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anti-national - Page 685

  • Levée d'immunité parlementaire pour des commentaires laissés sur Facebook

    6a00d83451619c69e201bb09f0d922970d-800wi.pngSteeve Briois, député du Front national au Parlement européen, qui fait l'objet d'une plainte pour « injures publiques envers un particulier ». Le Parlement européen a levé (à mains levées) son immunité parlementaire.

    Un des conseillers municipaux de Hénin-Beaumont, dont Steeve Briois est le maire, lui reproche d’avoir laissé sur page Facebook des commentaires jugés injurieux. C’est le même conseiller, qui lui reprochait l’installation d’une crèche dans la mairie.

    Steve Briois déplore :

    « La justice française se ridiculise : on demande la levée de mon immunité pour des commentaires sur un Facebook dont je ne suis ni le rédacteur ni le directeur de la publication ». « Je vais évidemment gagner ce procès, mais on voit la priorité de la ministre de la Justice qui ferait mieux de s'occuper de l'explosion de l'insécurité dans notre pays. »

    Michel Janva

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  • ALEXANDRE DEL VALLE : « LES DJIHADISTES FRANÇAIS QUI VONT REVENIR VONT CONTINUER À NUIRE »

    Que faire des djihadistes français désirant rentrer en France ? La France doit-elle intervenir pour ses ressortissants qui seront condamnés à mort ? Est-il vrai qu’il est impossible de s’assurer de la sincérité du repentir d’un djihadiste ? Que va-t-il se passer lorsque sortiront de prison les djihadistes arrivés en fin de peine ?

    Alexandre Del Valle tente de répondre à ces questions.

    Que faire des jihadistes français qui désirent rentrer en France ?

    La question est très compliquée. Deux questions se posent. La première, la loi permet-elle de les condamner une fois rentrés ? Et la seconde, devons-nous les aider à rentrer ?
    Il y a ceux qui sont en train de rentrer et qu’on ne peut pas empêcher de rentrer. On va devoir les traiter. On ne pourra pas les mettre trente ans en prison. Dans un pays démocratique, on ne peut pas mettre quelqu’un en prison sans preuve manifeste de ses actes.
    Ceux pour qui nous avons une connaissance de leurs actes parce qu’ils ont été attrapés par les Kurdes, par les forces syriennes, irakiennes, ou autre, et qui nous sont remis par la Justice ou que l’on veut réclamer, là c’est un autre problème. Soit ils seront jugés sur place et certains seront même condamnés à mort. Dans ce cas-là, des forces de la culpabilisation et du multiculturalisme vont dire que c’est scandaleux de les laisser se faire tuer là-bas, même légalement. Soit, nous arrivons à les rapatrier et nous aurons des éléments pour les juger. Mais, pourrons-nous rapatrier des gens qui auront commis sur places des délits extrêmement graves ou des homicides? Les pays qui attraperont des jihadistes qui ont coupé des têtes ne les laisseront pas partir en France.
    On va donc retrouver soit des gens extrêmement rusés que nous ne pourrons pas déradicaliser, soit des gens contre lesquels nous n’aurons pas assez de preuves pour les mettre hors d’état de nuire. Et nous ne pourrons pas les déchoir de leur nationalité s’ils n’ont pas au moins une double nationalité.

    La Garde des Sceaux a néanmoins déclaré que si une condamnation à mort était prononcée contre un ressortissant français en Irak ou chez les Kurdes, la France interviendrait…

     

