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anti-national - Page 686

  • Génération Identitaire bloque le passage de la frontière franco-italienne aux immigrés clandestins

    6a00d83451619c69e20223c845069a200c-250wi.jpgBelle opération de communication de Génération identitaire, qui s'était déjà fait remarquer en Méditerranée : samedi 21 avril à 9h, une centaine de militants, composés de Français, d’Italiens, de Danois, d’Autrichiens, d’Anglais et d’Allemands, ont pris position au col de l’Échelle, à 25 km de Briançon, dans les Hautes-Alpes, afin de barrer la route aux immigrés clandestins. Le mouvement a pu mobiliser deux hélicoptères qui ont survolé la zone tout au long de l’après-midi.

    Depuis l’été 2017, le flot de clandestins empruntant ce passage ne cesse de grandir. Plus de 2 000 immigrés illégaux ont déjà été officiellement été comptabilisés. Combien en réalité ? Plutôt que de débloquer des fonds pour créer de nouveaux centres d’accueil pour les migrants clandestins, ce sont les budgets de la PAF (Police Aux Frontières) qui devraient être musclés.

    "Génération Identitaire exige l’arrêt de l’immigration massive et le blocage définitif du passage du col de l’Échelle. Plus aucun clandestin ne doit pouvoir rentrer illégalement en France en empruntant cette voie. Les Français ne veulent plus d’immigration ! La place de ces migrants clandestins n’est ni en France, ni en Italie, mais dans leur pays d’origine. L’opération « Alpes » de Defend Europe est lancée !"

    Romain Espino (porte-parole de Génération Identitaire) explique :

    «On a repris le contrôle de la frontière franco-italienne pour montrer aux pouvoirs publics qu’avec de la détermination et nos moyens, on peut reprendre le contrôle de nos frontières.Donc on remarque bien qu’il s’agit d’un manque de courage politique.»

    Témoignage d'un habitant du briançonnais :

    "J'adore ma vallée, ma ville, mais la situation est de pire en pire... Grâce à des gens comme vous, ça peut s'améliorer. Alors j'ai tenu à venir vous soutenir. 95% des gens sont d'accord avec moi."

    Pendant que la gauche et l'extrême-gauche deviennent hystériques, la préfecture a simplement indiqué « suivre les opérations » quand le ministre s’est contenté de regretter des « gesticulations ». Dans un communiqué, le préfet des Hautes-Alpes s’est contenté d’indiquer que

    « la préfecture et les forces de l’ordre continuent de suivre avec attention et vigilance la poursuite de cette opération afin de prévenir tout trouble à l’ordre public et de garantir le respect du droit« . L’opération « s’est jusqu’à présent déroulée dans le calme».

    Pendant ce temps, côté Italiens, les nouveaux trafiquants d'esclaves accompagnent les immigrés clandestins pour les aider à violer la loi. L'extrême-gauche tombe dans le piège en diffusant ce genre d'image, plus anxiogène pour les Français que des étudiants en doudoune bleu ciel bloquant une frontière :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le projet de loi immigration : Des mesures de durcissement « bidon » cachant plusieurs dispositions qui accentueront l’invasion

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°197 – avril 2018) 

    Le projet de loi du gouvernement intitulé « Pour une immigration maîtrisée et un droit d’asile effectif » se présente comme un texte équilibré. Il affirme viser à la fois l’ouverture – améliorer l’accueil des personnes en situation régulière – et la fermeté – éloigner plus efficacement du territoire les personnes en situation irrégulière -.

    En réalité le caractère équilibré du projet est factice et la fermeté affichée un trompe-l’œil : les mesures de durcissement que le projet contient sont des mesurettes « bidon » visant à camoufler et à faire passer en douceur les autres dispositions du texte, qui sont elles destinées à accroître l’immigration.

    Nous citerons ci-après les principaux articles du projet de loi et certains passages importants, avec le numéro de page correspondant, de l’étude d’impact annexée au projet. Nous renvoyons d’autre part à cette précédente chronique, dans laquelle figure une présentation générale du dispositif de l’asile.

    1. Les flux d’immigration ne cessent d’augmenter

    Il faut rappeler tout d’abord le contexte dans lequel ce projet s’inscrit : le rythme de l’immigration s’est encore accéléré depuis que M. Macron a été élu.

