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POURQUOI VEULENT-ILS RÉFORMER LA FRANCE ? COMPRENDRE LEUR "PÉDAGOGIE DE LA RÉFORME"
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Les forces du futur ne désarment pas, par Elisabeth Lévy
En 2002, dans un louable effort d’unification sémantique, la gauche lyncheuse, en la personne de Daniel Lindenberg, décida d’affubler tous les penseurs qui lui déplaisaient de l’épithète unique de réactionnaire. En 2017, quand des intellectuels critiquent Emmanuel Macron, il décrète qu’ils représentent « le vieux monde » et « n’ont rien produit de renversant », ce qui signifie certainement qu’ils n’ont pas assez co-worké pour team-builder notre start-up nation. La liste de Macron est aussi disparate que celle de Lindenberg. On ne voit pas ce qui permet d’enfermer dans le même sac idéologique Debray, Finkielkraut, Badiou, Onfray et Todd, qui ne pourraient pas prendre un café ensemble, sinon qu’ils déplaisent au président, pour la raison que lui ne leur plaît guère, et qu’ils sont tous, avec d’abyssales dfférences, les heureux héritiers d’un monde ancien : celui de l’écrit.
Du gauchisme culturel au progressisme présidentiel, quelle que soit la lettre épinglée au plastron de l’adversaire, elle est toujours écarlate et le crime toujours le même : il sent le passé – et ça ne sent pas la rose. Quand nous devrions nous efforcer d’arracher nos pieds de la glaise, de rompre avec nos petites habitudes existentielles et d’entrer à pieds joints dans le monde de la fluidité identitaire et de la citoyenneté numérique, des grincheux parlent d’héritage, de dette et de continuité historique. Ça plombe l’ambiance.
Comme on ne peut pas faire disparaître physiquement les réfractaires au nouveau cours, on s’emploie à les effacer symboliquement en les désignant comme de risibles survivances. On somme donc la vieille France (province du « vieux monde ») de consentir à son sacrifice sur l’autel du multiculti radieux, quand on ne lui raconte pas qu’elle n’a jamais existé puisque « nous sommes tous des immigrés ». […]
Heureusement, […] la nation a la vie dure. « Les forces du monde ancien sont toujours là », confie le président au Point. Malgré l’énergie déployée pour lui faire intégrer sa propre indignité, la France d’avant refuse de jeter toute son histoire avec l’eau sale des heures les plus sombres ; elle entend continuer à écrire sa langue avec ses bizarreries et « oignon » avec un « i ». Et elle ne veut pas déboulonner les statues de Colbert, même si cela blesse certains de ses concitoyens que l’on honore l’un des bâtisseurs de notre État en dépit de son rôle actif dans l’esclavage.
Nous devons connaître les ombres autant que les lumières de ceux qui nous ont précédés ; cela ne nous commande pas de les renier ou alors, il faudra interdire Shakespeare et surtout Voltaire qui n’étaient pas blanc-bleu sur le plan de l’antisémitisme. Et ne parlons pas des sexistes qui pullulent dans notre littérature.
De plus, comme le rappelle Alain Finkielkraut, la spécificité de l’Europe n’est pas d’avoir pratiqué l’esclavage, mais de l’avoir aboli.
Tant pis pour ces afféteries historiques et pour quelques statues qu’il faudra abattre, dit-on, afin de ne pas froisser les identités minoritaires. Sur le plateau de Karim Rissouli, sur France 5, Finkielkraut a raconté qu’au King’s College de Londres, il était question de cacher les bustes des fondateurs blancs. Personne n’a moufté, comme si cette inquisition rétrospective était le prix à payer pour guérir les blessures dont nous sommes collectivement coupables.
Le camp progressiste célèbre ainsi à sa façon le centenaire de la grande révolution d’Octobre. Là-bas, on escamotait les sociaux-traîtres des photos ; ici et maintenant, on efface de l’histoire de vieux mâles blancs – morts de surcroît. Conception pour le moins paradoxale du vivre-ensemble que celle qui proclame ainsi : ôte-toi de là que je m’y mette.
Elisabeth Lévy
Extrait de l’éditorial du n° 50 de Causeur daté d’octobre 2017
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[communiqué] Les islamistes ont-ils voulu assassiner Olivier Renault, contributeur de Riposte Laïque ?
