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anti-national - Page 691

  • La loi sur les "Fakes news" est une loi de censure au profit de la grosse presse

    6a00d83451619c69e201b8d2d28b23970c-250wi.pngC'est l'aveu de Florian Bachelier, Député LREM de la huitième circonscription d'Ille-et-Vilaine, Premier Questeur de l'Assemblée Nationale, dans cette tribune publiée dans Ouest France et intitulée "Les Fake News portent atteinte à la souveraineté de l'Etat" (rien que ça) :

    "Les fake news constituent une menace sérieuse pour nos sociétés démocratiques en faussant pernicieusement la discussion publique. Qu’il n’y ait aucune ambiguïté : les fake news ne sont pas des opinions dissonantes, telles qu’elles ont toute leur place en démocratie. Elles procèdent de la seule volonté de tromper insidieusement. Nous le constatons aujourd’hui avec la concomitance du succès croissant des théories complotistes et de la défiance envers les médias traditionnels. À l’extrême droite allemande, l’AfD joue de ce trouble et fait circuler ses propres « réinformations » pour corriger cette Lügenpresse - la presse menteuse - un terme employé par les nazis pour les journaux d’opposition.

    À l’heure où l’Otan reconnaît le cyberespace comme un domaine d’intervention militaire au même titre que la mer et la terre, il faut saisir l’ampleur du danger. La fake news est aussi loin du canular que la Gerboise bleue, le premier essai nucléaire français, d’un pistolet en plastique : c’est une arme de déstabilisation massive. Elle est à même de porter atteinte à la souveraineté de l’État. C’est pour cela que le président de la République a souhaité une nouvelle loi et des mesures fortes pour combattre les fake news

    Les médias ont certes déjà proposé des initiatives de décodage qui aident le lecteur à séparer le bon grain de l’ivraie. Honorable, légitime, cette entreprise seule semble toutefois impuissante à enrayer la propagation.

    En 2018, la loi sur la presse datant de 1881 n’est plus adaptée à l’ère d’Internet et des réseaux sociaux, où les flux d’informations sont constants, sans frontière ni intermédiaire. C’est précisément parce que la liberté de la presse demeure un des droits les plus précieux que la loi doit évoluer.

    La nouvelle loi devra donc tout d’abord permettre d’agir en temps réel. La réponse doit être plus véloce que la menace en agissant directement sur les hébergeurs de fake news : 24 heures de partages sur les réseaux sociaux peuvent déjà être désastreuses. Il faut en outre pouvoir demander des comptes à ces plateformes et rendre transparents leurs financements. Il faut enfin mettre un terme au lâche anonymat de ceux qui sapent derrière un écran l’exercice de la citoyenneté. Le temps est en somme de nouveau venu de rejeter l’obscurantisme par plus de lumière.

    J’entends la crainte d’un retour sournois de la censure et je comprends ceux qui redoutent que la liberté de la presse et la liberté d’opinion n’en ressortent meurtries. Il n’en est rien. Tout d’abord, parce qu’il ne s’agit pas d’une vérité officielle mais d’une lutte contre la diffusion volontaire de fausses informations, au même titre que la répréhension de la diffamation et l’escroquerie.

    Bien plus, parce que les premiers concernés par ce fléau sont avant tout les journalistes dont la rigueur et le long labeur peuvent être fatalement balayés par l’émission et la transmission industrielles de ces rumeurs trompeuses. C’est pour cela qu’ils seront très largement associés à la réflexion et à la construction de cette nouvelle loi, dans un débat transparent, entre citoyens."

    Il s'agit bien de garantir le monopole de la presse étatique, celle qui est largement subventionnée par l'argent public et qui passe son temps à manipuler l'opinion et à pratiquer la désinformation, selon diverses méthodes dénoncées notamment par Jean-Yves Le Gallou.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Surveillants de prison : La situation ne devrait pas s’apaiser de si tôt

    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Depuis quelques semaines, la tension est palpable entre l’administration pénitentiaire et les surveillants de prison. La semaine dernière par exemple, plus d’une centaine de prisons étaient bloquées par des surveillants en colère.

