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avortement et euthanasie - Page 24

  • Se relever après un avortement : c’est possible

    Se relever après un avortement : c’est possible

    L’abbé Laurent Spriet ayant, comme beaucoup de ses confrères, rencontré des femmes ayant connu un avortement dans leur vie, vient de publier un ouvrage intitulé Se relever après un avortement. Il offre un rappel de l’enseignement de l’Eglise, une réflexion chrétienne ainsi que les témoignages de sept femmes qui se sont relevées grâce à leur rencontre avec le Christ Jésus. L’avortement est une épreuve d’autant plus douloureuse qu’elle est reconnue aujourd’hui comme un droit mais la femme, face à sa conscience, sait un jour ou l’autre la vérité. Cette épreuve peut aussi être un chemin pour rencontrer celui qui libère l’homme de ses chaines. Libérer la parole de ces femmes en souffrance (et qui n’ont pas le droit de l’exprimer) est nécessaire, mais cela n’est pas suffisant pour l’auteur qui veut exprimer dans ce livre le message d’espérance de l’évangile pour tant de femmes de France d’aujourd’hui. L’abbé Spriet a accepté de répondre à nos questions :

    Vous publiez des témoignages de femmes blessées par leur avortement. Avez-vous rencontré des femmes qui n’ont absolument aucun regret d’avoir avorté ? 

    Il existe des femmes qui disent qu’elles n’ont aucun regret de leur avortement. J’ai déjà été en contact avec quelques unes d’entre elles. Cependant, après un avortement, de façon générale : soit les femmes se taisent et souffrent en silence, soit elles expriment très vite leur mal-être et leur souffrance. La plupart exprime leur besoin d’en parler. Mais à qui ?

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  • Confinement pour covid 19 : pas d'inquiétude, l'avortement est toujours aussi facile !

    913647494.3.jpgUn communiqué du MNR :

    Un décret publié au Journal Officiel le 15 avril 2020 stipule que : « Eu égard à la situation sanitaire (…), les interruptions volontaires de grossesse pratiquées par voie médicamenteuse par un médecin ou une sage-femme peuvent être réalisées jusqu'à la fin de la septième semaine de grossesse (ou neuf semaines d'aménorrhée, date des dernières règles).» Ce décret fait suite à l'avis de la Haute Autorité de Santé, saisie en urgence par Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé. Ainsi, le délai pour l'IVG médicamenteuse en ville est allongé de deux semaines.

    Faut-il donc que nos autorités (y compris celle de la santé) soient obsédées par l'idée de tuer des embryons (présentée comme un « droit fondamental » des femmes), pour prendre une telle décision !

    Réaffirmons que l'avortement ne peut être, au mieux, qu'un pis-aller face à une situation de détresse (Simone Veil l'avait d'ailleurs précisé en 1975, mais ses « successeurs » l'ont bien oublié).

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  • Coronavirus : de l’euthanasie déguisée avec l’utilisation du Rivotril

    Un entretien intéressant.

    « Le Rivotril™ a été « invité » dans le protocole de « soins » liés au coronavirus…

    Docteur, vous avez constaté qu’à la faveur du décret du 27 mars 2020, un changement de taille était apparu sur le Vidal ?

    Dr Joëlle de Monredon : Oui, un changement pour élargissement de l’autorisation de mise sur le marché du Rivotril™.

    Qu’est-ce que le Rivotril™ et dans quel cas était-il prescrit jusqu’à présent ? Et sous quelle forme ?

    Le Rivotril™ est une benzodiazépine utilisée dans le traitement de l’épilepsie, soit à faible dose en traitement continu, soit à forte dose lors de crises épileptiques violente ou à faibles doses : gouttes buvables. Les fortes doses sont en perfusion.

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  • Le gouvernement majore une mise en danger réelle des femmes

    Le gouvernement majore une mise en danger réelle des femmes

    Communiqué de Choisir la Vie :

    En période de confinement liée à l’épidémie de Covid-19, le gouvernement vient d’autoriser l’IVG médicamenteuse à domicile jusqu’à la neuvième semaine de grossesse. Rappelons qu’à ce stade, le bébé mesure environ 5 cm et pèse 30 g !

