Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 694

  • La France se défait [2]

    Quelques réflexions, encore, sur la France qui se défait, entre bien d'autres facteurs, par la démographie et l'immigration. Sans-doute est-ce là ce qui se voit, se ressent, avec la plus grande netteté. Et suscite cette « formidable colère » que nous voyons monter partout en Europe.

    Nous ne sommes pas seuls à le penser. Les sondeurs, pourtant si volontiers conformistes, le reconnaissent : malgré la pression des médias, à vrai dire leur propagande, deux tiers des Français considèrent qu’ « il  y a trop d'étrangers en France ». Tout un monde de personnalités, d'auteurs, d'intellectuels, de journalistes, appréciés de l’opinion, tirent la sonnette d'alarme, s'expriment dans les médias, ces derniers ne peuvent plus les ignorer parce que leur audience est grande, que leurs livres connaissent le succès. Et que leur présence sur les plateaux de télévision, ou dans les studios de radio, fait grimper l'audimat. Inutile de citer leurs noms : ils sont connus de tous. En quelque manière, ils ont brisé, sinon l’hégémonie culturelle et politique de la gauche, du moins le mur du silence et du mépris. Au point que les politiques doivent désormais en tenir compte. Ou faire semblant. Ainsi de la déclaration d'Emmanuel Macron, à la suite des élections italiennes dont le résultat le plus clair est l'euroscepticisme et le refus de l'immigration. Largement majoritaires. « Il faudra en tenir compte » a dit laconiquement le Chef de l'Etat. C'est évident ! 

    Nous ne sommes pas seuls non plus en Europe et dans le monde, à nous alarmer des conséquences de l'immigration massive. On sait qu'avec Donald Trump l'Amérique entend à la fois la freiner et la choisir. Ne nous y trompons pas : le slogan « America first » répond au vœu de l'Amérique profonde. Une bonne partie de l'Europe refuse aussi l'immigration massive (les pays de Visegrad, l'Autriche ...). En Allemagne même, un courant grandissant - pas seulement l'AfD - en fait autant. L'Italie à son tour, vient de marquer son choix. A vrai dire, l’afflux massif des migrants est devenu la préoccupation citoyenne centrale en Europe. Elle fait éclater les forces politiques traditionnelles et contredit l’idéologie dominante. Elle la déstabilise. Un grand basculement des politiques migratoires européennes pourrait bien s'imposer à terme... 

    La natalité française - et plus encore celle de nos voisins - faiblit, les démographes s'en alertent ; la proportion de vieillards augmente ; au contraire, les courants migratoires ont été et demeurent massifs. Les jeunes y sont nombreux. Et souvent haïssent la France ou même la combattent. Eventuellement, les armes à la main. La faiblesse de notre démographie autochtone comparée à la puissance invasive des populations immigrées nourrit leur volonté de domination. L'on nous serine que nous avons accueilli ces deux dernières années beaucoup moins de réfugiés ou de migrants que nos voisins. Mais on ne nous dit pas combien s'étaient déjà établis chez nous depuis quarante ans. Les Français le savent. 

    De sorte que le remplacement progressif de ceux que Finkielkraut appelle drôlement les « souchiens » par des populations principalement africaines ou proche-orientales et très généralement musulmanes est en train de s'opérer. A terme donc, si rien n'est fait pour s'y opposer, quelques décennies suffiront pour que, selon la formule du général De Gaulle, la France ne soit plus la France.  Et ce sur le triple plan du peuplement, de la culture et des mœurs qui s'en trouvent déjà lourdement transformés. Ce n'est pas notre vocation ici d'accepter cette perspective d'un cœur léger. 

    On a parfois abusé â l'Action Française de la formule de Bainville : « la France c’est mieux qu'une race, c’est une nation ». Mais il écrivait en un temps où la France n'avait guère connu que des migrations intra-européennes et encore dans des proportions qui n'avaient pas vraiment entamé le vieux fond celtibère et gallo-romain qui constituait l'essentiel de la population française jusqu'à la deuxième moitié du siècle dernier. Bainville et Maurras n'ont pas eu à juger du danger qu'eût représenté pour la France une invasion semblable à celle que nous vivons. Nous doutons fort qu'ils l'eussent acceptée sans broncher. 

