La contestation gronde dans toutes les villes de France.
anti-national - Page 888
-
1000 manifestants ont réclamé la démission d'Hollande à Colmar
-
L’Aube Dorée : 1er parti – par Laurent Glauzy
En novembre 2013, la célèbre émission politique Zougla, une des meilleures audiences du petit écran grec, a révélé des sondages contredisant toutes les estimations de la presse française et européenne. En effet, le parti nationaliste Chrisi Avgi, plus connu sous l’appellation d’Aube Dorée, n’est pas crédité de quelque 10% des intentions de vote. Bien au contraire ! Zougla révèle qu’Aube Dorée serait devenu avec 26,6 % le premier parti grec.
Le parti d’extrême-gauche Syriza, d’Alexis Tsipras, obtiendrait 22 %. La quatrième place serait ravis par les indépendants de droite de Panos Kammenos avec 5,8 %. Cette enquête expose une descente en flèche des partis au gouvernement : avec moins de dix points pour Nea Dimokratia, le parti conservateur du premier ministre Antonis Samaras s’écroulerait à 19,6 % (troisième place).
Les amis de Hollande, à savoir les socialistes du Pasok enregistreraient seulement 5,3 % des votes. Il s’agirait en Grèce du plus mauvais résultat depuis que le parti socialiste a gouverné de manière ininterrompue pendant onze ans jusqu’en 2004. Il est inférieur aux intentions de votes se portant, toujours selon Zougla, sur le parti communiste, le KKE, avec 5,8 %.
Bien entendu ces chiffres sont connus du Congrès Juif Mondial, et nous comprenons d’autant mieux l’arrestation effectuée le 28 septembre 2013 de Nikolaos Michaloliakos, président fondateur d’Aube Dorée et des membres dirigeants du parti nationaliste dans lequel plus d’un quart des Grecs mettraient à présent leurs espoirs. Enfin, dans un pareil contexte, l’assassinat de deux militants d’Aube Dorée perpétré le 1er novembre 2013 avec la plus grande méthode - faisant rôder le spectre d’un retour des « années de plomb » à l’italienne ou d’une guerre civile larvée hantant les Grecs – prend l’aspect d’un acte de professionnels des services spéciaux commandités par une « démocratie » aux abois.
Laurent Glauzy
http://www.contre-info.com/laube-doree-1er-parti-par-laurent-glauzy
-
Mélenchon ne trompe plus personne !
Il a annoncé 100.000 personnes quand la police en a compté 7.000. Mélenchon voulait une grande révolution fiscale hier… il semblerait qu’il ne mobilise plus grand monde et personne ne s’y est trompé.
La presse française est unanime, la manifestation de Mélenchon a été un flop et qu’importe le chiffre. Le Figaro parle d’une révolution fiscale manquée tout en insistant sur le fait que le mouvement des Bonnets Rouges inquiète bien plus l’Elysée. Le Monde s’interroge sur le nombre des participants et y consacre tout un article, tentant d’apporter une réponse à la polémique d’une mise en scène médiatique. Il ne s’attarde même pas sur l’efficacité politique de la manifestation et si elle a été un succès oui ou non. Même son de cloche du côté du Point qui titre son article : « Mélenchon : guerre des chiffres et effet d’optique ». L’Express nous parle aussi de chiffres. Pour le journal belge Le Soir, le « Mélenchon qui fait peur » c’est fini : « Son verbe et sa capacité d’indignation sont salués, mais ils ne portent plus. Le Front de gauche s’étiole, comme l’a montré la manifestation manquée de Paris ce dimanche. Du coup, son patron n’apparaît plus guère que comme un héros romantique. »
-
40 manifestants arrêtés pour avoir hué Taubira
Ce soir, devant le théâtre du Rond-Point des Champs-Elysées. Pour organisation de manifestation non déclarée, ce qui n'est pas un motif suffisant pour embarquer des personnes.
Il y a juste un problème : on n'embarque pas 40 personnes pour savoir qui organise. On ne peut embarquer en GAV que celui ou ceux contre qui il y a "une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner qu'elle a commis ou tenté de commettre un crime ou un délit puni d'une peine d'emprisonnement". Le simple fait d'embarquer 40 personnes, c'est commettre le délit d'atteinte arbitraire à la liberté individuelle de l'article 432-4. Les plaintes vont partir.
