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anti-national - Page 686

  • L’ennemi mondial n° 1 par Georges FELTIN-TRACOL

    RA59.jpgEurope Maxima est heureux de présenter l’éditorial du n° 58 de Réfléchir & Agir disponible dans les bons kiosques. Avec ce numéro, les abonnés ont reçu un excellent n° 3 du hors-série consacré aux « Révolutions nationales en Europe au XXe siècle ». Une belle raison pour s’abonner et en plus, vous irez contre le politiquement correct !

    Le 29 novembre 2017, la Corée du Nord réussissait le tir d’un missile balistique intercontinental. Malgré de lourdes sanctions économiques votées par le Conseil de sécurité du « Machin » et des actes répétés de piraterie dans les eaux internationales par les marines occidentales, Pyongyang est désormais capable de frapper la plupart des métropoles d’Amérique du Nord.

    Vers la guerre ?

    L’événement marque l’échec total des pressions de Washington. Peu habituée à ce qu’on lui résiste, l’ambassadrice yankee à l’ONU, la pornographe politique Nikki Haley, aimerait bien nucléariser préventivement la Corée du Nord. Plus réalistes et conscients du prix élevé en pertes humaines, le Pentagone et le Département d’État recourent plutôt au pragmatisme.

    Pourtant, quelques jours plus tôt, ce même Département d’État inscrivait dans sa liste des États terroristes la Corée du Nord. Il est vrai que depuis plus d’un siècle, les troupes nord-coréennes ont envahi Haïti, Cuba, le Nicaragua, le Mexique, l’Irak, l’Europe et l’Indochine, renversé plusieurs gouvernements d’Amérique latine, atomisé deux villes japonaises, financé les talibans afghans, armé Ben Laden et instruit certains éléments de Daech.

    Une action défensive

    Victime depuis 1945 de la vendetta aveugle des États-Unis, la Corée du Nord s’est hissé au prix de sacrifices considérables au rang de puissance nucléaire mondiale. Contrairement aux déchets politiques vicieux et corrompus de Washington, les dirigeants nord-coréens ne veulent pas soumettre le monde à leurs bottes. La République populaire démocratique de Corée – une vraie république, celle-là – entend rester libre, souveraine et indépendante, dégagée de l’emprise de la prédation bancaire et de l’endettement.

    Cette étonnante résistance ne peut qu’agacer les va-t-en-guerre occidentaux bien incapables de maintenir le moindre ordre public chez eux. La Corée du Nord ne menace pas la paix mondiale. La vraie menace vient plus que jamais du pandémonium multiracial pourri d’Amérique du Nord. Les Yankees devraient dénucléariser en premier. Ils ne le feront pas. Ces gangsters préfèrent intimider les peuples qui leur résistent. Plus que jamais, il serait urgent que toutes les nations de la planète interdisent enfin aux États-Unis d’entreprendre la moindre politique étrangère.

    Georges Feltin-Tracol

    http://www.europemaxima.com/lennemi-mondial-n-1-par-georges-feltin-tracol/

  • Contre l'implantation des éoliennes, Alban d'Arguin fait un tabac en Haute-Saône.

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    Alban d'Arguin, "l'homme tranquile qui fait la chasse aux éoliennes et qui rassemble des foules", selon l'expression d'un observateur avisé, peut se targuer d'avoir parfaitement répondu à cette définition vendredi soir à Fallon en Haute-Saône cliquez ici où il donnait une conférence sur l'escroquerie éolienne.

    Près de 200 personnes, parmi lesquelles de nombreux élus locaux, sont en effet venues écouter son réquisitoire argumenté contre ce fléau dangereux, onéreux et, surtout, inutile.... Il faut dire que Fallon, situé entre Vesoul et Montbelliard, est particulièrement menacé puisque un projet d'implantation d'un parc éolien (projet soutenu par quelques édiles locaux peu scrupuleux) risque fort de défigurer définitivement cette charmante petite commune jusque là si paisible et entourée paysages bucoliques.  

