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avortement et euthanasie - Page 24

  • Pendant le confinement, la culture de mort continue

    Pendant le confinement, la culture de mort continue

    Un arrêté du ministre des Solidarités et de la “Santé”, paru ce matin au Journal officiel, prévoit d’allonger le délai pour l’absorption de pesticides humains – pardon l’IVG médicamenteuse en novlangue – jusqu’à la septième semaine de grossesse. Le “en même temps” macronien a d’étranges “vertus” : nous faisons mine de nous battre pour sauver le plus possible de vies et les autorités “sanitaires” ne semblent préoccupées que de faire face à la “baisse inquiétante” du nombre d’avortements. Toute la population du pays est confinée (enfin, “toute”, pas vraiment: les Français de papier n’ont pas l’air très dérangés par les mesures gouvernementales…), mais les autorités encouragent à la promiscuité sexuelle. Dans notre “bel aujourd’hui”, nous savons que nous sommes dans un pays développé et pacifié uniquement parce que, malgré le confinement, nous avons “réussi” à maintenir à 220 000 le nombre de bébés avortés annuellement en France. Etrange époque vraiment !

    https://www.lesalonbeige.fr/pendant-le-confinement-la-culture-de-mort-continue/

  • Le Docteur Levantino explique pourquoi il a arrêté de réaliser des avortements

    Un lecteur a pris le temps de sous-titrer le témoignage, datant de 2015, très poignant d’un ancien médecin américain qui pratiquait des avortements et s’en est repenti.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-docteur-levantino-explique-pourquoi-il-a-arrete-de-realiser-des-avortements/

  • Le temps des assassins

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    Comme les demandes d’accès à l’avortement ont baissé partout en France depuis le début du confinement, la Haute autorité de santé vient d’autoriser l’accès à l’avortement médicamenteuse à domicile jusqu’à neuf semaines, au lieu de 7.

    Comme le dit Eric Zemmour, c’est paradoxal, malsain et pervers. Cette pandémie nous ramène au fondement de la médecine : sauver la vie.

  • IVG et néo-féminisme, par Aristide Renou.

    Il y a quelques jours, Olivier Véran a évoqué une « réduction inquiétante du recours à l’IVG » à cause de l’épidémie de coronavirus. Il répondait, lors des questions au gouvernement, à l’interpellation de la passionaria de l’avortement, la sénatrice Laurence Rossignol, qui le sommait de faire quelque chose pour inverser cette tendance.

    Rappelons qu’il existe en France deux types d’avortement. L’avortement dit thérapeutique, pratiqué en cas de péril grave pour la santé de la mère, qui peut être réalisé à tout moment de la grossesse. Et l’avortement à finalité « sociale », qui peut être réalisé pendant les douze premières semaines de la grossesse. C’est évidemment ce second type d’avortement qu’Olivier Véran et Laurence « Torquemada » Rossignol avaient à l’esprit.

    Nous avons ainsi eu le spectacle intéressant d’un ministre de la santé s’inquiétant publiquement, non pas des morts causées par le coronavirus, mais des vies qui pourraient être sauvées par lui.

    Que des enfants puissent naitre au lieu d’être tués in utero, voilà qui lui paraissait tout à fait inadmissible, alors que le fait que les personnes âgées décèdent en masse dans la plus totale solitude, privées de toute visite de leurs proches dans des EPHAD transformés en bunker, eh bien, c’est comme ça, que voulez-vous, on n’y peut rien, l’épidémie, vous comprenez ?

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  • Soins palliatifs et analgésiques

    Soins palliatifs et analgésiques

    Un lecteur médecin apporte les précisions suivante sur le décret relatif à l’utilisation du Rivotril pendant la crise du coronavirus. Ce qui semble corroborer l’idée que nous évoquions voici quelques jours selon laquelle cette autorisation est d’abord l’expression d’une pénurie inquiétante de médicaments et peut, selon l’intention du médecin, servir soit à des volontés euthanasiques, soit à adoucir la douleur du patient hors de toute volonté de mort.

    Médecin travaillant dans un centre de lutte contre le cancer, j’utilise régulièrement du midazolam dans le cadre de sédations terminales, depuis une demi-décennie. La sédation terminale consiste à administrer un produit sédatif à un patient en fin de vie. Les différentes recommandations la concernant sont disponibles sur le site de la SFAP (Société Française d’Accompagnement et de soins Palliatifs, ici).

    L’idée de faciliter le passage de la vie à la mort n’est pas récente. Déjà au Moyen Âge, les blessés graves qui souffraient, et pour lesquels aucune prise en charge autre n’était possible, étaient achevés au moyen d’une dague particulière, appelée la miséricorde. Aux moralistes de dire si la pratique est (était ?) admissible.

