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anti-national - Page 719

  • AU PALAIS BOURBON, EMMANUELLE DUVERGER-MÉNARD DÉNONCE LA PRESSE SOUS PERFUSION

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    Alléluia ! La représentation nationale peut enfin s’enorgueillir de compter parmi ses membres un député courageux, en l’occurrence une femme, Emmanuelle Duverger-Ménard, défenseur acharné de la liberté d’expression, ancienne juriste à la Fédération internationale des droits de l’homme devenue journaliste (elle a même enseigné à l’Institut des hautes études de journalisme de Montpellier), plume bien connue de Boulevard Voltaire qu’elle dirigera de sa fondation, en 2012, jusqu’à son élection à l’Assemblée nationale en juin dernier.

    Bref, un député qui… en a ; cela nous change considérablement de ces verbeux incontinents et creux dont le seul vrai courage politique se borne à éviter de serrer publiquement la main à leurs collègues du FN ou apparentés.

    Un député qui, citant intelligemment – car fort opportunément – Jean Jaurès, fondateur de L’Humanité (premier titre le plus aidé de la presse française), lequel considérait qu’« un journal n’est libre de son action qu’à condition de rejeter les subventions à la presse », ce député, donc, a osé braver le tabou des aides publiques directes et indirectes à la presse en sollicitant leur suppression pure et simple, propos essuyant l’assourdissant silence du ministre franco-belge de la Culture Françoise Nyssen.

    « N’est-il pas aberrant, observe pertinemment notre élue de la nation, de faire vivre sous perfusion une presse que les lecteurs n’achètent plus, dont ils ne veulent plus, au prix, peut-être, de l’éclosion d’autres titres plus en adéquation avec les attentes de ces mêmes lecteurs ? N’en déplaise à une corporation trop souvent soucieuse d’elle-même, l’argument de la liberté d’expression a bon dos. Il faut, comme le disait le camarade Jaurès, couper le cordon ombilical entre l’État et les journalistes ; il faut arrêter les petits arrangements entre amis ; il faut en finir avec cette presse subventionnée par l’État ou propriété de quelques milliardaires. »Et notre Louise Michel de la liberté de la presse d’exhorter à « redonner du souffle à une presse qui se meurt, à une information qui se disloque, à une vérité qui se perd ».

    En 2012, dans un ouvrage à succès – mais guère auprès des médias, et pour cause ! –, Benjamin Dormann, dans Ils ont acheté la presse (aux Éditions Jean Picollec) dénonçait la mainmise du trust État-financiers privés sur une presse muselée par la publicité. En 2014, Sébastien Fontenelle, dans un roboratif libelle non moins explicitement intitulé Éditocrates sous perfusion. Les aides publiques à la presse, trente ans de gabegie‪ (Éd. Libertalia) opérait le même constat accablant : « Les aides publiques à la presse constituent ce qui ressemble d’assez près à une tartufferie en bande organisée. […] Dans le même temps qu’elle ensevelit l’État sous une avalanche d’exhortations à mieux maîtriser ses dépenses, [la presse française] se gave de subventions étatiques. »

    En 1985, la très sérieuse et inébranlable Cour de comptes publiait un substantiel Rapport sur les mécanismes d’aide publique à la presse, lesquels, selon les magistrats de la rue Cambon, n’en finissaient pas de représenter « une charge croissante pour les finances publiques ». Les mêmes réitéraient en 2013 en jugeant que « ces aides n’ont pas démontré leur utilité puisque la crise de la presse persiste et s’accroît ». Invitée sur le plateau de Jean-Jacques Morandini (CNews, 17 novembre), Emmanuelle Duverger-Ménard souligne qu’« un journaliste de presse écrite, en France, coûte 10.000 euros par mois, toutes aides confondues, les taux de TVA réduits, etc. »

    De là à parler d’une véritable fonctionnarisation de la profession, il n’y a qu’un pas que nous franchirons sans tergiverser, étant donné la mono-coloration éditoriale et le psittacisme idéologique de ces chiens de garde de la non-pensée inique. Leurs lecteurs valent moins que les électeurs de leurs maîtres.

    http://www.bvoltaire.fr/palais-bourbon-emmanuelle-duverger-menard-denonce-presse-perfusion/

  • La crèche de la mairie FN d'Hénin-Beaumont jugée illégale

    6a00d83451619c69e201bb09d7b694970d-200wi.jpgCommuniqué de la mairie d’Hénin-Beaumont :

    « Condamnée pour avoir installé... une crèche de Noël »

    La cour administrative d’appel de Douai vient d’interdire l’installation d’une crèche de Noël au sein de la mairie d’Hénin-Beaumont et de condamner la ville à verser 1.500 euros à un conseiller municipal communiste qui est à l’origine de cette plainte.