    Un courant d'inspiration chrétienne voudrait par ailleurs nous faire accroire qu'une France en grande partie peuplée d'Africains et d'Orientaux, serait acceptable si ces derniers - hypothèse sans vraisemblance - étaient catholiques. Nous ne sommes pas d'accord. Fussent-ils catholiques, nous les préférons chez eux. La France ne serait plus la France si elle avait les couleurs, l'esprit, les mœurs de l'Afrique ou de l'Orient. Ce qui nous en différencie ne tient pas seulement à l'appartenance religieuse.  

    C’est la dose qui fait le poison. La France d'aujourd'hui se défait - entre autres causes - en raison d'une immigration dont la dose excessive devient un poison.  

    Il conviendrait donc si nous voulons survivre de la ramener au minimum incompressible et de la choisir selon nos intérêts et nos besoins. Car une certaine immigration qualitative pourrait être utile à la France et servir son rayonnement. Il faudrait en parallèle définir une politique de remigration efficace et rigoureusement appliquée : expulsion systématique des délinquants étrangers, des naturalisés, ou devenus Français par bénéfice du seul droit du sol, avec déchéance de la nationalité française pour ces deux dernières catégories ; réaménagement des droits sociaux (chômage, sécurité sociale, aides diverses) qui ne pourraient plus être équivalents à ceux des Français ayant cotisé pendant de longues années, ou, si ce n'est eux, leurs parents ou grands-parents. Le bénéfice des droits sociaux pour les nouveaux arrivants pourrait par exemple leur être accordé pro rata temporis de leurs années ou périodes de cotisation ; obligation de respecter les lois et coutumes françaises comme condition de résidence en France ... Une telle politique devrait être, s'il le faut, traduite juridiquement. 

    Nous savons bien que la France se défait de diverses autres façons. Qu'entre elles, elles interagissent et accélèrent le processus de délitement dont nous parlons. Nous savons encore que le mal est d'abord en nous-mêmes et que les insultes, les hauts-cris, à l'encontre des immigrés ne constituent pas une politique, sont vains et, en ce sens, déplacés.  

    Nous aurons à revenir sur tout cela. 

    Retrouvez l'ensemble de ces chroniques en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le régime Macron, complice de l'Empire en Syrie

    Dans une note très récente de votre blog préféré, Michel Janva relate un entretien que Bassam Tahhan, géopolitologue franco-syrien, a accordé à TV Libertés. Celui-ci évoque notamment la fuite d'un rapport diplomatique britannique, décrivant ce que trament cinq pays pour s'assurer à terme d'une recomposition syrienne avantageuse pour l'Occident (TM) et ses complices, et pour compromettre définitivement les efforts russes dans la région. Cette stratégie s'articule ainsi : "1) endiguer l’influence iranienne en militarisant durablement l’Est de la Syrie ; 2) faire échouer le plan de paix russe ; 3) enfin, poursuivre une guerre de basse intensité afin de diviser la Syrie pour aboutir à une partition territoriale et politique" (source: éditorial évoqué ci-après). Sans surprise le régime Macron fait partie de la bande.

    Cette fuite a notamment été révélée sur son site Proche et Moyen-Orient, par le journaliste Richard Labévière, ancien rédacteur en chef de la revue du très officiel IHEDN. Nous reproduisons in extenso cet article ci-dessous, et vous pouvez des commentaires en anglais sur cette affaire ici. Par ailleurs, nous vous invitons à lire le dernier éditorial de Richard Labévière, consacré à l'immense campagne de désinformation qui tente d'enrayer l'offensive du victorieuse du gouvernement syrien et de ses alliés dans la Ghouta.

    Dans un anglais quelque peu familier mais précis, Benjamin Norman – diplomate en charge du dossier Proche et Moyen Orient à l’ambassade de Grande Bretagne à Washington – rend compte dans un Télégramme diplomatique confidentiel (TD)1 du 12 janvier 2018 de la première réunion du « Petit groupe américain sur la Syrie » (Etats-Unis, Grande Bretagne, France, Arabie saoudite et Jordanie), qui s’est tenue à Washington le 11 janvier 2018.

