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divers - Page 420

  • Eric Zemmour : l’Eurovision, « concours de dressage au politiquement correct »

    Pour Éric Zemmour, le titre J’ai cherché avec lequel Amir Haddad défendra les couleurs de la France au concours de l’Eurovision, qui se déroulera samedi 14 mai à Stockholm, « est une parabole de notre destin national : elle commence en français, mais peu à peu l’anglais recouvre tout », de sorte qu’« à la fin, on ne retient plus que l’anglais. » Pour lui, « la France s’aligne. Las de perdre à chaque fois, las de se ridiculiser, notre pays a entendu le message :la langue française était un obstacle rédhibitoire, une provocation, une ringardise. »

    « Au moment où les Anglais s’apprêtent à quitter l’Union européenne, nos élites médiatiques accélèrent l’anglicisation de la France », poursuit Éric Zemmour. « Notre ministre de la Francophonie, André Vallini, s’est dit “consterné” par ce choix. » Un « service minimum », ironise-t-il, en rappelant que « les travaux de la Commission européenne, à Bruxelles, se déroulent en anglais ».

    A Emmanuel Macron, qui a tenté de se vêtir des oripeaux de Jeanne d’Arc, Zemmour lance par la même occasion : « Il faudrait informer notre ministre des Finances que Jeanne d’Arc est morte pour bouter les Anglais hors de France. Et ce qu’elle détestait bien plus que les soldats anglais, [ce sont] ces Français qu’on appelait Bourguignons et qui se soumettaient de bon cœur à la puissance occupante. »

    Et d’ironiser en ces termes sur Amir Haddad et sa chanson : « Prénom arabe, refrain anglais, ah ils ont bien fait les choses à France Télévisions. Ils ont coché toutes les cases du multiculturalisme pour mériter la récompense suprême. »

    Il estime que l’Eurovision, qui fut « une kermesse sympathique », est devenue « un concours de dressage au politiquement correct : les chiens les plus savants et les plus dociles reçoivent seuls leur susucre ». Il ne manque qu’une chose : « Amir n’est pas transsexuel. » L’an prochain…


    Eurovision 2016 : “C’est devenu un concours de… par rtl-fr

     

    http://fr.novopress.info/

  • Hommes-femmes, mode d’insultes !

    La chronique de Philippe Randa

    Les féministes n’ont décidément honte de rien ! Dernière crétinerie en date, une étude de l’Institut national d’études démographiques montre comment « l’invective sexiste dans l’espace public varie selon l’âge et le sexe. »

    Pour se faire, Amandine Lebugle, autoproclamée sans crainte du ridicule « docteure en démographie », a martyrisé les résultats d’enquêtes « Cadre de vie et sécurité » menées par l’Insee et l’Observatoire national de la délinquance, et les réponses pénales entre 2008 et 2012 afin de « mesurer, quantifier le harcèlement de rue et le définir sous toutes ses formes… »

    Nous apprenons ainsi comment, qui, à quelle fréquence et dans quelles circonstances les termes de « salope », « pute », « sale », « connasse » ou encore « vieille » sont utilisées aux dépens de la gent féminine par des « malotrus »… mais tout autant, allons bon ! par des « malotruses », figurez-vous !

    Car oui, les dames ne sont pas forcément aimables les unes envers les autres. Qui l’eût crû ?

    « Certains sociologues qui ont travaillé sur le rapport des jeunes filles à la sexualité estiment que c’est une manière de se différencier d’un groupe dont on estime ne pas faire partie », nous apprend Dame Lebugle qui convient qu’elle a été elle-même « assez interpellée par le fait que des femmes emploient ce terme (Salope)».

    Cela lui aura sûrement donné l’idée de l’étude suivante sur laquelle elle se penche désormais : un travail similaire sur les invectives à l’égard des hommes !

    En attendant, on apprend surtout que pour l’édification des masses, l’argent public est toujours aussi judicieusement utilisé…

    Paru dans le quotidien Présent du 10 mai 2016.