    Je ne suis même pas sûr qu’elle le pense. Aujourd’hui, le grand drame depuis la fameuse loi Badinter qui avait été votée suite à une plaidoirie de Badinter. Il disait « même un violeur ou un type qui a fait quelque chose de monstrueux ne mérite pas la peine de mort ».
    On est encore aujourd’hui dans cette optique. On n’est pas prêt de revenir en arrière.
    Au moment de l’abolition de la peine de mort, on disait que même un violeur d’enfant ou l’être le plus abject ne méritait pas la mort. Je ne vois pas aujourd’hui qui que ce soit faire marche arrière. C’est presque quelque chose d’aussi puissant que l’avortement.
    Aujourd’hui, on ne peut pas revenir ni sur l’abolition de la peine de mort ni sur l’avortement.
    On est donc condamné à l’hypocrisie. Je suis persuadé que cette ministre de la Justice, de même que les ministres de l’Intérieur, des affaires étrangères et même le président de la République, même s’il le pense comme Hollande l’avait d’ailleurs dit en privé, doivent probablement se féliciter s’il y a des exécutions extras judiciaires sur place soit par nos missiles, soit par des gouvernements locaux. Mais, en fait, il ne faudra pas que cela se sache.
    En revanche, s’il y a une condamnation légale à mort qui est prononcée dans ces pays, nous serons pratiquement obligés de faire croire qu’on veut leur rapatriement et qu’on veut commuer leur peine de mort en autre chose. Sinon, cela voudrait dire qu’on légalise le retour de la peine de mort. On est donc condamné à être hypocrite et à laisser faire tuer des jihadistes ou à les tuer nous-mêmes par des missiles sans aucun jugement et sans que cela soit officiel. Ce sera des accidents, des dommages collatéraux ou à notre insu.

    Le journaliste David Thomson a déclaré dans Le Figaro qu’il était impossible de s’assurer de la sincérité du repentir d’un jihadiste…Partagez-vous cette opinion ?

    Quelqu’un qui a étudié la pensée islamique, sans même forcément avoir été sur place, sait qu’il y a toujours eu la fameuse takia des chiites. La takia vient du chiisme, ce n’est pas sunnite. C’était un principe de survies en milieu hostile.
    Chez les sunnites, cela s’appelle la ruse de guerre.
    On peut aller très loin dans le mensonge quand c’est dans le but d’étendre ou de protéger l’islam ou du jihad qu’il soit offensif ou défensif. Sur ce point, il y a une très grande tradition et qui est difficile à déradicaliser. Ce droit au mensonge absolu peut aller jusqu’à jurer le contraire de ce qu’on est, avoir l’air rasé, fumeur de joints, buveur d’alcool, mangeur de porc. Une fille peut faire croire qu’elle est devenue tout à fait opposée au voile. La fameuse jihadiste bretonne d’origine alsacienne König récemment arrêtée par les Kurdes fait croire qu’elle est devenue moderne. Elle a jeté volontairement son voile en disant qu’elle ne demande plus à être voilée. Elle est en train de pratiquer une ruse de guerre et prépare son atterrissage en France. Elle pourra dire lorsqu’elle sera interrogée par les juges en France « Déjà là-bas, j’avais demandé à enlever mon voile dès que j’ai été libéré par les kurdes, car lorsque j’avais mon voile, j’étais prisonnière ».
    Ils ont une capacité à mentir que tous les spécialistes connaissent, le droit de la ruse absolue.
    Cela explique l’attitude du double jeu des terroristes soi-disant déradicalisés, mais aussi le double jeu d’un Tariq Ramadan ou des islamistes soft qui font croire qu’ils sont pour la laïcité et pour la République. Ils signent même des tribunes avec Edgar Morin en disant « vive la laïcité » , alors que toute leur idéologie, celle des Frères musulmans, est tournée contre la laïcité.
    Dans l’islamisme jihadiste comme dans l’islamisme soft, les deux étant islamistes, je ne parle pas des musulmans modérés, il y a cette tradition de duplicité et de ruse de guerre qui n’est pas un péché dans cette mentalité puisque c’est pour le bien de l’extension de l’islam.

    Il y a deux dangers latents. Ceux qui ont été emprisonnés avant le départ et ceux qui l’ont été à leur retour.
    Que va-t-il se passer lorsqu’ils sortiront de prison ?

