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anti-national - Page 689

  • Éric Zemmour : “La prison est devenue une extension du domaine de la banlieue”

    Le gouvernement a décidé de sanctionner par des retenues sur salaire les surveillants de prison qui se sont mis en grève.

    Pour Éric Zemmour, les matons subissent en réalité ce que subissent dans certains quartiers les pompiers caillassés ou les profs insultés.

    Les prisons françaises sont surpeuplées non parce que la justice est plus sévère, mais parce que la délinquance a explosé et que l’État a refusé de construire des places de prison.

    Les matons subissent en réalité ce que subissent dans certains quartiers les pompiers caillassés, les flics rôtis comme des poulets dans leurs voitures, les profs insultés et molestés, les facteurs agressés, les bibliothèques incendiées. La prison est devenue une extension du domaine de la banlieue.

  • Complotisme présidentiel

    Georges Feltin-Tracol

    1420209586.jpgSuite aux vœux présidentiels à la presse du 3 janvier dernier, les commentateurs ont beaucoup discuté des intentions gouvernementales de légiférer contre les désormais célèbres fake news et d’instaurer dans les faits une censure préalable afin d’empêcher toute véritable réinformation.

    Si cette future loi liberticide et contre-productive avait déjà été adoptée, se serait-elle appliquée au ton foncièrement complotiste du discours présidentiel de ce jour-là ? En effet, avant que Libération publie que 79 % des Français suivraient au moins une théorie de la conspiration, personne n’a relevé que le locataire de l’Élysée évoquait lui aussi le sombre jeu de « forces occultes » dans les arrière-coulisses obscures de la « gouvernance » puisqu’il dénonçait une « propagande [qui…] adopte votre ton, parfois vos formats. Elle emploie votre vocabulaire et parfois même, elle recrute parmi vous. Parfois même financée par certaines démocraties illibérales que nous condamnons au quotidien, elle se diffuse, elle se banalise et elle finit par jouer de cette confusion que nous avons progressivement acceptée ».

    Le mal élu du 7 mai 2017 décline sciemment et tranquillement un avis hautement complotiste. Pour lui, « il y a là une stratégie et une stratégie financée visant à entretenir le doute, à forger des vérités alternatives, à laisser penser que ce que disent les politiques et les médias est toujours plus ou moins mensonger ». Le PD-G de la start up Hexagone en Marche insiste lourdement : « Cela fonctionne, nous l’avons vu à l’œuvre à l’étranger mais aussi en France. Le processus démocratique s’en trouve profondément altéré parce que l’indignation que suscitent ces fausses nouvelles est éruptive et prend le dessus sur la réflexion. Et c’est d’ailleurs le pari en quelque sorte anthropologique qui est fait par ceux qui manipulent ces canaux. »

    Bien sûr, les coupables tout désignés sont les « démocraties illibérales », la Russie de Vladimir Poutine en tête, cette Russie qui a le toupet d’ouvrir à Paris des studios pour l’édition française de RT – France et qui diffuse déjà la Webradio francophone Sputnik. Pourquoi n’a-t-on pas entendu les mêmes belles âmes s’indigner de la diffusion par satellite dans nos banlieues de l’immigration d’Al-Jazeera, de MTV ou de CNN du démocrate clintonien Ted Turner ?

    La condamnation présidentielle aurait été crédible si elle avait invité les journalistes présents à ne plus copiner avec les sbires de l’ambassade yankee près des Champs-Élysées, ces plumitifs qui comme de nombreux politiciens sont de véritables abonnés aux journées de l’ambassadeur étatsunien. Avant de s’en prendre à la paille dans l’œil du voisin, il importe toujours de regarder la poutre qui est dans le sien.

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°63, diffusée sur Radio-Libertés, le 26 janvier 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Forum économique de Davos : un prix remis en faveur des immigrés clandestins

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     SUISSE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La quarante-huitième édition du Forum économique mondial, plus connu sous le nom de forum de Davos s’est ouverte lundi soir dans la station suisse du même nom. Cette organisation réunissant les plus hauts dirigeants d’Etats, de gouvernements et d’entreprises planifie tout simplement l’évolution de l’ordre mondial des temps à venir. C’est ce que Klaus Schwalb, co-fondateur avec Richard Attias a rappelé dans son discours JE CITE « Nous avons besoin de travailler en équipe : aucune nation, aucune personne, aucune partie prenante ne peut à elle seule faire face à la complexité de l’agenda mondial de manière constructive ».

