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anti-national - Page 643
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L’islamo-gauchisme s’installe sur les réseaux sociaux, sous le faux-nez d’AJ +
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Le Conseil constitutionnel pour l’immigration de masse, par Francis Bergeron
Le prétendu « délit de solidarité » consistant à encourager, favoriser les filières d’immigration clandestine allait-il rester un délit ? Très habilement, les associations de soutien et d’encouragement au grand remplacement avaient posé une question prioritaire de constitutionnalité (QPC). Pouvait-on faire condamner des individus ou des réseaux de soutien aux clandestins, aux sans-papiers, si ces réseaux agissaient non pour des raisons financières, mais bénévolement, sur des bases idéologiques, « humanitaires » ? Non. Non, il est impossible de poursuivre et de les faire condamner s’ils ne sont pas mus par l’appât du gain. Cette décision est un tournant qui vient ruiner tout le dispositif législatif censé nous assurer la maîtrise de l’immigration, le droit des Français à contrôler qui vient chez eux, pour y faire quoi et pour combien de temps.
Le Conseil constitutionnel s’est tout simplement livré à une analyse basique de la formule « liberté, égalité, fraternité ». La fraternité étant un principe constitutionnel, puisque référencé dans le préambule de la Constitution, toute personne, toute association, qui aidera des illégaux, des clandestins, en leur faisant passer la frontière, en les logeant, en les nourrissant, en leur fournissant des avocats, des formations, un travail (lui-même clandestin) sera considérée comme accomplissant un acte licite – et plus que cela, un acte humanitaire, un acte de fraternité.
Un appel d’air sans précédent
Depuis cette décision du Conseil constitutionnel, ce vendredi 6 juillet, c’est l’ébullition dans les organisations du prétendu antiracisme, et aussi au PC, chez les Insoumis, les Ecolos, dans les groupuscules. Toutes préparent des programmes au grand jour pour aider les clandestins à franchir nos frontières, et mettre en place, officiellement cette fois, les moyens matériels de la submersion migratoire.
Certes, les passeurs professionnels – qui se font rétribuer pour transférer les migrants en Europe – ne sont pas concernés par cette interprétation de la Constitution. Et leur activité ne sera pas légalisée. Mais les migrants auront-ils encore besoin de passeurs rémunérés, alors qu’une multitude d’associations – elles-mêmes subventionnées par l’Etat – et les collectivités territoriales le feront, dans les faits, de la façon la plus officielle ?
La décision du Conseil constitutionnel est gravissime. Elle constitue un appel d’air sans précédent pour tous ceux qui veulent converger vers l’Europe, et désormais vers la France avant tout.
Les macronistes soulignent que nous conserverons la liberté d’accueillir ou pas les clandestins. Mais quand on sait que 90 % de ceux qui parviennent à entrer chez nous y restent, ce chiffre sera désormais de 100 %, et 100 % d’une masse fortement gonflée par ce message d’encouragement.
Les LR regrettent la décision, mais ils sont piégés puisque le principal argument qu’ils mettaient habituellement en avant pour refuser l’immigration de masse, sans sortir du politiquement correct, était le rôle des passeurs mafieux, qui disparaîtront d’eux-mêmes avec cette mesure. Le Rassemblement national souligne pour sa part que cette décision constitue « une violation des droits de la nation française ». Elle sonne même la fin de la nation française.
Nous avons donc à présent, d’un côté des Alpes un pays qui annonce clairement la tolérance zéro pour l’immigration, et de l’autre côté un pays dans lequel partis politiques, syndicats, associations, municipalités vont s’engouffrer dans l’énorme brèche ouverte par le Conseil constitutionnel.
Les conséquences se feront sentir extrêmement vite sur nos équipements, notre sécurité, notre taux d’emploi, nos régimes sociaux, etc. Mais la vérité des chiffres sera sans doute cachée le plus longtemps possible aux Français.
Conséquence de la position aberrante de la Cour de Cassation : s’opposer aux actes non rémunérés de soutien aux migrants, par exemple une aide au franchissement de frontière devient donc un délit. Les premières victimes seront les autorités préfectorales des Alpes maritimes, et les Identitaires, qui peuvent être poursuivis pour délit d’atteinte au droit de fraternité, garanti par la Constitution
Francis Bergeron
Article repris du quotidien Présent
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Omar Sy, pour la direction de la SNCF, est « intouchable »
Qui ne connaît pas Omar Sy, cet acteur né à Trappes de parents africains, drôle et émouvant dans le film Intouchables, qui lui valut, en 2011, un César ? Or, justement, intouchable, il l’aurait été selon Closer.
