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anti-national - Page 692

  • LES CLANDESTINS PEUVENT PRENDRE LE TRAIN TRANQUILLEMENT ET GRATIS : LA DIRECTION DE LA SNCF SE COUCHE DEVANT LA CGT

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    La section locale de la CGT des cheminots de Bordeaux représente-t-elle l’opinion de l’ensemble des contrôleurs de la SNCF ? On peut en douter. Jugez-en vous-mêmes.
    Une note interne du 16 février a suscité son émoi : « “Lors de vos missions”, précise-t-elle, “si vous remarquez la présence d’un groupe constitué de population migrante, il est rappelé l’absolue nécessité de ne pas vous exposer” et d’“aviser l’escale et le SA Rennes” ». Il est indiqué, notamment, « si la situation le permet, de recueillir le maximum d’informations (nombre de personnes, présence d’enfants, gare de destination, raisons de cette mobilité…) » et « si le dialogue est possible, [de] rappeler la possibilité de voyager en règle ».

    Voilà qui est dit avec précaution, dans un vocabulaire qui relève de l’euphémisme. Cette note a pourtant provoqué l’indignation de la section locale de la CGT, qui estime que ce n’est pas le travail des contrôleurs, et refuse de « faire du délit de faciès » ou de se comporter « comme une milice de la préfecture ». Elle dénonce « une incitation à des pratiques de discrimination et de délation vis-à-vis d’une population d’usagers de par leurs origines ou leur apparence physique ». Pire : « Les préconisations sous-entendent que des usagers d’origine étrangère qui voyageraient en groupes seraient soit disant (sic) dangereux et en situation de fraude. »

    Gênée aux entournures d’être accusée de discrimination, la direction a joué aux Ponce-Pilate : cette note serait « le fruit d’une initiative personnelle » et « la direction régionale n’en avait pas connaissance et ne l’a donc pas validée ». Et d’ajouter qu’« [elle] ne reflète en aucun cas la politique nationale de la SNCF qui se doit de communiquer les coordonnées des services pouvant aider les populations concernées par la crise migratoire ».

    Certes, ce n’est pas la mission première des contrôleurs de signaler des groupes de migrants illégaux. Ce serait plutôt le rôle de la police. Encore faudrait-il disposer des effectifs nécessaires. Mais n’est-ce pas un devoir civique de donner des informations aux autorités de tutelle, quand ils en remarquent sur les quais ou à bord des trains ? Que dirait-on d’un professeur qui, constatant que des élèves se droguent ou sont manifestement perturbés, n’en parlerait pas à sa direction ou au conseiller principal d’éducation, en arguant que ce n’est pas son travail ? 

    Dans ces instructions contestées, on apprend aussi que des migrants voyageraient sans billet, puisque la note rappelle pudiquement qu’il est possible de « voyager en règle ». Faut-il que la CGT s’en indigne et y voie une forme de « discrimination » ? Voudrait-elle exprimer sa solidarité avec ces nouveaux prolétaires ? À coup sûr, les contrôleurs qui ne sont pas offusqués par cette note sont des collaborationnistes et des fachos !

    La direction de la SNCF, avec le courage de ceux qui baissent leur culotte, a retiré cette note et fait acte de contrition : elle rappelle que « la politique nationale de SNCF […] se doit de communiquer les coordonnées des services pouvant aider les populations concernées ». Si l’on comprend bien, les contrôleurs ne peuvent pas signaler les groupes de migrants illégaux, mais doivent faire le travail de l’administration ou des associations qui leur viennent en aide.

    Il ne s’agit pas, bien sûr, de traiter les migrants qui se déplacent en train comme des parias. Mais la moindre des choses serait de ne pas pratiquer à leur égard quelque « discrimination positive », surtout quand ils sont dans l’illégalité. On verbaliserait sans état d’âme une personne âgée qui a oublié sa carte senior, mais on refuserait de signaler un groupe de migrants dans l’illégalité ? Voilà qui n’est pas très sérieux et tient d’un choix plus partisan qu’humaniste !

    http://www.bvoltaire.fr/clandestins-peuvent-prendre-train-tranquillement-gratis-direction-de-sncf-se-couche-devant-cgt/

  • Saint-Malo (35) : Le maire Claude Renoult annonce « l’objectif de repeupler » la cité historique avec des migrants musulmans clandestins

    Source Breiz Atao cliquez ici

    167267916.jpgLa cité historique de Saint-Malo va bientôt recevoir des dizaines de migrants clandestins à l’initiative du maire, Claude Renoult. L’objectif décrété par ce dernier : « repeupler » la ville historique avec des allogènes, notamment en accordant des logements sociaux aux clandestins afro-musulmans.