    Mais les saccageurs ont sous-estimés la détermination des habitants qui n'entendent pas voir leur ravissant cadre de vie sacrifié (en échange de quelques promesses de pitoyables subventions hypothétiques) sans réagir. Une association particulièrement dynamique, présidée par M. Luc Vermot-Desroches, a été créée. Parmi ses animateurs, on retrouve notre ami Daniel Cavaloti, très apprécié dans la région, qui a eu la riche idée de faire inviter Alban d'Arguin pour présenter son livre "Eoliennes un scandale d'Etatcliquez ici afin d'éclairer les habitants de Fallon, d'Abbenans, l'autre commune menacée, et ceux des villages avoisinants sur ce qui les attend.

    Si l'on en juge par les applaudissements, le nombre de livres vendus et par les témoignages, parfois émouvants, du public, cette conférence à été appréciée et à permis à un grand nombre de participants de mieux comprendre ce qui se trame dans leur dos... 

    Après la réussite de la réunion de Vervin (Aisne), au début du mois de février cliquez ici et avant celle de Bordeaux le 26 avril prochain cliquez là, cette étape en Franche-Comté prouve que les Français sont de plus en plus nombreux, surtout lorsqu'ils sont directement concernés, à prendre conscience de la supercherie dont ils sont les victimes.

    Le combat contre les éoliennes n'est pas seulement un combat pour préserver la beauté de la France, c'est aussi et surtout un combat contre les prédateurs de la finance apatride qui s'enrichissent sur le malheur de nos compatriotes. C'est donc au nom du "beau", du "bien" et du "vrai" qu'il doit être mené. Tels sont les axes du livre d'Alban d'Arguin.

    Synthèse nationale

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    Alban d'Arguin, Mme Edwige, conseillère municipale, et le Président Luc Vermot-Desroches présentant la réunion.

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    Notre ami Daniel Cavaloti, avec son franc parlé, répond à un participant aveuglé par les promesses du consortium éolien.

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    Parmi les nombreux élus présents dans la salle, Christophe Devillers, conseiller municipal de Romchamp et délégué départemental du Parti de la France (ici avec Roland Hélie) est venu en "presque voisin"...

    Dans quelques jours, le film de la conférence d'Alban d'Arguin sera en ligne...

  • La secte LGBT refuse que l'on aide les personnes homosexuelles. Les députés FN votent contre

    L'Union européenne a condamné les thérapies pour aider les personnes ayant des tendances homosexuelles. C'est une vieille revendication de la secte LGBT : comme toute secte, elle refuse que ses membres puissent aller sous d'autres cieux. Mgr Aillet en a fait récemment les frais avec 2 conférences de l'association Courage, association destinée à aider les personnes ayant des tendances contre-nature à se corriger.

    Le 1er mars, lors du vote d'un texte sur la situation des droits fondamentaux dans l'UE, les eurodéputés ont eu à se prononcer sur deux amendements (8 et 11). Ceux-ci précisent :

    «(Le Parlement européen) se félicite des initiatives interdisant les thérapies de conversion pour les personnes LGBTI et la pathologisation des identités transsexuelles ; prie instamment tous les États membres d’adopter des mesures similaires qui respectent et défendent le droit à l’identité de genre et l’expression de genre.»

    Le texte a été adopté à une large majorité (435 voix pour, 109 voix contre et 70 abstentions), mais heureusement, il n'a pas de valeur contraignante. 34 eurodéputés français du Front national (FN), des Républicains (LR), des centristes de l'UDI, ou indépendants ont préféré s'abstenir ou voter contre cet amendement (mais Florian Philippot et Sophie Montel ont corrigé leur vote ensuite). Les voici :

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    Les 19 eurodéputés LR, dont Rachida Dati et Nadine Morano, se sont majoritairement abstenus. Seuls trois d'entre eux ont voté «pour» l'interdiction des thérapies de conversion, comme l'indique le compte rendu de vote. Aucun n'a voté contre. Brice Hortefeux, qui a d'abord voté pour l'interdiction, a finalement corrigé son vote et décidé de s'abstenir. Après le scrutin et les nombreux harcèlement sur les réseaux sociaux, certains élus LR ont décidé de corriger leur vote, passant de l'abstention à un vote favorable. C'est le cas de Michèle Alliot-Marie ou de Geoffroy Didier. 