    Dans ce TD de cinq pages, il dévoile le détail de la « stratégie occidentale » en Syrie : partition du pays, sabotage de Sotchi, cadrage de la Turquie et instructions adressées au représentant spécial de l’ONU Staffan de Mistura qui dirige les négociations de Genève. Un Non Paper (de 8 pages) accompagne ce TD en prévision de la deuxième réunion du « Petit Groupe ». Celle-ci s’est tenue à Paris le 23 janvier dernier, essentiellement consacrée à l’usage des armes chimiques et aux « consignes » adressées par le « Petit Groupe américain » à Staffan de Mistura.

    Assistaient à cette réunion du 11 janvier à Washington Hugh Cleary (chef du Département Proche et Moyen-Orient du Foreign Office) ; Jérôme Bonnafont (directeur ANMO/Afrique du Nord et Moyen-Orient au Quai d’Orsay) ; David Satterfield (Secrétaire d’Etat-adjoint américain chargé du Moyen-Orient) ; le Jordanien Nawaf Tell et le saoudien Jamal al-Aqeel. L’Américain a ouvert la séance en précisant qu’une deuxième réunion aurait lieu à Paris le 23 janvier.

    David Satterfield a confirmé que le président Trump avait décidé de maintenir une importante présence militaire américaine en Syrie, malgré la victoire remportée contre l’« Organisation Etat islamique » (Dae’ch) ; le coût de ce maintien étant fixé à quatre milliards de dollars annuels. Il a précisé que cette présence militaire américaine devait prévenir toute résurgence de Dae’ch, mais surtout empêcher les « Iraniens de s’installer durablement et de s’imposer dans la recherche d’une solution politique ». En troisième lieu, il a insisté sur le fait que la première réunion du « Petit Groupe » devait aussi apporter un « appui matériel et politique important à Staffan de Mistura pour « consolider le processus de Genève ». L’ensemble des participants a accueilli très positivement cette mise au point afin de « réaliser des progrès substantiels en Syrie durant l’année 2018 » et de « répondre à la propagande d’une victoire russe ». Ensuite, les participants ont insisté sur le « désir russe d’aboutir à une solution politique » qu’il s’agissait d’utiliser pour rendre « plus opérationnels » les objectifs du « Petit Groupe ».

    CONSOLIDER LE PROCESSUS DE GENEVE

    Les Etats-Unis ont noté qu’ils ne participeraient plus aux réunions d’Astana, ayant réduit « leur participation à un niveau très bas, pour souligner leur engagement envers Genève » ; en des termes définitifs, il est décidé de « tirer un trait conceptuel sur Astana pour revenir à Genève ». Ils ont ensuite estimé que jusqu’à maintenant « Genève restait un échec, malgré les efforts de Staffan de Mistura ». Ils se sont montrés très prudents quant à l’inclusion du cessez-le-feu dans les discussions de Genève : « la vérité étant que nous n’avons tout simplement pas la capacité d’empêcher le régime de grignoter les poches de l’opposition restantes à Idlib et à l’Est de la Ghouta ».

    Lire la suite "Le régime Macron, complice de l'Empire en Syrie"

    Paula Corbulon

     

  • [VIDEO] Vivre ensemble : Chronique d’un échec, avec Paul-François Paoli

    AVT_Paul-Francois-Paoli_888.jpg

    Fraternité, antiracisme, tolérance… les termes pour inciter au « Vivre ensemble” croissent comme des petits pains. Mais les inventions des idéologues n’y font rien ! Ils ont beau construire des concepts sémantiques, tordre le cou de la réalité, ça ne passe pas.

    Dernier exemple en date, la polémique autour de l’incarnation de Jeanne d’Arc pour les fêtes d’Orléans. Paul-François Paoli est journaliste et chroniqueur au Figaro Littéraire et il vient de publier l’Imposture du Vivre ensemble aux éditions de l’Artilleur.

    Avec lui, TV Libertés revient sur ces termes qui pullulent dans le débat, sans que l’on sache jamais à quelle réalité ils font référence.

