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divers - Page 173

  • Politique & éco n°242 – Jean-Louis Harouel : Pourquoi la phobie de la peine de mort ?

    On présente aujourd’hui l’abolition de la peine de mort comme un progrès majeur de civilisation. En est-il vraiment ainsi ? Pour Jean-Louis Harouel, agrégé de droit et professeur émérite de l’université Panthéon-Assas, elle est un des effets de la « religion des droits de l’homme », continuatrice de vieilles hérésies oubliées. La suppression de la peine capitale a en réalité a ouvert la voie à une perversion de la justice au profit des criminels et au détriment de la sécurité des innocents. S’inscrivant en faux, Jean-Louis Harouel propose une autre lecture, dénonçant les manipulations des abolitionnistes de Hugo à Robert Badinter.

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n242-jean-louis-harouel-pourquoi-la-phobie-de-la-peine-de-mort

  • Exclusif ! Procès de Milan Premiers extraits, information censurée dans tous les médias français

  • Colonisation : Macron le repentant, par Paul Vermeulen

    9518-20191226.jpgDepuis Abidjan, Emmanuel Macron a indiqué samedi 21 décembre que la colonisation a été « une faute de la République ». En février 2017 déjà, en pleine campagne électorale, il présentait sur une chaîne de télévision algérienne la colonisation comme « un crime contre l’humanité ». Selon lui, la France devait présenter ses « excuses à l’égard de celles et ceux envers lesquels elle a commis ces gestes de barbarie ». Le lendemain de l’entretien accordé à la chaîne de télévision algérienne, celui qui était alors député LR, Gérald Darmanin, avait tweeté pour fortement critiquer cette prise de position. Le vent a tourné, le tweet le plus rapide est cette fois venu de Benalla : « Non, la colonisation n’a pas été une mauvaise chose : infrastructures éducatives, de transports, de communication, de santé, augmentation de l’espérance de vie, elle a été une chance pour les pays colonisés. » Il a raison sur le fond, le comique étant que cela vienne de lui. Il faut en effet avoir l’esprit formaté pour ne pas voir combien la France a apporté à ses colonies.

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  • Le martyr des Chrétiens d’Orient se poursuit – Journal du mardi 24 décembre 2019

     

    Le martyr des Chrétiens d’Orient se poursuit

    A quelques heures de célébrer Noël en famille, les Chrétiens d’Orient vivent souvent au jour le jour. De l’Irak à la Syrie en passant par la Terre sainte, de nombreux chrétiens sont toujours contraints de fuir leur foyer ou de vivre dans la peur.

    L’araméen : une langue en voie de disparition ?

    Autrefois largement utilisé au Moyen-Orient, l’araméen n’est aujourd’hui parlé que par une poignée de spécialiste. A tel point que la langue du Christ est à présent menacée de disparition.

    Laponie : l’essor de la région du père Noël

    Elle est la région du Père Noël et attire de plus en plus de touristes. La Laponie voit son industrie du tourisme exploser… Une mutation non sans désagrément.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/le-martyr-des-chretiens-dorient-se-poursuit-journal-du-mardi-24-decembre-2019

  • « Cette jonction naturelle entre le patriotisme et la vraie foi »

    Actuellement au service du diocèse de Toulon, Julien Langeila embrasse avec fougue ces deux adjectifs, si souvent réputés contradictoires : catholique et identitaire. Il vient de publier chez DMM, un livre sous ce titre.

    Dialogue avec Julien Langeila

    Julien Langeila, vous avez trente ans. Le titre de votre premier livre : Catholiques et identitaires, claque comme une bannière. Quel est votre parcours personnel ?

