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anti-national - Page 717

  • Contre l’implosion communautariste, pour la France, pour la civilisation européenne

    Tout le temps de sa présence à Matignon, Manuel Valls fut dénoncé par l’extrême gauche (et une partie du PS)  comme un social-traitre, le Premier ministre ne ménageant pas non plus ses critiques envers la gauche archaïque et Jean-Luc Mélenchon.   Les  procès mutuels  en sorcellerie  ne se  sont  pas  apaisés  depuis la courte victoire ( ?)  aux législatives  de Manuel Valls dans son « fief » d’Evry face à  la candidate insoumise Farida Amrani -qui accuse quasiment  ce dernier de tricheries, la question sera tranchée par le conseil constitutionnel.  Une montée aux extrêmes qui s’est confirmée ces derniers jours avec le coup médiatique opéré par M. Mélenchon qui a  démissionné  le 6 octobre de la mission sur la Nouvelle-Calédonie présidée par M Valls. Une réponse aux récents propos de «  l’ignoble  Valls » qui avait pointé le « discours islamo-gauchiste» des députés de La France insoumise (LFI). M. Mélenchon affirme que  l’ex Premier ministre de François Hollande « est un personnage extrêmement clivant du fait de sa proximité avec les thèses ethnicistes de l’extrême droite »,  «avec les dirigeants de l’extrême droite israélienne».  Bref ,  « la bande à Valls est totalement intégrée à la fachosphère et à sa propagande » indique encore le conducator de LFI qui en terme de propagande grotesque, avouons-le, en connait aussi un rayon. On n’oubliera pas son discours ubuesque prononcé le 23 septembre à Paris lors d’un rassemblement contre la loi travail. Il avait alors déclaré, en plein négationnisme historique, que «  c’est la rue qui a abattu les rois, c’est la rue qui a abattu les nazis »,  qui a fait échec  « au putsch des généraux en 1962» (en 1961 en fait, NDLR)…

    Un duel qui arrange bien les protagonistes qui savent bien que comme l’écrivait  Drieu, « la propagande ça se fait avec les coups qu’on reçoit et avec les coups qu’on donne ». Cette tension verbale permet à Manuel Valls de revenir dans la lumière et à Jean-Luc Mélenchon de peaufiner son rôle d’insoumis(au petit pied)  au politiquement correct. Car à l’évidence, la  dénonciation  de cette proximité de M. Valls avec Israël (même si prudemment M. Mélenchon  a ajouté l’épithète d’extrême droite)  est une autre façon de fidéliser une large partie de la  clientèle électorale  de LFI, celle qui a permis des scores conséquents  aux candidats antisionistes de LFI dans les quartiers pluriels. Le tout  au nom d’une logique communautaire, communautariste,  que M. Valls lui-même avait bien intégré lorsqu’il était à Matignon et s’imaginait un futur élyséen…

    Pour notre part, notons que si  les actes dits musulmans et antijuifs  -sur lesquels surfent un certain  nombre de prébendiers et de  figures du Système pour exister-  ont reculé  très sensiblement l’année dernière selon les statistiques fournies  par le ministère de l’Intérieur,  et il faut s’en réjouir,  « le nombre d’atteintes aux sites chrétiens (lieux de culte et sépultures), qui représentent 90% des plaintes déposées, a encore augmenté l’an dernier. Le ministère a enregistré 949 actes en 2016, soit une hausse de 17,4% par rapport à 2015. Plus globalement, entre 2008 et 2006, les actes antichrétiens ont augmenté de 245%. »

    Et le délire antinational se porte lui aussi très bien. On l’a vu avec l’agression dont a été victime le benjamin de l’Assemblée nationale, le frontiste Ludovic Pajot,  frappé  samedi soir  par des antifas (mélenchonistes?) dans un bar  de  Béthune  (Pas-de-Calais) ou encore avec la tentative grotesque du  maire divers droite de la petite commune de Chanay, (Ain), Henri Caldairou,   d’interdire une  réunion du FN  en présence de Nicolas Bay.   «Le maire a appris mercredi que le FN débarquait. Il a été furieux. (…) Ce n’est pas une publicité qui nous honore, a déclaré à l’AFP une source municipale, Le fond n’a pas changé depuis 1940 (…) On est républicains, on essaie de ne pas galvauder l’esprit de la République » (sic ).

