Il existait encore un long inédit de Maurras. De Victor Nguyen à Pierre Boutang, tous les maurrassiens sérieux en parlaient avec émotion. Il s’agit d’une correspondance, étalée sur quarante-deux ans, entre le maître de l’Action française et son ancien professeur au Collège d’Aix, devenu évêque de Moulins : Mgr Jean-Baptiste Penon. Cette correspondance vient de paraître. Sur 800 pages.
Au commencement de tout, il y a un jeune orphelin de père supérieurement doué, qui devient sourd à l’âge de quatorze ans. Il sent que la vie se ferme à ses appétits en éveil. Il pressent la fin. Incapable de suivre le moindre cours collectif, il ne pourra pas avoir accès à la culture que réclame sa précoce intelligence. Il se trouve qu’un jeune prêtre de trente-cinq ans, « le meilleur helléniste du diocèse » dit-on, a entendu parler de ce gâchis. L’abbé Penon enseigne dans les grandes classes. Peu importe ! Il se chargera du jeune Charles, qui, sans aucun débordement inutile, le considère désormais comme une sorte de second père. C’est à cet abbé Penon, point timoré, que l’on doit la montée à Paris, à l’âge de dix-sept ans, du jeune Charles, les premières recommandations (en particulier aux Annales de Philosophie chrétienne) et les premiers articles du poulain-prodige : « Je ne quitte jamais son tombeau de Simiane, où je vais plusieurs fois par an, écrit Maurras en 1945, sans lui rendre l’hommage que Jacques Bainville était bien moins fondé à m’adresser : “Hors le jour, je lui dois tout”. »
Mgr Penon est bien l’image du père pour le jeune journaliste. « Cher Maître », Charles lui écrira toute sa vie, en lui donnant le titre que l’on ne tarde pas à lui reconnaître à lui-même, autour de Saint-Germain-des-Prés, dans ce Café de Flore où, coquetterie 1900, se pensait et se rédigeait cette “revue grise” que fut la première Action Française. Jusqu’à sa mort, Maurras appelle Penon « Cher Maître », comme pour reconnaître son autorité, si bénéfique, sur sa jeune vie de sourd et d’orphelin.
Cette correspondance Penon-Maurras, on l’aura compris, n’est donc pas anecdotique : elle a lieu entre un fils et son père d’élection. Comme à un père, le jeune homme se confie. Comme à un père, il ne dit pas tout, loin de là. Il garde pour lui (et, bien plus tard, pour les lecteurs du Mont de Saturne) ses premières fredaines. Entre ce père spirituel et ce fils turbulent, curieux de tout, vibrant à tout, prêt à tous les paroxysmes, ce qui domine, avec une confiance mutuelle qui semble inépuisable, c’est une incompréhension quasi totale. Notons au passage que Maurras sera monarchiste de la même façon qu’il fut fidèle à son ancien maître : avec toute sa confiance envers les princes successifs, mais dans une perpétuelle incompréhension. Je crois que c’est avant tout cette indifférence d’un jeune intellectuel aux avis du père, pourtant reconnu comme tel, qui fait l’intérêt extraordinaire de la pensée maurrassienne.
Dualité
Jamais dogmatique, essentiellement libre, mais aussi viscéralement fidèle, comme seuls peut-être le sont ceux à qui la vie a permis de se choisir un père, le jeune homme semble se complaire dans cette dualité qui sera la grande fécondité de sa vie. Liberté, fidélité, c’est le cocktail détonnant qui fait le charme non périmé de la prose maurrassienne. On peut décliner ce duo à l’infini : insolence et respect ; indépendance et attachement ; classicisme et originalité. Ou encore : hussardise et philosophie.
Le différend qu’il entretiendra toute sa vie avec le philosophe catholique Maurice Blondel, ex-camarade de collège et voisin, provient sans doute du choc entre l’univers duel du jeune écrivain et l’obsession unaire du métaphysicien et théologien. Maurras déroute parce qu’il se complaît dans cette vision du monde en partie double, qui suppose la pratique permanente de l’analogie : « Je ne sais rien au monde de plus passionnant que la contemplation des racines divergentes de l’être » murmure le dandy. Et de reprocher à Blondel la confusion universelle qu’il entretient entre les ordres, sous le signe ambigu du grand Un, comprenez bazar et compagnie : « Blondel triomphe en vérité en me montrant que sa thèse aboutit à l’unification absolue de tout, au lieu que je suis obligé, comme je l’avoue tristement, de me dédoubler en une foule de circonstances. ».
Simple coquetterie d’homme de lettres, cette profession de duplicité ? Point du tout. Le très jeune homme (cette lettre date de 1890, Maurras a vingt-deux ans) poursuit ardemment : « Par exemple, ma métaphysique intérieure aboutit au pessimisme, noir et gris, teinté de vagues roses par l’art libérateur. Moralité : la fin du monde, l’extinction de l’humanité et par conséquent des nations, dilettantisme et décadentisme. » On pense aux gothiques d’aujourd’hui : Maurras est hanté par la mort qui marque toute vie du sceau de l’absurdité. La tentation du suicide le poursuit : « Depuis trois semaines, écrit-il par exemple à son mentor, qui ne saisit jamais ce genre d’aveu au bond, tout ce que je vois est gris, d’un gris mortel. Je ne sais pas comment je vis. Je suis allé ce matin corriger mes épreuves, c’est fétide. J’ai besoin de me débarbouiller. D’abord, je m’en vais prendre un bain de Seine »...
