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avortement et euthanasie - Page 26

  • Affiches VITA (2/2) : La Révolution Française qui a proclamé les Droits de l’homme a été la première à les bafouer

    Affiches VITA (2/2) : La Révolution Française qui a proclamé les Droits de l’homme a été la première à les bafouer

    Extraits de l’interview de Bertrand Vergely pour Atlantico :

    Depuis 2012, date où a commencé la campagne du mariage pour tous, tout a été fait pour cliver la société française en la coupant en deux, afin qu’il y ait d’un côté, l’empire du Bien, à savoir les pro-mariage pour tous et les pro-PMA et d’un autre côté l’empire du mal, les réacs avec qui il est hors de question de discuter tant ils sont nauséabonds. Qu’est-ce qui arrange les pro-mariage-pour-tous et les pro-PMA ? Que les anti-mariage pour-tous et les anti-PMA soient bêtes, primaires, homophobes, bourrés de clichés et ringards, en un mot typiquement réacs. Quand le réac est bien comme il faut, bien conforme au réac moyen, le pulvériser se fait tout seul. Un peu d’histoire pour rappeler que le modèle père-mère-enfant est une construction bourgeoise récente, le rappel des humiliations subies par les homosexuels et la répression des femmes voulant avorter et le tour est joué. Le réac est mis KO. Il est évident que s’il est contre le mariage-pour-tous et contre la PMA cela vient de ce qu’il est homophobe et misogyne. Aussi la discussion se conclut-elle par cette injonction : Qu’il se taise !

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  • Affiches VITA (1/2) : Cette passion morbide pour la censure et ce refus compulsif de la liberté d’expression viennent de la gauche

    Affiches VITA (1/2) : Cette passion morbide pour la censure et ce refus compulsif de la liberté d’expression viennent de la gauche

    Extraits de l’interview de Régis de Castelnau pour Atlantico :

    À la suite d’un tweet extrêmement violent de Madame Hidalgo maire de Paris en campagne électorale et « demandant le retrait immédiat » de ces affiches, la régie publicitaire a obtempéré servilement en prétendant que l’affichage était militant, ce qui prêterait à sourire lorsque l’on voit ce qui est habituellement placardé dans les gares et les stations de métro. Le plus inquiétant dans cette opération de censure, c’est que le camp du bien trouve cela tout à fait normal. Avec un argument massue : « on ne peut pas être contre l’avortement ou la PMA puisque le Parlement a délibéré. » On reste confondu devant la trivialité de cette argumentation, qui interdit toute expression à ceux qui ne sont pas d’accord avec vous (…)

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  • Déjà plus de 3 498 avortements en France depuis le 1er janvier 2020

    Déjà plus de 3 498 avortements en France depuis le 1er janvier 2020

    C’est cela la réalité quotidienne de l’avortement en France :

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  • Affichage interdit : victoire d’Alliance Vita [Mediatransports annonce faire appel]

    Affichage interdit : victoire d’Alliance Vita [Mediatransports annonce faire appel]

    Le juge des référés ordonne la reprise immédiate de l’affichage d’Alliance VITA par Mediatransports, avec astreinte financière si non exécution.

    Sur Twitter, un internaute a croisé les affiches d’Alliance Vita et des militants vegans. Pour Anne Hidalgo, est-ce passable ?…

    Addendum – intégralité de la décision de justice :

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  • Etats-Unis : un beau cadeau de Noël pour les enfant à naître

    Le décret de la Cour Suprême appelé Roe versus Wade (1973) oblige tous les États Américains à avoir au moins une clinique pour faire les avortements. On a su ensuite que Mme Roe qui était la plaignante n’avait jamais avorté, mais qu’elle avait été manipulée par un groupe d’avocats particulièrement retors.

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  • Marie-Laure des Brosses : « Ces bébés qui ne naissent pas sont autant de cotisants qui nous manqueront dans quelques années pour financer les retraites ! »

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    Marie-Laure des Brosses, vous êtes porte-parole de Make Mothers Matter (MMM) France. Quel est l’objet de ce mouvement ?