    En guise d’ouverture du forum, un prix remis en faveur des clandestins

    Trois prix on été remis pour l’ouverture du forum, dont un attribué à Cate Blanchett pour son action en faveur des clandestins. En recevant son trophée, l’actrice a évoqué la migration prochaine de près de 66 millions de clandestins. Pour elle : « Nous devons accepter notre mission : trouver de nouvelles manières de répondre à la crise des réfugiés »

    Emmanuel Macron a pris la parole hier

    Déjà présent l’année dernière en tant que ministre de l’économie de François Hollande, Le président français s’est exprimé pendant plus de 40 minutes. Il a évoqué la question environnementale avant de faire la promotion de ses projets de réformes économiques, scolaires et financières pour notre pays. Il appelle à la coopération internationale, exigeant notamment un contrat mondial dans le domaine fiscal.
    Un ennemi à ce forum mondialiste : la montée des courants nationalistes

    En effet, Angela Merkel et Emmanuel Macron se sont tous deux inquiétés des de l’importance croissante des courants nationalistes. “Le populisme est un poison” haranguait la dirigeante d’outre Rhin tandis que le président français encourageait la salle à prendre des mesures pour que les nationalistes n’emportent pas les élections « dans cinq ans, dans dix ans, dans quinze ans ».

    https://fr.novopress.info/

  • ME FRÉDÉRIC PICHON : « LES FEMEN ONT RECONNU ELLES-MÊMES AVOIR CIBLÉ CIVITAS POUR DISCRÉDITER LES OPPOSANTS AU MARIAGE POUR TOUS ! »

    Le 18 novembre 2012, lors d’une manifestation « anti-mariage pour tous » organisée par l’association Civitas, des Femen travesties en religieuses et accompagnées de la très militante Caroline Fourest s’en étaient prises au cortège. Expulsées par le service d’ordre, elles avaient porté plainte pour violences. Vendredi, le tribunal correctionnel de Paris a condamné sept des huit hommes poursuivis à des peines allant jusqu’à un an de prison avec sursis.

    Maître Frédéric Pichon, avocat d’un des prévenus, dénonce au micro de Boulevard Voltaire l’incroyable partialité des poursuites, la collusion entre le pouvoir de l’époque et Caroline Fourest, et l’incroyable dispositif policier utilisé pour identifier les auteurs.

    Frédéric Pichon, un ultime rebondissement a eu lieu dans l’affaire opposant certains militants de l’association Civitas et les Femens. Le tribunal a rendu sa sentence ces derniers jours. En tant qu’avocat d’une partie des plaignants, que retirez-vous de ces années de procédure ?

    Tout d’abord, je retiens l’incroyable partialité des poursuites.
    Il faut quand même rappeler que nos clients ne sont pas allés chercher les Femens dans leur local de militants. Ce sont elles qui ont délibérément attaqué une manifestation autorisée par la préfecture. Mes clients étaient donc dans le cadre de l’exercice d’un droit de manifester.
    Elles se sont grimées et ont mis des coiffes de religieuses. Elles avaient le torse à l’air avec un slogan manifestement antireligieux et blasphématoire. Je sais que le blasphème n’est pas interdit. En revanche, ils constituaient manifestement un trouble à l’ordre public.
    Elles étaient de surcroît équipées d’extincteurs. On ne pouvait pas présumer à l’époque qu’il s’agissait d’extincteurs anti-incendie. On aurait pu au contraire présumer qu’il s’agissait d’extincteurs lacrymogènes puisqu’ils étaient de couleur blanche avec des slogans dessus dont je vous fais l’économie du contenu.
    On avait donc affaire à un acte d’agression caractérisé et à des violences non pas physiques, mais morales. La jurisprudence est assez claire en la matière.
    La Police n’était pas là. C’est pourquoi il a fallu l’intervention du service d’ordre de Civitas. Dans ce chaos général, alors qu’elles avaient utilisé leurs extincteurs et qu’il y avait de la fumée partout, quelques jeunes énergiques ont effectivement voulu les repousser, et quelques coups ont été échangés.