Même si nous ne rejoignons pas tous les combats de cette association, voici un communiqué de Riposte Laïque apportant une potentielle réponse à "l'inexplicable" tentative d'attentat du XVIe arrondissement de Paris.Dans la nuit de ce vendredi à samedi, à 4 heures du matin, quatre bouteilles de gaz ont été retrouvées, avec un dispositif de mise à feu, sur le palier d’un immeuble du 1e arrondissement, situé au 31, rue Chanez. Un locataire ayant entendu du bruit a prévenu la police, évitant miraculeusement un massacre.Cinq personnes, présentées comme appartenant à la mouvance radicale de l’islam, ont été arrêtées le lendemain. Il se trouve, selon les enquêteurs, que ce serait une confusion des djihadistes qui a fait que cet immeuble soit visé. En effet, parmi les occupants figure un homme appelé Olivier Renault… même nom qu’un contributeur régulier de Riposte Laïque. Les enquêteurs paraissent privilégier la piste d’un homonyme, et pensent que notre ami était visé, pour sa participation à Riposte Laïque. Qu’il y ait eu, de la part des islamistes, une confusion – Olivier Renault, journaliste indépendant, est le correspondant de Riposte Laïque en Allemagne – ne change rien à la réalité. Cet épisode confirme que ceux qui refusent l’islamisation de la France sont terriblement exposés, dans un contexte où les musulmans les plus radicaux entendent terroriser la population pour lui imposer la charia.Nous n’avons pas oublié que le groupe Forsane Alizza, dissous en 2012, avait préparé, sous l’impulsion de son leader, Mohamed Achamlane, des repérages autour des habitations des organisateurs de l’Apéro saucisson pinard et des Assises internationales contre l’islamisation de nos pays. Nous n’avons pas oublié les menaces de mort qui, régulièrement, visent, sur les réseaux sociaux, certains de nos animateurs, obligés de prendre dans leur quotidien de nombreuses précautions.La mise en danger de nos contributeurs, confirmée par cette tentative d’attentat, est d’autant plus intolérable que, parallèlement, l’Etat français, des associations dites antiracistes et des organisations musulmanes multiplient les plaintes et les poursuites contre Riposte Laïque et Résistance républicaine, comme le confirme l’emploi du temps de notre avocat, cette semaine.Un gouvernement digne de ce nom mettrait fin immédiatement à toutes ces procédures iniques, qui visent des lanceurs d’alertes à qui les faits donnent raison quotidiennement, et font le jeu des islamistes, et de leurs complices. Les choses sont pourtant claires : on ne vaincra pas l’islam, qui a déclaré la guerre à notre modèle de civilisation, sans l’interdire en France, et sans expulser massivement les musulmans qui préfèrent la charia aux lois de la République. Si cela avait été fait, les deux cousines, Laura et Mauranne, assassinées à Marseille par un islamiste clandestin, délinquant multi-récidiviste, seraient encore en vie.Loin de se laisser intimider par cette nouvelle tentative d’attentat, qu’elle ait visé Olivier Renault ou pas, Riposte Laïque et Résistance républicaine lanceront, dans les jours qui vont suivre, une énorme campagne d’autocollants, en France et dans toute l’Europe, demandant l’interdiction d’un dogme qui encourage, dans ses textes sacrés, le crime de ses disciples contre tous ceux qui ne sont pas de vrais musulmans.
lu sur le site de riposte laïque -
Le bus anti-gender de CitizenGo gêne le lobby LGBT
Les associations ultra-subventionnées LGBT, comme Act Up ou AIDES dénoncent“l’influence des réactionnaires” dans le débat public :
“Face à la haine au visage tranquille, l’urgence est donc double : il faut défendre un projet de société égalitaire, ouverte, émancipatrice, dans lequel l’école, parce qu’elle est un lieu de socialisation autant que d’apprentissage, doit contribuer à lutter contre les rapports de domination sexistes, LGBTphobes, racistes qui oppriment et aliènent”.
“Il faut également exiger la plus grande détermination, le refus de toute complaisance ou compromis de la part de nos institutions (ministère, rectorats, inspections académiques, centres de formation, équipes dirigeantes et pédagogiques des établissements) à l’égard de celles et ceux qui défendent la perpétuation des oppressions sexistes et LGBTphobes”.Résultat, CitizenGo a dénoncé des menaces à son encontre, en publiant des captures d’écran de messages dans lesquels les utilisateurs de la Toile proposaient d’incendier le bus.
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Alba Ventura sur Danièle Obono : « On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise »
04/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Ce matin sur RTL, Alba Ventura, d’ordinaire mesurée, s’est livrée à une charge violente contre Danièle Obono, ce député de la France insoumise qui a expliqué qu’un chauffeur de bus qui refuse de prendre le volant derrière une collègue féminine, ce n’est pas de la radicalisation, c’est « seulement du sexisme » :
« Bien sûr ! Désolé madame Obono, mais le sexisme c’est considérer qu’une femme n’est pas à sa place. L’intégrisme c’est considérer que Dieu vous interdit de toucher une femme, de lui serrer la main ou de vous asseoir là où elle s’est assise, parce que la femme est jugée impure. Dans le cas du chauffeur de bus, il s’agit bien d’un signe évident de radicalisation. Appelons un chat un chat !
