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anti-national - Page 891

  • Les veilleurs contre les extrémistes de gauche : la vidéo

    Après le post de Michel, voici le récit en vidéo de la soirée des veilleurs, qui ont formé un choeur hier soir devant la Mutualité, où se tenait une réunion socialiste contre la menace-extrémiste-sauf-quand-elle-est-de-gauche-et-armée-d'un-fusil. Première intervention des CRS à 2'40'' :

    http://www.youtube.com/watch?v=nEnsyXF0aio

    Pendant ce temps, à l'intérieur de la Mutualité, que du "beau monde". Tiens, le soit-disant passant lambda qui s'était fait remarquer le 11 novembre puis surnommer par l'Huma : "l'homme du sursaut citoyen face aux fachos"... Le voilà cette fois assis entre Caroline Fourest et Robert Hue :

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Ordonnances de la loi Taubira : le mensonge pour tous

    Le délai pour prendre les ordonnances qui devaient permettre d'adapter les codes législatifs à la loi Taubira - notamment en remplaçant les mots "père" et "mère - n'est pas seulement dépassé... Le gouvernement semble bel et bien y avoir renoncé  :

    "Un projet d'ordonnance, adressé au Conseil d'État, a mystérieusement disparu, quelques jours seulement avant l'échéance. (...) Interrogée, la Chancellerie explique que «le gouvernement s'est aperçu que l'article 6-1 du code civil, qui prévoit que «Le mariage et la filiation adoptive emportent les mêmes effets, droits et obligations reconnus par les lois, (…) que les époux ou les parents soient de sexe différent ou de même sexe», est suffisant»: «pas la peine, poursuit-on place Vendôme, de s'embarquer dans des ordonnances compliquées, chaque ministère se chargera lui-même de faire le toilettage nécessaire»."

    Ainsi, le gouvernement aura menti à la fois aux opposants à la loi Taubira... :

    "«L'un des griefs invoqués par les députés et sénateurs lors de leur saisine du Conseil constitutionnel, rappelle Cédric du Rieu, secrétaire général du collectif [des juristes de la Manif pour tous], a été rejeté justement au motif que des ordonnances allaient être prises. Si elles n'avaient pas été prévues, la loi aurait pu être censurée par le Conseil constitutionnel et le débat aurait été à nouveau ouvert, renvoyé au Parlement. Avec encore des mois de contestation de notre part…»"

    ... et à ses partisans :

    "Concrètement, (...) le fait que le code général des impôts ou celui de l'action sociale et des familles ne soient pas encore mis en conformité avec la nouvelle loi n'empêche pas les couples homosexuels de se marier, mais crée pour eux une insécurité juridique. «On a un droit qui n'est plus intelligible, précise Cédric du Rieu. C'est une source de rupture d'égalité du justiciable devant la Loi, puisque cela va laisser aux juges un pouvoir d'appréciation considérable."
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/ordonnances-de-la-loi-taubira-le-mensonge-pour-tous.html
  • Le temps des grands bouleversements

