Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

anti-national - Page 887

  • Les perles du rapport sur la (dés)intégration

    Civitas passe en revue certaines préconisations du rapport sur la "Refondation de la politique d'intégration", ce fameux document devenu soudain "officieux" après le tollé qu'il suscité. Il est pourtant toujours en ligne sur le très officiel site Internet du Premier ministre :

    • "Toutes les migrations seraient constitutives de la nation

    En vérité, c’est l’essence même de la France qui est remise en cause par ce rapport qui préconise de « Faire France en reconnaissant la richesse des identités multiples ». Cela signifie « reconnaître toutes les migrations (…) comme constitutives de la nation », explique ce document. Voilà qui, en pratique, permet d’envisager bien des revendications. Si le moindre Rom arrivé avec son balluchon est constitutif de la nation, il peut, ainsi que tous ses congénères venus de tous les continents, s’adresser aux descendants de Gaulois en  réclamant  sa part de la nation. Car alors, « ce qui est à toi est à moi ».

    • Repentance

    Sans surprise, ce rapport qui proclame que « la société française est métisse et plurielle », demande la réécriture des programmes scolaires car les grandes figures de l’Histoire enseignée seraient trop largement des « mâles, blancs et hétérosexuels ». Qu’il faudra remplacer sans omettre de traîner dans la boue tout ce qui fut autrefois considéré comme une œuvre civilisatrice qui exige désormais repentance.

    • L’arabe, le yiddish et le romani sont des langues de France !

    « Il est essentiel de rappeler, car peu connu, que les langues de France sont : la variété dialectale de l’arabe (arabe maghrébin), le berbère, le yiddish, l’arménien occidental, le judéo-espagnol et le romani (…) », prétend très sérieusement ce rapport.

    « La France a fait un choix républicain d’accueillir ces langues », nous prévient-on, de façon à nous faire comprendre que tout doute exprimé à ce sujet équivaut à être un antirépublicain et donc un factieux.

    • Enseigner dès le collège une langue africaine comme le bambara ou le swahili

    En toute logique, selon ce rapport, il faut dès lors « valoriser l’enseignement de l’arabe, assuré par l’Education Nationale, au même titre que les autres langues en l’introduisant (…) sur tout le territoire français ». Et il ne faut pas s’arrêter là. Le rapport encourage également « l’enseignement dès le collège d’une langue africaine (…) par exemple le bambara ou le dioula ou le lingala ou même le swahili ».

    • Place à la culture

    La culture est bien entendu un domaine à ne pas négliger. Ce rapport propose de favoriser « des pratiques artistiques aussi diverses que la danse hip hop, le rap, le graff, le djing, le slam (…) ».

    Dans cette France défigurée, il n’est pas besoin de dire qu’il n’est plus envisageable de reconnaître ses racines chrétiennes. Ce serait « stigmatisant ».

    Tout cela se décrit sur un ton docte car rédigé par de prétendus « experts »."

    Pour conclure, Civitas encourage chacun à voter aux élections municipales et à continuer à étudier tous les moyens de résister, en se plaçant sous le patronage de Saint Louis.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Individualisation de l'impôt = hausse pour 60% des couples mariés ou pacsés

    Un chiffre avancé par La Tribune , qui pointe également le fait que cette réforme serait anti-redistributive :

     

    "Le rapport sur les freins au travail féminin remis cette semaine à Najat Vallaud Belkacem prend donc parti en faveur d'un impôt individuel. Certes, toutes les études montrent que beaucoup de couples seraient perdants en termes d'impôt à payer, mais cette réforme « aurait un effet légèrement positif sur l'offre de travail des femmes mariées » affirme l'économiste Séverine Lemière.

