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avortement et euthanasie - Page 24

  • CULTURE DE MORT : AVORTEMENT Le Monde de demain : c’est encore plus d’avortements selon le HCE

    Le Monde de demain : c’est encore plus d’avortements selon le HCE

    Le Haut Conseil à l’Egalité entre les femmes et les hommes publie, chaque semaine, depuis la fin du mois d’avril, des analyses et des propositions pour dénoncer des atteintes à l’égalité entre les femmes et les hommes et pour recommander des pistes d’action aux pouvoirs publics. Première vigilance, je vous le donne en mille : l’avortement, alors que la France compte plus de 220 000 avortements chaque année. Le sang appelle le sang…

    Le HCE constate la pénurie de médecins pratiquant l’avortement. Durant le confinement,

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  • La peine de mort n’existe plus, sauf pour les innocents

    La peine de mort n’existe plus, sauf pour les innocents

    30 millions d’amis serait-il en réalité un faux nez du Salon beige ? Ah non, c’est vrai, c’est pour les chiens et les chats, pas pour les humains !

    Campagne de publicité diffusée actuellement dans la presse

    https://www.lesalonbeige.fr/la-peine-de-mort-nexiste-plus-sauf-pour-les-innocents/

  • « Pour ne pas engorger les services de réa il fallait tuer les vieux dans les EHPAD au rivotril »

     « Sous prétexte de ne pas engorger les services de réanimation il fallait tuer les vieux directement dans les EHPAD au rivotril »

    http://by-jipp.blogspot.com/2020/05/pour-ne-pas-engorger-les-services-de.html

  • Eugénisme des enfants trisomiques : une mère porte plainte contre le gouvernement britannique

    Eugénisme des enfants trisomiques : une mère porte plainte contre le gouvernement britannique

    Máire Lea-Wilson, mère d’un garçon trisomique, Aidan, âgé de 11 mois, a décidé de saisir la Haute Cour contre le gouvernement du Royaume-Uni parce qu’il permet l’avortement des fœtus « porteurs d’une anomalie fœtale sévère ». Alors qu’elle était à 34 semaines de grossesse, les médecins ont tout fait pour la persuader d’avorter.

    Comme en France où 96% des enfants détectés trisomiques sont éliminés avant leur naissance.

    Máire Lea-Wilson « n’imagine pas de vivre sans » Aidan, ni qu’on puisse penser que la vie d’Aidan ait moins de valeur que celle de son grand frère. Elle demande donc que la loi soit la même pour les uns et les autres.

    Une jeune femme trisomique, Heidi Crowter, s’est jointe à elle, parce qu’il s’agit d’une « véritable discrimination ».

    https://www.lesalonbeige.fr/eugenisme-des-enfants-trisomiques-une-mere-porte-plainte-contre-le-gouvernement-britannique/

  • Ce que les statistiques occultent : l'avortement multiplie les risques de cancer du sein

    À seulement regarder autour de nous, dans notre entourage le plus proche, une véritable hécatombe a depuis une décennie éclairci nos rangs. Barrant en filigrane l'horizon des 55 à 65 ans. Tout ce que ce pays porte d'organismes spécialisés dans la lutte contre le cancer, la puissante corporation pharmaco-médico-chirurgicale, les observatoires, les instituts de veille, les offices de comparaisons statistiques, les laboratoires, les départements ultra-pointus des hôpitaux ultra-modernes, depuis des années clament que le pire est derrière nous et que grâce aux nouvelles techniques, aux nouveaux matériels, aux nouvelles molécules, aux nouvelles recherches, aux nouveaux protocoles, la victoire sur le cancer est à portée de main.

