Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 871

  • Emmanuel Macron voulait commémorer Mai 68, Éric Zemmour l’a fait… à sa façon !

    Telle fut la Une de l'hebdomadaire de l'Action Française à l'été 68

    3153493209.jpgUne excellente chronique instructive et qu'on ne peut qu'approuver, parue dans Boulevard Voltaire du 7.03. 

    Rappelons pour ceux qui l'ignoreraient que Gabrielle Cluzel a participé - d'ailleurs brillamment - au colloque du Cercle de Flore « Refonder le bien commun », du 13 mai dernier, à Paris.  LFAR

    Mai 68 fête ses cinquante ans et je note que nombre de baby-boomers, y compris estampillés « droite dure », peinent à le critiquer. Quand on les interroge, ils haussent les épaules et font la moue, embarrassés : il y a du bon et du mauvais, couçi-couça, ça se discute, faudrait-pas-jeter-le-bébé-avec-l’eau-du-bain… repensant peut-être à quelque taloche mémorable administrée par un père à l’ancienne. Ou parce que c’est leur seule guerre. Puis, condamner en bloc Mai 68 vous donne des airs sévères. Un peu de poudre de riz libertaire et de fard anti-bourgeois siéent mieux au teint.

    Éric Zemmour, lui, n’est pas du genre pusillanime ni démago – ça se saurait – et a l’habitude de porter les vérités disgracieuses, abruptes et ingrates, parce qu’il faut bien que quelqu’un s’y colle. Alors, il y va.

    Dans une synthèse brillante, il fait, dans les colonnes du Figaro, le procès à charge de « la grande désintégration occidentale ». Et il n’oublie rien, détaillant étape par étape le tsunami rigolard mais implacable qui a tout englouti sur son passage – les barrières, les frontières, les limites, l’ordre, les règles, les codes, les usages -, affublant du sceau infamant de « bourgeois » toutes les sédimentations successives – parfois imparfaites, certes, mais rien n’empêchait de les amender sans pour autant les pulvériser – qui, bon an mal an, elles, structuraient notre monde.

    Ils ont prétendu construire une contre-culture, mais la vérité est qu’ils n’ont su qu’ériger une non-culture. Une société décivilisée qui n’apparaît réellement qu’aujourd’hui, un peu comme un arbre qu’on scie à la racine. Au début, les feuilles restent vertes, les fleurs et les fruits, ignorants de leurs sort, continuent de vivoter sur leur lancée, car il reste un peu de sève. Puis tout s’étiole et meurt. Nous en sommes là.

    Et sous des oripeaux marxistes se cachait, analyse Éric Zemmour, le cheval de Troie « du marché » et de la consommation. Et il galope, débridé, s’infiltrant aujourd’hui dans toutes nos vies, y compris dans ses replis les plus intimes que sont la procréation ou la mort. 

    De proche en proche, méthodiquement, comme dans ces circuits fascinants où il suffit d’une chiquenaude pour insuffler la première dynamique pour que les morceaux de sucre s’affaissent les uns derrière les autres, les uns par les autres, tous les repères s’effondrent. Ni Dieu ni maître, scandaient-ils. Toute verticalité a été abolie. Toute hiérarchie, toute autorité. La figure du père a été détruite, celle de la mère aussi et, donc, la notion même de famille. Puis, en tirant le fil, exit cette « famille des familles » qu’est le pays. 

    Comme il fallait jouir sans entraves, les concept de devoir, donc de contrainte et, par voie de conséquence, de toute vie pacifique en société – qui implique par nature de « se gêner » – ont été de même anéantis.

    Bien sûr, il serait de bon goût de trouver quelque chose à sauver : quand même, me souffle-t-on, la libération sexuelle, l’émancipation des femmes, c’était quand même sympa !

    Mais quelle émancipation, quelle libération ? Aujourd’hui, justement, une improbable amende de 90 euros vient d’être instaurée pour sanctionner les outrages sexuels et sexistes, parce que le climat d’agressivité sexuelle serait devenu insupportable pour les femmes : « Montée en puissance d’un néopuritanisme féministe qui, au nom des droits des femmes, remet en cause l’hédonisme libertin des anciens soixante-huitards », décrit Éric Zemmour. Réfléchissons deux minutes : si les femmes se trouvaient épanouies par cet « hédonisme libertin », pourquoi donc voudraient-elles le « remettre en cause » ?