    Le problème, c'est que cette réforme -le paiement de l'impôt sur une base individuelle, via la suppression du quotient conjugal- augmenterait l'impôt de 60% des couples mariés ou pacsés, l'Etat y gagnant au passage quelque 3,7 milliards. La hausse d'impôt serait, en moyenne, de 1.840 euros. Beaucoup de couples modestes, dans lesquels un des conjoints ne travaille pas, seraient fortement impactés : aujourd'hui non imposés, ils le deviendraient subitement, si le salaire d'un des conjoints dépasse le smic. C'est cette situation que François Hollande avait mise en avant en 2011 pour écarter cette piste [ndlt: proposée par Martine Aubry pour les présidentielles]. Comment justifier la taxation plus forte des salariés les moins bien lotis ?

    L'économiste Henri Sterdyniak (OFCE) avait montré en quoi cette réforme serait « anti-redistributive », en prenant l'exemple d'un couple où l'homme gagne deux fois le salaire moyen. « Si son épouse ne travaille pas, l'impôt mensuel payé par le couple est de 329 euros. Il passe à 486 euros si-celle-ci travaille au smic. Avec une imposition séparée, l'impôt mensuel payé par le couple serait de 586 euros dans les deux cas » (femme sans travail ou rémunérée au smic). La hausse d'impôt serait donc de 100 euros par mois pour le couple bi-actif, mais de 275 euros pour celui où la femme ne travaille pas.

    C'est donc le couple aux revenus les plus faibles qui verrait sa facture augmenter le plus fortement. De la redistribution à l'envers, en quelque sorte."

    Louise Tudy

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/12/individualisation-de-limp%C3%B4t-hausse-pour-60-des-couples-mari%C3%A9s-ou-pacs%C3%A9s.html

  • Memorandum d’anciens du renseignement à Obama : ” La Syrie est-elle un piège ?”

    MEMORANDUM FOR: Le Président – Sept. 2013

    FROM: Veteran Intelligence Professionals for Sanity (VIPS)

    SUBJECT: La Syrie est-elle un piège ? (Is Syria a Trap?)

    Priorité : IMMÉDIATE

    Nous sommes au regret de vous informer que certains anciens collègues nous disent avec certitude que, contrairement aux déclarations de votre administration, les sources les plus fiables attestent que Bashar al-Assad n’est pas responsable de l’incident chimique du 21 août qui a tué et blessé des civils syriens, et les services secrets Britanniques le savent également. En écrivant ce bref rapport, nous préférons penser que vous n’avez pas été totalement informé car vos conseillers ont préféré vous ménager la possibilité future de nier – couramment désignée comme “le déni plausible”.

    Nous avons déjà connu cette situation – avec le Président George W; Bush, à qui nous avions adressé notre premier memo VIPS juste après la déclaration de Colin Powell le 5 février 2003 dans son discours aux Nations Unies, dans lequel il avait colporté de faux renseignements pour justifier l’attaque contre l’Irak. Par la suite, aussi, nous avons préféré accorder au Président Bush le bénéfice du doute, pensant qu’il avait été trompé ou à tout le moins très mal conseillé.

    La nature frauduleuse du discours de Powell était évidente. C’est pourquoi, l’après-midi même, nous avions fortement recommandé à votre prédécesseur “d’élargir la discussion au-delà [...] du cercle des conseillers clairement partisans d’une guerre dont nous ne voyions pas de raisons valables, et dont les conséquences seraient, d’après nous, catastrophiques.” Nous donnons le même conseil aujourd’hui.

    Nos sources confirment qu’un incident d’origine chimique a fait des victimes, morts et blessés, le 21 août, dans la banlieue de Damas.

    Nos sources insistent, cependant, sur le fait que cet incident n’était pas le résultat d’une attaque de la part de l’armée syrienne utilisant des armes chimiques de classe militaire provenant de son arsenal. C’est le fait le plus marquant, d’après un officier de la CIA qui travaille sur le dossier syrien. Elles nous expliquent que le directeur de la CIA John Brennan est en train de tromper les membres du Congrès, les médias, le public, et peut-être même vous, avec une supercherie du même type que celle qui a été utilisée avant la guerre en Irak.