-
Appel aux salariés de SFR qui ne veulent rien lâcher
D'un lecteur :Je travaille chez SFR (vous savez, cette entreprise qui est à la pointe du progrès et qui depuis 2012 a ouvert le congé de parentalité aux « couples » de même sexe : manque de respect et poudre eux yeux pour ces personnes), et vous rapporte un fait qui s'est passé au cours du 1er semestre 2013. Un collaborateur SFR a eu la bonne idée de coller quelques logos LMPT (logo seul, sans texte) sur le mur de son bureau (taille de l'autocollant : 10 cm x 5 cm). Nous travaillons en Open Space et plusieurs collaborateurs de ces Open Space n'ont pas vu ces autocollants, c'est dire la discrétion de cet affichage.
Au mois de juillet, ce collaborateur a été convoqué par la RH et a été sommé d'enlever immédiatement ces autocollants au prétexte qu'on n'affiche pas sur le mur de l'entreprise ses idées politiques et encore moins personnelles.Sauf que cette règle ne semble pas s'appliquer à l'association « HomoSFR » qui tous les ans tracte ses autocollants (qui fleurissent ensuite sur les murs de l'entreprise) ou bien y va de sa propagande mortifère par un stand à la sortie de la cantine avec information sur la "bonne parole" et distribution gratuite de préservatifs. Tiens c'est justement aujourd'hui !! Quelle tromperie pour les honnêtes gens.
Il n'y a pas de raison que chez SFR cela se passe différemment que dans le reste du monde, alors ici aussi ONLR ! C'est pourquoi je lance un appel aux collaborateurs SFR qui eux aussi NLR, et les invite à se signaler à l'adresse suivante : onlrsfr@gmail.com
L'idée de ce regroupement est d'abord de se connaitre, et aussi de montrer qu'une autre voix existe que celle du prêt-à-penser-politiquement-correct.
Il n'est envisagé rien d'illégal, rien de répréhensible, un échange entre les ONLR-istes se fera pour étudier nos possibilités d'expression (sentinelles le temps des tractages ? devant le stand HomoSFR ? toutes les idées seront étudiées). -
La politique étrangère fabusienne, comprendre l’accord de Genève sur l’Iran – Par Michel Lhomme
Avec le remplacement de Chirac par Sarkozy puis de Sarkozy par Hollande, la politique internationale française est devenue de plus en plus néo-atlantiste. Par l’élimination quasi complète de ce qui restait des gaullistes (voir le pathétique et solitaire Dupont-Aignan lançant sa campagne européenne devant une croix de Lorraine fissurée à Colombey-les-Deux-Eglises !) et des Républicains nationaux (les chevènementistes du CERES migrant en masse au Fn) la politique étrangère de la France a été modifiée.
Du pays européen le plus indépendant, la France est devenue le pays le plus béni oui-oui aux sirènes des faucons atlantistes. C’est en fait la question principale des Solfériniens qui mériterait à elle-seule une thèse, une analyse fouillée, une généalogie politique détaillée depuis la nomination de Laurent Fabius au gouvernement Mitterrand.
Il y eut sous François Mitterrand une conjonction habilement ficelée entre une « gauche » laïque pour l’essentiel très remontée contre l’Iran pour les raisons habituelles d’anti-religion ( le droit des femmes, des homos, et les prières quotidiennes) et un antifascisme instrumentalisé à une autre échelle par les sempiternels rappels sur l’Holocauste, de sorte qu’aucune opposition sérieuse à cette conception de la politique internationale solférienne n’est venue agiter, se solidifier ou interroger les assises socialistes du militant de base.