Partant en vacances avec son épouse Hélène et un de ses enfants, le comédien aurait eu, gare de Lyon, mercredi 4 juillet, des échanges peu amènes avec un employé de la SNCF. Voulant monter dans le train avec sept bagages, il se serait fait interpeller par des contrôleurs qui lui auraient fait remarquer que ce chargement était trop conséquent et qu’il ne pouvait emporter que trois valises à entreposer dans les rangées prévues à cet effet, en expliquant : « Il y a d’autres voyageurs. »Mais Omar Sy n’aurait rien voulu entendre, et un des représentants de la SNCF aurait donc signifié à l’acteur qu’il ne pourrait pas embarquer dans ces conditions. Toujours selon le magazine people, le comédien vedette aurait alors insulté le contrôleur, le traitant de « petite bite » (lui nie avoir utilisé ces termes), puis il aurait ensuite légèrement poussé l’agent afin d’entrer dans le wagon et de pouvoir prendre place à bord du train. Cette action et ces paroles lui auraient valu d’être appréhendé brièvement pour « outrage à agent ».
Ce n’est pas la première fois que l’ancien comique d’« Omar et Fred » est interpellé par la police gare de Lyon. En mars 2013, il avait essayé de passer un périmètre de sécurité installé par les agents de la SNCF, qui recherchaient un voyageur sans billet sur le trajet Marseille-Paris. Ce franchissement non autorisé avait engendré une altercation avec l’un des employés, nécessitant l’intervention des services de police. Interpellé, il avait été conduit à la brigade des réseaux ferrés (BRF), qu’il avait quittée après une heure d’audition.
Mais revenons à ce 4 juillet : suite à ces nouvelles embrouilles, la SNCF a estimé utile de communiquer en minimisant l’affaire. Elle évoque un « incident clos », et une « histoire réglée avec le contrôleur ». D’ailleurs, l’hebdomadaire nous indique qu’Omar Sy a pu « finir avec tous ses bagages son voyage jusqu’à destination ». Ajoutant, toutefois, que pour cela, une intervention de la hiérarchie de la SNCF aurait été nécessaire.
S’il est vérifié, voilà un fait divers des plus banals, me direz-vous. Oui, si l’on fait abstraction de plusieurs éléments :
– Comment être la personne préférée des Français et révéler un caractère aussi outrancier ?
– Si la SNCF communique sur les grèves et les pannes répétitives, elle rechigne à approfondir pour un « people ». Alors qu’elle parle simplement d’« échanges un peu vifs », le salarié, lui, a mentionné des injures (avant, semble-t-il, de se rétracter si l’on en croit un tweet de la SNCF, qui dément les faits, « comme l’a confirmé l’agent SNCF auprès de sa hiérarchie ») et Omar Sy va déposer plainte contre la SNCF pour « faits de violence et d’abus d’autorité », d’après son avocat Me Patrick Klugman.
– Enfin, traiter un mandataire de « petite bite », si l’agent est blanc, n’est-ce pas une insulte raciste de la part d’une personne de couleur ? En effet, l’inverse aurait conduit l’auteur directement à la XVIIe chambre correctionnelle.J.-P. Fabre Bernadac
http://www.bvoltaire.fr/omar-sy-pour-la-direction-de-la-sncf-est-intouchable/
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Selon des renseignements russes et chinois, début d’une invasion de l’Asie centrale par l'État Islamique
Le site Réseau International a publié fin mai [22.05] d'intéressantes informations très détaillées sur le redéploiement en cours des combattants de l'État Islamique en Asie centrale. A-t-on proclamé trop vite la destruction de l'État islamique ? Va-t-il ressurgir en Afghanistan ? Affaire à suivre. LFAR
Par Andrey Afanasyev
Des sources dans les agences militaires et de renseignement russes, disent que la préparation d’une opération offensive à grande échelle contre la Russie à travers le Tadjikistan et l’Ouzbékistan est dans la phase finale. Citant des données provenant de canaux de communication avec les ministères de la Défense de la Chine, du Pakistan et de l’Afghanistan, ils disent que l’Afghanistan est la pierre angulaire de ce plan.
