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culture et histoire - Page 19

  • L’Europe d’une guerre à l’autre (X) -Qui a organisé la Famine de 1932-1933 en URSS ?

    Aujourd’hui, nous dirions qu’il s’agit d’un machiavélique false flag, peut-être le pire de tous ceux dont nous avons eu connaissance à ce jour. Toutes les composantes de la grande famine de 1932-1933 sont connues et répertoriées dans les livres d’Histoire, et pourtant seuls les récits conventionnels falsifiés circulent. Ceux qui ont organisé la catastrophe n’ont pas hésité à créer des crises dans leur système, à accepter l’effondrement de leur économie, à tuer des millions de leurs concitoyens, pour parvenir à leurs fins. Il existe d’étranges similitudes avec ce qui se passe aujourd’hui avec la Russie. Ceux qui croient que les difficultés qu’éprouvent les entreprises occidentales dues aux retombées des sanctions antirusses inciteront à stopper l’escalade des hostilités, se trompent lourdement. La machine pourrait bien aller jusqu’au bout, comme en 1933. Il suffit, pour s’en convaincre, de lire le texte ci-dessous. RI

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  • Le « Nœud gordien » : symbole de l’opposition entre l’Asie et l’Europe selon Jünger

    Le « Nœud gordien » : symbole de l’opposition entre l’Asie et l’Europe selon Jünger

    Dans cet ouvrage paru en 1953, Jünger se penche sur les rapports historiques entre l’Est et l’Ouest, entre l’Asie et l’Europe. À travers ces rapports, se cristallise une réflexion existentielle pour l’homme.

    Jünger prend pour objet de sa réflexion cette célèbre anecdote mettant en scène Alexandre le Grand qui trancha dans la ville de Gordion, en Asie Mineure, un nœud réputé impossible à défaire du char de Gordios, roi de Phrygie. Selon la légende, quiconque serait capable de le dénouer serait appelé à régner sur toute l’Asie. L’auteur cherche à rendre compte des relations entre l’Orient et l’Occident, considérées comme un thème historique fondamental, avec les contacts qui ont eu lieu entre l’Europe et l’Asie, depuis les guerres persiques jusqu’à nos jours.

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  • L’Europe d’une guerre à l’autre (IX) – Comment les Britanniques ont “libéré” la Grèce

    Par Nikolay STARIKOV  ORIENTAL REVIEW

    Les premières troupes aéroportées de l’armée britannique débarquèrent en Grèce le 4 octobre 1944. L’objectif principal de l’Angleterre dans ce pays n’était cependant pas de vaincre les forces allemandes, loin de là, mais de réaliser une avance rapide pour rencontrer les troupes soviétiques du maréchal Tolboukhine, qui venaient juste de mener avec succès une opération pour libérer la Yougoslavie. Ne rencontrant aucune résistance de la part des troupes allemandes, les Anglais s’empressèrent d’occuper le territoire libéré pour ne pas laisser entrer les Russes en Grèce.

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  • L’effondrement de Science po

    Science po s’appelait, jusqu’à la Deuxième Guerre Mondiale, l’Ecole Libre des Sciences Politiques créée au début des années 1870 pour former les élites intellectuelles, administratives et économiques françaises dans la perspective du redressement d’un pays abîmé par la défaite militaire contre la Prusse. Jusqu’à 1990, en gros, cette école présentait un haut niveau d’exigence, formait à l’histoire, le droit public et l’économie. Son succès reposait sur un concours d’entrée sélectif et la qualité d’une formation qui donnait accès, toujours par concours, aux plus hautes fonction de l’Etat.

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  • Lady Death : la sniper russe, née en Ukraine, la plus connue de la Seconde Guerre Mondiale

    La biographie de la célèbre sniper russe, Lioudmila Pavlitchenko, héroïne de l’Union Soviétique, vient de sortir en anglais aux éditions Greenhill Books « LADY DEATH THE MEMOIRS OF STALIN’S SNIPER ». Ceux qui ne lisent pas encore le russe mais l’anglais vont pouvoir se régaler en lisant la biographie de la célèbre sniper. Lioudmila Pavlitchenko, née à côté de Kiev, scolarisée et étudiante à Kiev, a tué plus de 500 soldats et officiers ennemis (des Allemands et des Roumains). 309 ont été officiellement reconnus sur sa longue liste de sniper « au nom de sa patrie » comme elle  aimait à le dire car Lioudmila Pavlitchenko a donné sa vie et sa jeunesse à sa patrie pour chasser l’occupant.

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  • Ukraine, et si c’était plutôt la guerre jusqu’au dernier Européen ?

    par Francis Goumain

    Selon un message posté sur Telegram :

    L’apparition en urgence d’une rafale de traités de sécurité bilatéraux entre Kiev et plusieurs membres de l’OTAN, démontre ce que certains annonçaient, qu’il s’agit de manœuvres destinées :

    – À contourner par des «initiatives nationales» la lourdeur d’un vote collectif,

    – À déresponsabiliser «officiellement» Washington qui a le commandement de l’OTAN.

    Dans la foulée des propos de Macron, le porte-parole du Conseil National de Sécurité états-unien, John Kirby, vient de déclarer : «Washington n’empêchera pas la France et d’autres pays d’envoyer des troupes en Ukraine».

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  • Adriano Romualdi et le nationalisme européen

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    Par Chiara (Blocco Studentesco)

    Source: https://www.bloccostudentesco.org/2024/03/01/bs-adriano-romualdi-crisi-nazionalismo/ 

    "L'infériorité de la droite européenne par rapport aux autres forces politiques s'explique notamment par son incapacité à proposer une alternative en phase avec son temps. Il faut se rendre à l'évidence: les discours, les slogans, les symboles et les leitmotivs de cette droite ont aujourd'hui quelque chose de désuet, de souvent pathétique et parfois de ridicule". Tels sont les premiers mots utilisés par Adriano Romualdi dans son essai "La droite et la crise du nationalisme", des mots qui restent d'actualité 50 ans plus tard. Considéré comme l'un des intellectuels les plus doués de la droite radicale, Romualdi n'hésite pas à critiquer le milieu politique dont il fait partie depuis son plus jeune âge ; dans son essai d'un peu plus de 32 pages, il réussit le tour de force d'analyser les causes de la crise de la droite et du nationalisme italien et, surtout, européen. 

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