Dandysme ?
À l’attention de tous les zoïles, on ne redira jamais assez que le grand inspirateur allemand de Maurras, ce n’est pas Nietzsche, qu’il connaît peu, c’est Schopenhauer et son pessimisme radical. Alors ? Va-t-on en rester là ? Maurras aurait pu faire un dandy parisien baragouinant un provençal sommaire à l’usage des gogos et s’amusant à répéter dans l’ordre et dans le désordre les trente beautés de Martigues. Maurras aurait pu être une sorte de Rémy de Gourmont, personnage s’adonnant à la fois aux études abstraites sur la formation des idées, à la fréquentation assidue des “femmes de Paris” et aux rêveries esthétisantes sur le latin mystique. Invoquer la dualité (ou « les racines divergentes de l’être »), pour justifier cette fatalité fin de siècle, c’est se payer de mots inutiles !
La dualité maurrassienne n’est pas anecdotique (comme la vie d’un dandy) mais fondatrice ; elle n’est pas dissolvante mais constructrice.
Tout son génie se trouve dans cette horreur d’une mort aperçue et dans cet amour immodéré des conditions, intellectuellement senties, du salut moral et mental. L’horreur ? Les systèmes philosophiques mortifères, parce qu’ils se déclinent tous selon le mode purement artificiel ou idéal de l’Un ; l’enthousiasme ? L’observation d’une constante, purement factuelle ou empirique, capable d’introduire à la vérité qui est « la grande passion de [sa] vie » : « Vous voulez m’exhorter, lance-t-il aux oreilles de son mentor, à ne m’emballer pour rien, attendre que tout passe. Je répondrai ce que tout bas j’ai pensé lorsqu’on me donna ce conseil : c’est là une devise de marmotte ou d’eunuque. Et puis, elle est impraticable, parce que l’on s’emballe toujours pour quelque chose. »
L’abbé Penon, à cette époque, ne comprend plus grand chose à son élève ; il se contente de lui reprocher un emploi jugé quasi compulsif des néologismes à la mode. L’élève se sauvera donc lui-même. Oublié le pessimisme et le décadentisme ! « J’ai d’autre part un système de sociologie pratique, et là, le postulat de toute société étant l’ambition de vivre, je tâche d’organiser, [de] préciser les conditions de la vie. ».
Maurras, il ne faut pas l’oublier, collabore régulièrement depuis un âge tendre, à La Réforme sociale, revue fondée pour propager les analyses du sociologue catholique Frédéric Le Play. Saturé d’esthétisme, il voit dans la sociologie le domaine par excellence de l’ordre et de la vie. Qui a dit qu’il était entré en politique à cause de l’Affaire Dreyfus ? Nous avons dans cette lettre de ses vingt-deux ans tout l’élan du maître de l’Action française, entre agnosticisme métaphysique et engagement politique.
Loin du fascisme
Si l’on poursuit ce texte, décidément instructif, on perçoit cependant une gêne dans l’enthousiasme reconstructeur du jeune chercheur de vérité : « Vous savez à quelles conclusions autoritaires cela aboutit chez moi, écrit-il : césarisme politique et religieux, comme dans l’Europe du Moyen Âge et la Russie d’aujourd’hui. Dieu ou son idée en serait le couronnement naturel. La liberté de l’art en serait exclue. Alors, je m’arrête là, laissant la construction décoiffée de son toit ».
Je m’arrête là ? Et pourquoi donc ? Parce que la dualité réelle (le couple autorité-liberté) risque de succomber au démon de l’Un sous sa forme politique, « le césarisme ». Dans ce texte, on peut dire que Maurras voit de loin le dénouement éventuellement totalitaire de ses aspirations reconstructrices. Le Moyen Âge apparaît ici comme un repoussoir. Il préfère jeter l’éponge, il n’est pas prêt, comme le fut Platon, à payer de « la liberté de l’art » son besoin de reconstruction. Il ne sacrifiera pas la liberté à l’autorité. La tentation fasciste, épouvantable et impossible apogée de l’Un, se trouve ici comme conjurée d’avance. Seule la monarchie réalise cette dualité subsistante d’autorité et de liberté, qui exauce le voeu secret du penseur. Mais il le comprendra plus tard.