    Au FN, consigne a été donnée de voter contre cet amendement. Nicolas Bay, coprésident du groupe ENL, explique :

    «Nous avons en effet voté contre ces deux amendements déposés par des députés d'extrême gauche, en raison de leur formulation qui participe de cette idéologie du genre que nous combattons. Le fait que ces deux amendements soient strictement identiques prouve d'ailleurs qu'il s'agit d'un copier-coller dicté par le lobby "LGBTI".»

    Enfin, le vice-président du FN met aussi en avant «le principe de subsidiarité trop souvent bafoué» et conclut :

    «Nous avons refusé de céder à une nouvelle tentative de chantage communautariste.»

    Le député frontiste Christelle Lechevalier ajoute :

    «Nous rejetons tout dogmatisme sur les questions d’identité de genre et autres concessions communautaristes».

    Marie-Christine Arnautu indique :

    «Si les "thérapies de conversion" se traduisent par des violences physiques et/ou morales, elles sont évidemment condamnables au même titre par exemple que les viols. En revanche, s'il s'agit d'interdire des activités de conseil librement consenties visant à aider les personnes LGBT qui, pour des raisons religieuses ou non, le désirent, alors les interdire va à l'encontre de leur propre liberté individuelle».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Affaire Ramadan : l’usurpation de titres universitaires par l’islamologue était connue depuis 2009

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    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    C’est une affaire dans l’affaire. Après les accusations de viols dont il fait l’objet depuis quelques mois, Tariq Ramadan est au centre d’un nouveau scandale : avant d’être nommé professeur à Oxford, l’islamologue suisse s’est présenté en tant que professeur de philosophie et d’islamologie à l’Université de Fribourg. De faux titres, comme le précise un récent communiqué de l’université de Fribourg.

    Le système fait semblant de découvrir que Tariq Ramadan est un usurpateur, alors que cette fraude avait été dénoncé dès 2009 devant une commission parlementaire française. En vain : à l’époque, Ramadan et ses soutiens qataris étaient intouchables.

    Les malheurs de Frère Tariq pourraient indiquer une inflexion du rapport de force à l’intérieur de l’islam sunnite entre les wahhabites soutenus par l’Arabie Saoudite, et les Frères musulmans soutenus par le Qatar.

    Alors que le royaume saoudien peut s’appuyer sur ses traditionnels alliés américains et israéliens, son rival qatari semble quant à lui de plus en plus isolé sur la scène internationale.

    https://fr.novopress.info/

  • GABRIELLE CLUZEL : « LA JOURNÉE DE LA FEMME NE SERT RIGOUREUSEMENT À RIEN ET EST FONCIÈREMENT HYPOCRITE »

    Gabrielle Cluzel, auteur du livre Adieu Simone ! Les dernières heures du féminisme, estime que la Journée internationale de la femme ne sert à rien et est foncièrement hypocrite.

    Nous célébrions la journée de la femme ce 8 mars. A quoi sert la journée de la femme selon vous ?

    La journée de la femme ne sert rigoureusement à rien. Je l’appelle d’ailleurs la journée de la flemme. J’ai la flemme en effet de voir égrainer ces hypocrites hommages, ces initiatives dérisoires, et ces délires un peu baroques.
    Je constate qu’on a abandonné le rouge à lèvres cette année. Je m’attendais à une barrette dans les cheveux de la part des hommes ou à des soutiens-gorges rembourrés. Mais apparemment, il n’y a pas eu grand-chose.
    Libération a soldé ses numéros pour ces pauvres filles qui n’ont pas de sous. C’est assez dérisoire. Je pense que c’est inutile, voire vaguement inquiétant. C’est un peu comme les baleines, lorsqu’on commence à avoir sa journée, c’est qu’on est une espèce en voie de disparition. Même si tous les hommes de la Terre se promènent avec une nageoire dans le dos, la cause des cétacés en voie de disparition ne se sera pas pour autant améliorée.
    Soyons clairs, cette journée ne sert à rien et elle est foncièrement hypocrite. 