    Cette décision scandaleuse viole toutes les traditions de notre pays et confirme la dérive des juridictions administratives qui interdisent les crèches de Noël l’hiver mais autorisent le burkini l’été.

    Il est particulièrement inquiétant de voir la justice et certains élus avoir pour priorité la destruction de la magie de Noël plutôt que la lutte contre l’insécurité, l’immigration illégale et le chômage."

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/11/la-cr%C3%A8che-de-la-mairie-fn-dh%C3%A9nin-beaumont-jug%C3%A9e-ill%C3%A9gale.html

  • Propagandastaffel: les gros sabots des bruxellois

    « Comment rendre l’Union européenne plus glamour ? » Cette question existentielle est le titre d’un article diffusé sur le site Euractiv et revêt un intérêt évident pour les instances et le lobby bruxellois qui doivent faire face à une fronde grandissante des peuples européens. Leplan com  « pour gagner le cœur (des) citoyens » est succinctement détaillé mais laisse entendre que la partie n’est pas gagnée pour  les  propagandistes d’une UE qui, comme le rappelle Bruno Gollnisch, est devenue largement une machine liberticide fabriquant des chômeurs, des pauvres , ouverte à tous les mauvais vents.  Luc  Van den Brande, « conseiller spécial de Jean-Claude Juncker », « préconise de nommer des ambassadeurs chics de l’UE et de miser sur les réseaux sociaux » pour (re)gagner les esprits. « L’UE a besoin d’une offensive de charme. Un projet qu’il d’écrit dans son rapport À la rencontre des citoyens de l’Union : une nouvelle chance. Le conseiller soutient la proposition de Jean-Claude Juncker de faire fusionner les postes de président et Conseil et président de la Commission, sérieusement envisagée depuis son discours sur l’état de l’Union au mois de septembre. Il appelle également à une présence plus intelligente sur les réseaux sociaux. »

    « Outre l’instauration de dialogues avec les citoyens sur de nombreux sujets poursuit cet article, Luc Van den Brande promeut un éventail d’idées intéressantes, allant de la création d’une circonscription européenne au recrutement de  personnalités culturelles et sportives célèbres pour devenir ambassadeurs de l’Union.  Des dialogues de nouvelle génération avec les citoyens doivent être lancés, auxquels participeront des personnalités du monde culturel, artistique et sportif, étant donné que la culture et le sport sont les instruments les plus visibles et les plus évidents pour créer un sentiment commun d’appartenance , estime-t-il. » Petite suggestion : pourquoi ne pas faire appel  aux  personnalités préférées des Français ? Avec un peu de chance   Yannick Noah, Omar Sy (knock out), Patrick Bruel, Alain Juppé  ou  Sophie Marceau pourraient accepter…En terme de glamour, nous serions  comblés…

    Glamour,  la Pologne l’est assez peu dans la grosse presse progressiste, accusée comme la Hongrie de Viktor Orban de toutes les dérives réactionnaires, voire fascisantes depuis l’arrivée au pouvoir des conservateurs du parti Droit et Justice (PiS)  en 2015. Un pays  en plein dans notre actualité française avec l’annonce d’un plan social au sein de l’entreprise Castorama, qui entraînera la suppression de centaines d’ emplois en France qui seront délocalisés en Pologne sur fond de dumping social;  mais aussi avec la traditionnelle (depuis 2009) Marche de l’Indépendance (Marsz Niepodległości ) samedi dernier,  qui a rassemblé  selon les sources entre 60 000 et 100 000 personnes.

    Le Monde détenu par les euro-macronistes Niel, Pigasse  (et feu Pierre Bergé) a évoqué « les accents nationalistes, xénophobes et antisémites de (cet) événement spectaculaire ». « Le président conservateur, Andrzej Duda (…)  a déploré la présence de  bannières apportées par des personnes irresponsables, dont le message est inacceptable pour toute personne honnête en Pologne, parce qu’on ne peut pas mettre un signe d’égalité entre le patriotisme et le nationalisme ».

    Cette Marche,   « réputée être le plus grand événement fasciste et nationaliste du continent, a rassemblé des participants venus de divers horizons européens. Une participation saluée par certains des orateurs à l’origine du rassemblement, qui ont martelé que  la culture chrétienne  (était) supérieure à la culture islamique ». Si cette déclaration  n’est pas la preuve indubitable d’un insupportable extrémisme…

    Il est vrai c’est que  certains groupuscules ultra-radicaux et provocateurs  avaient aussi pris part à ce rassemblement de manière très visible et bruyante, focalisant comme de juste  l’attention médiatique, sans être pour autant représentatifs de la très grande masse des manifestants. Un peu à l’image du tatoué au crâne rasé filmé complaisamment pendant trente ans à tous les défilés frontistes  du 1er mai pour faire trembler dans les chaumières…

    Dans le quotidien de référence toujours,  la parole a  été également  donnée à  Anaïs Voy-Gillis,doctorante à l’Institut Français de Géopolitique (IFG) , militante (membre) de l’Observatoire européen des extrêmes (sic). Mme Voy-Gillis , spécialiste des  populismes et des extrêmes droites en Europe,  débite à cette occasion un discours plat  et convenu, accumulant clichés,  vieux poncifs et  analyses mille fois ressassées. Le procédé est toujours le même :    culpabiliser  les Français et les Européens  qui se sentent  à juste titre  menacés dans leurs identités , leurs libertés par le rouleau compresseur du mondialisme  et rejetant les sirènes du multiculturalisme.  