    N’hésitons pas à désigner l’ennemi : les « remplacistes » et les « effacistes ».
    Voici des extraits de la conclusion de Jean-Yves Le Gallou à la XXIXe Université annuelle du Club de l’Horloge consacré au « Cosmopolitisme, idéologie dominante mondiale ». Il souligne l’épuisement de cycles historiques centennaux et décennaux ; il montre la montée des dissidences numériques, intellectuelles, sociétales et électorales. Pour l’auteur la tectonique des plaques de l’histoire est en marche. La plaque française sera probablement la première concernée car la France reste un pays idéologique, c’est-à-dire un pays qui donne du sens.
    Polémia
    François Hollande bat tous les records d’impopularité pour un président de la Ve République.
    Il y a plusieurs explications à cela :
        - sa personnalité ;
        - la situation dont il a hérité : un déficit budgétaire qui ne peut plus être financé seulement par la dette et qui doit l’être aussi par l’impôt ; d’où la révolte fiscale ;
        - son comportement sectaire et le comportement sectaire de ses ministres sur l’impôt, sur la famille, sur l’école, sur les libertés, qui accroît l’exaspération de l’opinion.
    Mais l’essentiel n’est pas là.
    L’essentiel c’est que Hollande est parvenu au pouvoir alors qu’une série de cycles historiques arrivent à leur terme. Son attitude sectaire apparaît d’autant plus insupportable qu’elle s’appuie sur des tendances en voie d’épuisement.
    Epuisement de cycles historiques décennaux et centennaux
    Nous assistons en effet à l’épuisement de cycles historiques décennaux et centennaux :
        -épuisement du cycle d’alternance politique classique, né en 1980, entre RPR devenu UMP et PS ;
        -épuisement du cycle de révolution sociétale de 1968 car un peu de « chienlit » (De Gaulle), ça va, 45 ans de chienlit, ça lasse ;
        -épuisement du cycle de mondialisation et de libre-échange ouvert en 1962 car, à part les très riches, plus personne ne croit à la « mondialisation heureuse » ;
        -épuisement du cycle de culpabilisation engagé en 1945 et qui conduit à un mea culpa permanent de plus en plus lassant, sur la « Shoah », la colonisation, l’esclavage ;
        -épuisement du cycle de l’Etat-providence quand l’impôt ne rentre plus ;
        -épuisement du cycle de 1914 alors que la crédibilité militaire et financière du mondialisme anglo-saxon (dernier survivant des idéologies nées des ruines de la première guerre mondiale) est mise en doute ;
        -épuisement du cycle des Lumières né au XVIIIe siècle alors que l’arraisonnement utilitaire du monde à la technique et à l’argent rencontre ses limites et que les préoccupations de retour aux sources et à la nature reviennent en force.
    La montée des dissidences numériques, intellectuelles, sociétales, électorales
    La dissidence numérique : La révolution technologique a multiplié les centres de recueil et de diffusion de l’information. La parole unique des médias de l’oligarchie est ainsi battue en brèche par l’explosion de la réinfosphère : sites internet dissidents, blogs, réseaux sociaux sont devenus des acteurs majeurs d’information, de réinformation et de contestation.
    La dissidence intellectuelle : Face aux « experts » des médias dominants qui portent la parole officielle, des intellectuels renâclent et osent prendre en compte les faits et les opinions discordantes. Des philosophes repartent à la quête du sens. Des penseurs annoncent le grand retour des frontières. Des sociologues et des géographes portent un regard critique sur l’immigration. Des économistes réhabilitent le protectionnisme. Les géopoliticiens signent leur grand retour. Le dévoilement de l’art « contemporain », de plus en plus perçu comme un « non-art » progresse. La dénonciation des oligarchies atteint tous les courants intellectuels, des libéraux aux anticapitalistes. Les neurosciences démasquent les méfaits de la télévision et des « pédagogies nouvelles ».
    La dissidence sociétale : En ouverture de son université consacrée au cosmopolitisme idéologie dominante, le Club de l’Horloge posait les bonnes questions : A-t-on le droit de refuser l’immigration ? A-t-on le droit de refuser les excès du libre-échange ? A-t-on le droit de refuser d’admirer le non-art contemporain ? A-t-on le droit de refuser la dénaturation du mariage ? A-t-on le droit de refuser l’excès fiscal et les délires de l’assistanat ? La dissidence sociétale répond oui. Les luttes se multiplient : Manif pour tous contre la loi Taubira, Printemps français contre les excès idéologiques du pouvoir, Pigeons, Bonnets rouges et Bonnets oranges contre le trop-plein fiscal, contestations des délires du non-art contemporain.