    Théorie et législation

    En France, la loi la plus récente sur la sédation terminale remonte à février 2016, et s’inspire directement des recommandations de la SFAP. Elle déclare que « toute personne a droit à une fin de vie digne et accompagnée du meilleur apaisement possible de la souffrance. La loi reconnaît ainsi le droit du patient à une sédation profonde et continue jusqu’au décès, associé à une analgésie. L’objectif est de soulager une personne malade qui présente une situation de souffrance vécue comme insupportable alors que le décès est imminent et inévitable ».  (LIEN).

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  • France : des vieux condamnés à mort (video)

    Dans la France de 2020 sous Macron, on décide de laisser mourir nos anciens parce que les mesures n’ont pas été prises pour les soigner et faire face au coronavirus. Il y a des hécatombes dans les EPHAD.

    Dans ce reportage, on voit un homme de 79 ans atteint du coronavirus, qui parle et est parfaitement lucide : il ne le sait pas encore mais il va mourir. La décision a été prise d’arrêter ses soins en réanimation et de ne pas l’intuber, faute de place.

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  • «Une réduction inquiétante du recours à l’IVG » !

    «Une réduction inquiétante du recours à l’IVG » !

    Suite à une question du sénateur PS Laurence Rossignol, qui milite pour étendre l’avortement en ce temps de pandémie, le ministre de la “santé” Olivier Véran a répondu :

    Sans avoir attendu la parution de la tribune à laquelle vous faites référence, et à la suite de votre première interpellation, j’avais saisi mes services. Les remontées du terrain attestent effectivement que le recours à l’IVG est en baisse, ce qui est à la fois inquiétant et fort bien relaté dans la tribune en question.

    On ne voit pas en quoi la baisse du nombre d’avortements serait inquiétant. Il y a actuellement environ 220 000 avortements chaque année en France. Faut-il faire avorter les mères de force ? C’est bien souvent ce qui se passe, hélas.

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  • Ils sont ignobles [Addendum]

    Ils sont ignobles [Addendum]

    Le sénateur Laurence Rossignol a déposé un amendement au Projet de loi Urgence covid-19, profitant de la crise sanitaire pour tenter de faire passer de nouvelles transgressions éthiques, sans aucun scrupule :

    Par dérogation aux articles L. 2212-1 et L. 2212-7 du code de la santé publique, jusqu’au 31 juillet 2020, l’interruption de grossesse peut être pratiquée jusqu’à la fin de la quatorzième semaine de grossesse.

    Elle explique :

    Déjà, des services d’orthogénie constatent que les restrictions de circulation à l’intérieur et à l’extérieur du territoire français combinés aux bouleversements de l’activité hospitalière fragilisent les conditions d’accès à l’IVG et renforcent les inégalités territoriales.

    Le CNGOF a adressé le 17 mars à ses membres des recommandations pour assurer la continuité tout en limitant leur durée et leur complexité de la prise en charge et pour accueillir « les patientes possible COVID-19 ».

    À la demande de plusieurs professionnels de santé, par anticipation des risques d’impossibilité d’assurer les IVG dans les délais légaux, cet amendement vise à permettre au Gouvernement d’allonger de deux semaines les délais légaux et de supprimer l’exigence d’une deuxième consultation pour les mineures.

    Addendum 20/03 : son amendement a été rejeté.

    https://www.lesalonbeige.fr/ils-sont-ignobles/

  • “Se relever après un avortement”

    “Se relever après un avortement”

    Comme beaucoup de ses confrères, l’auteur a rencontré des femmes ayant connu un avortement dans leur vie et, fort de cette expérience, il veut offrir une réflexion chrétienne ainsi que les témoignages de sept femmes qui se sont relevées grâce à leur rencontre avec le Christ Jésus. L’avortement est une épreuve d’autant plus douloureuse qu’elle est reconnue aujourd’hui comme un droit mais la femme, face à sa conscience, sait un jour ou l’autre la vérité. Cette épreuve comme le montre l’auteur peut aussi être un chemin pour rencontrer celui qui libère l’homme de ses chaines. Libérer la parole de ces femmes en souffrance (et qui n’ont pas le droit de l’exprimer) est nécessaire, mais cela n’est pas suffisant pour l’auteur qui veut exprimer dans ce livre le message d’Espérance de l’évangile pour tant de femmes de France d’aujourd’hui. L’abbé Spriet et sept femmes ayant avorté écrivent un livre pour montrer un chemin d’Espérance.

    https://www.lesalonbeige.fr/se-relever-apres-un-avortement/

  • La loi Veil a déjà tué 15 millions d'enfants !

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    A l'heure du coronavirus, Jacques Bay et Xavier Dor nous parlent des ravages de l'avortement: de 10 à 15 millions de mises à mort non seulement autorisées, mais favorisées et remboursées. Samedi 29 février, quelques "Gilets Jaunes" s'étaient joints à la manifestation mensuelle de SOS Tout-Petits pour réciter le rosaire public devant la maternité Baudelocque à Paris.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/03/10/la-loi-veil-a-deja-tue-15-millions-d-enfants-6218998.html