    « Ce type de manifestations a également eu lieu dans plusieurs pays d’Europe, mais aucune n’avait, à ce jour, réuni autant de monde » s’alarme-t-elle. « Ce  succès  est, si l’on peut dire, dû à un alignement des planètes. Depuis l’arrivée de Donald Trump au pouvoir, il y a une banalisation totale dans le monde occidental de la parole raciste et xénophobe. L’Europe traverse une crise migratoire sans précédent, et doit faire face à des actes terroristes. Les militants d’extrême droite se sentent donc légitimés. » Ou d’ajouter encore : « Il se joue actuellement en Pologne quelque chose qui ne fait réagir personne en France, ni ailleurs. Il y a bien eu quelques prises de position de la part de l’Union européenne, mais aucun gouvernement ne s’émeut vraiment. Le gouvernement au pouvoir est pourtant en train de remettre en cause la démocratie et ses fondements. Le PiS est arrivé au pouvoir en 2015 en remettant en cause la démocratie libérale, contre laquelle il entend lutter. »

    En quoi la démocratie libérale , par définition « hors-sol »,  serait-elle un modèle aussi obligatoire  et indépassable que l’étaient avant 1990 les démocraties dites populaires dans les pays de l’Est  alors sous le joug du communisme ? C’est une démocratie véritable  (au sens étymologique du terme) , une démocratie défendant nos valeurs civilisationnelles,  les aspirations nationales qui est  aujourd’hui plébiscitée  par un nombre croissant d’Européens.

    Les élites et officines  bruxelloises se préoccupent aussi du (gros) cailloux dans la chaussure du mondialisme libérale-libertaire que représente la Russie de Vladimir Poutine qui est érigée de facto par beaucoup  comme  le contre-modèle au règne du laisser-faire laisser passer droit-de-l’hommiste et eurobéat.

    Le site euractiv (la boucle est bouclée) a ainsi publié un article qui nous informe que les réseaux euroatlantistes  reprochent  à Federica Mogherini, responsable  diplomatie européenne, « de ne pas prendre assez de mesures contre la désinformation russe (…).  Les signataires de cette déclaration représentent des secteurs majeurs de la politique occidentale et des centres de sécurité – du vice-président du Parlement européen à l’architecte de la loi Magnitski, Bill Browder, en passant par le responsable de la réponse finnoise à la désinformation russe, Markku Mantila, qui était dircom du cabinet du Premier ministre finlandais, et ancien président de Radio Free Europe/Radio Liberty, Jedmin Jeffrey.»

    « Alors que les dirigeants européens ont donné au Service européen pour l’action extérieure (SEAE) la mission de contrer la campagne de désinformation russe il y a deux ans, l’équipe en question (la East STRATCOM Task Force) manque encore cruellement de personnel avec seulement trois experts nationaux se concentrant sur cette mission cruciale. Le SEAE devrait tripler ses effectifs pour enfin commencer à remplir son mandat sans plus tarder , écrivent les experts. »

    Les  experts en question « appellent les dirigeants européens (…)  à  arrêter d’éviter de nommer la Russie en tant que principale source de désinformation hostile, et de prendre des mesures pratiques comme tripler la capacité de l’équipe East Stratcom du Service européen pour l’action extérieure. En face, la Russie ne lésine pas sur les moyens : 300 millions d’euros sont consacrés à la propagande russe chaque année, notamment par les canaux de Russia Today et de Sputnik

    Petites questions subsidiaires en forme de conclusion: A combien se chiffre quotidiennement au sein des pays de l’UE  la très hégémonique et massive  propagande cosmopolite, européiste, atlanto-mondialiste,  antinationale, antirusse, déversés par tous les canaux médiatiques et autres émissions ou programmes de divertissements  ? Et qui la paye? 

    https://gollnisch.com/2017/11/15/propagandastaffel-gros-sabots-bruxellois/

  • Tribune libre : Bataclan, 2 ans déjà...

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    Un témoignage reçu d'une lectrice

    En ce jour anniversaire, je prends la plume à la mémoire des victimes et des blessés des attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Deux ans après ces tragiques évènements, c’est une triste commémoration que nous célébrons ce jour, une tristesse qui se mêle à de la colère face au laxisme de nos dirigeants politiques qui n’ont pas pris les mesures qui s’imposaient pour répondre à ces actes terroristes.

