culture et histoire - Page 21
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Les mythes grecs donnaient-ils un sens à l'existence ? avec Pierre Sauzeau
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Les mensonges de la Résistance communiste
Avocat honoraire, ancien bâtonnier de l’Ordre et collaborateur régulier de mensuels et sites nationalistes, Michel Festivi s’intéresse aux réalités de l’action du Parti communiste dans notre pays. Dans son livre, La désinformation autour du Parti communiste « français » (Éditions Dualpha, 352 pages, 39 euros), l’auteur propose une étude fouillée des « manipulations, trahisons, mystifications, constructions de mensonges, soutiens aux pires tyrans » auxquels s’est livré le « PC“F” » depuis l’origine, ce qui l’amène à plaider pour un « Nuremberg du communisme » destiné à rétablir la vérité historique.
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Et si on parlait de l’esclavage… des Européens ? (vidéo)
L’homme blanc, espèce en voie de disparition à l’heure de l’immigration de masse, doit périr. Spirituellement, physiquement, il doit être éradiqué. Nous pouvons observer sa lente agonie et sa disparition progressive.
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Le grand mensonge de la création de l’union européenne : « une vérité officielle », portée comme une Arche d’alliance par les lévites de Bruxelles ?
Jean Monnet, financé par la CIA, était un des fameux « Pères fondateurs »…
« Note de lecture n° 05 ».
Lire aussi : Walter Hallstein, premier président de la Commission européenne, appartenait au parti nazi.
Si d’aventure certains de nos lecteurs veulent participer à cette plongée dans la belle culture française – et même étrangère – nous les invitons à se signaler à cette adresse contact@medias-presse-info.com et à nous envoyer leurs « notes de lectures » préférées aux fins de publication sur MPI.
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Maurras, un grand défenseur de la civilisation
L’essai de Gérard Hupin, Un grand défenseur de la civilisation, Charles Maurras, a fait l’objet d’une conférence prononcée à la Tribune du Cercle « Septembre » à Bruxelles, le 21 mars 1955. Pour son impression, il a été préfacé par Gustave Thibon, que nous vous proposons de lire ici.
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par Gustave Thibon
J’ai lu avec un profond intérêt – un intérêt auquel ma vieille amitié pour l’homme que fut Maurras, ajoutait une note d’émotion intense – le petit livre que M. Gérard Hupin consacre au plus grand défenseur de la civilisation qui ait paru dans notre époque.
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Décidemment Jean-Michel Aphatie abhorre la France et les Français et nous ment sciemment
Michel Festivi
Cet homme hait la France et les Français. Chaque prise de paroles est pour lui l’occasion de vomir sur l’histoire de France. Il aurait été Bourguignon du temps de Jeanne d’Arc, il l’aurait regardée bruler vive, après l’avoir condamnée par principe. Non seulement il exècre tout ce qui touche de près ou de loin à la grandeur de la Patrie, mais qui plus est, il invente des fables historiques foireuses et nauséabondes, pour répandre son venin, sans être au demeurant interrompu par des journalistes insuffisants.
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Mystère viking sur l’île de Ré
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La Régence d’Alger avant l’intervention française de 1830 : un nid de pirates, d’esclavagistes et de criminels
Avant que la France ne pose le pied sur cette terre en 1830, ce qui allait devenir l'Algérie était un territoire où régnait le chaos. Imaginez un peu : la Régence d'Alger, soi-disant sous l'aile de l'Empire ottoman, mais en réalité, une véritable entreprise de piraterie. On ne parle pas d'un État structuré, mais d'un repaire où se côtoyaient flibustiers, marchands d'esclaves et autres bandits, profitant de la faiblesse d'un pouvoir central fantomatique. Leurs revenus ? Butins de guerre, traite humaine, impôts forcés... Les écrits de l'époque, bien loin des clichés romantiques, dépeignent une société d'une brutalité inouïe. La violence, la corruption, l'arbitraire... c'était le quotidien.
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Aspects économiques de la Révolution Française
par Bernard NOTIN
«La Révolution fut provoquée par les abus d'une classe revenue de tout, même de ses privilèges, auxquels elle s'agrippait par automatisme, sans passion ni acharnement, car elle avait un faible ostensible pour les idées de ceux qui allaient l'anéantir. La complaisance pour l'adversaire est le signe distinctif de la débilité, c'est à dire de la tolérance, laquelle n'est en dernier ressort qu'une coquetterie d'agonisants».
Cioran, Ecartèlement, Gallimard, 1979, p. 30.
Tout découpage dans le déroulement continu du temps global peut paraître arbitraire, et plus arbitraire encore celui qui se désintéresse des dates "historiques". Le mouvement de la pensée nous offre l'ensemble du XVIIIième siècle pour comprendre la formation économique des révolutionnaires. La périodisation des faits ne peut s'appuyer sur le commencement de la Révolution, mais plutôt sur 1778, date à laquelle interviennent d'une part la guerre d'Amérique et les dépenses qu'elle occasionne, d'autre part la fermeture de certains marchés (surtout pour les vins), l'ouverture de la plupart des ports espagnols au commerce d'Amérique, ce qui vivifie l'activité économique de la péninsule ibérique. Tout cela contribue à expliquer la gêne économique française à la veille de 1789. De plus, les figures de proue disparaissent dans ce laps de temps: Rousseau (1712-1778), Voltaire (1694-1778), Diderot (1884). Après que la pièce eut été écrite, le spectacle pouvait commencer. On est aussi tenté de se référer à une trinité solide. Avant la Révolution, l'agriculture périclite: c'est une période de stagnation et de baisse des prix qui dure jusqu'en 1787. Le marasme unit les difficultés des rentiers et des entrepreneurs, des bourgeois et des petits propriétaires, aux misères de la masse (1). Ensuite, la Révolution qui perturbe les conditions générales de l'activité économique. Enfin, les lendemains qui chantent ou déchantent: ruine du grand commerce, stagnation du secteur agricole et... première phase de la révolution industrielle. La Révolution crée aussi un lien entre ceux qui ont traversé la même tourmente et rapproche la pensée d'hommes assez différents. La distance semble très grande entre les scolastiques, les mercantilistes, la "secte" physiocratique. Or, ce triple sceau marquera les consensus et dissensus économiques des révolutionnaires.
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Une nouvelle enquête ?
par Adègne Nova
Pourquoi avoir enquêté sur la monarchie ? Quand Charles Maurras s’est lancé dans cette étude, longue, il s’y est attelé parce que le contexte de son époque le poussait à vouloir y voir clair dans l’État pour en vérifier les organes et les positions. Des décennies plus tard, le contexte encore – le même ? Non ! Bien pire… – nous fait dire que, définitivement, le régime en vigueur n’est pas apte à autre chose que mener la France à sa perte totale.