Des messages similaires ont déjà été reçus, en particulier lors d’une récente conférence sur la sécurité qui s’est tenue à Tachkent, la capitale ouzbèke. Puis le ministre tadjik des Affaires étrangères Sirodzhiddin Aslov a annoncé publiquement l’activation des terroristes dans la région :
« Nous voyons l’activation de groupes terroristes, leur progression dans les régions du nord de l’Afghanistan, en particulier dans les territoires limitrophes du Tadjikistan, l’augmentation du nombre de partisans de l’EI et la participation d’un certain nombre de citoyens des républiques post-soviétiques aux groupes et mouvements terroristes présents en Afghanistan…. cela nous préoccupe sérieusement » .
Selon les agences de renseignement russes, le nombre de terroristes de l’EI opérant en Afghanistan varie de 2500 à 4000 personnes. Ces données ont été confirmées par le ministère de la Défense de la Chine. Les sources de la RPC affirment qu’au moins 3800 combattants opèrent dans 160 cellules terroristes mobiles. Ils sont concentrés dans la province de Nangarhar, à la frontière avec le Pakistan, où l’État islamique a augmenté la production et le trafic de drogue, ainsi que la création d’infrastructures pour la formation de combattants et de kamikazes.
Comment ça va se passer
Selon des sources militaires russes, des terroristes se retirent actuellement de Syrie et d’Irak par voie maritime jusqu’au port de Karachi, dans le sud du Pakistan. Après cela, ils arrivent à Peshawar près de la frontière afghane et s’installent dans la province de Nangarhar. Le nouveau siège de l’EI dans la région est situé dans le district d’Achin.
À partir de la fin de l’année 2017, les terroristes ont réussi à rassembler jusqu’à 500 combattants syriens et irakiens, dont plusieurs dizaines de femmes. Des sources disent que la plupart d’entre eux sont des citoyens de la France, du Soudan, du Kazakhstan, de la République tchèque, de l’Ouzbékistan, etc.
L’objectif principal de l’EI en Afghanistan est non seulement la déstabilisation du pays, mais aussi une invasion à grande échelle des républiques post-soviétiques d’Asie centrale : le Turkménistan, l’Ouzbékistan et le Tadjikistan afin d’attiser les tensions aux frontières sud de la Russie.
Les sources de renseignement russes disent qu’il y aura deux voies pour l’offensive de l’EI. L’une mènera au Tadjikistan à travers les provinces du Nuristan et du Badakhshan, l’autre passera par Farakh, Ghor, Sari-Pul et Faryab au Turkménistan.
Le principal responsable des opérations de l’EI est le gouverneur de la province de Nangarhar, Mohammad Gulab Mangal. Il utilise la structure des radicaux pour renforcer son influence dans les régions voisines. De plus, Mangal est bien connu pour sa participation aux opérations financières de l’EI. Des sources affirment que toute tentative de protestation des populations locales est violemment réprimée par les autorités, y compris par des opérations punitives contre les zones peuplées.
Mangal a été connecté aux services spéciaux américains pendant une longue période. La page Wikipédia à son propos dit que le gouverneur actuel de Nangarhar a pris part à une guerre contre les troupes soviétiques dans les années 80. Juste après l’invasion américaine en 2001, il a été nommé à la tête de l’autorité locale. Les médias occidentaux le considèrent comme un homme d’État efficace et juste. La BBC a même qualifié Mangal de « nouvel espoir pour Helmand», une province qu’il gouvernait.
Selon le ministère de la Défense afghan, l’EI prévoit d’augmenter son effectif à 5000 soldats dont la plupart seront cantonnés dans la province de Mangals.
Il est à noter que les deux plus grandes bases militaires américaines dans le pays sont situées près de la région de NAngarhar contrôlée par l’EI et un gouvernement corrompu.
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Macron à Versailles : Individualisme et étatisme sont les deux piliers idéologiques de tous les socialismes
Bernard Antony analyse le discours d'Emmanuel Macron à Versailles :
"Plus encore que les questions économiques, celle de l’identité de notre nation a été au cœur du discours d’aujourd’hui devant le Congrès d’Emmanuel Macron.
Sur cet aspect, l’AGRIF est en devoir de réagir.
Macron a certes rappelé notamment sur les questions de la pauvreté d’un enfant sur cinq, de la dépendance des plus âgés, et du système des retraites, les principes de solidarité qui fondent la cohésion nationale mais qui sont d’abord le fait des corps intermédiaires de la société entre l’individu et l’État. Or, en parfait jacobin, en parfait disciple de Hegel il a exalté une conception totalitaire de l’État : « L’État-providence du XXI° siècle, émancipateur, universel… ».
Individualisme et étatisme n’ont-ils pas été les deux piliers idéologiques de tous les socialismes, fascisme y compris ? Il a ensuite évoqué sans craindre le reproche d’amalgame : « la peur culturelle, civilisationnelle ».
