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culture et histoire - Page 858

  • Avez-vous lu le roman de Thierry Bouclier "Le dernier des occupants" ? Vous devriez....

    2859464256.jpgPour le commander cliquez ici

    Ecoutez l'émission Synthèse avec Thierry Bouclier sur 

    Radio Libertés cliquez là

    De retour d’une soirée, Coralie et Alice, les deux filles de l’ancien préfet Louis Moreau, se font agresser dans les rues de Paris par une bande de racailles menée par Maga. Elles sont secourues par Georges Serpent et son fils Lucas, accompagnés de l’intrépide Nathaniel. Des liens se tissent entre ce jeune homme aux idées bien trempées et la très belle Coralie. Mais cette agression était-elle fortuite ? Quel rôle y tient le père des deux victimes ? Pourquoi le commissaire Levebe regarde-t-il Coralie avec insistance au cours de son enquête ? Les deux jeunes filles sont-elles toujours en danger ? Quel secret inavouable se dissimule derrière toute cette affaire aux multiples rebondissements ? Courses-poursuites, combats de rue, enlèvements, coups de feu mais également histoires d’amour et nostalgie dans un Paris et une banlieue défigurés, rythment d’un bout à l’autre ce roman noir.

    Le Dernier des occupants apparaît comme l’adaptation contemporaine, avec l’Est parisien comme décor et une intrigue policière en plus, de l’ouvrage de Fenimore Cooper, Le Dernier des Mohicans.

    Thierry Bouclier est avocat à la Cour. Il est notamment l’auteur de Tixier-Vignancour, une biographie (Rémi Perrin), La République amnésique (Terra Mare) et Qui suis-je ? A.D.G. (Pardès). Ce titre est le quatrième de la collection policière Le Lys Noir.

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  • Francophonie : Macron apôtre, en même temps, du tout-anglais

    Sachant qu’en dépit d’un désintérêt apparent, les Français sont attachés à la dimension internationale de leur langue, en raison même du statut que celle-ci a acquis autant dans la définition de leur identité que dans le prestige de leur pays, Macron ne pouvait faire autrement que de donner un lustre particulier à la première journée internationale de la francophonie de son mandat, le 20 mars.

    Aussi est-il allé prononcer à l’Académie française un discours sur la place du français dans le monde et son avenir, devant les académiciens et 300 jeunes choisis on ne sait comment. Peu importe. Invité, le matin même, dans la matinale d’Europe 1, l’académicien Jean-Christophe Rufin s’est amusé des digressions de langage habituelles du président, héritage de son passé professionnel : « Comme beaucoup, il est prisonnier du fait que dans certains milieux — notamment la banque et l’Internet —, l’anglais a pris une place considérable. Il vient de ces mondes, et forcément, il en est marqué », ajoutant, non sans ironie : « Toutes les conversions sont à prendre en compte, même si elles sont tardives », et de saluer le « sincère désir du président d’avoir une grande politique de francophonie ».