    Les négociations entre les deux partis se poursuivent mais n’ont toujours pas abouties. Les blocages devraient donc continuer dans les prochains jours.

    Le conflit actuel est impressionnant par sa durée et son ampleur. Les surveillants s’opposent au climat de violence auxquels ils font actuellement face.

    On recense depuis plusieurs mois un nombre croissant d’agressions de surveillants par des détenus, dont certaines par des islamistes. Le projet propose aux syndicats des surveillants proposait une création de 1100 emplois sur 4 ans avec un renforcement de la sécurité des surveillants. Un projet rejeté dans son ensemble par les syndicats car pas assez ambitieux

    Les surveillants remettent aussi en cause le taux de surpopulation carcérale qui atteint les 200% dans certaines régions comme l’Île-de-France ou le Sud Est.

    Une surpopulation aussi dans le viseur des Nations Unies qui épinglent régulièrement la France sur le sujet. Les derniers ministres de la Justice en particulier Christiane Taubira ont tenté de mettre en place de nouvelles punitions permettant de désemplir les prisons mais mettant potentiellement en danger la sécurité des Français.

    Pendant ce temps là, la situation s’est compliqué dans 2 nouvelles prisons.

    Dans les prisons de Maubeuge et Sequedin, des dizaines de détenus ont refuse de rejoindre leurs cellules. De nouvelles tensions qui devraient s’ajouter à celles déjà présentes.

    https://fr.novopress.info/

  • Aide aux migrants : que dit la loi et qui sont ceux qui favorisent l’invasion migratoire en France ?

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    En 2017, la France a reçu un nombre record de demandes d’asile. En France, des initiatives se mettent en place multiplient pour aider les migrants, notamment l’hébergement de ces derniers par des particuliers. Mais qu’en dit la loi ?

    Dans ce reportage, France 24 met en avant des militants pro-immigrationnistes tels que Cédric Herrou et présente également le site Infomigrants.net, qui vise à mieux favoriser l’installation de populations immigrées sur notre sol.

  • Éric Zemmour : « Donald Trump agit comme un chef d'opposition en exil »

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    BILLET - Le 20 janvier, cela fera tout juste un an que Donald Trump a été officiellement investi à la présidence des États-Unis. Contrairement aux apparences, le milliardaire doit faire face à la résistance de nombreux contre-pouvoirs. [RTL 18.01]. En quelques mots brefs et lucides, Zemmour nous rappelle, par-delà le personnage Trump, ce qu'est la démocratie américaine, ce que sont ses présidents, leurs pouvoirs et les contre-pouvoirs qui en limitent l'action. Le Système politico-médiatique occidental y ajoute son incessante propagande.  LFAR


    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    2293089609.12.jpgC'est un fou, un imbécile, un illettré, un fainéant. Donald Trump suscite des jugements pour le moins tranchés. C'est l'habitude en France de se gausser des présidents américains, surtout quand ils sont issus du Parti républicain.
    Reagan passait pour un inculte, Gerald Ford pour un brave gars qui ne savait pas marcher et mâcher du chewing-gum en même temps, Bush junior pour un ancien alcoolique, et Nixon pour un fou et un menteur. Mais Donald Trump, lui, cumule tout. 

    Pendant la campagne, les médias américains nous assuraient qu'il ne pourrait jamais être élu. Depuis qu'il est à la Maison-Blanche, ils nous assurent qu'il ne peut pas gouverner. Ce qui n'est pas tout à fait faux.  

    Éric Zemmour

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Règlement de conte

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    Georges Feltin-Tracol

    A-t-on atteint les limites de la sottise humaine ou bien celle-ci est-elle illimitée ? L’affaire Harvey Weinstein n’a fait qu’accélérer la diffusion du venin gynocratique dans toutes les sociétés occidentales ultra-modernes, en particulier chez les Anglo-Saxons. Ses répercussions quotidiennes auraient ravi Pierre Gripari qui publiait en 1982 une Patrouille du conte. L’histoire raconte le travail d’agents qui rectifient les contes dans un sens politiquement correct. L’Ogre du Petit Poucet devient ainsi végétarien.

