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anti-national - Page 717

  • Google et le complexe militaro-industriel américain, même combat

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    Ex: http://www.europesolidaire.eu

    Jusque vers 2006 ou 2007, les bons moteurs de recherche fournis par les entreprises américaines du web étaient rares.

    Celui dit Google Search ou plus simplement Google (voir https://en.wikipedia.org/wiki/Google_Search ) était considéré comme le meilleur, tant par la rapidité de ses réponses, l'étendue des sources consultées que la neutralité des sélections. Néanmoins, certaines recherches très spécifiques ne pouvaient pas être satisfaites, mais cela n'avait rien d'anormal à l'époque compte tenu du fait que les sources recherchées étaient très peu consultées et échappaient donc aux moteurs.

    Aujourd'hui, Google reste très généralement utilisé, même au regard des performances bien meilleures de moteurs moins connus, du fait de sa facilité d'emploi. Cependant, beaucoup d'utilisateurs exigeants considèrent qu'il est devenu pratiquement inutile du fait qu'il fournit sur un sujet donné une quantité d'informations provenant de sites différents sans donner aucune indication sur les différences pouvant les distinguer. C'est à l'utilisateur de les essayer tous pour obtenir le correspondant le plus approprié à ces besoins.

    On objectera que Google, comme tout moteur, ne peut se substituer aux utilisateurs ayant des besoins spécifiques. C'est à eux de faire le tri. Or il faut considérer que vu le nombre de ceux qui interrogent Internet sans avoir une expérience suffisante du net en général, un peu d'aide du moteur ne serait pas inutile. C'est ce que fournissent beaucoup d'autres moteurs moins connus.

    Mais il y a beaucoup plus grave. Il apparaît maintenant que les algorithmes de recherche utilisés par Google sont organisés pour oublier volontairement, ou ne pas mentionner (c'est-à-dire censurer ) des sites ou des thèmes dont la ligne éditorial déplait au gouvernement américain et à ses services spécialisés, notamment le FBI et la CIA.

    Il était évident depuis longtemps que les données collectées par Google étaient immédiatement accessibles à ces services du fait que les bases de données collectées par le moteur étaient quasiment communes avec celles conservées par les mémoires gouvernementales, notamment la National Security Agency (https://www.nsa.gov/)  Par ailleurs, les algorithmes de recherche étaient quasiment les mêmes, si bien que l'on pouvait à juste titre considérer que Google pouvait à la demande du FBI ou de la CIA faire à leur place le travail d'espionnage que ces services officiels souvent très encombrés ne pouvaient faire.

    De plus, il faut savoir qu'un grand nombre d'informateurs humains travaillant pour ces services orientent les recherches et les interprétations de celles-ci vers des domaines ou des données personnelles insuffisamment explorés par les moteurs. On peut donc suspecter, comme l'a fait l'opposition politique américaine, que ces équipes sont souvent communes à Google et aux services officiels.

    Mais c'est de plus en plus une coopération systématique de Google avec les services officiels que dénonce l'opposition. Ainsi, l'essentiel des données géographiques fournies par Google Map proviennent d'observations militaires, aériennes ou satellitaires. Il en est de même des données personnelles « sensibles » collectées par les services de renseignement, qui sont fournies à Google sans difficultés pour lui permettre d'effectuer lui-même des sélections.

    Une censure politique

    Le site socialiste américain WSWS (World Socialist Web Site) a constaté qu'au moins sur les serveurs de Google anglophone, il n'était plus jamais possible de trouver mention du site ou d'articles faisant allusion au site. Tout se passe désormais comme s'ils n'existaient pas. Plus grave en termes diplomatiques, le même sort frappe les sites russe Russia Today RT ou Sputnik qui ne peuvent en rien être considérés comme des machines de propagande utilisées par la Russie pour conduire une guerre d'information avec les Etats-Unis. Eric Schmidt, PDG exécutif d'une des filiales de Google, s'en est vanté publiquement . https://www.rt.com/document/5a1323f5fc7e9353358b4567/amp/...

