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culture et histoire - Page 689

  • Une sélection d'articles de qualité : La semaine de Magistro

     Marc DUGOIS, Avocat : On se trompe de transition énergétique

    • Jacques BICHOT, Economiste, professeur honoraire à l'Université de Lyon 3 :    Libra ne semble pas devoir être une pyramide de Ponzi

    • Christophe GEFFROY, Directeur fondateur de la revue La Nef : PMA et déréglementation

    • Jacques BICHOT, Economiste, professeur honoraire à l'Université de Lyon 3 :     Retraites : la réforme en péril

    • Sophie de MENTHON, Présidente d'ETHIC : Quand les éléments de langage gouvernent le pays

    • Charles GAVE,  Economiste, financier : Quand le sage (Éric Zemmour) montre la lune, l’idiot regarde le doigt

    • Ivan RIOUFOL,  Journaliste politique : Débâcle de la République des grands mots

    • Paul RIGNAC,  Romancier, essayiste : Guerre civile (suite)

    • Sophie de MENTHON, Présidente d'ETHIC : Voilà les raisons pour lesquelles les Français aiment leur boite

    • Renaud GIRARD, Journaliste, géopoliticien : L’Europe a un vrai problème turc

    • Christine SOURGINS,  Historienne de l'art : Une nouvelle géopolitique de l’Art

    • Eric ZEMMOUR, Journaliste politique : Turquie, Syrie, Kurdistan, le sans-faute dans l’erreur des Français

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/22/une-selection-d-articles-de-qualite-la-semaine-de-magistro-6184327.html

  • La Gauche et l’idéologie socialiste ont ruiné l’éducation et le travail en France

    ruine-2-62f2e.jpgLa France un pays médiocre dans tous les scores éducatifs internationaux

    On peut certes s'auto-congratuler (85 % de bacheliers, 2,5 millions d'étudiants) et rejeter les classements tels que PIRLS ou PISA , nier le 2 millions de jeunes sans emploi ni la moindre éducation, oublier les 2 millions de salariés illettrés ou rejeter la disqualification de notre pays au sein d'une économie devenue celle de la connaissance et de l'information mais un fait demeure : l'école explose, l'éducation des jeunes comme des adultes est devenue parfaitement défaillante dans notre pays.

    • Les parents sont globalement désinvestis dans les sujets touchant à l'éducation de leurs enfants, ils attendent tout de l'école (l'instruction certes mais aussi l'éducation dans tous les sens du terme). Les parents n'assurent plus que le cadre affectif et matériel à leurs enfants, délaissant la transmission à d'autres (les profs, les curés, les imams ou les sectes politiques). 
    • L'école publique (et privée) est en perdition. Elle se résume pour 90 % des élèves à une garderie publique où les enfants sont accueillis tels qu'ils sont ("venez comme vous êtes") et dont la seule ambition est de les voir grandir tout en refilant la patate chaude des apprentissages et de l'instruction au niveau supérieur ("ils ne savent pas lire ni compter au primaire, pas grave ils apprendront au collège, ils n'ont aucune base en arrivant au collège, pas grave ils ont 4 ans pour apprendre, au lycée il leur manque à peu près tout, aucune importance ils ont le temps....")
    • Les entreprises se détournent de l'apprentissage et de la formation. Diabolisées par des révolutionnaires d'opérette (LFI, la CGT ou d'autres), soumises à un incroyable écheveau de règlementations, d'obligations, de cotisations et de charges financières et sociales de toute ordre (et les plus strictes au monde) la plupart des entreprises n'assument plus aucune de leur responsabilités éducatives (90 % des entreprises en France n'ont pas de politique développement des compétences, dixit la Dares et le Cereq). Elles gèrent les affaires courantes sans se préoccuper de remplacer ceux (très nombreux) qui partent à la retraite (prématurément en général) et ne prennent pas de jeunes pour continuer l'activité (une activité qu'on ne songe qu'à réduire ou à mener ailleurs, là où l'herbe est vraiment plus verte)

    L'abandon de notre éducation a démarré après mai-68

    Si le mouvement de mai-68 a pu avoir une justification dans certains domaines sociaux (les mœurs, la hiérarchie sociale, l'ouverture sur le monde) il a sans aucun doute démarré un mouvement qui en deux générations aura permis à l'école de n'être plus que l'ombre d'elle-même, une institution décatie, inerte et inefficiente qui tout en absorbant le premier budget de la Nation, décourage les meilleures volontés (profs comme élèves), naufrage les apprentissages Le Bac aujourd'hui est bien inférieur au Certif d'après-guerre pour une raison très simple : pour avoir le Certif jadis il fallait être capable de raisonner, de comprendre et d'expliquer. Aujourd'hui pour avoir le bac il suffit d'annoner ses leçons et de rester suffisamment longtemps dans le circuit scolaire pour l'obtenir... à l'ancienneté.

