquête ils feraient mieux de fermer les frontières
À suivre
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Redoine au petit-dèj, Benalla à midi, Mbappé en soirée… Et l’on s’endort ensuite sur de beaux rêves d’avenir… partie 1
Paysan Savoyard sur Facebook (juillet 2018)
Info : le pseudo du moment, Hubert Defrasses, tient toujours sur FB (sauf sur Le Monde et France-culture, d’où je suis banni).
Sur l’invasion
Deux camps, qui n’ont plus rien à se dire : ceux qui applaudissent l’équipe de France et ceux qui la regrettent…
« On est envahis, on est envahis, on est, on est, on est envahis… » (bis)
Bobos et gogos en extase.. Quelle belle invasion… ! Ils occupent maintenant presque tout le terrain… ! Et ce coup de tête dans les dents, magnifique… ! Bleu de trouille, le Français blanc moyen, un voile rouge devant les yeux, pisse le sang dans la foule en liesse…
Les Anglais sont envahis… Et en plus éliminés… On comprend qu’ils dépriment. Nous on est envahis aussi mais on est en finale : ça fait toute la différence
L’équipe de France défend bien et les Français très mal
(le comportement bizarre d’Umtiti) C’est nous qui sommes bizarres de nous laisser ainsi remplacer dans l’euphorie
La Belgique comme la France seront envahies sur leur terrain. Nous serons acculés, tel est le but. Assommés par les coups pas francs, nous en appellerons à l’arbitre : mais il est de mèche avec l’adversaire et nous expulsera du jeu avant même la fin de la partie.
La France championne vingt ans après… 1998 : 10 millions ; 2018 : au moins 15 millions…
(Naïma Moudchou député LREM) Equipe de France… Député français…
Redoine au petit-dèj, Benalla à midi, Mbappé en soirée… Et l’on s’endort ensuite sur de beaux rêves d’avenir.
(La Macédoine change de nom) Pour la France je suggère l’Afrance
(La Macédoine change de nom) Nous on change de peuple
Frontières déversoirs, banlieues repoussoirs, prisons passoires… En toile de fond, obsédante, lancinante, déprimante, l’immigration…
(Evasion de Colmar : le père a aidé les fils) Solidarité familiale : la mère tend la sébile, le père massacre le patrimoine musical à l’accordéon, la fille s’occupe des touristes japonais, les fils sont occupés à saucissonner…
(Des migrants jouent Britannicus) Le problème c’est qu’ensuite ils prennent racine…
Ah, si nous étions restés entre nous…
Rappelons que sur le drapeau corse, figure la tête coupée d’un pirate maghrébin… La conquête de l’Algérie en 1830 avait été décidée pour ce motif : faire cesser les raids arabes sur la côte méditerranéenne de la France.
Les « réfugiés » disent fuir l’enfer : une fois chez nous ils nous le font vivre…
Aquarius : Plein de jeunes mâles supplémentaires en pleine santé et remplis de bonnes intentions… Enjoy !
(une pièce de théâtre sur l’esclavage déprogrammée car la distribution est jugée trop blanche) Même les collabo-immigrationnistes ne trouveront pas grâce auprès des immigrés
(Un demandeur d’asile se noie dans le bassin de la Villette interdit à la baignade) Nous voilà sans doute privé d’un neurochirurgien… A moins qu’il n’ait été astrophysicien…
Les musulmans « radicaux » sont pressés d’en finir. Les musulmans « modérés » savent qu’il leur suffit d’attendre.