    À la fin du mois de novembre 2017, une mère de famille, Sarah Hall, de Newcastle en Grande-Bretagne s’indigne de la scolarité de son fils de 6 ans. Y a-t-il trop de professeurs absents ? Sont-ils trop sévères ou bien trop laxistes ? La nourriture est-elle mauvaise à la cantine ? Non, ses griefs sont bien plus graves. Cette Sarah Hall se scandalise que son fils apprenne en classe le conte de La Belle au bois dormant, un bel exemple selon elle de harcèlement sexuel. En effet, le baiser que donne le Prince charmant à la belle endormie afin de la réveiller soulève le problème du consentement.

    Plus généralement, des féministes hystériques condamnent maintenant les héroïnes de conte parce qu’elles sont blanches, passives (sic), minces et hétérosexuelles. Ces malades préféreraient que Blanche-Neige se mette en couple avec Gretel et aient plein d’enfants grâce à la GPA. Ce délire atteint aussi l’opéra. En Italie, la fin tragique de Carmen vient d’être modifiée. Elle ne meurt plus (triste exemple de « féminicide »), mais tue Don José, ce qui est une apologie de la violence faite aux hommes et par conséquent une incitation à commettre un homicide ! Mais bon ! passons, voulez-vous ? On attend avec impatience d’autres changements. La Grand-Mère du Petit Poucet n’est plus avalée par le Loup, horrible acte de spécisme, mais se marie avec lui !

    Un révisionnisme sordide s’insinue dans nos esprits. Il importe de le rejeter par toutes nos forces. Il est inacceptable que le patrimoine littéraire de notre civilisation européenne soit ainsi édulcoré, violé, profané. Sinon pourquoi ne pas inciter le Prince charmant à épouser la Belle au bois dormant, Blanche-Neige et Cendrillon en même temps ?

    Bonjour chez vous !

    • « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°62, diffusée sur Radio-Libertés, le 19 janvier 2018.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Tandis que Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur, va présenter sa loi immigration…

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    Par Marc Rousset, économiste et ancien haut dirigeant d’entreprise 

    Les 220.000 avortements en France favorisés par une folle politique libertaire et laxiste et payés par nos impôts correspondent à l’immigration légale de 200.000 extra-Européens et celle de 20.000 clandestins par an.

    Tandis que Gérard Collomb, en ce début année, va présenter son projet de loi Immigration – qui ne sera peut-être encore que de la poudre de perlimpinpin, pour reprendre l’expression du président – et qu’il nous ressort la vieille rengaine usée de la politique de la ville, coûteuse, ruineuse, inefficace et complètement à côté de la plaque, Trump et Poutine, à la tête de deux hyper puissances, agissent concrètement et nous montrent l’exemple.

    Aux États-Unis, la chute d’admission des réfugiés au quatrième trimestre 2017 a été de 79 % : 5.323 au lieu de 25.671 réfugiés au quatrième trimestre 2016 (dont 13 % seulement de musulmans et 60 % de chrétiens). Les États-Unis, mais aussi Israël, la Hongrie, les pays de l’Europe de l’Est et l’Australie nous montrent donc l’exemple.

    Poutine, lui, en ce début d’année 2018, a décidé de faire un cadeau aux jeunes parents russes. Une allocation supplémentaire de 3.700 euros sera accordée dès le premier enfant sur une période de dix-huit mois. La Russie est donc à l’antipode de la politique du socialiste Hollande et du grand-père par alliance sans enfants Macron qui s’attaque au principe de l’universalité des allocations familiales, sachant très bien qu’en faisant cela, c’est à la classe moyenne française qu’il s’attaque.

    Les 220.000 avortements en France favorisés par une folle politique libertaire et laxiste et payés par nos impôts correspondent à l’immigration légale de 200.000 extra-Européens et celle de 20.000 clandestins par an. Ils devraient être limités et combattus par une loi nouvelle revue et corrigée beaucoup plus stricte qui reviendrait à l’esprit de la loi Veil. De Gaulle, devant l’Assemblée constituante en 1945, n’avait-il pas déclaré que « si le peuple français ne se multiplie plus, alors la France ne pourrait plus rien être qu’une grande lumière qui s’éteint ».