    Pourtant voici une information qui jette quelques doutes. Le 13 décembre 2007, Time révélait les conclusions auxquelles était parvenue une équipe de chercheurs du réputé centre anticancéreux M.D. Anderson de Houston, menée par le Dr Donald Berry, responsable du département des Biostatistiques et des Mathématiques Appliquées. Alors que depuis plus de vingt-cinq ans la chimiothérapie à haute dose suivie, après chirurgie mammaire, par une transplantation de cellules souches destinées â reconstruire le système immunitaire détruit, représentait le nec plus ultra de la cancérologie du sein, ce protocole, erroné, n'aurait offert de rémission à personne. Un symposium international sur le cancer du sein qui se tenait à San Antonio, toujours au Texas, l'aura catégoriquement démontré. Pour le Dr Larry Norton, du Centre anti-cancer Sloan-KetteIing de New York, « ce rapport devrait définitivement refermer la porte sur de tels traitements ». Et tant pis pour les plus de 20 000 femmes ainsi "soignées" qui, rien qu'aux États-Unis, sont finalement mortes empoisonnées par leur chimiothérapie.

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  • Marine Le Pen contre l’allongement du délai pour avoir recours à l’avortement

    Marine Le Pen contre l’allongement du délai pour avoir recours à l’avortement

    Des pro-avortements, emmenés par la sénatrice PS Laurence Rossignol, ont réclamé le 13 mai d’allonger de deux semaines le délai légal pour avoir recours à un avortement.

    Marine Le Pen a été interrogée aujourd’hui dans Le Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI :

    “Êtes-vous prêtes en tant que députée à voter l’allongement de 12 à 14 semaines ?”

    “Vous êtes l’exemple type de ce ce que je dénonce, c’est-à-dire des gens qui se servent de la crise sanitaire pour faire avancer leur agenda politique”.

    “La réalité de l’accès à l’IVG pendant le confinement est que les femmes qui voulaient avorter, ont pu le faire. Je crois que l’on organise cela pour pouvoir obtenir ce que le PS réclame depuis longtemps. Donc évidemment, je m’y opposerai”.

    Le nombre d’avortements effectués pendant la période n’est pas encore connu, mais des gynécologues ont témoigné d’une baisse d’activité ces dernières semaines. Ce qui serait un drame selon les partisans du dépeçage d’enfants à naître.

    Le Conseil d’État devrait se prononcer, lundi 18 ou mardi 19 mai, sur l’assouplissement des conditions de l’avortement médicamenteux, contesté par plusieurs associations, dont Alliance Vita, suite à allongement, depuis le 14 avril, du recours à l’IVG médicamenteuse à domicile jusqu’à sept semaines de grossesse, au lieu de cinq semaines.

  • Le confinement permettra-t-il de relancer la natalité ?

    Le confinement permettra-t-il de relancer la natalité ?

    Malgré les appels gouvernementaux s’alarmant de “la baisse inquiétante des IVG”, Gregory Roose note dans Valeurs Actuelles :

    La période de confinement imposée aux Français semble avoir été profitable au renouvellement des générations. Depuis début mars, les ventes de préservatifs ont diminué de 27 % et l’achat de tests de grossesse a explosé, atteignant +40 % ces dernières semaines, ce qui devrait avoir pour conséquence un pic de naissance en 2021. Mais ce qui est annoncé dans la presse comme un prochain « baby-boom » ne devrait être, au mieux, qu’une légère excroissance sur la courbe déclinante de la natalité française, compensée depuis les années 1960 par des vagues successives de migrations de peuplement et par la forte fécondité des populations d’origine immigrée. Pourtant, sans sursaut démographique, la population française est inexorablement appelée à décliner.

    Avant l’immigration de masse, l’individualisme est la première cause du déclin de la population française

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  • En France, vous pouvez avorter mais pas assister à la messe

    En France, vous pouvez avorter mais pas assister à la messe

    Communiqué de Laissez-les-vivre SOS-Futures-Mères :

    « Nous sommes en guerre. »

    Contre le virus bien sûr, mais aussi et peut-être surtout contre le système…

    Nous sommes en guerre contre le virus. Cela, tout le monde le sait. En guerre contre le virus, qui ne pourrait pas à ce jour en être au courant ? Les longues listes de nombre de morts, de nombre de patients en réanimation, de nombre de personnes guéries, sont froidement égrainées tous les soirs par le sinistre directeur de la Santé Jérôme Salomon : telles que l’étaient les listes des noms de soldats morts pour la patrie par les maires des villages au lendemain de la Première Guerre mondiale, mais, à l’époque, c’était avec respect et reconnaissance.

