avortement et euthanasie - Page 25
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L'avortement et le confinement (Hommage au docteur Xavier Dor)
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Coronavirus : de l’euthanasie déguisée avec l’utilisation du Rivotril
Un entretien intéressant.
« Le Rivotril™ a été « invité » dans le protocole de « soins » liés au coronavirus…
Docteur, vous avez constaté qu’à la faveur du décret du 27 mars 2020, un changement de taille était apparu sur le Vidal ?
Dr Joëlle de Monredon : Oui, un changement pour élargissement de l’autorisation de mise sur le marché du Rivotril™.
Qu’est-ce que le Rivotril™ et dans quel cas était-il prescrit jusqu’à présent ? Et sous quelle forme ?
Le Rivotril™ est une benzodiazépine utilisée dans le traitement de l’épilepsie, soit à faible dose en traitement continu, soit à forte dose lors de crises épileptiques violente ou à faibles doses : gouttes buvables. Les fortes doses sont en perfusion.
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Le gouvernement majore une mise en danger réelle des femmes
Communiqué de Choisir la Vie :
En période de confinement liée à l’épidémie de Covid-19, le gouvernement vient d’autoriser l’IVG médicamenteuse à domicile jusqu’à la neuvième semaine de grossesse. Rappelons qu’à ce stade, le bébé mesure environ 5 cm et pèse 30 g !
Précisons aussi qu’au début du confinement, le gouvernement n’a pas tardé à faire pression sur les professionnels de santé pour qu’ils répondent sans limite aux demandes des femmes concernées. Ainsi, un médecin ou une sage-femme souhaitant limiter ses consultations pour prévenir la propagation du virus ne pourra pas refuser de voir une femme enceinte de huit ou neuf semaines sans risque de représailles ; le principe de précaution lié au coronavirus n’étant pas, dans ce cas, une priorité…
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Les députés polonais débattent d’une proposition de loi renforçant l’interdiction de l’avortement
Cette proposition de loi interdisant l’avortement en cas de « malformation du fœtus », est la conséquence d’une initiative citoyenne qui avait été signée par 830.000 personnes fin 2017. Or le Parlement doit prendre position si une initiative citoyenne récolte plus de 100.000 signatures. D’atermoiements en procédures parlementaires, on arrivait à la date butoir : le Parlement devait se saisir de la question avant le mois de mai.
Un récent sondage a montré que les Polonais n’avaient pas changé d’avis : 75% pensent que l’avortement n’est jamais justifié, contre… 7%.
Et le président Andrzej Duda a déclaré :
« Je crois que tuer des enfants handicapés est tout simplement un meurtre. Si un projet qui va contre cela se retrouve sur mon bureau, certainement je le signerai. »
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Pendant le confinement, la culture de mort continue
Un arrêté du ministre des Solidarités et de la “Santé”, paru ce matin au Journal officiel, prévoit d’allonger le délai pour l’absorption de pesticides humains – pardon l’IVG médicamenteuse en novlangue – jusqu’à la septième semaine de grossesse. Le “en même temps” macronien a d’étranges “vertus” : nous faisons mine de nous battre pour sauver le plus possible de vies et les autorités “sanitaires” ne semblent préoccupées que de faire face à la “baisse inquiétante” du nombre d’avortements. Toute la population du pays est confinée (enfin, “toute”, pas vraiment: les Français de papier n’ont pas l’air très dérangés par les mesures gouvernementales…), mais les autorités encouragent à la promiscuité sexuelle. Dans notre “bel aujourd’hui”, nous savons que nous sommes dans un pays développé et pacifié uniquement parce que, malgré le confinement, nous avons “réussi” à maintenir à 220 000 le nombre de bébés avortés annuellement en France. Etrange époque vraiment !
https://www.lesalonbeige.fr/pendant-le-confinement-la-culture-de-mort-continue/
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Le Docteur Levantino explique pourquoi il a arrêté de réaliser des avortements
Un lecteur a pris le temps de sous-titrer le témoignage, datant de 2015, très poignant d’un ancien médecin américain qui pratiquait des avortements et s’en est repenti.