Les Bretons venus en train sont installés à Montparnasse. Les Normands à Saint-Lazare. Les Lorrains sont plus à l’est. L’Afrique du Nord est gare du Nord…
(évacuation d’un campement dans le centre de Nantes) Dans le grand ouest il n’y avait que des immigrationnistes : il y a maintenant également, comme ailleurs, des immigrés…
Les Danois touchés à leur tour par l’invasion… Juste retour des choses en punition des crimes qu’ils ont commis (croisades, esclavage, colonisation…)
(Des papiers à celui qui a sauvé des vies) D’accord… Mais on expulse tous ceux qui ne nous apportent rien…
La cause de la plupart de nos problèmes commence par un « i » et leur solution par un « d »…
Sur le Système mondialiste et immigrationniste, son projet, sa propagande, ses collabos, ses dissidents
« Xénophobie » : pulsion malsaine qui pousse à vouloir rester maître chez soi
L’immigrationnisme est une maladie dont on ne peut guérir qu’en ayant été soi-même agressé
Le Système déploie tous les moyens pour ne jamais respecter les voeux du peuple (rejet du TCE, Brexit, hostilité aux gouvernements élus hongrois et polonais…). La poursuite de l’immigration, contre les souhaits de la majorité des opinions européennes, est l’exemple le plus net et le plus lourd de conséquences…
« Sans-abris » : une des nombreuses façons de contourner le mot « immigration »
Dans le monde libéral-libertaire, les financiers, les trafiquants et les racailles s’ébattent en liberté
L’administration française choisit de « protéger les réfugiés » et par là-même de mettre les Français en danger…
(Un titre de réfugié sera accordé aux immigrants de l’Aquarius à bref délai). Ce « bref délai » est déjà trop long. Le titre de réfugié devrait leur être accordé à la naissance
Si l’on n’aime pas les Européens, on est favorable à l’UE. Si l’on n’aime pas les Français on supporte l’équipe de France
Le projet du Système ? Mondialisation et immigration. Certains s’en réjouissent (les immigrés). D’autres y collaborent (les électeurs de Macron). Reste les Français que cette évolution horrifie et qui aimeraient continuer à se sentir chez eux chez eux
Le Système prétendait que l’immigration permettrait de payer les retraites : l’immigration n’a cessé de prendre de l’ampleur et le système de retraites de se durcir…
(Trois fois plus de milliardaires en France en dix ans) Objectif du Système : enrichir les plus riches ; financer l’assistanat et l’immigration ; matraquer les Français moyens
(L’EHESS étudie la condition blanche) La mise en minorité des blancs en Europe interviendra avant le milieu du siècle… L’EHESS fait partie de ceux qui s’en réjouissent…
Des deux totalitarismes du 20e siècle, seul le nazisme fait l’objet d’une condamnation absolue. Le communisme a pourtant fait davantage de morts…
Chaque jour le Système s’interroge : comment s’arranger pour ne jamais respecter les voeux du peuple ?
Pour Macron-Rothschild « l’immigration est une chance ». Pour les footballeurs « Français » en Ferrari, également
(L’express : Pogba gendre idéal) « Gendre idéal »… Elle est bien bonne… Un sommet de propagande immigrationniste…
La France et les instances de l’UE à la tête du camp immigrationniste. En face, l’Italie, l’Autriche, Visegrad. L’Allemagne désormais divisée… Qui va l’emporter ? Ceux qui veulent arrêter l’invasion de l’Europe ou ceux qu’elle réjouit… ?
Varsovie : l’Europe des peuples. Bruxelles : l’Europe des oligarques mondialistes et immigrationnistes
Macron-Rothschild veut accorder le droit de vote aux handicapés mentaux (et si possible le retirer aux populistes)
Légalisation du cannabis, mariage homo, assistanat, invasion migratoire organisée : détruire la civilisation européenne…
(Daech revendique l’attentat de Toronto) Les médias, comme d’habitude, avaient pourtant essayé de nous vendre qu’il s’agissait d’un » déséquilibré »…
(Libé : « Un festival d’Avignon furieusement engagé ») Et toute cette propagande avec nos impôts
(Mort d’un soldat Français en Côte-d’Ivoire) Il meurt loin de chez lui, sans rien avoir pu faire pour empêcher l’invasion…
Malheureusement pour ceux qui y laissent leur vie, ces interventions à l’étranger sont inutiles : l’enjeu pour nous est à nos frontières et dans les banlieues
Paris, la capitale des bourgeois et des immigrés…
(La cour de cassation institue le principe de fraternité) Le juge emperruqué et le glandeur crado : deux visages de la collaboration immigrationniste
À suivre
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Pourquoi ne parle t-on pas du GÉNOCIDE BLANC en Afrique du Sud (partie 1) - SofZilog