Itinéraire
En 1890, Maurras n’est pas encore monarchiste. En 1892, il se félicite vivement du Ralliement de l’Église à la République : « La monarchie traditionnelle, l’idée orléaniste est morte et je crois que le pape a raison d’éloigner le clergé de ce cadavre ». S’il est si péremptoire, c’est avant tout en raison du peu d’estime que lui inspire le personnel politique “de droite”, qu’il fréquente pourtant assidûment dans les revues catholiques où son mentor ecclésiastique l’a introduit : « Voilà la grande question dans tout ce parti, ce sont les personnes. Ils sont toujours les carabiniers d’opéra comique qui arrivent trop tard. » « Il n’y a personne, personne. Le comte de Paris est à la chasse. Les De Mun et autres sont des nigauds. Et la droite d’ailleurs est aussi pourrie que la gauche. »
Maurras n’entrera en politique qu’à travers le combat régionaliste, au moment où il se fait chasser du Félibrige de Paris, innocente assemblée de vieux Provençaux ronfleurs, dérangée par la fougue de quelques jeunes gens. Motif de l’exclusion ? Ces jeunes ne se contentent pas de parler provençal. Leur accent du reste est souvent déplorable. En revanche, ils n’hésitent pas à faire de la politique, au risque de déplaire en haut lieu. Avec son ami Frédéric Amouretti, notre jeune Rastignac fonde un groupe dissident : l’école félibréenne de Paris.
Les lettres à Mgr Penon permettent de situer assez précisément ce moment - autour de 1892 - où entre le maître et le disciple les rôles vont s’inverser : le décadentiste suicidaire devient un enthousiaste de la « décentralisation » comme il disait déjà.
La lettre du 15 décembre 1892 me semble particulièrement significative de l’envol ; l’agnostique trouve des accents de néophyte pour en remontrer à son curé, qui a osé sourire de l’ambition félibréenne : « J’ai moi aussi des sourires en réserve pour toutes les opinions, principalement les miennes. Tout ce qui m’est intérieur peut d’ailleurs susciter la gaieté ou la mélancolie, je vous avoue que je n’en ai point souci. Mais le Félibrige est une doctrine que je prêche. J’y ai converti à Paris pas mal de gens, jeunes et vieux. Et comme elle n’a absolument rien d’immoral, ni d’irréligieux, comme elle ne peut choquer en rien aucune des idées auxquelles vous tenez plus qu’à votre vie, il me paraît singulier que vous assembliez des plaisanteries ou des statistiques contre elle. » Il y a bien quelque chose de filial dans cette colère, qui jaillit en même temps que persiste la volonté de « ne pas choquer » le père qu’on s’est choisi. L’éclat passé, avec sa grandiloquence presque adolescente, l’intelligence jaillit. La formule de l’espérance politique que Maurras assène à son mentor semble déjà gravée dans le marbre. Elle ne variera pas : « Sachez donc (vous qui souriez du Félibrige) que la seule cause de la faiblesse de la Province, c’est l’apathie des provinciaux, et que, s’ils voulaient secouer cette apathie dont la cause n’est point en eux, mais bien dans le régime absurde qu’ils subissent, toutes les forces innombrables de la nature et de l’histoire s’éveilleraient en leur faveur et seconderaient la révolte de leurs intérêts. »
Les idées lorsqu’elles naissent
Il est émouvant d’observer les idées lorsqu’elles naissent. Tout Maurras est là. Dans cet appel aux forces de l’histoire, nous avons l’empirisme organisateur. Dans l’invocation à la nature nous trouvons déjà ce que le penseur politique nommera plus tard la politique naturelle. Lorsque le jeune homme, qui n’est pas encore monarchiste avoué met en cause « le régime absurde », nous pouvons à bon droit identifier le “Politique d’abord”. Enfin la mention de « l’intérêt » des provinciaux rappelle fortement les polémiques qui auront lieu dans les années trente et aussi dans les années cinquante, autour de l’expression : intérêt national.
Malgré les remontrances de néo-thomistes convaincus, parmi lesquels Marcel Clément, directeur de L’Homme Nouveau, Maurras se gardera toute sa vie de parler du “bien commun”, parce qu’il considère qu’il n’y a pas d’idée du Bien qui soit commune à tous les Français. Ce qui peut et doit les unir, c’est la perception bien comprise de leur intérêt commun, qui est national, qui est européen (ou ici provincial). Ainsi qu’il l’expliquera encore en 1950, dans la préface d’un petit livre que l’on vient opportunément de rééditer L’Ordre et le Désordre : « Les antagonismes réels de la conscience moderne sont nombreux et profonds. Les principes de conciliation ne sont pas nombreux. Je n’en connais même qu’un. Quand sur le divorce, la famille, l’association, vous aurez épuisé tous les arguments, pour et contre, sans avoir découvert l’ombre d’un accord, il vous restera un seul thème neutre à examiner, à savoir ce que vaut tout cela au point de vue pratique de l’intérêt public. ».
En 1892, Maurras voulait incarner « la révolte des intérêts ». En 1950, il explique que l’intérêt national est le seul principe d’unité entre les Français et il voit dans ce nationalisme l’incarnation de la véritable laïcité, respectueuse du Spirituel, dont elle entend « accueillir toutes les manifestations nobles sous leurs noms vrais et leurs formes pures », avec une priorité historique au catholicisme, qui a forgé l’identité française. La direction de pensée est foncièrement identique ; l’application des principes étonnamment souple.
