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anti-national - Page 643

  • Michel Geoffroy : « Pour s’affranchir de la super-classe mondiale, il faut être une puissance »

    Jeudi 24 mai 2018, Michel Geoffroy était invité par la radio Sputnik à présenter son dernier ouvrage : La Super-classe mondiale contre les peuples. Interrogé pendant près d’une demi-heure par Edouard Chanot, Michel Geoffroy a présenté ses travaux et répondu aux questions du journaliste.

    Peut-on évoquer l’élite mondiale et son action sans être taxé de complotisme ? C’est le pari de Michel Geoffroy, ancien haut fonctionnaire, auteur de l’essai La Super-classe mondiale contre les peuples. Entretien.

    Source : Sputnik

    https://www.polemia.com/michel-geoffroy-super-classe-mondiale-puissance/

  • MARYAM POUGETOUX ET LE VOILE ISLAMIQUE À LA FAC : POUR LES FRANÇAIS, C’EST NON, NON ET NON !

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    On ne remerciera jamais assez l’UNEF – ce syndicat étudiant qui a du mal à se remettre de ses accointances avec un PS lui-même moribond, et surtout de ses affaires de harcèlement – d’avoir fait la promotion subliminale du voile islamique par le truchement de sa présidente à la Sorbonne : Maryam Pougetoux. Grâce à ladite dame, l’IFOP a eu l’idée d’aller reprendre la température au sujet du port du voile à l’université qui est, rappelons-le, autorisé. Et le résultat de ce sondage réalisé pour CNews et Sud Radio est sans appel : 77 % des Français considèrent justifiées les critiques à l’égard de cette responsable syndicale voilée, et 71 % sont opposés au port du voile islamique à l’université.

    71 % ? Voilà les deux Français sur trois que nos futurs candidats à la présidence de la République devraient écouter. Mieux que les 66 % du Président Macron… Ce n’est pas rien. Et sur une question précise et sur une ligne claire, car le voile – n’en déplaise à certains – n’est pas qu’une question de mode ni une simple option religieuse. Pour les Français, le voile est perçu comme l’un des nombreux chevaux de Troie de l’islam politique qui noyaute la société et les institutions françaises.

    Comme toujours dans les sondages, il est bon d’analyser le chiffre dans les détails. D’abord, il est relativement stable puisqu’en quelques années, il est passé de 78 % en 2013 (sondage du Figaro) à 71 %. Cette érosion traduit-elle une acclimatation de la société française au voile ? Comment en irait-il autrement puisque les médias – hier « The Voice », aujourd’hui les caméras braquées sur Maryam Pougetoux – cherchent à le promouvoir et que la communauté musulmane, en pleine expansion, cherche à l’imposer dans tous les espaces publics. Mais cette légère érosion, justement révélatrice du prosélytisme musulman, ne fera que conforter cette majorité des deux tiers qui s’y oppose mordicus. Elle leur donne paradoxalement raison.

    Ensuite, l’analyse de ce refus selon les sympathies politiques est révélatrice d’un phénomène qui devrait, là encore, retenir l’attention des potentiels successeurs d’Emmanuel Macron. En effet, s’il n’y a rien d’étonnant à trouver une opposition massive au voile dans les rangs du Front national et de la droite (89 et 87 %), on constate aussi une forte opposition au sein du parti présidentiel : 76 % des électeurs d’En marche ! Ce n’est vraiment que quand on passe à gauche, au PS ou chez La France insoumise, qu’on est plus partagé et plus ouvert au voile. Plus complaisant. Des chiffres qui montrent que l’islamo-gauchisme est peut-être plus qu’un fantasme, mais bien une réalité politique en train de prendre corps. Des chiffres qui valident aussi l’existence d’un « en même temps » nouveau : qu’ils soient Front national, LR ou LREM, les Français s’accordent sur une chose : l’opposition au voile islamique, y compris à l’université, où il est actuellement autorisé. D’autres sondages disent qu’Emmanuel Macron est majoritairement perçu comme étant « de droite ». Lui-même, au sujet de sa sympathie pour Philippe de Villiers, a parlé de son « ethos de droite ». Sur la question du voile, ses électeurs le sont visiblement aussi. Et plus encore que lui.