    Des mensonges éhontés

    Y croit-il vraiment ? Il est à craindre au contraire que la francophonie ne fasse particulièrement les frais de la vraie nature du « en même temps » présidentiel — un faux pragmatisme cachant un cynisme foncier et totalement déshinibé. Car les annonces présidentielles, en vue de faire du français la troisième langue internationale (après l’anglais et l’espagnol) la plus parlée au monde en 2050, dissimulent mal un statut de soumission par rapport à l’anglais qui demeure, pour Macron, la seule langue ayant droit au statut international en ce que c’est la langue du mondialisme et que le mondialisme est l’horizon indépassable de notre golden boy.  Il a avalisé le recul du français non seulement dans les domaines économique et scientifique – si bien que le français ne peut plus apparaître comme langue de l’innovation – mais également au sein des instances internationales et de l’Union européenne, tout en encourageant même sa disparition comme langue diplomatique par sa pratique indigne de l’anglais dans les visites officielles. Pour Macron — nous retrouvons le « en même temps » et son cynisme —, parler anglais aiderait même la francophonie ! « Je n’hésite jamais à m’exprimer à la fois en français et en anglais, sur des scènes internationales, devant des milieux d’affaires. Je pense que ça renforce la francophonie de montrer que le français n’est pas une langue enclavée, mais une langue qui s’inscrit dans le plurilinguisme. Je considère que c’est la bonne grammaire pour défendre le français partout dans les enceintes internationales », assure-t-il, avant d’ajouter : « Je ne fais pas partie des défenseurs grincheux ». Ne cherchez pas à savoir ce que signifie ici « grammaire », dernier mot à la mode pour dire « méthode ». Mais oser affirmer que le simple fait de parler français, c’est enclaver notre langue et que pratiquer le tout-anglais favoriserait … la place du français dans le monde en faisant preuve de plurilinguisme — un plurilinguisme dont ne se soucient guère les anglo-saxons qui semblent tout à fait satisfaits de l’enclavement de leur langue —, seul Macron pouvait oser une telle énormité, assénée avec un toupet aussi candide. Il ne recule devant aucun mensonge, fût-il le plus éhonté : c’est malheureusement sa force. C’est aussi sa faiblesse pour qui perce à jour son cynisme.

    Un statut de langue régionale

    C’est en fait un statut de langue régionale que Macron destine au français Car cet ambassadeur de la langue de l’oligarchie —  il n’a cure également de l’anglais : c’est le patois du monde des affaires qui l’intéresse — n’a qu’un seul objectif : endormir l’égo des Français en faisant du français la première langue africaine — et par contrecoup favoriser l’africanisation à venir de la France — tout en réservant, dans le reste du monde, le français aux classes moyennes supérieures qui verront son apprentissage par leurs rejetons comme un « plus » qu’elles ne favoriseront que tant que ce sera à la mode. Sa volonté de doubler le nombre d’élèves en écoles françaises à l’étranger manque d’ambition tout en couvrant un mensonge : jamais ces écoles n’ont vu leurs moyens  fondre autant que depuis l’arrivée de Macron à l’Elysée ! Une politique offensive ne consisterait pas à y doubler mais à y décupler le nombre d’élèves, tout n’étant qu’une question de priorité. Mais la francophonie, pour Macron, qui a supprimé tout poste ministériel afférent, doit surtout viser à favoriser l’invasion migratoire. D’où les moyens promis, et on peut supposer que cette promesse-là sera tenue, améliorant l’apprentissage du français par de pseudo-réfugiés qui n’ont pourtant pas vocation à rester sur le territoire.

    Défendre le français contre l’Élysée

    Par ailleurs il serait temps que nous cessions de nous disculper de mener, via la francophonie, une politique coloniale et de justifier la défense du français par celle du plurilinguisme ! Je ne sache pas que les Britanniques s’excusent à tout bout de champ de la place de l’anglais dans leurs anciennes colonies, ou dans les instances internationales, même celles qu’ils s’apprêtent à quitter ! La défense du français se suffit à elle-même. La francophonie va souffrir davantage encore durant les prochaines années car, à l’indifférence de Sarkozy ou de Hollande, a succédé, à l’Elysée, une hostilité déclarée au statut international de notre langue. Il convient de lutter pied à pied pour la place du français dans le monde, quitte à paraître grincheux ou enclavés.     

  • Pourquoi je vous conseille vraiment de lire le livre de Jean-Marie Le Pen

    2573372766.jpgAnne Lauwaert

    Riposte laïque cliquez ici

    Je viens de terminer le livre de Jean-Marie Le Pen. Je ne vais pas vous le « résumer » mais vous énoncer les raisons de l’acheter et, surtout, de le lire.

    – En premier lieu il faut l’acheter pour faire un pied de nez aux pisse-vinaigre, c’est une très bonne raison !