    Mai 68 : il est interdit d'être un bon élève, un bon travailleur

    Mai 68 ("ne pas perdre sa vie à la gagner") aura été la revanche des mauvais élèves, des cossards et des cancres qui sous prétexte de démocratisation aura permis à celui qui ne veut pas apprendre d'être considéré comme une victime, un pauvre qui mérite toutes les attentions (vision sulpicienne du monde). Au lieu d'élever les enfants (et les autres membres de la société) le socialisme né après 68 (car dès les années 70 le socialisme et ses postulats stupide a pollué la société française) a donné aux enfants toutes les bonnes raisons de ne pas faire d'efforts, de ne pas travailler en classe, d'attendre leur passage dans la classe supérieur comme un droit de l'homme (le Droit de l'homme du Diplôme comme l'avance Alain Finkielkraut).

    Mai 68 : une alliance entre les mauvais élèves (paresseux en général) et la médiocratie

    Milan Kundera l'a très bien narré dans plusieurs de ses romans, le communisme (ou socialisme d'Etat) encourage la médiocrité, nivelle les individus en mélangeant l'excellence à l'ignorance tout en espérant que le mélange procurera suffisamment d'intelligences moyennes pour développer le pays. Les esprits brillants (ou ceux qui ont le courage de se dépasser) sont fortement incités à lever le pied, à ne pas trop distancer ceux qui ne veulent pas (ou ne peuvent pas) avancer à une allure normale. Plutôt que de sacrifier quelques brebis galeuses (ceux qui par goût ou tradition familiale) ne veulent rien faire (et qui devraient en payer, au moins provisoirement le prix) on préfère sacrifier le groupe en le faisant régresser au niveau du plus faible, du moins combatif (le combat pour apprendre) du plus cossard (l'homme et le petit d'homme après un passage durant 3 à 4 années d'apprentissages intenses, ce petit d'homme - qui est aussi un animal social qui prend modèle sur les autres- peut très vite être découragé d'apprendre, encourager à se la couler douce, se mettre en position d'attente (ou de rebelle) pour ne plus rien apprendre.

    Le mauvais élève est devenu la norme et le modèle de l'école française 

    Dans une société encore fortement imprégnée de catholicisme le discours victimaire est parfaitement entendu et populaire. Le mauvais élève (appelé "élève en difficulté") est une victime (tout comme l'adulte pauvre, toujours dégagé de ses responsabilités dans sa situation, à cette victime (des riches, des puissants, des grandes entreprises, du capital et des bons élèves il faut fournir des explications et des excuses. 

    Les seules valeurs françaises contemporaines étant les loisirs, la retraite et la consommation, l'école n'a plus guère d'intérêt pour une immense majorité de familles (qui au mieux se préoccupent des résultats des enfants une fois par trimestre). Comme nous n'avons plus rien à transmettre (la foi a disparu, le socialisme a échoué) nous n'avons plus rien à apprendre (thèse de Marcel Gauchet dans son ouvrage "transmettre apprendre" et la Gauche et ses avatars auront été les premiers responsables de nos naufrages éducatifs et cognitifs actuels.

    L'Etat providence empêche ou retient d'apprendre

    Un être humain apprend de ses expériences (expérimentations), de ses échecs comme de ses réussites. Plutôt que de laisser nos contemporains faire leurs erreurs (ou leurs réussites) l'Etat providence (et totalisateur) prétend tout faire, tout encadrer, tout épargner au citoyen. En l'esserant dans un inextricable tissu de 300 000 règlements, lois et décrets on empêche à la fois chacun d'apprendre, de comprendre, de se responsabiliser et de prendre sa part au développement de la société.

    L'Etat en prétendant tout faire, tout encadrer, tout épargner musèle et castre les Français
    Notre pays a beau prétendre conforter les entrepreneurs, cajoler les start up ou encourager le travail il fait tout l'inverse en mettant en avant les loisirs, les RTT, les retraites prématurées, les carrières infiniement stables dans un travail normé, encadré, limité (un boulanger n'a pas le droit d'ouvrir 7 jours par semaine). Les résultats délétères de ce socialisme rampant (qui n'a pas besoin d'un président socialiste pour tout circonvenir) se mesure au très faible capacité de résistance, de résilience de notre pays. Si par malheur un jour nous devions cesser d'emprunter 1 milliard d'€ tous les 2 jours pour payer (à crédit) notre social, nos retraites, notre éducation au rabais, nous serions totalement démunis, incapables même de produire quelques aliments dans nos jardins paysagers ou nos champs sur-traités. Le Socialisme fut un piège, il aura mis 50 ans à tuer le travail, l'éducation et l'entreprise en France et il ne faudra pas moins de ce siècle pour nous en guérir. 

    par Perceval
  • Julien Langella : “Academia Christiana organise des rencontres publiques pour déniaiser les jeunes catholiques !”