    Emmanuel Macron a voulu recomposer la vie politique française autour du libéralisme économique. Il semble qu’il y ait un autre créneau d’avenir pour une autre recomposition : celui de la résistance à l’islamisation de la société française. Emmanuel Macron sera-t-il aussi l’homme de cette recomposition? Dans ce cas, entre Yassine Belattar et Philippe de Villiers, il lui faudra choisir.

    http://www.bvoltaire.fr/maryam-pougetoux-voile-islamique-a-fac-francais-cest-non-non-non/

  • Le militant immigrationniste Cédric Herrou contesté à Saint-Malo

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Selon notre confrère de Breizh-Info le fameux délinquant passeur de migrants qui était l’invité d’ « Étonnants voyageurs », pensait retrouver à Saint-Malo le soutien enthousiaste qui lui fut réservé à Cannes par le ban et l’arrière ban du « Chaud-Bise ».

    En effet, tout comme le festival de Cannes qui fait, si besoin en était, la promotion de l’immigration, le festival « Étonnant Voyageurs » appelle par la plume de son directeur, le militant historique d’extrême gauche Michel Le Bris, à la mise en place d’une « gouvernance mondiale » pour « accompagner les migrations ».

    Cette fois, des militants du Front national s’étaient rassemblés devant l’entrée du Palais du Grand Large à Saint-Malo, arborant une banderole sur laquelle on pouvait lire « Herrou délinquant, immigrationniste, dehors ! ». Ceci provoqua immanquablement la colère, presque hystérique, de quelques festivaliers à têtes grises de la génération humanitaire !

    https://fr.novopress.info/210911/le-militant-immigrationniste-cedric-herrou-conteste-a-saint-malo/

  • Royaume-Uni : Tommy Robinson condamné à 13 mois de prison pour avoir filmé le procès d’un gang de violeurs musulmans

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    Tommy Robinson avec Jean-Marie Le Pen le 1er octobre dernier lors de la journée de Synthèse nationale à Rungis

    Source Breiz Atao cliquez ici

    Le reporter Tommy Robinson a été arrêté hier devant le tribunal de Leeds et condamné à 13 mois de prison pour avoir couvert le procès d’un gang de violeurs pakistanais.

    Il a peu après été déféré devant le même tribunal et condamné à 13 mois de prison pour « troubles à l’ordre public » bien qu’il ne faisait que couvrir le procès du gang pakistanais.

    Les médias ont également reçu l’ordre du gouvernement de ne rien dire sur les faits, sous peine de poursuites.

    Les réactions politiques n’ont pas tardé, notamment au vu du fait que ce jugement s’est déroulé en moins de deux heures.

    « Arrêtez pour avoir troublé l’ordre public alors qu’il couvre le viol d’un gang de violeurs musulmans ? C’est l’Arabie Saoudite ? » s’est interrogé Geert Wilders, leader de la droite néerlandaise.

    Le député de l'UKIP (Souverainistes), Gerard Batten, a dénoncé lui aussi l’arrestation.

    Les gangs de violeurs musulmans sont extrêmement puissants, organisés et nombreux au Royaume-Uni. Il y a deux mois, un gang équivalent avait été découvert. On dénombre au moins 1000 victimes sur plus d’une quarantaine d’années, pour l’essentiel blanches.

    Le réseau était protégé par la police britannique.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Loi fakes news et ministère de la vérité

    6a00d83451619c69e20224e03c8b63200d-800wi.jpgDe Guy Rouvrais dans Présent :

    "Les députés ont examiné en commission la proposition de loi voulue par le gouvernement sur les fake news, lequel gouvernement toutefois n’a pas voulu en avoir l’initiative, ce sont donc les élus LREM qui l’ont proposée. [...]

    La commission des lois, avant la discussion du texte en séance le 7 juin, a donc dû définir ce qu’est une fausse nouvelle. Ce qui, en effet, est un préalable et c’est là que gît le lièvre. Apparemment, le sens de « fausse nouvelle » est obvie, c’est une nouvelle… fausse. Naïma Moutchou, rapporteur LREM de la proposition, la distingue toutefois de la fausse information, rien n’est simple… En effet, selon elle, « plus large que la notion de “fausse nouvelle”, la “fausse information” vise les informations dépourvues de tout élément de fait contrôlable de nature à les rendre vraisemblables ». C’est cette définition que la commission a retenue.