    Il est nécessaire de respecter les fameux gestes barrière : cela semble relever du civisme élémentaire, même si, de ci de là, s’élèvent des voix qui affirment qu’il ne s’agirait là que d’une expérience d’ingénierie sociale qui aurait pour but de tester la capacité de résilience de toute une population. De toute façon, il semble qu’un minimum de charité chrétienne soit en jeu : éviter de contaminer les plus fragiles et les plus âgés. L’exceptionnelle et inoubliable figure du Docteur Dor, fauché en pleine santé par la maladie, en fournit un exemple émouvant.

    Mais pour quelles raisons sommes-nous tant en guerre contre le système ? 

    Tout d’abord, il nous cache qu’il agit en faveur de la culture de mort.

    Le scandaleux allongement du délai pendant lequel l’avortement chimique est permis en fournit un exemple éclatant : ledit délai est passé de six à neuf semaines, presque en catimini, et ce, par la circulaire du 21 mars, allongeant de trois semaines le délai de l’avortement chimique pendant le temps du confinement. 

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  • Se relever après un avortement : c’est possible

    Se relever après un avortement : c’est possible

    L’abbé Laurent Spriet ayant, comme beaucoup de ses confrères, rencontré des femmes ayant connu un avortement dans leur vie, vient de publier un ouvrage intitulé Se relever après un avortement. Il offre un rappel de l’enseignement de l’Eglise, une réflexion chrétienne ainsi que les témoignages de sept femmes qui se sont relevées grâce à leur rencontre avec le Christ Jésus. L’avortement est une épreuve d’autant plus douloureuse qu’elle est reconnue aujourd’hui comme un droit mais la femme, face à sa conscience, sait un jour ou l’autre la vérité. Cette épreuve peut aussi être un chemin pour rencontrer celui qui libère l’homme de ses chaines. Libérer la parole de ces femmes en souffrance (et qui n’ont pas le droit de l’exprimer) est nécessaire, mais cela n’est pas suffisant pour l’auteur qui veut exprimer dans ce livre le message d’espérance de l’évangile pour tant de femmes de France d’aujourd’hui. L’abbé Spriet a accepté de répondre à nos questions :

    Vous publiez des témoignages de femmes blessées par leur avortement. Avez-vous rencontré des femmes qui n’ont absolument aucun regret d’avoir avorté ? 

    Il existe des femmes qui disent qu’elles n’ont aucun regret de leur avortement. J’ai déjà été en contact avec quelques unes d’entre elles. Cependant, après un avortement, de façon générale : soit les femmes se taisent et souffrent en silence, soit elles expriment très vite leur mal-être et leur souffrance. La plupart exprime leur besoin d’en parler. Mais à qui ?

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  • Confinement pour covid 19 : pas d'inquiétude, l'avortement est toujours aussi facile !

    913647494.3.jpgUn communiqué du MNR :

    Un décret publié au Journal Officiel le 15 avril 2020 stipule que : « Eu égard à la situation sanitaire (…), les interruptions volontaires de grossesse pratiquées par voie médicamenteuse par un médecin ou une sage-femme peuvent être réalisées jusqu'à la fin de la septième semaine de grossesse (ou neuf semaines d'aménorrhée, date des dernières règles).» Ce décret fait suite à l'avis de la Haute Autorité de Santé, saisie en urgence par Olivier Véran, ministre des Solidarités et de la Santé. Ainsi, le délai pour l'IVG médicamenteuse en ville est allongé de deux semaines.

    Faut-il donc que nos autorités (y compris celle de la santé) soient obsédées par l'idée de tuer des embryons (présentée comme un « droit fondamental » des femmes), pour prendre une telle décision !

    Réaffirmons que l'avortement ne peut être, au mieux, qu'un pis-aller face à une situation de détresse (Simone Veil l'avait d'ailleurs précisé en 1975, mais ses « successeurs » l'ont bien oublié).

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