    L’ONG Make Mothers Matter, apolitique et non confessionnelle, fédère des associations qui regroupent plus de dix millions de mères dans le monde. Nous agissons sur le terrain au côté des mères pour améliorer l’éducation, l’économie, la santé et la paix. Nous faisons entendre la voix des mères à l’ONU, à l’UNESCO, à l’Union européenne et dans la trentaine de pays où nous sommes présentes.

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  • RN : Avec la diminution du chômage, la natalité est le deuxième levier pour maintenir la pérennité du système des retraites

    RN : Avec la diminution du chômage, la natalité est le deuxième levier pour maintenir la pérennité du système des retraites

    Idée de bon sens dont a l’air de s’étonner le JDD :

    Et si la sauvegarde du système des retraites passait par une plus forte fécondité des Françaises? C’est en tout cas l’une des grandes propositions du Rassemblement national, opposé à la réforme engagée par Emmanuel Macron.

    Sébastien Chenu, le porte-parole du RN, précise :

    “Avec la diminution du chômage, la natalité est le deuxième levier pour maintenir la pérennité du système des retraites. A terme, pour avoir plus de gens qui travaillent, et payer les pensions des futurs retraités, il faut plus de gens qui naissent.”

    Thibaut de La Tocnaye, membre du bureau national et auteur de l’essai programmatique Le choix souverainiste, indique :

    “Si on atteint 2,3 ou 2,5 enfants par femme, c’est déjà très bien!”

    Pour encourager les naissances, le RN envisage toute une série de mesures incitatives, allant de prêts aux familles nombreuses pour l’achat d’un véhicule au versement d’un “salaire parental”.

    “Dans beaucoup de ménages, c’est la femme qui veut rester s’occuper des enfants. Pour sa carrière, il est fondamental que les années où elle se consacre à ses enfants soient intégrées dans son cursus.”

    Si le RN ne s’oppose plus à l’avortement, certains cadres suggèrent que des aides financières soient proposées à celles qui envisageraient d’y recourir. Gilles Pennelle, membre du bureau national et directeur de la campagne des municipales, déclare :

    Bien souvent, les femmes ont recours à l’IVG parce qu’elles ont peur de ne pas pouvoir faire face à une naissance. Il est du rôle de l’Etat de faire en sorte qu’elles puissent accueillir ces enfants.”

    Nicolas Bay ajoute :

    “L’idéologie macroniste consiste à faire venir des étrangers, parce qu’on n’aurait pas assez de jeunes Français pour payer les retraites. Je pense qu’il faut plutôt que les Français fassent des enfants, et qu’ils en aient les moyens.”

    Jean Messiha, le délégué aux études et argumentaires, déclare :

    “Une Nation qui veut se perpétuer doit faire des enfants enracinés, estime Jean Messiha, le délégué aux études et argumentaires. Elle ne peut pas se perpétuer par l’immigration, ce n’est pas un agrégat d’individus.”

    https://www.lesalonbeige.fr/rn-avec-la-diminution-du-chomage-la-natalite-est-le-deuxieme-levier-pour-maintenir-la-perennite-du-systeme-des-retraites/

  • Benjamin Cauchy : « Avec une vraie politique nataliste, on n’aurait pas besoin de retoucher le système des retraites »

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    Au micro de Boulevard Voltaire, Benjamin Cauchy réagit à la contestation de la réforme des retraites. Il soutient les manifestants car, selon lui, Emmanuel Macron « prépare la casse de toutes les retraites ».

    https://www.bvoltaire.fr/benjamin-cauchy-avec-une-vraie-politique-nataliste-on-naurait-pas-besoin-de-retoucher-le-systeme-des-retraites/

  • Pas d’enfants, pas de retraites ? Ils préfèrent ponctionner les familles

    Pas d’enfants, pas de retraites ? Ils préfèrent ponctionner les familles

    De Sabine de Villeroché sur Boulevard Voltaire :

    C’était dans les années 70. La cigale contre la fourmi. Lorsque le démographe Alfred Sauvy alertait les économistes : si nous ne faisons pas plus d’enfants, le système des retraites va s’effondrer ! Claude Sarraute, dans Le Monde, balayait d’un revers de main les réflexions du « radoteur » : je paie mes cotisations, j’aurai droit à une pension ! Cette génération de fourmis trop gâtée par les efforts de ses parents n’a rien vu venir, rien entendu, rien compris. Elle s’est voulue consommatrice, bénéficiaire et non redevable de l’avenir.