     

    Nous avons observé de près John Brennan pendant ces dernières années, et, malheureusement, nous n’avons aucun mal à croire ce que disent nos ex-collègues. Ce qui est encore plus malheureux, c’est que ce sentiment est encore plus prononcé chez ceux qui ont collaboré plus étroitement avec lui ; nous ne lui portons aucun crédit. Et c’est aussi le cas de son patron, James Clapper, directeur de la National Intelligence, qui a admis qu’il avait fait des déclarations sous serment “clairement erronées” au Congrès, niant que la NSA espionnait les Américains.

    Synthèse des services secrets ou manoeuvre politique ?

    Il nous paraît étrange que le Secrétaire d’état John Kerry ait – cette semaine dans un témoignage devant le Congrès – évoqué le nom de Clapper dans une tentative pour renforcer la crédibilité du document de 4 pages intitulé : “Évaluations du gouvernement”. D’autant plus que, pour une mystérieuse raison, c’est la Maison Blanche et non Clapper qui a publié cette “évaluation”.

    La ficelle est grosse. Nous savons comment cela se passe. Bien que L’”Évaluation du gouvernement” soit vendue aux médias comme une “Synthèse des services de renseignement”, c’est un document politique, et non pas des services de renseignement. Non seulement, les rédacteurs ont évité de présenter les détails essentiels, mais ils ont même admis d’emblée que, bien qu’ils annoncent une fiabilité élevée, les faits ne sont pas encore confirmés.

    Fraude déjà vue : cela rappelle le fameux compte rendu de Downing street du 23 juillet 2002 sur l’Irak. Le compte rendu de Richard Dearlove, alors patron des services de renseignements Britanniques, déclarant au premier ministre Tony Blair et à d’autres officiels de haut rang que le Président Bush avait décidé d’éliminer Saddam Hussein par une action militaire qui serait justifiée par la conjonction du terrorisme et des armes de destructions massives. Dearlove tenait ces propos du directeur de la CIA George Tenet qu’il avait rencontré au siège de la CIA le 20 juillet.

    La discussion qui s’ensuivit se basa sur le caractère éphémère des preuves, forçant Dearlove à expliquer : “Les renseignements et les faits ont été corrigés en fonction des besoins politiques”. Nous craignons que c’est précisément ce qui se passe avec les renseignements sur la Syrie.

    Les renseignements

    Il y a un nombre croissant de preuves provenant de multiples sources au Moyen Orient, principalement affiliées à l’opposition Syrienne et à ses alliés, appuyant une forte présomption que l’incident chimique du 21 août était une provocation organisée par l’opposition Syrienne avec ses alliés Saoudiens et Turques. Le but allégué est d’avoir créé le type d’incident qui entraînerait les États-Unis dans la guerre.

    Selon certains rapports, des bonbonnes contenant des agents chimiques ont été amenées dans la banlieue de Damas où elles ont été ouvertes. Des personnes dans la proximité immédiate ont été tuées, d’autres blessées.

    Nous ne connaissons aucune preuve solide du fait qu’une roquette à charge chimique ait été tirée dans la zone. En fait, il n’existe à notre connaissance pas de preuve physique fiable permettant de penser qu’il s’agissait d’une frappe d’une unité Syrienne spécialisée dans les armes chimiques.

    De plus, nous avons appris que, les 13 et 14 août 2013, les forces d’oppositions supportées par les occidentaux ont lancé les préparatifs d’une attaque surprise massive.

    Les premières réunions entre les chefs militaires de l’opposition et les officiels du renseignement Qatari, Turcs et Américains ont eu lieu à la garnison turque de Antakya, dans la province de Hatay, qui sert maintenant de QG pour l’Armée libre de Syrie et ses appuis occidentaux.

