culture et histoire - Page 642
-
L'enseignement et l'éthique de nos Rois! SACR TV
-
Bistro Libertés avec Geoffroy Lejeune (Valeurs Actuelles) : Le blasphème, un droit absolu ?
Martial Bild et les sociétaires reçoivent le rédacteur en chef du magazine « Valeurs actuelles », Geoffroy Lejeune. Au programme des débats :
Le blasphème, un droit absolu ?
Mila, adolescente de 16 ans a fait l’objet d’insultes et de menaces de mort pour avoir critiqué la religion musulmane sur les réseaux sociaux. Tout comme les caricatures de Mahomet, les dessins contre Benoit XVI et les injures contre le Christ sur France Inter, il y a un droit absolu au blasphème. Cependant, ce dernier est remis en cause par une importante partie de l’opinion publique, par des politiques et même le ministre de la Justice. Entre polémique et confusion, le blasphème est-il un droit absolu ?
Trump, saison 2 : une bonne nouvelle ?
Débarrassé de son procès en destitution, aidé par l’entrée en campagne calamiteuse des démocrates, tous ceux qui prédisaient la chute de la Maison Trump considèrent aujourd’hui, qu’il est en route pour un second mandat. Faut-il se réjouir du succès de celui que l’on présente comme le chef de file du populisme. Ou s’inquiéter de sa politique étrangère et de son protectionnisme économique peu compatible avec les options européennes ? Trump, saison 2, une bonne nouvelle ?
-
La Petite Histoire : Louis VI, le roi qui a soumis les seigneurs brigands
On le connait généralement sous son surnom tardif, « le Gros », et le public moderne en garde l’image caricaturale faite par le film Les Visiteurs, de Jean-Marie Poiré. Pourtant, avant de devenir impotent, Louis VI était surnommé « le Batailleur ». En effet, c’est l’arme à la main qu’il a soumis tous les seigneurs brigands du bassin parisien, agrandissant ainsi considérablement le domaine royal. Par ailleurs protecteur du pape, il a tenu tête à l’Empereur comme au roi d’Angleterre, tout en participant, en France, à l’essor des communes.
https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-louis-vi-le-roi-qui-a-soumis-les-seigneurs-brigands
-
Les Tudors : l'âge d'or de l'Angleterre ?
-
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
-
Histoire : Valmy, morne colline...
Morne colline Il ne s'est rien passé à Valmy
Il s'agit bien d'un mythe, mais dans son sens trivial : celui d'une grande fumisterie, qui a de plus semé les germes de la destruction de l'Europe.
« De ce lieu et de ce jour, date une nouvelle époque de l'histoire du monde, et vous pourrez dire : j'y étais ». Depuis bientôt deux siècles, la célèbre exclamation de Goethe est invoquée pour qualifier l'épisode de Valmy. Rapportée dans sa Campagne de France (1822), publiée trente ans après l'événement, elle aurait été, à en croire le poète, réellement prononcée par lui au soir de la « bataille », à laquelle il assista comme attaché à l'état-major de l'armée prussienne. Depuis bientôt deux siècles, cette phrase sert à accréditer le symbole qui s'attache, en France, à Valmy : celui d'une armée improvisée de fiers « volontaires », d'ardents « patriotes », d'un « peuple en armes » faisant barrage, grâce à sa bravoure et à sa foi en la Liberté, à l'invasion du territoire national par les armées du « despotisme » et de la « tyrannie », dont celle du roi de Prusse, la mieux entraînée d'Europe. Un symbole lui-même indissociable d'une scène maintes fois décrite et représentée : celle du général Kellermann en train de galvaniser ses troupes en agitant son chapeau placé au bout de son épée et criant : Vive la Nation ! sur fond de « ça ira ». Le lyrisme de Michelet a largement contribué à la populariser, en en rajoutant : « À l'exemple de Kellermann, tous les Français, ayant leurs chapeaux à la pointe des sabres, des épées, des baïonnettes, avaient poussé un grand cri… Ce cri de trente mille hommes remplissait toute la vallée : c'était comme un cri de joie, mais étonnamment prolongé ; il ne dura guère moins d'un quart d'heure fini ; il recommençait toujours, avec plus de force : la terre en tremblait… C'était : « Vive la Nation ! » (Histoire de la Révolution française).
