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culture et histoire - Page 792

  • Zoom – Michel Fauquier : Une histoire de l’Europe : Aux sources de notre monde

  • Il faudra que les journalistes comprennent que leur technique de censure est assez inefficace

    Il faudra que les journalistes comprennent que leur technique de censure est assez inefficace

    De Guillaume de Thieulloy dans Les 4 Vérités à propos du dernier livre d’Eric Zemmour :

    […] Je n’ai pas encore lu ce nouvel ouvrage, mais le moins que je puisse dire, c’est que les attaques médiatiques m’en donnent envie! Il faudra, d’ailleurs, un jour, que les journalistes comprennent que leur technique de censure est assez inefficace. J’ai peut-être un peu plus l’esprit de contradiction que la moyenne de nos compatriotes, mais je pense que, nous sommes à peu près tous convaincus que, si un auteur horrifie la presse bien-pensante, il y a de fortes chances qu’il soit intéressant! Mais, en attendant de lire et de parler du livre lui-même, disons tout de même un mot de la polémique et des techniques d’intimidation.

    Comme souvent, cela part dans tous les sens. Éric Zemmour serait raciste, pour avoir dit à l’animatrice franco-sénégalaise Hapsatou Sy que ses parents auraient dû lui donner un prénom français. J’avoue ne pas comprendre ce qu’il pourrait y avoir de raciste là-dedans. Car, si je comprends bien, cela signifie qu’Éric Zemmour estime qu’une personne d’origine africaine peut fort bien devenir culturellement française. C’est donc rigoureusement l’antithèse du racisme. Que Zemmour soit l’un des derniers à croire à l’assimilation n’en fait tout de même pas un monstre !

    Zemmour serait aussi pétainiste. Si j’ai bien compris, cette terrible accusation (je rappelle tout de même qu’au moins 95 % des Français étaient pétainistes en 1940, mais sans doute étaient-ils tous d’odieux fascistes pour nos donneurs de leçons !) signifie qu’ il reprend la thèse du partage des tâches entre De Gaulle et Pétain, glaive et bouclier. […]

    Le vrai problème, c’est qu’Éric Zemmour est un triste révélateur de la réduction de notre liberté de parole. Il paraît que le « service public » va désormais refuser de l’inviter. Mais il reste, pour le moment, l’un des seuls à pouvoir dire dans les médias dominants ce que pensent tant de Français. Hélas, tout porte à craindre que les lois liberticides et la«bien-pensance» finissent par avoir raison de l’ intelligence.

    Boulevard Voltaire a lancé une pétition pour défendre le droit d’Eric Zemmour à la liberté d’expression.

    https://www.lesalonbeige.fr/il-faudra-que-les-journalistes-comprennent-que-leur-technique-de-censure-est-assez-inefficace/

  • Un nouveau livre de Jean-Claude Rolinat : La bombe africaine et ses fragmentations, aux éditions Dualpha

    3766775025.jpgEn guise de présentation de ce nouveau livre de Jean-Claude Rolinat, nous vous proposons la belle préface de notre ami Alain Sanders :

    La cause est entendue, l’homme blanc est coupable de tous les maux de la création, et en particulier en Afrique noire où la colonisation serait responsable de tous les malheurs qui frappent le continent. La vérité est bien plus complexe et moins simpliste qu’on veut bien le dire. Il est vrai que l’erreur principale du colonisateur aura été, lors de la conférence de Berlin en 1885, de ne pas tenir compte des réalités ethniques et d’avoir découpé, avec gourmandise, ce nouveau « fromage ». Mais l’homme blanc n’allait pas simplement en Afrique pour exploiter les natifs et les richesses continentales, il y allait pour évangéliser et apporter les bienfaits de la civilisation.