    Ceci n'est qu'un début. Nous avons nous-mêmes indiqué que, dans le domaine de l'intelligence artificielle, Google avait racheté pratiquement toutes les start up productives. Il en est de même en matière de robotique autonome. On lira à ce sujet notre article, déjà un peu ancien, accessible sous http://www.admiroutes.asso.fr/larevue/2013/141/googlebot....

    Comme ces différents outils sont de ceux qui, au moins dans la sphère anglophone, construiront le monde de demain, ce monde sera un monde Google.

    Google, maître du monde? Oui, mais d'un monde défini exclusivement par les divers intérêts politiques, économiques et militaires des Etats-Unis. Même la Russie et la Chine devront en partie s'y soumettre, compte-tenu de la difficulté qu'elles éprouvent aujourd'hui à rattraper leur retard sur Google.

  • Ukraine scoop: des snipers de Maïdan témoignent à la TV italienne que les commanditaires de la tuerie étaient dans le camp américain

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    C’est un scoop international, un documentaire à couper le souffle, diffusé sur la chaine italienne Canale 5 en novembre 2017: Gian Micalessin a retrouvé trois tireurs d’élite, trois responsables du massacre de la place Maïdan, qui, - vous le verrez dans le documentaire -, loin d’être pro-russes étaient au contraire sous autorité pro-américaine. Ce documentaire exceptionnel le démontre: En Ukraine la tuerie du Maïdan qui a fait 80 morts et d’innombrables blessés, et qui a renversé le pouvoir légitime du président Ianoukovytch a bien été commandité par les services spéciaux Américains via leur homme de Géorgie, Mikhaïl Saakachvili.

    Un grand reporter de guerre Gian Micalessin a obtenu le témoignage détaillé de trois des nombreux snipers (tueurs en fait) qui ont été engagés en Géorgie pour se rendre en Ukraine renverser le pouvoir au profit des intérêts occidentaux. Ce sont des témoignages du massacre, -et de son déroulement-, abondamment  illustré en fond par les nombreux enregistrements vidéo d’époque, caméras de surveillance et reportages divers. D’autres documents accablants démontraient déjà ce scénario abominable, mais ces trois témoignages concordants et amplement argumentés ne laissent plus subsister le moindre doute. Les spectateurs attentifs seront alertés par ce document emblématique des diverses révolutions de couleurs qui ont frappé les pays d’Europe central, emblématique aussi des différents printemps arabes qui ont servi à renverser certains chefs d’Etat du Moyen-Orient inaugurant le terrorisme islamique actuel, jusqu’à la volonté aujourd’hui des Américains de saboter les négociations de paix de Genève sur la Syrie ainsi que le révèle notre précédent article.

    Au cours de son reportage, Gian Micalessin donne alternativement la parole à ses trois témoins en fonction de la chronologie des événements, chacun les ayant vécu de son côté:

    Ci-dessous l’enregistrement de la conversation  captée, 5 jours après les massacres de la place Maïdan, entre le ministre d’Estonie, Urmas Paet et Catherine Ashton, ministre des Affaires étrangères de l’UE; Urmas Paet revenant de Kiev après le massacre a été le premier a contester la version officielle et obligatoire diffusée jusqu’à aujourd’hui par les médias occidentaux. Micalessin fait référence dans son reportage ci-dessus, à cette conversation accablante pour la version officielle :

    Ci-après le script intégral du documentaire de Gian Micalessin diffusé en novembre 2017 sur la chaine de TV italienne Canale 5, suivi du témoignage de Vladimir Poutine sur le sujet :

    http://www.medias-presse.info/ukraine-des-snipers-de-maidan-temoignent-a-la-tv-italienne-que-les-commanditaires-de-la-tuerie-etaient-dans-le-camp-americain/83986/

  • Notre Europe enracinée… ou leur terrain vague mondialisé?