    Cette séquence est relatée dans le livre intitulé Inna de Caroline Fourest consacré à la patronne des Femens. Qu’avez-vous appris dans ce livre ?

    On a appris de manière absolument hallucinante que madame Fourest reconnaît explicitement les suspicions de l’époque sur la partialité du parquet.
    De mon côté, mon client et son épouse ont porté plainte contre les Femens. Elle a été classée sans suite au motif que les auteurs n’étaient pas identifiables. C’est absolument hallucinant !
    Dans son ouvrage, Caroline Fourest raconte qu’alors qu’elle était mise à l’écart par les policiers, elle a reçu un coup de téléphone de Manuel Valls, du président de la République lui apportant tout son soutien, du cabinet de madame Taubira, ministre de la Justice à l’époque et auteur de la loi contestée, qui lui apportait également tout son soutien, et enfin du préfet de police lui disant qu’il allait mettre à son profit tous les moyens à sa disposition.
    On est donc dans une intervention absolument hallucinante du pouvoir exécutif dans une procédure judiciaire. Cela nous a permis de voir les jours suivants l’incroyable dispositif policier pour identifier les auteurs. Les policiers sont arrivés tels des cow-boys. Ils ont fait des perquisitions avec des pistolets à la main pointés sur nos clients. C’était un véritable délire !
    Tout cela pourquoi ? Parce que madame Fourest a des appuis au plus haut niveau de l’État, ce qu’elle confirme d’ailleurs dans son ouvrage. On est donc dans un dossier d’une partialité incroyable.
    On a appris également dans ce dossier que les Femens avaient délibérément ciblé Civitas parce que La Manif Pour Tous, c’était un peu trop gentil. Elles craignaient qu’il n’y eût pas de réaction. En ciblant Civitas, le but de l’opération était de provoquer une réaction pour discréditer les opposants au mariage pour tous.
    On est donc dans une opération préméditée et politique où des gens en particulier ont été ciblés pour provoquer un esclandre et avec les réactions que l’on sait. Nul ne peut se prévaloir de ses propres turpitudes, comme le dit un adage du droit civil.

    Quelles peines ont été prononcées à l’encontre de vos clients et de leurs compagnons ?

    Mise à part une relaxe sur huit prévenus, il y a eu des peines allant d’un mois à un an de prison avec sursis.
    Je note que le Tribunal n’a pas tenu compte des arguments que nous avions fait valoir. Nous avons soutenu que les Femens avaient une part de responsabilité dans ce qui est arrivé, y compris leur propre préjudice. Elles ont subi les conséquences de leur propre illégalité. Après tout, l’entrave à une liberté de manifester est une infraction. Elles ont attaqué délibérément un cortège.
    Le Tribunal ne nous a pas suivis sur ce point.
    Par ailleurs, Caroline Fourest n’était pas là en tant que journaliste, mais en tant que militante. Dans la procédure, il est ressorti qu’elle était l’instigatrice et le conseil des Femens tout au long de cette opération. Elle a même recueilli les militantes Femens chez elle, à la suite de ces incidents.
    Le Tribunal ne nous a pas non plus suivis sur ce point.

     Avocat Vice président du SIEL
  • On refuse d’enregistrer un prénom breton. Pendant ce temps-là, les prénoms étrangers font florès en France…

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le procureur et l’état civil de la mairie de Rennes ont refusé d’enregistrer le prénom Derc’hen (avec une apostrophe entre les lettres c et h) choisi par un couple pour son petit garçon. C’est en tout cas ce que relate le quotidien Ouest-France. Motif : le prénom contenait une apostrophe. Une première selon Charlie Grall, président du Secours Breton, une association qui défend l’identité bretonne. Ce dernier a précisé que « de nombreux prénoms bretons ainsi que des noms de famille s’écrivent avec un c’h et n’ont pas (…) posé de problème ces dernières années. »