    Saint-Malo participera à « l’élan de solidarité nationale », comme le souhaitait le maire, en ouvrant un centre d’accueil pour migrants. Plus précisément un centre d’accueil et d’examen des situations (CAES). Le préfet de Bretagne Christophe Mirmand et le maire de Saint-Malo Claude Renoult l’ont confirmé mercredi 21 février 2018.

    Une première colonie de 50 éléments extra-européens seront installés dans la commune, « pas de famille, uniquement des hommes majeurs isolés et résidant actuellement en région parisienne », précise le Préfet seront logés dans cette partie d’immeuble composée de plusieurs appartements.

    Cependant, le maire a un autre objectif : « repeupler » le centre historique de la cité corsaire. Pour cela, il va offrir des logements sociaux flambants neufs.

    Quant à l’ancien bâtiment de la DDTM, situé rue de la Crosse Intra-Muros, et longtemps pressenti pour accueillir ce centre, la mairie est actuellement en pourparlers pour le racheter à l’État et y aménager des logements sociaux et intermédiaires, toujours dans l’objectif de « continuer à repeupler Saint-Malo », insiste le maire.

    Des logements sociaux qui bénéficieront, naturellement, aux « nouvelles populations » devenues prioritaires en la matière. La colonisation rampante de la ville au profit des migrants afro-musulmans a donc commencé. Ce que l’édile qualifie de « repeuplement », c’est-à-dire l’exacte application de ce qu’avait annoncé Manuel Valls lorsqu’il était chef du gouvernement français (lire ici).

    Le niveau de xénophilie du maire et de la clique qui l’entoure est tel que l’africanisation et l’islamisation sont perçues comme devant être recherchées à tout prix pour « repeupler » cette cité historique emblématique.

    La tiers-mondisation qu’elle induira fatalement, spécialement en termes d’effondrement culturel et de crime, condamne la ville à disparaître dans l’abîme du déclin et de la déchéance.

    La dégénérescence du personnel politique actuel annonce l’inévitable catastrophe pour des populations qui auront accepté de se subordonner à des chefs qui organisent l'invasion et le chaos ethnique.

  • Ecoles hors contrat : oser la liberté !, par Francis Bergeron

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    9057-20180223.jpgJean-Michel Blanquer fait partie de ces ministres bénéficiant d’un préjugé favorable, parce qu’il veut mettre en place ou soutenir des règles de bon sens dans l’école publique. Quelle mouche l’a donc piqué pour appuyer aujourd’hui un projet de loi, issu de la période Vallaud-Belkacem, restreignant la liberté d’ouvrir des écoles privées hors contrat ? Le projet actuellement examiné par le Sénat définit en effet un encadrement strict de ces écoles.

    Une soixantaine de sénateurs du centre et de la droite poussent à la roue. Ils ont sans doute dans leur viseur les écoles coraniques qui se développent à grande vitesse, et qui sont loin d’être à l’abri du salafisme et de l’islamisme sous diverses formes. Il y a eu le cas de l’école Al-Badr de Toulouse, à présent fermée, ou de l’école musulmane Mine de savoirs, à Raismes, dans le Nord. Mais si Al-Badr a pu être fermée, cela prouve bien qu’une loi nouvelle n’est pas nécessaire pour empêcher l’endoctrinement islamiste d’enfants et d’adolescents.

    En durcissant les conditions d’ouverture de ces écoles, en donnant des délais beaucoup plus longs au maire de la commune d’implantation, et à l’administration, pour contester un projet d’ouverture, c’est presque une déclaration de guerre qui est faite à l’enseignement vraiment libre, et en particulier aux écoles catholiques traditionnalistes.

    En principe le contrôle de l’administration est censé se limiter à l’hygiène et aux bonnes mœurs. Mais la sénatrice centriste qui porte le projet de loi a des formules inquiétantes. Elle explique par exemple que cette loi permettra de s’en prendre à des écoles privées assurant « des enseignements tendancieux » en histoire et en sciences.

    Sur le plan de l’enseignement tendancieux, notamment en histoire, ne faudrait-il pas alors faire d’abord un grand nettoyage dans les écoles publiques ? D’ailleurs, d’une façon générale, le fort développement des écoles privées a surtout pour origine l’effondrement de notre enseignement public, le souhait des parents de mettre leur progéniture dans des écoles de qualité. M. Blanquer en est conscient, et il est alors d’autant plus incompréhensible qu’il puisse soutenir un tel projet de loi.

    Restriction des libertés

    Demain, en histoire, sera peut-être considéré comme « tendancieux » de soutenir que la Révolution française n’a pas eu que du bon, ou que la Vendée a été victime d’un génocide. Et en sciences qui nous dit que ne sera pas considéré comme « tendancieux », et justifiant la fermeture d’une école privée, le fait d’enseigner que l’avortement tue ?

    A un vrai problème (la montée des fanatismes islamiques), répondre par une restriction de liberté de cette nature est la plus mauvaise des solutions.