    Le rapporteur précise que l’enjeu est d’« éviter qu’une atteinte disproportionnée puisse être portée à la liberté d’expression », sachant que « la lutte contre les fausses informations serait circonscrite aux cas dans lesquels il est établi que la diffusion de telles informations procède de la mauvaise foi ». Enregistrons l’aveu : il s’agit bien d’une atteinte à la liberté d’expression mais que le législateur entend limiter selon la bonne ou la « mauvaise foi » de celui qui la diffuse. Une notion éminemment subjective, seul Dieu pouvant sonder le cœur et les reins. Plus prosaïquement, cela revient à décider en fonction de la tête du client…

    En outre, pendant les trois mois précédant une élection, des obligations de transparence renforcées seront imposées aux plateformes numériques. L’auteur d’une fausse information sera passible d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. Seuls les candidats et les formations politiques pourront saisir le juge des référés, qui devra prendre dans les 48 heures « les mesures proportionnées et nécessaires » pour faire cesser la diffusion de la fausse information, comme si dans ce laps de temps la justice avait les moyens de vérifier son authenticité et d’apprécier la bonne ou mauvaise foi du diffuseur !"

    Toujours dans cette proposition de loiobligation est faite aux plateformes et moteurs de recherche de "promouvoir les contenus d'information produits par les entreprises de presse".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La censure de Facebook continue : la page « Les Identitaires » vient d’être supprimée !

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    Depuis mercredi 23 mai, la page Facebook « Les Identitaires », qui avait échappé à la censure jusque-là, a été supprimée par Facebook sans avertissement ni explications. Suite à l’action pacifique et symbolique de Génération Identitaire dans les Alpes, une vague de censure sur le réseau social de Mark Zuckerberg s’était abattue sur Génération Identitaire, supprimant notamment sa page Facebook et empêchant les 126 000 internautes qui y étaient abonnés de continuer à suivre son actualité.

    Cette censure avait été dénoncée par des personnalités de tous bords, comme Dominique Reynié (tête de liste « Les Républicains » dans le Sud aux élections régionales de 2015) ou Nicolas Dupont-Aignan (candidat DLF aux élections présidentielles). Le 22 mai, Nicolas Bay (Président du groupe Front National au Parlement européen) a également interrogé Mark Zuckerberg lors de son audition par les députés européens à Bruxelles afin de connaître les raisons de cette censure.

    Le fondateur de Facebook s’est contenté de répondre : « Nous voulons que les gens continuent de venir et d’utiliser nos services, et qu’ils partagent leurs idées politiques, quelle qu’en soit la sensibilité. […] Je peux l’affirmer devant vous aujourd’hui : nous n’avons jamais et ne prendrons jamais de décision quant au contenu qui doit être mis en avant, et ce en fonction des vues politiques qui y sont diffusées. C’est un sujet fondamental pour moi, sur lequel je suis fier de m’engager. » Le lendemain, malgré les promesses de Mark Zuckerberg, la page des Identitaires était donc supprimée alors même qu’elle se rattache à un mouvement indépendant de Génération Identitaire.

    La Dilcrah (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT) s’était félicitée de la censure des pages de Génération Identitaire, revendiquant ne pas y être pour rien. Cette collusion scandaleuse entre le pouvoir politique et un réseau social en situation de monopole révèle une dérive extrêmement inquiétante concernant la liberté d’expression. La répression pour nous faire taire n’a jamais été aussi forte depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron. Manifestations interdites, comptes twitter supprimés, pages Facebook censurées… ils peuvent tout essayer, le mouvement identitaire continuera de lutter pour notre identité et ne lâchera rien !