Qui l’eût cru ? Procédant d’une quête de l’espace neutre où par la collaboration de tous, l’unité nationale peut se réaliser, le nationalisme maurrassien apparaît comme une forme concrète de l’idéal laïc, tel que le formulait le 20 décembre dernier Nicolas Sarkozy, sous le plafond baroque de Saint Jean de Latran dont il fut fait chanoine.
L’aujourd’hui de l’Action française
Alors ? Plus que jamais, pour échapper aux idées toutes faites, il faut relire Maurras dans le texte. Au lieu de nous proposer une idéologie fermée sur elle-même, il nous offre les outils qui lui ont servi pour créer sa liberté intérieure. La caisse à outils est loin d’être périmée. Encore faut-il qu’on ne craigne pas de manipuler les instruments qu’elle met à notre disposition. Être maurrassien aujourd’hui, ce n’est pas s’affubler de telle ou telle étiquette et s’en satisfaire, c’est savoir se servir de ces outils ! Au-delà des idéologies, les “hard” ou les “soft”, loin de tous les prêt-à-penser, une école d’Action française sera pour tous et chacun une école de la liberté personnelle, et pour la France un laboratoire fécond en découvertes, si elle entreprend de « travailler à bien penser ». Avec les instruments universels que forgea, dans les brumes parisiennes de la fin du XIXe siècle, un jeune Rastignac monté de sa Provence.
l'abbé Guillaume de TANOÜARN L’Action Française 2000 n° 2739 – du 3 au 16 janvier 2008
* Dieu et le Roi, Correspondance entre Charles Maurras et l’abbé Penon (1883-1928). Présentée et commentée par Axel Tisserand, éd. Privat, 2007, 752 p. (avec index), 30 euros.
* Charles Maurras : L’Ordre et le Désordre, rééd. Carnets de l’Herne, 2007, 124 p. 9,50 euros.
culture et histoire - Page 1612
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Maurras : Une pensée, une école, une aventure
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Jean Sévillia : « Apocalypse, des lieux communs sur le plan historique »
INTERVIEW - Écrivain et journaliste, Jean Sévillia est aussi historien, auteur de nombreuses biographies et d'essais comme, tout récemment, L'Histoire passionnée de la France, éd. Perrin.
LE FIGARO. - Qu'est-ce que vous avez ressenti en visionnant les deux premiers épisodes de la série?
Jean SÉVILLIA. - Ce sont des documents visuels extrêmement intéressants, sans doute inédits, des images que je n'avais jamais vues nulle part. Par exemple celles qui montrent l'offensive turque en Crimée où on voit un chien qui déterre et mange un cadavre. J'ai trouvé le découpage du documentaire satisfaisant. On a bien cette impression d'une Europe insouciante, ceci pendant le printemps et l'été 1914, même après l'attentat de Sarajevo. Puis, c'est l'engrenage, l'ultimatum à la Serbie, le déclenchement de la guerre, les mouvements des combats, tout cela est bien restitué de façon claire et pédagogique.
Avez-vous été satisfait par le commentaire d'Isabelle Clarke et de Daniel Costelle?
Non, je trouve décevant que certaines phrases ressortent des vieux mythes de gauche, des lieux communs risibles sur un plan historique.
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Le franc-maçon Benjamin Franklin : des cadavres découverts chez le Père de la Constitution US ! – par Laurent Glauzy
Le 11 février 1998, un ouvrier restaurant la maison londonienne du Père de la Constitution américaine trouva les restes de six enfants et de quatre adultes, cachés sous sa maison, au 36 Craven Street, à côté de Trafalgar Square. La nouvelle fut même annoncée par la grande presse britannique comme The Sunday Times. Les cadavres datent de l’époque où Benjamin Franklin occupait les lieux de 1757 à 1762 et de 1764 à 1775.
Cela vous étonne-t-il ?
Pourtant, le Time du 7 juillet 2003, sur sa couverture, demande si Benjamin Franklin, figurant sur les billets de cent dollars, appartenait à la secte satanique du The Hell Fire Club.
Dans un ouvrage publié en 1989, The Occult Conspiracy, Secret Societies, Their Influence and Power in World History (La conspiration occulte, les sociétés secrètes, leur influence et leur pouvoir dans l’histoire du monde), l’écrivain anglais Michael Howard relate le passé sataniste de Benjamin Franklin, qui fut une des personnes les plus influentes de la Révolution américaine, et devint Franc-maçon en 1731.
Il entra dans la loge St John de Philadelphie, reconnue comme première loge maçonnique en Amérique. Il fut également nommé au grade de Grand-Maître de la loge St John. Journaliste, il écrivit plusieurs articles défendant les loges qui furent publiés dans The Pennsylvania Gazette. En 1732, il contribua à la rédaction des statuts de sa loge et en 1734, il publia Constitutions, le premier livre maçonnique édité en Amérique.Dans les années 1770, en tant que diplomate des colonies américaines, Franklin devint Grand Maître de la loge des neuf sœurs, à Paris. Le marquis de Lafayette et l’officier de marine écossais John Paul Jones, qui adhéraient à cette même loge, combattirent dans la Guerre d’indépendance américaine. À Paris, Franklin utilisait ses contacts maçonniques pour collecter des fonds et acheter des armes pour les rebelles américains.