    Philippe de Villiers est monté au créneau pour exprimer son inquiétude : une telle loi pourrait menacer son école du Puy du Fou. Anne Coffinier, la spécialiste française des écoles privées, avec sa Fondation pour l’école, ne décolère pas. Elle voit elle aussi dans le projet de loi un retour par la bande du vieux rêve socialiste du « tout Etat ».

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • UN CRÉDIT D’IMPÔT POUR CEUX QUI ACCUEILLENT LES MIGRANTS, C’EST LA BRILLANTE IDÉE DU DÉPUTÉ AURÉLIEN TACHÉ !

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    Le dernier sondage paru en janvier 2018 démontre le ras-le-bol des Français face à l’immigration : le rythme d’immigration est trop élevé ? Oui, à 64 % (et jusqu’à 79 % chez les Français les moins diplômés).

    Faut-il permettre le vote des étrangers aux élections locales ? Non, à 60 %.
    Supprimer le regroupement familial ? Oui, à 57 %.
    Mettre fin aux accords de Schengen ? Encore oui, à 66 %.

    Tous les gouvernements qui se sont succédé pendant quarante ans ont connu des sondages comparables. Ils savent qu’une majorité de Français n’en peut plus, que les quatre cinquièmes des plus pauvres refusent d’être confrontés à ces flux continuels de pseudo-réfugiés. Pourtant, inlassablement, l’État continue à les accueillir. Et notre Président envisage d’aller plus loin. Il suffit de lire le rapport, validé par le Premier ministre, du député LREM Aurélien Taché.

    Mais voyons d’abord qui est ce « macroniste » ?

    Président de l’UNEF Limoges dans sa jeunesse, il fut ensuite socialiste et conseiller auprès des ministres du Logement Sylvia Pinel et Emmanuelle Cosse. Élu député du Val-d’Oise après les législatives 2017, il vient de pondre 72 mesures pour intégrer les migrants. Par exemple il propose :

    – de doubler le volume des cours de français (400 heures, voire plus pour les réfractaires),

    – d’autoriser les demandeurs d’asile « à travailler six mois après le dépôt » de leur dossier, voire plus tôt (cela, alors que la France compte plus de 9 % de chômeurs),

    – d’offrir à ces « nouveaux venus » un accès au logement et à l’emploi, d’une durée moyenne d’un an (les 3.000 sans-abri parisiens apprécieront.) Tout cela grâce à des contrats avec les branches professionnelles, des « partenariats avec les grandes entreprises », mais aussi des reconnaissances partielles de qualifications et un accès plus facile à certaines professions.

    Notre député souhaiterait aussi voir supprimer la condition de nationalité pour les fonctions non régaliennes de la fonction publique. (Bien évidemment, la CGT, FO et les autres syndicats s’inclineront et accepteront ce diktat au nom de l’antiracisme.)

    Mais le top du top est la création d’un « crédit d’impôt solidarité »pour les personnes hébergeant gratuitement un « étranger ». Crédit qui pourrait s’élever à 1.800 € par an. Ahurissant, effarant, intolérable, les mots me manquent pour décrire la colère qui s’empare de moi devant ces décisions.

    Ainsi, Macron ponctionne les retraités avec la CSG mais favoriserait financièrement les logeurs de migrants jeunes et bien portants. Pendant ce temps, nos anciens, ayant contribué à la richesse du pays, vivotent avec une maigre pension.

    Il est honteux d’abandonner des gens dans la rue ou d’ignorer des familles couchant dans des taudis alors que l’on s’inquiète pour des hommes robustes portés par des associations négligeant le prochain pour favoriser le lointain. Honteux, alors qu’il y a deux semaines, une vieille dame dans ma région se suicidait : elle n’avait plus de chauffage, plus de famille et plus de sous. Où étiez-vous, M. Taché ? Où étaient ces associations financées par Soros ? Sûr que, dans quelques années, comme peu de gens veulent des migrants chez eux, l’accueil deviendra obligatoire. Et que dire de la promiscuité de ces quidams pleins de vigueur vivant au milieu d’une famille ?

    Enfin, cette opération a un coût : plus de 600 millions d’euros. Après cela, Édouard Philippe, l’escogriffe du gouvernement, peut toujours proclamer : « La France a une longue et belle tradition d’accueil. » Alors, à quand un migrant à Matignon, M. le Premier ministre ?

    http://www.bvoltaire.fr/credit-dimpot-accueillent-migrants-cest-brillante-idee-depute-aurelien-tache/

  • Jawad relaxé, Pierre Cassen condamné à 3 mois de prison... soutenez Pierre Cassen

    3872059093.jpgPierre Cassen

    Riposte laïque

    cliquez ici

    Comment mieux résumer la France de Macron ? Dans notre pays, un djihadiste dealer qui héberge des terroristes se retrouve en liberté, mais…

    On me condamne, dans les circonstances ahurissantes que je décris dans cette vidéo, que j’ai réalisée rapidement chez des amis, à cause de problèmes techniques, à 3 mois de prison avec sursis.