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    Un communiqué des Identitaires

    https://fr.novopress.info/

  • Réforme des Institutions : « Du duo exécutif-législatif au duel exécuteur-exécutant »

    33080004_2017446778520900_2084871992716034048_n.jpgLes projets de loi présentés ce mardi 22 mai 2018 au groupe La République en marche (LaREM) à l’Assemblée nationale consistent essentiellement dans la réduction du nombre, de la longévité, de la légitimité et de l’action des parlementaires. Les nombres de députés et de sénateurs passeraient ainsi respectivement de 577 à 404 et de 348 à 244. Aucun élu ne pourrait exercer plus de trois mandats identiques consécutifs. L’introduction d’une dose – minime : 15 % – de proportionnelle ferait provenir des partis ce que l’on doit au peuple dans une démocratie. Les conditions de recevabilité des amendements seraient durcies et les navettes parlementaires réduites.

    La République voit le pouvoir comme une proie, non une charge, et la majorité ayant l’unanimité au Gouvernement, il lui pèse de plus en plus de ne pas l’avoir complète au Parlement. À président jupitérien, partage léonin. 

                Il y a d’abord une injuste démagogie à réduire de 30 % le nombre des parlementaires alors que surabondent les conseillers municipaux, d’arrondissement, communautaires, départementaux et régionaux. D’autant que la réformite actuelle accroît la charge de travail des représentants de la Nation. Faudra-t-il donc recruter davantage de collaborateurs parlementaires, de droit privé mais sur fonds publics ?

    Il n’y a de plus aucun gain de démocratie à attendre de l’adoption de 15 % de proportionnelle dans la mesure où il sera plus difficile pour le Front (ou Rassemblement) national et la France insoumise d’obtenir des sièges autrement que par la faveur du Prince. De fait, leurs électorats étant plus homogènes socio-économiquement que ceux de LaREM ou des Républicains, ils peinent à traduire en élus locaux leurs bons, voire très bons chiffres nationaux ; surtout dans des circonscriptions élargies.

    En outre, le chiffre-plancher – sur lequel il n’est pas question de revenir, du moins tant qu’existent les départements – d’un député et un sénateur par département produira des disparités importantes dans la représentation nationale. À la Chambre, le député de Corrèze représentera 77 000 administrés. Mais le nombre moyen d’administrés par député sera de 166 337 (275 410 par sénateur), plus du double. D’une circonscription l’autre, la variation pourra donc être supérieure à trois contre un.

    Le corollaire en est le défaut d’enracinement. Comment se faire connaître dans des circonscriptions plus étendues, issues qui pis est d’un redécoupage peut-être favorable au seul Gouvernement ? Comment faire fond sur autre (et plus noble) chose qu’une appartenance partisane, quand l’impartialité de la presse se réduit, les élites locales sont amoindries fiscalement et symboliquement, le territoire à soutenir s’étend, le double exercice des fonctions de maire et de représentant est interdit ?

    Mais surtout, quel attrait, demain, du mandat de député ou de sénateur ? On a vu se réduire peu à peu le prestige du premier magistrat de la commune, au point qu’aux municipales certaines n’ont plus même de candidat ; il semble que le tour du pouvoir législatif soit venu. Les journaux se répandent chaque jour sur la tromperie que ressentiraient les députés LaREM, à la fois pressés de toutes parts et impuissants. En l’absence de toute revalorisation des indemnités, l’augmentation de la charge des élus et le renforcement de la technocratie produisent une dévalorisation de la fonction parlementaire et donc de la loi française. Au profit d’une loi étrangère : européenne ou communautaire. Au profit d’un exécutif qui se fera exécuteur en droit de ceux qu’il a réduits en pratique au rôle d’exécutants depuis le début du quinquennat. Jacqueline Gourault, ministre délégué à l’Intérieur, n’a-t-elle pas lancé à l’Assemblée nationale le 19 avril 2018 : « Obliger un ministre à répondre ? […] Ce sont des méthodes autoritaires qui n’ont pas leur place dans une démocratie ! » ?

                Ce projet de 23e réforme de la constitution du 4 octobre 1958 prouve s’il en était besoin que nos institutions sont plus résilientes que stables. Les règles changent tous les deux ans et demi. Surtout, il interroge le sens du partage de l’initiative des lois entre l’exécutif et le législatif. Les parlementaires auront encore loisir de déposer des propositions de loi et de rédiger des amendements, certes, mais sous condition de majorité, ou d’opposition allégée, dans une précarité plus grande, avec un enracinement moindre. Autant dire qu’on en fait des greffiers.