    Il y a ceux qui vont sortir, parce qu’ils ont pris des peines courtes. D’un point de vue du droit, on ne peut pas faire autrement. Aucun chef d’accusation ne permet de susciter ou motiver trente ou quarante ans d’emprisonnement. On ne peut pas faire autrement sauf si on essaie de les éliminer sur place ou d’empêcher qu’ils reviennent.
    Nous allons donc avoir un potentiel, même s’ils ne reviendront pas tous, de revenants entre 700 et 2000 pour la France et entre 3000 et 5000 pour l’Europe. Certains vont continuer le jihad toute leur vie et d’autres sont déjà allés en Libye, en Irak ou au Yémen en partant de Syrie.
    En revanche, ceux qui vont revenir vont continuer à nuire. C’est une certitude, c’est comme les violeurs d’enfants, la plupart récidivent.
    D’autres sont frustrés et enragés comme des bêtes, car ils n’ont pas pu partir. On les a préventivement emprisonnés, on leur a mis des bracelets ou on les a empêchés de partir. Lorsqu’ils sont mineurs, on les a mis hors d’état de nuire. On a empêché leur départ vers la Turquie et vers la Syrie en coopération avec les polices européennes et turques.
    Aujourd’hui, on a les revenants enragés qui veulent continuer le combat pour compenser les pertes territoriales de Daech en Syrie ou en Irak et ceux qui ne peuvent pas revenir, car ils n’ont pas pu partir. Ceux-là ils sont encore plus enragés parce qu’ils étaient prêts à agir et on les a frustrés. Ils sont dans des prisons surpeuplées en contact de délinquants. Je vous laisse imaginer ce que devient un être humain qui sort d’une prison où il faut se battre tous les jours pour survivre, pour ne pas se faire brûler à la cigarette, se faire piquer son repas ou se faire violer dans les douches.
    Je ne veux pas faire le gauchiste ou le politiquement correct, mais c’est une question d’humanité.
    Les prisons en France, c’est pratiquement Midnight express. C’est absolument l’horreur pour certaines d’entre elles. La personne que vous mettez dedans ressort bien pire.
    Nous sommes donc absolument certains que les revenants ou les pas revenants qui n’ont pas pu partir sont des bêtes enragées qui vont récidiver et continuer à œuvrer à la radicalisation d’autres personnes en plus de mettre en œuvre leur propre radicalisation.
    Les psychosociologues en face de qui on les met pour les déradicaliser sont désormais totalement discrédités. Prenez Dounia Bouzard par exemple, elle a été bernée par la fille dont elle se vantait d’avoir œuvré à la déradicalisation. La déradicalisation est un échec total. Malheureusement, je ne vais pas faire l’apologie de cette voix, mais je vais vous dire ce que pense un général algérien que j’ai écouté récemment sur la radio publique algérienne:  «  un bon terroriste est un terroriste mort ».
    C’est un peu ce que pensent les Russes. Je ne dis pas que c’est ce que je préconise et ce que je pense. On ne peut pas le faire, car nous sommes dans un État de droit.
    Mais aujourd’hui, la meilleure chose est assurément qu’ils ne reviennent pas.

    http://www.bvoltaire.fr/djihadistes-francais-revenir-continuer-a-nuire/

  • Les trois théories féministes les plus absurdes par Florence Rault

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    La fameuse cérémonie des Golden Globes qui a vu se dérouler une pantalonnade assez ridicule témoigne des dérives actuelles du féminisme qu’en son temps, Élisabeth Badinter, dans son ouvrage Fausse route avait qualifié de « féminisme victimaire ». Il est devenu guerrier avec la guerre des sexes déclenchée par l’affaire Weinstein. Il vise à installer au premier plan un féminisme androphobe assumé et qui ne recule pas devant l’utilisation de la pensée magique. Le « patriarcat » est présenté comme une malédiction universelle, qui structure et organise toutes les sociétés humaines. L’heure n’est plus à la revendication d’une place égalitaire dans la société moderne, mais à une forme d’émancipation millénariste pour libérer non seulement les femmes mais, au-delà de l’espèce humaine, l’ensemble du règne vivant, de l’emprise du mâle humain.

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  • Le Havre : mobilisation contre l'ouverture d'une école coranique

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  • TF1 A BEAU FAIRE LA DANSE DU VENTRE, MENNEL IBTISSEM, LA CANDIDATE VOILÉE DE THE VOICE, A BIEN SOUTENU DES ISLAMISTES

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    J’imagine la scène d’ici. Dans l’IGH (c’est comme ça qu’on appelle la tour centrale de l’immeuble du Point-du-Jour à Boulogne, quand on bosse chez TF1), les réunions de crise doivent succéder aux crises de nerfs. Comment en est-on arrivé là ? Comment la première chaîne de France (et la plus grosse d’Europe) a-t-elle pu se retrouver à mettre en avant une certaine Mennel Ibtissem, laquelle s’est répandue durant des mois sur les réseaux sociaux en y tenant des propos aussi controversés que « Les vrais terroristes, c’est notre gouvernement » (1er août 2016) ou en retweetant des publications de Barakacity, organisation islamique dont le fondateur – fiché par la DGSI – refusa, un jour, de serrer la main des femmes sur un plateau de Canal+.