Ce, dans un certain imbroglio, même si tout se tient, entre la question culturelle et celle de la sécurité. Il a évoqué dans la foulée « le terrorisme islamiste lové dans notre société », « l’ennemi jihâdiste ». Et face à ces réalités, il a formulé sa proposition de « service national universel ». Comment peut-il défendre une idée pareillement saugrenue d’une sorte de colonie de vacances pour tous les jeunes, à but social, d’une durée d’un mois ? Avec quel encadrement ? Dans l’état actuel de la jeunesse, et avec les perspectives de réjouissance des jeunes en situation de révolte voire de pré-jihâdisme ou de jihâdisme.
Heureusement, après ces mots, Emmanuel Macron a énoncé très sérieusement que « la République n’a aucune raison d’être en difficulté avec l’islam » (sic !).
Car, bien sûr, l’islamisme n’a rien à voir avec l’islam… Il a d’ailleurs ajouté qu’ « elle n’a pas à en connaître » (resic !). Dommage ! Car pourtant tout le problème est bien que les hommes politiques, et lui en premier, ne veulent pas connaître l’islam, préférant ignorer ses textes et ne pas reconnaître que l’islam n’est pas seulement une religion mais une théocratie totalitaire.
En totale contradiction avec son premier propos il a annoncé pour l’automne une « clarification de la situation avec l’islam ». Peut-on mieux dire que cette situation n’est pas claire, que pour ce qu’il en est des relations de l’islam et de la République, ça ne baigne pas vraiment dans la meilleure huile d’olive ? Ne suffit-il pas pour cela de réfléchir un peu sur les propos antisémites de l’imam de Toulouse, défendu par le bon docteur Dalil Boubakeur, ce grand expert en taqqyia ?
Car évidemment, l’imam n’a fait que lire quelques versets du Coran sur les Juifs, mais sans édulcorant, sans chercher un Coran alternatif.
Emmanuel Macron en est venu à sa fréquente formule de « produire un imaginaire français ». On ne sait pas trop au juste ce que ce mot signifie : un idéal ? Un mythe partagé ? Un rêve commun ? Une Utopie ? Un ensemble d’illusions ? Est-ce sur un « imaginaire », donc sur une échappée de la réalité, que peut se fonder une cohésion nationale ?
C’est là, à notre sens, que M. Macron, avec son regard inspiré un brin inquiétant, passe de sa compétence indéniable dans les sciences politiques et économiques, à on ne sait quel système d’illusion idéologique néo-saint-simonien.
Enfin, n’ayant peur d’aucune contradiction, il a terminé son discours par sa volonté d’une Europe souveraine en même temps qu’il lançait sa péroraison sur « notre seule idéologie, la grandeur de la France ».
Or, si c’est l’Europe qui doit posséder la souveraineté, ce n’est plus la France qui peut la détenir.
Mais cela ressort bien en effet d’une politique imaginaire !"
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IMPOTS 2019 : A VOS RANGS, FISC !
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Une fois de plus, une fois de trop, Macron et son gouvernement, confondant sans doute autorité et autoritarisme, quasiment sans concertation, ont arbitrairement décidé d’imposer aux entreprises et aux contribuables le prélèvement à la source et ce, dès janvier 2019.
Outre le fait que transformer les entreprises en collecteurs d’impôts devrait mener le Conseil constitutionnel à sanctionner cette mesure en raison d’une dangereuse confusion des genres, - comme d’ailleurs le transfert à des sociétés privées de la mission d’observation et de sanction par l’amende des comportements dangereux sur la route -, le prélèvement à la source va bouleverser le « ronrons » des ménages qui ne sont pas mensualisés.
Premier inconvénient, premier scandale : les employeurs, qu’ils soient de grandes entreprises transnationales, des PME ou des TPE, auront la lourde tâche de prélever l’impôt sur le revenu de leurs salariés. Conséquence immédiate, elles devront embaucher du personnel pour cette mission ou la déléguer à des cabinets comptables, avec les frais supplémentaires correspondants. Et rien ne nous dit qu’elles auront , par ailleurs, des compensations, ni que Bercy diminuera dans la France entière ses effectifs. Sans compter que l’employeur aura une petite idée des ressources annexes de son salarié, prétexte peut-être pour lui refuser une augmentation. On nous dit qu’il n’en sera rien, mais quelles garanties auront nous sur l’étanchéité de ce système ? D’autre part, l’employé, psychologiquement, en voudra à son patron lorsque, à la fin du mois, ce dernier lui servira, forcément, un salaire amputé de l’impôt mensualisé même si, bien évidemment, ce n’est pas de sa faute. Malaises dans les relations sociales et… revendications salariales à terme !