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    Le 26 octobre prochain, à Paris, aura lieu un colloque organisé par l’Institut Academia Christiana intitulé « Regards croisés sur notre identité ».

    Boulevard Voltaire a souhaité en savoir plus et a interrogé son vice-président, Julien Langella.

    Pouvez-vous, tout d’abord, présenter aux lecteurs de Boulevard Voltaire Academia Christiana?

    Academia Christiana est une communauté et un institut de formation catholique et identitaire qui offre une formation intellectuelle à la jeunesse pour qu’elle s’engage radicalement au service du bien commun. Nous faisons rencontrer des élus, des créateurs d’écoles libres ou de médias à nos jeunes afin de leur montrer toute la palette des domaines dans lesquels ils peuvent servir . Notre université d’été a lieu la troisième semaine d’août et les participants peuvent assister à des conférences, suivre la messe quotidienne, apprendre la boxe thaï, les danses traditionnelles ou les techniques de secourisme. Bien sûr, nous battons aussi le pavé pour défendre la vie, la famille et notre pays ; nous avons noué des liens avec diverses organisations, comme Génération identitaire ou le Rassemblement national. Nous voulons forger des âmes de croisés pour la grande croisade contre l’argent-roi et la nouvelle tour de Babel ; en un mot : le .

    Dans la liste des intervenants de la journée, on trouve Alain de Benoist et Jean-Yves Le Gallou, mais aussi Jean-Pierre Maugendre et l’abbé Nicolas Télisson. Faire asseoir autour de la même table la Nouvelle Droite et des catholiques « intransigeants », c’est donc devenu possible ? Est-ce à dire que ce qui les séparait jadis relève de la querelle surannée au regard des enjeux actuels d’identité ?

    Nous avons des oppositions de fond, indéniables, mais qui sont peu de choses, en effet, devant l’ouragan migratoire qui défigure le Vieux Continent et le tsunami consumériste qui ne laisse sur son passage, au lieu de citoyens enracinés, que des consommateurs zombies hors-sol. Comme les papes l’ont toujours écrit dans leurs encycliques de Doctrine sociale, portant sur des sujets politiques, l’Église tend la main « aux hommes de bonne volonté », selon l’expression consacrée.
    Eh bien, l’Église, c’est aussi nous, « l’Église militante », l’armée des vivants qui prie pour les morts et défend leur héritage avec tous ceux, bien qu’éloignés de Dieu, qui sont viscéralement attachés au Beau, au Vrai et au Bien, et sont déterminés à se lever contre le torrent de laideur qui menace de nous engloutir. Notre combat passe par des voies politiques, bien sûr, mais vise au fond un objectif anthropologique : « refaire un peuple » (et non seulement une « majorité électorale »), comme disait Frédéric Mistral.
    Or, pour refaire ce peuple, tous les champions de bonne volonté sont les bienvenus. Il n’y a que deux côtés sur une barricade, aujourd’hui le clivage est clair : localistes, identitaires, patriotes attachés à la justice sociale bien comprise (rendre à chacun ce qui lui est dû), à la défense de nos terroirs, des savoir-faire et de la petite propriété, en face des mondialistes, partisans du gigantisme financier ou bureaucratique, étatistes et savants fous néo-libertaires.

    À la Convention de la droite, il y a quelques semaines, Robert Ménard a mis en garde contre une hypertrophie de la réflexion et du métapolitique au détriment de l’action politique. N’est-ce pas là un énième colloque ?

    Qu’est-ce que la Convention de la droite sinon, comme vous dites, un « énième colloque » où l’on expose des idées avec force et vigueur ? L’intitulé n’est pas le même mais quelle différence, fondamentalement ?
    Academia Christiana rejette l’esprit des salons mondains où l’on discute entre nous pour le plaisir de chatouiller le sexe des anges. Ce colloque est novateur puisque de telles rencontres publiques, rassemblant catholiques et païens, sont devenues rares, comme vous le relevez. Ce genre d’initiatives est indispensable pour nourrir la pensée des acteurs politiques : il doit y avoir au sein de chaque courant des pôles de formation et de réflexion qui ne doivent pas être contaminées par les règles de la communication médiatique, forcément court-termistes dans un régime parlementaire.
    Ces pôles doivent être des sanctuaires de vérité. C’est notre modeste ambition et elle ne s’oppose pas, au contraire, au combat électoral, puisque nous avons des membres qui seront candidats aux prochaines municipales et d’autres qui sont déjà élus et agissent concrètement, nous faisant partager leur expérience.