    Comment TF1 peut-elle maintenant gérer cette affaire ?

    Toute la première partie de la saison de « The Voice » est enregistrée, en boîte, « prête à diffuser ». Qu’en fait-on ? On ne peut pas faire disparaître la gênante demoiselle d’un coup de montage magique, comme on le fit avec « Incroyable Talent » sur M6 pour effacer Gilbert Rozon. Il aurait fallu y penser plus tôt. Maintenant, la France l’a vue…

    Le piège qui s’est refermé sur TF1 est celui du politiquement correct et du sacrifice à la coolitude : une jolie voilée, c’est tellement inclusif ! La diversité aux yeux bleus, c’est tout bénef, non ?

    Alors TF1 et la prod de « The Voice » ont bien essayé le bonne vieille méthode du petit père Joseph : on efface ! Ainsi ont été effacés dans l’urgence son compte Facebook personnel et son compte Twitter. C’est bien peu connaître le Net que de se fourvoyer dans de telles pratiques : tout avait déjà été capturé ! Et les captures, c’est comme les petits pains et les poissons, ça a tendance à se multiplier à une vitesse de folie. Résultat : les reflux gastriques de Mennel Ibtissem pullulent sur les réseaux.

    Par exemple, le 15 juillet 2016, le lendemain de l’attentat islamiste de Nice, la future candidate de « The Voice » tweetait sous le mot-dièse #PrenezNousPourDesCons en ironisant sur le fait que le terroriste (mot qu’elle entourait de guillemets !) avait sur lui sa pièce d’identité.

    « The Voice » est non seulement une émission très regardée, mais les dégâts perdurent bien après la conclusion de la saison : le lauréat est auréolé d’une aura qui lui donne une force d’influence majeure auprès d’une certaine jeunesse qui part aisément à la dérive. Ériger en idole une islamiste au cerveau broyé (le correcteur de Boulevard Voltaire va encore me dire que je fais un pléonasme), c’est un jeu dangereux.

    Deux questions restent maintenant en suspens :

    – N’y a-t-il personne, chez TF1, qui consulte les profils des candidats avant de les mettre en lumière ?
    – Que va faire TF1 ?

    Sur sa page Facebook professionnelle, qui a remplacé son profil personnel effacé, Mennel Ibtissem ne publie maintenant – taqiya aidant – que des appels à l’amour entre tous les êtres…

    Ben tiens, #PrenezNousPourDesCons.

    http://www.bvoltaire.fr/tf1-a-beau-faire-danse-ventre-mennel-ibtissem-candidate-voilee-de-the-voice-a-bien-soutenu-islamistes/

  • On n'encadre pas la GPA, on l'abolit !

    Communiqué de La Manif Pour Tous :

    6a00d83451619c69e201b7c94d1811970b-800wi.jpg"Alors que le fait d'abuser de la femme scandalise et mobilise enfin la planète entière, la France laissera-t-elle la Conférence de La Haye faciliter cette nouvelle forme d'aliénation qu'est la pratique des mères porteuses ?

    Quelle position défendra la France, patrie des droits de l'Homme, lors de la réunion organisée par la Conférence de La Haye sur la pratique des mères porteuses du 6 au 9 février 2018 ? Le Bureau Permanent de la Conférence de La Haye de droit international privé travaille depuis plusieurs années sur « les questions de droit international privés liées à la filiation juridique des enfants en particulier dans le cadre de conventions de maternité de substitution ». La France fait partie des Etats représentés au sein du groupe de travail dédié.

    Annonçant une nouvelle réunion sur ce sujet, prévue du 6 au 9 février 2018, la Conférence de La Haye présente de manière ambiguë la problématique de la gestation pour autrui (GPA, ou pratique des mères porteuses). Soulignant la diversité des législations nationales et les conséquences difficiles créées par la GPA, la Conférence de La Haye ne semble pas consciente de l'aliénation de la femme et de la réification de l'enfant inhérent à la pratique des mères porteuses, problèmes humains majeurs qu'elle n'évoque même pas.