    Pendant ce temps-là, les prénoms étrangers font florès en France…

    C’est tout le paradoxe ! Les prénoms français perdent du terrain face aux prénoms à consonance arabe ou noire-africaine, et l’on débat des cultures régionales. Pour rappel, L’Officiel des prénoms 2018 note que Mohamed se situe dans le top 20 des prénoms les plus donnés en France. Il était déjà dans les dix premières places à Paris, suivant en cela une tendance bien établie dans plusieurs capitales européennes, Bruxelles, Londres et Oslo. Au Royaume-Uni, le dernier recensement sur les prénoms a suscité polémique. D’après le Bureau de la statistique nationale, Oliver était le prénom le plus populaire en 2016. Mais en tenant compte des déclinaisons multiples du prénom Mohamed, (Mohammed, Muhammad…), le site Quartz avait conclu qu’en réalité c’était prénom numéro 1 outre-Manche.

    https://fr.novopress.info/

  • Prisons : l’embrasement, par Etienne Defay

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    9038-20180127.jpgPrésent l’avait annoncé dans sa une du jeudi 12 octobre (voir photo d’illustration). Loin de nous vanter d’un quelconque don de voyance, nous n’avons fait que constater l’indubitable, et annoncer l’inévitable : les agressions à répétition, le manque de moyens et la surpopulation sont autant de facteurs qui ont provoqué l’embrasement.

    Depuis le 11 janvier et l’agression des trois surveillants de prison de Vendin-le-Vieil par le détenu radicalisé Christian Ganczarki, la situation est devenue intenable pour les pouvoirs publics.

    Demandant plus de moyens en hommes et une revalorisation de leur salaire, les surveillants pénitentiaires durcissent le mouvement et le bras de fer avec les pouvoirs publics reprend de plus belle.

    D’après France Bleu qui tente de tenir un décompte précis, 67 établissements pénitentiaires sont encore bloqués au moins partiellement alors que dans le même temps, les trois syndicats (Ufap-Unsa [majoritaire], FO et CGT-Pénitentiaire), claquaient la porte des négociations entraînant la garde des Sceaux dans la tourmente.

    Las, la paisible et conciliante Nicole Belloubet ne s’attendait pas à un tel baptême du feu. Inaudible, elle semble peiner à s’imposer dans le débat avec en toile de fond la radicalisation rampante (voir l’article de Guy Rouvrais), la surpopulation carcérale mais surtout l’addition salée laissée par ses prédécesseurs qui n’ont fait que rallonger le décompte de cette bombe à retardement connue de tous.

    Car il en est de même de l’immigration massive, de l’insécurité et du communautarisme : depuis vingt ans, les gouvernements jouent à la patate chaude en s’efforçant de retarder l’explosion tout en priant que cela tienne jusqu’à leur départ. Pourtant, les signaux étaient rouge vif. Foin des rapports parlementaires, des sonnettes d’alarmes, des avertissements, des arrêts maladies et des congés… Foin des détenus hilares tournants des clips de rap, consommant de la drogue et se filmant sur les réseaux sociaux. Cela fait près de dix ans que chaque visite dans une prison alerte et effraie quiconque en ressort. Mais rien n’a été fait.

    « Nous servons de porte-clefs » déclare, amer, Christopher Dorangeville de la CGT à l’AFP. « Nous n’avons plus le temps d’instaurer une relation avec les détenus. » Regrettant la période du grand banditisme, les surveillants voient finalement leur rôle évoluer en dompteurs de fauves doublés d’éducateurs spécialisés. Deux métiers pour lesquels ils n’ont pas été formés. Deux métiers qui n’ont rien à faire en prison.

    Conséquence : les forces de l’ordre ont dû intervenir à Fresnes pour procéder à l’exfiltration de Jawad Bendaoud, le logeur de Daesh, attendu pour son procès. A Borgo en Corse, la prison était tenue par les gendarmes tandis que les syndicats et la direction étaient toujours en négociation. C’est peut-être cela la solution : faire du corps pénitentiaire un corps d’armée, cela se fait en Russie avec une efficacité qui n’est plus à démontrer. La France a besoin d’ordre et les Français croient en leurs forces armées. Quoiqu’il arrive, la machine est grippée et nécessite un redémarrage en règle. Avant qu’il ne soit trop tard.

    Etienne Defay

    Article paru dans Présent daté du 25 janvier 2018

    https://fr.novopress.info/

  • ET MAINTENANT, UNE MÈRE QUI REFUSE DE DÉNONCER LE VIOLEUR DE SA FILLE PARCE QUE MIGRANT…

    L’histoire s’est passée en Suède.