    - Dans ce pays, on condamne 5 jeunes Identitaires à 1 an de prison avec sursis, et à des amendes exorbitantes.

    - Dans ce pays, on harcèle judiciairement Christine Tasin.

    - Dans ce pays, on multiplie les plaintes contre Robert Ménard.- Dans ce pays, on oblige Mohamed Louizi à faire une grève de la faim, après six plaintes déposées contre lui par des islamistes, quand celles qu’il dépose ne sont pas instruites.

    - Dans ce pays, on condamne l’apostat Pascal Hilout, né Mohamed, mais on fout une paix royale au CCIF ou aux Indigènes de la République, qui ne cachent pas leur volonté d’islamiser notre pays, ni leur haine des Français blancs.

    - Dans ce pays, on condamne une oeuvre du cinéaste Gérard Boyadjian, coupable de délit d’audace.

    - Dans ce pays, on condamne le blogueur Boris Le Lay à des peines de prison supérieures à celles d’islamistes qui ne cachent pas leur inféodation à Daesch.

    - Dans ce pays, on traîne le talentueux Eric Zemmour devant les tribunaux.

    - Dans ce pays, enfin, nombre de Français, coupables de trop aimer leur pays, sont harcelés par une véritable police politique, au service du régime, et par trop de magistrats, qui ne rendent plus la justice au nom du peuple français, mais au nom de leur idéologie mondialiste et multiculturelle.

    Je m’adresserai, suite à cette condamnation inique, que je vais essayer de contester, aux lecteurs de Riposte Laïque ce jeudi, à 13 heures, pour expliquer quelques dessous croustillants de cette condamnation, et mettre en place la meilleure riposte possible.

     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • «Face à l’islam conquérant, la France recule»