    « Sur les ruines de Mai 68, il faudra un jour reconstruire », conclut Éric Zemmour, faisant mentir ceux qui lui reprochent son côté « no future ». Et il a raison. C’est le côté exaltant quand il ne reste plus qu’un chantier fumant : tout reste à faire.   

     Ecrivain, journaliste Son blog

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/03/07/emmanuel-macron-voulait-commemorer-mai-68-eric-zemmour-l-a-f-6032267.html

  • Une politique pour l'an 2000 de Pierre Debray [XVIII]

    Maintenir, restaurer, exploiter  notre patrimoine historique ...

    Nous poursuivons la publication d'une série qui devrait faire date ; qui forme un ensemble à lire en entier : une étude de Pierre Debray parue en novembre 1985 dans le mensuel Je Suis Français, sous le titre Une politique pour l'an 2000. Nous sommes ici dans la 2ème partie de cette étude. La lecture de ces textes expliquera aux lecteurs qui ne l'ont pas connu le rôle intellectuel important de Pierre Debray à l'Action Française dans les années 1950-2000.  Cette analyse politique, économique, sociologique et historique, menée méthodiquement, à la maurrassienne, comporte de multiples enseignements, utiles aujourd'hui à notre école de pensée. Comme un stimulant de notre réflexion sur la situation présente de la France et sur l'action que nous avons à y mener. Même si le lecteur devra tenir compte des événements et des faits intervenus au cours des trois dernières décennies.  LFAR

    2ème partie : Une révolution copernicienne 

    LE RÈGNE DE LA QUANTITÉ S'ACHÈVE

    Trois types de services sont appelés à se développer, là-dessus l'accord est presque total et dans ce domaine également la reconstitution d'un marché plus large, constitué par les classes aisées s'impose : la restauration, le gardiennage, le nettoiement. Pour la restauration, il est évident qu'il faut une clientèle capable de dépenser davantage, sinon ce sera « le fast food », dans le pire des cas et dans le meilleur le sandwich. Une société de plus en plus fragile ne sera pas protégée par la seule police. La multiplication des entreprises de gardiennage répond à un besoin. La multiplication des résidences secondaires, abandonnées une partie de l'année, exigera que les particuliers fassent appel à ces entreprises. Encore convient-il qu'ils en aient les moyens. Le nettoiement lui aussi devra s'adresser aux particuliers. La domesticité, au sens ancien, ne se reconstituera pas. Ni l'évolution des mentalités ni l'exiguïté des appartements ne la favorisent. Par contre, déjà les traiteurs fournissent du personnel pour les réceptions. De plus en plus, des équipes effectueront les travaux pénibles, à condition de trouver un nombre suffisant de ménages susceptibles de conclure un contrat d'entretien, comme cela se passe aux Etats-Unis.

    Il est remarquable qu'en Lorraine le gouvernement socialiste, après avoir rêvé du développement de l'industrie électronique ait dû constater que celle-ci ne provoquait que peu d'emplois. Par contre un parc d'attraction en susciterait plusieurs milliers, sans exiger des efforts de formation coûteux, dont les résultats, sur une main d'œuvre mal préparée, restent aléatoires. Une prise de conscience s'opère, dans tous les secteurs de l'opinion, en dehors de celui, qui se marginalise, qu'occupe le parti communiste.

    Le mouvement général de la société la porte d'ailleurs vers l'amélioration de la qualité de la vie. La défense de l'environnement, la protection des sites, la rénovation des quartiers anciens, le régionalisme, le désir de « vivre au pays » afin de maintenir les solidarités familiales furent longtemps tenus pour « réactionnaires ». Une certaine extrême gauche s'en est emparée, les déformant, les travestissant, au point de les utiliser contre le progrès technologique (les centrales nucléaires) ou l'unité nationale. Il reste que, même mystifiées, les valeurs de la société préindustrielle retrouvent toute leur puissance. L'écologie a pris un tour idéologique, hostile au progrès des techniques qui la rend insupportable. Expression d'un retour à la qualité de la vie, en rupture avec la notion quantitative de « niveau de vie », elle s'accorde avec les nécessités économiques.