« Pas folle la guêpe ! »
Cette révolution fiscale est tout bénéfice pour l’État qui disposera ainsi d’une alimentation monétaire continue et régulière, une avance substantielle par rapport à l’actuel système, d’autant que les erreurs, si erreurs il y a, ne seront rectifiées et compensées qu’en fin d’année. « Pas folle la guêpe ! ». Nombre de citoyens-contribuables ont plusieurs sources de revenus, comme les retraités notamment, « quel casse-tête pour y retrouver ses petits ! ».
Autre inconvénient collatéral à cette réforme, un frein à l’embauche, surtout pour les petites « boites ». Comme pour les seuils à franchir, ou pas, dans les effectifs en matière d’élection de délégué du personnel ou de comité d’entreprise, certains petits patrons rechigneront à prendre un employé de plus si la facture de ce transfert de charge est trop élevée, et nous savons que c’est chez les artisans/commerçants et autres TPE/PME que gisent les potentiels emplois à pourvoir dans la lutte contre le chômage.
Une infecte « tambouille » fiscale
Macron, faute de pouvoir asseoir l’autorité de l’État dans les banlieues, d’arrêter l’immigration et de donner une image respectable de la fonction présidentielle autre que celle offerte à l’Élysée le jour de la fête de la musique, veut repeindre la façade de la maison « France » de bas en haut, sans demander l’avis des occupants sur le choix des couleurs !
Il révolutionne la fiscalité locale en supprimant la taxe d’habitation sans prévoir, initialement, une source de remplacement pour les communes. On nous annonce un transfert total vers ces dernières de la taxe foncière sans que les départements, partie prenante, aient eux-aussi, une compensation. Au menu ces prochains mois, une infecte tambouille dont la pénalisation des retraités, avec « le coup » de la CSG, n’est qu’un avant-goût de cette « nouvelle cuisine ». Un micmac fiscal mitonné par les cuistots de Bercy qui ne sont pas avares d’idées lorsqu’il s’agit toujours et toujours, de prendre et de prendre encore de la monnaie dans la poche des Français. Il est vrai qu’il en faut de l’argent, pour entretenir un État pléthorique, un mille-feuille territorial indigeste et nourrir et loger « toute la misère » du monde qui franchit nos frontières.
Espérons que les entreprises, les grosses comme les petites, se mobiliseront « vent debout » contre cette « nouveauté » arbitrairement assénée sur la tête des travailleurs comme sur celles de leurs patrons. IRPP 2019 ? Non, non et non à la retenue à la source !
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Marche des migrants : ils partirent 25, mais par un prompt renfort, ils se virent 500 en arrivant au port…
Ils étaient partis de Vintimille, ex-frontière franco-italienne, le 30 avril dernier. Une sorte de pèlerinage pro-migrants qui se faisait fort de rejoindre Calais, puis Douvres, ce dimanche 8 juillet. Ils y sont parvenus, mais quelques-uns, qui espéraient bien profiter de l’occasion pour filer chez les Grands-Bretons, ont été retenus à Calais.
Organisée par L’Auberge des migrants et la Roya citoyenne, cette Marche des migrants, longue de 1.400 kilomètres en 60 étapes, ambitionnait de « créer du dialogue avec les citoyens » et de récolter des fonds et des biens de première nécessité pour les migrants. Elle était aussi et surtout une réponse à l’opération des Identitaires de Defend Europe au col de l’Échelle, les No Borders ayant déjà tenté d’en découdre au cours d’un « opération riposte ».
Le journal La Croix les avait accompagnés sur une étape en région parisienne. Ils étaient 25, alors, à demander l’hospitalité au prieuré Saint-Benoît, à Étiolles (Essonne) : « Chaque jour, des marcheurs parcourent une vingtaine de kilomètres pour réclamer un meilleur accueil des exilés et leur liberté de circulation. Au passage, ils demandent aussi la suppression du délit de solidarité. Selon les jours, ils sont 30 à 50, parfois ralliés par des centaines de sympathisants à l’entrée des grandes villes. Une poignée use ses chaussures depuis le début. Les autres se relaient à leurs côtés, venus pour quelques journées ou même une seule. »
Entre retraités, grévistes et utopistes du bonheur universel, La Croix repère « une “nomade” de l’engagement humanitaire. De retour d’un an et demi en Colombie, elle marche depuis Lyon et compte bien aller jusqu’à Calais. » Facile, d’être engagé, quand on vit sur le dos des autres !