    Face à une répression puissante ces manifestants inventent de nouvelles formes d’action, non violentes mais transgressives rendant les déplacements des autorités politiques de plus en plus malaisés.
    La dissidence électorale : Les partis politiques attachés à la bienséance médiatique – Front National compris, parfois – sont très en arrière de la main de ces dissidences numériques, intellectuelles et sociétales. Cela s’explique : ils cherchent à conquérir le maximum d’électeurs et restent donc tributaires pour leur image et leur notoriété des médias traditionnels encore dominants. Ils sont donc, comme eux, un peu dépassés par les événements.
    Pour autant le champ électoral va traduire avec décalage et retard les évolutions en profondeur de la société.
    L’alpha et l’oméga du système c’est l’ouverture des frontières de l’Europe à l’immigration et le transfert de la souveraineté des peuples vers les oligarques de Bruxelles. La dissidence électorale c’est le vote pour une formation politique refusant l’un ou l’autre de ces postulats, souvent les deux.
    Cette situation se rencontre en Norvège, en Suède, en Finlande, au Danemark, en Pologne, aux Pays-Bas, en Grande-Bretagne, en France, en Italie, en Grèce, en Suisse, en Autriche, en Hongrie.
    La tectonique des plaques de l’histoire est en marche
    Reste que le temps des grands bouleversements arrive. Et que cela ne sera pas une « alternance » à la petite semaine ! La perte de crédit de François Hollande n’est que le début d’un processus. L’extension du domaine de la lutte est à l’ordre du jour. La tectonique des plaques de l’histoire est en marche. La plaque française sera probablement la première concernée car la France reste un pays idéologique, c’est-à-dire un pays qui donne du sens.
    Cinq raisons me font croire que le temps des grands changements arrive :
    1-Deux forces se livrent bataille sur le champ de l’opinion : les médias oligarchiques traditionnels, qui défendent le cosmopolitisme, et les médias alternatifs numériques, qui contestent la vue du monde dominante. Les premiers sont encore plus forts que les seconds mais ils déclinent et perdent en crédit, alors que les seconds gagnent chaque année en audience et en qualité de l’information. Les journalistes officiels peuvent encore filtrer les faits mais c’est Twitter et les blogues qui les recensent. Alors, si les médias traditionnels baissent et que les médias alternatifs progressent, ils vont bien finir par se croiser dans l’escalier et, ce jour-là, les pouvoirs établis perdront leur principal support.
    2-Carburants du Politiquement Correct, les impôts rentrent de moins en moins bien.
    -Or les impôts servent socialement à panser les plaies de la mondialisation ;
    -Et ils servent politiquement à nourrir les clientèles associatives et électorales des partis au pouvoir.
    Quand la révolte fiscale gronde, le système politique et idéologique dominant est fragilisé.
    3-Nous assistons à une convergence des mécontentements par-delà les clivages politiques et sociaux. Et c’est toujours par une coagulation de « non » que commencent les grands mouvements historiques.
    4-Les mouvements de contestation sont telluriques, ils viennent des profondeurs. La protestation contre la loi Taubira (et la théorie du genre) repose non seulement sur des fondements religieux mais, au-delà, sur des fondements civilisationnels. La révolte des Bonnets rouges s’enracine dans la longue histoire de la Bretagne. La critique de l’immigration puise sa force dans le refus de plus en plus conscientisé du « grand remplacement ».
    5-Aujourd’hui, contestataire rime avec identitaire. La convergence des mécontentements est donc possible.
    Certes, à coups de manœuvres et d’opérations de diabolisation, le gouvernement tente de diviser ces oppositions. Mais celles-ci pourraient bien converger dimanche 26 janvier, anniversaire de la première grande manifestation contre la loi Taubira, et proclamé « Jour de colère » !
    N’hésitons pas à désigner l’ennemi : les « remplacistes » et les « effacistes ». Ceux qui veulent changer de peuple et ceux qui veulent le priver de sa mémoire sont d’ailleurs les mêmes.
    Face à la superclasse mondiale qui nous impose le cosmopolitisme comme idéologie dominante, luttons pour nos libertés et nos identités, défendons  notre patrie et nos terroirs et retrouvons notre mémoire et nos traditions.
    Jean-Yves Le Gallou, 24/11/2013
    L’intégralité de la communication de Jean-Yves Le Gallou en PDF : cliquer ICI
    http://www.polemia.com/le-temps-des-grands-bouleversements/