    La France et l’Europe doivent donc à la fois arrêter l’immigration et favoriser la natalité, afin de survivre et de garder leur identité. L’Europe, avec son taux de fécondité de 1,6 enfant par femme, ne fait plus d’enfants et devient le seul endroit au monde qui appartient à tous les immigrés de la terre. Comme a pu le dire Frauke Petry, ancienne responsable de l’AfD en Allemagne : « L’Union européenne ne veut plus des peuples, mais des populations. »

    Le nombre de naissances en France métropolitaine a baissé pour la sixième année consécutive, soit 747.000 naissances seulement en 2016. L’indice de fécondité est passé à 1,89 : en dessous du taux de reproduction minimum des populations à l’identique, qui est de 2,1 enfants par femme et ce, malgré l’apport significatif d’une population immigrée extra-européenne avec un taux de fécondité de 2,6 par femme (selon un ouvrage de l’INSEE publié en 2012) .

    Il faut savoir que, même avec une immigration zéro, la population d’origine immigrée continuerait d’augmenter en France. La France, selon ses prévisions actuelles, devrait compter 74 millions d’habitants en 2050, dont 30 % de population d’origine immigrée. On n’intègre plus, on assimile encore moins, aujourd’hui dans notre pays. Alors, avec de telles perspectives statistiques, comment ne pas imaginer qu’on pourrait aller droit vers une guerre civile ? 2050, c’est dans 32 ans seulement, soit le temps pour un enfant de devenir un homme !

    L’Allemagne, avec un taux de fécondité toutes origines par femme de 1,39, tout comme l’Italie, perdent 150.000 autochtones par an. L’Allemagne est morte et commence tout juste à le savoir sans avoir encore réagi. Selon Thilo Sarrazin, dans son ouvrage best-seller Deutschland schafft sich ab, si l’Allemagne du 8 mai 1945 avait connu le même taux de natalité que les Palestiniens, il y aurait aujourd’hui 600 millions d’Allemands…

    Marc Rousset 09/01/2018

    Source : Boulevard Voltaire
    https://www.polemia.com/tandis-que-gerard-collomb-ministre-de-linterieur-va-presenter-sa-loi-immigration/

  • OLIVER IVANOVIĆ, HÉROS SERBE DES TEMPS MODERNES, ASSASSINÉ AU KOSOVO

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    Le peuple qui a résisté à l’occupation ottomane, qui a repoussé seul l’invasion du IIIe Reich et qui n’a pas eu peur de se défendre contre l’OTAN a quelque chose à dire à ses oppresseurs…

    Oliver Ivanović (Оливер Ивановић), un des responsables historiques des Serbes du Kosovo, a été assassiné devant l’entrée de son bureau dans la zone serbe de Kosovska Mitrovica, au nord du Kosovo. Quasiment vingt ans après les terribles bombardements de l’attaque illégale de l’OTAN sur toute la Yougoslavie, le martyre du peuple serbe se poursuit dans une violence inouïe qu’aucun autre peuple européen ne connaît depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

    Malgré les promesses de « démocratie » et de « respect des droits de l’homme » faites par l’OTAN, les Serbes continuent de subir la terreur au quotidien. Il fallait attendre un nouveau meurtre pour que les médias dominants reviennent sur le sujet du Kosovo.

    Quel sarcasme, quand on pense que ce sont ces mêmes médias qui pleurent la mort d’Ivanović aujourd’hui qui, il y a vingt ans, ont travesti la vérité en faisant passer les Serbes pour des bourreaux alors qu’ils ne faisaient que défendre leur foyer et leur héritage national et chrétien. Depuis vingt ans, 250.000 Serbes ont fui le Kosovo et plus de 1.000 ont été assassinés et continuent de l’être aujourd’hui. Rien que depuis le début de cette année, les Povratnici, ces Serbes qui osent revenir au Kosovo depuis l’exode de 1999 de différents villages, sont attaqués, volés et ostracisés.