    Le FN qui entend lui beaucoup plus sérieusement ne pas galvauder l’esprit de la France, sa souveraineté  et ses libertés serait en   train d’opérer « un tête-à-queue sur l’Europe » si l ‘on en croit Le Monde. « Elle paraît bien loin, au Front National, l’époque des discours accusant l’Union européenne (UE) de tous les maux et prônant l’indispensable sortie de l’euro. Depuis quelques semaines, dans toutes les bouches frontistes, les mêmes mots concertés les ont remplacés : chacun se vit désormais  européen mais  – pour l’Europe, mais contre l’UE ; pour la civilisation  européenne, mais contre celle de Bruxelles. »

    « Une ligne de crête difficile à tenir, estime le politologue Jean-Yves Camus : Comment organisent-ils la préférence nationale ou établissent-ils la souveraineté monétaire sans sortir ? Et comment gèrent-ils les flux migratoires en restant dans l’Europe, tout en disant qu’ils ne feront pas ce qu’elle nous dit ? . Sans compter, (ajoute-t-il) le qu’il sera bien plus compliqué pour la France de s’affranchir des règles européennes, comme le font la Pologne ou la Hongrie – sur le plan de l’économie, des frontières, des droits humains… –, sans un ferme retour de bâton de Bruxelles contre l’un des moteurs de sa construction.»

    Un argument en l’espèce assez spécieux car c’est justement  parce que la France est un poids lourd de l’UE, un trait d’union entre l’Europe du nord et du sud, que Bruxelles serait fatalement obligée de composer, ne  pourrait pas frapper, soumettre  ou sanctionner la France comme elle pourrait le faire vis-à-vis d’un Etat n’ayant  pas la même importance.

    Enfin, il est largement  erroné, au-delà des ajustements  tactiques et/ou sémantiques que le temps politique rend nécessaire,   de dire que le discours du Front sur l’Europe a changé dans son essence. Il est intéressant de (re)lire  ce sujet  l’allocution prononcée par Bruno Gollnich  à Evian en 2008 lors de l’université d’été du Front pour se rendre compte au contraire de la grande permanence de notre Mouvement dans son appréhension de la question  européenne.

     « Il est fait grief aux Nationaux d’être contre l’Europe » déclarait-il. « Il serait aussi stupide pour les patriotes d’un pays d’Europe d’être contre l’Europe qu’il le serait pour des Africains d’être contre l’Afrique, comme pour des Asiatiques d’être «contre l’Asie etc. » «A la vérité les nationaux combattent résolument les évolutions criminelles de l’Union européenne», mais  « ils ne sont pas contre l’Europe, dans la mesure où leurs nations appartiennent géographiquement à l’Europe. Dans la mesure aussi où ils reconnaissent, par delà l’extrême diversité des caractères nationaux, un certain patrimoine commun aux peuples d’Europe. Dans la mesure encore où, dès lors que le voisinage impose des relations, ils préfèrent naturellement que celles-ci soient pacifiques, voire fructueuses, plutôt qu’agressives, voire hostiles.»