    Academia Christiana organise des rencontres publiques pour déniaiser les jeunes catholiques, c’est tout le contraire de l’hypertrophie métapolitique. Attention, par juste souci d’éviter le fétichisme de la « doctrine », de ne pas rejeter le combat des idées : à l’heure où la droite est si mal en point, qu’elle ne cesse de reculer depuis trente ans, il est urgent de faire un travail de pédagogie pour donner aux acteurs du combat patriote et identitaire les cartouches intellectuelles nécessaires. Voilà la raison d’être de ce colloque.

    Le site d’Academia Christiana : ICI.

    Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel

    https://www.bvoltaire.fr/julien-langella-academia-christiana-organise-des-rencontres-publiques-pour-deniaiser-les-jeunes-catholiques/

  • La révolution comme crime et comme déclassement

    6a00d8341c715453ef0240a4e2cc0a200b-320wi.jpgCe 16 octobre, lugubre anniversaire, on pouvait, on aurait dû, honorer le souvenir de la malheureuse reine de France Marie-Antoinette[1]. Elle ne fut pas seulement guillotinée en 1793 après un procès abject : son triste destin ternit encore, s'il en est besoin, le souvenir de la révolution française, pour ce qu'elle fut effectivement : une horreur.

    Si l'on entend construire un avenir de libertés, on ne saurait trop s'interroger peu plus au sujet de cette séquence de l'Histoire de France. Certains osent la tenir pour leur gloire fondatrice ; d'autres y voient au contraire le commencement de la fin. Elle n'est pas seulement entachée de ses crimes, telle Lady Macbeth : on doit comprendre qu'elle inaugure aussi l'ère du déclassement.

    Les périodes de déréliction, en effet, présentent un avantage paradoxal. Elles nous offrent l’occasion de nous poser la question "comment en sommes-nous arrivés là".

    Parmi les sujets d'affliction, hélas nombreux ces temps-ci, et soulignons-le : toutes proportions gardées, certains nostalgiques de la présence française dans le Proche-Orient ne manquent pas de s'interroger par exemple à propos du désastre de l'abandon des Kurdes de Syrie. On peut ainsi appliquer à nouveau cette remarque, désormais récurrente qui inspirait notre chronique[2] datée du 14 octobre : comment en est-on arrivé là?

    "Rarement dans l’histoire récente, nous n’avions vu une telle déconfiture française. La colère de Paris ne traduit que son impuissance. Pour la France, l’affaire syrienne aura été consternante de bout en bout." Observée de la sorte, par la très bourgeoise "Opinion", journal couramment favorable au pouvoir et au projet macroniens cette analyse de Jean-Dominique Merchet pèche sur un mot : l'adverbe "rarement".

    La pertinence, depuis deux siècles, de l'action extérieure de l'État français, me semble en effet l'exception. La règle paraît plutôt celle de l'incohérence, de l'inconstance et de l'absurdité.

    Travaillant actuellement sur le centenaire oublié du traité de Versailles, et à sa ratification, désormais occultée, votée par la chambre des députés en octobre 1919, traité complété par non moins injustes et non moins ineptes traités de Saint-Germain-en-Laye (10 septembre/21 octobre), Neuilly (27 novembre), Trianon (4 juin 1920) et Sèvres (10 août 1920) votre chroniqueur ne peut hélas que retrouver la trace de cette accablante imbécillité revancharde et sectaire, d'où est sortie la seconde guerre mondiale.

    C’est à la même époque en effet, où l'on s'abandonnait déjà à l'illusion mondialiste, celle de la Société des Nations, qu'en même temps, à l'occasion des Jeux Olympiques d'Anvers de 1920, on consacra officiellement le chauvinisme sportif de masse : les athlètes concourent, de façon institutionnelle désormais, au titre de leur nationalité juridique. Pierre de Coubertin, connais pas.

    C'est d'ailleurs au même moment où l'armée française, victorieuse en 1918, semble la plus puissante du monde, que la langue française cesse d'être celle des relations internationales.

    La question reste donc, répétons-le : "Comment en est-on arrivé là" ?

    À une telle interrogation, toute l'œuvre d'Emmanuel Beau de Loménie tend à répondre autour d'une thèse devenue centrale, celle des "Responsabilités des dynasties bourgeoises[3], cette histoire non-conformiste de la France contemporaine écrite à partir du désastre de 1940, et publiée à partir de 1943.