  • Une Marche (un marché) qui sent la rose…

    « En 1983, dans une France en proie à l’intolérance et aux actes de violence raciale, trois jeunes adolescents et le curé des Minguettes lancent une grande Marche pacifique pour l’égalité et contre le racisme, de plus de 1000 km entre Marseille et Paris. Malgré les difficultés et les résistances rencontrées, leur mouvement va faire naître un véritable élan d’espoir à la manière de Gandhi et Martin Luther King. Ils uniront à leur arrivée plus de 100 000 personnes venues de tous horizons, et donneront à la France son nouveau visage ». Tel est le synopsis du film La Marche  réalisé par le belge Nabil Ben Yadir.  Coproduit par Canal+,  il sortait hier sur nos écrans, forcément  à grand renfort de publicité. Un vrai  bide  cependant avec à peine 550 spectateurs lors de sa première journée d’exploitation à Paris!  Même échec du meeting organisé par le PS contre l’extrémisme  et en soutien  à Christiane Taubira hier soir à la Mutualité. Il n’a attiré que les militants parisiens du PS venus entendre notamment  Harlem Désir enfiler les poncifs haineux contre le  FN  et Marine Le Pen.

    A l’issue de cette Marche de 1983,  requalifiée par les médias de Marche des beurs  et entourée de la mythologie sirupeuse de circonstance, François Mitterrand autorisa la fameuse carte de séjour de dix ans renouvelable. 

     Une Marche (un marché)  récupérée alors  par le milliardaire rose Pierre Bergé qui, avec l’aide de ces parangons d’honnêtes hommes,  issus de la  mouvance trotskyste, que sont   Harlem Désir et Julien Dray, fonda un an plus tard SOS racisme. Une coquille vide ultra-médiatisée mais  largement vomie dans les banlieues.

    Dans son Histoire secrète de SOS Racisme, relate la page wikipedia consacrée à cette officine, «Serge Malik, l’un des fondateurs du mouvement, (dénoncera) une instrumentalisation politique de l’antiracisme à travers SOS racisme, une surreprésentation de membres de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF, autre pseudopode du PS, NDLR) et une marginalisation des  beurs ».

     La Marche, si  l’on sait lire entre les lignes des différentes critiques publiées sur ce film dont le sujet impose d’en dire du bien, semble être un épouvantable navet. Avec les précautions d’usage, le site   Ecran large le confesse plus franchement que ses confrères : «  une histoire de rédemption, des bons sentiments à la pelle, des violons, et le triomphe final attendu. Rien de répréhensible en soi, mais une simplification des enjeux et une émotion quelque peu forcée qui handicapent le film plus qu’ils ne le servent (…). On se vautre quand même pas mal dans le consensuel et la tolérance d’hypermarché, et le métrage a cela d’énervant qu’il nous assène son propos comme un cours d’éducation civique renforcé pendant quasiment 2 heures. Alors oui, on a compris que le racisme c’est mal, qu’un homme qui n’aime pas les étrangers est un homme qui se trompe de colère et que les fils d’immigrés sont des français comme les autres… ».

     En promotion pour ce film dans lequel  il tient un petit rôle, Jamel Debbouze, passé en  quelques années, des HLM de  Trappes à  l’île Saint-Louis,  répète cette évidence à savoir que  s’« il y a du racisme en France » principalement un racisme antifrançais largement tabou dans les médias, NDLR) , «  la France n’est pas raciste ». Ce film, à l’image de la Marche de 1983 affirme-t-il , « est un message d’amour adressé à la France et aux Français ». «J’espère que cette histoire, (La Marche, NDLR) souvent méconnue, soit diffusée dans les écoles (…) qu’elle aura le même écho que le film Indigènes (dans lequel il jouait un rôle phare, NDLR)  et qu’elle figurera un jour dans les livres d’histoire. »

     Un exemple particulièrement mal choisi puisque Indigènes, réalisé par Rachid Bouchareb, largement financé par l’exécutif francilien, retraçant l’engagement des maghrébins sous l’uniforme français pour combattre l’Allemagne nazie, distillait un révisionnisme pour le moins problématique. Si les acteurs d’Indigènes se virent  décerner au Festival de Cannes en 2006  un prix d’interprétation masculine collectif –une première-  ce film est en effet  plus une œuvre de propagande qu’un témoignage fidèle d’une réalité historique.