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Le temps des assassins
Comme les demandes d’accès à l’avortement ont baissé partout en France depuis le début du confinement, la Haute autorité de santé vient d’autoriser l’accès à l’avortement médicamenteuse à domicile jusqu’à neuf semaines, au lieu de 7.
Comme le dit Eric Zemmour, c’est paradoxal, malsain et pervers. Cette pandémie nous ramène au fondement de la médecine : sauver la vie.
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IVG et néo-féminisme, par Aristide Renou.
Il y a quelques jours, Olivier Véran a évoqué une « réduction inquiétante du recours à l’IVG » à cause de l’épidémie de coronavirus. Il répondait, lors des questions au gouvernement, à l’interpellation de la passionaria de l’avortement, la sénatrice Laurence Rossignol, qui le sommait de faire quelque chose pour inverser cette tendance.
Rappelons qu’il existe en France deux types d’avortement. L’avortement dit thérapeutique, pratiqué en cas de péril grave pour la santé de la mère, qui peut être réalisé à tout moment de la grossesse. Et l’avortement à finalité « sociale », qui peut être réalisé pendant les douze premières semaines de la grossesse. C’est évidemment ce second type d’avortement qu’Olivier Véran et Laurence « Torquemada » Rossignol avaient à l’esprit.
Nous avons ainsi eu le spectacle intéressant d’un ministre de la santé s’inquiétant publiquement, non pas des morts causées par le coronavirus, mais des vies qui pourraient être sauvées par lui.
Que des enfants puissent naitre au lieu d’être tués in utero, voilà qui lui paraissait tout à fait inadmissible, alors que le fait que les personnes âgées décèdent en masse dans la plus totale solitude, privées de toute visite de leurs proches dans des EPHAD transformés en bunker, eh bien, c’est comme ça, que voulez-vous, on n’y peut rien, l’épidémie, vous comprenez ?
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Soins palliatifs et analgésiques
Un lecteur médecin apporte les précisions suivante sur le décret relatif à l’utilisation du Rivotril pendant la crise du coronavirus. Ce qui semble corroborer l’idée que nous évoquions voici quelques jours selon laquelle cette autorisation est d’abord l’expression d’une pénurie inquiétante de médicaments et peut, selon l’intention du médecin, servir soit à des volontés euthanasiques, soit à adoucir la douleur du patient hors de toute volonté de mort.
Médecin travaillant dans un centre de lutte contre le cancer, j’utilise régulièrement du midazolam dans le cadre de sédations terminales, depuis une demi-décennie. La sédation terminale consiste à administrer un produit sédatif à un patient en fin de vie. Les différentes recommandations la concernant sont disponibles sur le site de la SFAP (Société Française d’Accompagnement et de soins Palliatifs, ici).
L’idée de faciliter le passage de la vie à la mort n’est pas récente. Déjà au Moyen Âge, les blessés graves qui souffraient, et pour lesquels aucune prise en charge autre n’était possible, étaient achevés au moyen d’une dague particulière, appelée la miséricorde. Aux moralistes de dire si la pratique est (était ?) admissible.
Théorie et législation
En France, la loi la plus récente sur la sédation terminale remonte à février 2016, et s’inspire directement des recommandations de la SFAP. Elle déclare que « toute personne a droit à une fin de vie digne et accompagnée du meilleur apaisement possible de la souffrance. La loi reconnaît ainsi le droit du patient à une sédation profonde et continue jusqu’au décès, associé à une analgésie. L’objectif est de soulager une personne malade qui présente une situation de souffrance vécue comme insupportable alors que le décès est imminent et inévitable ». (LIEN).
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France : des vieux condamnés à mort (video)
Dans la France de 2020 sous Macron, on décide de laisser mourir nos anciens parce que les mesures n’ont pas été prises pour les soigner et faire face au coronavirus. Il y a des hécatombes dans les EPHAD.
Dans ce reportage, on voit un homme de 79 ans atteint du coronavirus, qui parle et est parfaitement lucide : il ne le sait pas encore mais il va mourir. La décision a été prise d’arrêter ses soins en réanimation et de ne pas l’intuber, faute de place.