    • L’immigration régulière

    Les immigrés non européens entrés de façon régulière en France métropolitaine pour s’y installer (regroupement familial, étudiants, immigration de travail, asile) ont été 267.000 en 2017. Ce nombre, en augmentation de 14 % par rapport à l’année précédente, constitue un record, jamais atteint jusqu’à présent (voir cette chronique).

    • Les demandes d’asile

    Les demandes d’asile sont elles aussi en augmentation constante. En 2017 elles se sont élevées à 92.830 (73.689 premières demandes + 19.141 mineurs accompagnant le demandeur). Ce nombre, en augmentation de 18 % par rapport à l’année précédente, est là aussi un record (pages 29 et 58 de l’étude d’impact).

    Encore faut-il ajouter à ces chiffres les « demandeurs placés sous procédure Dublin », c’est-à-dire les personnes demandant l’asile en France alors qu’elles sont entrées en Europe dans un autre pays que la France (les accords de Dublin prévoient d’une part que c’est le premier pays dans lequel l’étranger a été enregistré qui doit traiter la demande d’asile, et d’autre part que l’étranger concerné, s’il a gagné un autre pays d’Europe, doit être reconduit dans le pays qui traitera sa demande).

    Le nombre des « dublinés » entrés en France en 2017 et ayant présenté une demande d’asile est de près de 30.000 personnes. Le nombre total de nouvelles demandes d’asile présentées en France, mineurs accompagnants compris, atteint donc en 2017,  121.200 (p. 10).

    • Les demandes d’asile satisfaites

    Les demandes d’asile satisfaites augmentent elles très fortement. En 2017, l’asile a été accordé à 35.825 personnes, soit une hausse de 56 % par rapport à l’année précédente (p. 21 et 30).

    Lire la suite sur Paysan savoyard.

  • Le Pouvoir se montrant incapable de protéger nos frontières, des militants identitaires s'en chargent

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    Des militants  expliquent à un migrant la bonne nouvelle : ii n'est plus possible de rentrer en France, le Col de l'Echelle étant désormais fermé.

    Après une ascension commencée après 9 heures, en raquettes sur la neige, les militants de Génération Identitaire ont matérialisé une « frontière symbolique » à l’aide de grillage en plastique de chantier et prévoient de passer la nuit au col. Il s’agit d’« expliquer aux migrants éventuels que ce qui n’est pas humain, c’est de faire croire à ces gens qui traversent la Méditerranée ou les Alpes enneigées que ces parcours ne présentent aucun risque. C’est faux », a déclaré Romain Espino, le porte-parole de GI. « Ils ne vont pas trouver l’Eldorado, c’est immoral. Ceux qui en paient les frais, ce sont les Français », a-t-il ajouté.

    Depuis un an, les Hautes-Alpes connaissent une augmentation exponentielle d’arrivées de jeunes, majoritairement de Guinée (Conakry) et de Côte d’Ivoire (pourtant première puissance économique d’Afrique de l’Ouest). Ces nationalités arrivent loin devant celles des autres migrants, très majoritairement ouest-africains. Selon la préfecture, 315 personnes en situation irrégulière ont été refoulées vers l’Italie en 2016 et 1 900 en 2017.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pactes de l’ONU sur l’immigration : Non au grand remplacement !

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    Intervention de Marie-Christine Arnautu au Parlement européen de Strasbourg le 17 avril 2018 sur le pacte de l’ONU sur l’immigration. Non au grand Remplacement au détriment des identités et de la sécurité et de la pérennité des peuples européens.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/pactes-de-lonu-sur-limmigration-non-au-grand-remplacement/90528/

  • La « décivilisation » est si délétère que cela entraînera la remise en cause de la loi Taubira

    6a00d83451619c69e20224df2c82a6200b-800wi.jpgÀ l’occasion du cinquième anniversaire de La Manif Pour Tous, L'Incorrect a interrogé sa présidente, Ludovine de La Rochère. Extrait.

    Dans une tribune libre accordée à Libération, Guillaume Lecaplain juge que La Manif Pour Tous « a eu raison sur tout », c’est-à-dire qu’elle aurait su anticiper les suites de la légalisation du mariage entre couples de même sexe, soit la PMA ouverte aux femmes homosexuelles en chantier ou l’autorisation de l’adoption pour des couples homosexuels. Avez-vous le même avis ?

