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divers - Page 331

  • L’Intelligence Artificielle, la médecine, les transports et le secteur financier

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    Pieter Kersrtens

    Les climatologues prévoient la disparition des glaciers et des pôles glaciaires, les géopoliticiens, quant à eux, n’envisagent pas une guerre nucléaire, mais plutôt d’importants conflits liés à la répartition de l’eau potable sur les cinq continents et alors que certains démographes nous annoncent 10 milliards d’individus sur la planète en 2050, on nous laisse supposer que ces problèmes pourraient aussi être résolus grâce à l’Intelligence Artificielle (I.A).

    DEMAIN, PLUS BESOIN DES HUMAINS ?

    Les progrès techniques, scientifiques et sanitaires ont conduit ces 30 dernières années à une très nette amélioration du niveau de vie de l’espèce humaine et à une prolongation de son existence qui s’accroît particulièrement en Europe d’une année par tranche de 4 ans pour chacun d’entre nous. (durée de vie moyenne de 84 ans pour les femmes et 80 ans pour les hommes).

    Dans ce contexte il pourrait y avoir plusieurs millions de centenaires à l’horizon 2050 vivant dans notre « vieille Europe ».

    Le système des retraites, qui date d’un demi-siècle, ne pourra plus supporter ces charges car déjà en déficit chronique. Prétendre maintenir la retraite à 60 ans, diminuer la durée hebdomadaire du travail ou réduire le niveau des cotisations sociales, relève de l’utopie et du fantasme.

    En examinant le bond fantastique des technologies de pointe dans les pays asiatiques en particulier, on peut constater que -mise à part la Chine qui dispose d’une main-d’œuvre gratuite dans les Laogaïs- la numérisation, les robots et l’Intelligence Artificielle ont maintenant remplacé une partie du prolétariat dans toutes les industries à forte main d’œuvre non qualifiée. Chez nous, peu de responsables politiques nous en expliquent les conséquences.

    Acheter aujourd’hui des produits asiatiques à bon marché, c’est supprimer l’emploi de nos enfants et petits-enfants, demain. Car il faut en être conscient : le nier, c’est les condamner !

    Et accepter les directives de la Commission Européenne sans broncher, c’est aussi se sacrifier sur l’autel du mondialisme financier qui rêve d’un homo-consuméris au niveau mondial !

    BLACK FRIDAY, BLACK MONDAY … BLACK IS NOT BEAUTIFUL!

    Le Nouvel Ordre Mondial tisse sa toile mortifère jour après jour dans la totale indifférence des citoyens d’Europe, totalement tétanisés par les sirènes de la démocratie totalitaire, de l’hédonisme débridé et du politiquement correct. Sans réflexion et animé par un désir de consommation irraisonné par simple réflexe de paraître ou d’avoir l’air de …

    Rare sont ceux qui osent penser puis osent agir.

    C’est pourquoi, dans cette fin de civilisation (initiée vers 1920), l’I.A fera des ravages en utilisant la généralisation du numérique et de la robotique parmi les emplois de la médecine, des transports et de la finance, après ceux de l’industrie européenne déjà sinistrée aujourd’hui.

    Si à cette perspective on ajoute l’usage exclusif de la carte plastique dans tous les domaines de la vie courante, nous entrons dans l’Empire de Big Brother, cher à Georges Orwell.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/
  • « Où sont les hommes ? » - Sylvain DURAIN, Pierre HILLARD, Marion SIGAUT & Virginie VOTA

  • Rififi à l'upr /réunions interdites aux blancs Tepatriote #1

  • Jean-Yves Le Gallou : « La dissidence c'est la transgression dans les paroles et les actes ! »

  • Un dîner-débat avec Gabriele Adinolfi et Philippe Conrad jeudi 7 décembre à Paris sur le centenaire de la révolution bolchevique

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  • Annonce débat sur le racialisme et le foyer blanc sur Discord #HS 16

  • Bruxelles ma belle ? NON, Bruxelles poubelle !

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    Pieter Kerstens

    Il ne se passe plus une semaine, sans que la capitale de l’Eurabia ne soit le théâtre d’émeutes. Elle est fort lointaine l’époque où Jacques Brel chantait « c’était au temps où Bruxelles brusselait …»

    Ce samedi 25 novembre les casseurs, racailles et autres beurs ont choisi l’avenue Louise et le quartier Matongé pour détruire tout ce qui n’est pas à leur goût.

    Le gouvernement belge pour sa part persiste dans le déni des réalités et semble ignorer les leçons à tirer des émeutes qui, depuis 1995, se multiplient au grand bonheur des complices de l’Islam conquérant. Parce qu’il ne faut pas porter les lunettes roses des politiciens socialo-écolo-marxistes pour constater que ces répétitions de déprédations gratuites ne sont pas l’œuvre de mécontents ardennais, flamands ou expatriés français.