Franklin était un Grand Maître Rosicrucien et œuvrait au cœur des opérations Illuminati pour étendre le contrôle invisible de l’empire britannique en Amérique. Les Illuminati, via les Francs-maçons, contrôlaient et manipulaient les deux côtés (britannique et américain) de la Guerre d’Indépendance tout en contrôlant la Révolution française.
Benjamin Franklin était l’« agent 72 » du bureau de renseignement britannique fondé par le mathématicien et alchimiste anglais Dr John Dee (alias 007). Pendant cette période, Benjamin Franklin était en contact avec les sphères du pouvoir londonien. Il partageait leurs intérêts maçonniques et occultes. Sir Francis Dashwood, était le chancelier de l’Exchequer (Echiquier), la Chambre des comptes britannique, et le fondateur d’une société secrète appelée Frères de St Francis de Wycombe, plus connue sous le nom de The Hell Fire Club.
Michael Howard expose que The Hell Fire Club n’était pas un club ordinaire. Situé dans les souterrains d’un bâtiment ayant l’apparence d’une église anglaise, les membres de ce cercle y descendaient à plusieurs dizaines de mètres de profondeur dans une série de tunnels, de pièces et de cavernes, où ils forniquaient avec des prostituées et offraient des sacrifices occultes à Satan. Dieu seul sait ce que les démons faisaient en ces lieux !
Benjamin Franklin était un occultiste dévoué à Satan, comme tant de politiciens. Le premier-ministre britannique Winston Churchill était par exemple un druide sorcier. Le terme de The Hell Fire Club (Club des flammes de l’enfer) montre qu’il s’agit d’une défiance et d’un blasphème. Les labyrinthes de la secte de Franklin étaient disposés de telle manière que l’on avait l’impression de descendre en enfer.
Lors de la première réunion du club sataniste, en mai 1746, ils se rencontrèrent à la George and Vulture public House, au Lombard Street, London. L’adhésion initiale était limitée à douze membres mais ce chiffre augmenta rapidement. Bien qu’il n’en fût pas membre officiel, Benjamin Franklin assistait occasionnellement aux rencontres du club. Les membres s’appelaient entre eux « frères ». Francis Dashwood était l’« abbé ». Les femmes, quant à elles, étaient des « nonnes ». Ils étaient passionnés par les dévotions à Bacchus et à Venus. Leur devise « Fay ce que vouldras », empruntée à François Rabelais, sera reprise par Aleister Crowley. Franc-maçon du 33e degré, ce mage sataniste du XXe siècle, avoue qu’il sacrifia, de 1912 à 1928, cent cinquante enfants par an, dans son livre : Magick in theory and practice (La magie en théorie et en pratique), ch. XII : Of the bloody sacrifice and matters cognate (À propos des sacrifices sanglants et des sujets apparentés).
Le George and Vulture public House disparut dans un incendie en 1749 ! Cependant, il fut rapidement reconstruit. Les rencontres s’effectuèrent aussi chez les membres. Francis Dashwood construisit un temple dans le village londonien de West Wycombe à côté duquel furent trouvées des catacombes : un endroit idéal pour certainement y cacher les dépouilles après les avoir désossées et décharnées ! La première rencontre à West Wycombe fut tenue en 1752 pendant la nuit de Walpurgis. En 1762, des tensions internes et des rivalités politiques transformèrent le club en champ d’affrontements publics. Il fut finalement dissous.
Evangeline Hunter-Jones, député et présidente des Amis de la maison de Benjamin Franklin expose que « les os brûlés étaient enterrés profondément, probablement pour les cacher et il y a tout lieu de penser qu’il y en a encore ». Mais pour disculper Benjamin Franklin, elle rétorque que durant ses longues absences, son ami le Dr Hewson, aurait pu effectuer des dissections de cadavres pour ses recherches. Car, en effet, la plupart des ossements montrent des marques de dissection et des traits de scie. Un crâne a été percé de plusieurs trous. Brefs, voilà des cadavres bien dérangeants chez un sataniste ayant appartenu aux plus hautes sphères d’influences européennes et américaines !
La vie du Père de la Constitution de la plus grande démocratie renvoie bien aux déclaration du représentant des Illumianti américain, Albert Pike, Franc-maçon du 33e degré, qui dans Morals and Dogmas (1871) affirmait que le Dieu caché de la Franc-maçonnerie était Lucifer. L’essence luciférienne de la secte est dénoncée entre autres dans La guerre occulte (1925) par l’ancien Franc-maçon du 29e degré, Paul Copin-Albancelli.
Vous comprendrez ainsi pourquoi en démocratie il est toujours délicat de dénoncer le pédo-satanisme.