    Domiciliée pendant dix ans dans l’immeuble de l’administration du Bataclan, juste à côté de la salle de concerts, nous avons été confrontés à des personnes décédées le soir du 13 novembre 2015 et à de véritables scènes de chaos sur nos trottoirs. Les terroristes avaient garé leur voiture au pied de notre immeuble avant de tirer sur la foule à la terrasse du café du Bataclan et de s’engouffrer dans la salle de concerts armés de kalachnikovs.

    Au lendemain de ce drame, nos espoirs se sont tournés vers la classe politique, espérant de la fermeté et un sursaut de nos élites qui ne sont jamais venus.

    Notre première déception est apparue avec l’attitude des médias et des nombreux journalistes qui se pressaient devant le Bataclan. Seuls les passants et les voisins du quartier qui tenaient un discours politiquement corrects retenaient l’attention des journalistes. A l’inverse, tous les témoignages dénonçant le caractère islamique de cet attentat étaient rejetés par les médias, témoignages qui provenaient pourtant de témoins directs du drame ou de proches de victimes. C’est à partir de ce moment que j’ai rendu mon poste de télévision, ne voulant plus payer une redevance audiovisuelle pour financer les mensonges et les manipulations médiatiques.

    Au sein de notre association de victimes, nous étions réunis en groupes de parole pour évoquer nos traumatismes après les attentats. A notre grand étonnement, la psychologue désignée par l’association pour animer ces groupes de parole était de confession musulmane et il fut impossible de prononcer le mot « islam » au cours de nos échanges. Dans ces conditions, comment réparer un traumatisme s’il est interdit de nommer l’ennemi qui vous a meurtri et qui a tué vos amis ? Notre surprise fut également de taille lorsque Mme Juliette Méadel, alors Secrétaire d’Etat chargée de l’aide aux victimes, donna des instructions aux associations de victimes afin que leurs membres ne votent pas pour Marine Le Pen lors des élections présidentielles de 2017. De quel droit, le vote des victimes pouvait-il être confisqué de la sorte par une représentante de l’Etat, de surcroit chargée du suivi de nos dossiers, alors que nous souhaitions élire librement le meilleur candidat pour répondre à la barbarie islamique qui frappe notre pays ?

    Concernant les mosquées, le gouvernement n’a pas tenu ses promesses et a refusé de fermer les mosquées salafistes sur tout le territoire. A titre d’exemple, nous pouvons citer la mosquée Omar située à une centaine de mètres du Bataclan et qui est un haut lieu de l’islam radical à Paris. De nombreux protagonistes des attentats de Charlie Hebdoet de l’Hyper Casher ont fréquenté cette mosquée, notamment Farid Benyettou, le mentor des frères Kaouachi ainsi que des fidèles qui ont protégé la femme d’Amédy Coulibaly. Une filière djihadiste a été démantelée au sein de cette mosquée et plusieurs imams ont été condamnés pour prêches antisémites. Au lendemain de l’attentat du Bataclan, les responsables de la mosquée Omar se sont contentés d’afficher une grande banderole « Pas en Mon Nom » sur les murs du lieu de culte et ils n’ont pas été inquiétés par le gouvernement. Des personnalités politiques comme François Vauglin, Maire du XIe arrondissement de Paris (arrondissement dans lequel est situé le Bataclan) se rend régulièrement à la mosquée Omar pour rencontrer l’imam et les fidèles à l’occasion de fêtes religieuses.

    L’attentat du Bataclan comme tous ceux qui frappent l’Europe n’ont pas permis de mettre un frein à l’islamisation de la France et de l’Europe. Qu’ont fait nos hommes politiques pour interdire le port du burkini au lendemain de l’attentat de Nice ? Qu’attend le Ministre de l’intérieur pour condamner les prières de rue et leurs paroles de haine envers les non musulmans ? Qu’attendent les préfets pour dénoncer les camps interdits d’accès aux blancs sur notre territoire ? En plein état d’urgence, quelles mesures ont été prises à l’égard des femmes musulmanes habillées en voile intégral et qui peuvent cacher des couteaux ou des ceintures d’explosifs sous leur tenue vestimentaire ? Enfin, pourquoi aucune mesure d’emprisonnement n’a été envisagée envers les membres de la filière « Artigat » en Ariège, une nébuleuse de terroristes dangereux dont faisaient partie Mohamed Mérah et le djihadiste Fabien Clain, celui qui depuis la Syrie, a revendiqué les attentats du Bataclan au nom de Daesh ?