    Précisons aussi qu’au début du confinement, le gouvernement n’a pas tardé à faire pression sur les professionnels de santé pour qu’ils répondent sans limite aux demandes des femmes concernées. Ainsi, un médecin ou une sage-femme souhaitant limiter ses consultations pour prévenir la propagation du virus ne pourra pas refuser de voir une femme enceinte de huit ou neuf semaines sans risque de représailles ; le principe de précaution lié au coronavirus n’étant pas, dans ce cas, une priorité…

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  • Les députés polonais débattent d’une proposition de loi renforçant l’interdiction de l’avortement

    Les députés polonais débattent d’une proposition de loi renforçant l’interdiction de l’avortement

    Cette proposition de loi interdisant l’avortement en cas de « malformation du fœtus », est la conséquence d’une initiative citoyenne qui avait été signée par 830.000 personnes fin 2017. Or le Parlement doit prendre position si une initiative citoyenne récolte plus de 100.000 signatures. D’atermoiements en procédures parlementaires, on arrivait à la date butoir : le Parlement devait se saisir de la question avant le mois de mai.

    Un récent sondage a montré que les Polonais n’avaient pas changé d’avis : 75% pensent que l’avortement n’est jamais justifié, contre… 7%.

    Et le président Andrzej Duda a déclaré :

    « Je crois que tuer des enfants handicapés est tout simplement un meurtre. Si un projet qui va contre cela se retrouve sur mon bureau, certainement je le signerai. »

    https://www.lesalonbeige.fr/les-deputes-polonais-debattent-dune-proposition-de-loi-renforcant-linterdiction-de-lavortement/

  • Pendant le confinement, la culture de mort continue

    Pendant le confinement, la culture de mort continue

    Un arrêté du ministre des Solidarités et de la “Santé”, paru ce matin au Journal officiel, prévoit d’allonger le délai pour l’absorption de pesticides humains – pardon l’IVG médicamenteuse en novlangue – jusqu’à la septième semaine de grossesse. Le “en même temps” macronien a d’étranges “vertus” : nous faisons mine de nous battre pour sauver le plus possible de vies et les autorités “sanitaires” ne semblent préoccupées que de faire face à la “baisse inquiétante” du nombre d’avortements. Toute la population du pays est confinée (enfin, “toute”, pas vraiment: les Français de papier n’ont pas l’air très dérangés par les mesures gouvernementales…), mais les autorités encouragent à la promiscuité sexuelle. Dans notre “bel aujourd’hui”, nous savons que nous sommes dans un pays développé et pacifié uniquement parce que, malgré le confinement, nous avons “réussi” à maintenir à 220 000 le nombre de bébés avortés annuellement en France. Etrange époque vraiment !

    https://www.lesalonbeige.fr/pendant-le-confinement-la-culture-de-mort-continue/

  • Le Docteur Levantino explique pourquoi il a arrêté de réaliser des avortements

    Un lecteur a pris le temps de sous-titrer le témoignage, datant de 2015, très poignant d’un ancien médecin américain qui pratiquait des avortements et s’en est repenti.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-docteur-levantino-explique-pourquoi-il-a-arrete-de-realiser-des-avortements/

  • Le temps des assassins

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    Comme les demandes d’accès à l’avortement ont baissé partout en France depuis le début du confinement, la Haute autorité de santé vient d’autoriser l’accès à l’avortement médicamenteuse à domicile jusqu’à neuf semaines, au lieu de 7.

    Comme le dit Eric Zemmour, c’est paradoxal, malsain et pervers. Cette pandémie nous ramène au fondement de la médecine : sauver la vie.

  • IVG et néo-féminisme, par Aristide Renou.

    Il y a quelques jours, Olivier Véran a évoqué une « réduction inquiétante du recours à l’IVG » à cause de l’épidémie de coronavirus. Il répondait, lors des questions au gouvernement, à l’interpellation de la passionaria de l’avortement, la sénatrice Laurence Rossignol, qui le sommait de faire quelque chose pour inverser cette tendance.

    Rappelons qu’il existe en France deux types d’avortement. L’avortement dit thérapeutique, pratiqué en cas de péril grave pour la santé de la mère, qui peut être réalisé à tout moment de la grossesse. Et l’avortement à finalité « sociale », qui peut être réalisé pendant les douze premières semaines de la grossesse. C’est évidemment ce second type d’avortement qu’Olivier Véran et Laurence « Torquemada » Rossignol avaient à l’esprit.

    Nous avons ainsi eu le spectacle intéressant d’un ministre de la santé s’inquiétant publiquement, non pas des morts causées par le coronavirus, mais des vies qui pourraient être sauvées par lui.

    Que des enfants puissent naitre au lieu d’être tués in utero, voilà qui lui paraissait tout à fait inadmissible, alors que le fait que les personnes âgées décèdent en masse dans la plus totale solitude, privées de toute visite de leurs proches dans des EPHAD transformés en bunker, eh bien, c’est comme ça, que voulez-vous, on n’y peut rien, l’épidémie, vous comprenez ?

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