    Une responsable élue écolo de la commune de Molenbeek vient de découvrir l’eau chaude. Ce week-end elle déclarait aux médias : « C’est hallucinant de se dire que la plus grande mosquée de Bruxelles était aux mains du pays(l’Arabie Saoudite) qui défend l’Islam le plus rigoriste. » Cette idiote réclame en outre « encore plus de mixité », alors qu’à l’inverse les musulmans mettent tout en œuvre pour chasser les derniers blancs des quartiers qu’eux-mêmes occupent. Il suffit de circuler dans les zones de non-droit, non seulement à Molenbeek, mais aussi à Bruxelles, à Schaarbeek, à Forest ou à Anderlecht. Et lorsque les classes moyennes foutent le camp, les recettes fiscales diminuent.

    FAIRE FACE !

    Malgré les ravages économiques, sociaux, culturels et financiers, la secte socialo-écolo-libéro-capitaliste, au pouvoir de l’Agglomération de Bruxelles depuis bientôt 30 ans, refuse d’appliquer l’Ordre et la Loi sur son territoire et autorise, par laxisme et complaisance, toutes les dérives de la communauté maghrébine. Tous ont estimé que ces immigrés pouvaient s’intégrer ou s’assimiler à la société et aux mœurs des Bruxellois. Erreur ! C’est l’inverse qui s’est imposé avec la multiplication des mosquées, des boucheries hallal, des cantines sans cochon, des babouches, des kamis chouars et des burqas.

    En conséquence et pour ne pas choquer la susceptibilité de ces « nouveaux Belges » les bourgmestres (maires) et les politicards à la tête des 19 communes bruxelloises interdisent à la police d’appliquer la loi envers la racaille et les délinquants qui, semaine après semaine, testent la résistance du Pouvoir à leurs débordements. Il ne faudrait quand même pas mécontenter ces électeurs potentiels … qui crachent sur notre civilisation.

    QUAND CE N’EST PLUS SUPPORTABLE, ON NE SUPPORTE PLUS !

    De nombreux électeurs bruxellois blancs en ont ras-le-bol de la mansuétude des élus vis-à-vis des exactions commises par des délinquants immigrés. En octobre 2018 de nouvelles élections communales auront lieu en Belgique. Mais face à l’immobilisme et à la lâcheté des édiles locaux, il est fort probable qu’une partie du corps électoral exprime son exaspération dans les urnes et que l’on assiste au renouveau des partis nationalistes et identitaires, les seuls ayant dénoncé au fil des ans le danger de l’immigration/invasion et de ses corollaires d’insécurité, de baisse du niveau scolaire, du chômage endémique, de la haine de l’Europe, de trafics divers ou du terrorisme. Même les touristes étrangers dénoncent la décrépitude de la capitale de l’Europe.    

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  • François Bousquet : « Le conservatisme a le vent en poupe… mais pour conserver quoi ? C’est le débat ! »

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    Le nouveau numéro d’Éléments est en kiosque. Entretien avec son rédacteur en chef, François Bousquet.

    Éléments n’est pas spécialement connu pour être un magazine conservateur (ce qui ne fait certes pas de vous des progressistes). Pour autant, pourquoi avoir consacré un dossier à « la Nouvelle Vague du conservatisme » ?

    L’actualité, spécialement le très riche Dictionnaire du conservatisme qui vient de paraître aux Éditions du Cerf et qui a été dirigé par les professeurs Christophe Boutin, Olivier Dard et Frédéric Rouvillois, avec lesquels nous avons mené un long entretien. La France a eu une tradition conservatrice longtemps vivace – Chateaubriand, Tocqueville, Constant, etc. –, mais elle s’est subitement asséchée après l’échec de la droite aux élections législatives de 1885. Une éclipse d’un siècle et plus, durant laquelle il était admis que le conservatisme était un (gros) mot qui commençait mal, sans que l’on sache très bien où il finissait. Et le conservateur, un vieux monsieur falot à redingote sorti d’une lithographie du XIXe siècle. Songez qu’une famille de pensée comme celle de l’Action française ne s’est jamais définie comme conservatrice. Les choses sont cependant en train d’évoluer. Le conservatisme a le vent en poupe, poussé par des vents frondeurs, et il a des titres à faire valoir dans un monde guéri des illusions du progrès. Une nouvelle génération d’essayistes – Mathieu Bock-Côté, que nous interviewons, en est sûrement le représentant le plus emblématique – s’efforce de l’appréhender sous un jour nouveau. Son heure aurait-elle sonné ? Emmanuel Macron a divisé le monde en deux : il y a lui, champion du progressisme… et les autres, ce qui peut faire au final beaucoup de conservateurs. Mais pour conserver quoi ? C’est le débat que la rédaction d’Éléments a choisi d’ouvrir. La difficulté, c’est que les conservateurs ont toujours été partagés en deux : les libéraux et les antilibéraux, les modérés et les réactionnaires.