    Si les baleines sont une espèce menacée, diriez-vous que la femme aujourd’hui est menacée ?

    C’est évident. La femme est belle et bien menacée. Et le féminisme ne fait absolument rien pour la défendre, bien au contraire. On veut faire de la femme un homme comme les autres. Elle ne le sera évidemment jamais donc on veut la rendre parfaitement insatisfaite. Pour cela, on la dépossède peu à peu de tous les contours qui font son identité. On les dénigre. Je pense notamment à la maternité. Tout ce qui fait sa féminité n’est jamais mis en valeur. Tout cela est tout à fait décrié.
    Je lisais récemment sous la plume d’une philosophe, Olivia Gazalé, que la cause des femmes devait se réduire finalement à la cause de l’oppression des pénétrants contre les pénétrés. Cela la rapprocherait des mouvements LGBT, si j’ai bien compris son livre.
    On est très loin de la cause de la femme. Tout cela va vers un mouvement général d’indifférenciation, il n’y a plus de frontières, plus de limites, plus d’identités et plus de différences entre l’homme et la femme.
    Je dis souvent que le féminisme n’aime pas la femme, contrairement au perfectionniste qui aime la perfection, l’illusionniste qui aime l’illusion, le djihadiste qui aime le djihad. Le féministe n’aime pas la femme, ou alors il l’aime à la façon d’un conjoint pervers narcissique. C’est-à-dire qu’il l’aime en la dénigrant sans arrêt, en lui disant que son voisin, l’homme, est bien mieux, qu’il a de beaux attributs et que sa vie est bien plus fantastique. Tout cela ne risque pas d’épanouir la femme.
    Cessons de nous ennuyer avec la Journée de la femme.
    Je crois qu’il faut aussi que la femme occidentale arrête de regarder son nombril. Je lisais que le Pape François avait récemment accueilli la famille d’Asia Bibi et une jeune femme qui avait été enlevée par les djihadistes de Boko Haram. Il s’agit là de femmes vraiment persécutées. Pour le reste, je crois qu’il faut garder un peu de dignité.

     Ecrivain, journaliste Son blog 
  • MAIS IL EST NOIR !

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    « Je crois que la ligue de Matteo Salvini est un rempart important contre le racisme. La discrimination apparaît justement quand l’immigration clandestine se répand, en ce qu’elle est l’antichambre de l’injustice sociale et de l’insécurité. Plus de faux réfugiés arrivent – je parle d’eux ainsi car très peu d’entre eux fuient véritablement la guerre – et plus le chaos s’amplifie dans le pays, ce qui a justement pour conséquence tous ces comportements racistes. » » Ainsi parle Toni Iwobi, le premier sénateur… noir de la République italienne, élu dimanche dernier pour le parti de la Ligue – la Lega – menée par Matteo Salvini. On a tellement lu et entendu partout, en Italie et en Europe, que la Ligue est un parti d’extrême droite-xénophobe-raciste, et un peu beauf, il faut bien le dire, que l’on se dit, un petit sourire en coin, que ce Toni Iwobi a tout d’un alibi sorti du chapeau in extremis au début de la campagne électorale par ce gros filou de Salvini. On vous laisse en juger.

