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divers - Page 331

  • André Bercoff : On assiste aux prémices d’un très grand bouleversement dans les médias, qu’ils soient audiovisuels ou écrits !

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    Début 2018, André Bercoff, Éric Brunet et Gilles-William Goldnadel lancent ensemble une webtélé qui s’appellera La France libre.
    Dans un paysage médiatique en pleine restructuration, l’idée est de faire du décryptage, de l’humeur, de l’humour. Et de mettre des mots sur les maux.

    André Bercoff précise que ce projet cherche aussi à dépasser les clivages politiciens :

    Les étiquettes ne m’intéressent pas du tout. On peut donner l’étiquette que l’on veut.
    Personnellement, je considère que la gauche n’est plus du tout à gauche, la droite ne sait plus où elle est et, quant au reste, les Insoumis ou les centristes, ils ne se portent pas mieux.
    Dans un paysage de décomposition, essayons de prendre des marques et de mettre les mots vrais sur les vrais maux. Je ne sais pas si nous y arriverons, mais nous essaierons.
    Nous avons cette ambition, en tout cas.

    https://fr.novopress.info/208851/andre-bercoff-on-assiste-aux-premices-dun-tres-grand-bouleversement-dans-les-medias-quils-soient-audiovisuels-ou-ecrits/
  • Éric Zemmour : “Qui est Johnny et qui ne l’est pas ?”

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    Les polémiques se multiplient après la manifestation à La Madeleine autour de Johnny Hallyday. On aurait pu croire pourtant à une unanimité nationale.

    Il est mort comme il a vécu. Dans le fracas et le bruit. À 17 ans, la jeunesse cassait les fauteuils pour ses concerts, tandis qu’écrivains et ministres s’étripaient dans la presse à son propos. À sa mort, tout recommence.

    Ce n’est ni un calcul, ni un hasard, ni une erreur. C’est un destin. Le destin de Johnny. Jeune, il incarnait le coup d’état de sa génération qui arrachait le pouvoir à une société d’adultes qui ne demandait qu’à se laisser subvertir.

    Mort, il voit descendre dans la rue le “petit peuple des petits blancs” (dixit Alain Finkielkrault), cette France périphérique qui communie avec son héros, en se moquant bien de ses frasques fiscales.

    Il est amusant d’entendre ceux qui exigent habituellement de voir de la diversité partout (…) prendre soudain des pudeurs de chaisière pour regretter qu’on classe ainsi les gens par races ou religions.

    Amusant de voir les thuriféraires exaltés de la France black-blanc-beur et du vivre-ensemble rester cois face à cette preuve par le réel que leurs chimères n’existent pas.

  • La Patagonie, nouveau Canaan promis par Yavhé à son peuple ?

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    Bernard Plouvier

    Chacun sait qu’après New York, Buenos Aires était déjà, vers 1930, la 2e ville juive des Trois Amériques. Or un long article signé de Maria Poumier dans la livraison du 9 décembre 2017 d’Entre la plume et l’enclume ne manque pas d’intriguer le lecteur facétieux.

    Madame Poumier n’est pas n’importe qui : agrégée d’Espagnol, elle est spécialiste de l’Amérique centrale et très engagée dans l’antisionisme, un mouvement qui compte quelques humanistes juifs excédés par le comportement de leurs congénères en Israël. Elle est une amie du grand Israël-Adam Shamir, c’est assez dire qu’elle annonce la couleur. Aussi n’est-on pas étonné de son article remarquablement documenté, intitulé L’invasion israélienne en Patagonie.

    Même si l’on est en droit d’attendre davantage de précisions et d’informations, cet article consacré aux « touristes israéliens » d’un genre un peu particulier qui crapahutent en zones désertiques de Patagonie depuis les années 1980, qui parfois créent des incendies de forêts pour y implanter des habitations, éclaire d’un jour nouveau la vision géopolitique juive, toujours orientée vers le séparatisme absolu du monde des Goyim et le culte de la suprématie juive.

    Au fil des ans et grâce à des milliards de $ provenant de Juifs, pas vraiment désargentés, des Trois Amériques et de Grande-Bretagne, ont été installées des colonies juives dans les trois provinces argentines de Patagonie, soit du Nord au Sud : Rio Negro, Chubut et Santa Cruz. En zone montagneuse (sur le versant occidental de la Cordillère andine), est implantée une colonie yiddishophone près de la réserve naturelle de Lago Puelo.

    Les particularités des implantations juives sont leur énorme surface, la garde paramilitaire des propriétés, des voies d’accès terrestres et fluviales, ainsi que des réserves d’eau potable et des aéroports privés, à pistes très longues (permettant l’atterrissage de gros porteurs).

    Comble de bonheur pour les 800 000 Araucans (ou Indiens Mapuche), l’invasion-implantation est passée de l’autre côté des Andes, au Chili, où dès 2011, l’on a constaté la pratique de déboisement par incendie de vastes zones forestières, qui gênaient manifestement les investisseurs immobiliers. Déjà, l’on commente dans la presse bien orientée les actions de guérilla des vilains Araucans contre les gentils colons juifs.