    – C’est une brique de 403 pages qui contient un index très fouillé et une chronologie qui permet de replacer beaucoup d’événements à leur place

    – Le style est rapide, direct, concret aux antipodes de l’hexagonal ou de la novlangue politiquement correcte.

    – Les raisonnements sont terre à terre, exemple :  La torture ? « les ordres étaient de juguler le terrorisme par tous les moyens (…) il y a eu des interrogatoires musclés (…) l’armée française revenait d’Indochine, là-bas elle avait vu des violences horribles qui passent l’imagination (…) les moyens qu’elle employa furent les moins violents possibles. Y figurent les coups, la gégène et la baignoire, mais nulle mutilation, rien qui touche à l’intégrité physique » Lors d’une enquête, le préfet d’Oran répond à un pasteur suédois : « Monsieur le pasteur votre protégé, ses couilles il les a toujours ? » «Oui, répondit interloqué l’homme du nord. » – « Pas les militaires français qui se font prendre en opération, ni les musulmans que le FLN massacre : il les leur coupe et il les leur fourre dans la bouche. Je tiens les photos à votre disposition »…

    – Jean-Marie Le Pen est un personnage, un gaillard en chair et en os, lourd comme un cheval de trait paysan, équilibré comme un marin qui tangue et qui roule, décidé comme un para de La Légion, solide comme un roc dans la tempête mais aussi frétillant quand il s’agit de femmes et émouvant quand il s’agit des animaux et de ses chiens. Il est issu d’une famille pauvre, marins du côté de son père, paysans du côté de sa mère, il fait l’école et un sévère collège des jésuites puis l’université en droit. Est refusé comme soldat car trop jeune pour faire la guerre en 40. En 1953, il organise des secours aux sinistrés des inondations hollandaises. Il s’engage dans la Légion, fait l’Indochine, Suez et l’Algérie. Sans doute dérange-t-il tant parce qu’il est l’antithèse des baudruches politiquement correctes qui actuellement tiennent le haut du Smartphone. Retourné au civil, il gère une maison de disques. Il suit un parcours politique qui va mener à la création du Front National mais ça ce sera pour le deuxième tome.

    – Il nous raconte un temps que plus personne ne connaît : il naît dans le village la Trinité-sur-mer, son grand-père est pêcheur, son père devient cap-hornier puis pêcheur et sera tué quand son bateau sautera sur une mine. J.M devient donc pupille de la Nation, « un peu plus français que les autres ». Il nous raconte comment c’était « avant » : la vie dure, les « métiers d’enfer » quand il était marin-pêcheur lui-même ou mineur dans une mine de charbon belge. Le bonheur en chantant et puis les premières BD, la collection Nelson, la machine à coudre Singer, le rouge à lèvres rouge baiser, les manteaux d’Astrakhan. Ben oui, comme quand nous étions enfants. Le peuple a arrêté de chanter quand le transistor est arrivé ; la liturgie romaine et le chant grégorien ont été remplacés par des niaiseries ; la musique classique et la poésie par le rap barbare. Ben oui.

    – Bref il nous raconte l’envers de l’Histoire depuis 1928 jusqu’à nos jours, avec ses mises au point concernant Vichy, De Gaulle, les guerres et l’Algérie, mai 68 et les catastrophes causées par les communistes, les socialistes et la gauche.  Mais aussi les occasions manquées de ce qui allait devenir le Front National.

    – Et, bien sûr Le Pen ne serait pas Le Pen s’il ne décochait pas quelques petites piques par exemple à l’encontre de ceux qui ont la mémoire courte…

    Après avoir lu ce livre. Nous avons l’impression de vivre dans une époque terrible, mais en fait cette époque terrible dure depuis des décennies, si pas de siècles. Comme dans les familles, les clubs ou les entreprises, tout irait bien s’il n’y avait pas, toujours, un emmerdeur pour semer la zizanie, ainsi les allemands, les communistes et actuellement l’immigration, l’islamisme, le mondialisme, etc. A chaque fois les gens « normaux » qui ont du bon sens (paysan) doivent se battre contre l’absurde qui coûte cher et qui tue.