    Arrivé en Italie en 1976 avec un permis de séjour pour poursuivre des études – il est, alors, ingénieur en informatique –, Toni Iwobi, catholique d’origine nigérienne et issu d’une famille de dix enfants, cumule les petits boulots (plombier, éboueur) pour s’en sortir. Il s’établit à Bergame et milite dans les rangs de la Ligue lombarde dès les années 90, attiré par leur approche du fédéralisme. Conseiller communal de la ville de Spirano dès 1995, il devient le responsable… Immigration et Sécurité du parti en 2014, au début de l’ère Salvini. À tous ceux qui seraient tentés par un raisonnement binaire et fallacieux – les anti-migrants sont tous racistes -, il répond tranquillement que « ce n’est pas du racisme de défendre la culture, les traditions, les frontières, c’est du bon sens ».

    C’est peu dire qu’il s’est attiré de solides inimitiés à gauche, qui voient évidemment en lui un traître. Un député italien de gauche, Jean-Léonard Touadi, lui aussi d’origine africaine, a pu dire de Tony Iwobi qu’il était atteint « d’une forme de syndrome de Stockholm, servant ainsi de caisse de résonance à ses geôliers ».

    Un tombereau d’insultes se déverse régulièrement sur lui, car celui dont le slogan de campagne était « Stop à l’invasion » bouscule trop d’idées reçues. Il lève le coin du voile de la gigantesque supercherie « buonista » de la gauche italienne pro-migrants, qui « est la cause des milliers de morts en mer, des menaces à la sécurité du pays, et de fortes tensions sociales », lâche-t-il lors d’une interview à Affari Italiani. Car l’immigration, lui, il sait ce que c’est : « C’est une chose sérieuse, elle est fondée sur le travail et sur la volonté personnelle de s’intégrer. »

    Il y a deux jours, Mario Balotelli, ancien joueur de foot de l’équipe de Milan, d’origine africaine lui aussi, s’est lâché sur Instagram en publiant un post pour le moins douteux à propos du nouvel élu de la Ligue : « C’est moi qui suis aveugle ou on ne lui a pas dit qu’il était noir ? »

    En italien, on appelle ça un autogoal.

    http://www.bvoltaire.fr/mais-il-est-noir/

  • Le dîner du CRIF à 900 euros le couvert déductible d’impôts

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    Comme nous l’avions annoncé, le 7 mars au soir s’est tenu, en présence du président de la république Emmanuel Macron, le 33ème dîner annuel du CRIF. Le lieu ? La pyramide du Louvre. Ça ne s’invente pas…

    Le couvert était facturé 900 euros ! Habilement, le CRIF présente la facture du dîner en signalant que 800 euros seront considérés comme un don ouvrant droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %.  Ainsi, les participants-donateurs peuvent potentiellement déduire du fisc 528 euros. Les contribuables sont de cette manière mis à contribution pour financer la soirée du CRIF.

    Seuls les 100 euros restants correspondent véritablement au prix du repas.

    Mais le vice-président du Crif, Yonathan Arfi, tient à préciser que de nombreuses personnalités (ministres, religieux, diplomates, députés, maires, politiques…) sont invitées et ne versent ainsi pas un centime au bénéfice du CRIF. On verserait presque une larme devant tant de générosité désintéressée.

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    Le dîner du CRIF a été instauré en 1985. «L’ambition de l’organisation créée en 1943 est clairement affichée: il s’agit de porter la voix politique des juifs de France et d’instaurer un dialogue avec les pouvoirs publics. Dès sa création, le Crif a voulu s’inspirer de l’exemple américain de l’American Jewish Committee pour exister en tant que lobby.», lit-on sur le site de la chambre de commerce franco-israélienne.

    «C’est un moment de rencontre et de dialogue entre les institutions juives et les responsables politiques», confirme au Figaro Hervé Mariton, député-maire Les Républicains de Crest (Drôme), et lui-même de confession juive.