    Le gouvernement Fabius, en créant les TUC s'est engagé dans la bonne voie, encore qu'on doive craindre qu'il ne gâche une excellente idée. Il est absurde de payer des gens à ne rien faire. Ce gaspillage d'argent et de force de travail paraît aberrant. Pourquoi ne pas utiliser les chômeurs afin d'améliorer la qualité de la vie ? Dans le cas des TUC tout donne malheureusement à penser qu'il s'agit d'un gadget électoral destiné à camoufler ses échecs économiques. Le parti communiste n'a pas tort qui parle de tucs en toc à propos des « travaux d'utilité collective » (TUC). Une initiative heureuse, en soi, risque d'être gâchée dans la mesure où elle se traduira par une résurgence des « ateliers nationaux » de 1848, qui ont laissé de fâcheux souvenirs.

    Les TUC ne sont, dans trop de cas, une manière d'occuper des jeunes. Le souci de rentabilité, sinon financière, du moins sociale, reste insuffisant. Pour être efficaces, il faudrait les confier à des entreprises, déjà existantes ou à créer, avec le risque d'échec que cela implique. Certes, tout ce qui fut accompli par le Troisième Reich reste frappé de malédiction. Pourtant il serait opportun de s'inspirer de l'arbeitschaffung. Hitler pour combattre le chômage lança une politique de grands travaux. Les caisses étaient vides. Le docteur Schacht eut l'idée des traites de travail. Une municipalité décide de construire une cité ouvrière. Elle n'a pas le premier sou. Un établissement ad hoc, la Bank der deutschen arbeit lui donne un bon qui, placé sur un compte bancaire, permettra de payer, par un jeu d'écritures. La municipalité remboursera grâce aux locations d'appartements et aux impôts sur les bénéfices. Il ne s'agit pas de copier un système qui ne pouvait fonctionner que dans le cadre de l'autarcie économique. N'empêche qu'en deux ans le nombre de chômeurs a diminué de moitié.

    Il existe de nombreux besoins sociaux qui ne sont pas satisfaits : maintien des vieillards à domicile, haltes garderies pour permettre aux mères de famille de faire leurs courses, extension du système à tous les foyers où la femme travaille, des aides ménagères etc... De même, pour s'adapter à la révolution industrielle villes et régions seront contraintes de faire d'immenses efforts d'amélioration de la qualité de la vie. Les industries nouvelles ne s'implanteront pas n'importe où. Trois conditions devront être réunies : proximité d'une université de renom, existence d'une main d'œuvre qualifiée, possédant des traditions ouvrières de savoir-faire et de conscience professionnelle et de ce point de vue le Nord ou la Lorraine disposent de sérieux atouts, environnement naturel et culturel, susceptible d'attirer ingénieurs, chercheurs et cadres. Le développement du tourisme, des activités de loisir, de la consommation de biens « qualitatifs »suppose lui aussi l'amélioration de l'environnement naturel et culturel. Chaque ville, chaque « pays », chaque région devra, pour survivre, protéger ses sites et, à l'occasion, se débarrasser de ses friches industrielles, restaurer son patrimoine historique, planter des arbres, multiplier les jardins publics, les parcs d'attraction, les musées, les bibliothèques. Il ne s'agira plus de superfluités auxquelles un conseil municipal accorde, avec condescendance, de maigres crédits mais d'investissements dont la rentabilité économique, même si elle ne peut être calculée, se manifestera par les retombées industrielles (implantation d'entreprises) ou commerciales. Beaucoup de collectivités locales en prennent conscience.

    Le système que l'on peut envisager se fonde sur la mise en œuvre de plans d’aménagement communaux, intercommunaux, départementaux ou régionaux. Pour les financer les collectivités locales disposeraient d'un fonds où seraient versées les allocations-chômage correspondant aux emplois engendrés ainsi que, pendant trois ans, les cotisations de sécurité sociale que leur verseraient les entreprises bénéficiant de ces emplois. Cette mesure vise à dissuader les chasseurs de prime, ces entrepreneurs attirés par des avantages fiscaux ou des exonérations de charges sociales, qui ferment sitôt qu'ils n'en bénéficient plus. Les caisses de sécurité sociale de leur côté ne souffriraient aucun préjudice réel, les chômeurs ne leur rapportant rien. Ainsi chaque salaire serait couvert pour plus de moitié. Les communautés locales, pour compléter ce fonds, recourraient à des traites de travail qu'elles rembourseraient grâce au surcroît des impôts locaux provoqué par ces investissements, avec le risque normal d'erreurs d'appréciation, dont la population supporterait les conséquences puisque de toute façon il faudrait rembourser. Ces erreurs seraient moins nombreuses et surtout moins graves que si les décisions étaient prises par des technocrates irresponsables, les municipalités ou les conseils généraux, saisis pas la folie des grandeurs ou la démagogie, payant leur mauvaise gestion de leur renvoi par les électeurs.