    Cette tribune est très intéressante parce qu’elle reconnaît ce que tous les partisans de la loi Taubira n’ont cessé de nier, à savoir, d’abord, que le mariage de deux hommes ou de deux femmes est effectivement lié à l’idéologie du genre, ensuite que l’adoption était bien concernée ainsi que la PMA sans père et la GPA et enfin qu’il s’agit bien d’enjeux de civilisation. En revanche, l’auteur prétend qu’il ne s’agit pas d’aller vers l’instauration d’un « droit à l’enfant », ce qui est faux : sans doute attend-il encore pour reconnaître la vérité de cette analyse ! Par ailleurs, il n’évoque pas la redéfinition de la filiation, qui est pourtant bien au cœur du sujet aussi. Or la filiation, c’est le lien charnel entre un enfant et son père ou sa mère. Autrement dit, elle est ou elle n’est pas : la filiation ne se décrète pas et ne saurait donc être fondé sur « l’engagement parental », nouveau concept fumeux ! Il est d’ailleurs fascinant de constater que lorsque l’on nie la réalité, on invente alors tout et n’importe puisqu’on s’est dégagé de la contrainte du réel !

    Si vous aviez effectivement « raison sur tout », pourquoi n’avez-vous pas pu stopper cette marche en avant ?

    En réalité, si la loi Taubira a été malheureusement votée, cette « marche en avant » a bien été stoppée. D’ailleurs Erwann Binet, le député rapporteur de la loi à l’Assemblée nationale a déclaré lui-même au printemps 2016 dans une interview à l’hebdomadaire Marianne : « La victoire de La Manif Pour Tous est d’avoir congelé les ambitions sociétales de la gauche ». En effet, de nombreuses victoires législatives ont été obtenues, et c’est véritablement historique dans le domaine sociétal ! Les plus importantes sont les reculs successifs sur la légalisation de la PMA sans père, le retrait du délétère projet de loi « familles » de la ministre Dominique Bertinotti le lendemain de la manifestation du 2 février 2014, le retournement de position de Manuel Valls sur la GPA la veille de la manifestation du 5 octobre 2014, le retrait du projet d’ouverture de l’adoption pour les couples pacsés et concubins en 2015, l’abandon de la proposition de loi APIE (« autorité parentale et intérêt de l’enfant »). Cette proposition visait la mise en place du statut du beau-parent. François Hollande avait promis aux associations LGBT à l’été 2016 qu’il allait relancer le processus parlementaire… mais il y a eu la manifestation du 16 octobre 2016 !

    Ainsi, contrairement à ce que beaucoup croient, les victoires sont bien réelles, ce que savent d’ailleurs très bien les médias et les associations LGBT. C’est pourquoi ils évoquent tous les jours dans leurs propos et leurs colonnes La Manif Pour Tous. Je pourrais aussi évoquer les multiples initiatives nées de La Manif Pour Tous ou encore le fait que l’exemple français a boosté la résistance de nombreux pays contre la déconstruction de la filiation et de la famille, avec de beaux succès comme la constitutionnalisation du mariage homme-femme en Croatie ou le retrait de l’adoption dans le projet de loi d’union civile en Italie. Vous me demandiez donc « pourquoi nous n’avons pas pu stopper cette marche en avant », mais le fait est qu’elle a été stoppée. Evidemment, nous aurions souhaité la stopper avant le vote de la loi Taubira et par ailleurs, l’ouvrage est toujours à recommencer puisque le mariage entraîne la filiation et donc ces revendications de PMA sans père et de GPA sont toujours aussi pressantes. Néanmoins, tous les Français qui se mobilisent peuvent être fiers de ce qu’ils ont accompli grâce à leur persévérance malgré le vote de la loi Taubira.

    Croyez-vous que LMPT a été respectée par l’exécutif Hollande ? Cela se passe-t-il mieux avec Emmanuel Macron ?

