culture et histoire - Page 861
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Zoom - Christophe Dickès nous dévoile les secrets du Vatican
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BYZANCE & CONSTANTINOPLE (EMPIRE BYZANTIN) | 2000 ANS D’HISTOIRE | FRANCE INTER
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Lafautearousseau vous invite au colloque « Charles Maurras, l'homme de la politique » pour le 150e anniversaire de sa naissance
Retenez cette date.
L'on peut d'ores et déjà s'inscrire au colloque. Voir modalités ci-dessous.
Le 150ème anniversaire de la naissance de Charles Maurras sera par ailleurs commémoré le lendemain dimanche 22 avril. Programme à venir.
Manifestations organisées conjointement par Lafautearousseau, la Fédération Royaliste Provençale, le Cercle de Flore et le Cercle Vauban.
PAF 10 € (Entrée et pauses-café) - Jeunes 6 €
Règlements par chèque à l'adresse suivante : Les Amis de Lafautearousseau, 48 rue Sainte-Victoire 13006 Marseille (ordre Les Amis de Lafautearousseau).
Ou par PayPal (ci-dessous) en spécifiant « Colloque »
Contact
T. 06 08 31 54 97
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Hypersexualisation de la société : destruction de l'amour et des familles
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Assises de la maternelle – Une mise en scène diabolique
Les 27 et 28 mars 2018 ont eu lieu les « Assises de la maternelle » ouvertes par MACRON lui-même et préparées par le neuropsychiatre Boris CYRULNIK au nom du ministre de l’éducation JM BLANQUER, Assises auxquelles 400 membres et partenaires de la communauté éducative ont participé.
Nos gouvernants sont coutumiers de ces prétendues Assises, débats, consultations … dont les conclusions sont connues bien avant que les problèmes n’aient été soulevés et les questions posées !
Ces Assises ont prétendûment eu pour objectif de repenser la maternelle pour en faire une véritable « école du langage et de l’épanouissement ».
Qu’en est-il ?
Un abaissement de l’âge de la scolarisation obligatoire ?
Pour repenser la maternelle (sic), « …Nous abaissons l’âge de la scolarisation obligatoire à 3 ans… » ! dit le ministre BLANQUER, et cette annonce est relayée à grands renforts de publicité par tous les medias.
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°504
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Samedi 14 avril : Terre & peuple en Bretagne
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Reynald Secher - Reconquérir les mémoires
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Zakhar Prilepine : "Les progressistes seront choqués, me traiteront de barbare, de sauvage."
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Retour à Maurras : « Ce pays-ci n'est pas un terrain vague ... »
L’hospitalité
Il s'agit de savoir si nous sommes chez nous en France ou si nous n'y sommes plus ; si notre sol nous appartient ou si nous allons perdre avec lui notre fer, notre houille et notre pain ; si, avec les champs et la mer, les canaux et les fleuves, nous allons aliéner les habitations de nos pères, depuis le monument où se glorifie la Cité jusqu'aux humbles maisons de nos particuliers. Devant un cas de cette taille, il est ridicule de demander si la France renoncera aux traditions hospitalières d'un grand peuple civilisé. Avant d'hospitaliser, il faut être. Avant de rendre hommage aux supériorités littéraires ou scientifiques étrangères, il faut avoir gardé la qualité de nation française. Or il est parfaitement clair que nous n'existerons bientôt plus si nous continuons d'aller de ce train. (…)
Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie.
(…) La jeune France d'aujourd'hui est en réaction complète et profonde contre ce double mal. Elle rentre chez elle. Ses pénates intellectuels, ses pénates matériels seront reconquis. Il faut que l'ouvrier français, le savant, l'écrivain français soient privilégiés en France. Il faut que les importations intellectuelles et morales soient mises à leur rang et à leur mérite, non au-dessus de leur mérite et de leur rang. L'étiquette étrangère recommande un produit à la confiance publique : c'est à la défiance du pays que doit correspondre au contraire la vue de tout pavillon non français. Qu'une bonne marque étrangère triomphe par la suite de cette défiance, nous y consentons volontiers, n'ayant aucun intérêt à nous diminuer par l'ignorance ou le refus des avantages de dehors, mais l'intérêt primordial est de développer nos produits en soutenant nos producteurs. Le temps de la badauderie à la gauloise est fini. Nous redevenons des Français conscients d'une histoire incomparable, d'un territoire sans rival, d'un génie littéraire et scientifique dont les merveilles se confondent avec celles du genre humain.
Charles Maurras
L’Action française, 6 juillet 1912