Laurent Glauzy
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[Marseille] 21 mars 2014 : Cercle d'études sur Mistral et Maurras
Frédéric MISTRAL, mort voici juste cent ans, le 25 mars 1914, travailla à faire renaître et populariser la langue provençale avec le mouvement du félibrige. Son talent lui valut de recevoir le Prix Nobel de littérature.
Charles MAURRAS fut un de ses disciples avant de passer à l’action politique.
Les rapports entre ces deux grands personnages et l’explication des idées maurrassiennes sur les régions et le fédéralisme seront l’objet du prochain cercle d’études des jeunes militants marseillais de l’Action Française-Provence, vendredi 21 mars.
marseille.etudiants@actionfrancaise.net
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Médias : apprenez les 10 gestes qui peuvent encore vous sauver
Déconnectez-vous régulièrement de la domination médiatique du Système.
Les médias jouent un rôle central dans la survie du Système : comme vecteurs du conditionnement publicitaire, politique et comportemental. Pour rester vous-mêmes apprenez donc les gestes qui sauvent.
1) Réduisez votre consommation de télévision.
Astreignez-vous à ne pas regarder la télévision tous les jours. Si vous vous demandez pourquoi, lisez-donc le livre de Michel Desmurget TV Lobotomie : la consommation abusive de télévision réduit les performances scolaires, provoque l’obésité, diminue la durée moyenne de vie et augmente les risques de maladie d’Alzheimer.
N’allumez pas la télévision le matin, surtout si c’est pour que vos enfants la regardent avant de partir à l’école. Protégez au maximum vos enfants du contact avec les écrans.
2) N’allumez jamais la télévision « pour voir ce qu’il y a » :
Vous resteriez scotché devant toute la soirée car les programmes sont conçus pour vous rendre disponibles aux messages publicitaires. Il vaut mieux choisir avant le programme que vous voulez regarder, dans une revue ad hoc ou dans un journal, et vous y tenir. Ne zappez pas, sauf pour éviter les coupures publicitaires : zapper diminue encore vos capacités de concentration et augmente votre dépendance à la télévision. Dans les restaurants et les lieux publics où il y a une télévision, placez-vous de façon à l’avoir dans votre dos. Le cerveau humain est programmé pour suivre le mouvement. Si vous vous trouvez en face de l’écran, fatalement vous ne le quitterez plus des yeux.
3) Evitez de regarder les films, les vidéos ou les programmes américains à la télévision.
Depuis le début du cinéma les Etats-Unis ont utilisé ce vecteur pour promouvoir leurs intérêts. Le Système utilise totalement ce médium pour diffuser son idéologie partout dans le monde et rééduquer les populations. L’hyper-violence, le sexe ou les effets spéciaux racoleurs servent à banaliser des comportements asociaux : individualisme radical, féminisme, familles décomposées, promotion de la loi de l’argent, culpabilité du passé européen, cosmopolitisme, etc.
4) Refusez de prendre les journaux gratuits du matin que l’on vous tend.
Ne les prenez pas dans un présentoir ni a fortiori par terre. Faire un journal indépendant coûte cher. Le fait qu’on vous en distribue un gratuitement indique qu’il dépend entièrement des financements publicitaires, donc que ceux qui vous le « donnent » ont intérêt à ce que vous le lisiez.
N’apportez pas de journaux gratuits à vos collègues de bureau. Comme pour le Sida, la désinformation « ne passera pas par moi ».
5) Ne vous mettez pas des écouteurs dans les oreilles dès que vous quittez votre domicile, surtout pour écouter les « infos ».
Profitez du silence, qui devient un bien de plus en plus rare de nos jours. En plus vous êtes ridicules avec cela (surtout si vous laissez pendre l’écouteur autour d’une de vos oreilles !). L’écouteur symbolise, avec le portable tenu à la main, l’esclavage numérique contemporain. Si vous entendez le bruit que votre voisin fait avec son baladeur, faites-le-lui remarquer et demandez-lui gentiment de baisser le son : ce sera un acte de charité destiné à le prémunir d’une surdité précoce.
6) Lisez des livres imprimés sur du papier.
Les livres en papier ont un contenu inaltérable, à la différence des livres numériques que l’émetteur peut manipuler en permanence. Le livre papier est aussi plus écologique que le numérique, car il est en général composé de papier recyclé alors que l’empreinte carbone de la fabrication des appareils numériques est importante. D’une façon générale préférez les livres aux journaux et hebdomadaires, et préférez ceux-ci à la télévision ou à la radio ; la lecture procure une distance critique : elle vous permet de réfléchir, ce que n’autorisent ni la télévision ni la radio.
7) Ne consultez pas votre tablette, votre portable, votre Ipad ou votre blackberry à tout bout de champ pour « suivre l’actualité ».
Ne twittez pas en permanence.
On peut en effet devenir accro de ces outils et c’est bien pourquoi on vous incite à les acheter. Un usage abusif tend aussi à réduire la capacité de concentration des victimes. En tout cas ne consultez pas ces appareils lorsque vous déjeunez ou parlez avec des amis : cela montre que vous vous situez ailleurs et c’est fort impoli. Plaignez ostensiblement ceux qui le font devant vous : car ces handicapés ne peuvent plus vivre sans appareillage. Ne consultez jamais votre portable et autres appareils similaires en marchant : vous risquez de percuter un obstacle et, si vous traversez la rue, de vous faire écraser. Refusez de faire partie des amis numériques de ceux qui veulent vous inclure dans leur Facebook ou équivalent. Vous vivez dans le monde réel : les relations virtuelles n’apportent rien sinon vous rendre accro à votre tour.