     Actuel vice-président du Front National chargé des affaires juridiques, Jean-François Jalkh relevait il y a sept ans que   « distinguer les acteurs de ce film, pour honorer les soldats maghrébins et africains qui se sont battus sous l’uniforme tricolore, afin de nous laisser croire que les Français, parait-il inaptes à construire des logements et des autoroutes, n’auraient pas été plus capables de libérer leur territoire sans la contribution militaire décisive de grand papa Debouzze a quelque chose d’hilarant ».

     « Loin de nous l’idée de méconnaître les sacrifices parfois immenses faits par les troupes coloniales pour permettre à notre pays de retrouver son indépendance et sa liberté », précisait Jean-François Jalkh. Mais si le film de M. Bouchareb « se fixe comme objectif d’entretenir l’indispensable devoir de mémoire », « devait-il à ce point nous donner une vision manichéenne, presque enfantine, d’une réalité autrement plus complexe ? ».

     Une critique encore plus applicable à  Hors-la-loi,  un autre film de M.  Bouchareb  paru en 2010,  dans lequel jouait  également M. Debbouze.   Une insulte à notre pays et aux populations chrétiennes, juives et musulmanes d’Algérie qui ont perdu des milliers des leurs  sous les couteaux des égorgeurs du FLN.

     Un film « laborieux » notait  Laurent Dandrieu,  qui débute par « un tableau de la colonisation (qui)  se résume à une expropriation, celle de la famille des trois héros du film, dont le père est chassé de ses terres, sur présentation d’un simple papier des autorités, au profit d’un colon français. La colonisation, c’est tout ce qu’on en verra dans le film : pas de dispensaires, pas d’écoles, pas d’hôpitaux, pas de routes, pas de missionnaires : juste une spoliation » et des  « populations indigènes » présentées comme «  des esclaves, taillables et corvéables à merci, puis qu’on extermine quand ils deviennent gênants ».

     Cette parenthèse étant fermée, avouons aussi qu’il est assez hilarant de voir l’hebdomadaire pour adulescents,   Charlie Hebdo,  dans le rôle de la pleureuse  agressée par les « jeunes ».  Dans un communiqué de la rédaction, pondu  par  Stéphane Charbonnier alias Charb,  ce dernier fait part de son « effarement »  en découvrant la « violence »  à son égard des paroles d’une chanson de la BO du film La Marche.

     La chanson incriminée a été composée et  interprétée par une dizaine de rappeurs, dont Akhenaton, Disiz, Kool Shen et Nekfeu.  Dans un couplet on peut ainsi entendre :« D’t'façon y a pas plus ringard que le raciste / Ces théoristes (sic) veulent faire taire l’islam / Quel est le vrai danger : le terrorisme ou le taylorisme ? / Les miens se lèvent tôt, j’ai vu mes potos taffer / Je réclame un autodafé pour ces chiens de ‘Charlie Hebdo ».

     Charlie bobo, dont les ventes n’en finissent pas de s’effondrer,  paye ici sa très mauvaise image  auprès des jeunes de banlieues depuis les  caricatures de Mahomet qui y ont été publiées.  Et plus largement  le procès en  sionisme qui lui est fait,  son soutien   aux croisades américaines défendues  en leur temps par son directeur, le neocon Philippe Val.