     
  • Carl Lang réélu à la tête du Parti de la France

    Le Parti de la France a tenu samedi 7 mai son congrès national avec plus de 400 délégués pour définir la ligne et la stratégie du parti avant 2017. Carl Lang a été réélu à la présidence et Thomas Joly au poste de secrétaire général du parti. Les interventions (Martine Lehideux, Katel Mautin sur la famille, Christian Baeckeroot, Eric Pinel, Roger Holeindre, Joëlle Bergeron...) sont accessibles en ligne.

    Michel Janva

  • La 4e Journée régionale de Synthèse nationale à Lille, dimanche 24 avril dernier...

     Interventions de Roland Hélie, de Luc Pécharman

    et de Robert Spieler

    Comment empêcher la construction d'une mosquée en toute légalité.

    Intervention de Guy Hamon (Riposte laïque)

    Suite en début de semaine

    La 4e journée régionale de Lille cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Différencier le Populisme de l’Extrême droite : une mission impossible ?

    Lorsqu’à l’Assemblée, auto-proclamée Constituante en juillet 1789, on disposa les places de députés (ceux-là même qui avaient été envoyés aux États Généraux du royaume de France), les réactionnaires, partisans de la poursuite de l’institution monarchique de droit divin, siégèrent à l’extrême-droite du fauteuil présidentiel… depuis lors, l’on a toujours, et très justement, assimilé l’extrême-droite au conservatisme politique, économique et social.
    À dire vrai, certains monarchistes des années 1830 à 1914 étaient de chauds partisans de l’établissement de lois sociales et d’un salaire équitable. Certains d’entre eux inspirèrent à Léon XIII son encyclique Rerum novarum, rendue publique le 15 mai 1891, qui effraya tant le patronat européen. En France, ce patronat était généralement républicain, volontiers de tendance « radicale », voire affilié au Grand-Orient, mais ses membres ne voulaient ni de réformes sociales ni d’augmentation notable des salaires. L’histoire réelle, pas celle enseignée dans nos écoles et facultés, offre de petites joies au chercheur !
    Comment qualifier des patriotes (voire des « nationalistes chauvins ») qui veulent améliorer le statut culturel et le pouvoir d’achat des couches les plus pauvres de la Nation ? Par le nom d’Extrême-droite, nous dit-on… mais pour un observateur lucide, cette appellation devrait plutôt être attribuée à un patronat rétrograde, qui, par son immobilisme et son égoïsme, permet aux marxistes, aux socialistes de salons et aux permanents syndicaux de donner périodiquement de la voix, justifiant ainsi leur existence et leur gagne-pain : sans patronat stupide et arriéré, pas de gauche ni d’extrême-gauche ! L’un et l’autre s’entretiennent en une cynique interaction, dont les pauvres font les frais : à octroyer trop vite de décentes conditions de vie au bon peuple, on risquerait de mettre au chômage les démagogues.
    De nos jours, les deux groupes complices (patronat et pseudo-gauche) soutiennent l’immigration-invasion, utile pour fournir des travailleurs engagés à bas coût par les patrons – qui ne reculent pas devant l’emploi de « clandestins » davantage sous-payés encore -, utile pour gonfler des effectifs syndicaux désertés par des autochtones désabusés. Tous hurlent auprès des mols politiciens pour que l’on accroisse par des allocations de toutes sortes les bas salaires, ce qui est excellent pour la consommation, donc au premier chef pour la grande distribution.
    Comment désigner les hommes et les femmes qui refusent l’invasion de la patrie par des éléments extra-européens, violents, incultes, importateurs d’une religion conquérante et meurtrière par son Djihâd (recommandé à tout musulman en bonne santé), ces patriotes qui réclament la priorité d’embauche pour les nationaux, une meilleure protection de la production nationale exposée à une concurrence extra-européenne qui bénéficie d’un dumping d’État (aux USA ou en Chine) ou de l’exploitation – selon nos critères européens – de populations encore peu exigeantes ?
    Pour les désigner, plutôt que d’user à tort du qualificatif d’extrême-droite (qui sous-entend un conservatisme économique et social), il convient de parler de Populisme, soit une doctrine de promotion de la culture en milieu populaire, de revalorisation du travail manuel, d’exigence d’un juste salaire, adapté à la qualité et à la quantité du travail fourni par chacun… bref, comme l’ont écrit divers théoriciens depuis le Moyen Âge, c’est une doctrine qui se résume par l’expression : à chacun selon son dû.
    On conçoit que ne soit guère à l’honneur cette notion très démocratique, qui définit la méritocratie, en une Europe des Économies Unies dans le cadre de la globalisation et de la mondialisation des vies politiques et sous-culturelle, qui sont plus proches de la médiocratie que de la méritocratie