    Mais ce qui m’a conduit à écrire cet article, ce sont les dernières déclarations de nos dirigeants et de la presse sur le sort des djihadistes qui souhaitent revenir en France avec leurs femmes et leurs enfants. Au lieu de poser un principe d’interdiction pour le retour de ces combattants ou de les emprisonner pour intelligence avec l’ennemi, nos élites considèrent qu’il faut prévoir des mesures alternatives avec un traitement des dossiers au cas par cas. La France propose d’accueillir ces djihadistes avec des stages de déradicalisation pour permettre leur désembrigadement et leur réinsertion au sein de la société française. Le dispositif prévoit également l’aide d’associations en collaboration étroite et quotidienne avec les services sociaux au profit des djihadistes et de leurs familles. Doit-on rappeler que ces soldats de Daesh sont les commanditaires de l’attentat du Bataclan et qu’ils ont sur les mains le sang des 130 victimes du 13 novembre 2015 ? La France va donc accueillir sur son territoire des ennemis de notre République, des assassins qui ont servi l’idéologie criminelle de l’Etat Islamique. Pour quelles raisons nos dirigeants n’ont-ils pas consulté préalablement les survivants et les proches des victimes des attentats avant de se prononcer sur le sort de ces djihadistes ? Faudra t-il verser des allocations familiales à ces familles avec l’argent du contribuable français, notamment avec l’argent des proches des victimes du Bataclan qui payent leurs impôts comme chaque citoyen français ? Est-on réellement à l’abri d’un nouvel attentat sanglant par ces djihadistes de retour en France ? Autant de questions restées en suspens et pour lesquelles nos hommes politiques n’apportent aucune réponse. Ce qui est certain, c’est que chaque djihadiste qui foulera le sol français est une insulte à la mémoire des morts du Bataclan et de toutes les victimes des attentats islamiques commis en France.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La bataille des islamocollabos - Journal du Mercredi 15 Novembre 2017

  • L'armée victime collatérale du macronisme

    La polémique entre l’armée et Macron est-elle éteinte depuis le départ du général De Villiers ? Rien n’est moins sûr, tant le comportement de caporal du président a choqué les militaires. Mais surtout parce qu’elle a des raisons bien plus profondes ...

    Tout le monde s'en souvient, Macron a décidé de sacrifier l'avenir de son outil de puissance sur l'autel de la rigueur budgétaire et d'une chimérique défense européenne, qui verrait l'Allemagne et d'autres verser au pot. Il est vrai que taper dans les fonctions régaliennes, c'est tout de même plus simple que de baisser les budgets sociaux, les militaires ne font pas grève.

    « Je ne me laisserai pas baiser comme ça par Bercy ! » avait pourtant tonné le général de Villiers - à huis clos - devant la commission de la Défense de l'Assemblée nationale. Un « recadrage » humiliant par Macron à la veille du 14 juillet et une démission tonitruante du CEMA (Chef d'État-major des Armées) plus tard, c'était apparemment la fin du drame. Macron qualifiait l'épisode de « tempête dans un verre d'eau » et assumait son « je suis votre chef » dans la presse. Le roitelet-soleil nommait au poste laissé vacant le général François Lecointre. Ce brillant officier de Marine est surtout connu pour avoir repris le pont de Verbania, à Sarajevo, quand il était capitaine. Un fait d'armes qu'il exploitera au profit de son ambition, aiguisée depuis dans les antichambres du pouvoir. Comme le soulignait en privé un colonel, « il a les dents qui rayent le parquet, mais il a progressé si vite qu'il n'a pas eu le temps de les user ». Bref, le parfait profil du lèche-bottes qui allait la fermer ? Pas si simple.

    Lecointre, moins de deux mois après sa nomination, se lâchait devant l'Université de la défense. Il dézinguait « la régulation budgétaire sauvage » de Bercy qui venait « détruire le travail de cohérence des lois de programmation militaire ». Bref, « on ne reconstruit pas un appareil militaire en deux coups de cuillère à pot. Ça prend du temps, et ça se détruit bien plus vite que ça ne se construit ».

    Il faut dire que les promesses d'augmenter le budget de la Défense dès 2018 sont, des promesses, tandis que les 850 millions de coupes, auxquels s'ajoutent 700 millions d'euros de crédits militaires gelés pour 2017 sont une réalité. Une ponction d'autant plus franche qu'avec le jeu des acomptes non versés, ce sont en fait plusieurs milliards d'euros de matériel dont la livraison sera différée, mettant encore plus à mal une armée « à l'os ».

    Réaction de Macron ? Silence radio devant cette intervention publique. Le « chef » a sans doute compris qu'il fallait arrêter de chatouiller des militaires à bout. Car bien que l'inexistante ministre des Armées, Florence Parly, ait affirmé qu'elle ne voyait pas le problème, puisque les soldes seraient payées, cette énième mise à la diète a des conséquences directes. Ne parlons même pas des retards sur les soldes ou sur les primes OPEX (opérations extérieures) non payées, dysfonctionnements officiellement dus au logiciel de gestion Louvois, catastrophique.

