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culture et histoire - Page 896

  • Thorez était-il antisémite ? Stalinien, sûrement ! Déserteur, aussi ! Il a été « commémoré » en 2014 ...

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    Lire aussi dans Lafautearousseau,

    regarder la vidéo où il est question de Maurice Thorez et Léon Blum ... 

    Le Figaro : Pourquoi Charles Maurras ne sera pas « commémoré »

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • LA GENÈSE PHILOSOPHIQUE DU CLIVAGE GAUCHE / DROITE | QUELQUES BASES

  • Hubert de Mesmay invité par Martial Bild au zoom de TV Libertés

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  • C’était un 6 février…

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    1934 : à l’appel d’organisations patriotiques (Croix-de-feu, Ligue d’Action française, Jeunesses patriotes, Solidarité française…), des dizaines de milliers de Français, dont beaucoup d’anciens combattants, manifestent à Paris contre la corruption extrême qui règne dans les milieux politiques (l’affaire Stavisky est un élément déclencheur), au cri de « à bas les voleurs ! »

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    Alors que la tension monte et que les Croix-de-feu se dispersent sagement, rive droite, des heurts ont lieu entre manifestants et policiers. La foule s’approche trop du Palais Bourbon au goût du Régime, qui fait tirer les Gardes mobiles sur les citoyens…

    22 Français mourront sous les balles de la République et plus d’un millier sera blessé.

    La Gauche prétendra qu’il s’est agi d’une tentative de « coup d’Etat fasciste » et à son arrivée au pouvoir en 1936, dissoudra les puissantes ligues. Côté patriote, les déçus de l’attitude de Maurras (maniant la plume dans les locaux du journal ce soir-là, pendant que les militants se battaient et souhaitaient pour nombre d’entre eux prendre la Chambre) vont créer une organisation clandestine qui fera beaucoup parler d’elle : « la Cagoule » (lire article ici).

    Chaque année les nationalistes rendent hommage à ces morts. Comme Robert Brasillach en son temps :

    « Pour nous, nous n’avons pas à renier le 6 février. Chaque année nous allons porter des violettes place de la Concorde, devant cette fontaine devenue cénotaphe, en souvenir des vingt-deux morts. Chaque année la foule diminue, parce que les patriotes français sont oublieux par nature. Seuls les révolutionnaires ont compris le sens des mythes et des cérémonies. Mais si le 6 fut un mauvais complot, ce fut une nuit de sacrifices, qui reste dans notre souvenir avec son odeur, son vent froid, ses pâles figures courantes, ses groupes humains au bord des trottoirs, son espérance invincible d’une Révolution nationale, la naissance exacte du nationalisme social de notre pays. Qu’importe si, plus tard, tout a été exploité, par la droite et par la gauche, de ce feu brûlant, de ces morts qui ont été purs. On n’empêchera pas ce qui a été d’avoir été. » Robert Brasillach, in Notre avant-guerre.

    434073.jpg1945 : mise à mort du poète et journaliste nationaliste Robert Brasillach, à l’âge de 35 ans, victime de l’Épuration. [livres de lui et sur lui ici].

    Les derniers coups de feu continuent de briller Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres. Sur onze ans de retard, serai-je donc des vôtres ? Je pense à vous ce soir, ô morts de Février. Robert Brasillach, 5 février 1945

    Ses Poèmes de Fresnes méritent de figurer dans les bibliothèques des patriotes. Ils ont été l’objet d’une heureuse réédition dont voici la 4e de couverture : « Ecrivain reconnu et journaliste engagé, Robert Brasillach va payer cher les choix qu’il fit durant la Deuxième Guerre mondiale. Condamné à mort pour des écrits, après un procès de six heures et une délibération de vingt minutes, il ne bénéficiera d’aucune grâce en dépit d’une large mobilisation de personnalités de divers bords (tels que Paul Valéry, Paul Claudel, François Mauriac, Albert Camus, Marcel Aymé, Jean Cocteau, Jean Anouilh, Thierry Maulnier…). Aucun des recours déposés par Jacques Isorni, son avocat, n’aboutira. Robert Brasillach va donc se retrouver à Fresnes, dans le quartier des condamnés à mort. Les semaines passant, le funeste sort qui l’attend se fera de plus en plus certain. Durant ses quelques mois de captivité, il rédigera secrètement des poèmes (il n’avait droit ni à un stylo, ni à du papier), jusqu’à l’issue fatale qui le verra tomber sous des balles françaises, le six février 1945, à l’âge de trente-cinq ans. Ils dévoilent un poète de grand talent, sensible, témoignant d’une hauteur d’âme remarquable. »
    http://www.contre-info.com/cetait-6-fevrier#more-17735