    Il y a ceux qui n’éprouvent aucune haine quand des terroristes tuent leurs êtres chers.
    Il y a celles qui commencent par ne pas dénoncer leur(s) violeur(s) de crainte de déclencher une campagne anti-migrants et qui, après s’y être résolues en incriminant, au premier abord et mensongèrement, un compatriote, s’excusent auprès de tous les réfugiés de tout le mal qu’elles leur ont causé (Allemagne 2016), mais pas auprès des Allemands.

    Il y a, maintenant, des mères de famille qui se refusent à dénoncer le violeur de leur petite fille de 12 ans parce qu’elles ne veulent pas qu’il soit expulsé. L’histoire s’est passée en Suède.

    Elle a 45 ans, vit séparée du père de ses enfants, qui se partagent entre les deux domiciles. Fin 2016, elle prend à demeure un migrant âgé de 18 ans. Un mois après son arrivée, ils deviennent amants. À la lecture de l’article du Daily Mail, on comprend que, rapidement, le migrant se lassant sans doute de ses ébats avec une cougar, tourne son attention sur de la chair plus fraîche. Dosmohammadi « aime les câlins mais les câlins mènent à des baisers sur ses joues un peu trop près de la bouche », racontera plus tard la fillette, selon le rapport d’enquête.

    Un soir que les ex-tourtereaux avaient bu tous les deux, la mère quitte le salon, laissant sa fille seule avec son ex-amant. L’occasion était trop belle et le voilà qui passe à la vitesse supérieure. Il passe ses mains sous sa robe, sous ses sous-vêtements et touche ses parties génitales. La gamine se rebiffe et raconte la scène à sa mère. Sa réaction ? Motus et bouche cousue. Ne manquerait plus que les autorités renvoient son protégé en Afghanistan ! 

    Forcément très ébranlée par les comportements obscènes et de sa mère et du migrant, c’est quatre jours plus tard que la gamine, prenant son courage à deux mains, racontera à sa sœur, qui elle-même racontera à leur père ce qui se passe chez maman. Le père, lui, portera plainte.

    On en est donc arrivé là. À ce que des Européens, abrutis d’idéologie immigrationniste, en viennent, en ne bronchant pas quand leurs compatriotes sont assassinés au nom d’Allah, en ne dénonçant ni leur migrant violeur ni celui de leur enfant, à choisir la perpétuation d’actes criminels à la protection des leurs. Il paraît que c’est cela, « l’humanité d’abord »…

    La sentence pour l’amant migrant afghan ? Trois mois de prison avec sursis (il l’a promis-juré, il ne recommencera plus à caresser les petites filles), 15.000 couronnes de compensation (1.528,95 euros, qu’il ne versera très probablement jamais), cent heures de service communautaire. Et, âgé de 19 ans depuis les faits, « il n’est plus autorisé à vivre dans une maison pour mineur ». Autrement dit, il passe le balai et fait les poussières dans une maison pour majeurs. Avis aux amatrices…

    Et la mère de la petite fille ? Est-elle poursuivie pour mise en danger de la vie de son enfant ? Est-elle déchue de ses droits parentaux ? Les associations féministes l’ont-elles traînée dans la boue et, tambour battant, ont-elles mené campagne sous hashtag #balancetonmigrant ? On connaît la réponse.

    http://www.bvoltaire.fr/mere-refuse-de-denoncer-violeur-de-fille-migrant/

  • Mise en application depuis le 1er janvier de la loi liberticide sur les réseaux sociaux NetzDG

    ALLEMAGNE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le président de l’association allemande des journalistes ainsi que le président de la Fédération Européenne des Journalistes, sont unanimes et condamnent la loi en ces termes : « nos craintes déjà présentes pendant le processus législatif ont été confirmées. La loi NetzDG viole la fondamentale liberté d’expression. »
    Une affaire a renforcé le malaise

    L’affaire dite « Titanic » a renforcé le malaise. Rien à voir avec le naufrage du fameux navire. Titanic est un magazine satirique allemand.

    Voici l’histoire : la police de Cologne a twitté en arabe au moment des fêtes de fin d’année ses bons vœux et quelques recommandations sur la manière de se comporter.