« On a affaire à une spécialiste, a enchaîné AlbaVentura. C’est la même madame Obono qui n’admet pas qu’on lui demande si dire “Vive la France” c’est plus gênant que de dire “Nique la France”. Tenir de tels propos, c’est atterrant, qui plus est de la part d’une députée. On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise. À la France insoumise, ils sont impayables en la matière.
« Prenez les jeunes députés Adrien Quatennens et Ugo Bernalicis qui parlent de “démocrature” dans le cadre de la loi antiterroriste, autrement dit d’un glissement de la démocratie vers la dictature. Savent-ils ce que c’est une dictature ? On peut désirer très fort que la rue gouverne, sauf que ce n’est pas le cas en démocratie. Là encore que de bêtises. »
« Aussi haut que Raquel Garrido. La porte-parole du parti de Jean-Luc Mélenchon, devenue chroniqueuse télé, se trouvait samedi 30 septembre au Parc des Prince, sans doute en bonne compagnie, peut-être même invitée par sa chaîne, lorsqu’une tribune s’est effondrée à Amiens. Raquel Garrido a tweeté ceci : “J’ai assisté ce soir au match du PSG, événement qui coûte des millions, tandis qu’à Amiens une tribune s’effondre. Cherchez l’erreur”, écrit-elle. Elle fait donc un parallèle alors qu’elle n’y connait rien. Elle parle sans savoir, en oubliant un peu vite que la chaîne pour laquelle elle travaille, qui a longtemps été la chaîne du foot, brasse aussi des millions. Chez les Insoumis, c’est un sacré défilé d’indignité. » !
« Ils devraient se tenir oui. Jean-Luc Mélenchon dit des énormités. Il lui arrive de déraper dans l’agressivité. Mais lui, à la différence de ceux sus-cités, a de la densité politique. Il place la République à un autre niveau que ces gens-là. Il ne va pas essayer de trouver des excuses aux intégristes. Nous ne sommes pas sûr qu’il soit toujours en phase avec ses jeunes troupes. »
« Mais attention. Ils ont parfaitement le droit de penser que le monde est injuste, qu’il faut plus d’impôts pour les riches, que les lois Travail ne sont pas bonnes, qu’il faut nationaliser les banques et qu’il faut une VIe République. C’est ça la démocratie. C’est la fameuse formule de Voltaire : “Je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”. Seulement il y a une différence entre dire ce que l’on pense et dire n’importe quoi. »
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Domestikator et les islamo-gauchistes, une union contre-nature?
La direction du Louvre, certainement échaudée par les récentes (et très justifiées) réactions contre l’installation du plug anal (sculpture Tree) de Mc Carthy Place Vendôme et celle du vagin de la reine d’Anish Kapoor dans les jardins du château de Versailles (voir ici et ici ), a annoncé que « l’œuvre »Domestikator ne sera finalement pas exposée dans le très familial et fréquenté Jardin des Tuileries à Paris. « Haute de 12 mètres» précise le site de France info, son installation aux tuileries fut proposée « dans le cadre du parcours hors-les-murs de la Foire internationale d’art contemporain (FIAC). » « Elle est, selon son auteur (le néerlandais Joep Van Lieshout), une sorte d’allégorie du viol de la nature par l’homme, avec une lecture au second degré. En y regardant bien, le spectateur peut en effet deviner, dans cet assemblage géant de cubes, un acte sexuel entre un homme et un animal, dans la position de la levrette.» Les bourgeois progressistes, les gardiens du bon goût, les artistes de cour et autres défenseurs-prébendiers-businessemen de l’art contemporain académique, ont fait savoir haut et fort dans les médias éclairés à quel point cette censure de l’art était choquante. A entendre leurs glapissements on pense à ce qu’écrivait Céline (les céliniens Philippe Sollers et Nicolas Sarkozy nous pardonnerons au moins cette référence) sur le travail de suggestion entrepris sur les individus, via un conditionnement, un bombardement de stimuli, d’images, d’informations, de slogans aujourd’hui sans commune par son ampleur avec ce qu’il dénonçait déjà avant-guerre : « Que demande toute la foule moderne ? Elle demande à se mettre à genoux devant l’or et la merde ! Elle a le goût du faux, du bidon, de la farcie connerie, comme aucune foule n’eut jamais dans toutes les pires antiquités…du coup on la gave, elle en crève… Et plus nulle, plus insignifiante est l’idée choisie au départ, plus elle a de chance de triompher dans le cœur des foules… mieux la publicité à sa nullité, pénètre, entraîne toute l’idolâtrie…»
Transformer les citoyens conscients, les peuples, les sociétés libres, enracinés dans une filiation, une culture, des valeurs en foule, en masse, en agrégat de consommateurs décérébrés pour mieux faire passer le plug mondialiste est un processus bien entamé dans les nations occidentales (mais pas que). Incidemment, il n’est pas étonnant que les artistes contemporains reprennent à leur compte les mêmes mots d’ordre, les mêmes formules que les partis du Système (ou inversement). La page wikipedia de l’Atelier Van Lieshout ( AVL) nous apprend ainsi que « Ses œuvres interrogent le vivre ensemble… »