    Ce sujet me tient particulièrement à cœur parce que je suis un jeune converti. J'ai reçu le sacrement de confirmation en 2013. Je peux dire en grossissant un peu le trait que je me suis converti au catholicisme grâce à un pasteur protestant parlant provençal et célébrant la messe dans la forme extraordinaire (de fait, ce brave monsieur avait inventé sa propre religion) Même si je savais que l'Église n'était pas qu'une ONG pro-clandestins, et qu'il y avait encore des amoureux du Beau et du Vrai en son sein, son allure extérieure - bourgeoise, économiquement libérale ou « mili-pêchu-mytho » - me rebutait assez. Je ne viens pas de ce milieu : j’étais entré en politique sept ans auparavant, à l'Action française puis aux Identitaires, dans une démarche radicale (traiter les problèmes à la « racine » comme le dit bien l’étymologie latine et esthétique.

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  • Le pouvoir des femmes

    Numériser.jpegLa quarantaine sportive, mère de famille nombreuse et journaliste de télévision accomplie, chaleureuse et directe comme savent s’être les Italiens, Costanza Miriano s'est interrogée au fil de ses essais aussi drôles que percutants, sur le mystère de l’identité féminine.

    Je voulais d'abord aborder le titre de notre dossier de Monde&Vie et demander à Costanza Miriano si elle était bien d'accord pour considérer le féminisme comme une idée chrétienne, à l’origine. La réponse jaillit « En donnant une si grande dignité et une telle importance aux femmes dans l'Évangile, Jésus nous montre que le féminisme est une idée radicalement chrétienne ». Le féminisme n'a donc pas tort sur toute la ligne. Costanza observe l'histoire du mouvement féministe des années soixante-dix, et elle ne nie pas qu'il y a chez les femmes une demande naturelle de regard et de reconnaissance qui ne s'est pas toujours réalisée dans l'histoire, loin s'en faut. Mais la réponse à donner à ce manque s'est exprimée de façon erronée « Le problème est que les féministes ont cherché cette dignité au mauvais endroit, adoptant pour cela des mécanismes masculins, et cela les a mis encore plus en difficulté les femmes sont plus tristes que jamais. Partant d'un juste besoin, elles se sont fait du mal toutes seules ». En quoi le féminisme fait-il du mal aux femmes ? « Certaines ont pu penser comme le dit si bien Chesterton, que "les femmes sont libres lorsqu'elles servent leur employeur mais esclaves lorsqu'elles aident leurs maris" Le fruit de cette mentalité émancipatrice est une extrême solitude, née d'une immense tromperie ». La réponse doit être assurément et fermement chrétienne « Nous nous trompons quand nous perdons de vue notre originalité notre identité féminine). Le monde nous demande d'avoir des rêves ? Mais nous chrétiens savons que les réponses ne sont pas des rêves. Il est juste d'accueillir les besoins du monde mais nous ne devons pas oublier de donner les bonnes réponses ».

    Je reviens à la charge en lui demandant en quoi consiste cette identité féminine. Sa réponse n est pas tirée de je ne sais quel catéchisme préfabriqué. Elle est profondément sentie. « Je la vois comme un espace, c'est une image qui correspond à cette faculté que nous avons de donner la vie, de combler un vide. La femme, plus que l'homme, se définit aussi dans cette capacité d'entrer en relation, qui, si elle est niée, se transforme en revendications continuelles et pesantes. En revanche si nous comprenons qu elle peut s'exprimer dans le service de la vie, nous suivons le modèle de Marie, la femme qui s'est totalement donnée à la vie ». Sinon. « les femmes se rebellent, deviennent manipulatrices, vindicatives. Tant de femmes qui n’ont pas réussi à donner un nom à ce besoin, à l'identifier vraiment, sont solitaires, et peuvent devenir insupportables comme elles savent si bien l'être ! »

    Identité féminine et masculine

    Évoquant la dialectique, qu'elle trouve « insupportable » femmes victimes/ hommes machos que l'on a vu ressortir avec violence lors de l’épisode « balance ton porc » Costanza Miriano constate une « stigmatisation systématique de tout ce qui est blanc, mâle, hétérosexuel, et occidental, une mise à l'index des hommes, de la masculinité qui est effroyable L'homme reçoit son être de la femme, il existe aussi par le regard que la femme porte sur lui, et si l'homme reçoit un regard dépréciatif, dévalorisant, moqueur l'homme réagit avec la violence verbale mais aussi physique. L'idée de parité est un malentendu et donne de l'homme une idée fausse, et l'on voit aujourd'hui des hommes qui se sont féminisés. Aujourd'hui des psychothérapeutes déplorent que le seul lien indissoluble soit celui de la mère avec ses enfants. Selon moi, c'est une sorte de violence psychologique mais très puissante, des femmes envers les hommes ».