Ainsi, tous les ingrédients idéologiques ont, peu à peu, été placés, à gauche comme à droite, pour, à la fois, attaquer la Libye, la Syrie et envisager l’idée terrible d’une attaque nucléaire préventive sur l’Iran c’est-à-dire suivre à la lettre la feuille de route établie depuis les années 80 par les stratèges et les faucons de Tel-Aviv. Cela a été suffisant pour neutraliser une grande partie du gaullisme politique de la droite de gouvernement comme le républicanisme de la « gauche » française anti-américaine. L’idéologie dominante des droits de l’homme (Bernard Kouchner et les french doctors à gauche, Bernard Henri-Lévy et la guerre juste de la droite libérale) a ensuite légitimé le droit d’intervention n’importe où et à tout moment pour des raisons humanistes mais toujours bien ciblées. Cette idéologie solférienne a réussi en grande partie à faire passer à la trappe la question secondaire du droit international et des négociations de paix.
Il y a peut-être derrière une telle attitude la crainte d’un antisémitisme français. Une telle phobie n’a jamais été celui de l’antisémitisme d’une extrême-droite réduite à de vagues groupuscules divisés, plutôt paranoïaques et bien surveillés mais la crainte du développement d’un antisémitisme français musulman, islamique, de banlieue. En fait, l’alliance avec les Saoud et les Qataris permettaient de calmer les banlieues, de marginaliser le chiisme français en construisant des mosquées sunnites sous contrôle. C’est pour cela que la classe politique française n’a pu s’opposer, comme elle aurait dû le faire, à la construction excessive des mosquées ou à l’argent déversé par les Saoudiens et les Qataris dans les quartiers difficiles. Anesthésiée mais surtout indifférente aux questions internationales la population ne s’est pas inquiétée plus que cela. Elle y a vu l’effet du « grand remplacement » or c’était beaucoup plus. Il y avait bien derrière les emprunts financiers aux pays du Golfe et les constructions de mosquée payées par l’Arabie saoudite, une tactique diplomatique occultée.
L’histoire va toujours trop vite et les Français n’ont peut-être pas suivi totalement le déroulement du film. Les Anglo-saxons sont acculés par la faiblesse monétaire des Etats-Unis mais aussi par le nouveau pivot stratégique dans le Pacifique, à lâcher, à plus ou moins long terme, Israël.
La diplomatie française a accusé le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, d’être responsable du virage pris par les Etats-Unis concernant l’Iran. Ce dernier souhaitait un accord à tout prix, pour des raisons personnelles et aussi de politique intérieure américaine, c’est en tout cas ce qu’a souligné Laurent Fabius en critiquant ouvertement son confrère américain. Il y a, depuis un an et demi, une nouvelle donne de la politique internationale américaine et Laurent Fabius la connaît très bien. Or, il appartient à une diplomatie française responsable d’en tenir compte et de l’analyser.
Les Américains ne s’attendaient pas à une telle obstruction française dans les négociations de paix avec l’Iran. Laura Rozen, analyste américaine, cite sur son blog une déclaration du directeur politique du Quai d’Orsay, Jacques Audibert, qui aurait assuré les Américains, il y a plusieurs mois, que la France « ne s’opposerait pas à un accord si la possibilité se présentait, malgré la ligne dure des derniers mois ».
Pour qui travaille Fabius ? Pour la diplomatie française ou pour d’autres intérêts ? La question incongrue est d’ailleurs ouvertement posée dans les journaux anglo-saxons dont le Guardian en particulier toujours très indépendant et critique. Laurent Fabius n’a jamais caché qu’il souhaitait la guerre avec l’Iran. L’administration de Fabius est en train de laisser la place de la France vacante dans la recomposition en cours du monde, une France qui sera ainsi demain coupée de la désaméricanisation du monde. Les conséquences désastreuses d’un tel choix politique se feront très vite sentir.
Michel Lhomme
Source : Metamag.
-
François Hollande inquiet des Bonnets Rouges
La jacquerie fiscale fait peur à l'Elysée :
"La fiscalité en général et l'écotaxe en particulier sont en train de devenir pour le gouvernement comme le scotch du capitaine Haddock [image déjà utilisée pour le mariage... NDMJ]. Alors que le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, avait annoncé fin octobre la suspension sine die de cette mesure, votée en 2009 et reportée depuis, l'écotaxe continue de mobiliser contre elle, jusqu'à devenir l'un des symboles de la résistance fiscale. Ces derniers jours, une multiplication de déclarations gouvernementales contradictoires sur le calendrier de cette mesure arlésienne a encore alimenté le malaise et la confusion et dopé la mobilisation des «bonnets rouges» et des routiers, qui ont prévu de poursuivre leurs actions en début de semaine, dans les grandes agglomérations. [...]