    Toutes les entreprises coloniales ne furent pas glorieuses, mais celles expérimentées par notre pays furent sans aucun doute, comparées à d’autres colonisateurs, les plus humaines, empreintes d’empathie pour ce que l’on appelait péjorativement les « indigènes ». Des hommes comme Léopold Sédar Senghor ou Houphouët Boigny, ayant atteint les sommets de la hiérarchie politique française, en ont été les preuves vivantes et auraient pu en témoigner.Vaste continent de 30 30 415 873 km² que les soubresauts de la décolonisation (bien souvent bâclée), n’auront pas épargné, les « sept plaies d’Égypte » se sont abattues sur lui : guerres coloniales et postcoloniales ; conflits ethniques ; pénuries d’eau ; famines ; maladies (notamment sida et Ebola) ; corruption, etc.

    Et, comme si tout cela ne suffisait pas, l’incapacité et la rapacité de nombre de dirigeants sanguinaires, corrompus, pratiquant souvent le népotisme, jettent une ombre sur la capacité d’une bonne gouvernance dans ces pays. Mais, le mal absolu, le danger suprême pour l’équilibre même de la planète, c’est la démographie explosive, non maîtrisée, de l’Afrique en général et de l’Afrique noire en particulier. De 100 millions d’habitants en 1900, la population du continent est passée à 640 millions dans les années 1990, pour atteindre et dépasser le milliard en 2015 (16 % de la planète, à comparer avec les 9 % de 1950 !). Selon les projections démographiques, sa population pourrait même atteindre plus de deux milliards en 2050 et, 4,4 milliards à la fin du XXIe siècle. Ce phénomène est une menace pour l’Europe, à la population vieillissante. Ce livre n’a pas d’autres prétentions que de rafraîchir les mémoires et d’être un lanceur d’alerte.

    L’auteur, successivement cadre administratif, archiviste-documentaliste et journaliste, élu local depuis 1977, aime à parcourir le monde et découvrir ses curiosités naturelles, historiques et politiques. Il a publié chez divers éditeurs 17 ouvrages, biographies de célébrités ou livres de géopolitique.

    Son dernier en date est La Hongrie, sentinelle de l'Europe aux Bouquins de Synthèse nationale cliquez làBulletin de commande

    La bombe africaine et ses fragmentations, Jean-Claude Rolinat, Editions Dualpha, 570 pages, 37 € cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La petite histoire : La prise de Grenade et la fin de la Reconquista

    Le 2 janvier 1492, la ville de Grenade, dernier bastion musulman en Espagne, est livrée au roi Ferdinand d’Aragon et à la reine Isabelle de Castille après des mois de siège. La prise de la ville met fin à plus de sept siècles de présence musulmane en péninsule ibérique ainsi qu’à la Reconquista, faisant de cette année 1492 une année glorieuse marquant le début du siècle d’or espagnol. Retour sur un épisode décisif de l’histoire européenne. 

    https://www.tvlibertes.com/2018/09/25/25932/prise-de-grenade-fin-de-reconquista

  • Identité et immigration : que répondre aux catholiques pro-migrants ? (Julien Langella)

  • Les reportages d’ERTV – Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac font le point sur le nationalisme français

    arton52079-f9d9c.jpgLe 4 juin 2018, Yvan Benedetti et Alexandre Gabriac comparaissaient à la 12ème chambre correctionnelle du TGI de Lyon pour « reconstitution de ligue dissoute ». L’occasion pour les reporters d’ERTV d’interroger ces militants de longue date à propos de la situation du nationalisme en France. 

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Les-reportages-d-ERTV-Yvan-Benedetti-et-Alexandre-Gabriac-font-le-point-sur-le-nationalisme-52079.html 

     

  • Le tribalisme blanc en action : Farmlands de Lauren Southern

    Lauren-Southern.jpgPar Spencer J. Quinn dans Counter-Currents Publishing (21.09.2018)

    La chose la plus dangereuse et la plus remarquable du merveilleux documentaire Farmlands de Lauren Southern est qu’il fait la promotion du tribalisme blanc. Pour la plupart des gens, blancs et non blancs, cela suffit à rendre le film anathème. Ils reconnaîtront que c’est un film qui brise les tabous et ils cesseront de regarder ou commenceront à haïr Lauren Southern en tant que raciste ou suprématiste blanche. Sympathiser avec les Blancs en tant que victimes n’est pas cool de nos jours, vous voyez.