    Pour faire plus simple, ces "dynasties" étant étudiées et définies comme les héritières des profiteurs de la Révolution de 1789, c'est-à-dire avant tout des acquéreurs de biens nationaux, c'est bien évidemment la révolution elle-même, dans son ensemble, qu'il convient de mettre en examen.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] à visiter : "une femme de l'ombre, celui de sa belle-soeur Marie-Joséphine" à la Chapelle expiatoire
    [2]cf. "Une découverte tardive : le danger Erdogan"
    [3] cf. article "Une caste : les dynasties bourgeoises" in Le Monde 10 janvier 1978

    6a00d8341c715453ef0240a4be1351200d-320wi.jpgAux origines du déclassement de ce pays Charles Freppel : La Révolution française"
    Injustement oublié de nos jours l‘auteur fut l'une des plus intéressantes figures de la droite monarchiste du XIXe siècle. Constructeur actif, et politique intelligent, cet évêque d'Angers fut à l'origine des universités libres catholiques. Cet Alsacien saura se faire élire, en pleine IIIe république, député royaliste de Brest. Adversaire lucide de l'héritage jacobin, il résume dans ce petit livre fort, écrit à l’occasion du Centenaire, toutes les entraves, toutes les idées fausses et toutes les nuisances que les plaies de la Révolution de 1789 ont projetées sur l'avenir de la France. Il reprend ici un par un tous les faux arguments que nous entendons seriner encore aujourd’hui, y compris par des gens sincères, qui se disent “patriotes”, et de droite.
    ••• Un livre de 160 pages au prix de 20 euros.
    • à commander sur la page catalogue des Éditions du Trident
    • ou par chèque en téléchargeant un bon de commande

     →Lire aussi la Chronique de L'Insolent du 17 juillet 2008 "De la révolution, du 14 juillet, du jacobinisme et de l'horreur qu'ils doivent nous inspirer." Petit hommage à Charles Freppel.

    https://www.insolent.fr/

  • La Petite Histoire : Albert Roche, le premier soldat de France

    Dans la Grande Guerre, massification oblige, peu de place a été laissée aux héros, si ce n’est aux as de l’aviation. Et pourtant, dans ce tableau, Albert Roche fait figure de formidable exception. Surnommé le « premier soldat de France » par le maréchal Foch, ce simple soldat de première classe est le plus décoré de la Grande Guerre. Blessé à de nombreuses reprises, il a capturé quelques 1.180 soldats allemands et réalisé des actes de bravoures dignes d’un film hollywoodien. Retour sur un parcours hors du commun.

    https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-albert-roche-le-premier-soldat-de-france

  • YVAN BENEDETTI : L’ARME DE LA VÉRITÉ FACE À LA CENSURE ET À LA DESTRUCTION DES NATIONS.

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    Discours de Yvan Benedetti, Les Nationalistes, aux 13es Journées de Synthèse nationale, le samedi 12 octobre 2019 à Rungis.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/22/yvan-benedetti-l-arme-de-la-verite-face-a-la-censure-et-a-la-6184835.html

     

  • Royalistes : Militantisme et réunion de rentrée : Clermont Ferrand, Evry, Strasbourg...

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    Lafautearousseau

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/23/formation-et-militantisme-evry-strasbourg-6184295.html#more

  • François Bousquet « Sans courage, nous sommes morts à échéance 2050 »

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    Un demi-siècle de défaites et de renoncements : c’est le bilan accablant de la droite française selon François Bousquet. « Sans courage, nous sommes morts à échéance 2050 », dit-il, et c’est avec l’éthique que la droite française doit en premier lieu renouer.

    Source: Sputnik France

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/10/22/francois-bousquet-sans-courage-nous-sommes-morts-a-echeance-2050.html

  • À LIRE : LE NOUVEL ESSAI DE FRANÇOIS BOUSQUET, "COURAGE ! MANUEL DE GUÉRILLA CULTURELLE"

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    "Vivre dans le mensonge nous oblige ou bien à changer de vie ou bien à changer d’idées. La seconde solution étant de loin la plus commode, c’est elle qui s’impose généralement. Comme l’a souvent répété Alain de Benoist, on commence par avoir la stratégie de ses idées et on finit par épouser les idées de sa stratégie."

    François Bousquet, "Courage ! Manuel de guérilla culturelle", aux éditions de la Nouvelle Librairie. Pour l'acheter, cliquez ici

    RAPPEL :

    La conférence de François Bousquet aux Amis franciliens de Synthèse nationale en janvier dernier cliquez ici