    La Manif Pour Tous note d'ailleurs que parmi les 4 questionnaires réalisés par la Conférence de La Haye pour travailler sur ce sujet, pas un seul ne s'adresse aux associations et ONG - pourtant très nombreuses - qui défendent les femmes, les enfants et la famille. C'est au contraire aux agences de GPA, celles qui font du profit sur le dos des femmes et des enfants, que s'adresse l'un des questionnaires de la Conférence de La Haye (les autres s'adressant aux Etats, aux professionnels de la santé et aux civilistes). Comme ne cessent de le dire de très nombreuses associations et personnalités de tous bords philosophiques et politiques, le problème posé par la GPA est avant tout l'exploitation des femmes et le fait d'arracher des enfants à leur mère. Qu'elle soit gratuite ou payante n'y change rien : la pratique des mères porteuses réduit la femme au statut d'incubatrice et fait de l'enfant l'objet d'un contrat. Du point de vue de la dignité humaine, de la psychologie de la mère et de l'enfant, de la filiation transformée en puzzle ou encore de la marchandisation de l'humain, la GPA est une pratique contre laquelle tous les moyens possibles doivent être mise en œuvre pour la faire cesser.

    Ancien Premier ministre aujourd'hui député LREM, Manuel Valls déclarait le 3 octobre 2014 dans une interview de référence accordée au quotidien La Croix, « autoriser la transcription automatique des actes étrangers équivaudrait à accepter et normaliser la GPA. » Et il ajoutait : « il est incohérent de désigner comme parents des personnes ayant eu recours à une technique clairement prohibée... tout en affirmant qu'ils sont responsables de l'éducation des enfants, c'est-à-dire chargés de la transmission de nos droits et de nos devoirs. Il ne faut pas laisser dire non plus que ces enfants sont sans filiation ni identité. Ils ont une filiation et une identité, mais établies à l'étranger. »

    Le processus en cours à la Conférence de La Haye est dangereux parce qu'il est susceptible de conduire à avaliser les effets des contrats de GPA. Alors que depuis quelques semaines, les langues se délient et que le monde entier se mobilise contre les abus et violences faites aux femmes, la France laissera-t-elle la Conférence de La Haye faciliter cette nouvelle forme d'aliénation de la femme sous le mauvais prétexte de résoudre des questions de filiation créées par cette pratique ? Avant et après son élection à la présidence de la République française, Emmanuel Macron s'est à maintes reprises déclaré opposé à la GPA. Quelle intervention prévoit-il donc pour faire entendre une voix forte et assumée au sein du processus en cours à La Haye ?"

    Michel Janva

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  • ITALIE : UNE JEUNE FILLE DÉMEMBRÉE COMPTE MOINS QUE LES « MIGRANTS »

    Innocent-Oseghale-1024x598.jpg

    Le 31 janvier dernier, deux valises contenant le corps démembré d’une jeune fille de 18 ans, Pamela Mastropietro, étaient retrouvées sur le bord d’une route de la province de Macerata. Ayant préalablement été nettoyée à l’eau de Javel et une partie de ses organes génitaux manquants, les causes de la mort et une éventuelle violence sexuelle sont encore à déterminer. Ce que l’on sait, c’est qu’elle fut mutilée, découpée en morceaux et abandonnée comme de vulgaires ordures dans un fossé.

    Ce que l’on sait, c’est qu’Innocent Oseghale, le clandestin nigérian de 29 ans arrêté pour homicide volontaire, profanation et dissimulation de cadavre, ne devait plus se trouver sur le territoire italien, étant mêlé à des activités de trafic de drogue et son permis de séjour ayant expiré.

    Silence total des institutions de la République italienne.

    La colère s’exprime uniquement sur Internet, dernier espace de liberté en voie de restriction grâce à la fallacieuse lutte contre les « fake news » (qui n’est rien d’autre qu’une tentative de museler les canaux d’information et d’opinion qui échappent à la pensée unique). 

    Samedi 3 février, Luca Traini, un jeune homme de 28 ans de Macerata, ouvrait le feu sur une foule d’immigrés subsahariens, blessant grièvement six d’entre eux. Il est actuellement aux arrêts, avec l’accusation de « tentative de massacre aggravée par la finalité de racisme » et port illicite d’arme.

    Il serait banal, presque usant, de réitérer que, face au foisonnement de meurtres, viols et agressions de la part des migrants envers les autochtones qui les accueillent, qu’à cause des privilèges et de l’impunité dont ils jouissent souvent, un tel acte d’auto-justice était plus que prévisible.