    Oui à « l’Europe des nations européennes », « Ils sont européistes, nous sommes européens ! »: les cadres et élus du  Front National étaient en réunion de travail vendredi à l’Assemblée nationale autour de Marine Le Pen  et  de députés  - Bruno Gollnisch,  Nicolas Bay, Gilles Lebreton, Bruno Bilde, Gilbert Collard… Ils ont traité de leur vision de l’Europe, de la façon par laquelle nous pourrions recouvrer notre indispensable souveraineté. Ce  que Gilles Lebreton a expliqué en soulignant  qu’il existe des alternatives  moins brutales et anxiogènes pour nos compatriotes   que l’article 50 du traité de Lisbonne -qui a  permis dernièrement le Brexit- et qui stipule que « Tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union. » Il existe en effet une possibilité offerte aux Etats de faire évoluer le traité. Cela est précisé notamment dans le second alinéa de son article 48 : « Le gouvernement de tout Etat membre, le Parlement européen ou la Commission peut soumettre au Conseil des projets tendant à la révision des traités. Ces projets peuvent, entre autres, tendre à accroître ou à réduire les compétences attribuées à l’Union dans les traités. Ces projets sont transmis par le Conseil au Conseil européen et notifiés aux parlements nationaux. »

    Marine a  plaidé pour la « transition séquencée » que rend possible cet article 48 qui « délie (les) liens les uns après les autres » en lieu et place du « passage en force», du « big bang institutionnel » de l’article 50. Et dans un souci d’aller au fond des choses, de faire aussi  notre mea culpa, elle a  rappelé les ambiguïtés de ces derniers mois: « nous avons pensé que seule l’élection présidentielle pouvait réorienter l’Europe, laissé penser qu’on voulait en sortir seuls, avec une vision trop franco centrée »;  or  « nous  sommes européens, pas antieuropéens, même si nous avons entretenu cette idée par maladresse sémantique. »

    L‘Europe du FN  n’est pas en effet  celle du père fondateur Jean Monnet tel que le décrit Christophe Baudouin dans son livre  Le grand malentendu:  « Monnet vit entre avions et hôtels, se pense en nomade attalien et rêve l’Européen du futur – vous, moi – à son image : déraciné, désaffilié, pacifié. Il aime la France comme l’aime de nos jours la classe politique : il a le patriotisme paysager. Il rêve d’un monde sans frontières, sans nations et sans Politique, où les gouvernements cèdent la place à une administration rationnelle. Monnet est à la géopolitique ce que Le Corbusier est au même moment à l’urbanisme : un architecte de la table rase habité par une vision glacée, géométrique et fonctionnelle du monde futur.  »

    Une journée de réflexion qui a délivré un message d’espoir que doivent entendre  tous les patriotes de notre continent: l’Union européenne bruxelloise, dont les tendances  liberticides, mondialistes et  totalitaires n’ont  cessé de se renforcer en  profitant des   démissions et/ou des  soumissions idéologiques de nos gouvernements,   n’est pas une fatalité. Les nationaux le savent, eux  qui défendent  (depuis toujours)  son alternative , l’Europe enracinée, de  la libre coopération,  de nations capables de s’unir autour de grands projets scientifiques, culturels, économiques… celle qui fonctionne! Bref une Europe  respectueuse de nos identités, de nos traditions, de nos  souverainetés, une Europe qui en  suivant ce modèle-là,    comme n’a cessé de le proclamer Bruno Gollnischserait conforme au véritable  génie de notre civilisation. 

    « Entre les mondialistes et nous, il n’y a rien ni personne » notait aussi la présidente du FN et le spectacle offert actuellement par LR confirme singulièrement ce jugement. Les ex cadres sarkozystes et/ou fillonistes effrayés par la reprise des thématiques frontistes par Laurent Wauquiez,  rallient officiellement le parti d’Emmanuel Macron (Thierry Solère, Gérald Darmanin, Sébastien Lecornu…) ou clament leur volonté de travailler encore plus étroitement avec LREM. C’est le cas des autres   élus  LR dits constructifs que sont la sénatrice Colette Mélot, le député  Franck Riester, le maire de Verdun Louis Vogel  qui viennent d’annoncer  avec une quinzaine de leurs collègues  la création d’Agir, un micro-parti au sein de LR qui se veut totalement macrono-compatible…  