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    Par Ivan Rioufol

    CHRONIQUE – Si rien ne vient briser l’hégémonie prise dans les cités par les Frères musulmans et le salafisme, la France deviendra vite méconnaissable et invivable.
    La France recule sous les assauts de l’islam conquérant. Il crée le désordre dans la laïcité, la mixité, l’indivisibilité nationale. Il sème la discorde jusque dans l’école. Il fracture la nation. Partout, cette idéologie minoritaire exige sa visibilité, pose ses exigences, bouscule la République bonne fille. Emmanuel Macron promet d’aborder la question de l’islam avant la fin du premier semestre. Dimanche, il a dit vouloir «poser les jalons de toute l’organisation de l’islam de France». Bien. Mais sa prudence est un renoncement à affronter l’esprit totalitaire. Or il est à la source de l’épreuve de force. Un conseiller sur ce dossier, Hakim el-Karoui, constate (L’Opinion, lundi) que «les islamistes ont gagné la bataille de la norme, qu’il s’agisse du port du voile ou de la consommation de la viande hallal». Faudrait-il s’en satisfaire? Quand el-Karoui affirme dans la foulée qu’il faut «lutter contre l’islamophobie», en avalisant ce mot brandi par les islamistes et leurs caniches, il rend les armes.
    Les alertes des musulmans qui se sont libérés des interdits coraniques ne sont pas entendues du pouvoir
    La démocratie française est en train de perdre la guerre que l’islam radical lui a déclarée. Les alertes des musulmans qui se sont libérés des interdits coraniques ne sont pas entendues du pouvoir. Les musulmanes qui dénoncent l’oppression sexiste symbolisée par le voile protestent dans le vide. L’État «humaniste» ne s’émeut que de ceux qui surjouent les plaintes, dans un permanent chantage. L’apaisement promu par les autorités banalise l’infiltration islamiste. La candidate enturbannée de The Voice, la jolie et talentueuse Mennel Ibitssem, a eu ses défenseurs subjugués, en dépit des révélations sur sa proximité avec les Frères musulmans. Elle a eu ses avocats pour plaider son jeune âge (22 ans) et son droit à l’erreur. Mais bien peu se sont interrogés sur l’instrumentalisation prosélyte de sa présence sur TF1. L’indignation des réseaux sociaux a contraint la chanteuse à se retirer du télé-crochet. Cependant, nombreux sont ceux qui s’inquiètent de la réaction colérique de la jeunesse musulmane.
    Faudrait-il se résoudre à vivre dans la crainte des humeurs d’une contre-société gangrenée par la dictature islamique et sa haine de l’Occident? Près de la moitié des jeunes musulmans sont attirés par les valeurs de la charia. Si rien ne vient briser l’hégémonie prise dans les cités par les Frères musulmans et le salafisme, la France deviendra vite méconnaissable et invivable. Réformer l’organisation de cette religion ne sera jamais suffisant. Réciter, avec Macron, des mantras sur «l’islam compatible avec la démocratie» demeurera mensonger tant que ne sera pas nommé et combattu le totalitarisme qui enfièvre l’islam. Cet islam-là ne réclame pas de croire en son Dieu, ce qui serait respectable. Il prétend imposer à tous ses lois et sa Constitution. Comme l’explique Mohamed Louizi *, «l’islamisme (ou islam politique) est l’instrumentalisation de la foi musulmane, depuis la nuit de la mort du Prophète, à des fins de conquête du pouvoir politique». Louizi réclame un islam «dépolitisé, désarmé et non violent». Bel objectif.
    Les droits de l’homme sont mis au service de la pensée totalitaire
    En attendant, les droits de l’homme sont mis au service de la pensée totalitaire. C’est en leur nom, en effet, que les islamistes combattent la démocratie. Leur statut de minorité, reconnu par l’idéologie «antiraciste», leur offre la posture victimaire qui permet les abus de droit et les outrances. Dernièrement, la sénatrice PS des Bouches-du-Rhône Samia Ghali a insinué que Tariq Ramadan pourrait être suspecté non pour ses viols mais parce qu’il est musulman. Dans cette pensée complotiste, tout est fait pour persuader de la violence de la France, au point d’avoir convaincu le pouvoir de sa propre culpabilité. Plus l’islam radical humilie l’État, plus celui-ci se couche. Le préalable à toute réaction de la République est donc de s’extraire de ce piège dialectique qui empêche de mettre un coup d’arrêt à cette subversion sectaire. C’est elle que le gouvernement doit combattre, plutôt que d’envisager des accommodements avec la loi de 1905.
    Les délateurs et leurs soutiens
    Pour Macron, qui menace d’aller faire la guerre en Syrie, la tentation est grande d’acheter la paix intérieure en cédant à l’ennemi. Or rien ne peut justifier de transiger avec ceux qui veulent détruire la nation. Il a déjà été rappelé ici les similitudes qui unissent l’islamisme au communiste et au nazisme: le même culte de la force, la même détestation du monde libre, le même goût pour la table rase au profit d’un peuple supérieur. L’antisémitisme, le sexisme, la violence terroriste, commencent certes à ébranler l’opinion. Mais si le chef de l’État a pu se désoler dernièrement: «On est en train de perdre la bataille», il ne parlait que du climat. Or c’est un affrontement permanent qui se consolide, attisé par la passivité de nombreux organismes publics. L’Observatoire de la laïcité, par exemple, ne voit toujours rien de l’entrisme des Frères musulmans. Quant au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), il est ouvertement utilisé par ceux qui voudraient imposer le délit de blasphème. Se réveillera-t-il?
    La guerre civile est dans les têtes de ces fanatiques
    L’expérience vécue par votre serviteur ces jours-ci illustre la prétention hégémonique du courant islamiste. Pour avoir qualifié, vendredi dernier sur CNews, le voile de la chanteuse Mennel de «signe politique» et avoir redit que l’islam n’était pas seulement «une religion» mais un «corpus politique, une idéologie totalitaire», j’ai observé l’islamosphère se déchaîner sur Twitter pour obtenir du CSA qu’il sanctionne mes propos. La délation, lancée par une «journaliste», Feïza Ben Mohamed, a été relayée par le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), Dômes et Minarets et autres censeurs du même creuset. Le journaliste Jean-Michel Aphatie a soutenu la dénonciation, tandis que le réalisateur Dominique Farrugia m’insultait sur C8. Pour sa part, la militante anti-islamiste Henda Ayari, épuisée par la violence ordurière des attaques, s’est retirée un temps du combat. La guerre civile est dans les têtes de ces fanatiques et de leurs «collabos» à front de taureau.
    La fronde des musulmanes
    L’islamisme, vaincu par les femmes? Cette fois, c’est de La Mecque (Arabie saoudite) que vient la fronde, qui a déjà atteint l’Iran. Sous le hashtag MosqueMeToo (mosquée moi aussi), des musulmanes dénoncent la violence et les viols qu’elles ont subis lors de leur pèlerinage, alors qu’elles étaient voilées. Voilà ce que dit la sourate 5, verset 6, dans un douteux amalgame: «Si l’un de vous revient du lieu où il a fait ses besoins, ou si vous avez touché aux femmes et que vous ne trouvez pas d’eau, alors recourez à la terre pure, passez-en sur vos visages et sur vos mains»…

    * «Libérer l’islam de l’islamisme», Fondapol, janvier 2018.

  • Pensez printemps braves gens!