    Ces travaux et ces services ne sauraient être accomplis directement par les communautés locales, qui, pour élargir leur clientèle électorale sont tentées de« créer » des emplois, sinon inutiles, du moins superflus, mais par, des entreprises, coopératives ou sociétés, déjà existantes ou qui se constitueraient pour bénéficier de ce marché. Soumise à la concurrence, elles s'engageraient, par contrat, à embaucher et à former des chômeurs pour l'exécution de ces travaux ou de ces services. Certains de ces emplois deviendraient permanents, d'autres, temporaires, susciteraient, du fait de la relance de l'économie locale, des emplois permanents. Il va de soi qu'un chômeur qui refuserait, deux fois de suite, un travail conforme à ses compétences et à ses capacités, serait trop souvent absent, ferait du mauvais esprit perdrait tout droit aux allocations.    A suivre  (A venir : Le règne de la quantité s'achève 3).

    Lire les articles précédents ...

    Une politique pour l'an 2000 de Pierre Debray     

    I     II     III     IV     V     VI     VII     VIII    IX     X    XI     XII     XIII     XIV     

    XV     XVI     XVII

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Conférence à Lille le 9 mars : L’Europe, une civilisation politique ?

    europe-civilisation-politique.jpg

    Les éditions BIOS organisent un cycle de conférences européennes dont la première se tiendra à Lille le 9 Mars 2018 et aura pour thème : Europe, une civilisation politique ? Cette version lilloise accueillera quatre conférenciers internationaux : Robert steuckers, Tomislav Sunic, Iurie Rosca et Alessandro Sansoni.

    L’aube d’une nouvelle révolution conservatrice européenne ?

    Nous sommes à l’aube d’une nouvelle révolution conservatrice et les peuples européens cherchent les incarnations politiques que de nouvelles formes organisationnelles pourraient prendre. D’un bio-conservatisme aux nécessités localistes en passant par les luttes contre tout les déracinements face aux vastes équilibres politiques des migrations à redessiner, les sujets que nous devons aborder pour ce XXIe siècle sont vitaux pour les européens et notre persistance historique.

    Ces nouvelles formes politiques du XXIe siècle en sont encore à leurs balbutiements. De nouveaux cycles s’ouvrent, les « résistances progressistes » sont au bord de l’asphyxie et un nombre croissant de catastrophes convergent à l’horizon des années 2030 – 2050.

    Dans notre première conférence du 9 Mars 2018 à Lille, nous nous poserons la question suivante : Sommes-nous une civilisation politique ? Pour cela, nous invitons Robert Steuckers, historien et géopolitologue, qui vient de publier aux Editions BIOS un véritable guide de survie culturelle pour les Européens. Robert Steuckers nous parlera de la civilisation européenne, de ses origines (souvent méconnues du grand public ou des « experts ») et développera sa pensée autour de formes possibles d’un renouveau conservateur pan-européen.

    Iurie Rosca exposera la situation d’un pays dont on parle peu en Europe occidentale mais qui est un pivot stratégique dans les relations entre la partie occidentale de l’Europe et sa partie orientale. La Moldavie, véritable virgule géo-stratégique. Incomprise, toute virgule peut changer le cours d’une Europe en réécriture.

    Les « résistances progressistes » à l’oeuvre au sein de l’Union Européenne se fondent-elles trop sur une domination des relations transatlantiques ? Tomislav Sunic décodera les ressorts d’un recentrage possible des institutions de l’UE et de ses « Fake News » en proposant une grille d’analyse et de lecture des forces en présence, de leurs ambitions et des possibles axes de ruptures entre lobbies et institutions.

    Enfin, le 4 mars 2018, l’Italie connaitra-t-elle une nouvelle respiration conservatrice ?