Vivre ensemble, vivre avec nous, c’est ce que souhaite encore apparemment une partie de l’appareil d’Etat de la Turquie qui ne renonce pas à son adhésion à l’Union européenne. Euractiv relayait un article selon lequel « Le ministre turc des Affaires européennes, Ömer Çelik, défend bec et ongles l’élargissement de l’UE par l’adhésion de la Turquie en soutenant que le pays discutera de l’avenir de l’UE et de ses valeurs universelles lorsqu’il sera à l’intérieur (de l’Europe).» Des Turc arrivant à la rescousse pour sauver Bruxelles de la réaction identitaire ? « Ömer Çelik soutient que l’essor du populisme d’extrême droite est l’une des plus grandes menaces planant sur l’intégration européenne. L’islamophobie, la xénophobie et la politique de haine sont en train de se développer en Europe , a-t-il déclaré tout en soulignant que face à ce phénomène, nous avons besoin de réflexion et de souplesse (…). Malgré les plaintes pour persécution et arrestations des membres de l’opposition et le manque de liberté de la presse, il a appelé à ouvrir les chapitres 23 et 24 du processus d’adhésion portant sur le pouvoir judiciaire, les droits fondamentaux, les libertés et la sécurité. Ouvrons-les et avançons ensemble , a-t-il insisté tout en concluant que « le plus important est de négocier. »
Négocier au nom du vivre ensemble, l’avocate socialo-trotskyste mélenchoniste Raquel Garrido, sera certainement contrainte de le faire si l’on en croit Le canard enchaîné rapporte L’Express. - Le magazine détaille plus largement ses bourdes diverses et variées. L’obligée de Vincent Bolloré via son poste de chroniqueuse sur C8, « n’aurait pas payé ses cotisations sociales à la caisse de retraite des avocats depuis six ans. Pas plus qu’elle n’aurait payé ses cotisations à l‘Ordre des avocats depuis un an (…). Le montant de l’ardoise auprès de la caisse de retraite des avocats s’élèverait à plus de 32 000 euros. Contactée par l’AFP, l’Insoumise pourtant toujours prompte a dénoncer les cadeaux fiscaux faits aux plus riches, n’a pas souhaité s’exprimer.Ce mercredi, le Barreau de Paris a annoncé que l’intéressée, qui a été convoquée devant la Commission compétente le 20 septembre 2017, a convenu d’un échéancier afin de régler ses cotisations auprès de l’Ordre. »
Le vivre-ensemble est aussi négociable (pour peu que les Gaulois non repentants descendent des trottoirs et baissent la tête?) pour une autre insoumise (sic), le député Danièle Obono. Une gauchiste proche du groupuscule extrémiste et communautariste des Indigènes de la République, élue qui avait choqué les Français après sa défense des rappeurs chantant Nique La France… et son refus de dire Vive la France sur RMC
Dernière saillie en date de cette brillante dialecticienne et analyste de notre société contemporaine, invitée sur l’antenne de BFMTV le 1er octobre, Mme Obono avait été interrogée sur ce chauffeur de bus de la RATP qui avait refusé dernièrement de prendre le volant après une femme. « Est-ce que ça veut dire que (cette homme) est radicalisé ? » lui avait-on demandé. « ça veut dire qu’il a des préjudices (sic) sur des femmes » avait répondu cette mélenchoniste. « Quelqu’un qui refuse ce que vous dites là, est-ce que c’est le signe d’une radicalisation? (…) je ne sais pas (…) on peut être sexiste et religieux, ou pas croyant » a t-elle ajouté. Ben voyons ! Marine a dénoncé « (les) propos irresponsables (de Danièle Obono qui) contribuent à minimiser la montée de l’islam radical dans notre pays. Les Français méritent la vérité ! »
Une vérité qui passe mal à l’extrême gauche comme on le constate aussi avec cette déclaration sur les réseaux sociaux d’une féministe du calibre de Mme Obono, Sonia Nour, membre du cabinet du maire communiste de La Courneuve (Seine-Saint-Denis). Commentant l’assassinat dimanche de deux jeunes filles gare Saint-Charles à Marseille par un soldat-terroriste du califat, l’immigré clandestin tunisien Ahmed Hanachi, elle s’est livrée à ces réflexions : « Quand un martyr égorge une femme et poignarde une autre là ça fait du bruit. Terrorisme, du sang, civilisation Bla Bla Bla... ». « Par contre que le terrorisme patriarcal nous tue tous les deux jours on l’entend moins votre grande gueule. » Martyr, Bla Bla Bla, Grande gueule, terrorisme patriarcal… Qu’en termes choisis ces choses-là sont dites et comme ils sont révélateurs des pensées et des arrières pensées d’une certaine nébuleuse multiculturaliste et immigrationniste constate Bruno Gollnisch.