    Docteur Bernard Plouvier

    http://metamag.fr/2016/05/06/differencier-de-populisme-de-lextreme-droite-une-mission-impossible/

  • Tribune libre – La Corse rebelle, par Vincent Revel

    La Corse ne cesse de poser des soucis à nos bien-pensants. Depuis Napoléon, cette belle île de Méditerranée trouve toujours le moyen d’exaspérer l’oligarchie en place. Les Corses ont toujours gardé une attitude singulière et indépendante vis-à-vis des modes du moment : ils n’aiment pas qu’on leur impose ce qu’il faut penser. A ce niveau, la Corse reste un véritable casse-tête pour nos dirigeants hors sol, déconnectés de l’identité profonde des régions françaises.

    Malraux avait prédit que le XXIe siècle serait religieux. Il ne s’était pas trompé. Mais il n’est pas que religieux ! Pour les Européens occidentaux, c’est aussi le siècle de la lâcheté, du renoncement, de la haine de soi, de la peur et du fanatisme qui va avec. Une simple salle de prière est vandalisée à Ajaccio et nous voyons, ventre à terre, tout la classe « médiatico-politique » s’emballer et dénoncer, toujours au nom de cette République qui a bon dos, les ignobles islamophobes qui mettent en danger le précieux « bien vivre ensemble ». Le système est bien huilé et rien ne l’empêchera de se donner en spectacle. Rien ne lui fera renoncer à changer en profondeur notre société.

    Le fait divers est malheureux, mais plus que prévisible à la vue des multiples problèmes que pose l’islam à nos sociétés occidentales, permet, comme d’habitude, à nos antiracistes de reprendre leurs bâtons de juges et d’inquisiteurs pour mieux accabler les méchants Européens que nous sommes car coupables à leurs yeux de tous les maux de la Terre.

    Pourtant tout le monde sait qu’en notre triste époque, les lieux de culte à être les plus dégradés en France sont les édifices catholiques ! Les dégradations et profanations visant les Eglises de France sont tellement nombreuses (presque une église par jour subit un acte malveillant) que notre même système médiatico-politique estime qu’il est nécessaire, toujours pour le même « bien vivre ensemble », de les taire. Pour ne pas stigmatiser, pour ne pas faire d’amalgame, pour ne pas froisser non plus la susceptibilité des milices antifascistes (responsables de nombreuses dégradations), nos censeurs préfèrent garder sous silence cet encombrant témoignage d’une société qui apprend de plus en plus à devenir indifférente aux véritables maux de son temps mais aussi à détourner les yeux des événements qui pourraient remettre en cause l’utopie multiculturaliste.

    D’un côté, ils se font un devoir de marquer une indignation à la hauteur de la scandaleuse profanation et dans le même temps nous avons la loi du silence, une nouvelle omerta proche de celle dénoncée en Corse, puant la lâcheté, le renoncement, la haine de soi, la peur face aux fanatismes qui ont pour noms : l’islamisme radical et l’idéologie antiraciste.

    Et pourtant, ces mêmes antiracistes portent seuls la responsabilité des fractures et déchirures qui se dessinent de partout au sein des sociétés européennes. Sans leur aveuglement et leur dictature de la pensée, ils nous seraient possibles d’aborder et d’apporter des solutions aux graves problèmes liés au communautarisme sectaire et violent, à l’islamisation de notre continent et à l’immigration de masse et de remplacement voulu par des technocrates et des politiques devenus en peu de temps une élite de déracinés. Tout ceci nous pousse rapidement vers une possible guerre civile et religieuse et si ce scénario devient malheureusement réalité, il faudra bien que les responsables rendent des comptes aux véritables victimes que sont les Européens de souche.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/200852/tribune-libre-corse-rebelle-vincent-revel/