L'île de Ré ? Au cœur du mois d'août, ce nom évoque pour beaucoup de vacanciers l'attente au péage du pont, des balades à bicyclette ou encore un petit resto où l'on déguste quelques huîtres. Mais l'île de Ré, ce n'est pas que cela. Ce lieu de villégiature fut aussi, sous Louis XIII, celui d'une terrible bataille entre Français et Anglais, derniers soubresauts des guerre de Religion. Grâce à l’association « Île de Ré Patrimoine », c’est une part de notre récit national qui nous sera peut-être rendue. En effet, ce collectif affirme avoir découvert le lieu de la bataille du pont du Feneau qui aurait contribué à la victoire du siège de La Rochelle en 1628.
culture et histoire - Page 19
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L’île de Ré : une victoire des Français sur les Anglais
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Ne pas oublier Jean Mabire, normand, éveilleur des peuples d’Europe
Jean Mabire, écrivain prolifique et journaliste passionné, est né le 8 février 1927 à Paris et décédé le 29 mars 2006 à Saint-Malo. Bien qu’il soit né dans la capitale française, il est indissociable de la Normandie et de la Bretagne, deux régions auxquelles il a consacré une grande partie de sa vie et de son œuvre. Ce défenseur acharné des identités régionales a laissé derrière lui une bibliographie impressionnante, où se mêlent histoire, récits épiques et littérature engagée. Mabire a signé la plupart de ses écrits sous son nom, mais a également utilisé les pseudonymes Didier Brument, Éric Dubecquet et Henri Landemer.
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Martin Buber, d’Alain de Benoist
Sous la plume d’Alain de Benoist, la figure de Martin Buber illustre l’existence d’un type politique irréductible aux circonstances historiques, voire au contexte culturel. S’il existe vraisemblablement des partis et individualités de gauche (aspiration à l’égalité) et de droite (déploiement des différences) — suivant l’axiomatique de Norberto Bobbio (Droite et gauche, 1996) —, d’aucuns peuvent y voir une manière hémiplégique d’être au monde.
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Le nationalisme intégral résumé
Combat royaliste 45
Par Philippe Germain
Un patriote logique qui constate que la patrie française (ses territoires continental et outre-mer) n’a jamais été mieux protégée des prédateurs extérieurs que sous la monarchie, devient royaliste de raison, c’est-à-dire nationaliste intégral. Voilà pour la démarche.
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Les secrets des Grandes Eaux Nocturnes de Versailles
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Voici comment les néoconservateurs ont subverti la stabilisation financière de la Russie au début des années 1990
En 1989, j’ai été conseiller auprès du premier gouvernement post-communiste de Pologne et j’ai contribué à élaborer une stratégie de stabilisation financière et de transformation économique. Mes recommandations de 1989 appelaient à un soutien financier occidental à grande échelle pour l’économie polonaise afin d’empêcher une inflation galopante, de permettre une monnaie polonaise convertible à un taux de change stable et une ouverture du commerce et des investissements avec les pays de la Communauté européenne (aujourd’hui l’Union européenne). Ces recommandations ont été prises en compte par le gouvernement américain, le G7 et le Fonds monétaire international.
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Économie : "Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas" (Frédéric Bastiat)
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Science & Vie : « Il y a 5000 ans, les garçons jouaient déjà aux petites voitures et les filles à la poupée ! »
Des poupées pour les filles, des chariots pour les garçons! Il y a 5000 ans, les jouets étaient déjà “genrés”… c’est ce que révèlent une série de découvertes faites dans des tombes d’enfants de l’âge du Bronze, en Turquie et en Sibérie.
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Rideau de fer. Histoire de l’occupation soviétique
Comment l’URSS a-t-elle étendu son influence en Europe centrale et orientale après la Seconde Guerre mondiale ? C’est la question au cœur de la série documentaire réalisée par Tania Rakhmanova et diffusée sur Arte. Ce récit historique captivant se penche sur les années de domination soviétique, de la fin de la guerre en 1945 à la construction du mur de Berlin en 1961. En retraçant les étapes de cette transformation politique, économique et culturelle imposée par le Kremlin, la série nous plonge dans la vie des populations locales, prises dans l’engrenage d’une répression omniprésente.
Yalta : un pacte aux conséquences lourdes
Tout commence en février 1945, lorsque les dirigeants alliés se rencontrent à Yalta pour déterminer l’avenir de l’Europe d’après-guerre. Sous prétexte de garantir la stabilité, Staline s’engage auprès des États-Unis et du Royaume-Uni à instaurer des élections libres dans les territoires libérés par l’Armée rouge. Cependant, loin de ses promesses de démocratie, l’Union soviétique profite du chaos de la reconstruction pour installer des régimes communistes dans plusieurs pays de l’Est. En Pologne, Tchécoslovaquie, Hongrie et Allemagne de l’Est, les populations voient leur quotidien se transformer sous l’effet de l’idéologie marxiste-léniniste, imposée de force.
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La manipulation de l’histoire, une arme de choix pour l’extrême gauche marxiste et libertaire
Maurice Bernard
Il y a deux jours, l’ami Michel Festivi consacrait le dernier article qu’il a publié sur notre blog aux réactions hypocrites de l’extrême gauche communiste et trotskiste, après l’annonce d’une campagne d’affichage publicitaire pour le livre de Jordan Bardella, dans une centaine de gares SNCF (soit 3,3% seulement des quelque 3 000 que compte le réseau ferré !).
À cette occasion, il a souligné une nouvelle fois qu’« il faut reconnaître aux gauches une qualité "essentielle" : elles en remettent toujours une couche au niveau du combat sociétal et des idées et ne lâchent jamais l’affaire ».