Sur le site du Figaro, le 2 octobre, l’avocat Gilles-William Goldnagel s’offusquait de ce que « des islamistes radicaux avaient été autorisés par l’université Lyon 2 à organiser une conférence à l’intérieur de son enceinte. Le pire était d’apprendre que Jean-Louis Bianco, es qualité de président de l’Observatoire de la laïcité, avait accepté d’envoyer un message aux participants, donnant ainsi son onction à la manifestation », en présence du parti des Indigènes de la République. Il rappelait à cette occasion certaines déclarations d’un de ses membres les plus emblématiques, Houria Bouteldja: « Il faut dénationaliser l’histoire de France. Je crois qu’il faut faire exploser cette identité française … ». «Joli succès de l’antiracisme d’extrême-gauche » notait avec à propos Me Goldnagel: « le parti mélancholique est en passe d’ajouter la guerre des races à la guerre des classes.»
Sur son blogue le ci-devant député du 9-3 de La France Insoumise, Alexis Corbière, a pondu un long article, références historico-politiques à l’appui, pour dénoncer l’absurdité de l’accusation d’islamo-gauchisme faite au très laïciste parti mélenchoniste. Tout n’est pas faux factuellement dans les arguments avancés par M. Corbière pour se défendre de procès là. Mais la vérité et le fond du problème sont ailleurs. Dans les faits, le parti de Mélenchon préfère détourner les yeux sur la réalité desbmenaces d’implosion de la France sous les coups de boutoir du développement du communautarisme dans les banlieues, tout à sa tâche visant à récupérer, agréger un certain électorat issu de l’immigration, chacune des parties concernées pensant instrumentaliser l’autre et l’utiliser comme marche-pied.
Au-delà du bla bla comme dirait l’autre, des Corbière et consorts, les humanistes et autres propagandistes de la République universelle, hors-sol, qui forment le socle du premier cercle mélenchoniste, suivent toujours la même vieille stratégie révolutionnaire. Elle a été théorisée dans les cénacles trotskystes il y a déjà longtemps : s’appuyer sur l’immigration de masse pour faire disparaître notre cadre national, civilisationnel, altermondialistes mélenchonistes et mondialistes macroniens poursuivant ici un objectif commun. Ce qui explique aussi en partie que la direction de la La France Insoumise ait été choisie comme sparring partner, opposant privilégié au gouvernement par Emmanuel Macron, ses communicants et les médias dominants. Une opposition maîtrisée, domestiquée… Domestikator diraient même certains.
https://gollnisch.com/2017/10/05/domestikator-islamo-gauchistes-union-contre-nature/
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L'attentat de Marseille, malheureusement, n'en est qu'un de plus !
Que dire de l'attentat de Marseille, que nos lecteurs ne sachent déjà, qui n'ait été vu et revu sur toutes les chaînes d'info en continu ? Tout le monde, aujourd'hui sait - ou croit savoir - tout sur tout, tout de suite ! Inutile d'en rajouter.
Qu'exprimer alors d'important qui ne l'ait déjà été ici ? Nous n'aimons pas tellement les redites logorrhéiques qui ne servent à rien sinon à passer sa colère, son exaltation indignée, son horreur, rafale de points d'exclamation à l'appui. Les sentiments que nous venons de dire, nous les connaissons tous ; ils ne servent pas le Pays au niveau qui convient. En tout cas pas avec le sérieux voulu. Les forces de l'ordre font leur travail avec courage et en grande part avec efficacité. Ce sont elles qui en courent les risques - les plus élevés. Et les assassins ressortent de leurs actions rarement vivants. Comme si, à leur encontre, une sorte de peine de mort, d'exécution immédiate, avait été tacitement et heureusement rétablie. Nul ne s'en étonne ni ne s'en indigne. Comme jamais, « nécessité fait loi » ! Les militaires de l'opération Sentinelle ont encore abattu le forcené d'hier, Gare Saint-Charles, à Marseille. Ils ont fait ce qu'il y avait à faire. Deux passantes sont mortes qui ne font que s'ajouter à la longue liste des victimes des fous de l'Islam. Se taire, s'incliner...