  • Céline, Maurras : la clique macroniste réécrit l’Histoire. Ce sont des révisionnistes

    6a00d83451619c69e201bb09f0b782970d-250wi.jpgDe Camille La Hire dans l'Incorrect :

    "Frédéric Potier, délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (la bien nommée DILCRAHLGBT) est un jeune homme dans le vent (nauséabond de l’Histoire). Il a réussi à faire parler de son machin ministériel à l’occasion de « l’affaire » des pamphlets de Céline (écrivain), dont il découvrait l’antisémitisme avec stupeur : « Ce sont des ouvrages carrément [sic] antisémites et racistes. J’ai relu hier soir une partie de ‘L’École des cadavres’, qui date de 1937 [de 1938] : il ne s’agit pas d’une version soft [sic] du ‘Voyage au bout de la nuit’, mais d’incitation à la haine pure et dure », déclarait-il à l’AFP.

    C’est un homme carrément courageux, car, selon Serge Klarsfeld, lire les pamphlets de Céline est susceptible de vous donner l’envie d’abattre un Juif dans la rue (en criant Allah Akbar ?). Ce qui serait en effet fâcheux pour le délégué de la DILCRAHLGBT. Et d’ailleurs, Potier Frédéric prétend qu’il a « relu » L’Ecole des cadavres. Ce qui signifie qu’il l’avait déjà lu ? C’est quelque peu inquiétant. Et c’est aussi méprisant pour les Français qui n’auront pas le droit de lire les pamphlets dont Potier a obtenu la non-publication (pour ne pas dire la censure préventive) : eux sont des débiles perméables à l’antisémitisme de Céline, tandis que lui, qui a fait l’ENA, est capable de lire tout cela avec du recul.

    Le flic Potier et sa brigade sont de retour avec « l’affaire » Maurras, autre écrivain dont il a découvert l’antisémitisme. Il suffit en effet de prononcer le mot pour condamner. Parce que les Macronours, les Bisounours de Macron qui repeignent le monde en arc-en-ciel, n’aiment pas la complexité, la réflexion, les nuances de gris. Maurras est pour eux l’homme du « nationalisme intégral » (bouh, ça fait peur des mots méchants comme ça !), de l’antisémitisme d’Etat, mais il écrivait en 1937 dans l’Action Française, la même année d’ailleurs que Bagatelles pour un massacre de Céline :  « L’antisémitisme est un mal, si l’on entend par là cet antisémitisme de peau qui aboutit au pogrom et qui refuse de considérer dans le Juif une créature humaine pétrie de bien et de mal, dans laquelle le bien peut dominer. On ne me fera pas démordre d’une amitié naturelle pour les Juifs bien nés. »

    Maurras, bien né il y a 150 ans et dont le nom avait été inscrit dans la liste des commémorations nationales 2018 sur la proposition de Danièle Sallenave, Jean-Noël Jeanneney ou Pascal Ory (sans doute des crypto-antisémites…) a été éjecté après l’intervention de la ministresse de la culture Nyssen Françoise, confirmée par l’expert-flic Potier. Ce dernier a déclaré que non c’était carrément pas possible de parler de Maurras en 2018 parce que : « Commémorer, c’est rendre hommage ». Enalphabète ! Il a beau avoir fait l’ENA, il pense comme un ANE. Commémorer, c’est pourtant simple, cela veut dire se souvenir ensemble, faire acte de mémoire. Cela veut dire regarder notre Histoire en face. La clique macroniste préfère réécrire l’Histoire. Ce sont des révisionnistes. Maurras n’a pas existé en France. Céline n’a pas écrit de pamphlets antisémites (en les censurant, on les fait disparaître de son corpus).

    Au lieu de pourchasser les morts, les Macronours devraient s’occuper des vivants, de ces Juifs de France contraints de quitter leur quartier à cause non pas de lecteurs de Maurras ou de Céline, mais d’islamistes capables de tuer des enfants ou de jeter des vieilles dames par les fenêtres."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Zoom - Frédéric Rouvillois et Christophe Boutin : le conservatisme est à la mode