
Des chercheurs de l’Université de Cambridge ont découvert que les humains modernes descendent d’au moins deux populations ancestrales distinctes, qui se sont séparées il y a environ 1,5 million d’années avant de fusionner à nouveau il y a 300 000 ans. Contrairement à l’idée d’une lignée continue, ces résultats indiquent un passé bien plus complexe.