Bref, ce petit monde est arrivé à Calais. Et plus si affinités. Et c’est là où ça s’est corsé.
C’est la préfecture qui communique : « 24 étrangers qui ne disposaient pas des documents administratifs, donc en situation irrégulière, ont été descendus du bus et ont été amenés au centre administratif de rétention (CRA) de Coquelles » par la police aux frontières (PAF). Et là, moi, je compte : 25 au prieuré de Saint-Benoît, 24 retenus par la PAF. Autrement dit, c’est comme Le Cid : « Nous partîmes cinq cents, mais par un prompt renfort/Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port… »
Les amis, dont la troupe avait soudain grossi, sont venus manifester devant les grilles du CRA. Le Monde interroge Anzoumane Sissoko, « du Collectif des sans-papiers de Paris (CSP 75), dont sont membres la plupart des personnes arrêtées. Selon le collectif, seize étaient toujours interrogés, tous originaires d’Afrique. » Le quotidien interroge à Douvres, terminus de la marche, le vice-président de L’Auberge des migrants, François Guennoc.
« C’est normal qu’ils n’aient pas pu passer. Ce qui nous choque, c’est qu’ils aient été amenés au centre de rétention, alors qu’ils étaient accompagnés par nous et qu’ils s’étaient annoncés », dit-il. « Nous avions prévenu le CSP 75 des risques, qu’ils ont assumés. » Il ajoute que le collectif « avait averti les autorités françaises et anglaises de leur intention [des sans-papiers] d’aller en Angleterre “pour la journée” dans le cadre de cette manifestation ».
À l’évidence, la PAF n’était pas favorable à l’échange linguistique. Et vous, vous y croyez, aux clandestins qui vont en Angleterre « pour la journée » et rentrent gentiment le soir dormir sur la plage de Calais ?
Marie Delarue
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Le roi de l'enfumage : Morts, vivants, histoire, passé, futur, religion, tout est bon pour la com’ de Macron
Editorial d'Hilaire de Crémiers dans le Politique Magazine de juillet :
"Toute la France a vu les photos et les vidéos. Le 21 juin, fête de la musique, dans la cour de l’Élysée, sous la direction du DJ Kiddy Smile, des danseurs du même groupe, hommes et femmes, en tenues résillées et agressivement dénudées, ont développé leurs figures de danses appelées voguing sur les marches du palais présidentiel, succession sauvage de déhanchements délirants, d’exhibitions de fessiers et de poses ultra-provocantes, suggérant une sexualité totalement débridée… et quelle sexualité ! Ce voguing est pratiqué dans les communautés LGBT afro-américaines et s’est répandu partout dans les clubs de même genre et jusqu’à l’Élysée maintenant sous les yeux émerveillés et amusés d’Emmanuel et de Brigitte Macron. On imagine Coty et de Gaulle devant un tel spectacle !
Kiddy Smile revendiquait sa singularité en l’affichant en toutes lettres sur son T-shirt : fils d’immigrés noir et PD. Il venait, a-t-il déclaré ouvertement, manifester ce qu’il était et ce qu’il voulait. Apparemment donc en accord complet avec les services de communication de l’Élysée qui – on le sait maintenant – pensaient faire un bon coup, sortir de l’ordinaire comme d’habitude ; la presse pouvait titrer : cinq stars de l’électro ont mixé jeudi soir dans la cour du palais de l’Élysée. Peut-on faire plus moderne ?
Sur son compte facebook, Kiddy Smile expliquait tout uniment qu’il méprisait l’Élysée, symbole d’oppression, mais qu’il voulait profiter de la fête, de l’invitation et du lieu pour dénoncer la loi Asile et immigration, le tout dans un sabir dégoulinant de haine. Il faut lire le texte, qui, curieusement, n’apparaît plus sur les pages google.
Les paroles prétendument chantées, en fait hurlées, étaient d’une violence, d’une vulgarité, d’une grossièreté invraisemblables. Et voyez les photos : Emmanuel Macron rigole, Brigitte est aux anges ! Ils se font prendre en photo avec le groupe à moitié nu. Dike Smile entoure de son bras Brigitte et de l’autre qu’il brandit avec deux doigts en forme de V victorieux, fait un indubitable signe sexuel qui ne peut se traduire que par un outrage grossier à la première dame de France. Impudeur et impudence de ce je vous ai bien eu !