    50 après, on y est ! L’implacable réalité économique frappe les baby-boomers de plein fouet. On l’a appris cette semaine : en 2025, notre système de retraites passe dans le rouge avec un déficit programmé de 10 milliards d’euros. Qui va payer ?

    Bien sûr, des solutions sont envisagées sur la pointe des pieds pas le gouvernement : rallongement du temps de travail, du nombre de trimestres nécessaires, baisse des pensions, recul de l’âge pivot. Pour Emmanuel Macron, la priorité c’est la manière de présenter le menu aux Français. La crise sociale, les syndicats en embuscade contraignent le président de la République, Édouard Philippe et Jean-Paul Delevoye à souffler le chaud et le froid et à brouiller les pistes. Personne n’y comprend rien mais personne n’est dupe : le coup du système à points servira de variable d’ajustement. C’est François Fillon qui a lâché, en 2016 : « Le système par points, ça permet une chose qu’aucun politique n’avoue : baisser chaque année la valeur des points et donc le niveau de pension. » 

    Aux politiques, donc, de se contorsionner et d’inventer des techniques de com’ pour désamorcer la bombe sociale ; aux Français de se serrer la ceinture. Sans qu’aucune solution pérenne ne soit jamais envisagée pour l’avenir de toute une génération à la manière d’Alfred Sauvy : la nécessaire relance de la natalité française. Mécaniquement, compte tenu de l’allongement de la durée de vie, l’équilibre n’est plus possible. Le nombre de retraités ne va cesser d’augmenter (16,3 millions en 2018 pour 24,5 millions en 2070), tandis que les Françaises font de moins en moins d’enfants (moins de 1,88 par femme). Les actifs de demain ne seront pas assez nombreux.

    Loin d’encourager la natalité, le rapport Delevoye aggrave la situation des familles nombreuses. Grandes perdantes de la réforme, elles sont laissées sur le bord de la route, comme si elles ne comptaient pour rien dans le système. Elles sont pourtant l’investissement nécessaire dans l’avenir. Pas d’enfants, pas de retraites ! Les mères de famille seront sacrifiées : leurs trimestres acquis lors de la mise au monde de leurs enfants rayés d’un trait de plume (4 à 8 trimestres par enfant, selon le secteur privé ou public). Les bonifications de 10 % allouées aux familles nombreuses sont également supprimées. Remplacées par une majoration de 5 % par naissance. Au bénéfice des familles monoparentales moins nombreuses.

    Nos politiques s’adaptent au paysage sociologique, les familles à enfant unique sont majoritaires en France : 44,9 %, contre 3,8 % pour les familles de 4 enfants ou plus, mais ne cherchent pas à inverser la tendance. Même si c’est, objectivement, une bonne chose pour l’avenir des Français. Constater, remédier plutôt qu’agir dans l’intérêt de tous. L’encouragement et le soutien à la natalité sont sujets à proscrire. Sauf s’il s’agit de PMA. L’intérêt national est concentré sur la procréation de quelques couples de lesbiennes ou quelques femmes isolées. Pas sur l’avenir des Français.