    Une droite courbe, couchée, faillie qui n’a pas le courage de celle qu’incarne Nicolas Dupont-Aignan qui lui,  ne baisse pas l’échine devant le premier  lobby venu et dénonce les oligarchies financières. Invité de France 3 hier, le président de Debout la France a réagi aux dernière attaques en date subie par le Front National. Il a  jugé «  très choquant qu’une banque essaie de mettre à mort un parti politique. Il y a un vrai problème de financement de la vie politique… »

    Une droite antinationale qui est aussi à l’oeuvre en Espagne et qui souffre de la même débilité intellectuelle, de la même capacité aussi  à atteindre le point Godwin  en un temps record. Nous en voulons pour nouvelle preuve cette saillie au cours d’une conférence de presse,  cette fin de semaine  à Palma de Majorque,  d’Esteban González Pons,  vice-président du Partido popular, membre du PPE  au Parlement européen.

    Opposé à l’indépendantisme catalan, ce qui est bien compréhensible, mais au nom de l’« Union des pays » et de la « générosité » incarnées selon lui par l’Europe de Bruxelles,  M. González Pons, rapporte L’indépendant, « est le quatrième élu du Partido popular ces derniers mois a opéré à un parallèle entre le régime nazi dictatorial d’Hitler et le mouvement indépendantiste en Catalogne»…en prenant  soin d’y assimiler le FN au passage. Il a ainsi déclaré :  « Ceux qui votent pour les partis de l’indépendance  votent pour un projet hors de l’Union européenne (…). Le populisme national a des noms différents dans les Etats membres (de l’Union européenne, NDLR), il s’appelle Marine Le Pen en France, le Brexit en Grande Bretagne, le Nazisme en Allemagne et en Espagne ça s’appelle mouvement d’indépendance en Catalogne

    Propos délirants,  indignes mais qui sont dans la ligne des obsessions de cet élu qui faisait en mars dernier dans l’hémicycle la promotion du « vivre-ensemble» et l’étalage de toutes ses peurs: «L’Europe est aujourd’hui cernée au Nord par le populisme, au Sud par les réfugiés qui se noient dans la mer, à l’Est, par les tanks de Poutine, à l’Ouest, par le mur de Trump. (…) L’Europe est plus seule que jamais, mais ses citoyens ne le savent pas. Malgré tout, l’Europe reste la meilleure des solutions, et nous ne savons pas comment le leur expliquer.» En effet il ne sait vraiment  pas!

    Plus sérieusement,  Adrien Abauzit, interrogé sur le blogue eurolibertés,  souligne que tous les peuples d’Europe sont attaqués à des degrés divers dans leur être et qu’au delà du cas de notre nation, « nous assistons à une décomposition des pays dont l’unité est historiquement plus bancale que celle de la France (…), le cas de la Catalogne est intéressant. Nous pouvons avoir l’impression que la Catalogne, terre aujourd’hui de bobocratie et de politiquement correct, cherche à se défaire de la Couronne d’Espagne pour les mêmes motifs que la République (la coterie mondialiste au pouvoir sous le masque républicain, NDLR)  cherche à se défaire de la France. Dans les deux cas, il s’agit de se détacher d’un passé jugé contraire aux courants idéologiques dominants contemporains

     M  Gonzales-Pons et ses amis bruxellois, plus largement leurs clones que nous voyons à l’oeuvre au sein de notre classe politicienne, devraient balayer devant leur porte plutôt que de tenter bien grossièrement de faire diversion,  en  convoquant  la bête immonde pour s’exonérer de leurs propres fautes et turpitudes. Ils sont responsables et coupables des forces centrifuges que l’on voit  aujourd’hui à l’oeuvre. Notre Europe n’est décidément pas la leur. 

    https://gollnisch.com/2017/11/27/europe-enracinee-terrain-vague-mondialise/

  • Marine Le Pen dénonce une « fatwa bancaire »

     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La Société Générale vient d’annoncer la clôture des comptes du Front national. Dans le même temps, HSBC a décidé de fermer le compte de Marine Le Pen, où elle est pourtant cliente depuis plus de 25 ans.