    On peut aimer ou ne pas aimer cet homme, dans les deux cas cela vaut la peine de lire son livre car au-delà de sa biographie personnelle, qui n’est pas banale du tout, il nous décrit un temps qui n’existe plus et que j’ai eu du  plaisir à retrouver, sans être d’accord avec lui sur tout. Il m’a rappelé mes grands-parents paysans, mais aussi ce jour où mon père, après avoir écouté le journal parlé à notre petite radio nous dit « Dien Bien Phu est tombé… la guerre est finie… » Enfin je comprends ce que signifiaient les « Poujade avait raison » peinturlurés sur les murs que nous voyions quand nous descendions vers le Sud pour aller camper. Et puis, pèle mêle, entre « Les âmes mortes » de Gogol et « Les silences du Colonel Bramble » de Maurois, les livres de Lartéguy que mon père me permettait de lire pendant que nous étions couchés à rôtir sur les rochers de La Ciotat.

    J’ai eu un ami très cher, aujourd’hui décédé, colonel de l’armée suisse, né lui aussi dans les années 20, avec qui je n’étais pas d’accord sur tout, mais avec qui il était passionnant de bavarder entre personnes éduquées. Lui, ingénieur, chef de grosse entreprise, avait fait latin grec, moi, physiothérapeute, j’avais fait latin math ce qui me donnait quand même un peu de crédibilité, malgré la différence d’âge et d’expérience.

    Quand je vois à la télé les hystériques écervelées qui s’esclaffent à gorge aussi déployée qu’une porte cochère, qui criaillent et coupent la parole comme si leur maman ne leur avait pas appris les bonnes manières, je me dis, en pensant à cet ami, que, ô combien aux antipodes de la télé, cela doit être des moments rares de pouvoir rencontrer le Vieux Menhir et passer avec lui une soirée à parler entre gens qui ont reçu « une éducation », avec un bon p’tit calva et les chiens couchés devant le feu ouvert… et, pendant que les défenses arrogantes du Vieux se fondent, partager des confidences qui n’auront vécu qu’un seul soir…

    3954811088.jpgIl y a dans ces Vieux (= encore plus vieux que moi) une consistance indépendante de l’air du temps, un fond solide comme celui qui se dépose au fond des pots de confitures. Quand j’étais petite c’était encore « comme ça ». Aujourd’hui, tout est différent. Les jeunes découvriront dans ce livre l’ambiance de leurs grands-parents et surtout des opinions pas politiquement correctes. Pour les vieux… ben oui… c’était mieux, plus vrai, avant… C’était mieux quand c’était pire… Et puis la question amère : et maintenant, qu’est ce que nous allons pouvoir faire pour nous sortir de ce merdier désespérant ?

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  • Éric Zemmour : « Quand Macron, l'homme de la start-up nation, célèbre le français ! »

    BILLET - Le chef de l'États a dévoilé mardi 20 mars devant l'Académie française, un grand plan pour redynamiser l'usage du français et la francophonie. Le start-uper Macron défendant la langue de Molière ? Un joli paradoxe, nous dit Éric Zemmour. [RTL 22.03].  Il nous souvient que voilà déjà beau temps, Félix Leclerc, superbe chanteur québécois, dans un entretien à la télévision française, où on lui demandait si quelque chose le gênait en France lors de ses séjours, avait répondu : « La langue ... anglaise ». Que dirait-il à l'ère Macron ?  LFAR

    Résumé RTL par Éric Zemmour et Loïc Farge 

    Oyez, oyez, braves gens ! La langue française sera demain la troisième langue la plus parlée du monde. C'est notre seigneur Macron qui nous le fait mander. Oyez, oyez braves gens ! Sonnez trompettes et battez tambours !