    Les chefs de l’opposition qui venaient d’Istanbul ont informé les chefs régionaux d’une escalade imminente dans les combats due à un tournant dans la guerre qui, à son tour, amènerait à un bombardement de la Syrie sous l’égide des États-Unis.

    Lors des réunions de coordination à Antakya, avec les responsables du renseignement Turcs, Quatari et américains et les chefs de l’opposition Syrienne, on annonça aux Syriens que les bombardements allaient commencer dans quelques jours.

    On demanda aux leaders de l’opposition de préparer leurs troupes à exploiter rapidement le bombardement américain, marcher sur Damas et déposer le gouvernement de Bashar al-Assad.

    Les officiels du renseignement Qatari et Turc ont assuré les chefs régionaux qu’ils seraient massivement approvisionnés en armes pour l’offensive. Et ils l’ont été.

    Des livraisons d’armes à une échelle jusque là inégalée ont commencé à partir des arsenaux contrôlés par les services de renseignement Qatari et Turc sous surveillance étroite des officiers de renseignement américains.

    Cui bono ? / À qui profite le crime ?

    Il est clair que les différents groupes qui cherchent à renverser Bashar al Assad sont fortement motivés pour que les États-Unis s’impliquent davantage. Jusqu’à présent, il n’est pas aussi clair que le gouvernement Israélien de Netanyahu soit aussi motivé de voir Washington s’impliquer plus avant dans une nouvelle guerre dans la région.

    Mais avec les importantes pressions venant d’Israël et des lobbies américains qui les soutiennent, l’objectif prioritaire d’Israël devient limpide. La journaliste Judi Rudoren, écrivant de Jérusalem dans un article important du New York Times de jeudi, cerne le but d’Israël avec une candeur inhabituelle. Son article intitulé : “Israël est pour une frappe limitée en Syrie” remarque que les Israéliens ont tranquillement fait remarquer que le meilleur résultat de la guerre civile Syrienne qui dure depuis deux ans et demi, était, au moins pour le moment : pas de résultat. Rudoren poursuit : pour Jérusalem, le statu quo, aussi horrible qu’il puisse paraître d’un point de vue humanitaire, est préférable aussi bien à la victoire du gouvernement d’Assad et de ses alliés Iraniens qu’à un renforcement des groupes rebelles qui sont de plus en plus dominés par les djihadistes sunnites.

    “C’est une situation de barrage, dans laquelle vous avez intérêt à ce que les deux camps perdent, ou en tout cas à ce qu’aucun ne l’emporte – nous sommes pour un blocage” à déclaré Alon Pinkas, ancien consul général d’Israël à New York. “Laissons les deux camps se saigner et mourir d’hémorragie : c’est la perspective stratégique. Aussi longtemps que cela dure, il n’y a pas de menace réelle de la part de la Syrie.”

    Nous pensons que c’est ainsi qu’Israël considère actuellement la situation en Syrie, et qu’une implication plus forte des États-Unis – quoique, initialement, par des frappes militaires “limitées” – assurerait qu’il n’y ait pas d’issue rapide au conflit en Syrie. Israël calcule que plus longtemps les sunnites et les chiites s’entre-égorgeront en Syrie et dans la région alentour, plus il sera en sécurité. Le principal allié de la Syrie est l’Iran, avec qui il est lié par un traité de défense mutuelle, et il joue aussi un rôle dans les calculs d’Israël. Les dirigeants iraniens ne sont probablement pas capables d’avoir un grand impact militaire en Syrie, et Israël peut le mettre en évidence pour embarrasser Téhéran.

    Le rôle de l’Iran

    L’Iran peut facilement être blâmé par association et accusé de toute sorte de provocations, réelles ou imaginaires. Certains ont vu la main d’Israël dans l’origine des accusations les plus graves contre Assad en matière d’armes chimiques et notre expérience nous suggère que c’est tout à fait possible.