    Toutefois, pour les Blancs soucieux de leur race, Farmlands ne se contente pas de briser les tabous, mais fait bien plus. Il suit Southern dans son périple à travers l’Afrique du Sud alors qu’elle découvre les abus, la négligence, la discrimination et la violence auxquels les Blancs, en tant que minorité, doivent faire face aux mains de la majorité noire et de leur gouvernement dirigé par des Noirs. Le documentaire n’aborde rien de moins que les problèmes de vie ou de mort auxquels ces personnes sont confrontées chaque jour, et les identifie très vite comme des victimes à la fois blanches et vertueuses. Il le fait, je crois comprendre, pour deux raisons principales. L’une est la raison évidente, textuelle : Les Blancs sud-africains souffrent de la chauve injustice de l’oppression raciale, un fait que quiconque n’est pas aveuglé par la gauche anti-blanche devrait apprécier. Et l’autre est la raison subtextuelle, pas si évidente : que nous, les blancs du public, devrions sympathiser avec les gens de ce film non seulement parce qu’ils sont des victimes innocentes, mais parce que nous sommes comme eux. Cette dernière notion fait de Farmlands un film vraiment radical, radical dans le bon sens du terme.

    Le film commence par Southern décrivant les raisons pour lesquelles elle s’est rendue en Afrique du Sud : les rumeurs selon lesquelles une grave injustice est perpétrée contre la population blanche sud-africaine, des rumeurs non seulement d’oppression mais aussi de massacres et de génocide potentiel. Elle admet qu’il s’agit de la version d’extrême droite de ce qui se passe là-bas, et que le récit dominant brosse un tableau beaucoup plus rose. En tant que journaliste désintéressée, elle veut cependant voir par elle-même où se trouve la vérité. Elle pense que c’est quelque part au milieu.

    Avant son arrivée, cependant, on nous offre un bref historique des Afrikaners blancs en Afrique du Sud. Ce sont les descendants des premiers colons néerlandais qui sont arrivés à la pointe sud de l’Afrique au XVIIe siècle et qui ont formé ce que l’on appelait la colonie du Cap néerlandais. Connus aujourd’hui sous le nom de Boers, les Afrikaners constituent la plupart des propriétaires agricoles qui sont victimes de la récente législation du gouvernement sud-africain sur l’appropriation des terres. Je suis sûr que Southern travaillait avec des contraintes de temps et de budget, puisque l’histoire parle peu de la présence anglaise en Afrique du Sud et du traumatisme causé par la guerre des Boers. Il ne mentionne pas non plus les lois antérieures à l’apartheid, comme la Loi sur les terres autochtones, et n’aborde pas en détail les luttes en noir et blanc du XXe siècle avant l’apartheid. Ce qu’il fait, cependant, est scandaleux : il offre l’histoire de l’Afrique du Sud d’un point de vue blanc.

    Southern nous informe que les premiers colons hollandais avaient acheté leurs terres à la population indigène Khoisan et entretenaient des relations surtout pacifiques avec eux. Ce n’est que dans les années 1830, lorsque les Boers, qui marchaient vers le nord, ont rencontré les Zoulous qui se déplaçaient vers le sud, que les problèmes ont commencé. Les Zoulous étaient en train de conquérir d’autres tribus bantoues et pensaient pouvoir faire de même avec les Boers. Mais bien sûr, ce n’est pas la perspective que l’on enseigne généralement dans les écoles de nos jours. Par exemple, mon édition de 1989 du manuel Harcourt Brace, The Mainstream of Civilization Since 1500, consacre quelques paragraphes à ce chapitre de l’histoire, et le raconte surtout dans une perspective noire. Je crois qu’on peut dire sans risque de se tromper que cela représente l’opinion générale (lire : anti-blanc) sur les Boers :

    Entre 1835 et 1844, affamés de terres et déterminés à préserver une suprématie blanche qu’ils considéraient que Dieu avait ordonnée, les Boers coulèrent vers le nord à travers la rivière Vaal et échappèrent au contrôle britannique. Le point culminant de ce « Grand Trek » fut la bataille de la rivière du Sang en 1838. Un train de chariots Boer a vaincu l’assaut du roi zoulou Dingaan, héritier du grand Shaka, qui avait créé l’armée la plus puissante au sud du Sahara.