    Une parlementaire de la droite conservatrice Beatrix von Storch a alors répondu au tweet de la police, je cite « Pourquoi un site officiel de la police tweete-t-il en arabe ? Pensez vous que ce soit pour apaiser les hordes barbares et violeuses des hommes musulmans ». Son compte fût supprimé sans aucune forme de procès par Twitter.

    Malicieux, le magazine Titanic reprit sous forme humoristique et parodique un faux compte de la parlementaire en écrivant sous son nom cette phrase badine : « Lors du dernier tournoi de fléchettes les hommes blancs boivent et poussent la boule, une de nos dernières traditions allemandes ? ». Twitter non seulement a supprimé ce tweet mais aussi le compte du journal, compte rétabli deux jours plus tard après de fortes pressions médiatiques.

    De lourdes amendes sont prévues par la loi

    La loi incite par la contrainte financière les sociétés qui ne censureraient pas tout ou partie des écrits, post ou vidéos diffusés numériquement et enfreignant 24 articles du code criminel allemand tels « la diffamation de l’État et de ses symboles », « la diffamation des religions » et « l’apologie de la violence ». Une très large part d’incertitude et de nombreuses possibilités d’interprétation donc.

    Ainsi, entre cette censure déjà à l’œuvre et celle attendue en France la liberté d’expression a des soucis à se faire.

    https://fr.novopress.info/

  • LES MIGRANTS DE CALAIS RACONTÉS FAÇON « PLUS BELLE LA VIE » PAR YANN MOIX

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    Au micro de France Inter, Yann Moix s’est livré à un numéro d’indignation sélective de toute beauté. Calais, terre d’infamie ! On y frappe des migrants, on en gaze… C’est horrible. Il le sait, il y est allé. Il a vu de ses yeux les victimes des CRS qui – il le précise – ne sont pas à blâmer puisqu’ils ne font qu’obéir à des ordres. Il est lucide, Yann Moix. Enfin, presque… Juste d’un œil. L’autre est fermé. Si, un jour, il parvient à l’ouvrir, il reviendra dans le studio de France Inter pour dénoncer les agressions dont sont victimes les routiers de Calais, il pleurera les trente jeunes de moins de 25 ans tués à l’arme blanche à Londres entre janvier et juillet 2017, il s’indignera des sévices sexuels dont les femmes font les frais un peu partout en Europe, de l’augmentation de 400 % des viols en vingt ans d’immigration en Suède… Mais chaque chose en son temps. Pour l’instant, l’ami Moix en est à dénoncer avec force lyrisme les violences subies par ceux régulièrement mis en cause dans les délits précités. Violences que – soit dit en passant – personne ne songerait à approuver, à la différence près que le chroniqueur de Ruquier voit dans cette forme de répression policière, hélas très fréquente à l’égard de manifestants, une atteinte à la dignité humaine sans précédent.

    Pour défendre cette noble cause (qui n’est pas sans rappeler les heures les plus sombres), Yann Moix se sent pousser des ailes de résistant… 

    Quand un enfant de 16 ans vous regarde les yeux rougis par des gaz lacrymogènes… Dans le dialecte romantico-gnangnan, l’adolescent devient un enfant… Un enfant est un bébé et un vieillard de 92 ans un galopin. L’auditeur sort un premier mouchoir. Il n’est pas au bout de ses peines. Du lourd se profile : il y a, parmi les Afghans, des gens qui connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts (0,002 %) et qui sont venus en France pour ça. Ils arrivent et on les frappe… Et même pas avec un dictionnaire ou une encyclopédie – ce qui serait un moindre mal pour ces assoiffés de culture… 

    L’auditeur file chez « Carrefour Drive » récupérer sa commande de quinze paquets de Kleenex® grand format. Cette fois-ci, c’en est trop. Des migrants culturels frappés par des CRS, mais dans quelle France vivons-nous ? Mais il y a pire encore : on nous fait accroire que c’est au moment où les migrants entrent dans les camions qu’on les gaze. C’est faux. Et quand même ce serait vrai, ce serait détestable et illégal. Comme chacun le sait, la mission des forces de sécurité est, au contraire, d’aider les clandestins de Calais à monter dans les camions. De leur aménager des nids douillets parmi les palettes de pudding que la France exporte vers l’Angleterre… Au point où nous en sommes, il n’est pas interdit d’apporter sa petite touche personnelle à la fiction que nous raconte Yann Moix… Et ensuite ? Que se passe-t-il ? L’auditeur est à cran. France Inter tient son Plus belle la vie à la sauce bobo. Monsieur Moix, voici votre contrat. Signez là. Demain, vous nous raconterez l’attentat du Bataclan, dont tout le monde est sorti indemne… Si vous le voulez bien !

    http://www.bvoltaire.fr/migrants-de-calais-racontes-facon-plus-belle-vie-yann-moix/

  • CRISE DANS NOS PRISONS : FAUT-IL CHANGER LE MINISTRE ?