    Qu’est-ce qui différencie tout ce beau monde ?

    Comme nous le dit Christophe Boutin, le conservateur est un traître aux yeux du réactionnaire ; et le réactionnaire, un boulet à ceux du conservateur. Vous conviendrez qu’il est difficile de les assortir. Plus largement, comment concilier – et c’est tout l’enjeu des stratégies électorales futures – les conservateurs et les populistes, sachant que les premiers ont tendance à jouer les élites contre le peuple et les seconds le peuple contre les élites ? Et que dire des conservateurs et des libéraux ? Les premiers s’en tiennent à la règle prudentielle dès lors qu’il s’agit de remettre en cause l’ordre naturel des choses (en gros, le principe de précaution) là où les seconds voient une entrave à la liberté d’entreprendre. On voit qu’il y a du travail.

    Pourquoi avoir mis en couverture l’écrivain américain Matthew Crawford ? Est-il si connu que ça du public français ?

    C’est un risque calculé. Si le visage de Matthew Crawford n’est pas forcément connu, du moins connaît-on ses livres. Son Éloge du carburateur s’est vendu à 25.000 exemplaires en France et à 250.000 aux États-Unis. C’est un philosophe à l’écriture limpide, qui réhabilite le travail manuel. Chez lui, cette réhabilitation passe par l’amour immodéré des motos et des carburateurs – il n’est pas états-unien pour rien et on sait combien les « road trips » ont façonné l’imaginaire américain. Dans ces livres, il nous rappelle que le travail manuel nous aide à renouer avec la matérialité du monde, à nous réapproprier notre univers environnant, à nous extraire de la digitalisation forcée à laquelle nous condamne la société numérique. Que vaut-il mieux ? Le monde sensible, familier, tangible, de nos proches, ou celui, pixélisé et dématérialisé, des réseaux sociaux, régi par des algorithmes qui orientent nos choix de consommation ? C’est comme si nous étions plongés dans le monde irréel du Truman Show, le film de Peter Weir avec Jim Carrey, mis sous cloche par les géants du Net qui scrutent nos vies à partir des traces électroniques que nous laissons, pour ensuite vendre notre temps de cerveau disponible.

    Jamais Matthew Crawford ne s’était autant livré, du moins à la presse francophone. Ce qui n’est pas une mince satisfaction pour nous. Il est en train de faire à la presse cultureuse, celle du gauchisme chic – Libé, Les Inrock,Télérama –, le même vilain tour que Houellebecq lui avait naguère joué. Elle le croyait de gauche, mais de toute évidence Crawford n’appartient pas à la famille. Cela ne fait peut-être pas de lui un homme de droite, encore que, car comme le disait Michel Audiard, c’est la gauche qui nous rend de droite !
    Parlez-nous de cette « artiste » que vous avez dénichée et qui s’injecte dans les veines du sang de cheval ? C’est la dernière lubie de l’art contemporain ?

    Vous pouvez le dire. Marion Laval-Jeantet, bio-artiste de son état et maître de conférence à l’université Paris I (excusez du peu), s’injecte dans le sang des doses d’hémoglobine et de plasma de cheval. Pourquoi ? Accrochez-vous : pour faire l’expérience de la « chevalinité ». Diantre ! Cela s’appelle le « body art », l’art corporel. Il donne lieu à toute une série d’âneries, cela dit sans offenser nos frères animaux, même s’il n’y a rien, ici, de franciscain. C’est, au contraire, une nouvelle étape dans le processus de déconstruction et de déshumanisation en cours. Après avoir déconstruit les peuples (l’antiracisme), les sexes (réduits à l’état de genres arbitraires et construits), les déconstructeurs s’attaquent désormais aux espèces vivantes. Cette avant-garde sévit aujourd’hui à l’École normale supérieure, temple du savoir et laboratoire du futur, sous la forme d’un séminaire « Hybridations, mutations, contaminations. Philosophie du non-humain ». Tout est dit dans l’intitulé, sauf l’idéologie qui se cache derrière : l’antispécisme, laquelle nie la différence des espèces et traque toutes les formes de discrimination anti-animale (sic). Son objectif ? Élargir les droits à l’ensemble des vivants non humains. Nous, les hommes, avons du souci à se faire.

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/