    Il est aussi possible qu’est une attaque sous un faux pavillon par l’une des parties intéressées aboutissant par exemple au naufrage ou à de graves dommages sur l’un des cinq destroyers qui patrouillent actuellement juste à l’ouest de la Syrie. On pourrait compter sur nos grands médias pour en tirer le meilleur parti et vous vous retrouveriez sous une pression encore accrue pour augmenter l’implication des États-Unis en Syrie – et peut-être au delà contre l’Iran.

    L’Iran s’est joint à ceux qui reprochent aux rebelles syriens l’incident chimique du 21 août, et a rapidement mis en garde les États-Unis contre une implication plus importante. Selon la chaîne anglophone de la télévision iranienne, le ministre des affaires étrangères Mohamed Javid Zarif a déclaré: “La crise syrienne est un piège tendu par les groupes de pression sionistes aux États-Unis.”

    En fait, il n’est peut-être pas si loin de la vérité. Mais nous pensons que vos conseillers devraient se méfier de cet argument. Ainsi, nous estimons qu’il est de notre responsabilité permanente de tenter de vous informer pour faire en sorte que vous et les autres responsables disposiez d’une vision complète de la situation.

    Représailles inévitables

    Nous espérons que vos conseillers vous ont prévenu que les représailles suite à une attaque contre les syriens n’est pas une question d’éventualité : la question est de savoir où et quand. Une riposte est inévitable. Par exemple, des frappes terroristes contre les ambassades et autres installations américaines risquent de faire passer l’incident de la “mission” à Benghazi du 11 septembre 2012 pour une broutille. L’un d’entre nous a abordé cette problématique essentielle il y a une semaine dans un article intitulé “Les conséquences possibles d’une attaque d’une attaque militaire des États-Unis contre la Syrie – Rappel de la destruction de la caserne des Marines à Beyrouth en 1983.

    Pour l’équipe aux commandes, les Professionnels vétérans des services secrets pour le bon sens :

    Thomas Drake, Senior Executive, NSA (former)
    Philip Giraldi, CIA, Operations Officer (ret.)
    Matthew Hoh, former Capt., USMC, Iraq & Foreign Service Officer, Afghanistan
    Larry Johnson, CIA & State Department (ret.)
    W. Patrick Lang, Senior Executive and Defense Intelligence Officer, DIA (ret.)
    David MacMichael, National Intelligence Council (ret.)
    Ray McGovern, former US Army infantry/intelligence officer & CIA analyst (ret.)
    Elizabeth Murray, Deputy National Intelligence Officer for Middle East (ret.)
    Todd Pierce, US Army Judge Advocate General (ret.)
    Sam Provance, former Sgt., US Army, Iraq
    Coleen Rowley, Division Council & Special Agent, FBI (ret.)
    Ann Wright, Col., US Army (ret); Foreign Service Officer (ret.)

    Source : Consortiumnews.com
    Traduction : www.les-crises.fr

    http://fortune.fdesouche.com/322009-memorandum-danciens-du-renseignement-obama-la-syrie-est-elle-un-piege#more-322009

  • 50 000 Grecs ont exigé la libération immédiate des prisonniers politiques nationalistes

     