    Tel n’est pas le sujet ici. Le sujet, c’est le tintamarre, outrageant, dérangeant, déplacé qui a eu lieu après. Car la réaction, tant attendue, du clan politico-médiatique est arrivée. Non lors de la découverte du corps dépecé de la jeune fille ou de l’arrestation de son boucher présumé. Non. L’indignation a été déclamée dans toute sa théâtralité lorsqu’un petit Blanc a tiré sur des immigrés : le ministre de l’Intérieur Marco Minniti se déplace aussitôt sur le lieu de la fusillade, rencontre les force de police, ordonne « une réponse ferme » ; le Premier ministre Paolo Gentiloni réunit une conférence de presse déclarant que « l’État sera particulièrement sévère envers quiconque alimente une spirale de violence » ; les intellectuels prennent le haut du pavé, accusant Matteo Salvini, de la Ligue du Nord, d’être le « commanditaire moral » de la fusillade.

    Mais pas un mot sur les moyens à mettre en œuvre afin d’éviter que des criminels, qu’ils soient trafiquant d’êtres humains, de drogue, assassins, violeurs ou de pauvres « victimes de mauvaises habitudes culturelles » (comme ils aiment à les voir), ne s’installent chez nous.

    Tant pis pour les autres Pamela, qui feront les frais de ce choc culturel en acte, en attendant que la magie occidentale qu’ils imaginent les transformant en « citoyens bien intégrés » ne porte ses fruits. Ce qui n’arrivera, de toute façon, jamais à l’intérieur de sociétés communautaristes comme les nôtres, où ils accéderont au confort matériel sans avoir à changer une once de ces mêmes « mauvaises habitudes culturelles ».

    http://www.bvoltaire.fr/italie-jeune-fille-demembree-compte-migrants/

  • Ouverture du procès du terroriste islamiste Salah Abdeslam en Belgique

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    Le procès de Salah Abdeslam doit s’ouvrir ce lundi en Belgique. Le seul survivant des commandos jihadistes qui ont attaqué Paris le 13 novembre 2015 (130 morts) sera jugé pendant quatre jours au palais de justice de Bruxelles.

    Au côté d’un complice, il comparaît pour sa participation présumée à une fusillade avec des policiers le 15 mars 2016 à Bruxelles, trois jours avant son arrestation. Ce jour-là, une équipe de policiers français et belges avait essuyé des tirs d’arme automatique en perquisitionnant un logement supposé vide, dans ce qui était présenté comme un acte de routine de l’enquête sur les attentats parisiens.

    Trois policiers avaient été blessés et un jihadiste algérien de 35 ans, Mohamed Belkaïd, tué en faisant face aux policiers pour couvrir la fuite de deux hommes, Salah Abdeslam et Sofiane Ayari, également présents dans la planque.

  • À CALAIS, UNE SEULE SOLUTION : LA REMIGRATION

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    Communiqué de Marie-Jeanne Vincent, Délégué du Parti de la France pour le Calaisis

    La ville de Calais a fait l’objet de violentes rixes entre clandestins afghans et africains. Le bilan est lourd : 21 blessés dont cinq par armes à feu. Cette poussée de violence fait suite à d’autres événements insupportables : agressions sexuelles, vols, attaques sur la rocade portuaire. 800 clandestins soutenus par des associations « humanitaires » composant avec les activistes de l’ultra gauche « anti fasciste » et le groupuscule No Border prennent en otage une ville de 77.000 habitants.

    La maire Les Républicains de Calais, Natacha Bouchart, sans doute éclairée par la lecture des tracts du Parti de la France, réclame enfin que des mesures soient prises contre les activistes et la présence des clandestins. Réaction tardive de la part de l’élue qui en 2014 avait autorisé l’installation d’un centre de jour sur des terrains municipaux et avait déclaré que les migrants étaient « une richesse culturelle ».

    Cette richesse rend la vie impossible pour les Calaisiennes et Calaisiens mais aussi pour les entreprises et les sociétés de transport. Face à cela que propose L’État : des CRS en plus.

    Le PdF du Calaisis a conscience que cela ne servira à rien. C’est pourquoi nous réclamons :

    - Un encadrement strict des activités des associations intervenant à Calais et un contrôle de leurs sources de financement ;

    - La dissolution des groupuscules antifa et no border qui disposent d’un local boulevard Lafayette ;

    - L’expulsion vers leurs pays d’origine de tous les clandestins, ces gens sont entrés illégalement sur le territoire français et la loi nous autorise à les renvoyer chez eux.