  • En finir avec le modèle social (anti-)français

    80191845_o.gif

    Arnaud Malnuit

    Postiers, SNCF, hôpitaux, CAF, etc. tous les politiques, y compris la candidate des patriotes lors de la dernière élection présidentielle, vantent, défendent, même lorsqu’ils affirment le réformer, le fameux modèle social français, tellement fameux que le monde entier nous l’envierait. Sauf que ce modèle social est un poison, un boulet poula France car contrairement à ce que les partisans de ce modèle affirment, il ne profite en rien aux Français…

    Bien au contraire, il grève d’impôts commerçants, artisans, chefs d’entreprise, il gèle la rémunération des salariés, il affaiblit les retraites, il diminue l’épargne… En effet, ce modèle – établi pour mieux répartir les richesses, mis en place pour aider précaires et nécessiteux à ne pas tomber dans la misère, conçu pour financer les services publics d’un Etat omnipotent plus efficace que le marché pour favoriser la solidarité et l’équilibre entre les territoires – n’est désormais qu’un gouffre des maigres richesses des Français, qu’un créateur d’une dette abyssale qui financent, à fonds perdus, la subversion migratoire dans des pans entiers de notre pays, sans parler de l’achat de clientèle électorale… 

    En effet ce fameux modèle ne se résume plus qu’en la fameuse politique de Vile qui a déversé des millions et des millions d’euros dans les quartiers de l’immigration et ce pour rien, au détriment de cette France rurale de plus en plus en périphérique, qui vide les écoles rurales au bénéfice des immigrés et pour un résultat qui sera bien entendu nul… 

    Ce modèle social crée aussi des comportements d’assistés qui ne comprennent pas pourquoi ils n’auraient pas autant que les immigrés qui reçoivent sans rien faire, qui encourage la triche et le mensonge pour obtenir des prestations, qui met à mal la natalité française, per exemple, en considérant que les familles françaises qui ont les moyens doivent recevoir moins voire plus du tout d’allocations et ce aux bénéfices des familles immigrées ou d’origine immigrée.

    Ce modèle est donc devenu parfaitement injuste et anti-français.

    Pour autant, il ne faut pas supprimer toute forme de solidarité publique qui passerait par l’impôt, mais il s’agit de fermer les vannes de financement de la substitution de notre peuple, de mettre fin aux logiques clientélistes des élus pro-immigration – qu’ils soient de droite ou de gauche –, de ne plus ériger le poison de l’assistanat comme modèle de société, de permettre, par le principe de subsidiarité, aux familles d’assurer la protection de leurs membres.

    Oui, si la droite nationale veut être populaire et sociale, elle doit dénoncer ce modèle social anti-français et mettre en place de nouvelles solidarités au profit de notre peuple.

  • Assistants parlementaires : où est l’équité ?

    balance-300x179.jpgCommuniqué de Bruno Gollnisch, député européen, relatif à la décision du Tribunal de l’Union Européenne (Luxembourg) dans l’affaire qui l’oppose à l’administration du Parlement Européen

    Ce 7 mars, le Tribunal de l’Union Européenne (Luxembourg) a rejeté mon recours contre l’inique décision du Secrétaire Général du Parlement Européen, M. Klaus WELLE, qui, sur ordre de l’ex-Président socialiste Martin SCHULZ, organise méthodiquement depuis 18 mois la spoliation des moyens qui sont nécessaires à l’accomplissement de mon mandat en même temps qu’il tente de me ruiner financièrement.

    Tous les principes de droit dont se gargarise l’Union Européenne ont cependant été violés en la circonstance : j’ai été présumé ” coupable ” sans aucune preuve. Malgré nos demandes répétées, et des textes qui nous en donnaient clairement le droit, ni mon assistant ni moi-même n’avons à aucun moment été entendus. Tous les éléments prouvant le travail de mon assistant, travail effectif et en lien avec mon mandat, ont été balayés sans raison sérieuse. Il m’a été reproché de l’avoir laissé être candidat à une élection et d’avoir un engagement au sein du Front National, alors que ces activités sont parfaitement légitimes, licites, et communes aux assistants de nos adversaires…

    Il est profondément regrettable que le Tribunal de l’Union, en ne faisant pas droit à nos réclamations, paraisse avaliser ces pratiques d’une administration politisée, qui ne font pas honneur à l’Union Européenne, et qui visent à nuire aux seuls élus de la minorité. Je rendrai publics prochainement tous les éléments du dossier, et j’envisage un pourvoi devant la Cour.

    https://gollnisch.com/2018/03/07/assistants-parlementaires-equite/

  • L’immigration clandestine est encore et toujours un sujet d’actualité

    Migrants-Italie-Smartphone-600x400.jpg

    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    À tel point que Le Monde lui-même rédigeait pour la sortie d’un essai de Stephen Smith un article intitulé “Jusqu’où l’Europe peut-elle accueillir des migrants africains sans perdre son identité ?