    Il n'y a plus de matôs

    « … nos troupes auront moins de munitions sur le terrain. Les formations vont être réduites, les renouvellements du matériel seront rallonges et l'entraînement largement réduit. On va sous-entraîner des personnes qui sont déjà à un niveau 30 % inférieur à h moyenne des pays de l'OTAN », déplorait le général Vincent Desportes.

    De fait, les indisponibilités de matériels (chars, hélicoptères, avions...) vont de 50 à près de 90 % du fait de leur vétusté et de leur suremploi. Suremploi qui touche aussi les hommes, engagés dans la lourde opération Sentinelle - qui va encore connaître une réforme - et en Opex en Afrique ou au Moyen-Orient, notamment.

    De moins en moins de moyens pour de plus en plus de missions, l'effet ciseaux est imparable la dégradation de l'armée s'accélère. Les entraînements sont réduits à la portion congrue, faute d'argent (« il n'y a même pas de quoi actuellement faire tirer une roquette par an et par tireur dans l'armée de terre », témoigne un spécialiste). Faute de temps aussi, la faute à l'opération Sentinelle, vraiment chronophage. Les permissions sont souvent refusées, mettant à mal la santé des hommes, déjà usés par un entretien de plus en plus lourd d'un matériel à bout de souffle, dont une partie sert de stock de pièces pour l'autre. Évidemment, le contexte ne favorise pas le recrutement, qui baisse en qualité et en quantité.

    Et donc, dans cette institution à bout, la grogne monte. En témoigne la tribune récemment publiée par six généraux de réserve dans Boulevard Voltaire, faute d'avoir été acceptée dans les médias mainstream. S'ils concentrent leur tir sur leur liberté - et leur devoir - d'expression de plus en plus bafoué, c'est pour pouvoir mieux tirer la sonnette d'alarme « Car ce qui gêne ce dernier [le pouvoir politique, ndlr], c'est que le citoyen puisse être informé sur les insuffisances du Pouvoir politique et surtout sur les risques qu'elles font peser sur la nation. »

    Des risques de plus en plus réels à l'étranger, mais aussi sur notre sol, rongé par le communautarisme. Pourrons-nous y faire face ?

    Richard Dalleau monde&vie 28 septembre 2017

  • Quand une « chercheuse » de l’IRSEM s’aventure à parler des ethnies…

    Bernard Lugan

    L'Afrique réelle cliquez ici

    1552642649.jpgDurant des années, des  membres du CNRS (Jean-Pierre Chrétien, Jean-Loup Amselle, Catherine Coquery-Vidrovitch ou Elikia M’Bokolo), nièrent l’existence des ethnies. Puis, rejoints et dépassés par les évidences, ils attribuèrent l’origine de ces dernières à la colonisation. Comme si les Africains n’avaient pas eu d’identité avant l’arrivée des colonisateurs…

    Aujourd’hui, comme il n’est plus question de nier l’évidence ethnique en raison de l’actualité, les « baise-cul » de l’idéologie officielle ont donc recours à la vieille méthode marxiste consistant à déconsidérer ad absurdum la thèse qu’ils attaquent en lui donnant un énoncé caricatural.

    Sonia Le Gouriellec, « chercheuse » à l’IRSEM (Institut de recherche stratégique de l’Ecole militaire), publie ainsi dans Le Monde du 16 octobre 2017, un article archétypique en la matière intitulé « La lecture exclusivement ethnique des conflits en Afrique est fallacieuse ».

    Or, nul esprit sensé n’a jamais écrit que l’ethnie explique tout. En revanche, ceux qui connaissent l’Afrique autrement que depuis l’algeco de la place Joffre, savent que rien ne s’explique sans l’ethnie…

    Pour fonder sa dialectique, Sonia Le Gouriellec prend l’exemple du Rwanda, société qu’elle ne connaît pas plus que la question ethnique elle-même, en caricaturant outrancièrement ce qui y constitue le soubassement de toutes les relations sociales : « Selon cette lecture (sous-entendu, celle de ceux qui ne pensent pas comme elle), les Tutsi et les Hutu seraient destinés à s’affronter et les massacres seraient le résultat d’une opposition raciste héréditaire et pratiquement constitutive de l’ADN des Rwandais et, plus largement, des Africains, condamnés aux tueries et aux barbaries spontanées sans dimension politique ni instrumentalisation ».

    Mais où donc ailleurs que dans ses fantasmes, Sonia Le Gouriellec est-elle allée chercher de telles inepties ? On le comprend quelques lignes plus loin quand elle écrit, paraphrasant Jean-Pierre Chrétien : « C’est à partir du XIXe siècle (sous-entendu avec la colonisation) que le critère racial est intégré… ». Et nous voilà revenus à la théorie de la fabrication de l’ethnie par la colonisation… Bel exemple de pensée à la fois biaisée et totalitaire.