    À Novake, près de Prizren, l’ancienne capitale impériale serbe, les Serbes ont eu leurs fermes attaquées à l’engin incendiaire. À Đakovica, des pèlerins orthodoxes serbes n’ont pas pu fêter Noël le 7 janvier dernier car des manifestants leur refusèrent l’accès à l’église. Pas une semaine ne passe sans qu’un tel incident ne se produise, et pourtant les Serbes restent. Silencieux, minoritaires, ils n’abandonnent pas leur terre. Ils n’implorent pas notre pitié mais ils méritent notre respect et notre soutien. 

    C’était le combat d’Oliver Ivanović, un homme qui n’a pas hésité à prendre les armes pour défendre son peuple quand des extrémistes albanais ont voulu exterminer tout ce qui restait de serbe au Kosovo et en Métochie à la fin des années 1990. Mais Ivanović était aussi, et avant tout, un homme de paix, un homme capable de faire le consensus et de trouver des solutions. C’était un homme courageux qui ne se cachait pas. C’est un homme qui a été jeté deux ans dans une prison albanaise au Kosovo, accusé injustement de crimes de guerre et qui fut libéré faute de preuves. C’était un homme, père de famille, fier, c’était un homme droit. C’était forcément l’homme à abattre.

    Aujourd’hui, tous les Serbes pleurent un frère et la liberté pleure un fils, mais le peuple qui a résisté à l’occupation ottomane, qui a repoussé seul l’invasion du IIIe Reich et qui n’a pas eu peur de se défendre contre l’OTAN a quelque chose à dire à ses oppresseurs : « Nous ne partirons jamais. » C’était aussi cela, le message d’Oliver Ivanović, un vrai héros des temps modernes. Que son âme repose en paix.

    http://www.bvoltaire.fr/oliver-ivanovic-heros-serbe-temps-modernes-assassine-kosovo/

  • Les racailles à la bibliothèque : Crachats, insultes, gifles, livres brûlés…, par Caroline Parmentier

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    9033-20180120.jpgÇa non plus, les gros médias ne vous en ont pas parlé. Quand la vérité est trop politiquement incorrecte, comme pour les bandes africaines qui s’entretuent dans le Paris d’Hidalgo, ils étouffent le coup, on a l’habitude. Les agents de la bibliothèque municipale Vaclav Havel (XVIIIe arrondissement) sont harcelés et persécutés au quotidien par des racailles âgées de 11 à 15 ans.

    C’est un véritable SOS qui a été lancé à toutes les bibliothèques municipales parisiennes par la bibliothèque Vaclav Havel située dans le quartier de La Chapelle (célèbre pour ses zones interdites aux femmes) : crachats, insultes, gifles envers le personnel, jet de fumigènes, livres brûlés au sein de la bibliothèque, extincteurs dégoupillés, vols, toilettes souillées… les agents interpellent la mairie de Paris dans une lettre ouverte.

    Ces bibliothécaires sont majoritairement syndiqués à la CGT (les infos sont sur le blog CGT Culture DAC Ville de Paris). Des idéologues de gauche, convaincus des bienfaits de la diversité, heureux d’expérimenter le vivre-ensemble et d’offrir les clés du savoir et de la culture à des jeunes issus de l’immigration. Ils le disent d’ailleurs : « Depuis son ouverture en octobre 2013, l’équipe de la bibliothèque Vaclav Havel accueille avec enthousiasme un public varié dans un quartier à la situation sociale et économique défavorisée. Nous essayons d’offrir des services de qualité adaptés à ces différents publics. »

    Sauf que depuis de nombreux mois, la situation a viré au cauchemar : « Depuis un an, nous ne pouvons que constater une dégradation de nos conditions de travail avec une augmentation des actes de délinquance : vols en salle de jeux vidéo, collègue giflée, crachats, insultes, jet de fumigènes, livres brûlés au sein de la bibliothèque, extincteurs dégoupillés. Il est également à noter que les commerces de l’esplanade subissent un nombre croissant d’agressions ce qui a donné lieu à une réunion au commissariat du XVIIIe arrondissement à laquelle nous avons participé. »

    En outre, précisent les agents de la bibliothèque, « nous devons régulièrement fermer nos sanitaires en raison d’un manque d’hygiène ». Rien sur l’identité des agresseurs évidemment, qualifiés de « public varié ». Même si tout le monde a identifié sans peine l’origine des mœurs (et des tags ! Voir photo).