  • « Fake news » : la proposition de loi est prête, par Pierre Malpouge

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    9068-20180310.jpgLa future loi contre les « fake news » (fausses informations) est dans les tuyaux. Diffusé mercredi, le texte de cette future proposition de loi voulue par un Emmanuel Macron qui ne supporte pas « le bobard inventé pour salir », vise à endiguer leur diffusion, spécialement lors des périodes électorales. Le texte, qui prévoit des sanctions pouvant aller jusqu’à un an de prison et 75 000 euros d’amende, comporte deux parties : une proposition de loi classique et une proposition de loi organique.

    Le texte prévoit que durant les périodes d’élections, les obligations de transparence des plateformes comme Facebook, Twitter ou encore Google et YouTube, soient renforcées. Le code électoral sera modifié pour obliger les opérateurs, pendant cette période, à donner une information « loyale, claire et transparente » sur l’identité de ceux qui payent pour promouvoir des contenus d’information, et « à rendre public le montant des rémunérations » (à partir d’un certain seuil) fixé par décret. A noter que ces dispositions pourraient – devraient – s’appliquer dès les élections européennes.

    Comment ça marche(ra) ?

    Si « des fausses informations de nature à altérer la sincérité du scrutin à venir sont diffusées artificiellement et de manière massive », le juge des référés pourra être saisi « à la demande du ministère public ou de toute personne ayant intérêt à agir ». Ce dernier pourra alors se prononcer « dans un délai de 48 heures » et ordonner le déréférencement du site visé, le retrait du contenu en cause ainsi que l’interdiction de sa remise en ligne, la fermeture du compte d’un utilisateur ayant contribué de manière répétée à la diffusion de ce contenu. Maître absolu, le juge, qui qualifiera la fausse nouvelle, pourra même ordonner le blocage d’accès au site Internet.

    Une mainmise liberticide qui devrait s’étendre hors périodes électorales. Ainsi, il est demandé aux plateformes de coopérer et de mettre en place un « dispositif facilement accessible et visible, permettant à toute personne » de signaler les fausses informations, et de « rendre publics les moyens qu’elles consacrent à la lutte contre la diffusion de fausses informations ».

    Par ailleurs, un autre volet du texte prévoit d’étendre les pouvoirs du CSA en modifiant la loi de 1986 relative à la liberté de communication. Le CSA pourrait alors refuser de conventionner une chaîne de télévision « lorsqu’elle est liée à un Etat étranger dont les activités sont de nature à gravement perturber la vie de la nation » – disposition qui fait notamment référence aux médias russes RT et Sputnik avec lesquels Emmanuel Macron avait eu des démêlés lors de sa campagne présidentielle.

    Pour Françoise Nyssen, la ministre de la Culture, cette mesure phare qui sera déposée « dans quelques semaines » par un député de la commission culture, « c’est une loi nécessaire pour protéger notre démocratie contre les ingérences extérieures ». Reste à appliquer tout ça : l’avocat socialiste Jean-Pierre Mignard, spécialiste du droit de la presse et intime de Hollande, Valls, Ségolène Royal et Emmanuel Macron, estime que « cela promet de ne pas être évident ».

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 9 mars 2018

    https://fr.novopress.info/

  • "L’avènement de l’Islam dans de nombreux quartiers sonne le glas de la liberté des femmes"

    6a00d83451619c69e201b8d2e0d2e8970c-800wi.jpgDe Mylène Troszczynski, Député européen du groupe ENL :

    "Depuis l’affaire Weinstein, c’est la « Journée de la femme » tous les jours. Et c’est tant mieux ! Lancée en 1911, cette journée est désormais solennisée annuellement à grand renfort de publicité. Souvent détournée à des fins mercantiles ou politiciennes… en général très sexistes, elle est devenue l’occasion d’opérations marketing de grande ampleur. Cette année, Emmanuel Macron ira dans une entreprise « exemplaire » en matière d’égalité professionnelle. Édouard Philippe, quant à lui, organise un comité interministériel spécial « Journée des droits des femmes » au musée Marie-Curie. Il apparaît clairement que c’est un passage obligé.