    Ah! la gauche donneuse de leçons! A quelques jours du prochain congrès du syndicat socialo-trotskyste UNEF, Libération dézinguait mardi les comportements de prédateurs sexuels de (nombreux) petits chefs de cette structure étudiante, traditionnellement grande pourvoyeuse de cadres pour le PS. Le quotidien du macroniste Patrick Drahi a recueilli «les témoignages de seize femmes victimes déclarées de harcèlement, d’agressions sexuelles et de viols de la part de dirigeants de l’organisation étudiante entre 2007 et 2015. Longtemps inaudibles, ou silencieuses, ces anciennes militantes racontent des années de sexisme du syndicat et son apparent laisser-faire face aux violences sexuelles.» «On était une mini-autocratie, raconte abonde Marion Oderda, ancienne du bureau national. Il y avait, dans l’ordre, Marx, Lénine, Engels et le nom du président de l’Unef.»  «C’est une orga lamberto ( trotskisme lambertiste, NDLR) de chez lamberto où on ne jure que par les croix et les colonnes, confirme Caroline De Haas, secrétaire générale de 2006 à 2009. Registre marxiste oblige, les forts sont surnommés les bolch (pour bolcheviks) quand les faibles sont appelés des mench (mencheviks). Aujourd’hui, au grand dam de certains, beaucoup d’anciens parlent d’emprise sectaire et de gourouïsation des chefs.» La secte du Mandarom  en  encore plus  folklorique en quelque sorte… 

    Bolchos ou mencheviks, tous communient cependant dans les mêmes attaques médiatiques contre le mâle blanc, le patriarcat archaïque, au nom de l’antiracisme et de la lutte contre les discriminations..n’est-ce  pas Caroline De Haas?  Hypocrites qui feignent aussi de crier au scandale après les récentes révélations (?)  sur l’ONG britannique Oxfam (dont les études théoriques ne sont pas toutes sans qualités)  selon lesquelles  certains représentants  à Haïti se payaient  du bon temps avec des prostituées, aux frais de la princesse… et des braves occidentaux qui dégainent leur chéquier  en espérant soulager la misère…et parfois leur bonne  conscience.  «Oxfam a présenté ses excuses au peuple haïtien lundi pour les dérives sexuelles de certains de ses employés, exprimant sa  honte  en remettant aux autorités à Port-au-Prince son rapport d’enquête interne. » Comme le notait Bernard Lugan il y a déjà  quelques années,  dénonçant les ravages du  charity business, il serait bon d’expliquer aux ONG et à leurs bailleurs de fonds  « qu’il y a suffisamment de malheureux en Europe pour occuper le temps de leurs membres, même si la misère est plus agréable à soulager au soleil des tropiques que durant les frimas de l’hiver septentrional…»

    Hypocrisie encore et toujours qui imprégnait les excuses spécieuses de la mairie de Paris pour empêcher que le grand écrivain et académicien  français Michel Déon  repose dans la capitale. Certes, l’ancien secrétaire de Charles  Maurras à l‘Action française  n’était pas un modèle de politiquement correct. Ami de Jean-Marie Le Pen (Horresco referens) homme aux  convictions nationales inchangées, il accumulait les tares rédhibitoires justifiant l’ostracisme  aux yeux  d‘Anne Hidalgo et de son entourage,mais la mairie de Paris  a finalement cédé sous  la pression.  Saluons ici, la pétition d’écrivains  lancée à l’initiative  du Figaro dans laquelle se côtoyait aussi bien le nom de BHL que celui de Jean Raspail ce qui n’est pas si fréquent !

    « En démocratie, ce n’est pas le peuple qui est souverain,  c’est le langage » notait Michel Déon et celui de Laurent Wauquiez , auquel  Bruno Gollnisch a réagi (ici et ici),   continue  à faire couler beaucoup d’encre, le président de LR s’assurant à  peu de frais après sa conférence donnée à Lyon une grosse couverture médiatique. Dézinguer M. Juppé  et Mme  Pécresse ne devrait pas heurter cette France d’en bas et périphérique dont la girouette Wauquiez, parangon d’insincérité,  guigne les suffrages. Mais le mépris de classe n’est jamais loin comme l’illustre la boulette de  Gilles Platret, un porte-parole de LR qui prenant la défense de son patron,  tente de nous faire  croire  à la fable du piège médiatique et  dénonce un journalisme «niveau CAP d’ajusteur-monteur» … quand son propre camp promeut en surface l’excellence des  filières courtes et les bienfaits de l’apprentissage pour  que nos jeunes accèdent à l’emploi. Comme le souligne Pont d’Arcole sur son compte Twitter,  « le mépris affiché du porte-parole LR pour les ouvriers est pathétique, du même niveau que lorsque M. Macron insulte les Français d’alcooliques ou de fainéants»

    Français bafoués, insultés, méprisés aussi au travers du projet de loi immigration et asile   qui était discuté hier  au conseil des ministres. Cela  commence très fort avec le bruit fait autour du rapport sur l’intégration du socialiste Aurélien Taché rallié à LREM  dont il est député du Val d’Oise, et transmis lundi  au Premier ministre et au ministre de l’Intérieur. Il vise entre autres joyeusetés  à autoriser les immigrés clandestins demandeurs d’asile à obtenir  un emploi au bout de six mois, avant qu’ils aient obtenu le statut de réfugié..Tout cela est d’une logique imparable et d’une nécessité absolue : nos compatriotes sont  matraqués,  taxés, épongés, rabotés, imposés comme jamais,  la France croulent sous  les déficits,  comptent cinq millions de chômeurs et huit millions de pauvres mais  pourquoi se gêner?  Faites de la place braves gens  et penser printemps !  