    J'insiste en demandant à Costanza si elle ne croyait pas - comme Gabrielle Cluzel - que le paroxysme idéologique dans lequel s'enferment les féministes pourrait être le clap de fin, le coup de sifflet final pour une récréation qui finit par devenir malsaine. Elle vient de loin pour me répondre tout en me donnant raison sur la fin du féminisme, elle n'est manifestement pas si optimiste que je parais l'être moi-même « La nouvelle doxa est individualiste l'être humain doit être seul, isolé, unique, sans repères, sans appartenance de genre sans famille, sans racines sans histoire. Tout ce qui rappelle de près ou de loin une appartenance, même féminine ou masculine, doit être dépassé. Le modèle aujourd'hui est celui d'êtres asexués. Prenons l'exemple de la pornographie autrefois les femmes la rejetaient car elles y étaient considérées comme des objets Les jeunes filles d'aujourd'hui ne trouvent plus cela offensant. Voilà qui nous ferait presque regretter le féminisme ! » Il est urgent, conclut-elle, « de changer le regard de la jeunesse féminine sur elle-même en l'aidant à redécouvrir l'importance de la mission immense qui est la leur par rapport à l'homme. Il ne faut pas utiliser le langage de l'interdit auxquels les jeunes sont allergiques, mais voir l'aspect positif du pouvoir énorme qui est celui des femmes Ce n est pas facile du tout ! Il faut les aider à grandir en élevant leurs désirs vers quelque chose de plus grand. »

    Marie d'Armagnac monde&vie 30 novembre 2017

  • A noter : la vidéo du “Mercredi de la NAR” datant du 16 octobre est maintenant disponible...

    La Nouvelle Action Royaliste

     
    La vidéo du “Mercredi de la NAR” datant du 16 octobre est maintenant disponible.
    Il s'agit de l'extrait du film “CFTC – 100 ans de syndicalisme chrétien” suivi de la conférence de Philippe Arondel intitulée “Avenir du syndicalisme chrétien”.
    http://www.archivesroyalistes.org/Avenir-du-syndicalisme-chretien

    Le documentaire complet sur la chaine KTOtv :
  • Ordre nouveau raconté par... Rivarol

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    Robert Spieler, Rivarol cliquez ici

    Ordre Nouveau et la création du Front national

    Ordre Nouveau… Ce sont des têtes chenues, des femmes et des hommes âgés de plus de soixante-dix ans aujourd’hui, qui se souviennent, cinquante ans après sa création, de cette aventure exaltante que fut Ordre Nouveau, qui fut à l’origine de la création du Front national, et sans qui, peut-être, Jean-Marie Le Pen ne se serait jamais relancé dans le combat politique. André Chanclu et Jacques Mayadoux nous offrent une plongée dans ce passé exaltant, que vécut l’auteur de ces lignes, dans un livre orné d’une croix celtique, paru aux éditions Synthèse. Son titre : Ordre Nouveau, 1969-1973, raconté par ses militants. On y trouve maints témoignages et documents passionnants. Les auteurs écrivent dans leur avant-propos : « Nous y avons vécu le moments les plus fulgurants de notre vie ». La bande son de cet ouvrage, disent-ils, est cette chanson d’Edith Piaf : « Non, je ne regrette rien. », ajoutant : « Oui, nos enfants pourront dire avec fierté : Ordre Nouveau… Mon père / ma mère y était ».

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