    Eh bien, la deuxième plus puissante, mais qui veut pinailler ? Sérieusement, en décrivant les Boers comme « avides de terres  » et voulant « préserver une suprématie blanche « , tout en louant la puissance et l’ascendance de leurs ennemis noirs, les Boers sont présentés comme les méchants ici. Cependant, Laura Southern n’a rien de tout cela. Dans son histoire, elle décrit les événements horribles qui ont mené à la bataille de Blood River. Connu sous le nom de massacre de Weenenen, le roi Dingaan a rompu un traité qu’il avait conclu avec le dirigeant Boer Piet Retief et – de façon horrible – a massacré plus d’une centaine de Blancs, dont des femmes, des enfants et le propre fils de Retief. Ils ont gardé Retief pour la fin, pour qu’il puisse tout voir. Elle ne le dit peut-être pas dans son documentaire, mais après son histoire, il est clair que Southern souhaite que son public sympathise avec les Blancs d’Afrique du Sud.

    Une fois en Afrique du Sud, elle est témoin du fléau urbain et des bâtiments en flammes qui sont devenus endémiques. On lui dit qu’il y a en moyenne trente-deux manifestations par jour en Afrique du Sud. Quant aux tristement célèbres meurtres de fermiers, elle interviewe des gens qui en savent beaucoup sur eux. Connues sous le nom de « Soeurs de sang », ce groupe s’acquitte de la tâche effroyable de nettoyer les scènes de crime dans les fermes. Selon eux, le nombre de meurtres de fermiers de race noire sur blanc a augmenté récemment. Mais c’est un spectacle plutôt effrayant, car ces Blood Sisters ont trop peur de dire ce qu’elles pensent de ces meurtres par peur de leur propre gouvernement. C’est ce qui arrive quand on est un citoyen de seconde classe dans un pays sans Premier Amendement.

    Après cela, la situation ne fait qu’empirer (pour les Sud-Africains blancs, pas pour le documentaire). Southern interroge des agriculteurs qui racontent le meurtre de membres de leur famille. Ils expriment également leur frustration face au peu d’intérêt de la police pour leur bien-être et à l’indulgence du système à l’égard des tueurs. L’un d’eux a été condamné à quinze ans d’emprisonnement pour l’exécution d’un fermier blanc, mais il a été libéré plus tôt que cela.

    Mme Southern rencontre également des agriculteurs qui ont été forcés de quitter leurs terres et qui doivent faire face à ce qu’on appelle le programme « Black Economic Empowerment ». Ce programme fait en sorte que la nation majoritairement noire d’Afrique du Sud ait une majorité noire de travailleurs dans autant de professions que possible. Farmlands démontre comment, dans la pratique, cela conduit à remplacer les ingénieurs compétents en approvisionnement en eau blanche par des ingénieurs noirs moins compétents, ce qui cause des problèmes indicibles aux agriculteurs. Et c’est peut-être volontaire, puisque le gouvernement ne fait rien pour les résoudre. « Ils veulent qu’on meure de faim ou qu’on meure », nous dit un fermier Boer. Plus tard, lorsque Southern visite un camp d’Afrikaners appauvris, nous apprenons que ces gens ne peuvent pas quitter l’Afrique du Sud sans payer une petite fortune d’abord. Ils sont simplement coincés là – pour être exploités, négligés ou tués.