    Bien sûr, nous subissons de nouveau dans ce cadre le jeu de rôle des coteries du Système : ce projet est une infamie,  le retour de Vichy, voire de de Pasqua dénoncent les  uns; un  bel exemple de fermeté équilibrée par un  humanisme pragmatique de bon aloi selon les autres. En vérité des mesurettes qui ne sont pas à la hauteur des enjeux. Bruno Gollnisch l’a dit sur le plateau de France info vendredi dernier, si   « notre pays est aujourd’hui un pôle d’attraction pour toutes sortes de malheureux», «cette  nouvelle loi, une de plus,  traite le symptôme et ne s’attaque pas aux causes. Les flux migratoires totalement incontrôlés continuent d’arriver. On va modifier un peu dans le sens de l’accélération, les procédures d’examen de l’asile. Mais le problème, c’est que les déboutés du droit d’asile, ne retournent jamais pratiquement dans leur pays » Prendre à bras  le corps ce problème,  consisterait  déjà à  engager un dialogue franc et ferme avec des pays qui, comme l’Algérie ou le Pakistan,  refusent  le retour sur leur sol de leurs ressortissants  clandestins. M. Macron serait bien inspiré de réfléchir à cette question,  afin de mettre en oeuvre ses autoproclamés talents de diplomate et de persuasion…

    Il est pourtant plus que temps  d’agir!  André Posokhow, indique au terme de son étude mise en ligne sur  Polemia , statistiques à l’appui, qu’«il  arrive actuellement (sur notre sol) près de 300 000 immigrés par an et la population spécifiquement française diminue d’environ 120 000 personnes. C’est le grand remplacement dénoncé par Renaud Camus…» Si «mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde» selon la célèbre formule d’Albert Camus, que dire de dirigeants politiques qui nient la réalité de phénomènes qui menacent d’un péril mortel la nation dont ils ont la charge? 

    https://gollnisch.com/2018/02/22/pensez-printemps-braves-gens/

  • Immigration : « La loi Collomb est la plus grande machine à régulariser de l’histoire de France »

    Antonin a tout du personnage de roman noir, de l’anti-héros des chansons de François Hadji-Lazaro pour Pigalle. Grande-gueule, ce travailleur social a le visage buriné par la vie, par les coups durs. Apparemment confiant, il cache une sensibilité à fleur de peau que sa vocation à aider les plus démunis d’entre nous ne démentit pas. C’est parce que le problème des sans domiciles fixes le révolte qu’il a bien voulu répondre à nos questions anonymement. Ses positions surprenantes dérangeront probablement ceux qui ont des idées préconçues sur le sujet. Qu’importe, le mérite principal d’Antonin est bien de ne pas verser dans le misérabilisme compassionnel qui fait le bonheur des fictions télévisuels et des chanteurs engagés. Lui, connaît la réalité de la rue pour l’avoir vécue dans sa chair d’homme et de travailleur.

    (…)  » 95% des migrants arrivant en France sont considérés comme des SDF alors qu’ils ont un logement (souvent une maison) au pays. D’ailleurs, ils y retournent en vacances « au bled », dès que l’Etat les régularise. Imaginez qu’il y a presque 100 millions de touristes qui viennent en France tous les ans. Sont-ils considérés comme des SDF ? »

    (…) « Ces associations d’insertion engagent des salariés via des contrats aidés. Les fameux contrats dont Hollande avait fait une priorité. Emmanuel Macron a, de son côté, décidé de les limiter à ces associations. Les salariés, plus de 90% d’immigrés, ont donc des fiches de paie avec contrat de travail, deux éléments cruciaux pour accéder aux logements sociaux. Ils deviennent prioritaires pour quitter les centres d’hébergement aux yeux de la mairie et de la préfecture (70% du contingent de la préfecture leur est dédié en plus des 1.500 logements de la mairie de Paris via les accords collectifs). »

    (…) « Le projet de loi asile et immigration de Gérard Collomb va-t-il changer les pratiques en matière d’hébergement d’urgence ?
    Ce projet est la plus grande machine à régulariser de toute l’histoire de France. L’Etat sait très bien qui est hébergé dans chaque centre puisqu’il finance 18.000 euros la place à l’année via la DRIHL (service de la préfecture). Les associations mentent donc en refusant de communiquer les noms des personnes s’y trouvant. Cette opération va permettre de faciliter les régularisations grâce à la circulaire Valls. Au surplus, les fonctionnaires devront être bienveillants et moins pointilleux que par le passé. »