    Mais en faire un peu trop, n’est-ce pas desservir la cause ? Car qui peut croire que la défense du droit des femmes nécessite en permanence de les opposer aux hommes ? Fonder son action sur un prérequis ségrégationniste, c’est la disqualifier de fait. Or, l’égalité homme-femme passe par la complémentarité et non par l’oppostion. Nous devrions refuser de faire de la femme un homme comme les autres. Loin de toute indifférenciation délétère, la femme devrait pouvoir participer à la vie de la cité en étant considérée avec toutes ses spécificités. Actrice de la vie économique ou leader de l’organisation sociale, son rôle et ses qualités ne sont plus à démontrer. Elle a, d’ailleurs, été un acteur très actif de toutes les réformes de ces quarante dernières années.

    Depuis quelques années se fait malheureusement jour une ombre que les féministes bon teint taisent consciencieusement et qu’il est urgent d’aborder. Il s’agit du droit des femmes des « quartiers » qui recule de jour en jour sous le poids de l’immigration massive et incontrôlée. Ces populations qui ne portent pas sur nous un regard occidental viennent dans notre pays en y imposant leurs interdits. L’avènement de l’islam dans de nombreux quartiers sonne le glas de la liberté des femmes qui n’y ont plus guère de droits. Considérées comme de simples marchandises, elles peuvent être mariées, sanctionnées, répudiées… Les contraintes vestimentaires ou religieuses en plein essor que nous pouvons observer ne semblent, curieusement, pas attirer l’attention des plus virulents chantres de la libération féminine. C’est subtil, le féminisme vivre-ensembliste… [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La France se défait [2]

    Quelques réflexions, encore, sur la France qui se défait, entre bien d'autres facteurs, par la démographie et l'immigration. Sans-doute est-ce là ce qui se voit, se ressent, avec la plus grande netteté. Et suscite cette « formidable colère » que nous voyons monter partout en Europe.

    Nous ne sommes pas seuls à le penser. Les sondeurs, pourtant si volontiers conformistes, le reconnaissent : malgré la pression des médias, à vrai dire leur propagande, deux tiers des Français considèrent qu’ « il  y a trop d'étrangers en France ». Tout un monde de personnalités, d'auteurs, d'intellectuels, de journalistes, appréciés de l’opinion, tirent la sonnette d'alarme, s'expriment dans les médias, ces derniers ne peuvent plus les ignorer parce que leur audience est grande, que leurs livres connaissent le succès. Et que leur présence sur les plateaux de télévision, ou dans les studios de radio, fait grimper l'audimat. Inutile de citer leurs noms : ils sont connus de tous. En quelque manière, ils ont brisé, sinon l’hégémonie culturelle et politique de la gauche, du moins le mur du silence et du mépris. Au point que les politiques doivent désormais en tenir compte. Ou faire semblant. Ainsi de la déclaration d'Emmanuel Macron, à la suite des élections italiennes dont le résultat le plus clair est l'euroscepticisme et le refus de l'immigration. Largement majoritaires. « Il faudra en tenir compte » a dit laconiquement le Chef de l'Etat. C'est évident ! 

    Nous ne sommes pas seuls non plus en Europe et dans le monde, à nous alarmer des conséquences de l'immigration massive. On sait qu'avec Donald Trump l'Amérique entend à la fois la freiner et la choisir. Ne nous y trompons pas : le slogan « America first » répond au vœu de l'Amérique profonde. Une bonne partie de l'Europe refuse aussi l'immigration massive (les pays de Visegrad, l'Autriche ...). En Allemagne même, un courant grandissant - pas seulement l'AfD - en fait autant. L'Italie à son tour, vient de marquer son choix. A vrai dire, l’afflux massif des migrants est devenu la préoccupation citoyenne centrale en Europe. Elle fait éclater les forces politiques traditionnelles et contredit l’idéologie dominante. Elle la déstabilise. Un grand basculement des politiques migratoires européennes pourrait bien s'imposer à terme... 