    L’Organisation internationale des migrations (OIM) de l’ONU estime que depuis 2007, deux millions d’Africains sont entrés en Europe, soit en moyenne 200 000 par an.

    Un des principaux pays touchés est l’Italie.

    Oui, pas étonnant que le sujet soit central dans les débats politiques en ce moment. Sur le million de clandestins qui ont traversé la Méditerranée depuis 1997, les trois quarts l’ont fait depuis 2010. Surtout depuis l’augmentation du nombre de migrants qui accostent sur les côtes italiennes dans des embarcations de fortune. Ce dernier mode d’intrusion a particulièrement été employé depuis la chute de Kadhafi en 2011 qui a fait de la Libye le lieu de passage privilégié par les réseaux de passeurs.

    Selon ces chiffres, sans intégrer les enfants d’immigrants ni les naturalisations, les étrangers, représentent au moins 8% dans la population italienne, presque 9% en France.

    L’article n’insiste pas vraiment sur une des principales thèses du livre

    Cette thèse est que la déferlante africaine n’apporte aucun avantage économique aux pays européens. Contrairement aux arguments de l’ONU et des grands pontes des migrations, cette vague humaine entraîne plutôt des surcoûts. L’auteur en outre estime que les plus grands flots sont à venir et qu’aucune politique ne pourra les arrêter.

    https://fr.novopress.info/

  • Valérie Pécresse court derrière la gauche LGBT, qui ne le lui rend pas

    6a00d83451619c69e201b7c955a654970b-250wi.pngToujours cette incapacité des politiques qui se disent de droite à de croire que, parce qu'ils feront des courbettes aux lobbys de gauche, ils seront forcément acceptés par ceux-là. La présidente LR de la région Ile-de-France Valérie Pécresse a été la cible de commentaires particulièrement acerbes émanant des militants LGBT.

    Valérie Pécresse a salué le "carton plein" aux Césars du film célébrant Act Up, en rappelant que "la région Île-de-France [avait] soutenu ce magnifique film grâce à notre fond de soutien au cinéma et à l'audiovisuel". Les militants LGBT lui ont alors rappelé sa politique régionale, sa participation passée à la Manif pour tous ou encore son alliance aux dernières régionales avec Sens Commun.

    Auprès de L'Obs, Valérie Pécresse a défendu la sincérité de son soutien tant au film qu'à la cause qu'il défend.

    "Je suis personnellement intervenue pour que '120 battements par minute' puisse être subventionné par la région. Il n'avait pas été sélectionné lors de son premier passage en comité de lecture en raison du trop grand nombre de demandes. Il a pu être réexaminé une deuxième fois car on m'avait signalé le caractère exceptionnel du film". 

    Mais rien n'y a fait. Conclusion, elle a perdu le soutien de sa droite sans gagner celle de sa gauche.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'Hebdo Politique - Vivre ensemble : Chronique d'un échec, avec Paul-François Paoli

  • Défendre l’homme européen ou 120 migrants par minute?

    durer.pngLa poussée des nationaux et des populistes était attendue, et elle fut à la hauteur des espérances (ou des craintes) de beaucoup. Les  pro bruxellois ont été laminés hier en Italie lors des élections législatives. Au terme des  premiers  résultats pas du tout à fait consolidés à l’heure  ou nous écrivons ces lignes, le Parti démocrate (PD, centre gauche) du « Macron transalpin »,  Matteo Renzi , enregistre un très gros revers avec  un score inférieur à 20%…moitié moins que celui qu’il avait obtenu il y a quatre ans, lors des élections européennes. Les populistes du Mouvement cinq étoiles (M5S) de Bepe Grillo, n’ont pas été impactés par les résultats en demi-teinte, voire les promesses non tenues par leurs élus, notamment  lors des dernières municipales (voir le cas emblématique de la mairie de Rome…). Bien au contraire,  cette formation, qui a réaffirmé plus fortement son ancrage à gauche ces dernières années,  engrange à elle seule les  suffrages de près d’un électeur sur trois (32%), un score historique.