-
Actualité de l'affaire Dreyfus
-
Conversations : Jean-François Gautier, un penseur incontournable (2ème partie)
Dans le cadre de l’émission « Conversations », Paul-Marie Coûteaux nous propose de partir à la découverte d’un personnage aux multiples facettes : Jean-François Gautier. Musicologue reconnu notamment pour son apport sur Palestrina et Debussy, Jean-François Gautier est aussi un penseur du GRECE, de la Nouvelle Droite qui représente un important courant de pensée en France. Acteur de la reconquête culturelle, Jean-François Gautier n’est pas seulement philosophe. Il est aussi un homme de sciences : il est un des fondateurs de l’étiopathie à laquelle il a consacré de nombreux ouvrages. Jean-François est plus qu’un touche à tout : il brille dans tout. C’est l’honneur de TVLibertés de vous mener à la rencontre de cette personnalité qui possède un regard éclairant sur les événements de ce monde. A voir Absolument !
https://www.tvlibertes.com/conversations-j-f-gautier-penseur-du-grece-2eme-partie
-
La soumission de l’Allemagne à la repentance coloniale
Par Bernard Lugan
Outre-Rhin, bien que la parenthèse coloniale n’ait duré que deux décennies, l’exigence de repentance atteint en ce moment des sommets inégalés. Même en France où, pourtant, il n’est pas possible de parler de la colonisation sans avoir préalablement revêtu le cilice de pénitence, l’exigence de soumission au dogme de la culpabilité coloniale n’a pas (encore ?) une telle ampleur.
En Allemagne, il est aujourd’hui impossible, tant elle est longue, de dresser la liste des rues, des places, des squares, des musées, des instituts et des casernes débaptisés au seul motif qu’ils ont un rapport avec la période coloniale ou avec des personnages ayant un lien avec cette dernière. Dirigé par la gauche, le Land de Berlin a même fait de la repentance coloniale un de ses principaux axes politiques, comme si la ville n’avait pas de problèmes plus urgents et plus concrets à régler… Ici, il n’est pas un jour sans qu’il soit demandé aux habitants transformés en chiens de Pavlov de l’auto-flagellation, de psalmodier la liste des péchés ultramarins de leurs grands-parents et de « regarder en face les crimes coloniaux allemands ainsi que le génocide des Herero et des Nama » commis en Namibie, l’ancien Sud-Ouest africain.
-
Arnaud Imatz : « L’oligarchie mondialiste, fléau de l’Amérique et de l’Europe »
Lorsqu’on vit depuis des années à l’étranger un sujet régulier d’étonnement est le mélange de répulsion-fascination que suscitent les États-Unis dans les grands médias de l’Hexagone. Certes, il ne s’agit pas d’une nouveauté. La généalogie de l’américanophobie et de l’américanophilie est bien établie. Les historiens la font remonter au XVIIIe siècle. Mais l’ampleur du parti pris journalistique à l’heure de traiter l’information sur l’ami-ennemi américain, est proprement sidérante. Le matraquage « obamaniaque », à l’automne 2012, quelques jours avant les élections présidentielles, n’en est qu’un exemple criant. Le message était d’un simplicité enfantine : il y avait d’une part, Barack Obama, le « bon », le réformateur, le « créateur » du système de protection sociale, et, d’autre part, Mitt Romney, le « méchant », le réactionnaire-opportuniste, le mormon milliardaire, le capitaliste va-t-en-guerre. Oubliée la loi de protection de la santé adoptée par l’État du Massachusetts, en 2006, sous l’impulsion du gouverneur Romney. Oubliées les interventions répétées de l’armée américaine sous les ordres du président démocrate sortant, les attaques de drones qui violaient le droit international (10 fois plus nombreuses que sous Bush Jr.) en particulier au Pakistan et au Yemen, l’envoi de 33000 hommes en Afghanistan, l’intervention en Lybie… En démocratie, disait le théoricien des relations internationales, Hans Morgenthau, « la propagande est inévitable, elle est un instrument de la politique », et son contrôle ne peut être qu’un travail de Pénélope. On ne supprime pas la propagande, pas plus qu’on n’élimine la conflictivité, au mieux, on la minimise.