     
    50 000 Grecs ont exigé la libération immédiate des prisonniers politiques nationalistes
    Samedi 30 novembre dernier, 50 000 Grecs composés de députés, de nombreux militants et sympathisants de l’Association Populaire Aube Dorée (« Golden Dawn ») venant des quatre coins de la Grèce, ont manifesté sur la Place Syntagma, au Centre d’Athènes.
    C’est face à l’actuel Parlement grec et du Monument du Soldat Inconnu, qu’ils ont exigé la justice et la libération immédiate des prisonniers politiques de l’Aube Dorée : le chef Nicos Michaloliakos ainsi que deux membres, Christos Pappas et John Hare.
    Ces dizaines de milliers de nationalistes ont formé un océan de drapeaux et de torches dans le centre de la capitale, et ont scandé divers slogans (« La Grèce appartient aux Grecs !… »).
    Le temps fort de la soirée fut la lecture des messages des prisonniers politiques de l’Aube Dorée. La foule a ensuite repris en cœur et a fait résonner l’hymne de la Golden Dawn et l’hymne national sur la place. Un message fort a ainsi été adressé aux voyous : la Grèce va gagner !
    Malgré la décision expresse de la police d’interdire les marches et autres manifestations, pas une seule arrestation n’est à déplorer. Le peuple grec n’a pas cédé et ne s’est pas laissé intimider par l’état des magouilles, état qui prétend pouvoir fermer tous les bureaux de la Golden Dawn en Grèce.
    Aube Dorée a prouvé qu’elle pouvait compter sur un important soutien populaire, qui fait espérer de bonnes choses pour l’avenir, en dépit de la répression et des manipulations médiatiques.
    Le quotidien d’information britannique The Guardian, qui rapporte régulièrement mensonges et désinformation au sujet de Golden Dawn, a été contraint de reconnaître, après la démonstration de force de samedi, que le mouvement nationaliste laïc est devenu la force politique dominante en Grèce.
    Des sondages réalisés pour le compte de partis gouvernementaux révèlent par ailleurs qu’Aube Dorée atteindrait les 17 %, faisant de ce parti le 3ème parti du pays.
    Le 2 décembre, la Cour d’Appel a rejeté la demande de libération sous caution du chef de la Golden Dawn, qui reste l’otage du régime alors qu’aucune circonstance aggravante n’est retenue contre lui. Son seul crime ? Son opposition à la dictature des corrompus.
    Seulement, dans la conscience du peuple grec, la Golden Dawn s’est imposée comme la seule source de résistance nationale.
    L’Aube se lève à peine….





  • Une des Veilleurs du 13 décembre témoigne

     

    veilleursAdeline a fait partie des Veilleurs du 13 décembre et nous livre son témoignage:

    « Vendredi 13 décembre : 29ème soirée des Veilleurs sur Paris ! Mon amie Eléonore et moi-même nous nous rendons place de la Bourse, à 20h30. Une pluie fine mais persistante s’abat sur la cinquantaine de personnes déjà rassemblées. Mais rien ne les empêche de chanter de bon  cœur. Nous retrouvons des têtes connues, toujours fidèles au poste : salutations, embrassades…c’est toujours un plaisir de se retrouver autour d’une bonne cause ! Au bout d’une vingtaine de minutes, afin d’échapper un tant soit peu à cette fichue pluie, les organisateurs nous proposent de nous déplacer jusqu’au passage Saint-Honoré. Imaginez alors un convoi qui s’est agrandi, cornemuse en tête, mêlant les générations, veilleurs et bonnets rouges réunis, et les enceintes crachant une musique entraînante.

    Nous arrivons enfin au Passage, cette immense cathédrale de verre qui fait si bien raisonner nos chants. De 21h à Minuit vont se dérouler diverses interventions sur le thème « économie et dignité ». La soirée commence avec un magnifique discours condamnant la prostitution qui atteint la dignité de la femme, en louant son corps. Oui, très bien, sauf que le discours était celui de Madame Najat Vallaud Belkacem, qui, paradoxalement, prône la PMA et la GPA ! Cherchez l’erreur…

    La soirée est ponctuée de chants, interprétés par la chorale des Veilleurs. Bravo à ceux-ci d’ailleurs, très bon travail ! On avait pu admirer déjà leur prestation, il n’y a pas si longtemps, devant la Mutualité….(ceux qui étaient présents s’en souviendront sûrement : encore une soirée mémorable pour nous et honteuse pour le gouvernement…)

    Lire la suite....