    Bruno Gollnisch rappelait les vœux de l’opposition nationale de voir se construire une « union des  patriotes », une   « grande solidarité entre les Européens dont les mêmes forces obscures menacent l’identité». « De même, en réclamant que cet ensemble européen, à l’intérieur duquel les cloisons avaient sauté, mais qui devait en être pourvu sur ses limites extérieures, devienne un ensemble cohérent,raisonnablement protégées sur son pourtour à l’égard des flux financiers, des flux migratoires, des invasions de produits fabriqués à vil prix par les millions d’ouvriers sous-payés du tiers-monde, ce qui n’est plus le cas depuis que cet espace a été intégré dans l’Organisation Mondiale du Commerce, nous sommes à tout prendre plus soucieux des intérêts de l’Europe que nos adversaires. Et nous sommes de meilleurs défenseurs qu’eux des traditions européennes, quand nous défendons la famille, la vie, les corps intermédiaires, le droit naturel, la personne.»

    https://gollnisch.com/2017/10/10/contre-limplosion-communautariste-france-civilisation-europeenne/

  • Jeannette Bougrab: « On vous traite de raciste et d’islamophobe quand vous êtes laïque » Entretien (1/2)

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    Quelques semaines après la tuerie de Charlie Hebdo, Jeannette Bougrab est partie vivre en Finlande où elle poursuit une mission de coopération universitaire. De Septentrion, elle a rédigé sa Lettre d’exil : la barbarie et nous (Cerf, 2017) dans laquelle elle réaffirme sa foi dans la laïcité. Pour Causeur, Bougrab a accepté d’éprouver ses convictions républicaines à l’heure où les djihadistes maintiennent une menace constante sur la France et le monde. Entretien sans complaisance (1/2).

    Daoud Boughezala. Dans votre livre Lettre d’exil (Le Cerf, 2017)  afin de combattre l’islamisme, vous exigez d’« expulser l’islam de la cité ». Qu’est-ce que cela signifie ?

    Lire la suite sur Causeur

  • L’affaire Parenthood continue. L’enquête avance lentement

    Un des intervenants sur Médias Presse Infos s’est opposé avec une constance déconcertante aux articles concernant la vente de morceaux de fœtus avortés par Parenthood, le planning familial en Amérique. Or un dénommé Daleiden avait effectué 14 vidéos sur lesquelles on voyait des dirigeants importants de cet organisme raconter avec cynisme  comment ils négociaient les tarifs de cet effroyable commerce. Notre contradicteur estimait qu’il s’agissait de montages vidéos. Or les diverses personnes filmées n’ont jamais porté plainte pour ce motif ; mais pour atteinte à la vie privée. Notre opposant s’attachait surtout au fait qu’il n’y avait pas eu de suites judiciaires pour cette « supposée » vente. Inutile de lui objecter que l’enquête était très longue car il fallait remonter les filières nombreuses  et complexes de cette affaire. Celle-ci tomba d’ailleurs dans l’oubli. Mais pas pour l’État fédéral.

    Selon Wikipedia, Breitbart « est commentateur pour Le Washington Times, et rédacteur pour le Drudge Report. Ami proche d’Arianna Huffington, il contribue à la création de la première version du Huffington Post ». Il est considéré comme « conservateur » bien qu’ayant écrit dans ces journaux de gauche. Il a créé d’ailleurs un site portant son nom. Il explique que le Comité Judiciaire du Sénat américain a appris que le FBI a reçu les références concernant les investigations criminelles afférentes à Parenthood ; ceci concernant les groupes impliqués dans cette affaire judiciaire du trafic de morceaux fœtaux. Voir  http://www.breitbart.com/big-government/2017/09/28/fbi-official-confirms-receipt-criminal-referrals-planned-parenthood/.

    Tant le Sénat que le Congrès ont ouvert des investigations sur l’industrie de l’avortement. Ces deux chambres avaient demandé au FBI d’enquêter et éventuellement d’établir les accusations criminelles nécessaires contre Planned Parenthood.

    Dans une lettre du 29  juin dernier envoyée au sénateur Chuck Grassley, président de la commission sénatoriale chargée de l’affaire, le bureau des investigations du Département de la Justice  confirme qu’il a suivi les recommandations du Sénat. Le bureau de la Justice a bien reçu la requête de cette assemblée. Il s’excuse de son retard. Grassley avait en effet envoyé le dossier en décembre dernier. Gregory Brower, le directeur assistant de ce bureau écrit qu’il fera le nécessaire pour entreprendre toute action appropriée. C’est le sens de la lettre ci-jointe.