    Plus loin, vautrée sous le truisme, notre « chercheuse » à l’IRSEM écrit : « l’ethnie n’est pas une réalité figée ou immuable, mais au contraire se trouve en constante évolution ».

    Une fois encore, qui soutient le contraire ? Cependant, est-ce parce que leurs contours évoluent, ce qui est le propre de toutes les sociétés humaines, que les ethnies n’existent plus ou n’existent pas ?

    Que Sonia Le Gouriellec utilise les colonnes du Monde pour développer ses élucubrations est une chose. Qu’elle le fasse es-qualités de « chercheuse » à l’IRSEM, en est une autre. Nos soldats qui risquent quotidiennement leur peau en étant confrontés, eux, au réel ethnique, ont en effet besoin de véritables connaissances du milieu sur lequel ils sont projetés, et non de fantasmes idéologiques inspirés de l’air du temps.

    Mais allons plus loin: en ces temps de drastiques réductions budgétaires, est-il concevable que, depuis les bureaux feutrés de l’IRSEM, loin de l’ennemi, – et pour quelle utilité ? -, des manieurs de concepts hors sol, fendent les eaux de la sociologie et du contentement de soi en « consommant » des crédits qui font si cruellement défaut à ceux qui, sur le terrain, constatent chaque jour l’inanité de leurs postulats ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/11/13/quand-une-chercheuse-de-l-irsem-s-aventure-a-parler-des-ethn-5998761.html

  • Le fils de la victime de l’attentat au Stade de France : “On est complètement laissé-pour-compte”

    On est vraiment complètement laissé-pour-compte“, a déclaré ce lundi 13 novembre, Michaël Dias, fils de la victime de l’attentat au Stade de France.

    J’ai refusé de saluer le Président, je me suis mis en retrait“, a-t-il poursuivi.

  • RENAUD CAMUS : « MACRON EST L’INCARNATION PARFAITE DU REMPLACISME GLOBAL »

    Renaud Camus, Emmanuel Macron est entré à l’Élysée le 14 mai dernier. Un semestre, le dixième du temps d’un quinquennat ! Que vous inspire tout d’abord le personnage en lui-même ? Un personnage de roman, un super-technocrate ? Certains n’hésitent pas à le comparer à Bonaparte !

    Emmanuel Macron me facilite beaucoup la vie, au moins intellectuellement, car si l’on me demande de résumer d’un mot ce que je veux dire par remplacisme global, je peux répondre : Macron. Il en est l’incarnation parfaite.

    Je l’ai dit cent fois, le Grand Remplacement, la substitution ethnique, le changement de peuple, si énormes qu’ils soient comme phénomène, ne sont qu’une petite partie d’une phénomène plus large encore, le remplacisme gobal, où je vois l’un des deux principaux totalitarismes à l’œuvre de par le monde (l’autre étant évidemment l’islam). Remplacer, telle est l’essence des sociétés post-industrielles et post-modernes : tout doit y être remplaçable et s’y trouver remplacé — le vrai par le faux, l’original par la copie, les matières par leur reconstitution synthétique, les services et les objets par leur version low cost, l’homme par l’homme, l’homme par la femme, l’homme et la femme par les robots, les mères par les mères porteuses, la ville et la campagne par la banlieue, les peuples par d’autres peuples, l’humanité par une post-humanité hagarde et hyper-violente, l’espèce humaine par la Matière Humaine Indifférenciée (MHI).

    Le remplacisme est petit-fils de la révolution industrielle et fils du taylorisme fordien qui, à force de tout standardiser selon les exigences de la production et du profit, a fini très logiquement par vouloir standardiser l’homme lui-même. L’homme est à ses yeux une petite entreprise artisanale à succès, que rachète la grande distribution multinationale pour en commercialiser une version low cost, dénaturée mais hyper-profitable. Dans ses desseins plutôt noirs, le remplacisme s’est trouvé sur le tard un allié inespéré mais de poids, et, après tout, très naturel, très logique, l’antiracisme, qui a fini par signifier ce que portait son nom, la haine des races, la croyance absolue en leur inexistence et, paradoxalement, la foi non moins absolue en leur égalité et, surtout — c’était le plus précieux pour le remplacisme —, le désir de les fondre en une seule.

    Emmanuel Macron se situe exactement au point de convergence de ces deux généalogies, financiarisme bancaire post-industriel d’un côté, antiracisme de l’autre — à ceci près, tout de même, que lui n’est même plus antiraciste, il est bien au-delà : les origines n’existent pas pour lui et, comme on sait, « il n’y a pas de culture française ».

    En mai 2016, vous déclariez, dans un entretien à Boulevard Voltaire , que l’élection présidentielle de 2017 serait un référendum sur le changement de population. Comme interprétez-vous le résultat de cette élection ? Les Français ont dit oui au changement de population ou bien cet enjeu a tout simplement été occulté ?