    Les banques nient toute considération politique

    Lors de sa conférence de presse du 22 novembre, Marine Le Pen n’a pas manqué d’évoquer un « scandale démocratique », annonçant porter plainte pour discrimination contre la Société Générale et HSBC. Le député Gilbert Collard a quant à lui résumé l’ensemble des commentaires émis par les élus du parti populiste. Selon lui, c’est une « décision qui est purement politique, qui a pour but de gêner le Front national. Il y a une volonté dans ce pays aujourd’hui de ne pas avoir d’opposition réelle ».

    Des accusations fermement démenties par la Société Générale et HSBC, qui invoquent des considérations purement formelles et économiques. Dans une discussion rendue publique par Marine Le Pen, HSBC explique ainsi manquer d’informations sur l’origine des fonds sur le compte de l’élue ; lesquels proviendraient exclusivement « de l’Assemblée nationale et des allocations familiales ».

    Quelles solutions pour le Front national ?

    Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a demandé à connaître l’intégralité des éléments du litige, en particulier ceux censés justifier l’attitude de la Société Générale. La mise en place d’une « banque de la démocratie » évoquée durant l’été par François Bayrou, alors en charge de la moralisation de la vie publique, a pour le moment été repoussée. Compte tenu des « très grandes difficultés » rencontrées par plusieurs candidats pour lever des fonds, y compris par le président du MoDem, Bercy annoncerait cependant prochainement des mesures. En attendant, le Front national aurait trouvé une autre banque.

  • La police politique de Macron perquisitionne la secrétaire de Vigilance Halal avec le RAID !

  • Thomas Joly condamné pour avoir montré la réalité de l'islamisme

    257869780.jpgUn communiqué de Thomas Joly
    Secrétaire général du Parti de la France
    Suite au procès qui s'est déroulé le 9 novembre dernier au tribunal de Beauvais, le jugement a été rendu ce 23 novembre : deux mois avec sursis, 2.000 € d'amende.
    Il s'agit clairement d'une condamnation politique ciblée alors même que l'infraction était inexistante puisqu'il n'y a eu ni préjudice ni victime. Je constate un acharnement judiciaire à mon endroit afin de m'interdire de m'exprimer contre, rappelons-le, la barbarie de Daech.
    Sur les conseils de mon avocat, je fais donc appel de cette sanction inique destinée à intimider tous ceux qui luttent politiquement contre la colonisation migratoire, l'islamisation de la France et le terrorisme au nom d'Allah.
    Aucun jugement, aucune condamnation, aucune amende ne me feront taire ni ne m'empêcheront de dire la vérité à mes compatriotes.

  • CAMBADÉLIS VEUT DÉFENDRE LES MUSULMANS CONTRE LES IDENTITAIRES. OU SOIGNER SA CARRIÈRE

    Comme on défend les femmes contre les porcs, et les mamans contre les mères, et les filles contre leurs pères…

    Ce jour-là, le 21 novembre 2017, le député honoraire Jean-Christophe Cambadélis se réveilla, en sueur : il avait eu une vision au cours de la nuit. Il courut jusqu’à la rédaction du Huffington Post et cria : « Il faut défendre les musulmans contre les identitaires ! »

    En effet, quel musulman se sent en sécurité quand il traverse Castelnaud-la-Chapelle ou Saint-Amand-de-Coly ? Dans ces territoires perdus, tous les ans, les attentats à l’eau bénite se multiplient pendant la fête de Pâques, et on fête la fin du carême en brûlant des voitures ; tous les mois, on lapide des pompiers à coups de boîtes de cassoulet ; toutes les semaines, on retrouve, sur le trottoir où ils priaient paisiblement, des musulmans traumatisés après avoir été aspergés au cabernet-sauvignon ; et tous les jours, des indigènes déchaînés rasent les barbes et arrachent les voiles en hurlant : « Montjoie ! Saint-Denis ! »

    N’oublions pas, non plus, les meurtres des journalistes de Charia Hebdo, qui avaient osé caricaturer saint Jean-Baptiste. Nous étions alors des millions à défiler, des millions qui disaient : « Je suis Charia », « Plus jamais ça », « Nous étions tous des juifs allemands, soyons tous des musulmans français ». N’oublions pas. N’oublions jamais. Et contre ce péril blanc, lisons Edwy Plenel. 