  • Quotient familial : les mensonges de Najat Vallaud Belkacem

    Familles de France s'insurge :

    "Familles de France est stupéfait de la manipulation fallacieuse effectuée par Madame la ministre des Droits des femmes, Najat Vallaud-Belkacem,  au sujet du quotient conjugal*, dixit : « celui-ci défavoriserait les femmes au profit des hommes ».

    Cette contre-vérité est malhonnête et totalement éhontée. Elle a pour but de masquer la récupération d’une vingtaine de milliards sur le dos des familles.

    Contre-vérité car le quotient conjugal :

    • illustre la solidarité financière entre les partenaires du couple et n’est pas un marqueur d’inégalités entre hommes et femmes,
    • s’appuie sur un principe républicain, inscrit dans la Constitution,
    • est une juste répartition de l’impôt pour les foyers en charge d’enfant(s). « A niveau de vie égal, taux d’imposition égal » comme Alfred Sauvy le préconisait.

    Contre-vérité car revenir sur le quotient conjugal c’est :

    • paupériser toutes les familles,
    • envisager une fiscalité individuelle en supprimant le foyer fiscal et donc la famille.

    Contre-vérité car les familles dont un seul parent travaille (par choix ou obligation) vont être lourdement pénalisées.

    Madame la ministre, Familles de France vous rappelle :

    • que les familles sont créancières de la nation,
    • que la famille est le socle de la société, le moteur de l’économie,
    • que les jeunes d’aujourd’hui seront les actifs de demain.

    Le quotient conjugal permet également de compenser la future charge d’enfant(s) et d’aider à la construction du foyer. Sa suppression induira la fin de la politique familiale qui est un investissement dans l’avenir.

    Pour s’attaquer aux inégalités il faut absolument en traiter les causes, particulièrement celles du marché du travail.

    Familles de France reprend le slogan d’un de ses illustres prédécesseurs, le Capitaine Maire, « Ce que Le gouvernement nous refuse, il nous le vole ». S’engager dans une telle réforme serait mettre des millions de familles à la rue – voire dans la rue.

    Familles de France appellele gouvernement à reprendre les principes d’une politique familiale universelle, généreuse et redistributive."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Assimilation, intégration ou société « inclusive » ?