«Attention, prévient toutefois un pilier du groupe PS à l'Assemblée. La manifestation des “bonnets rouges” va bien au-delà de la fiscalité. Elle dit l'incertitude d'un territoire pour son développement et son avenir. Il suffit de peu de chose pour qu'un tel mouvement se radicalise, ici ou là.» «Toute la séquence montre qu'il y a un problème général de consentement à l'impôt, résume un ministre de Bercy. On ne peut pas rester sourds devant ceux qui envoient des messages. Notre rôle est d'en tenir compte. La réforme fiscale et les économies à réaliser sont des premières réponses. Mais tant qu'il y a souffrance, il y a un risque (de contagion, NDLR).»"
A Coëtquidan, les élèves officiers de Saint-Cyr ont rejoué Austerlitz en y ajoutant quelques fantaisies...
-
Par dépit, les nouvelles Marianne pissent sur le président ukrainien
Voilà ce qu’est devenue la République sous François Hollande. Bienvenue en France, laboratoire du monde de demain, où toutes les expériences publiques, des plus viles aux plus malsaines, sont possibles et même encouragées au nom de la liberté chérie.
C’est en sachant cela que les Femen, dont la chef de file n’est autre que la nouvelle Marianne qui figure sur vos timbres, se sont donné rendez-vous devant l’ambassade de l’Ukraine à Paris pour manifester leur mécontentement du refus de Viktor Ianoukovitch de signer l’accord d’association avec l’Union Européenne à Vilnius. Après s’être soulagées sur le trottoir et braillé quelques slogans creux, elles sont reparties aussi tranquillement qu’elles étaient venues.
Où était la police ? Aux abonnés absents. Si la France était devenue le pays qui pouvait, sur ordre, refuser son ciel à un chef d’état, laisser uriner sur la photo d’un président devant l’ambassade de son pays, il me semblait pourtant qu’il était interdit de se déculotter et pisser en public sur le trottoir. Mais la République peut-elle arrêter sa Marianne ?
Que veulent ceux qui manœuvrent les Femen ? Punir Ianoukovitch d’avoir refusé l’annexion programmée de son pays par l’Occident, un des rares bastions de l’Europe de l’Est qui reste encore à coloniser. On veut lui faire comprendre que s’il ne veut pas d’une colonisation en douceur (juste une petite signature, ici…), il l’aura par la force. Oh, pas comme la Syrie, la Libye ou le Mali. Non, en Europe on agit de manière plus civilisée et plus subtile, surtout dans un pays où l’expérience d’une révolution colorée avait parfaitement réussi. Il suffit juste de répéter le coup en réveillant les anciens combattants et l’arrière garde, en les dotant d’un bon encadrement.
Et, de fait, depuis l’annonce du gouvernement ukrainien de sa décision de ne pas signer l’accord d’association, la mobilisation avait commencé, savamment entretenue et amplifiée par les médias européens qui sont en fait l’acteur principal sans lequel il ne peut y avoir de révolution. La tactique, toujours la même, consiste à déplacer les problèmes en se focalisant sur la répression policière engendrée par l’infiltration de provocateurs qui savent susciter la réaction des forces de l’ordre. On a vu que, du jour au lendemain, on ne parlait plus du coup de tonnerre provoqué par la volte-face de l’Ukraine, mais uniquement des rapports de force entre l’opposition et le pouvoir en place, de futurs élections que l’on voudrait bien anticiper, de la répression contre « des manifestants pacifiques sans défense », bref, tout ce qui peut décrédibiliser et délégitimer un gouvernement qui, il y a à peine quelques jours, travaillait paisiblement sans trop de heurts.