8) Lisez plusieurs journaux et, si vous le pouvez, un journal étranger aussi :
Il faut encourager la diversité de la presse et vous découvrirez en outre que les événements diffèrent de ce qu’on vous présente en France. De même, sur Internet, diversifiez vos sources.
Sachez que les médias français ont un contenu plus pauvre et de moins bonne qualité que dans les autres pays. N’oubliez pas non plus que la majorité des « informations » que les médias déversent sur vous chaque jour ne vous sont personnellement d’aucune utilité réelle : ces infos ne servent donc qu’à vous influencer. Dans les journaux, lisez de préférence les petits encarts : en général c’est là que figurent les informations vraiment importantes.
N’achetez pas les magazines et hebdomadaires si la publicité représente plus d’un tiers des pages : c’est mauvais signe ! Ces magazines coûtent cher, en outre, pour un apport réel très faible.
9) Apprenez à décoder la novlangue médiatique.
C’est simple : il suffit de comprendre que les mots que vous entendez ou lisez dans les médias officiels signifient en général le contraire de ce qu’ils prétendent exprimer. N’hésitez pas à vous reporter au Dictionnaire de novlangue de la Fondation Polémia (*) pour apprendre cet idiome. Mais vous l’assimilerez très vite et vous pourrez vous amuser ainsi à relever les tics verbaux politiquement corrects de la classe médiatique.
10) Réinformez-vous sur des médias indépendants : suivez les blogs de la réinfosphère, les sites des agences de presse étrangères et les TV libres sur Internet.
N’oubliez pas que la majorité des journalistes français sont eux aussi des employés de banque, car les grandes entreprises et les grandes banques détiennent les principaux médias. Vous n’accepteriez pas que votre banquier vous fasse de la morale politique au guichet ? Pourquoi l’accepter sous prétexte qu’il apparaît sur un plateau de télévision ? N’oubliez pas non plus que l’écrasante majorité des journalistes des médias officiels déclarent avoir une sensibilité de gauche et d’extrême gauche dans plus de 80% des cas et donc ne reflètent pas la réalité de l’opinion française. (**)
N’écoutez pas les commentateurs, prétendus « polémistes » et autres « experts » qui peuplent les émissions de radio ou de télévision : ces gens ont pour fonction de vous dire quoi penser. Pensez donc par vous-mêmes !
N’oubliez pas, pour conclure, que l’on peut très bien vivre sans écouter la radio, regarder la télévision ou pianoter en permanence sur son portable. Nos ancêtres ont vécu sans tous ces gadgets pendant des milliers d’années et leur civilisation était bien plus vigoureuse que la nôtre. Déconnectez-vous régulièrement de la domination médiatique du Système : fréquentez les médias libres, regardez autour de vous et parlez avec vos semblables !
Vous trouverez cela beaucoup plus intéressant que le spectacle de marionnettes virtuelles que le Système agite devant vos yeux en permanence pour vous endormir.
Michel Geoffroy, 8/03/2014
http://www.polemia.com/medias-apprenez-les-10-gestes-qui-peuvent-encore-vous-sauver/
Notes de la rédaction :
(*) Nouveau dictionnaire de novlangue
http://www.polemia.com/entretien-avec-lauteur-du-nouveau-dictionnaire-de-novlangue/
(**) Les médias en servitude
http://archives.polemia.com/article.php?id=4556 -
Chaque mois sur TV Libertés : éloge de la nostalgie vivifiante !
Entretien avec Arnaud Guyot-Jeannin
Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.
Une fois par mois, vous animez l’émission Nos chers vivants sur TV Libertés, consacrée surtout aux grandes figures du cinéma français. Après Maurice Ronet le 18 février, vous allez traiter d’Éric Rohmer ce mardi 18 mars. Qu’avez-vous au programme dans les mois à venir ?
Il est possible que je consacre mon émission du 11 avril au prince de la comédie italienne Dino Risi, dont les mémoires, Mes monstres, viennent de paraître, et dont les films sortent régulièrement en DVD.
Dans un genre très différent, chaque mois, je rendrai hommage à des metteurs en scène français défunts comme Marcel Carné, Henri-Georges Clouzot, Gilles Grangier ou Georges Lautner. Ce dernier, qui a son propre style, ne saurait être réduit aux dialogues, certes géniaux, de Michel Audiard, et aux scénarios écrits par une épée nommée Albert Simonin dit Monsieur Albert.