     « S’il leur manque un couplet, nous précisons aux auteurs de la chanson que le journal numérique Inspire, édité par Al-Qaida, a condamné à mort Charb en mars dernier », affirme  le communiqué de Charlie Hebdo. « Nous avons l’habitude de ces appels à la haine, de nous faire traiter de chiens d’infidèles. (…) Nous sommes juste très surpris que le réalisateur d’un film clairement antiraciste, qui rend hommage à un événement majeur dans l’histoire de la lutte pour l’égalité des droits, ait choisi de l’illustrer par une chanson en totale opposition avec son œuvre ».  Sortez vos mouchoirs!

     C’est pourtant aussi en totale opposition avec l’esprit libertaire originel de ce journal,   rapporte de son côté Delfeil de Ton dans le Nouvel obs,  que Philippe Val entrepris de virer de son journal en 2008  la vieille baderne Siné.  Il fut accusé de propos antisémites lorsqu’il commenta le mariage entre un fils de Nicolas Sarkozy avec l’héritière de l’empire Darty, Jessica Sebaoun. Siné a depuis créé Siné Hebdo, devenu Siné Mensuel, lui aussi en proie à de graves difficultés  financières.  Et le dernier clip en date  de la rédaction,  autour d’une chanson  de Sanseverino ne devrait pas inverser la tendance…

     « L’inanité des accusations contre Siné, commente  Delfeil de Ton,  était apparue à tous les yeux car chacun avait compris qu’à l’origine elles avaient été portées par le directeur de Charlie Hebdo pour complaire à Nicolas Sarkozy dont Siné avait égratigné le cadet dans son journal. Tout le monde avait constaté que ce directeur de Charlie Hebdo se trouvait à ce moment, sans que personne n’en sût rien, sur le point d’être porté par le président de la République à la direction de France-Inter. »

     Le chroniqueur du Nouvel obs pointe, à notre avis avec justesse, l’acharnement délirant de la Licra de Me Alain Jakubowicz contre Siné, que son antifrontisme rabique n’a pas protégé des foudres de cette officine dite antiraciste. La Licra a perdu tous ses procès contre Siné avant  enfin de jeter l’éponge après un tout récent  troisième acquittement de ce dernier.

     «  S’acharner contre un particulier dans une affaire qui ne tient pas debout, le ruiner en frais de justice, est-ce digne de cette association ? » fait mine de s’interroger Delfeil.  «Annonçant donc son renoncement à l’affaire, (la Licra)  s’adonne à un dernier tour. Voici l’intitulé de son communiqué : Affaire Siné : la Cour de Cassation valide la poursuite initiée par la Licra. C’est laisser entendre que finalement elle a gagné contre Siné. Alors qu’en réalité Siné a gagné sur toute la ligne et à tous les coups. Singulier manque d’élégance. »

     Elégance,  constate Bruno Gollnisch, qui fut un temps attachée à l’image de notre pays et dont  les officines, figures et œuvres citées plus haut sont en effet singulièrement dépourvues, au-delà même des méthodes indignes  et/ou des  idées fausses, nauséabondes  qu’elles professent.

    http://www.gollnisch.com/2013/11/28/une-marche-un-marche-qui-sent-la-rose/

  • Jean-Luc Mélenchon continue de mépriser la colère bretonne et les Bonnets Rouges

    Invité de #DirectPolitique, hier sur Linternaute.com et ouest-france.fr, Jean-Luc Mélenchon, le leader du Front de gauche, a renouvelé ses propos méprisants à propos de la colère bretonne et des Bonnets Rouges. Déjà avant la manifestation du 2 novembre à Quimper, il avait eu ces mots insultants : « les esclaves manifestent pour les droits de leurs maîtres ».

    Capable de toutes les outrances, Mélenchon avait vu dans ce déferlement breton une alliance « des patrons et des curetons », sans oublier l’autre fameux épouvantail, à savoir « l’extrême droite ».

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  • Manuel Valls et l'extrême gauche : pas d'amalgame

    Jacques Bompard a interpellé hier à l'Assemblée nationale le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, au sujet de la violence d'extrême-gauche et les manipulations médiatiques qui ont récemment entouré la cavale de cinq jours de Abdelhakim Dekhar.