    (…) « Il faut savoir qu’il y a 700 demandes par jour pour deux places en centre d’hébergement et de réinsertion sociale. Et là intervient la deuxième étape jouant contre les SDF Français : la loi DALO/Sarkozy impose qu’il n’y ait pas de rupture d’hébergement quand une personne est prise en charge par l’état. Donc tous les demandeurs d’asiles ayant obtenu le statut de réfugié sont prioritaires pour vider les CADA (centres d’accueil pour demandeurs d’asile) puisqu’ils basculent dans le droit commun. »

    (…) « Quand j’entends un certain mouvement politique reprendre le chiffre officiel de 143.000 SDF, je ne peux qu’être dégouté par cette volonté de surfer sur la vague des SDF, comme les associations, pour faire du buzz. Défendre un toit pour les 143.000 « SDF » revient à donner un toit à plus de 140.000 étrangers : même les associations les plus à gauche ne pourraient rêver mieux.  »

    http://www.fdesouche.com/958605-revelations-a-peine-400-sdf-francais-dans-paris-un-travailleur-social-dit-tout

  • 10 ans d’« indépendance » du Kosovo : bienvenue dans le pandémonium de l’Europe – par Nikola Mirkovic

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    Le Kosovo demeure une zone très instable qui peut de nouveau embraser la région.

    Avant toute chose, il faut clarifier la situation du Kosovo, qui n’est pas « indépendant », comme certains veulent nous le faire croire. Des Albanais du Kosovo ont déclaré leur indépendance le 17 février 2008, mais cela n’en fait pas un pays indépendant pour autant. La résolution 1244 de l’ONU souligne que le Kosovo fait partie de la Serbie et l’ONU elle-même ne reconnaît pas le Kosovo indépendant. C’est, d’ailleurs, la position officielle du Vatican, de la Russie, de l’Espagne, de l’Inde… et de nombreux pays qui refusent de reconnaître l’indépendance de cet « État » artificiel, haut lieu du crime organisé et calvaire des orthodoxes serbes.

    La situation du Kosovo, aujourd’hui, est catastrophique. Plus de 1.000 Serbes ont été assassinés et 250.000 Serbes chrétiens ont dû fuir la région depuis l’arrivée de l’OTAN. 150 églises chrétiennes ont été détruites pendant qu’en même temps, 800 mosquées se sont construites et que le Kosovo devenait le premier fournisseur, par tête d’habitant, de djihadistes en Europe. Les Serbes, devenus minoritaires sur leur propre terre, continuent de subir une purification ethnique qui n’émeut guère les grandes consciences européennes.

    Le Kosovo est une des régions les plus jeunes et également les plus pauvres d’Europe, avec 60 % des jeunes au chômage, 30 % de la population vivant sous le seuil de pauvreté et 10 % de la population survivant en extrême pauvreté avec moins d’un euro par jour. C’est un paradoxe incroyable pour une région qui a reçu plus d’argent, par tête d’habitant, que l’Europe avec le plan Marshall. La situation est tellement catastrophique que des milliers d’Albanais eux-mêmes fuient maintenant la région par dizaines de milliers.

    Et c’est normal que le Kosovo ne s’en sorte pas. Les pays de l’OTAN, qui ont fomenté la guerre en ex-Yougoslavie en formant et en finançant l’armée terroriste de l’UÇK, ont choisi ces mêmes terroristes, majoritairement issus du crime organisé, pour diriger le « pays » une fois la guerre terminée. À quoi fallait-il s’attendre d’autre ? Pensait-on, sérieusement, que Hashim Thaçi, l’actuel « président » du Kosovo, chouchou des chancelleries occidentales et ex-chef de l’UÇK, dont un rapport du Conseil de l’Europe dit qu’il est « le plus dangereux parrain de la pègre de l’UÇK », devienne du jour au lendemain un philanthrope humaniste doté d’un sens aigu de l’économie et de la gestion d’un pays ? Évidemment que non. Thaçi a été mis en place parce qu’il ferme les yeux sur les prédateurs économiques, issus des pays de l’OTAN, qui rachètent la région pour une bouchée de pain, abusant de la main-d’œuvre à bas prix et rapatriant les dividendes dans leurs pays d’origine.

    Le Kosovo demeure une zone très instable qui peut de nouveau embraser la région. Maintenant, plus que jamais, il faut mettre fin à cette ingérence funeste de l’Union européenne et des États-Unis en Serbie et laisser l’État de droit serbe régler lui-même ses problèmes internes.

    Nikola Mirkovic

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Immigration : “Vous serez bienvenus chez nous” - Journal du Mardi 20 Février 2018