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Francs Tireurs Patriotes - Le volontaire
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COMMUNIQUE DE PRESSE 19 MARS 1962 : CRIME D’ETAT, CRIME CONTRE L’HUMANITE PLUS PERSONNE NE PEUT DIRE « JE NE SAVAIS PAS » !CONFERENCE DE PRESSE Le 8 décembre 2012, le Chef de l’Etat promulguait la loi 2012-1361 officialisant la date du 19 mars comme « jo
CONFERENCE DE PRESSE
Le 8 décembre 2012, le Chef de l’Etat promulguait la loi 2012-1361 officialisant la date du 19 mars comme « journée nationale du souvenir et de recueillement en mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats de Tunisie et au Maroc ».
Je ne reviendrai pas sur les arguments juridiques présentés par les parlementaires opposés à cette loi qui fait doublon avec le décret N°2003-925 du 26 septembre 2003 instituant le 5 décembre comme « journée nationale d’hommage aux « morts pour la France » pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de Tunisie ». L’article 2 de la loi du 23 février 2005 associe l’ensemble des victimes civiles françaises « après le 19 mars 1962 » à cet hommage. L’arrêt N°689 du 15 octobre 2013 de la Cour d’appel de Rennes, en confirmant la mention « mort pour la France » de M. Paul Teuma assassiné et disparu le 5 juillet 1962 à Oran, reconnait désormais aux victimes civiles en Algérie cette mention même après le 2 juillet 1962, date officielle de l’indépendance de l’Algérie. Cet arrêt confirme qu’aucune date ne marque officiellement la fin des « actes de guerre » en d’Algérie.
Qu’est en réalité le 19 mars 1962 ? Un prétendu cessez-le-feu destiné à masquer un crime d’Etat suivi d’un crime contre l’Humanité. C’est ce qu’exprime clairement la 19e annonce de la campagne de presse « Vérité et Justice pour les Français rapatriés » parue dans Valeurs Actuelles du 13 mars dernier. Le 19 mars 1962 n’a d’équivalent historique que le 16 juillet 1942, commémoré dans le calendrier des cérémonies officielles chaque 22 juillet comme la « journée nationale à la mémoire des crimes racistes et antisémites de l’Etat français et d’hommage aux « Justes de France ». Les multiples amendements proposés lors des débats préparatoires à la loi du 23 février 2005, les propositions de résolution et les propositions de loi déposées par les parlementaires depuis, notamment la proposition de résolution N°1637 du 3 juin 2004 présentée par l’ensemble des parlementaires du groupe socialiste et apparentés, signée par M. François Hollande et M.Jean-Marc Ayrault, et la proposition de loi N°1258 du 8 juillet 2013 déposée par les députés de l’UMP, montrent la convergence de l’ensemble des partis politiques sur la nécessité de reconnaître le « crime d’Etat » du 19 mars 1962. Seule la vérité de l’Histoire permettra l’apaisement des mémoires voulu par tous.
Le 18 mars 2014, je présiderai un déjeuner-débat auquel nous avons convié le Chef de l’Etat, le Premier ministre, M. Kader Arif, ministre de tutelle des Français rapatriés, et Mme Rose-Marie Antoine, Directrice générale l’ONAC-VG, office devenu depuis le 1er janvier 2014 le « guichet unique » de tous les Rapatriés.
A ce jour, malgré la relance de leurs Cabinets, seule Mme Rose-Marie Antoine nous a fait part du droit de réserve que lui impose, en tant que haut fonctionnaire, le gouvernement. Nous comprenons que les préoccupations internationales actuelles et les difficultés économiques et financières récurrentes de notre Pays conduisent le Chef de l’Etat et le gouvernement à s’appliquer à eux-mêmes le nouveau concept de « silence gardé » défini par l’article 21.1 de la loi N°2013-1005, traduction de la sagesse populaire du proverbe « qui ne dit mot consent ». En l’absence totale de contestation des vérités qu’elles affirment publiquement depuis le 25 septembre 2008, les associations de la campagne de presse « Vérité et Justice pour les Français rapatriés » invitent les médias et les parlementaires à la conférence de presse que je présiderai demain,
mardi 18 mars 2014 à 15 heures, au Pavillon Elysée Lenôtre, 10, Avenue des Champs Elysées, 75008 Paris
19 mars 1962, aujourd’hui plus personne ne peux dire « je ne savais pas ».
Pierre DESCAVES Juriste, Ancien député, conseiller honoraire de Picardie Engagé volontaire à 19 ans en 1943 dans l’Armée d’Afrique Président de la Convention Nationale des Rapatriés
CONFERENCE DE PRESSE Coordination nationale de la campagne « Vérité et Justice pour les Français Rapatriés » Contact médias et parlementaires - Bernard Coll : 06 80 21 78 54
http://www.actionfrancaise.net/craf/?COMMUNIQUE-DE-PRESSE-19-MARS-1962
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[Vidéo] Les dynasties des rois de France : note de lecture de Christophe Réveillard
Note de lecture de Christophe Réveillard au sujet du livre Les dynasties des rois de France, paru dans la collection l’Histoire de France, des éditions Atlas Glénat (octobre 2013).
Les dynasties des rois de France : note de... par realpolitiktv -
Les Partisans Blancs chanté par le choeur de la Joyeuse Garde