Mais pourquoi ces victimes, celles de Paris, de Nice, de Toulouse, de Levallois-Perret ... hier de Marseille ? A raison de quelles causes, de quelle politique, puisque c'est de cela qu'il s'agit ? Et de quelles responsabilités ? Telle est la vraie question. Depuis les attentats de janvier 2015, il y a presque trois ans, rien de fondamental ne s'est ajouté. Les choses ont continué : les flux migratoires - comme avant et - comme il était prévisible - les attentats, en France et dans toute l'Europe. Ne s'est ajoutée que la vague supplémentaire des migrants réfugiés, ou prétendus tels. Folie supplémentaire elle aussi, sous le Haut Patronage européen d'Angela Merkel.
Pourquoi ces victimes ? A raison, à cause de quoi, de qui ? Nous avons répondu à cette question dès janvier 2015 - le 8 - et, après trois ans, nous ne voyons pas grand chose à y changer. Il nous semble avoir, alors, vu et dit l'essentiel.
Le voici :
« Quand on laisse entrer chez soi, en un laps de temps relativement court, des millions d’immigrés venus d’un autre continent, nés d’une civilisation radicalement différente, guidés par les mirages d’un niveau de vie que leur misère originelle rend terriblement attrayants et qui n’ont que peu de sens et de respect de ce que sont les mœurs, les lois, les traditions du pays où ils arrivent, quand on en a soi-même largement perdu l’amour et la pratique, il n’y a pas de quoi être étonnés des troubles et des violences qui se produisent inéluctablement. C’est la première réflexion qui nous vient à l’esprit après les événements tragiques d’hier, à Paris. Il y a longtemps, ici, en effet, que nous mettons en garde contre la politique d’immigration de la France, devenue plus périlleuse encore du fait de la crise économique et du laxisme de nos gouvernants. Du fait, aussi, d’un certain nombre de nos erreurs - de graves erreurs - en matière de politique étrangère. Il y a longtemps que nous signalons à quel point notre République vit sur une poudrière et qu’il peut arriver un temps où le travail de nos services de sécurité ne suffira plus à empêcher la multiplication des violences et des attentats. Ce temps est peut-être arrivé et il ne faut pas manquer d’en rechercher les causes, d’en marquer les responsabilités. Certes, tous les musulmans de France ne sont pas des terroristes. Loin de là. Nombre d’entre eux sont probablement en voie d’intégration. Et le réalisme devrait conduire, si nous en sommes capables, à les y aider, à les y encourager. Mais les risques de l’immigration massive demeurent ; elle est un terreau porteur de terribles dangers. Et, en tout cas, tous les terroristes qui menacent aujourd’hui la France le font au nom de l’Islam. »
Tout esprit censé comprendra qu'il s'agirait aujourd'hui de mettre en place une politique inverse de celle qui a été menée jusqu'ici en matière d'immigration. Et en bien d'autres domaines corrélés, encore : famille, Education, culture, médias. Etc. En bref, il s'agirait en tous domaines essentiels, selon la formule maurrassienne, de « renverser la mécanique de nos malheurs ».
Lafautearousseau
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La vérité dangereuse
Bernard Plouvier
Il est évident, pour tout esprit libre de dogme(s), qu’il n’existe pas plus de vérité politique, philosophique ou juridique qu’il n’existe de vérité historique ou religieuse. Toutefois, il existe une vérité factuelle : les faits d’observation forment des évidences et nier ces évidences définit médicalement le délire.
Fait : le terrorisme mahométan est devenu un risque permanent un peu partout dans le monde et rien ne permet de différentier a priori un fidèle d’allah calme d’un djihadiste en puissance. De même qu’une canaille d’affaires peut un jour décider de ne plus escroquer son prochain, de même qu’il arrive qu’un alcoolique ou un drogué cessent d’être esclaves de leur poison, un homme pieux peut devenir un illuminé, fou de son dieu.
Un jour peut-être, les « penseurs » comprendront-ils qu’il n’est pire criminel de masse que celui qui impose un dogme où l’extermination des ennemis est présentée comme chose belle et bonne, agréable à la divinité ou à son substitut politique.
Il arrivera fatalement qu’un historien « révisionniste », versé dans l’exploitation prudente des statistiques modernes et des estimations chiffrées antiques et médiévales, estimera que les religions monothéistes ont été aussi meurtrières que le marxisme qui a endeuillé le XXesiècle.