    Mais au fait, sera-t-elle encore parlée en France ? On peut s'interroger, en parcourant les rues et les panneaux publicitaires : les « French bank » pour la Poste, les « I love TGV », les « We love technology » pour Bouygues. Sans parler des titres de films américains qu'on ne prend même plus le temps de traduire. 

    Éric Zemmour

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  • Le succès de la Fête du Pays Réel est un signal politique et religieux

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    La Fête du Pays Réel fut une véritable réussite. Comme l’a dit Alain Escada, président de Civitas, dans son discours final, voilà qui devrait en faire réfléchir plus d’un, tant dans le domaine politique que religieux, car cette réussite a été obtenue sans rien renier des convictions tranchées de ce mouvement catholique qui affiche fièrement sa devise « DIEU PATRIE FAMILLE » au-dessus de la tribune de ses intervenants.

    A 9h45, ce samedi 24 mars, devant la porte de l’Espace Jean Monnet à Rungis, la file des visiteurs s’allonge, tandis qu’à l’intérieur ce sont des dizaines de bénévoles qui s’affairent aux derniers détails et que plus de 125 exposants terminent leurs installations. Depuis 7h du matin, des messes se suivent dans une petite salle transformée en chapelle, auxquelles peuvent assister bénévoles et exposants qui le souhaitent.

    A 10h, les portes s’ouvrent au public qui doit d’abord passer entre un portique de sécurité avant de faire la file à la billetterie. Au même moment, dans la grande salle des exposants, un moine capucin entame la bénédiction des stands.

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    Un quart d’heure plus tard, dans la salle des conférences, l’abbé Xavier Beauvais monte à la tribune. Il ouvre la journée par une prière. Ensuite, brièvement, Alain Escada signale le message reçu de Mgr Tissier de Mallerais qui regrette de ne pouvoir être présent mais accorde sa bénédiction à cette Fête du Pays Réel et à ses participants. L’abbé Beauvais prononce alors le premier discours de la journée et fustige vigoureusement la laïcité.

    Le public déambule à sa guise, les uns assistent attentivement à cette première intervention, les autres découvrent avec surprise l’ampleur des lieux. La surface dévolue aux exposants a déjà doublé pour cette deuxième édition de la Fête du Pays Réel.

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    http://www.medias-presse.info/le-succes-de-la-fete-du-pays-reel-est-un-signal-politique-et-religieux/89216/

  • Message de Roland Hélie aux participants au 2e dîner de Synthèse nationale samedi dernier à Paris

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    Soyez les bienvenus au 2e dî­ner annuel cliquez ici des Amis franciliens de Synthèse nationale.

    Après la réussite du premier dîner que nous avions organisé l’an passé, ici même, à l’occasion du 70eanniversaire du Mouvement social italien, dî­ner au cours duquel notre camarade Massimo Ma­gliaro, ancien respon­sable national du MSI, nous avait éclairé sur l’histoire de son mouvement, nous avons décidé d’institutionnaliser ce nouveau rendez-vous annuel entre nos lecteurs et amis et notre revue.

    Nous pensons en effet que, dans la situation actuelle, il faut que les natio­naux, les nationalistes et les identitaires multiplient les occa­sions de se retrouver pour créer une véritable communauté combat­tante face à l’oligarchie mondialiste qui veut détruire notre nation et notre civilisa­tion. Il y a les meetings et les manifs, il y a les actions militantes et il y a aussi les réunions amicales comme celle de ce soir.

    Nous avons l’honneur et le plaisir de recevoir ce soir Jean-Marie Le Pen, Président d’honneur du Front national, qui nous parlera de ses Mémoires cliquez là dont le premier tome vient de sortir en librairie. Ce livre rencontre un énorme succès et il est d’ores et déjà classé parmi les meilleures ventes, ce qui ne nous surprend pas vraiment.