    Calais a besoin de mesures concrètes et non de saupoudrage ou d'effets de manche médiatique comme l’a été la venue du Président de la République, Emmanuel Macron. 

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  • BRIGITTE MACRON SE LA JOUE « PROF DE TERRAIN » ! ET MOI, JE SUIS LA REINE D’ANGLETERRE ?

    Face à sa dégringolade dans les sondages, le Président Macron, voyant que c’est tout le couple exécutif qui est entraîné vers le bas, a choisi de mettre en avant son autre couple. En fait peut-être aussi exécutif que le premier puisque la « première dame », qui bénéficie d’un statut et d’un budget, joue un rôle important et assumé dans le dispositif.

    Donc, après la Tunisie, le couple présidentiel s’est envolé pour le Sénégal pour un voyage centré sur les questions d’éducation.

    Occasion unique, et subtilement préparée, d’envoyer des cartes postales et des signaux à l’opinion publique française, segment par segment, comme sait si bien le faire la com’ macronienne.

    La carte postale ? C’est celle gracieusement fournie par BFM TV, mettant en scène Brigitte Macron parlant des bienfaits de l’éducation et délivrant son message optimiste, depuis l’île de Goré, avec en arrière-plan de jeunes écoliers sénégalais :

    « L’éducation, c’est être solidaire. C’est aider les autres. On ne s’éduque pas soi-même si on n’aide pas les autres à s’éduquer. Sans éducation, on ne s’en sortira pas. C’est véritablement la colonne vertébrale de notre société. […] Si on arrive à ce que l’éducation des filles et des garçons soit totalement répandue ici, on sera sorti d’affaire. »

    Des lieux communs et de l’optimisme, avec un clin d’œil à la mémoire de l’esclavage bien plus subtil que ceux de Hollande : efficacité assurée. MMe Macron ne fut pas professeur de théâtre pour rien.

    À vrai dire, elle aurait dû en rester là, notre première dame. Mais elle a voulu expliciter son rôle :

    « Quand je suis interpellée sur des sujets, j’en discute avec mon mari, et on voit comment faire au mieux. Souvent, je m’associe au ministre concerné, essentiellement la santé, le handicap, l’éducation… et comment agir ensemble. Et je dois dire que c’est beaucoup plus facile que je ne croyais.

    Eh oui, ça se passe comme ça, au gouvernement : Brigitte « s’associe au ministre concerné » pour l’aider à prendre des décisions… Drôle de République, tout de même, et l’on ne peut s’empêcher de regretter, puisque cela est si « facile » et que tout se passe si bien, que Brigitte ne se soit pas « associée » plus tôt à la pauvre Mme Belloubet dans sa gestion de la crise des prisons ou à M. Blanquer qui a attendu d’être réveillé par L’Express pour voir qu’il y avait le feu au lycée Galliéni de Toulouse. Et peut-être ailleurs.

    Pourtant, le métier de professeur, elle connaît vraiment, Mme Macron. Et d’ailleurs, elle nous gratifie d’émouvantes confidences, toujours grâce à BFM TV :

    « C’est marrant, je n’ai jamais l’impression que ma carrière soit derrière. Je reste prof, fondamentalement. Je n’ai pas voulu l’être, je le suis devenue par hasard, et je le suis restée. Je reste un prof, et quand je suis au milieu d’eux, je suis dans mon élément. »

    Aurait-on peur, en haut lieu, de la grogne des enseignants pour que la com’ présidentielle fasse ainsi monter Madame au front ?

    Mais son « terrain » et son front, même quand elle officiait vraiment, dans le prestigieux lycée privé d’Amiens où elle rencontra vous savez qui, ne sont quand même pas ceux de la majorité des professeurs. Et sa vision idyllique de l’éducation ne correspond pas à la réalité de nos REP, REP+ et du quotidien de nos classes, même en dehors de ces établissements difficiles. Loin de là.

    Figurez-vous que « c’est marrant », mais moi, je ne suis pas « devenu prof par hasard, je le reste », mais j’ai la furieuse impression que notre première dame se… moque de nous.

     Professeur d'Histoire