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Les Brigandes - Le Procès de Rouen
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La campagne de promotion du livre "Ordre nouveau raconté par ses militants" bat son plein
Après Angers la semaine dernière où Jacques Mayadoux, accompagné de Jean-François Santacroce, de Franck Timmermans et de Véronique Péan, étaient reçus par l'Alvarium animé par Jean-Eude Gannat (plus de 80 participants), ce sera Strasbourg qui marquera à sa façon le cinquantième anniversaire d'Ordre nouveau le 9 novembre prochain. Une réunion sera animée par Jacques Mayadoux, André Chanclu et par Robert Spieler, ancien député et ancien vice-président de l'Alsace, chroniqueur à Rivarol et fondateur, à l'époque, de la section locale d'Ordre nouveau.
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Terminus des prétentieux, tout le monde descend !
Au fond, nous terminerons tous dans la farce commune. Qu’on le veuille ou non. Certains meurent en monument, d’autres dans un cul-de-bas-de-fosse, chantait Brel. On le sait mais on ne veut pas le croire. On biaise, on louvoie, on tourne autour du pot. Si, au moins, on pouvait assister à ses funérailles ! On fait bien des répétitions de mariage avec essai des plats, des vins et de la sono.
Mais n’est pas Charles Quint qui veut. Alexandre Dumas, dans La Royale Maison de Savoie, évoque cette répétition en présence du personnage principal : « Enfin, vers le commencement du mois de juillet de cette même année 1558, lassé d’assister aux funérailles des autres, et blasé sur cette funèbre distraction, Charles Quint résolut d’assister aux siennes. » Une piste à creuser, six pieds sous terre, pour les entreprises de pompes funèbres de notre temps. Après tout, la mort et ce qui s’ensuit sont un business comme les autres.
Avec le temps (tout s’en va, on sait !), par la force des choses, les générations se bousculent au portillon, le carnet d’adresses se métamorphose en chronique nécrologique et la visite au cimetière se fait plus fréquente. Et c’est là qu’on constate avec un certain désarroi que nos « espaces funéraires » deviennent vraiment tristes à mourir. La faute à qui, Monsieur ? À la standardisation, mal implacable qui frappe inexorablement notre société moderne, n’épargnant même pas nos dernières demeures. Allez faire un tour, juste pour voir, comme qui dirait en reconnaissance, dans l’un de ces nouveaux cimetières en périphérie des anciens menacés par la crise du logement. Cela va vous décupler l’envie de faire « la tombe buissonnière », comme chantait Brassens dans son testament enregistré, non pas devant tabellion, mais sur microsillon. Franchement, ces nouvelles zones pavillonnaires pour allongés n’ont rien du « champ léthargique » où le père Hugo se prenait à rôder et rêver. Ainsi va le monde, me direz-vous.
Mais que faire ? On restaure bien de vieilles bicoques avec poutres apparentes. On devrait pouvoir faire pareil avec sa dernière demeure. « Tombeau de caractère, dans son jus, vue imprenable, au calme, beaux volumes, prix à débattre… » Évidemment, le viager ne serait pas forcément une bonne affaire.
En attendant de rejoindre le dortoir définitif et puisque nous ne sommes pas pressés, faisons d’abord un petit crochet par celui, si mélancolique, des éléphants de Monsieur Eddy. Puis, comme il nous reste un peu de temps et qu’il ne fait pas encore tout à fait nuit, pourquoi pas un détour par la plage de Sète où Brassens voulait passer sa mort en vacances.
Certains, de toute leur vie, n’en font jamais. Parfois, à s’en rendre malheureux. Comme une pierre… tombale. Pourtant, à bien y regarder, la vie est faite de concessions. Comme les cimetières. Certes, celui qui n’en aurait jamais fait pourrait, orgueilleusement, faire graver cette épitaphe sur son tombeau : « Il n’en fit qu’une seule dans sa vie : ici-même et elle est perpétuelle. » Terminus des prétentieux, tout le monde descend, nous disent, depuis la maison mère, Michel Audiard et Bernard Blier.
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Journal du chaos
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Royalistes : Formation et militantisme : Clermont Ferrand, Evry, Saint Etienne, Tarbes, Toulouse...
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Les journées Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale : les interventions
Samedi 12 octobre
Samedi 14 h 30 : message de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale
Premier forum :
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Zoom – Blandine Soquet : Mon enfance dans l’enfer des Khmers rouges
Faim, maladies, coups, abandons, déracinements, viols… Née au Cambodge, Blandine Soquet s’est vue volée son enfance par les Khmers rouges et leur terrible dictature de 1975 à 1979. Dans son ouvrage en forme de documentaire « Ma prison sans murs », elle raconte toutes les atrocités qu’elle a subies : sa séparation avec sa mère, son adoption par une famille khmer violente, son internement en camp de rééducation… Un récit historique bouleversant ! Blandine Soquet dédicacera son ouvrage à la Librairie française, 5 rue Auguste Bartholdi dans le XVème arrondissement de Paris, le samedi 2 novembre de 15h à 18h. Retrouvez toutes les informations sur son site : blandine-soquet.fr.
https://www.tvlibertes.com/zoom-blandine-soquet-mon-enfance-dans-lenfer-des-khmers-rouges
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Nucléaire. « Une perte de compétences généralisée »
Le rapport Folz dresse un bilan sévère de l’« échec » de l’EPR de Flamanville et pointe un élément essentiel qui explique cet échec.« Une perte de compétences généralisée ».Cette perte de compétences touche ici un secteur très sensible, très technique.On ne cesse pas de construire des centrales nucléaires, pendant plus d’une génération, en pensant reprendre les choses là où elles avaient été laissées.Maintenir un savoir industriel cela demande beaucoup d’argent, beaucoup de moyens humains et techniques et une véritable volonté de le faire.Plus largement, cette « perte de compétences généralisée » qui est problématique dans ce dossier et qui ne peut pas être caché aux yeux du grand public est en réalité généralisée !!Car ce n’est pas que le nucléaire qui est touché.Lorsqu’un pays abandonne même l’ambition de l’écriture scripturale pour tous, lorsque les exigences scolaires s’effondrent, lorsque tout se vaut, lorsque la médiocrité est érigée en standard et en exemple, disons-le, ce n’est pas que les centrales nucléaires que nous ne saurons plus construire demain mais tout ce qui fait la différence entre une société civilisée et un maelstrom informe.
Nous sommes en train de perdre la dernière génération d’instituteurs valables, après nous n’aurons plus que des « professeurs des écoles » plus ou moins incultes, formant des gamins plus ou moins crétinifiés aux écrans.Au bout du compte et à ce rythme, dans moins de 10 ans, les trains ne rouleront plus et les avions finiront par tomber massivement…C’est aussi comme cela que les sociétés s’effondrent.La décadence n’est pas seulement de « mœurs » à la romaine, mais aussi la décadence de la connaissance et de la conscience humaine.Charles SANNAT -
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