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culture et histoire - Page 1451

  • Sortie prochaine de "Dominique Venner, soldat politique"

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    Le geste fatal de Dominique Venner avait une dimension politique…  Il avait une dimension politique parce que Venner est resté toute sa vie un soldat politique.

    Bien sûr son engagement prit des formes différentes au cours des années. Mais l’idéal est toujours resté le même. Venner savait que la fidélité en politique ne consiste pas à toujours faire la même chose, mais de faire des choses qui vont toujours dans le même sens.

    Dans cet essai fort bien documenté, Basile Cerialis, étudiant passionné par les idées nationalistes et identitaires, analyse l’engagement politique de Dominique Venner de Jeune Nation, au milieu des années 50, jusqu’à son ultime message du 21 mai 2013, jour de sa mort.

    Visionnaire dans bien des domaines, le fondateur d’Europe Action mérite que son combat ne retombe pas dans l’oubli. C’est ce à quoi Basile Cerialis s’est attaché dans cet ouvrage.

    Dominique Venner, Soldat politique, Basile Cerialis, Les Bouquins de Synthèse nationale, 170 pages, 20 €

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Reportage: Une folie de Néron

    Résumé:

    En 2009, des fouilles réalisées par une équipe d’archéologues franco-italienne sur le mont Palatin, à Rome, remettaient partiellement au jour les vestiges d’un édifice néronien remarquable. Il s’agit d’une construction de plan circulaire extrêmement puissante, qui servait de support à un aménagement, qui a été entièrement démantelé dans l’Antiquité. De ce dernier, il ne reste que quelques empreintes, correspondant apparemment à un mécanisme ayant servi à assurer la rotation d’un plancher. La forme du soubassement et les traces observées semblent faire écho à la description que donne l’écrivain Suétone de la principale salle à manger du palais de Néron. Le biographe de l’empereur affirme en effet que cette salle à manger était ronde et qu’elle tournait jour et nuit en imitant le mouvement du Monde. Les recherches doivent être poursuivies sur le terrain, mais il est déjà possible de proposer des restitutions de la forme du bâtiment et de son fonctionnement.

    Chercheur/auteur(s) : Françoise VILLEDIEU 
    Réalisateur(s) : PAUL RAMBAUD 
    Producteur(s) : Jean-Jacques GUÉRARD - production CNRS IMAGES 
    2013 / France / 10 minutes

    Voir le film ICI

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2014/11/28/reportage-une-folie-de-neron-5499259.html

  • Le défenseur de la liberté et de la propriété privée

     

    Pour commmander "De la Propriété … du communisme, du socialisme et de l'impôt" par Adolphe Thiers aux Éditions du Trident

    Contrairement à ce qu'un Piketty  prétend combattre, campant dans sa posture de nouveau Marx, les Français sont profondément attachés à l'héritage. Car, contrairement à ce que leur serinent quotidiennement les bien pensants, la grande majorité de nos concitoyens aspire encore plus profondément à la propriété.

    Ainsi, on doit rappeler que l'Hexagone comptait, en 2006, 57,2 % d'habitants propriétaires de leur logement, plus un pourcentage non négligeable de locataires possédant par ailleurs des biens immobiliers, ce chiffre augmente de 0,3 point par an environ : il était de 50,7 en 1984. Durant la même période, la surface moyenne de ces appartements était passée de 82 m2 à 91 m2. Quant à la dimension des maisons individuelles elle avait augmenté en 20 ans de 10 m2.

    La diabolisation de l'idée de propriété privée vise tout particulièrement son plus remarquable défenseur en la personne d'Adolphe Thiers (1797-1877). Fondateur et premier président en 1871 de la Troisième république, il considérait "qu'elle serait conservatrice ou qu'elle ne serait pas".

    Ah certes, cet auteur jouit d'une très mauvaise presse à gauche. Raison de plus pour s'y intéresser. On voit en lui l'homme politique : ministre de Louis-Philippe, dont il se détacha, opposant libéral au Second empire, et, au lendemain du désastre de 1870, chef de l’État.

    Le très néfaste Clemenceau, blanquiste et communard en 1871, a grandement contribué à sa légende noire. Ancien maire de Montmartre durant la Commune, il décrivit le chef du gouvernement d'alors comme "le type même du bourgeois cruel et borné". Costume injuste en vérité, taillé pour des dizaines d'hivers.