    Par ailleurs à la même époque, Grassley avait communiqué le dossier au Département de la Justice pour investigation et poursuites éventuelles contre les divers protagonistes concernés par le trafic de morceaux de foetus avortés. Il a rappelé les échecs totaux de cet organisme depuis des décades.

    Quelques semaines plus tôt la maison des Représentants (parlement) avait établi une liste de 9 références criminelles et infractions aux règlements. Il s’agissait de violations au HIPAA (Health Insurance Portability and Accountability Act) l’équivalent de notre Code de la Santé.

    La conclusion est que l’instruction l’affaire suit lentement son cours et le FBI s’en occupe. Mais comme en France, la Justice est très lente.

    Jean-Pierre Dickès

    http://www.medias-presse.info/laffaire-parenthood-continue-lenquete-avance-lentement/80951/

  • La Hongrie ne changera pas sa politique à l’égard des migrants

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    06/10/2017 – HONGRIE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est confirmé : la Hongrie continuera de refuser l’installation de migrants sur son territoire, a annoncé le Premier ministre hongrois Viktor Orban, lançant :

    « Ils font plus pour les droits des migrants que pour leurs propres citoyens »

    Il a également estimé que lier la question de l’immigration et celle du financement de la cohésion européenne s’opposaient aux règles communautaires et étaient immorales :

    « Nous devons prendre note de cette décision parce que nous ne pouvons pas saper les fondations de l’UE – et le respect du droit est une fondation de l’UE – mais dans le même temps l’arrêt de la Cour n’est pas une raison pour changer notre politique qui refuse les migrants. »

  • Le Premier ministre danois reconnaît que des régions entières de son pays sont gouvernées par les musulmans

     DANEMARK (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le Premier ministre danois conservateur libéral Lars Rasmussen a admis ouvertement que les musulmans dominaient déjà certaines parties de son pays. C’est dans une entrevue avec le journal Jylland sposten, le principal quotidien conservateur du pays, que le Premier ministre a estimé que dans certaines régions du Danemark, la loi danoise ne s’applique plus aujourd’hui. Là, les gangs musulmans font leurs propres lois. Beaucoup de clandestins ou migrants vivent grâce à l’assistance sociale.

    Le gouvernement a échoué

    Pour le ministre, le gouvernement a failli dans la lutte contre ces entreprises parallèles. Il explique : “Nous avançons et revenons en arrière : en un jour, nous discutons d’une interdiction de la burka, la prochaine fois, au sujet des écoles musulmanes”.
    Selon l’hebdomadaire autrichien Wochenblick, la grogne monte doucement au Danemark. Je cite : « Des politiciens inconséquents, pour qui leur pays et les droits de leurs concitoyens ne signifient rien, sont responsables de cette situation. Ils feraient mieux de démissionner au plus vite, avant qu’ils ne soient chassés du Parlement par des citoyens en colère. Les Danois en ont déjà tiré les premières conséquences. Selon les médias, la présence de l’armée sera renforcée à la frontière avec l’Allemagne.

    Cela entraverait la sécurité du pays

    Le Danemark n’est pas en reste pour le terrorisme et a subi plusieurs attentats islamistes. L’immigration de masse illégale qui s’entasse dans ces lieux n’y arrangerait rien.
    Dans les médias nationaux, ces zones sont déclarées comme les « ghettos » du Danemark, avec une large part de population extra européenne, de forts taux de chômage, pauvreté et criminalité. En 2016, le nombre de ces ghettos aurait été multiplié par cinq.

    https://fr.novopress.info/

  • ALSTOM : FACE AUX ERREURS DE MACRON, MONTEBOURG A TOUT JUSTE !