    Dans nos statistiques officielles, il est plus facile de trouver des informations relatives au suicide des détenus dans nos prisons que celles concernant les agents de l’administration pénitentiaire. Cet état de fait, choquant en soi mais néanmoins révélateur, n’est pas sans expliquer en grande partie la crise qui touche, maintenant depuis plusieurs jours, nos prisons.

    L’affaire a débuté avec l’agression, par un détenu radicalisé proche de Daech, de trois surveillants au centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil. Les jours qui ont suivi ont vu d’autres violences contre des surveillants se perpétrer dans plusieurs prisons, provoquant ainsi la colère d’une corporation déjà fragilisée par une situation interne qui ne cesse de se dégrader, moralement et matériellement, depuis de nombreuses années. Ainsi, ce sont à ce jour pas moins de 118 établissements pénitentiaires, sur les 188 que compte notre pays, qui sont touchés par des manifestations avec des blocages totaux ou partiels. Face à cette situation, inédite depuis de nombreuses années, les forces de l’ordre ont été envoyées afin de débloquer les accès de certaines prisons et permettre les transferts de détenus dangereux.

    Ce mouvement de colère qui touche aujourd’hui nos prisons n’est pas le fruit du hasard, ou même simplement le fait d’une agression de trop. Il couvait depuis longtemps. À l’instar de l’ensemble des forces de l’ordre, les agents pénitentiaires, et en particulier les surveillants, vivent depuis plusieurs années sous tension. Les problématiques liées au terrorisme islamiste n’ont fait qu’accentuer un malaise qui, peu à peu, a fini par désespérer des hommes et des femmes qui, pour beaucoup, vivent chaque jour un véritable enfer.

    À ce mal de vivre, qui fait de la corporation des surveillants pénitentiaires l’une des plus touchées par le suicide (en 2015, les rares chiffres disponibles révélaient que leur taux de suicide était de 20 % supérieur à celui de la population générale), est venu s’ajouter le sentiment d’être oubliés puis sacrifiés par les pouvoirs publics. Les violences dont ils sont l’objet de façon de plus en plus fréquente n’ont fait que les conforter dans cette conviction.

    Aujourd’hui, le gouvernement est donc confronté à une crise majeure. Elle révèle, une fois encore, le manque d’anticipation et de réaction de politiques qui attendent systématiquement d’être au pied du mur pour envisager des solutions et répondre aux grands défis sociétaux qui se posent. Mais le problème est profond. Manque cruel d’établissements pénitentiaires dans notre pays. Manque de places dans les prisons, qui provoque une surpopulation qui favorise la récidive et empêche toute action de réinsertion efficace. Manque de personnel face à un métier qui n’est pas attractif et qui n’offre que peu de perspectives d’avenir. Et puis une absence de politique carcérale, qui hésite encore, pour de sombres raisons idéologiques, à faire la part entre ces détenus qu’il faut écarter durablement de la société au nom de la paix sociale et ceux qu’il est encore possible de réinsérer.

    Face à ces enjeux d’importance, le nouveau ministre de la Justice semble bien avoir révélé ses limites. Il prouve, par son manque de lucidité, de réactivité et d’efficacité, qu’il ne suffit pas d’être une grande juriste pour conduire un département ministériel aussi sensible que celui de la Justice. Et qu’avoir siégé au Conseil constitutionnel ne prédispose pas forcément à tout connaître de l’âme humaine et de ses turpitudes. C’est donc une réponse ferme et déterminée à leurs problèmes de sécurité et à leurs difficultés matérielles qu’attendent les surveillants pénitentiaires. Si le ministre n’en est pas capable, qu’on le change !

    http://www.bvoltaire.fr/crise-nos-prisons-faut-changer-ministre/