Ce ne sera pas une chose aisée à présenter, ni dépourvue de risque judiciaire dans un monde où le milieu politique est prosterné devant les divinités économiques (et le pétrole en est une aussi puissante que la finance cosmopolite dont Wall Street et la City ne sont plus que des bases historiques)… sans même évoquer « l’action directe » dont le courageux auteur pourrait être l’objet de la part de tueurs fanatiques.
Il est à noter que si notre « État de droit » n’intervient pas souvent pour freiner le délire verbal des imams et ulémas hébergés sur le sol français, toute allusion aux risques que la religion mahométane fait courir aux Français peut être requalifiée « d’appel à la haine » dite « raciale » ou religieuse par un magistrat proche de la mouvance globalo-mondialiste.
Fait : les races de chiens, de vaches, de chevaux, etc. existent. Aucun politicien n’a été assez stupide pour légiférer sur ce point ni aucun juriste assez carriériste pour condamner un vétérinaire au titre du racisme canin ou caprin. En revanche, selon la Loi française du régime macronien, il n’existe pas de race humaine, mais « de prétendues races ». Toutefois, il existe un racisme, qu’en bonne logique on devrait dénommer « supposé » ou « présumé » puisque son objet n’existe pas ou plus.
Parler de races était autrefois un sujet d’anthropologie, pouvant déboucher sur des constatations sociologiques dénommées ethnologie et cela pouvait mener à devenir membre d’une académie ou titulaire d’une chaire d’université. En nos jours de progrès continu des connaissances (et des législations toquées), cela mène à la case prison ou à un « stage de rééducation civique ».
Fait : l’Europe, où les autochtones les moins certifiés, mais aussi parfois de jeunes diplômés connaissent un chômage massif et de longue durée, n’a nul besoin d’une immigration d’extra-européens dont une grande partie est analphabète (les autorités scandinaves et allemandes l’ont reconnu), dépourvue de toute connaissance professionnelle… sans même parler de la délinquance voire des activités criminelles d’un nombre effarant de jeunes hommes importés, avec la bénédiction pontificale, à la demande de la grande distribution pour accroître ses bénéfices grâce à une consommation en partie parasitaire, alimentée par les contribuables.
Présenter cette réalité quotidienne, évoquer la menace d’une substitution de population majoritaire et les risques de guerres de « prétendues races » et de religion au sein de notre continent qui se remet à peine du précédent épisode, mènent au lynchage médiatique et à de ruineux procès. Il est piquant de constater que les Goyim nés bien après 1945 sont contraints de déguster l’évocation de la Shoah matin, midi et soir (voire la nuit pour les plus accrochés) et qu’on ne peut sans risque évoquer l’hypothèse d’un prochain génocide des Européens dans leur propre continent.
Fait : l’omniprésente corruption, dans les milieux politique, médiatique et administratif. On peut en parler de façon vague, mais citer précisément ses mécanismes, ses institutions, notamment sectaires, les agents corrupteurs mène devant un juge… lui-même pouvant appartenir à un parti, une secte maçonnique ou une tribu corrompue ou corruptrice.
Et l’on pourrait multiplier ces vérités factuelles qui sont tellement dérangeantes pour nos véritables maîtres que leur évocation en est devenue périlleuse. Auparavant, l’on disait : « Toute vérité n’est pas bonne à dire ». Il se pourrait bien que dans un avenir pas trop éloigné on en revienne à l’application d’un rituel mongol : le messager porteur de mauvaises nouvelles est exécuté.
L’histoire le prouve abondamment : une civilisation meurt peu après avoir atteint son apogée. Mais une société où le fait de délirer - c’est-à-dire : nier l’évidence des faits – est institutionnalisé, sanctifié par des lois de circonstances aussi bien que par « l’idole que l’on adore au Vatican » (saluons « Voltaire »), ne peut que s’effondrer sous le poids de sa bêtise, de sa médiocrité, de son absence de référence éthique, comme l’ont fait les sociétés marxistes.
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/10/04/la-verite-dangereuse-5986234.html
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Discrimination politique : l'Université de Lorraine condamnée
Le 16 mars, l’Université de Lorraine a été condamnée à verser la somme de 4000 euros à Monsieur D. pour cause de discrimination. Cette condamnation fait suite à un mail envoyé par le directeur de l’IECA (Institut européen du cinéma et de l'audiovisuel de Nancy)) dans lequel ce dernier signifie à la victime qu’il ne « préfère pas » qu'il soit chargé de cours à l’Institut du Cinéma compte tenu de ses opinions politiques. Maitre Abauzit, avocat de la victime, explique :
"Monsieur D. a été contraint de saisir la justice administrative, car, alors qu’il était prévu qu’il intègrerait la rentrée 2015/2016,en qualité d’enseignant vacataire, l’équipe pédagogique de l’IECA – école dépendante de l’université de Lorraine – il s’est vu refuser son poste par un courriel de l’école, au motif qu’il aurait des « accointances avec des sites nationalistes, identitaires et souverainistes ».