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    Montebourg a 100 % raison ! Il faut rediscuter pour qu’Alstom soit européen (50 % français et 50 % allemand) et non pas sous contrôle allemand. Macron a commis une faute énorme en vendant l’activité énergétique d’Alstom à General Electric. À l’époque, Siemens était prêt à laisser à un Alstom français le contrôle non seulement de l’activité matériel ferroviaire, mais également de l’activité des signaux qui semble plus développée chez « Siemens Mobility » que chez Alstom en France.

    Ayant fait une ânerie grosse comme une maison, Macron, ne se bat même plus pour ce qui est encore sauvable, à savoir garder la parité de contrôle 50/50 dans la fusion Siemens/Alstom, comme c’est le cas dans l’Airbus de l’air. Ce n’est plus une défaite, c’est une déroute, c’est la Bérézina, et de ce fait, l’État devrait, selon le plan Macron, se retirer à terme complètement du capital d’Alstom, tout comme le groupe Bouygues, après que ce dernier a empoché ses dividendes exceptionnels.

    On se demande pourquoi Macron a nationalisé, s’est tant battu dans l’affaire des chantiers navals STX pour le 1 % de contrôle majoritaire du capital… Subitement cela n’aurait plus aucune espèce d’importance dans l’affaire Alstom ? La contradiction est totale.

    La supercherie de communication nous assurant qu’aucun site ne fermera est affligeante ! Le brave Le Maire s’époumone, criant « l’emploi ! », l’emploi qu’il jure de garder pendant 4 ans ! Oui… et après ? Eh bien, après cela se terminera comme Pechiney, Sacilor, Alcatel, Technip Lafarge ; après les 4 ans, c’est celui qui contrôle, à savoir Siemens qui ne laissera à l’entreprise croupionne Alstom que ses beaux yeux pour pleurer, afin de continuer à vendre ses signaux et son matériel ferroviaire en France à la SNCF !

    Selon Le Maire, qui n’a rien d’un économiste ou d’un homme d’affaires, cette fusion est une très bonne nouvelle. IL prétend même que cela ne sert rien d’avoir un strapontin au capital d’Alstom ! En ce sens, il a raison, il faut effectivement que ce soit 50 % du capital pour garder la parité de contrôle.
    Il s’agit donc d’une trahison pure et simple de Macron en rase campagne avec une communication hypocrite d’enfant de chœur pour le grand public juste bonne à écœurer les initiés !

    Alors, que faut-il faire ? Il n’y a qu’une solution, engager des fonds publics pour imposer la parité de contrôle 50/50 à Siemens en étant conscient qu’à cause de la faute irréversible que constitue la vente d’Alstom énergie à GE, il n’est plus possible d’avoir en France le siège social pour l’activité signaux.

    L’État, comme le conseille Montebourg, devrait racheter les actions qu’il loue actuellement à Bouygues. À Grenoble, Montebourg a évoqué un mélange d’action politique, de lutte syndicale et de menaces de poursuite pénales. Cette affaire n’est pas sans nous rappeler la légèreté avec laquelle Madame Lagarde avait accepté la décision d’un arbitrage honteux dans l’affaire Tapie.

    Et le comble de la tartufferie fut avenue Iéna, où l’on vit Henri Poupart-Lafarge, pour garder son poste et ses « stock options » – parlant anglais – avoir le culot, en compagnie de Joe Kaeser, le Président allemand de Siemens, de tenir ces propos :  « les Allemands ont l’impression d’être rachetés par les Français ». Et Joe Kaeser est venu en rajouter une pincée en nous disant qu’« Alstom sera européen et non pas allemand »

    Montebourg a raison : « Il n’est pas trop tard pour nationaliser Alstom » et tout renégocier.

    http://www.bvoltaire.fr/alstom-face-aux-erreurs-de-macron-montebourg-a/

  • La France Vassale, Leo Imbert Elite et vassalisation

  • Quel avenir pour les mosquées radicales ?