    Défenseur, sous tous les régimes, des libertés parlementaires, quand Thiers disparaît, en 1877, l'opinion française salue en lui, à juste titre, le libérateur du territoire.

    Mais son livre "De la Propriété, du communisme, du socialisme et de l'impôt", réédité aux Éditions du Trident, nous le montre sous un autre jour, celui d'un grand théoricien. Il l'avait écrit, dès 1848 pour répondre aux sottises et aux utopies des socialistes et des communistes, jugeant d'ailleurs ceux-ci plus logiques que ceux-là. 

    Historien plus encore que juriste et journaliste, il aura publié successivement, de 1823 à 1827 une immense "Histoire de la Révolution", puis, de 1845 à 1862, il écrira son "Histoire du Consulat et de l'Empire", au total 25 volumes.

    Dès 1833, il est élu à l'Académie française, en hommage à ces travaux.

    Très en avance sur les historiens de son temps, ce libéral conservateur y soulignait en effet l'importance des faits économiques.

    En 1848, il est un des chefs et l'un des principaux théoriciens du "parti de l'ordre". Il constate les dégâts des révolutionnaires quarante-huitards et s'oppose au renouvellement des calamiteuses expériences utopistes.

    Ce fut à ce titre, et à ce moment de l'histoire, sous la Deuxième république, qu'il publia cet essai. Il dy émontre que le Droit de propriété constitue le fondement de l'ordre social, de la prospérité comme des libertés. Or, celles-ci aujourd'hui comme hier, sont attaquées par les idées de gauche. Elle est également rongée par l'impôt.

    Doit-on tenir ce débat pour inactuel ?

    "De la Propriété … du communisme, du socialisme et de l'impôt" un livre de 328 pages au prix franco de port de 25 euros

    →Pour commmander ce livre aux Éditions du Trident

    http://www.editions-du-trident/catalogue#thiers

    http://www.insolent.fr/

     

  • Sept stratégies de manipulation pour "les nuls" : Pour ne pas être infantilisé

    Ce petit bréviaire des sept stratégies de manipulation à l'usage des "nuls" est inspiré par les "Dix stratégies de la manipulation" (et les multiples variantes) qui sont en accès libre sur internet. Bien que ce texte soit un « hoax » (canular) attribué à tord au philosophe et idéologue américain Noam Chomsky, les méthodes énoncées sont intéressantes car elles semblent être appliquées dans les sociétés humaines avec une remarquable permanence depuis l'antiquité. Elles auraient cependant pu servir d'introduction à deux de ses livres : "La fabrication du consentement" et "Armes silencieuses pour guerres tranquilles" qui sont de violentes critiques de la manipulation de(s) masse(s).

    1) La stratégie de la distraction

    Elément primordial du contrôle social, la stratégie de la distraction consiste à détourner l’attention du public des mutations importantes décidées par les élites politiques et économiques (comme la transition énergétique par exemple…) grâce à un flot de distractions et d’informations insignifiantes. Elle est d’inspiration romaine et antique : "panem et circenses" (du pain et des jeux). Le football, les jeux en réseau et certaines émissions de télévision en sont les versions modernes.

    2) Créer des problèmes puis offrir des solutions (stratégie du pourrissement)

    Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». Elle consiste à créer une "problématique sociale" d’où naîtra une demande populaire. En clair, on crée d’abord un problème (ou on laisse se détériorer une situation) pour susciter une réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter.

    Un directeur de cabinet ministériel disait : «on sait ce qu'il faut faire, mais on ne le fera pas parce que la population n'est pas mûre». Par exemple : les prisons sont saturées mais construire des prisons donne une mauvaise image (encore plus pour un gouvernement "de gauche"). Quelques reportages bien tournés montrant la promiscuité intolérable des prisonniers suscitera une réaction d'indignation de la population qui applaudira à l'annonce de nouvelles constructions "humanitaires". On pourra aussi laisser se développer "un désordre social inacceptable", comme la violence urbaine, afin que la "vox populi, vox dei " soit demandeur de moyens supplémentaires pour les forces de l'ordre.

    Le public est souvent myope. Il n'accepte le changement que lorsqu'il y est contraint ou ému et, lorsqu'il le demande, il est souvent bien tard.

    3) La stratégie de la gradation (ou des paliers successifs)

    Découlant du point précédant, la stratégie de la gradation permet de faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l’appliquer progressivement, en « dégradé », sur une durée de plusieurs années. C’est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles peuvent être accepter par une population où chacun défend son pré carré, ses habitudes et "ses avantages acquis".