    La Manif Pour Tous a été évidemment mal traitée par Hollande qui a utilisé tous les moyens les plus malhonnêtes. De fait, « qui veut noyer son chien l’accuse de la rage », d’où les accusations stupéfiantes de mauvaise foi à l’encontre des manifestants, réitérées d’ailleurs dans cette tribune de Libération. Facile, quand la plupart des médias sont partisans ! Néanmoins, François Hollande n’a pas tué La Manif Pour Tous, bien au contraire ! Quant à Emmanuel Macron, sa crainte de nouvelles mobilisations est connue. Il a de fait vécu de l’intérieur, à l’Elysée puis comme ministre, l’impact du mouvement social et le coût politique de telles transgressions. Il multiplie donc les précautions pour essayer de les éviter tout en essayant d’avancer vers la légalisation de la PMA sans père. Cela prouve que, malgré sa grande habileté, il n’a pas compris les ressorts profonds qui font que, évidemment, si besoin, il y aura à nouveau des centaines de milliers de Français dans la rue !

    Quel bilan dressez-vous après cinq ans de lutte et de militantisme ? Reviendra-t-on un jour en arrière ? Ou, considérez-vous que le mariage pour les couples de même sexe, l’adoption « pour tous », ou encore la PMA « pour toutes » (en projet) soient désormais gravés dans le marbre pour plusieurs décennies, suivant un mouvement parti de l’Occident et s’exportant présentement en Amérique du Sud et en Asie ?

    Permettez-moi d’abord de redire que la PMA sans père (n’employons pas les slogans de ses partisans !) est toujours interdite en France, contrairement à ce que prévoyait François Hollande et ses partisans. Et j’insiste sur le fait que la partie n’est pas perdue, bien au contraire. Emmanuel Macron a posé pour condition l’existence d’un « large consensus » : à nous de montrer qu’il n’existe pas et n’existera pas ! Il serait dramatique et irresponsable pour l’avenir de baisser les bras, et surtout au moment où les états généraux de la bioéthique montrent incontestablement que l’opposition à la PMA sans père est immense. Tous les observateurs, y compris les médias régionaux et nationaux en témoignent eux-mêmes. Et j’ajoute que le consensus n’existe pas plus chez les politiques, les scientifiques, les juristes, etc.

    La « décivilisation », la réification de la personne comme la logique transhumaniste, qui caractérisent la PMA sans père, la GPA et autres pratiques du même acabit (PMA post-mortem, vente d’embryons sur étagères, eugénisme, etc) sont si délétères pour l’humanité que je crois vraiment possible un retournement spectaculaire. Et quel que soit le temps que cela prendra, cela entraînera la remise en cause du mariage de deux hommes ou de deux femmes puisqu’il fonde la filiation. Mais évidemment, cela ne se fera pas tout seul. Imaginer qu’on atteindra « le fond » et que de là « on remontera », comme je l’entends parfois, est une illusion. D’abord, comme je le disais, une fois déconnecté du réel, il n’y a plus de limites, le fond est donc sans fin. Ensuite, « on ne remontera pas tout seul ». Et, naturellement, plus on intervient tôt dans cette déconstruction, plus les difficultés seront surmontables. [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/04/la-d%C3%A9civilisation-est-si-d%C3%A9l%C3%A9t%C3%A8re-que-cela-entra%C3%AEnera-la-remise-en-cause-de-la-loi-taubira.html

  • Le nouvel échec de la CGT ne restera pas sans conséquences

    6a00d8341c715453ef01b7c9627980970b-320wi.jpgPour recevoir régulièrement les liens de L'Insolentil suffit de le demander à son rédacteur en cliquant sur ce lien.

    La manifestation du 19 avril, se voulant interprofessionnelle, s'est traduite par un fiasco. On ne doit, certes, ni la confondre avec l'ensemble, disparate, des mécontentements, ni en déduire des pronostics pour les jours prochains.

    En particulier il semble bien que, dans le ferroviaire, la tension ne recule pas à la base et que la grève de la SNCF peut continuer. Et même on peut se demander pourquoi la réforme de filialisation du fret, jetant de l'huile sur le feu, a été annoncée au moment même où l'on pouvait espérer que la CFDT et l'UNSA se désolidariseraient de la CGT et de Sud-Rail.