    Alessandro Sansoni analysera les résultats obtenus par les nouvelles alliances conservatrices italiennes, prémisses possibles au renouveau démocratique en Europe lors des futures échéances européennes de 2019.

    Les intervenants

    Robert Steuckers : Essayiste et militant politique belge est né 1956 à Uccle. Proche de la Nouvelle Droite, il a été le théoricien de la révolution conservatrice de la « Nouvelle Droite ». Il quitte le GRECE en 1993, pour créer Synergies européennes, où il défend les thèses d’un nationalisme anticapitaliste pan-européen. Biographie. Il est l’auteur de nombreux ouvrages de référence, notamment sur la Révolution Conservatrice et sur la civilisation Européenne dans lesquels il sacre l’importance de la géopolitique et des sciences juridiques, savoirs qui sont de première nécessité pour suggérer une organisation politique concrète de l’espace culturel européen.

    Iurie Roşca, Chişinău : Journaliste et homme politique Moldave, Iurie est né en 1961. Vice-premier ministre de juin à septembre 2009. Vice-président du Parlement de mars 2005 à mai 2009. Iurie Roşca est diplômé en 1984 de la faculté de journalisme de l’Université d’État de Moldavie. Il a ensuite travaillé comme correspondant pour le journal Tinerimea Mol-dovei (La jeunesse de Moldavie), reporter pour la télévision nationale de Moldavie et conservateur de haut niveau au musée de la littérature Dimitrie Cantemir à Chişinău. En 1989 est l’un des fondateurs du Front populaire de Moldavie.

    Tomislav Sunic, Zagreb : Tomislav est écrivain et traducteur américano-croate, ancien professeur en science politique et ancien diplomate, né à Zagreb, en Croatie, en 1953. Il est l’auteur de nombreux ouvrages disponibles en Américain, Croate et en Français. Biographie // En 2009, Tomislav Sunić commença à diffuser une émission radio sur le réseau Voice of Reason. La première émission « The New Nationalist Perspective » eut lieu en juin 2016. Les sujets les plus abordés sont la culture, le nationalisme et la politique. La pensée de Sunić a été décrite comme « dans la continuité du GRECE d’Alain de Benoist », et qu’elle «s’adresse au monde moderne de l’hyper-progressisme, le capitalisme mondialisé et la crise de la civilisation indo-européenne dont nous avons hérités ».

    Alessandro Sansoni, Naples : Alessandro est né en 1976 est journaliste et membre de l’ordre national des journalistes italiens. Il est diplômé en philosophie et a obtenu un doctorat en histoire sur l’histoire économique des années 400. Biographie. Il a collaboré avec la chaire d’Histoire Médiévale au Département d’Histoire de la Faculté de Lettres et de Philosophie de l’Université de Naples Federico II. Journaliste politique, il traite de sujet nationaux et internationaux, d’économie et de culture. Il a conçu et dirige “Fuori dal Coro”, diffusé chaque semaine sur le circuit de Julie Italia. Il préside l’association MODAVI avec laquelle il a donné vie au Centre de Documentation contre la Camorra aux “Journalistes contre la camorra”.

    Article paru sur le site de Editionsbios.fr

    https://fr.novopress.info/

  • POURQUOI MACRON PROTÈGE EFFECTIVEMENT "LA VIE DÉMOCRATIQUE" ? | NOVLANGUE

  • La différence entre les homosexuels et les “homosexualistes”

    6a00d83451619c69e201bb09f93051970d-800wi.pngInterrogé dans la revue LGBT Friendly, Jean-Marie Le Pen assure n'être « pas du tout » homophobe.

    « D'ailleurs la plupart de mes collaborateurs sont homosexuels ». «Je fais bien la différence entre les homosexuels et les “homosexualistes” qui sont ceux qui transforment leur choix sexuel personnel en idéologie politique».

    « La LGBT, c'est un lobby qui veut peser sur l'opinion, et qui s'érige en représentant d'une communauté sans en avoir le mandat ». « A partir du moment où les homosexuels ne mettent pas leurs mains dans ma braguette ou dans celle de mes petits-enfants, et qu'ils ne se promènent pas avec une plume dans le cul sur les Champs-Elysées, ça m'est égal ».

    Par ailleurs, selon lui, les agressions contre les homosexuels « viennent généralement de la part des musulmans, qui ont dans ce domaine un rigorisme plus marqué que d'autres religions ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html