    Cet enjeu a été totalement occulté mais les Français n’ont, au mieux, pas dit non, il faut bien le reconnaître, à mon immense regret. Il convient de dire qu’en cet univers où tous les mots mentent, il en est peu qui mentent plus fort que Français, qualificatif qui réunit en un monstrueux amalgame envahisseurs et envahis, colonisateurs et colonisés, occupants et occupés. L’issue des votes dépend déjà largement du peuple de remplacement, puisqu’on a eu la folie sans précédent de lui donner le droit de vote. Mais, surtout, le peuple remplacé est hébété par l’enseignement de l’oubli, l’imbécillisation de masse, la répression, la censure, les injections permanentes de haine de soi, la peur, le monopole médiatique presque complet dont jouit le remplacisme (Boulevard Voltaire et TV Libertés nonobstant). Aussi bien l’issue ne sera-t-elle plus politique, à présent. Je l’ai déclaré dans un autre entretien, en volume, celui-là, avec Philippe Karsenty : 2017 était la dernière chance avant le Grand Remplacement. J’aurais dû préciser : la dernière chance politique.

    À travers les décisions, ou les non-décisions, de ce premier semestre du Président Macron à la tête de l’État, décelez-vous une quelconque évolution de la politique dans le domaine de l’immigration qui serait de nature à vous rassurer, ou au contraire ?

    Pas du tout, et très au contraire : on est entré dans le mode automatisé du changement de peuple. Le remplacisme global est au pouvoir et il procède selon un mode de gouvernement que j’ai appelé, par opposition à la démocratie directe, la « davocratie » directe – le gouvernement par Davos -, sans intermédiaire. Les grands argentiers du monde, ceux qui se réunissent une fois l’an à Davos, ont constaté qu’ils étaient désormais assez forts pour gérer directement le parc humain, en se passant de la caste politique, qui représentait pour eux une perte de temps et d’argent. La France est un modèle, à cet égard – le macronisme supprime le microcosme : renvoi à leurs études de toutes les grandes figures de la vie politique depuis trente ans, les Sarkozy, les Hollande, les Juppé, voire les Marine Le Pen ; constitution d’un gouvernement de second couteaux ; remplacement de la représentation nationale par une cargaison de zombies à peine alphabètes qui doivent tout au pouvoir et sont bien résolus à ne lui faire ni ombre ni peine. On vient à bout des pouvoirs locaux en les mettant au pain sec et à l’eau, en organisant leur ruine, même. Surtout, surtout, on pulvérise les partis politiques : des trois dont les Français croyaient il y a encore un an qu’ils avaient en main le destin de la nation, pas un ne tient encore sur ses jambes aujourd’hui. Le changement de peuple avait déjà échappé au peuple, voici qu’il échappe à ses élus. Il est géré par des machines, ou par des hommes au cœur de machine.

    Entre remplacistes et anti-remplacistes, macroniens et identitaires, on en arrive ainsi, sur un point unique, à une étrange convergence, due à une coïncidence, ou à la rigueur extrême de l’opposition : les deux parties sont d’accord pour sortir de la politique, laquelle d’ailleurs suppose un peuple, et il n’y a pratiquement plus de peuple. Les remplacistes et Macron sortent de la politique par l’économie, par la finance, par la gestion d’entreprise, par The Principles of Scientific Management, qui est à la fois leur Das Kapital et leur Mein Kempf, presque aussi terrifiant (« Dans le passé, l’homme était premier, écrit froidement Taylor ; à l’avenir, c’est le système qui doit être premier »). Les anti-remplacistes et moi, si j’ose dire, voulons sortir de la politique par l’Histoire, ou par l’ontologie.

    En effet, quand la seule question sérieuse qui se pose est celle de la survie d’un peuple et d’une civilisation, ce n’est pas de la politique, cela : c’est de l’Histoire. De Gaulle à Londres, ce n’était pas de la politique, mais de l’Histoire. C’est pourquoi Karim Ouchikh et moi, à Colombey-les-Deux-Églises, le 9 novembre, jour anniversaire de la mort du Général, et près de sa tombe, avons crée un Conseil national de la résistance européenne, que nous comptons constituer et élargir par cooptation. Mais c’est un autre sujet, cet entretien est déjà trop long, je vous en parlerai une autre fois, si vous m’en donnez l’occasion.

    Ecrivain Fondateur du NON Librairie
  • Des familles obligées de financer l’AVS de leur enfant scolarisé dans le Hors-Contrat

    Une délégation composée de parents, de la FPEEI (Fédération des Parents des Ecoles Indépendantes) et d'Anne Coffinier (Fondation pour l'Ecole) est allée rencontrer le secrétariat d'Etat aux personnes handicapées afin de lutter contre les discriminations subies par les élèves handicapés, et leurs parents, scolarisés dans les écoles libres, qui sont privés d'aides financières pour payer leurs AVS.

    Michel Janva

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