    En réalité, ce ne sont pas les musulmans que Cambadélis défend ; c’est lui-même, et sa carrière politique, car Cambadélis, c’est déjà la France d’après, celle qui sait qu’elle devra son avenir à cet électorat qui a déjà en partie « grand-remplacé » les Français, cette force politique à laquelle le socialiste moyen se soumet pour survivre – car il croit qu’il survivra, le naïf, quand il sera le premier à disparaître de la vie politique : qui pourrait avoir confiance dans un tel opportuniste, capable d’une traîtrise aussi parfaite ?

    « Il faut défendre les musulmans contre les identitaires ! » Oui, et je propose que l’on fasse taire définitivement les seconds, qu’ils cessent de tourmenter les premiers. Oui, défendons les musulmans contre les identitaires, comme on défend les femmes contre les porcs, et les mamans contre les mères, et les filles contre leurs pères, et les lecteurs contre les écrivains insoumis et les murs contre les cons, et les cons contre Jean-Christophe Cambadélis, député honoraire.

    http://www.bvoltaire.fr/cambadelis-veut-defendre-musulmans-contre-identitaires-soigner-carriere/

  • Clichy : Apéro saucisson pinard vendredi 1er décembre si prières musulmanes demain !

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    COMMUNIQUE DE RIPOSTE LAIQUE ET RESISTANCE REPUBLICAINE

    De nombreux lecteurs de Riposte Laïque ou d’adhérents de Résistance républicaine nous demandent s’il faut aller à Clichy, ce vendredi 24 novembre, suite aux menaces effectuées par une association musulmane de reprendre les prières de rue, interrompues le temps d’un vendredi, après 8 mois d’occupation illégale de l’espace public, permis par le laxisme complice des autorités, préfet en tête.

    Dans ce contexte où la France a été ridiculisée durant de longues semaines, on ne peut que se réjouir que la mascarade ait cessé vendredi dernier, et que le ministre de l’Intérieur ait enfin confirmé fermement son refus de voir les prières musulmanes continuer à Clichy. Nous aimerions par ailleurs qu’il en soit de même dans toute la France.

    Même si nous avons appris à être prudents, devant le peu de courage des autorités françaises devant les multiplies provocations d’islamistes, nous ne pouvons envisager que l’Etat français puisse se laisser humilier une fois de plus, ce vendredi, aux yeux de toute la France.

    C’est pourquoi nous n’appelons pas nos lecteurs et militants à se rendre à Clichy, ce vendredi. Par contre, s’il s’avérait que nous aurions été trop optimistes, et que les prières aient repris, nous appellerions tous les patriotes attachés aux principes laïques et républicains à nous rejoindre à la mairie de Clichy, le vendredi 1er décembre, pour organiser un apéro saucisson pinard, comme nous l’avions fait le 18 juin 2010, afin de protester contre les prières musulmanes illégales de la rue Myrha, tolérées par les autorités de l’époque durant de longues années.

    Par ailleurs, nous appelons nos lecteurs et adhérents à soutenir, par leur présence, l’initiative de Génération Identitaire, le samedi 25 novembre, qui, au nom de défense de l’Europe contre les islamistes, organise une manifestation à 15 heures, à La Motte Picquet Grenelle.

    Christine Tasin et Pierre Cassen

    http://ripostelaique.com/clichy-apero-saucisson-pinard-vendredi-1er-decembre-si-prieres-musulmanes-demain.html

  • Zoom : Jean Philippe Lévêque / Immigration et surpopulation : les peuples muselés !

  • Immigration : même le Sénat épingle Macron - Journal du Jeudi 23 Novembre 2017