Mais Emmanuel sourit : « Ça fait du buzz », dit-il. « Et les gens adorent ! », ajoute-t-il. Il est content de lui. Et Christophe Castaner, son affidé de service, de vouloir diffuser partout la photo. Et ceux qui protesteront devant tant de choquantes provocations, indignes de la France, ne seront que des racistes et des homophobes ! Évidemment.
Franchement, quel mépris pour les Français noirs de les amalgamer à cette bande et à de telles folies. Un peu de respect, s’il vous plaît.
Le 26 juin, Emmanuel Macron rencontrait le pape François au Vatican. Entretien d’une heure qualifié de « très libre et intense » et de « chaleureux ». Les communiqués font la liste des sujets abordés soit avec François, soit avec son secrétaire d’État le cardinal Pietro Parolin : protection de l’environnement, migrations, prévention et résolution des conflits, désarmement, Moyen-Orient, Afrique, réflexion conjointe sur les perspective du projet européen. Le président a ajouté que face à François il avait exposé clairement le positionnement français sur les questions sociétales – tout le monde comprend ce que cela veut dire – et sa conception de la laïcité qui n’était pas un refus de la religion. À preuve, il venait prendre officiellement son siège de chanoine d’honneur de la cathédrale du Latran, en tant que chef de l’État français. Le Pape, aux dires de Macron, a reconnu « toutes les difficultés de la gestion de ces questions » ! Ils se sont retrouvés d’accord sur l’accueil des migrants et pour contrer « les populismes ». Le président parle de convergence avec le Pape sur une certaine conception de l’homme et sur les valeurs de l’Europe. On ne devine que trop de quoi il s’agit. Et, de manière surprenante, c’est sur ces belles paroles qu’ils se sont embrassés, Macron, selon son habitude, cajolant la joue de François avec une familiarité inconvenante.
Qu’en ressort-il ? Que « les questions qui fâchent » pour reprendre l’expression macronienne sont secondaires. Pour les deux : Macron et François ? Que la seule lutte convergente et qui vaille doit se porter contre « le populisme ». Pour Macron, on le sait, c’est « la peste » qui s’étend en Europe : « Populistes », les Polonais qui viennent de signer une déclaration commune avec Israël, « populiste », le chancelier autrichien Sébastian Kurz qui vient de prendre la tête de l’Union européenne, « populiste », le gouvernement italien ! Bref tous les peuples « populistes » ! Donc « lépreux », donc à mettre en quarantaine ! Sauf Macron, le seul pur, le seul intelligent, le seul qui voit où est le bien et le mal. Quelle com’ !
Comment ne pas ressentir le même malaise en entendant Macron récupérer à sa manière et pour sa com’ la panthéonisation de Simone Veil le 1er juillet. Pour qui a lu les Mémoires de l’ancienne ministre et présidente du parlement européen, il n’est pas sûr que ce genre de cérémonie à prétention de religion laïque lui aurait plu. La pensée de se retrouver à côté de Voltaire, l’auteur sans doute le plus antisémite de la littérature française et dont une promotion de notre énarchie se glorifie de porter le nom et donc les idées – celle de Hollande et de Royal, celle qui a détruit la France ! – dans la crypte réservée aux grands hommes, l’aurait vraisemblablement indisposée.
Mais qu’importe pour Macron ! Morts, vivants, histoire, passé, futur, religion, tout est bon pour sa com’. À lui ! Ce n’est pas un chef de l’État, c’est un roi de la com’. Il paraît que les Français commencent à se le dire."
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Violences : comment Nantes s’est libanisée, par Ivan Rioufol
Nantes, la belle alanguie, est devenue une poudrière. Trente ans à peine auront suffi pour fracturer culturellement la Cité des Ducs de Bretagne et la rendre méconnaissable. Cette nuit, trois quartiers “sensibles” ont été le théâtre d’une insurrection urbaine : au Breil, à Malakoff, aux Dervallières. Les émeutes ont été déclenchées, dans le quartier du Breil, après la mort d’un jeune voyou touché par le feu d’un policier qui tentait de protéger son collègue d’une manoeuvre d’écrasement lors d’un contrôle. L’homme était sous le coup d’un mandat d’arrêt. Dans ces trois endroits, des voitures et des locaux ont été rapidement incendiés, dont un centre paramédical, une mairie annexe, une maison de la justice et du droit. Ce mercredi, le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a “condamné avec la plus grande fermeté” ces actes.