    Mercredi 3 janvier, les jeunes assoiffés de littérature, sont passés à la vitesse supérieure. Un quart d’heure avant la fermeture, « un groupe d’une quinzaine de garçons âgés de onze à quinze ans », a refusé de quitter la bibliothèque. Insultes, menaces de revenir armés de bâton et de frapper le personnel, jets de projectiles (canettes, poubelles), agressions physiques contre le vigile. Les braves cégétistes précisent que « dans l’impossibilité d’établir un dialogue avec ces jeunes adolescents » (comment est-ce possible ? C’est à n’y rien comprendre) ils ont fini par se confiner à l’intérieur de la bibliothèque, rideau de fer baissé.

    Le personnel qui peut exercer son droit de retrait, demande aujourd’hui une « reconnaissance de ces conditions difficiles par l’octroi d’un poste de médiateur / éducateur qui puisse établir un contact adapté avec les jeunes du quartier ».

    Anne Hidalgo, militante active de l’anti racisme, du multiculturalisme et de l’accueil des migrants, a dépêché sur place son adjoint en charge de la culture, Bruno Julliard. Le syndicat de Vaclav Havel avait alerté dès le mois d’avril dernier le bureau des bibliothèques de la Ville de Paris sur ces événements. Le chef de bureau avait alors répondu qu’il « ne voyait là rien de grave », tout juste « des bêtises de gamins ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 18 janvier 2018

    https://fr.novopress.info/209179/les-racailles-a-la-bibliotheque-crachats-insultes-gifles-livres-brules-par-caroline-parmentier/

  • Après l’agression de policiers à Champigny : vers la partition de la France ?

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    Par Michel Leblay, patron d’émission à Radio Courtoisie 

    Pour avoir qualifié les « voyous » de banlieue de « soldats », « de bras armé de la conquête » […] de « colonisateurs » au service de minorités musulmanes, l’écrivain Renaud Camus a été condamné par une « justice » liberticide. Et pourtant ce qui se passe sous nos yeux c’est bien une partition du territoire (d’ailleurs envisagée par l’ancien président François Hollande). Les agressions de policiers, de pompiers, de médecins, d’agents des services publics se multiplient. Des zones entières du territoire – pourtant gorgées de subventions – échappent à la loi commune et combattent la présence française. Mais plutôt que de s’attaquer à ce problème, « juges », politiques et médias préfèrent poursuivre les lanceurs d’alerte. Michel Leblay fait le point pour Polémia avec des chiffres précis sur les agressions de policiers, de gendarmes, de pompiers.
    Polémia

    Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier derniers, deux policiers ont été lâchement agressés par des émeutiers à Champigny-sur-Marne alors qu’ils intervenaient pour rétablir le calme auprès d’un local où une fête de réveillon avait été illégalement organisée.

    Le lendemain à Aulnay-sous-Bois, deux autres policiers ont été pris à partie par des individus et l’un a été frappé.

    Des événements qui touchent à tout ce qui représente l’État et la société

    Ces incidents se multiplient, malheureusement, depuis plusieurs années. Le fait le plus marquant fut cette attaque commise avec des projectiles incendiaires, le 8 octobre 2016, à Viry-Châtillon, à l’encontre de quatre policiers qui protégeaient une caméra de vidéo-surveillance. En effet, depuis plusieurs semaines sur la route qui longeait la commune et la cité de la Grande-Borne, des groupes de délinquants s’en prenaient aux automobilistes, dérobant leurs effets et les agressant parfois physiquement. La France revenait ainsi plusieurs siècles en arrière en matière de sécurité publique.

    Cette agression de Viry-Châtillon qui a suscité légitimement la colère des policiers est un drame. Deux d’entre eux ont été grièvement brûlés et ils garderont probablement des séquelles définitives.