    Mais le fait objectif s'impose : avec 15 000 manifestants à Paris et 6 000 à Marseille, le chantage de Martinez n'impressionne plus personne. Ayant misé sur la convergence des luttes, le secrétaire général de la vieille centrale a perdu(1)⇓

    À peine les gauchistes bloqueurs de facs, les inévitables black blocks et les marcheurs impénitents de toutes les manifs se sont joints aux apparatchiks. Avec 133 rassemblements sur tout le territoire, reflets du maillage très ancien de l'organisation, ils ont été comptés pour quelque 120 000 personnes, selon les évaluations objectives, lesquelles désormais apparaissent et démentent les affirmations souvent fantaisistes des organisateurs(2)⇓

    Enfermés dans des luttes minoritaires et retardataires, les dirigeants actuels de la CGT, formés à l'école sclérosée du PCF, se sont voués au déclin. Ils ne parviennent à surnager qu'en surenchérissant dans le registre des contre-vérités. Celles-ci restent crachées à l'envi par les pseudo-économistes du marxisme tardif. L'idéologie qu'on espérait défunte continue hélas à fonctionner. Elle sert même de viatique dans les discours de tous les défenseurs du prétendu modèle social français. C’est pourquoi on ne doit pas s'étonner de la survie d'une petite frange gauchiste, réapparaissant à chaque génération, et à laquelle on ne se préoccupe guère de répondre. À moins qu'on se préoccupe de ne se surtout pas lui répondre. Les utiles idiots serviront toujours d'indispensables ingrédients pour les cuisines politiciennes.

    Reste qu'après la longue série des mobilisations contre la loi El Khomri et le gouvernement Valls de mars à juillet 2016, puis après le fiasco et l'isolement de fait en septembre 2017 contre la réforme du Code du travail, ce nouvel échec de la mobilisation de la CGT du 19 avril pourra très difficilement rester sans conséquences.

    La date du 19 avait été fixée unilatéralement par Martinez. Es lors, les autres centrales, à l'exception des gauchistes de Sud-Solidaires, s'en étaient écartées. Le renfort des politiques, de Besancenot, de la France insoumise, des activistes d'extrême gauche, des anciens de NuitDebout, et bien entendu de Pierre Laurent du PCF, n'aura fait que souligner la division, et renforcer la méfiance de ceux qui refusent de confondre syndicalisme et politique.

    Une prochaine échéance se situera le 1er mai, date à laquelle la CFDT ne veut pas défiler avec les cégétistes, préférant se joindre aux autres syndicats réformistes, CFTC et UNSA. À noter que les microcombats d'appareils ne cessent pas : ainsi, le congrès de FO semble avoir vocation, du 23 au 27 avril, à désavouer la ligne, jugée par certains trop modérée, de Jean-Claude Mailly dont le mandat s'achève après 14 ans de bons et loyaux services. Il se pourrait ainsi que la faculté de manœuvre de la CGT y gagne.

    Martinez et ses camarades resteront toutefois dans l'erreur s'ils peristent à sous-estimer l'aspiration très majoritaire des Français à des réformes indispensables du prétendu modèle social français. Celles-ci n'ont que trop attendu. En votant unanimement en faveur de lois qu'elle juge globalement positives, la droite, elle qui en avait différé pendant si longtemps la mise en œuvre, ne s'y est pas trompée.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    1. cf. la Chronique des événements courants de l'Institut d'Histoire sociale du 16 avril. Pour recevoir régulièrement et gratuitement les liens de ces chroniques, il suffit de le demander sur ce lienà l'administration du site. 
    2. cf."Compter les manifestants" in Le Monde

    Lien FB de l'insolent

    http://www.insolent.fr/2018/04/le-nouvel-echec-de-la-cgt-ne-restera-pas-sans-consequences.html

  • [Vidéo] Il y a 50 ans, la prophétie d’Enoch Powell sur les ravages de l’immigration

    C’était il y a tout juste 50 ans, alors que l’Angleterre et l’Europe ne subissaient que les tous premiers assauts d’une crise migratoire qui culmine aujourd’hui avec l’arrivée massive d’extra-européens sur le continent européen.

    Le 20 avril 1968, Enoch Powell, brillant homme politique britannique promis aux plus hautes fonctions, avait décidé d’évoquer ses craintes avec les citoyens de son pays. Dans un discours passé à la postérité, il les avertissait des conséquences néfastes d’une ouverture à l’immigration extra-européenne :

    Si je regarde vers l’avenir, je suis empli de sombres présages ; tel le poète romain, il me semble voir le Tibre écumer d’un sang abondant.

    Celui qui était alors député de Birmingham aura payé de sa carrière politique ce discours résolument visionnaire. Aujourd’hui, le Royaume-Uni est attaqué par les terroristes islamistes et miné par un changement de population qui modifie en profondeur son identité et provoque de nombreux drames.