    Cependant, la plupart des entrevues avec deux sujets noirs qui ont accepté d’y participer sont effrayantes (et vengeantes). Ces deux personnes prouvent le point de vue de l’« extrême droite  » que Southern mentionne très tôt dans le film : que les Noirs d’Afrique du Sud ne pensent pas que les Blancs ont des droits qu’ils devraient respecter. Un certain Thabo Mokwena, membre du comité exécutif du Congrès national africain, affirme que la confiscation des fermes aura lieu, mais promet que cela se fera conformément à la loi. Et si la loi actuelle ne le permet pas, le gouvernement modifiera la loi. L’idée de l’immuabilité d’une loi semble donc complètement au-delà de cette personne. Une loi n’est qu’un obstacle à ce qu’un gouvernement vole ses citoyens – jusqu’à ce que, bien sûr, ce ne soit pas le cas.

    Bien pire que Mokwena est Zanele Lawana du mouvement Black Land First. Cette jeune femme n’a rien d’autre que de la haine blanche dans le cerveau, et elle a hâte de commencer une guerre raciale. « Nous sommes déjà en guerre ! » prévient-elle. « Nous venons vous chercher et nous allons prendre tout ce que vous possédez ! » Au moins, elle est honnête. Que quelqu’un puisse dire quelque chose d’aussi effronté et menaçant à la caméra sans s’attendre à payer un prix politique en dit long sur la situation anti-blanc de l’Afrique du Sud d’aujourd’hui. Comment peut-on ne pas voir qu’à moins que des mesures draconiennes ne soient prises rapidement, les jours des Blancs en Afrique du Sud sont comptés ?

    Mais bien sûr, Farmlands n’est pas anodin. Il raconte l’histoire d’une injustice contre les Blancs. Et à cause de ça, c’est une ligue à part entière.

    Spencer J. Quinn est un collaborateur fréquent de Counter-Currents et l’auteur du roman White Like You.

    Articles disponibles en français de Counter-Currents Publishing ici.

    http://grandfacho.com/le-tribalisme-blanc-en-action-farmlands-de-lauren-southern/

  • Politique & éco n°184 : Comment mener la bataille des idées ? Avec Yves-Marie Adeline

    Olivier Pichon reçoit Yves-Marie Adeline professeur, écrivain, conseiller scientifique de l’ISSEP et rédacteur en chef des cahiers de l’ISSEP.

    1) Pourquoi l’ISSEP ?
    – Institut fondé par Marion Maréchal
    – Remettre les idées à l’endroit
    – Sciences Po ou l’inculture
    – Le droit n’est plus enseigné dans l’esprit de la tradition des Européens
    – Parler de Turgot, de Constant, de Bastiat ou d’Aron est devenu impossible à Sciences PO
    – L’ISSEP ne forme pas au militantisme, il entend former les esprits

    2) Un Enjeu de civilisation : Macron et les Gaulois, le désamour ?
    – Réflexion et action
    – Critique de la réflexion, analogie avec 1453 (prise de Constantinople)
    – La réflexion et l’action, influence réciproque
    – L’exemple de la Turquie, l’ignorance des cadres politiques
    – Macron : une élection hors -sol, une élection sans peuple
    – Problèmes institutionnels, le premier ministre comme collaborateur de l’exécutif
    – Conséquence : inexistence du parlement
    – Où est le pouvoir : à l’Elysée et dans les grands corps (Conseil d’Etat, inspection des finances)
    “Les intouchables d’Etat, bienvenue en Macronie” de Vincent Jauvert

    3) Macron et la fuite en avant européenne
    – Une martingale à usage interne, casser la gauche et la droite sur la question européenne
    – La ligne de fracture entre populistes et européistes
    – Quelle alternative européenne ?
    – Et maintenant l’Italie, troisième puissance européenne
    – L’explosion de l’Europe n’est pas exclue
    – Sur la coopération européenne militaire
    – La suzeraineté américaine sur l’Europe
    – Difficulté à sortir de la vassalité
    – La rhétorique du déclin américain
    – Le Brexit fait de la France la seule puissance nucléaire de l’UE