    On peut retrouver la vidéo de la question puis de la réponse du ministre ici. Cette réponse est à conserver précieusement pour le jour où le ministre sera tenté de faire un amalgame entre un fait divers et les catholiques/l'extrême droite, etc.

    Suite à cette réponse, le député Bompard a publié un communiqué dans lequel il écrit :

    "Jacques Bompard s'attendait à une réponse républicaine et à une analyse critique de la situation par celui qui devrait être garant de la sécurité de tous les Français. Malheureusement, Manuel Valls a préféré l'invective et l'insulte, terminant en apothéose l'impolitesse de ses collègues socialistes qui ont voulu masquer une parole libre. Contrairement aux allégations de Manuel Valls, Jacques Bompard agit d'autant plus contre le racisme qu'il est l'un des rares députés à dénoncer le racisme anti-blanc et la christianophobie qu'il est de bon de ton de cacher par obscurantisme ou par idéologie.

    Jacques Bompard attend donc du ministre de l'Intérieur une atttitude plus constructive afin de proposer des solutions concrètes à ces attaques qui blessent de nombreux Français. Insulter un représentant du peuple est une bassesse, nier la réalité des souffrances endurées par nos concitoyens est une faute insupportable pour les victimes. Jacques Bompard attend du ministre de l'Intérieur qu'il lutte contre les factions d'extrême-gauche qui empoisonnent le débat publique par la violence et la haine afin de ne pas laisser le désordre prévaloir sur le territoire national."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • À quand des représentants du peuple tirés au sort ?

    Continuer avec les institutions de la Ve République, c’est continuer à coup sûr la farce qui se répète à chaque élection.

     
     

    D’après Gabrielle Cluzel, « la France qui meurt, qui se soulève : les titres dans la presse font de la surenchère »… et les titres dans Boulevard Voltaire aussi ! Pas un jour sans qu’un article n’insiste sur le fait que « nous sommes en guerre civile larvée », dixit Éric Zemmour. Ce constat, tout le monde est capable de le faire : « Même les préfets s’y mettent… », titre Dominique Jamet, préfets alarmés par « les ferments d’une éventuelle explosion sociale »… Le problème n’est donc pas le constat, mais la solution à y apporter.

    Sur ce point, Dominique Jamet est d’un réalisme cru : « Le gouvernement et le Président sont protégés par des institutions qui ne sont pas sérieusement contestées. Ils sont protégés par le légitimisme des Français dont seule une infime minorité croit au Grand Soir ou au Grand renversement. » C’est bien là que se situe le problème, et donc la solution : personne ne remet en cause les institutions… et tout le monde croit encore à l’homme (ou la femme) providentiel(le) qui va nous sortir du marasme. Sarkozy nous a fait le coup en 2007 ; Hollande en 2012 ; à chaque fois, on se fait berner.

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  • Immigration : un professeur de l’UOIF enseigne le combat armé [vidéo]

    PARIS (NOVOpress via Islamisation.fr) – Manuel Valls laisse les prédicateurs pro djihadistes de l’UOIF prêcher en toute impunité. Pire, le PS finance certaines de leurs mosquées.

    Hassan Iquioussen, imam de la mosquée d’Escaudain, dans le Nord, est l’un des membres fondateurs des JMF (Jeunes musulmans de France). Il donne des conférences en France depuis près de 20 ans qui sont diffusées en vidéos. Il prodigue ses enseignements dans de nombreuses institutions et associations, et notamment dans le cadre de l’UOIF (Union des organisations islamiques de France).

    Pour le prédicateur, les bienfaits de la vie après la mort sont liés à l’engagement des musulmans sur cette terre. Dans sa conférence sur le thème de l’engagement, il commence par faire l’éloge des moujahidines (combattants de Dieu) qui ont conquis l’Espagne, l’Italie et la Sicile. La conquête armée de l’Europe est donc louée comme un Jihad positif pour l’expansion de l’Islam.