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    05/10/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le 20 novembre 2015, une semaine après le massacre du 13 novembre au Bataclan, Saïd Djelleb le président de la communauté musulmane des Indes à Sartrouville expliquait au journal Le Parisien qu’une minute de silence aurait lieu dans sa mosquée. Il voulait dénoncer l’acte barbare pour, je cite : « Montrer la position de [sa] mosquée et éviter que les gens fassent des amalgames ». Fin de citation. Il affirmait aussi vouloir que les jeunes prennent conscience de l’acte et du fait que cela n’a pas sa place chez eux.

    Deux ans plus tard, la mosquée de Sartrouville ferme cette semaine, en conséquence d’un arrêté préfectoral a-t-on appris.
    Que leur reprochent les autorités ?

    Les autorités ont constaté que des propos constituant une provocation à la haine ou à la violence avaient été prononcés le 8 septembre et le 15 septembre dernier. Mais ce n’est pas tout, car la mosquée est sous surveillance depuis quelque temps déjà. Elle est considérée comme, je cite : « Un foyer ancien de l’islamisme radical ». Fin de citation. Mais la salle de prière n’est pas fermée définitivement. Elle est fermée officiellement jusqu’à la fin de l’état d’urgence, c’est à dire jusqu’au 1er novembre 2017…

    L’Etat a donc encore et pour l’instant la capacité de fermer les mosquées radicales mais de manière temporaire. En 2016, le gouvernement avait fermé une vingtaine de lieux de culte musulmans.

    Quel sera donc l’avenir de ces mosquées radicales ?

    Les mosquées radicales ont de beaux jours devant elles. C’est ce que montre l’Observatoire de l’islamisation, dirigé par Joachim Véliocas.

    Dans le nouveau projet de loi du 3 octobre 2017, « renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme », il apparaît que les mosquées radicales ne pourront pas fermer plus de six mois. Selon l’Observatoire de l’islamisation cela permettrait aux mosquées de faire le ménage. Car il suffirait aux associations de gestion des mosquées de changer l’imam, renouveler le bureau de leur association et de remplacer quelques ouvrages dans leur bibliothèque. Mais pour combien de temps ?

    Pire encore, les visites et saisies ne pourront avoir lieu sans la présence de l’occupant à savoir l’imam ou le président de l’association musulmane ou de deux témoins, sur lesquels les policiers n’ont pas autorité.

    https://fr.novopress.info/

  • Catalogne et Kosovo : le deux poids deux mesures de l’Union européenne

    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est le président serbe Aleksandar Vucic qui pose la question : « Comment se fait‑il que, dans le cas de la Catalogne, le référendum d’indépendance ne soit pas validé par Bruxelles, mais qu’à ses yeux la sécession du Kosovo, pourtant organisée sans référendum, le soit ? » Le Kosovo, berceau et cœur historique du royaume de Serbie, avait été reconnu indépendant par l’Union européenne en 2008 alors qu’il n’avait fait l’objet d’aucun référendum. « C’est le meilleur exemple du deux poids deux mesures et de l’hypocrisie dans le domaine de la politique internationale », ajoute le président serbe Aleksandar Vucic.

    Les pays où des mouvements séparatistes agissent, comme l’Espagne, n’ont pas reconnu cette indépendance du Kosovo. La Grèce, la Tunisie, la Roumanie non plus. C’est également la position adoptée par la Russie, notamment parce qu’elle révèle l’ambivalence de la position occidentale dans le dossier de Crimée. « Nos partenaires occidentaux ont créé le précédent du Kosovo de leurs propres mains », déclarait Vladimir Poutine devant le Parlement russe, en 2014. Poutine avait alors estimé que la situation au Kosovo et en Crimée était « exactement la même », mais que la diplomatie occidentale, dans sa grande majorité, avait choisi de traiter les deux cas de manière différente et incohérente.

    https://fr.novopress.info/

  • POURQUOI VEULENT-ILS RÉFORMER LA FRANCE ? COMPRENDRE LEUR "PÉDAGOGIE DE LA RÉFORME"