    Or toutes les chambres d’enregistrement et tous les régimes d’assemblée du monde ne sauraient faire douter des apports d’assemblées rénovées en cas de restauration monarchique, en application d’un principe fécond de subsidiarité. L’une – élue au suffrage universel élargi, mais rejetant toute appartenance partisane – fournirait au souverain une expertise professionnelle, économique, financière et légistique. Elle exercerait des pouvoirs d’amendement et de discussion renforcés. L’autre réunirait les gouverneurs élus au suffrage indirect à la tête de « pays » ou cercles issus de ces intercommunalités qui nourrissent l’espoir de pérenniser les identités locales et d’administrer les territoires au plus près (et au plus juste). Alors, en fermant et pérennisant en haut (par la restauration monarchique), on pourrait ouvrir et expérimenter en bas : par l’introduction d’un référendum d’initiative législative, par la tenue de consultations locales revêtues de la légalité constitutionnelle et emportant des effets pour la vie quotidienne ; sans parler des possibilités que nous offre la technologie civique… 

    Luc Le Garsmeur

    http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/politique/2639-reforme-des-institutions-du-duo-executif-legislatif-au-duel-executeur-executant

  • Grand remplacement ? Pour Macron il ne faut être ni mâle ni blanc pour s’occuper de nos banlieues

    6a00d83451619c69e20224e03c87b5200d-250wi.jpgDe Bernard Antony :

    "Emmanuel Macron a rejeté le « plan banlieue » proposé par Jean-Louis Borloo. On l’en féliciterait s’il n’avait assorti son refus de l’exécrable allégation révélatrice de ce que son cerveau est idéologiquement lavé par l’antiracisme, ce racisme en sens contraire selon notre expression. Rappelons qu’il a eu en effet usé de l’argument selon lequel un rapport sur les banlieues qui serait le sien et celui de Borloo serait voué à l’échec du fait de leur appartenance sexuelle et raciale. Lisons, et pesons bien ces mots : « Deux mâles blancs qui ne vivent pas dans les banlieues se remettent un rapport sur les banlieues : ça ne marche plus comme ça ».

    Passons sur la construction un peu chaotique du propos. Ce qui est d’abord consternant, c’est que Macron ne parle pas sur le fond autrement que madame Anne Lauvergeon, alors présidente d’Areva, émettant lors d’un colloque à Deauville en 2009 réservé aux femmes dirigeantes, les mots que voici exactement retransmis : « À compétence égale, eh bien, désolée, on choisira euh ! la femme, ou on choisira la personne venant euh ! de… ben autre chose que le mâle blanc pour être claire ». Dans cette brillante profession de foi féministe et anti-blanche, Dame Lauvergeon ne s’aperçut même pas de son humour involontaire dans l’insistance de son propos : « pour être claire ». Certains émirent qu’elle se sentait peut-être un peu noire après trop bu, et qu’il y avait quelque contradiction à vouloir être claire juste après avoir prôné la discrimination contre les « mâles blancs ». Quoi qu’il en fut, le propos était objectivement raciste et motivait une plainte de l’AGRIF, certes retenue à l’instruction mais que le tribunal ne condamna hélas pas. On a vu depuis que la compétence de madame Lauvergeon à la tête d’Areva pouvait être très discutable. Mais ce qui ne l’était pas pour elle, c’était son principe de féminocratie et son étrange aversion pour le recrutement de « mâles blancs », nonobstant sa vie familiale. Je lui attribuai alors ironiquement, avec une légère modification, la devise de l’ordre le plus prestigieux de la Cour d’Angleterre : « Honi soit qui mâle y pense… ». À noter qu’à la date de sa création, la langue de la cour était alors le français et que « Honi » s’écrivait en effet avec un seul « n ».