Telle est l’Europe actuelle. A l’instar de son maître, les Etats-Unis, elle ne supporte pas qu’on lui dise non. Tout refus, toute résistance est considérée comme une agression qui appelle des représailles. Même la Mafia serait plus conciliante. La France se trouve en bonne place dans cette Europe de plus en plus hystérique, déshumanisée, qui regarde le monde à travers ses livres de compte, ses courbes et ses plans, avec son armée de dégénérés, qui avec des kalachnikovs et des Allah Akbar plein la bouche, qui avec les seins à l’air criant, piaillant ou pissant dans des lieux de culte ou dans la rue, ou d’autres encore agitant des drapeaux aux quatre coins du monde pour déstabiliser des gouvernements ayant osé contrarier ses desseins. La France, toujours à l’avant-garde, veut faire plus que les autres. Elle reçoit les dégénérés dans ses palais, les décore pour les hisser au panthéon de ses héros et, pour encore mieux les légitimer les identifient aux emblèmes de la nation. Après ça, elle est sûre qu’aucun autre pays ne fera mieux. Une victoire de plus dans l’humanisme et le droit-de-l’hommisme français. Cocorico !!!
Avic
-
France : la démocratie directe interdite
Ce qui vient de se passer en Croatie n'est pas prêt d'arriver en France :
"En Allemagne, le programme de la nouvelle coalition gouvernementale (CDU/CSU et SPD) conduite par Angela Merkel vient d’être présenté officiellement. La mise en place de la démocratie directe au niveau fédéral n’en fait pas partie, alors qu’il s’agissait d’un des thèmes de la campagne électorale et que la CSU et le SPD y étaient favorables, comme 84% de la population allemande, d’après le dernier sondage Emnid traitant de cette question. La chancelière fraîchement réélue a simplement dit non. Contre l’avis largement majoritaire du peuple, mais également contre l’avis largement majoritaire de la base de son propre parti.
Au même moment les institutions françaises valident dans un silence assourdissant la mise en place du référendum d’initiative partagée, qui est une parodie grotesque du référendum d’initiative populaire. Tellement grotesque que tous les observateurs s’accordent à dire qu’aucun référendum d’initiative partagée (l’initiative populaire étant partagée avec le parlement) ne verra jamais le jour dans la forme actuelle de la loi.
En mars 2011, un sondage de l’Ifop révélait que 72% des Français étaient favorables (et seulement 12% contre) à la mise en place du référendum d’initiative populaire en France.
Dans les deux cas, en France comme en Allemagne, les dirigeants élus ont refusé à leurs électeurs le droit à la démocratie directe. [...]"
-
Diversion "antiraciste" : le flop des manifs de samedi
Même Libé le reconnaît : des "milliers de manifestants"... dans "TOUTE LA FRANCE" ! PAUVRE TAUBIRA : L’ICÔNE DE LA RÉPUBLIQUE NE FAIT PAS VRAIMENT RECETTE DANS LE PAYS RÉEL.
IL EST TEMPS DE PASSER AUX CHOSES SÉRIEUSES, COMME LE CHÔMAGE, PAR EXEMPLE !
Libé : Contre le racisme, « il faut savoir dire stop » [ET ARRÊTER L’IMPOSTURE ! (NDLR)]
Paris : un défilé étique... Marseille, ce fut encore pire !
" Plusieurs marches se sont tenues ce samedi en réaction aux attaques contre la garde des Sceaux, Christiane Taubira. Mais l’affluence est restée limitée.
Des milliers de personnes ont défilé samedi contre le racisme, lors de manifestations organisées dans toute la France par le monde associatif et syndical, en réaction aux attaques contre la garde des Sceaux Christiane Taubira.
Le principal cortège a relié dans l’après-midi à Paris la place de la République à Bastille avec, selon les organisateurs, 25 000 participants derrière la banderole « Ensemble contre le racisme », soit bien plus que le décompte de 3 900 personnes que donne la police.
« Il était temps de réinvestir la rue pour porter un discours fort, solidaire, collectif », a déclaré la présidente de SOS Racisme, Cindy Leoni, en tête de la marche avec les autres organisateurs (Ligue des droits de l’Homme, Ligue contre le racisme et l’antisémitisme et Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples). « La marche d’aujourd’hui doit être un point de départ » avant « d’autres formes de mobilisation ». [...] "
La suite sur Libé
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Diversion-antiraciste-le-flop-des
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby 0 commentaire