    Enoch Powell avait raison. Honneur au diabolisé.

    Il y a 1 à 2 semaines, je discutais dans ma circonscription avec un homme d’une quarantaine d’années qui travaille dans l’une de nos entreprises nationalisées. Après quelques mots sur la pluie et le beau temps, il me dit soudainement : « Si j’avais les moyens, je quitterais le pays. » Je lui fis quelques reproches, lui faisant remarquer que le gouvernement actuel ne durerait pas éternellement. Mais il n’y prêta pas attention et poursuivit : « J’ai trois enfants. Ils ont tous le bac [grammar school], deux d’entre eux sont mariés et ont une famille. Mais je ne serai heureux que lorsque je les aurai tous vu partir à l’étranger. Dans ce pays, dans 15 à 20 ans, les noirs domineront les blancs. »

  • Pour Steven Patrick Morrissey, l’immigration a rendu Londres atroce et y a détruit la civilisation

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    L’ancien chanteur du groupe britannique The Smiths, a donné un entretien très politiquement incorrect au journal New Musical Express.

    Il explique ne plus reconnaitre Londres, ville rongée par le politiquement correct où dénoncer l’immigration fait passer pour un raciste:

    Londres est au deuxième rang après le Bangladesh au niveau du nombre d’attaques à l’acide. Toutes les attaques proviennent d’individus non-blancs, et donc ce problème ne peut pas être traité de manière honnête par le gouvernement britannique ou la police ou la BBC en raison du politiquement correct. Ce que cela signifie, c’est que l’auteur de l’attaque est considéré comme une victime. Nous vivons à l’âge de l’atrocité.

    https://fr.novopress.info/

  • TOULOUSE : L’EMBRASEMENT DU MIRAIL S’ÉTEND À D’AUTRES VILLES DE LA RÉGION

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    Le feu couvait. Il prend. À Toulouse, bien sûr, où l’on en est à la quatrième nuit d’émeutes ou de violences urbaines : voitures brûlées, police prise pour cible par des caillassages. Jusque-là, on se dit : bon, c’est le Mirail. Après tout, les premières émeutes, c’était il y a vingt ans. Pas étonnant que ça prenne cette dimension. Et puis, mercredi, préfecture et mairie nous disaient que la situation était « sous contrôle ». Sauf que, dans la nuit de mercredi à jeudi, des émeutiers ont remis ça : selon une source policière, une quinzaine de voitures auraient encore été brûlées, et plusieurs personnes arrêtées. Le maire de Toulouse, M. Moudenc, s’est sans doute réjoui un peu vite, dans Le Point.

    Mais l’onde semble désormais dépasser quelques barres d’immeuble d’un quartier sensible de Toulouse. En effet, depuis quelques jours, on dénombre le même type de violences urbaines dans des villes plus petites de la région. À Agen, dans les quartiers Montanou et Rodrigues, un bus a été caillassé, une voiture brûlée et des conteneurs poubelle incendiés. À Auch aussi, dans le Gers, des conteneurs ont également été incendiés. Il faut dire que ces préfectures des départements limitrophes de la Haute-Garonne constituent le réseau secondaire des trafics toulousains.

    Mais on a aussi constaté que le feu se propageait à des villes plus petites encore. Et à petite ville, petit feu. Mercredi soir, à Villeneuve-sur-Lot, près de l’ancien hôtel de ville, tout près de la sous-préfecture et de la rue des Cieutats, un matelas a été incendié. Petit feu sans gravité, certes. Mais dans un quartier qui a vu, cet hiver, une dizaine de voitures incendiées. Et ce n’était pas un incendie accidentel car une grande inscription hostile à la police était taguée sur un rideau de fer voisin. Il est vrai que, tous les soirs, cette rue est « tenue » par de jeunes trafiquants en liaison avec leurs collègues du Mirail.

    Ce petit « acte d’incivilité » a été commis quasiment en face de la permanence du député LREM de la circonscription, M. Damaisin. Quand il l’a inaugurée, il expliquait son choix par « une réelle volonté d’installer ma permanence en plein cœur de ville ». Mais hier soir, sa petite ville avait elle aussi son petit incendie, comme au Mirail…

    http://www.bvoltaire.fr/toulouse-lembrasement-mirail-setend-a-dautres-villes-de-region/

  • I-Média#197 : Loi asile immigration : minage médiatique