    La natalité française - et plus encore celle de nos voisins - faiblit, les démographes s'en alertent ; la proportion de vieillards augmente ; au contraire, les courants migratoires ont été et demeurent massifs. Les jeunes y sont nombreux. Et souvent haïssent la France ou même la combattent. Eventuellement, les armes à la main. La faiblesse de notre démographie autochtone comparée à la puissance invasive des populations immigrées nourrit leur volonté de domination. L'on nous serine que nous avons accueilli ces deux dernières années beaucoup moins de réfugiés ou de migrants que nos voisins. Mais on ne nous dit pas combien s'étaient déjà établis chez nous depuis quarante ans. Les Français le savent. 

    De sorte que le remplacement progressif de ceux que Finkielkraut appelle drôlement les « souchiens » par des populations principalement africaines ou proche-orientales et très généralement musulmanes est en train de s'opérer. A terme donc, si rien n'est fait pour s'y opposer, quelques décennies suffiront pour que, selon la formule du général De Gaulle, la France ne soit plus la France.  Et ce sur le triple plan du peuplement, de la culture et des mœurs qui s'en trouvent déjà lourdement transformés. Ce n'est pas notre vocation ici d'accepter cette perspective d'un cœur léger. 

    On a parfois abusé â l'Action Française de la formule de Bainville : « la France c’est mieux qu'une race, c’est une nation ». Mais il écrivait en un temps où la France n'avait guère connu que des migrations intra-européennes et encore dans des proportions qui n'avaient pas vraiment entamé le vieux fond celtibère et gallo-romain qui constituait l'essentiel de la population française jusqu'à la deuxième moitié du siècle dernier. Bainville et Maurras n'ont pas eu à juger du danger qu'eût représenté pour la France une invasion semblable à celle que nous vivons. Nous doutons fort qu'ils l'eussent acceptée sans broncher. 

    Un courant d'inspiration chrétienne voudrait par ailleurs nous faire accroire qu'une France en grande partie peuplée d'Africains et d'Orientaux, serait acceptable si ces derniers - hypothèse sans vraisemblance - étaient catholiques. Nous ne sommes pas d'accord. Fussent-ils catholiques, nous les préférons chez eux. La France ne serait plus la France si elle avait les couleurs, l'esprit, les mœurs de l'Afrique ou de l'Orient. Ce qui nous en différencie ne tient pas seulement à l'appartenance religieuse.  

    C’est la dose qui fait le poison. La France d'aujourd'hui se défait - entre autres causes - en raison d'une immigration dont la dose excessive devient un poison.  

    Il conviendrait donc si nous voulons survivre de la ramener au minimum incompressible et de la choisir selon nos intérêts et nos besoins. Car une certaine immigration qualitative pourrait être utile à la France et servir son rayonnement. Il faudrait en parallèle définir une politique de remigration efficace et rigoureusement appliquée : expulsion systématique des délinquants étrangers, des naturalisés, ou devenus Français par bénéfice du seul droit du sol, avec déchéance de la nationalité française pour ces deux dernières catégories ; réaménagement des droits sociaux (chômage, sécurité sociale, aides diverses) qui ne pourraient plus être équivalents à ceux des Français ayant cotisé pendant de longues années, ou, si ce n'est eux, leurs parents ou grands-parents. Le bénéfice des droits sociaux pour les nouveaux arrivants pourrait par exemple leur être accordé pro rata temporis de leurs années ou périodes de cotisation ; obligation de respecter les lois et coutumes françaises comme condition de résidence en France ... Une telle politique devrait être, s'il le faut, traduite juridiquement. 

    Nous savons bien que la France se défait de diverses autres façons. Qu'entre elles, elles interagissent et accélèrent le processus de délitement dont nous parlons. Nous savons encore que le mal est d'abord en nous-mêmes et que les insultes, les hauts-cris, à l'encontre des immigrés ne constituent pas une politique, sont vains et, en ce sens, déplacés.  

    Nous aurons à revenir sur tout cela. 

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