    Le Rapport sur l’intégration
    Commandé par le premier ministre à des « experts » désignés, le Rapport sur l’intégration vient d’être déposé. Les réactions dans l’entourage du premier ministre furent aussi rapides que déçues. Selon le site de marianne.net, sous la plume de Nicolas Domenach le 15 décembre, « c’est pire qu’une erreur, c’est une faute. » Même les plus proches de Jean-Marc Ayrault se montrent, en privé, accablés par la publication sur le site de Matignon « d’un rapport irresponsable » sur l’intégration, sans parler de François Hollande lui-même, « exaspéré et par la forme et par le fond de cette affaire débile ».
    L’UNI de son côté lance immédiatement une pétition contre ledit rapport qui appelle les pouvoirs publics à « assumer la dimension arabe-orientale » de la France, ce qui, par exemple, passe à l’école par la réécriture des programmes scolaires, la valorisation de l’arabe ou l’autorisation du voile islamique.
    Claude Picard a adressé à Polémia un texte qui illustre assez bien les aberrations destructrices du rapport proposant au premier ministre de refonder la politique d’intégration, ce qui amènerait tout droit la France au régime tribal centrafricain.
    Aux lecteurs de le découvrir.
    La société « inclusive » est une nouvelle invention de la Gauche gaucho-bobo. On ne parlera plus d’assimilation ou d’intégration, termes qu’il nous faut définitivement oubliés, mais d’inclusion. C’est en tous cas la conclusion du « rapport pour la refondation de la politique d’intégration » commandé par le gouvernement socialiste. Nos petits révolutionnaires de salon ne chantent-ils pas dans leur vieille rengaine, l’Internationale : « Du passé faisons table rase » ?
    Rouges, roses, verts, même combat. La couleur change mais la sottise demeure. Il est vrai que pour la question des couleurs, ils en connaissent un rayon. Ne nomment-ils pas à l’envi, dans leurs associations communautaristes, « les noirs et les jaunes » ? Ou « les beurs » ? Ou « les musulmans et les juifs » ? Comme si l’origine ethnique, la religion ou la couleur de peau avaient une quelconque importance quand on veut engendrer des Français. Il y a des Français, point ! Ceux qui veulent s’intégrer ou s’assimiler.
    Mais, malheureusement, nos gaucho-bobos, croyant comme toujours à leurs vieilles lunes réformatrices qu’une meilleure intégration se fera en supprimant … l’intégration, veulent une nouvelle société où l’immigré aura les mêmes droits que l’autochtone qui, lui, devra s’adapter aux particularismes, sociaux et culturels, de tout nouvel arrivant. Sinon, attention, il y aura discrimination, voire racisme ! À côté de la culture française, les autres cultures devront être admises sur un même échelon de valeurs ; nos petits français en devenir, d’origines diverses, n’apprendront plus l’histoire de France mais une histoire réadaptée à leurs tempos. Plus question d’héritage collectif, un simple socle commun à minima, suffira. Or pour créer un lien et faire en sorte que ces enfants deviennent des citoyens français, fiers de leur nouvelle nation, il faut d’abord leur apprendre l’histoire de France. A moins de vouloir créer des citoyens n’ayant aucun sens patriotique. Plus de Patrie, plus de Nation, plus de Pays – c’est bien-là semble-t-il tout le sens du projet – où plus rien ne devrait logiquement séparer l’étranger du Français en termes de droits, et où il est spécifié qu’il faut : « Mettre fin à l’assignation sociale par héritage » …  Le  ministre de l’Intérieur, Manuel Valls n’a-t-il pas déjà supprimé le terme d’intégration par décret du 12 juillet 2013 en vue de la réorganisation de la gestion des flux migratoires ? Et le terme de Secrétariat général à l’immigration et à l’intégration a été remplacé par la « Direction des étrangers en France ». Nos internationalistes de tous poils en avaient rêvé …
    Que toutes les cultures puissent être intéressantes c’est incontestable, mais la culture étant l’élément fondateur d’une nation, d’une civilisation, il est dangereux de faire côtoyer en apprentissage plusieurs cultures sur un même territoire. Le multiculturalisme est un leurre car l’histoire est là pour nous le rappeler : à chaque fois qu’un peuple accueilli était suffisant en nombre, il imposait sa culture. Et si, en plus, le pays d’accueil ne protège pas et ne valorise pas sa propre culture, c’est autant de signaux envoyés pour que les derniers arrivants puissent penser qu’ils ont le droit d’exiger l’application, dans tout l’espace public, de leurs coutumes, leurs mœurs, leurs cultures, pour au final provoquer la chute de la Nation. La société inclusive que l’on nous prépare va mettre en place une formidable pétaudière car, en voulant préserver à tous prix toutes les diversités, elle va recréer un modèle de nation tribale comme au temps des Gaulois. Quel progrès !
    La spécificité de la France, contrairement à la tradition des pays anglo-saxon, a toujours été d’être assimilatrice et jusqu’à ce jour personne ne peut s’en plaindre : cela nous a évité bien des tensions communautaires et a plutôt bien marché pour l’intégration républicaine … tant que nous n’avions pas baissé la garde. La diversité peut être enrichissante tant que le pays d’accueil garde sa culture historique, conceptrice de la Nation et si cette culture demeure coutumière et valorisante.
    «  Une culture ne meurt que de sa propre faiblesse » disait André Malraux.
    À bon entendeur, salut !
    Claude PICARD, 15/12/2013
    http://www.polemia.com/assimilation-integration-ou-societe-inclusive/

  • 200 voitures de la Manif pour tous contre la familiphobie à Bordeaux

     

    7

    8

    9

    6

    5http://www.lesalonbeige.blogs.com/