    Ces actes de violence, perpétrés dans des zones dites de non-droit, ne visent pas seulement les forces de l’ordre, constituant ainsi un défi à l’autorité de l’Etat, ils concernent aussi des personnes dont la mission est de porter assistance et secours à la population : les pompiers et les médecins. D’autres corps sont touchés, tels les inspecteurs du permis de conduire, par exemple. Il y a donc un rejet global de tout ce qui représente la société mais pas des subsides que cette dernière alloue généreusement.

    Des médias le plus souvent discrets

    Face à ces agressions et à leur multiplication, les médias audiovisuels font preuve, la plupart du temps, d’une grande discrétion. Si l’information ne peut être occultée lorsqu’elle est trop grave ou si elle a déjà été amplement diffusée par les réseaux sociaux, alors, après l’exposé brut des faits, il s’ensuit souvent des commentaires notamment sur les rapports entre la police et la population qui tendent à atténuer les responsabilités réellesCes médias sont, par ailleurs, prompts à dénoncer quelques scandales, certes choquants, en leur accordant la plus large place, du moment que cette dénonciation ne met pas en cause l’esprit du temps et qu’au contraire elle le conforte.

    Quelques statistiques

    Alors, pour illustrer la situation et donner à l’information un caractère objectif, il convient de présenter quelques éléments statistiques.

    Le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) a indiqué que pour l’année 2016, 1 million de personnes ont été mises en cause pour des crimes et délits en France métropolitaine au cours de l’année 2016 (hors délits routiers). Il souligne notamment que le nombre d’individus mineurs parmi ces personnes mises en cause est en progression et représente 34% de l’ensemble.

    S’agissant des forces de l’ordre, il faut distinguer les incidents survenus en service (exercices, accidents de la circulation, trajets domicile-travail…) hors mission de sécurité et ceux relevant des missions de sécurité publique. Selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, le nombre de policiers blessés en 2016 a progressé de 1,6% (5.767 blessés au total) par rapport à l’année précédente et celui des gendarmes est en hausse de 7,7% (4.079 blessés au total).

    Le nombre de policiers blessés au moyen d’une arme est passé de 430 en 2015 à 687 en 2016. Ce nombre n’était que de 276 en 2012.

    Le plus dramatique sont les chiffres sur le nombre de gendarmes et de policiers tués en mission : 16 en 2016 dont 14 gendarmes, contre 6 en 2015 dont 2 gendarmes, 6 en 2014 dont 2 gendarmes, 11 en 2013 dont 8 gendarmes.

    Outre les forces de l’ordre, les attaques touchent aussi les pompiers qui ont subi officiellement 2.280 agressions en 2016, soit une hausse de 17,6% en un an.

    D’autres corps sont affectés par cette violence en constante augmentation. Dans son édition du 28 décembre 2017, le Figaro Premium relevait que les agressions contre les inspecteurs du permis de conduire avaient quasiment triplé en 2017. Le Figaro notait aussi, dans son édition du 23 mars 2017, que 968 fiches de déclaration d’incidents ont été rapportées pour l’année 2016 à l’Observatoire de la sécurité des praticiens de l’Ordre des médecins. Le chiffre est en augmentation constante. Depuis la création de l’organisme en 2003, la moyenne annuelle s’établit à 741 déclarations. Pour l’essentiel, les agressions se déroulent dans les quartiers dits sensibles.

    Quelques constats lus dans la presse

    Dans un article de Xavier Raufer publié sur le site Atlantico, le 3 janvier 2018, et intitulé « Agressions de policiers et violences du quotidien : la France s’enfonce alors que New York a vu sa criminalité chuter au niveau des années 1950 »l’auteur soulignait que tous les lynchages de policiers, ou les attentats les visant, se produisent sur les territoires de la « politique de la ville » dont tous les gouvernements successifs de la Ve République, celui-de M. Macron compris, refusent obstinément de considérer sérieusement la dimension criminelle – et parfois terroriste.

    Pour sa part, Thibault de Montbrial titrait un article qu’il a publié sur le site Figarovox, le 19 juillet dernier, à la suite de graves violences intervenues le 14 juillet : « Tuer des policiers n’est plus un tabou pour les petits délinquants ».