    Autres grands gagnants,  les partis  de la coalition de l’opposition nationale et de la  droite  qui totalisent 37% des suffrages. Dont 16,7% pour nos camarades de la Ligue du Nord, qui réalisent de très forts scores en Lombardie, dans tout  le nord de la Botte, mais qui peinent encore à convaincre  dans le sud.   Matteo Salvini  gagne en tout cas  son pari d’être l’homme  fort de cette coalition et prend date pour l’avenir.  Quant au   petit parti national Fratelli d’Italia  il obtient 4%  et Forza Italia de  l’ex Premier ministre Sivlio Berlusconi, environ 14%. Le calcul est vite fait :  prés de sept électeurs italiens sur dix ont voté hier contre l’Europe liberticide de Bruxelles  et /ou pour l’inversion des flux migratoires. Une vraie déception  cependant, il aurait suffit que la coalition opposition nationale /droite  obtienne  40% des voix  pour qu’elle décroche la  majorité au parlement.  Reste maintenant à mettre sur pied une alliance gouvernementale, ce qui s’annonce forcément compliquée, sachant que l’actuel   gouvernement  de centre gauche  de Paolo Gentiloni n’est pas légalement dans l’obligation d’obtenir la confiance du nouveau parlement…

    Cette aspiration grandissante des Européens à plus de libertés, de souveraineté, au respect de leur identité, de leur culture illustre le décalage grandissant entre le peuple et les élites boboïsés. En témoigne une nouvelle fois  la cérémonie des César vendredi dernier, qui a vu triompher le film 120 battements par minute (avec  six récompenses, dont celle du meilleur film) de Robin Campillo. Le réalisateur y a été de son couplet sur une immigration massive que nous serions dans l’obligation d accueillir, faisant mine de croire ( ?) que  le projet  de loi sur l’immigration et l’asile matérialiserait un réel tour de vis. «  Ça fait 15 ans a-t-il déclaré que le problème des migrants perdure mais depuis un an le traitement vis-à-vis d’eux est encore plus brutal. Je dois vous dire que la loi qui va être votée bientôt sera encore pire. On va pouvoir enfermer plus facilement, plus longuement et expulser plus rapidement les migrants. Il est temps d’entendre les associations, sur tous les sujets, car comme il y a 25 ans, silence = mort »

    Sorti en salles fin  août dernier, (il a été vu par 800 000 personnes) 120 battements par minute est comme il se doit d’un film très connoté à gauche. Nous ne l’avons pas vu et nous serions donc bien en peine  de juger de ses qualités cinématographiques factuelles ou  du talent d’interprétation  des comédiens. Pour autant, c’est une ode au groupuscule extrémiste Act Up,  fondé  en 1989 par Didier Lestrade  s’inspirant d’un groupe  newyorkais  éponyme,  qui a souvent pris à partie les catholiques (intrusion  à Notre-Dame de Paris,  violence contre Mgr Patrick Jacquin en 2005 ,  dégradations contre la fondation Jérôme Lejeune en 2013, propos injurieux…). Une   structure qui s’était donnée pour but en France  de sensibiliser sur les ravages  du SIDA, d’obtenir des pouvoirs publics  la reconnaissance du mariage, de l’adoption, de la GPA, de la la PMA  pour les personnes de même sexe, les droits des personnes transsexuelles… Act up  qui avait adopté comme  slogan  Mon identité n’est pas nationale a été financé, sponsorisé par des labos pharmaceutiques, la fondation Pierre Bergé mais  aussi bien par des ministères, des exécutifs  de  droite comme  de gauche pendant des années. De l’aveu même de ses actuels dirigeants, l’association  placée en redressement judiciaire en 2014 ,  ne regroupe plus aujourd’hui  qu’une centaine de militants . Mais la Mairie de Paris est toujours là pour filer un coup de pouce, en invitant cette  coquille (presque) vide à participer à l’ initiative «Paris sans sida 2030. »

     En  2013, Bruno Gollnisch  s’était ému  des agissements de ce groupuscule et  avait rappelé qu’il éditait  «un véritable manuel de sodomie à l’usage des enfants des collèges et des adolescents des lycées (…) sous couvert de lutte contre le SIDA ». Toutes choses qui méritaient  certainement la reconnaissance de la grande famille du cinéma qui s’emploie également à manifester son progressisme dans le cadre de la lutte pour l’égalité des genres.