    « Honi soit qui mal y pense » n’est hélas pas adéquat avec ce que l’on peut penser du propos macronien. Car on ne peut qu’en penser beaucoup de mal. Propos révélant en effet que pour Macron il ne faut donc être ni mâle ni blanc pour s’occuper de nos banlieues. Houria Bouteldja a dû frémir d’aise en entendant cette réflexion du président de la République en totale conformité avec le concept de « racisation »  qu’elle introduit toujours plus dans le débat politico-social ne dissimulant même plus son racisme anti-blanc islamo-gauchiste. Et c’est « en même temps », comme il dirait, que monsieur Macron prétend combattre le communautarisme ! Si intelligent soit-il sur d’autres plans, notre chef de l’État est hélas lui aussi gangréné par l’idéologie totalitaire de l’antiracisme, ce racisme en sens contraire."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/05/grand-remplacement-pour-macron-il-ne-faut-%C3%AAtre-ni-m%C3%A2le-ni-blanc-pour-soccuper-de-nos-banlieues.html

  • Un scénario de guerilla se met en place dans un mutisme ahurissant

    6a00d83451619c69e20224df353a66200b-200wi.jpgLaurent Obertone diffuse cet avertissement d'un membre du GIGN :

    « Pendant que les mass médias nous inondent de mariage en Angleterre et de festival de Cannes, bon nombre d'événements classés "faits divers", violences inédites sur le territoire national, se mettent en place :

    Marseille "busserine" avec des groupes armés et des techniques para-militaires parfaitement rodées, un procureur satisfait du dispositif policier et qu'il n'y ait pas eu de blessés, de nombreuses attaques de policiers en civils par des groupes de jeunes (Grenoble, Courcouronne...), violences par 200 personnes à Lyon la Duchère, un homme a Pau battu à mort par des ados, appel au djihad en France par des imams dans des mosquées françaises mais aussi les suicides à répétition des policiers et gendarmes abandonnés par la Justice et rabaissés par la hiérarchie, avec un projet de CDD à venir pour les forces de l'ordre alors que la formation est déjà un réel problème.

    Bon nombres d'autres "signaux faibles", comme aiment les appeler les politiques, passent inaperçus.

    Dans les rangs de mes camarades de l’unité d’assaut du GIGN, actifs et connectés aux unités de renseignement, tous ces signaux confirment qu'un scénario de guerilla se met en place dans un mutisme ahurissant. Notre message est simple : préparez-vous.»

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/05/un-sc%C3%A9nario-de-guerilla-se-met-en-place-dans-un-mutisme-ahurissant.html

  • Solidarité avec Alexandre Gabriac

    gabriac-leetchi.jpgAlexandre Gabriac, fondateur des Jeunesses Nationalistes, ancien conseiller régional, aujourd’hui secrétaire national aux fédérations de Civitas, a besoin de votre aide !

    Notre ami et camarade Alexandre Gabriac toujours dans la tourmente judiciaire…

    • Condamné en première instance puis en appel à 2 mois de prison ferme et 4000€ d’amende pour avoir, d’après leur justice, organisé une manifestation interdite contre le racisme anti-blanc, son affaire a été examinée à l’audience criminelle de la cour de Cassation le 9 mai dernier. La décision sera rendue le 20 juin. 
    • Par ailleurs, il passera devant la 12ème chambre correctionnelle du TGI de Lyon le 4 juin 2018, étant accusé de « reconstitution de ligue dissoute » (en l’espèce les Jeunesses Nationalistes), un chef d’accusation qui lui fait encourir une peine de 7 ans de prison ferme, la perte de ses droits civiques et la somme mirobolante de 45’000€ d’amende. A noter, ce chef d’accusation est placé dans la partie législative : « Crimes et délits contre la nation, l’Etat et la paix publique » du livre IV du code pénal. Tout un symbole d’inversion accusatoire.

    Au-delà des condamnations, toutes ces affaires engendrent des frais de plus en plus conséquents pour ce jeune père de famille, à force de différentes pertes d’emplois, de déplacements, d’honoraires d’avocats spécialistes…

    Nous faisons donc appel à votre solidarité et votre générosité afin d’aider notre ami, et lui permettre la continuation de son combat pour léguer à nos enfants un avenir français.

    Lien de la cagnotte : https://www.leetchi.com/c/solidarite-pour-alexandre-et-sa-famille

    http://www.medias-presse.info/solidarite-avec-alexandre-gabriac/92310/