    Après avoir évoqué le grand philanthrope Paul Singer, plutôt influent auprès du gouvernement argentin, comme peut l’être également le milliardaire Eduardo Elztain, un pieux sectaire de la mouvance Loubavitch (où tout mariage mixte est considéré comme de la « bestialité »), qui est le N°2 du World Jewish Congress, madame Poumier conclut son article en évoquant, à propos de la vie politico-sociale argentine, « le montage sioniste, bâti sur la corruption, les manœuvres furtives, les intimidations par les crimes mafieux ».

    Il est évident qu’il ne peut s’agir que de pures calomnies, touchant le peuple élu du Tout-Puissant.

    Toutefois, l’on est en droit de se demander si quelques penseurs ne sont pas en train d’imaginer une alternative au sionisme, en posant les fondations d’un nouvel État juif sur tout ou partie du million de km² de Patagonie, où l’on trouve à volonté des terres vierges d’habitation… et même des autochtones à combattre, histoire de ne pas oublier tout-à-fait le fiasco palestinien.

    Après tout, à la fin du XIXe siècle, faute d’implantation en Palestine, refusée par le calife-sultan Abdülhamid II, Herzl et consorts envisageaient de créer leur État juif au Kenya-Ouganda… mais certains évoquaient déjà le sud du Brésil ou les terres vierges d’Argentine.

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  • Les maux des universités et les mots pour les dire

    TÉMOIGNAGE. Il est des choses que même les esprits les plus libres n'osent plus exprimer. C'est pourtant là que gît le mal.

    Si l'on peut encore rencontrer des universitaires qui publient, qui enseignent et continuent même, à leurs risques et périls, à user de leur liberté pour tenter de dire quelque chose de la vérité du monde, il n'est pas sûr que les universités françaises aient survécu aux incessantes réformes qui leur ont été infligées depuis que l'État en a pris le contrôle. De « l'Université de France » recréée par Bonaparte sur les ruines des anciennes universités détruites par la Révolution aux « pôles de recherche et d'enseignement supérieur » commués en « ComUE » (sic) et autres « unités de formation et de recherche » imaginés par nos énarques, les maux des universités se sont accumulés au point d'étouffer sous une gangue administrative digne du Gosplan soviétique les quelques restes de vie qui pouvaient y subsister.

    UNE DÉCENTRALISATION DE CARNAVAL

    Ces maux affectent aussi bien les institutions que les hommes qui en constituaient l'âme. Sur le plan institutionnel, les universités sont devenues des administrations centralisées à outrance, « pilotées » (pour utiliser un jargon administratif très significatif) par un Ministère tout puissant selon un modèle unique et des indicateurs purement quantitatifs appliqués indifféremment à toutes les disciplines de l'esprit rassemblées comme à la parade dans les 87 sections du Conseil national des universités. Les libertés que prétend leur avoir octroyé la loi du 10 août 2007 ne sont qu'un leurre destiné à occulter une partie du déficit public. Plaisantes libertés que celles d'universités dont les membres sont des fonctionnaires d'État, qui délivrent des diplômes habilités par l'État à des étudiants qu'elles sont tenues d'accueillir sans pouvoir les choisir, si ce n'est par tirage au sort ! Cela fait rire, en dehors de nos frontières. Non seulement les universités françaises ne disposent d'aucune autonomie réelle mais, pis encore, la centralisation qui les asservit se répand en elles comme un cancer. Soumises à une administration centrale qui les considère comme de simples rouages d'exécution de sa propre politique, elles imposent à des facultés réduites au rang de « composantes » la même sujétion que celle qui leur est imposée, de manière à former, au rebours de toutes les traditions universitaires, une véritable chaîne de commandement qui aboutit à subordonner la modification de l'intitulé d'un cours à l'avis d'une demi-douzaine d'instances aussi incompétentes les unes que les autres et, au final, à une décision ministérielle ! Quant à la recherche, séparée de l'enseignement, elle relève d'une administration peut-être encore plus caricaturale regroupant des « enseignants-chercheurs mono-appartenant » dans des « laboratoires » constitués sur un modèle scientifique unique, totalement inadapté à des disciplines telles que le droit ou les lettres. Dans ces disciplines, qualifiées de « sciences humaines et sociales » pour les faire entrer dans les carcans de la « recherche » administrée, ces « laboratoires » formés selon des critères qui n'ont évidemment rien de scientifiques sont de véritables gouffres financiers dont l'utilité est absolument nulle et la « production » inexistante.