    4) La stratégie du différé

    Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme "douloureuse mais nécessaire", en obtenant l’accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d’accepter un sacrifice futur qu’un sacrifice immédiat. D’abord, parce que l’effort n’est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que "tout ira mieux demain", et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du changement, et pour l’accepter le moment venu. 

    5) Infantiliser le public

    La plupart des publicités et des discours utilisent des arguments et un ton particulièrement infantilisants, comme si le public était un enfant. Lui faire croire par exemple que, sans énergies fossiles (pétrole, gaz, charbon) et sans nucléaire, il va pouvoir vivre de partage, d'amour, de vent et de soleil grâce à la "transition énergétique" est une présentation séduisante pour des immatures. Certains y croit, comme on croit au Père-Noël. «Si on s’adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, elle aura une réaction aussi dénuée de sens critique que celle d’une personne de 12 ans ".

    6) Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion

    Faire appel à l’émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l’analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l’utilisation du registre émotionnel permet d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs… comme la peur des radiations, des OGM , des "petites ondes" et plus généralement de l'industrie et de la science.

    7) Désinformer pour maintenir le public dans la culpabilité, l'ignorance et la bêtise

    Comme ce fut le cas pendant des siècles lorsque la connaissance était tenue par la noblesse le clergé. Le public, les journalistes et la plupart des élus sont aujourd'hui incapables de comprendre les technologies et les méthodes de désinformation. C'est flagrant dans la manière de présenter le concept flou de "transition énergétique" que chacun comprend à sa façon (moins de fossiles pour l'un, sortir du nucléaire pour un autre, manger bio ou local pour un troisième, ...). De plus en plus de rouages décisionnels de l'Etat et de grandes organisations sont investis par des idéologues d'un monde "idéalisé", sans industrie, sans nucléaire et sans émission de quoi que ce soit (gaz à effet de serre, ondes,…) qui utilisent les médias pour soutenir une idéologie décorrélée des réalités.

    Respirer même va devenir culpabilisant, car on aggrave ainsi notre "empreinte carbone" en rejetant du CO2 qui est un.. gaz à effet de serre.

    Vous êtes maintenant "affranchis". En écoutant (ou en lisant) les médias dans les prochains jours, saurez-vous reconnaître une des sept stratégies de manipulation ?

    Michel Gay

    source Metamag 

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EuEyZFVpEEhYeasKVY.shtml

  • Suite à la demande d’audit de Marine Le Pen: tableaux et histoire des réserves d’or actuelles de la France

    Le FN demande un audit des réserves et le rapatriement de l’or de la Banque de France

    Par Nicolas Flamel 

    A trois jours du référendum organisé en Suisse pour contraindre la Banque Centrale Suisse à détenir ses 20% de ses réserves en or et à stocker ses réserves sur le territoire Suisse[i][i], quelques jours après l’annonce par la Banque Centrale des Pays Bas qu’elle venait de rapatrier 122 tonnes d’or de New York et au moment où la pression se fait plus forte en Allemagne pour que la Banque Centrale rapatrie ses réserves d’or stockées hors d’Allemagne[ii], le débat de l’or national vient d’être introduit dans le paysage politique français.

    Mme Marine Le Pen, présidente du Front National, a envoyé lundi matin une lettre à la Banque de France pour réclamer un audit des réserves d’or de la France et le rapatriement en France des stocks d’or appartenant à la Banque de France qui seraient stockés à l’étranger. Elle demande que cet audit contienne, selon les termes de cette lettre (extrait)  :

    « – un inventaire complet des quantités d’or physique affichées actuellement à 2435 tonnes ainsi que leur qualité (numéro de série, pureté, barres ‘Good Delivery’…), réalisé par un organisme français indépendant (à définir). Cet inventaire, sous contrôle d’huissier, devra indiquer le pays dans lequel les réserves d’or sont stockées, en France ou à l’étranger.

    – Un recensement de tout contrat d’engagement financier officiel ou secret vis-à-vis de banques et sociétés privées, ou de prêt bilatéral entre la France et des institutions nationales ou internationales, ayant gagé l’or de la France afin de garantir le sauvetage de l’euro. Dans ce cas, l’audit exhaustif devra contenir les conditions des contrats d’engagement ou de prêts. »

    Mme Le Pen mentionne également les ventes d’or décidées en 2004 par la France dans les termes suivants (extrait)  :

    Lire la suite