    L'engagement en islam, par Hassan Iquioussen... par foundiba

    « Yussuf Ibn Tachfin (…) va fonder un empire les Almoravides. Vous savez quel âge il a lorsqu’il débarque en Andalousie avec son armée pour protéger les musulmans (en réalité pour aider les rois arabes des Taifas à lutter contre les troupes chrétiennes de Alphonse VI résistant à leur invasion) ? D’ailleurs s’il n’était pas intervenu ils auraient disparu. C’est grâce à la bataille de Sagrajas en 478 (après hégire) que les musulmans vont rester encore 400 années en Andalousie. Grâce à qui ? Grâce à un homme, Yussuf Ibn Tachfin, qui débarque avec ses moujahidines » avant d’enchaîner sur les conquêtes italiennes…

    La nationalité française n’a guère de signification pour lui : « Nous ne sommes ni marocains ni algériens, nous sommes des musulmans” […] “C’est ça notre identité, c’est ça notre nationalité, c’est ça notre être, c’est ça le plus important. Tout le reste est secondaire ».

    http://fr.novopress.info/146808/immigration-un-professeur-de-luoif-enseigne-le-combat-arme/#more-146808

  • Les Lyonnais sont invités à débattre avec les militants LGBT

    Puisque c'est organisé avec des subventions publiques, il ne serait pas normal que les défenseurs de la famille ne puissent pas s'y faire entendre :

     

    B

    Michel Janva

  • Le projet de loi "familles" : un cancer pour la société

    Lu dans Minute :

    " Un peu de rab de mauvais goût ? Figurez-vous que je n’ai pas compati aux malheurs du ministre de la Famille, Dominique Bertinotti, et à son cancer du sein médiatiquement exhibé avant la présentation en conseil des ministres – au mois de janvier prochain – de son projet de loi sur « les familles ». Prière de communier dans l’émotion en saluant le courage de madame le ministre. Qui aurait le coeur, après cela, de la contredire, ou de la combattre? Eh bien, nous! Parce que des personnes atteintes du cancer, nous en avons tous dans nos familles, souvent parmi nos proches, sans que cela en fasse un argument politique; parce que nous savons les socialistes capables de ce type de manoeuvre – souvenez-vous du cancer de la prostate de Mitterrand, révélé quelques jours avant le traité de Maastricht; et parce que l’actuel gouvernement a une fâcheuse tendance à vouloir protéger ses ministres les plus exposés derrière des paravents montés en trompe-l’oeil : après la persécution raciste, la maladie.

    Je suis conscient d’être une fois de plus nauséabond en l’écrivant: « Ah, c’est pas joli! Ah, c’est pas poli ! », comme chantait Brassens. Tant pis. La loi que prépare Bertinotti est un cancer pour toute la société puisqu’elle annonce déjà qu’elle ne défendra pas « la famille », ce qui reviendrait, à l’en croire, à « rester en arrière, figé sur un modèle qui n’est plus le modèle unique ». Sous prétexte de prendre en compte les « modèles familiaux que nos concitoyens ont créés eux-mêmes », Bertinotti les place au même niveau que la famille traditionnelle (les parents et leurs enfants). À ce compte-là, pourquoi ne pas légaliser la polygamie, modèle familial choisi par un nombre croissant de nos nouveaux concitoyens ?

    Il faut s’attendre à ce que le projet du ministre s’inscrive dans l’esprit de la loi Taubira de dénaturation du mariage. Les manifestants qui ont défilé contre celle-ci en 2013 peuvent donc dès à présent préparer leurs cache-nez, leurs bonnets (j’opterai personnellement pour le rouge, pas pour le rose) et cirer leurs chaussures de marche : il va falloir remettre ça, avec un peu plus d’agressivité si l’on veut cette fois faire céder le pouvoir. Les bonnets rouges bretons n’ont pas hésité à sortir de la légalité pour empêcher l’application de l’écotaxe ; la défense de la famille représenterait-elle un moindre enjeu ? "

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