    Où allons-nous ?

    Malgré ces chiffres et leur irrésistible ascension et au mépris de la réalité des faits qui montre qu’il n’y a plus de limites, dans des cités et dans des quartiers, à l’égard de ceux dont la mission est d’assurer la paix publique, les gouvernements qui se sont succédé à la tête de l’État ne paraissent nullement avoir pris la mesure de la gravité de la situation. Dans leur action, ils se trouvent contraints par une pensée dominante s’ils n’y participent pas, le plus souvent. La question de cette prolifération de la violence n’est pas dissociable de celle de l’immigration. Loin d’être invitée à se fondre dans la société française avec ses valeurs et ses mœurs, ce que souhaite probablement une part de la population d’origine immigrée, cette population est encouragée par le dogme hégémonique à des attitudes de rejet de la culture d’accueil et donc de sécession.

    Tout est donc à craindre pour l’avenir, et les pouvoirs, par les constants reculs, les atermoiements et des complaisances, y sont certainement mal préparés.

    Michel Leblay 13/01/2018

    https://www.polemia.com/apres-lagression-de-policiers-a-champigny-vers-la-partition-de-la-france/

  • Immigration : près de 50% des Français croient au «remplacement»

    Une enquête à l'Ifop concernant le rapport des Français au «conspirationnisme» a testé différentes théories. Parmi celles recueillant le plus l'adhésion des sondés figure celle d'une «immigration comme projet politique organisé par les élites». 
    La fondation Jean Jaurès (proche du Parti socialiste) et Conspiracy Watch ont commandé une enquête à l'Ifop au sujet du «conspirationnisme». Publiée le 7 janvier, elle révèle que 79% des Français adhèrent à une «théorie du complot» et que près de la moitié de ceux-ci (48%) pensent qu'il existe une «immigration comme projet politique organisée par les élites».
    Les personnes souscrivant à cette idée du «remplacement» de population sont plus nombreuses dans la classe d'âge la plus élevée (54% chez les plus de 65 ans) que chez les plus jeunes (44% chez les 18-24 ans). 78% des sympathisants du Front national (FN) adhèrent à cette idée, ainsi que 60% des sympathisants de droite. Cette proportion est même légèrement plus forte parmi les sympathisants de la France insoumise (FI, 32%) et du PS (35%) que parmi ceux de La République en marche (30%). 
    Le détail de l'étude montre qu'une très large majorité des Français, soit 72%, considèrent l'immigration comme «un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme notre mode de vie». Parmi les sympathisants de LREM (62%) du FN (90%) ou de la FI (61%), cette opinion est majoritaire quelle que soit la frange du spectre politique à laquelle s'identifient les sondés, seuls les sympathisants écologistes ne sont «que» 49% à y souscrire. 
    79% des Français «complotistes» ? 
    L'étude de l'Ifop s'intéresse en outre à d'autres «théories du complot», ciblant pèle-mêle l'existence de «zones d'ombre» dans l'enquête sur les attentats contre Charlie Hebdo, la croyance selon laquelle la terre est plate, que «le virus du sida a été créé en laboratoire et testé sur la population africaine avant de se répandre à travers le monde» ou encore que «le ministère de la santé est de mèche avec l'industrie pharmaceutique pour cacher au grand public la réalité sur la nocivité des vaccins». Au total, pas moins de 79% des Français adhéreraient à l'une des théories listées par l'étude. 
    Cette tendance très marquée s'accompagne d'une défiance sensible à l'égard des médias. 36% des Français pensent ainsi que ceux-ci sont «largement soumis aux pressions du pouvoir politique et de l’argent». S'ils ne sont que 17% à le penser parmi les sympathisants de LREM, ils sont 40% chez les sympathisants FN et 55% chez les sympathisants FI. 
    Cette étude a été conduite auprès d’un échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, complété par un échantillon de 252 personnes de moins de 35 ans, qui ont été remises à leurs poids réel au sein de l’échantillon lors du traitement statistique des résultats. Au total, 1 252 personnes ont donc été sondées.