Il a rappelé que le Breil faisait l’objet d’un dispositif de sécurisation renforcée à la suite de plusieurs incidents violents survenus depuis le 28 juin. Malakoff et les Dervallières ont été retenus pour être des “quartiers de reconquête républicaine” dès septembre. Ayant été longtemps journaliste à Nantes (à Presse-Océan, de 1976 à 1984), je connais bien cette ville où je suis né. Quand je l’ai quittée en 1984, elle était la tranquillité même, y compris dans les quartiers traditionnellement plus populaires, dont Les trois sites devenus explosifs. Les immigrés y étaient minoritaires. Les foyers Sonacotra hébergeaient les travailleurs venus du Maghreb ou d’Afrique noire. Aujourd’hui, Nantes s’est libanisée. Son histoire est celle de la France.
Ma dernière enquête pour Presse-Océan, en 1984, avait été consacrée à la petite et alors unique mosquée du quartier Malakoff, située en face du vieux stade Marcel Saupin. Cette ancienne chapelle Saint-Christophe, construite après-guerre, avait été donnée par l’évêché au culte musulman en 1980. A l’époque j’y avais révélé le lien qu’entretenait ce discret lieu de culte avec l’Iran. Depuis, la mosquée de Malakoff a pris une toute autre envergure : reconstruite un peu plus loin, elle compte 1200 places et a érigé un minaret de 17 mètres. A cette “mosquée cathédrale” s’ajoutent quatre autres mosquées pour la ville, sans parler de celles des communes voisines. Cette emprise de l’islam a accompagné le nouveau peuplement des quartiers populaires, sous les encouragements des municipalités socialistes successives.
Des “figures” locales ont vite émergé, comme le “Nantais” Lies Hebbadj, cet islamiste polygame qui s’était fait connaitre il y a quelques années pour mettre ses femmes sous des draps noirs et militer pour la construction de dizaines de mosquées dans la cité du muscadet, des luttes ouvrières et du surréalisme. A Nantes comme ailleurs, l’indifférence des autorités publiques a permis à une contre-société, majoritairement islamique, de se consolider sur ses territoires. Breil, Malakoff, Dervallières sont les noms des places fortes en rupture avec la république. Les policiers et les gendarmes qui s’y risquent y sont vus le plus souvent comme des forces d’occupation. Merci qui ?
Ivan Rioufol
Texte daté du 4 juillet 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol
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Dangereuse menace !
Bernard Plouvier
Il est des moments où l’on se prend à douter de l’intelligence des journalistes de France. En se souvenant qu’il est de moins en moins assuré qu’une majorité de « journalistes de France » soient de véritables Français, intéressés à la survie, au bonheur et à l’expansion de la Nation française, l’on comprend mieux leur degré incommensurable de crétinisme.
Car il y a de quoi être estomaqués, éblouis, étonnés par autant de sottise crasse.
Alors que nous sommes victimes depuis 2015 d’un terrorisme mahométan, meurtrier autant qu’immonde, et toujours menaçant, puisqu’il n’est guère de semaine que les hyper-vigilants services du merveilleux ministre de l’Intérieur et des Cultes nous apprennent qu’ils viennent d’éviter un nouvel attentat terroriste
Alors que Nantes est en flammes depuis cinq jours, ce qui ne réalise jamais que la énième émeute raciale du pays depuis le début du nouveau millénaire.
Alors que les chiffres de la délinquance contre les personnes culminent au hit-parade des statistiques de l’État macronien,
Alors que l’on recense plus de 2000 cités de non-droit en ce qui fut notre beau pays et que certaines rues de Paris exhibent un tel nombre de clochards exotiques que l’on croit circuler dans un bidonville du tiers-monde.
L’alarme que claironnent les media qui font dans le politiquement correct a effectivement de quoi faire frémir les Margottons, qui doivent former la majorité de l’électorat de M. Macron (qui n’a plus vraiment la confiance des humbles et des vrais pauvres, des retraités, des paysans, des artisans, des ouvriers ; on laissera de côté les fonctionnaires qui ne s’intéressent qu’à leurs privilèges d’un autre âge) : nous sommes à la veille d’une invasion de méduses géantes, bien sûr liée au « réchauffement climatique » (histoire de faire d’une pierre deux coups).
Avec un nombre d’extra-européens non précisé (car il est démocratiquement interdit de révéler les statistiques ethniques), mais que l’on peut estimer entre 10 et 14 millions, nous n’aurions à redouter, en fait d’invasion, que des méduses !
Nous savions déjà qu’une bonne partie du personnel politique était d’une corruption et d’une inefficacité prodigieuses. Il nous manquait de savoir à quel point l’on prend les Français pour des andouilles. Nous sommes désormais fixés.