    Rien n’a changé depuis Claude Sarraute. L’aveuglement du vieux monde ne cherche qu’à satisfaire la génération présente. Sans souci de ses enfants. Personne ne souhaite inverser la vapeur. Malgré la réalité économique qui se révèle à travers la faillite des retraites. La submersion migratoire suffira-t-elle pour remédier au financement des retraites ? C’est sans doute là-dessus que certains comptent. Jeu dangereux aux conséquences incalculables pour les générations à venir.

    https://www.lesalonbeige.fr/pas-denfants-pas-de-retraites-ils-preferent-ponctionner-les-familles/

  • Sommet de Nairobi : nouvel échec pour les pro-avortements

    Sommet de Nairobi : nouvel échec pour les pro-avortements

    D’Olivier Bault dans Présent :

    Vingt-cinq ans après la conférence du Caire où une coalition de chrétiens et de musulmans avait empêché la reconnaissance internationale d’un droit à l’avortement, les ennemis du droit à la vie pensaient retourner la situation à la Conférence internationale sur la population et le développement (ICPD) organisée du 12 au 14 octobre à Nairobi, au Kenya, par le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) ainsi que par les gouvernements du Danemark et du pays hôte.

    Pour remettre en cause le consensus qui avait été atteint en 1994 au Caire – un consensus qui reconnaît le droit à la vie et refuse la promotion de l’avortement comme méthode de planification familiale –, les organisateurs avaient commencé par exclure de la conférence de Nairobi les organisations pro-vie afin de ne laisser la parole qu’aux partisans de l’avortement dans cette réunion rassemblant les représentants de 160 Etats (contre 179 au Caire il y a 25 ans). Parmi les nombreuses victimes de ces pratiques discriminatoires, la Manif pour tous, qui fait pourtant partie des ONG dotées d’un statut consultatif auprès de l’ONU. Très peu nombreuses étaient donc les organisations pro-vie à cette conférence internationale où il devait être question de planification des naissances et de « droits reproductifs », un euphémisme qui dans le langage de l’ONU désigne généralement le droit de tuer les enfants dans le ventre de leur mère.

    Dans une tribune publiée dans le Wall Street Journal, cette politique d’exclusion en amont des voix pouvant remettre en cause une déclaration finale préparée d’avance, et où il est question de droit à l’avortement et d’unions entre personnes du même sexe, a fait dire à un membre du Congrès américain, le républicain Chris Smith, que « les extrémistes de l’avortement confisquent l’ONU ». Quant au Vatican, il a tout simplement décidé de ne pas participer en raison du fait que l’« accès universel aux droits sexuels et reproductifs » avait été placé au centre des discussions. Le 8 novembre, la mission diplomatique du Saint-Siège auprès de l’ONU avait regretté « la décision des organisateurs […] de se concentrer sur quelques thèmes controversés et clivants qui ne jouissent pas d’un consensus international et ne reflètent pas le programme de l’ICPD pour la population et le développement ».

    Le 6 novembre, les évêques de plusieurs pays d’Afrique avaient estimé que la conférence des Nations unies qui allait se réunir à Nairobi serait « destructive pour l’humanité et les valeurs liées à la vie humaine ». La conférence des évêques du Kenya avait elle-même publié un communiqué condamnant les objectifs de cette conférence. Une manifestation a eu lieu le 11 novembre à Nairobi et une pétition contenant 87 000 signatures a été remise au président Uhuru Kenyatta pour lui demander de rejeter le programme de la conférence. Plusieurs parlementaires kényans ont également protesté contre le programme de la conférence et rappelé que la Constitution de leur pays garantit la protection du droit à la vie de chaque être humain dès sa conception.

    Certaines des organisations pro-vie exclues des faux débats de l’ICPD avaient organisé un sommet alternatif dans la capitale kényane, avec la participation de représentants de différents pays ainsi que du nonce apostolique. Le dernier jour du sommet de Nairobi, une vingtaine de pays, et pas des moindres, ont officiellement protesté contre la déclaration finale de l’ICPD et ont redit que le consensus international sur les droits de l’homme ne couvre pas les « droits sexuels et reproductifs » ni la notion d’avortement « sûr ». Il s’agissait des Etats-Unis, de la Russie, du Brésil, de la Pologne, de la Hongrie, ainsi que de plusieurs pays d’Amérique latine, d’Afrique et du monde musulman.

    https://www.lesalonbeige.fr/sommet-de-nairobi-nouvel-echec-pour-les-pro-avortements/