    Pendant des décennies, Jean-Marie Le Pen a incarné, en particulier lors des différentes élections présidentielles, la Droite nationale, sociale et populaire. Il avait prévu dès le début les dangers qui mena­cent de plus en plus la France et l’Europe. Il a été calomnié, insulté, condamné… Mais aujourd’hui un nombre croissant de nos compa­triotes reconnaît la véra­cité de ses dires et a envie, finalement, de mieux le connaître. C’est sans doute ce qui explique l’engouement pour son livre qui sera suivi, dans quelques mois, par un second tome. Mais je laisserai le soin au Prési­dent Le Pen de nous en parler lui-même.

    Quelques mots maintenant pour vous donner des nouvelles de Syn­thèse nationale. Notre prochain grand rendez-vous est fixé au di­manche 14 octobre à Rungis. Ce sera notre douzième Journée natio­nale et identi­taire à laquelle vous êtes tous conviés. Une fois de plus cette journée devra être une réussite car elle sera l’aboutissement d’une année d’efforts militants pour faire avancer nos idées et un tremplin vers 2019.

    Sur le plan éditorial, notre petite maison a publié cette année plu­sieurs livres dont celui de Carl Lang, Président du Parti de la France, Un che­min de résistance, et celui d’Hubert de Mesmay, Autop­sie d’un crash annoncé. De plus la campagne que nous avons amorcée au printemps dernier autour du livre d’Alban d’Arguin, Eo­liennes un scandale d’Etat, ne cesse de s’amplifier. Ce thème original nous permet, à cha­cune des conférences de l’auteur, de nous faire con­naître encore plus dans la France profonde.

    Quant au site d’information quotidien Synthèse nationale, lien perma­nent entre notre organisation et nos sympathisants, il est regardé chaque jour par plus de 5 000 personnes.

    Félicitons-nous aussi du partenariat que nous avons établi avec le groupe Libertés. Le jeudi à 18 h, vous pouvez ainsi retrou­ver l’émission « Syn­thèse » que j’anime avec Philippe Randa sur Radio Libertés.

    Mais tout cela à un prix. Tout ce que nous faisons, c’est grâce à votre générosité à tous. Nous ne sommes financés ni par les subven­tions grasse­ment attribuées à nos ennemis, ni par aucune hypothétique puis­sance étrangère. Il manque toujours quelques milliers d’€ pour boucler notre budget. Nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes et c’est grâce aux sacrifices de quelques-uns que Synthèse nationale réalise ses projets. Si nous avions un peu plus, nous pourrions faire beaucoup plus.

    Des projets nous en avons beaucoup et le premier d’entre eux, c’est le renouveau d’une véritable Droite nationale digne de ce nom en France.

    Lors de la dernière présidentielle, en mai 2017, le Système a uti­lisé son ultime rustine : Emmanuel Macron. Et contre toute attente, ça a mar­ché. Au moment où l’on assiste à une « droitisation », voire à un « sur­saut identitaire » de nos compatriotes, l’hyper classe apa­tride continue à nous im­poser sa volonté mortifère. Cela, nous ne pouvons pas le tolé­rer.

    Chers Amis, nous profiterons bien sûr de cette soirée patriotique pour vous demander de nous aider une fois de plus. Des enveloppes sont disponibles à cet effet sur votre table. Vous pourrez, si vous le souhai­tez, mettre votre contribution à l’intérieur et les déposer dans la cor­beille prévue à cet effet au « stand librairie » à la sortie de la salle.

    Vous pouvez aussi nous aider en :

    - vous abonnant à nos revues, Synthèse nationale bien sûr, et aux Ca­hiers d’Histoire du nationalisme.

    - achetant les livres que nous proposons (les auteurs présents vous les dédicaceront).

    - adhérant aux Amis de Synthèse nationale présidés par Jean-Paul Chayrigues de Olmetta et animés en Ile-de-France par Hugues Bouchu.

    Par avance nous vous remercions.

    N’oubliez jamais la devise que nous avons fait nôtre à Synthèse natio­nale : « Tant que les patriotes se battront, la France existera… »

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Pour aider Synthèse nationale cliquez ici

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