En l’espèce, la discrimination au regard des opinions politiques réelles ou supposées de Monsieur D. était non seulement manifeste, mais revendiquée. Monsieur D., qui pourtant avait déjà enseigné pour l’IECA quelques années auparavant, ne pouvait manquer d’être choqué. Le « terrain » avait été préparé depuis plusieurs mois, puisque dès le mois de mai 2015, le conseil d’UFR de mathématique et informatique avait établi une motion diffamatoire à l’encontre de Monsieur D., dans laquelle il était affirmé qu’il était un zélateur d’extrême droite… Cette motion avait été envoyée aux instances supérieures de l’université de Lorraine, ainsi qu’à un large groupe d’étudiants.
Quel regard portez-vous sur le mail de l'IECA ?
En qualité de juriste, je dirais que la façon décomplexée dont la discrimination a été revendiquée est pour le moins surprenante, pour ne pas dire plus. Il semblerait que dans l’esprit de certains, les règles protectrices du droit français n’ont vocation à s’appliquer qu’aux individus respectant le conformisme politiquement correct. Aveuglés par des motifs idéologiques, les auteurs de la discrimination ne se sont probablement pas rendu compte de la portée de leur acte. [...]"
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MARSEILLE : RETOUR AU RÉEL POUR M. PHILIPPE ET UNE CLASSE POLITIQUE EN PLEINE APESANTEUR
En ce sanglant 1er octobre, une fois de plus, nous n’avons plus envie de rire.
Drôle de semaine, comme on aurait dit « drôle de guerre ». Une semaine marquée par « L’Émission politique » du Premier ministre, toujours inconnu pour un tiers des Français, et plaisantant avec un journaliste chauve sur sa calvitie, pour évoquer l’avenir des derniers fleurons français avec un flacon de shampooing L’Oréal. Une semaine marquée par les petits jeux d’appareil politiciens de MM. Lagarde et Bayrou encore, ce dimanche, tout émoustillés par leurs petits succès au Sénat. Une semaine marquée par la présentation du budget, toujours aussi déficitaire comme tous les ans depuis quarante ans. La routine. Le monde d’avant dans toute sa splendeur rassurante.
Certes, il y avait bien eu ces élections allemandes pour rappeler que quelque chose était pourri au royaume de l’Union européenne. Et puis cette étrange levée de l’immunité parlementaire de M. Collard qui avait osé montrer les crimes de Daech, alors que le député El Guerrab, qui a violemment agressé M. Faure, siège toujours à l’Assemblée, et à la commission de la Défense. Drôles de méthodes parlementaires…
Et voilà que dans ce dimanche tristounet d’automne, en ce début d’après-midi, ce que l’on tend par tous les moyens à nous faire oublier est réapparu. Une attaque au couteau, dans la gare Saint-Charles de Marseille. Deux passantes ont été tuées. Les soldats de Sentinelle ont abattu l’agresseur. « L’assaillant aurait crié “Allah Akbar“ ” en passant à l’acte. » Selon le conditionnel d’usage au Monde dans ce genre de situations.
Réactions des officiels ? Le ministre de l’Intérieur, M. Collomb, tweete qu’il se rend immédiatement sur place. Et une adjointe au maire de Marseille, après avoir rendu un hommage mérité aux militaires de Sentinelle, a déclaré que « le nombre de victimes aurait pu être plus élevé ». Avec de tels raisonnements, qui espère-t-elle consoler ? Et pour combien de temps ? Quant au Président Macron, il s’est dit « indigné ». Très bien. Mais encore ?
La veille, M. Collomb avait détaillé la liste des attentats islamistes déjoués, notamment pendant la campagne présidentielle, et fait le point sur les 17.000 fichés S « suivis ». Rien de rassurant.
De « L’Émission politique » de M. Philippe, on n’a retenu que son humour poli, avec un dernier clin d’œil à son alopécie naissante : sur un sujet déjà oublié, « on ne va pas couper les cheveux en quatre, voyons ! » Rires…
C’était de la pure lévitation automnale. De la lévitation ? De l’évitement.
Mais en ce sanglant 1er octobre, une fois de plus, nous n’avons plus envie de rire. Et nous aimerions bien que sur l’islamisme aussi, dont M. Philippe a très peu parlé, il cesse de couper les cheveux en quatre.
http://www.bvoltaire.fr/marseille-retour-reel-m-philippe-classe-politique-pleine-apesanteur/