    Valeurs actuelles s’interrogeait:  «Bientôt des quotas de réalisatrices en France ? C’est en tout cas vers ce futur que veulent nous emmener une centaine de professionnels du cinéma, dans une tribune parue aujourd’hui dans le Monde Moins d’un long métrage sur quatre (21%) agréé par le CNC est réalisé par une femme , déplorent Juliette Binoche, Agnès Jaoui, Alexandra Lamy, Charles Berling, Antoine de Caunes et Véronique Genest, entre autres signataires.» «Une situation  discriminante aux yeux de ces comédiens, qui exigent que la France s’inspire d’autres pays de cinéma :  La Suède et l’Irlande ont adopté des quotas avec pour objectif que, d’ici trois ans, 50% des subventions aillent à des projets portés par des femmes.  Ainsi, en Suède,  la proportion de réalisatrices est passée de 16% en 2012 à 38% en 2016.  Pour une meilleure qualité de films ? La tribune ne le dit pas.»

    En fait de parité, c’est surtout le caractère massif, hégémonique de la propagande gauchiste, cosmopolite, xénomaniaque, qui se déverse sur nos écrans qui saute aux yeux, la  discrimination  dont sont victimes  les projets de films qui ne vont dans le sens du vent idéologique qui souffle au sein de la commission d’avance sur recettes notamment…

    Nous avions évoqué sur ce blogue,  le cas  de  la talentueuse réalisatrice-scénariste-productrice Cheyenne-Marie Carron qui ne trouve pas, elle, les financements attribués à d’autres  pour réaliser ses films.  Elle défraya la chronique en 2015  avec un film exceptionnel, L’Apôtre , qui décrivait la conversion au catholicisme  d’Akim, un  jeune  musulman vivant en banlieue parisienne,  se rendant ainsi coupable du crime d’apostasie et qui était rejeté avec plus ou moins de violence par ses proches. Une oeuvre  pourtant  tout  en nuance et même emprunt d’un humanisme veillant à ne heurter personne,  qui avait été conspué comme stigmatisant les musulmans  par de nombreux relais communautaires. Le film avait été peu ou pas distribué, quasi censuré, des projections  avait été annulées, la DGSI craignant notamment  des risques d’attentats…

    Guillaume Faye comme beaucoup d’autres l’avait  relevé,  «dans les émissions TV, les reportages ou les feuilletons, surtout sur les chaines du service public (de propagande idéologique de gauche), le catholicisme traditionnel est soit ridiculisé, soit ignoré, soit caricaturé et dénoncé comme dangereux. Cette réalisatrice repérée par les radars idéologiques officiels comme une artiste catholique, n’obtient aucune subvention pour ses nouveaux projets en cours ».«Pourtant ces aides sont généreusement allouées à des réalisateurs politiquement corrects, sociologiquement copains et artistiquement médiocres, dont les productions sont à cent coudées en dessous des œuvres de Cheyenne-Marie Carron ».

    A force de persévérance, la jeune femme poursuit une oeuvre belle et lumineuse. Sur son   compte twitter elle écrivait récemment: «Dans mon prochain film, Le corps sauvage, je vous parlerai du recours au forêt, du retour au sauvage, de l’enchantement, de la beauté du règne animal, de la Chasse, d’arcadia ego, d’Orion, des étoiles.. de Diane. Je tâcherai de faire un film en hommage à l’homme Européen.» Chacun l’aura compris  l’homme Européen défendu et célébré par  Cheyenne Carron n’est pas celui du jury des César, de  la commission européenne, d’Act UP, de Matteo  Renzi ou d’Emmanuel Macron.

    https://gollnisch.com/2018/03/05/defendre-lhomme-europeen-120-migrants-minute/

  • Trappes (78) : la mairie PS finance les locaux d’une association musulmane abritant une école coranique

    6a00d83451619c69e201b8d2dfa2f1970c-250wi.pngLa mairie de Trappes subventionnel’Union des musulmans de Trappes à hauteur d’un peu plus de 30 000 €. Alors que les locaux subventionnés « abritent une école coranique ».

    Michel Janva