    C'est dans ce « mammouth » institutionnel que sont déversés des masses d'étudiants, décérébrés par un catéchisme républicain dont la débilité intellectuelle n'a d'égal que l'inculture générale qui en découle, et qui sont, pour la plupart, totalement inaptes à suivre un enseignement universitaire digne de ce nom. Dans ces conditions, réclamer une sélection à l'entrée de l'université, comme s'obstinent à le faire certains, est malheureusement sans doute déjà dépassé. Sélectionner supposerait qu'il y ait de bons élèves, dotés d'une solide culture et de facultés de raisonnement appropriées, souhaitant intégrer l'université. Or, en réalité, les élèves issus des quelques établissements scolaires qui remplissent encore à peu près leur rôle, fuient massivement les études universitaires pour se précipiter vers les filières vraiment sélectives, celles qui n'examinent que les dossiers des candidats ayant obtenu une moyenne supérieure à 20 au baccalauréat ! Les modes de sélection pratiqués dans ces filières sélectives, habilement occultés par de savants algorithmes qui leur donnent une apparence de neutralité scientifique, prennent en considération, notamment, l'établissement d'origine des candidats ; un bachelier d'Henri IV ne « vaut » pas un bachelier du lycée Elsa Triolet de Marcq-en-Baroeul... Ces derniers, ainsi que tous ceux qui, pour M. Macron, « ne sont rien », échoueront (dans tous les sens du termes) à l'université. C'est ce qu'on appelle l'égalité républicaine.

    LA SEULE ET VRAIE LIBERTÉ DE PENSÉE

    Mais le plus grave n'est peut-être pas encore cet état de délitement général résultant d'une politique menée conjointement par tous les gouvernements successifs et leurs alter ego des organisations étudiantes et autres syndicats. Le plus grave est que cela s'accomplit de plus en plus avec la complicité active de beaucoup d'universitaires qui semblent se complaire dans une forme de servitude volontaire jusqu'alors inédite. Pendant plus de deux siècles, les universités furent le refuge de fortes personnalités qui surent maintenir, parfois à leur corps défendant, les traditions de liberté et l'esprit de corps des anciennes universités médiévales. Ces caractères ont quasiment disparu, comme si leurs modernes successeurs avaient intégré le modèle administratif que Bonaparte avait rêvé de leur imposer. Platon montre dans La République comment chaque régime produit un type d'homme qui en reproduit les traits caractéristiques ; le monde universitaire actuel en offre le triste exemple. La servilité, avec ses corolaires de vulgarité et de médiocrité, se répand partout grâce à des recrutements concoctés par quelque camarilla d'arrière-loge, de couloir ou d'alcôve, qui sait très bien écarter les candidats susceptibles de faire de l'ombre à ceux qui se sont incrustés dans l'université à la manière du bernard-l'hermite. Dans ces conditions, ceux qui, par leurs paroles et par leurs actes, voire par leurs moeurs ou leur pensée, ne se conforment pas au modèle dominant sont implacablement marginalisés, découragés, déconsidérés, afin que sans bruit et sans heurt s'efface de notre horizon cette Alma Mater décidément trop grande pour la plupart de ceux qui l'ont investie.

    Est-ce à dire qu'il est trop tard et que tout espoir de redressement serait par avance voué à l'échec ? Ce serait là sans doute une sottise absolue... Multa renascuntur ! Les maux des universités, aussi profonds soient-ils, ne sont pas irrémédiables ; mais il faut pour y remédier avoir d'abord le courage de les nommer. 

    PAR JEAN-BAPTISTE DONNIER

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  • Provence : Annonce du prochain banquet des Camelots du Roi et autres activités. Qu'on se le dise !

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    La date du prochain banquet des Camelots du Roi de Provence a été fixée au samedi 17 février 2018 à 20 heures.

    Ce banquet se tient dans la tradition et dans l'esprit des Camelots du Roi, anciens et à venir. Banquet privé, sur invitation, réservé aux Camelots du Roi de Provence et leurs invités.

    Fondés en 1908 pour servir l'Action Française, les Camelots du Roi ont été dissous en 1936 par le gouvernement d'alors mais leurs traditions, leur esprit ont toujours été maintenus. La participation des anciens des Camelots du Roi à ce prochain banquet du samedi 17 février 2018, est vivement souhaitée.  

    Signalons encore, s'agissant des prochaines dates à retenir :

    Le 21 janvier 2018 tombant un dimanche, la Messe pour le roi Louis XVI et toutes les victimes de la Révolution sera célébrée à Marseille le samedi 20 janvier à 11 h 30. Une rencontre suivra, l'après-midi. Toutes précisions utiles seront données dans Lafautearousseau prochainement.   

    361777811.jpgUn colloque d'Action Française se tiendra à Marseille le samedi 21 avril et le150ème anniversaire de la naissance de Charles Maurras sera commémoré le lendemain, dimanche 22 avril 2018. Un programme détaillé suivra. Les deux journées seront organisées par Action Française Provence.

    Que l'on se le dise et que l'on retienne ces dates dès à présent !

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  • « Le petit peuple blanc est descendu dans la rue, les non-souchiens brillaient par leur absence »

    Alain Finkielkraut face à Elisabeth Levy dans l'émission "L'esprit de l'escalier" sur RDJ :

    Michel Janva

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