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JT du Mardi 17 Novembre 2015 - Edition spéciale attentats du 13 Novembre 2015
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A.F.E [Angers] Week-end de cohésion
Ce week end, 20 militants de l’AFE Angers se sont rassemblés autour de repas traditionnels, cercles et actions !
Très bonne réussite pour la section !
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Angers-Week-end-de-cohesion -
Conférence Dextra "L'histoire des droites sous la Vème République jusqu'au FN" par Francis Bergeron et Philippe Vilgier
Chers amis et camarades.Nous aurons la joie et l'honneur de recevoir ce vendredi 20 novembre Francis Bergeron et Philippe Vilgier qui nous parleront de "L'histoire des droites sous la Vème République jusqu'au FN".Attention, exceptionnellement, notre rendez-vous aura lieu au bar Le Molière, 12 rue de Buci, à Odéon dans le 6ème arrondissement.Nous vous attendons nombreux et vous disons à vendredi ! -
Forum de la dissidence – Entretien avec Béatrice Bourges, présidente du Printemps Français
Béatrice Bourges, conseillère d’entreprise, présidente du Printemps Français.
♦ Dans la perspective du Forum de la dissidence, nous allons publier une série de courts entretiens sur le site Polémia.
Pourriez-vous répondre à ces questions ?
PolémiaPolémia : Qu’est-ce qu’être dissident aujourd’hui et que risque-t-on ?
Béatrice Bourges : Etre dissident aujourd’hui, c’est se battre avec détermination contre le Système représenté par une oligarchie qui se dissimule sous le terme de démocratie. C’est être contre le mondialisme qui n’a pas de couleur politique.
Etre dissident aujourd’hui, c’est aller à l’encontre de l’historiquement correct, de l’économiquement correct, du politiquement correct, du religieusement correct. C’est ne pas avoir peur de se faire traiter d’islamophobe, d’homophobe, de xénophobe, d’intégriste et de fasciste !
Etre dissident aujourd’hui, c’est arrêter de faire acte de repentance par haine de la France, c’est être patriote et en être fier.
Béatrice Bourges, présidente du Printemps Français
Plus les dissidents seront nombreux et visibles, plus la répression sera forte et le régime totalitaire. Le risque ira peut-être même jusqu’à la privation de liberté, en plus de la mort sociale.
« Etre dissident aujourd’hui, c’est arrêter de faire acte de repentance par haine de la France, c’est être patriote et en être fier. »
Pensez-vous qu’il faille envisager une vraie Révolution ?
Je pense que nous arriverons bientôt dans une période de chaos religieux, politique et économique. Les hommes politiques ne contrôlent plus rien. Ils font seulement semblant. Mais l’effondrement est proche. Etre dans le déni ne fait qu’aggraver les choses et ne prépare pas à la reconstruction à laquelle il faut penser dès maintenant.
Vous interviendrez dans une table ronde sur « la dissidence sur les valeurs » lors du Premier Forum de la dissidence. Pourquoi ?
Parce que, d’après moi, tout pays court à sa ruine lorsqu’il fait l’impasse sur les valeurs. Ce sont elles qui permettent d’ancrer un pays et son peuple dans leur identité, de les faire tenir debout et de leur rendre leur fierté.
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Les Brigandes, charme et convictions
Les Brigandes ont été une part non négligeable du succès de la journée de Synthèse nationale, le dimanche 11 octobre à Rougis. Créée en 2014, cette formation de jeunes femmes s'est faite rapidement remarquer par ses chansons engagées et mises en scène au point de devenir la meilleure initiative de la mouvance nationale de ces dernières années. Rencontre...
RIVAROL : Les Brigandes donnent une impression de compétence et de détermination. Comment est né votre projet qui réunit des compétences dépassant largement le simple cadre musical ?
LES BRIGANDES : Hormis les amies de jeunesse, certaines Brigandes se sont croisées lors d'événements divers dans la mouvance anti-mondialiste. En échangeant nos idées, Le projet musical a germé. Notre détermination provient d'un désir de former des clans de familles à l'écart du système décadent. Pour réussir à nous regrouper, il fallait mettre l'individualisme de côté et s'impliquer comme on s'engage en religion, ou plutôt, dans une armée. Le contrat a fonctionné par l'effet de la Providence, ce qui nous étonne encore.
Quant à nos compétences, excepté la musique et le jeu théâtral, nous nous sommes astreintes à étudier les doctrines de la Droite, sans sectarisme, en analysant particulièrement les lobbies mondialistes afin de connaître l'ennemi et de lui rentrer dedans avec les mots justes. Notre érudit de service, Antoine, a toujours une lecture sulfureuse à nous conseiller, et c'est grâce à lui qu'autant les jacobins, le judaïsme ou les jésuites avec leurs lourds secrets nous sont mieux connus. Quand le thème d'une chanson à caractère politique nous vient, il vérifie les références et saurait tenir tête aux chiens de garde du mensonge officiel. L'apport de compétences intellectuelles et artistiques fournit aux Brigandes le courage de s'exposer avec témérité, ce qui paraît étonnant venant de jeunes femmes. Nous nous sentons investies d'une mission pour la France.
R. : Les chanteuses sont masquées, coquetterie qui ajoute à leur charme ou nécessité de se protéger ?
L. B. : Le nom de Brigandes a été choisi en souvenir des héroïnes de Vendée. Quant au masque, c'est parce que les Brigandes se livrent à du brigandage politiquement incorrect.
R. : Contrairement à beaucoup de groupes qui choisissent des musiques de violence et de fureur, vous adoptez des compositions modernes, rythmées et claires qui mettent en valeur les voix des choristes et les paroles des chansons ; les textes sont-ils plus importants que leur support musical ?
L. B. : Les paroles sont l'élément principal. La musique tempère la radicalité des mots. Cette alchimie entre la révolte et ta douceur est notre signature. Nous visons à produire des chansons populaires. La preuve d'une chanson réussie, c'est quand un petit enfant l'entend le matin et qu'il la fredonne le soir.
R. : Dans le Ratjèze, vous vous en prenez aux jésuites, les reliant à François, Teilhard de Chardin, Nagasaki et le dalaï-lama, n'est-ce pas un peu ambitieux et réducteur de vouloir tout faire entrer dans une chanson ?
L. B. : Ah, la question des Jézes ! Rosenberg et Evola avaient insinué que si les causes nationalistes étaient perdues, il fallait regarder du côté des Bons Pères, ce qui semble avoir échappé à Maurras, à moins d'une restriction mentale...
François est bel et bien « un cadavre entre les mains du maître de l'ordre ». Depuis longtemps déjà, la Compagnie mène une guerre idéologique sous couvert de religion : le mélange des races, des cultures et des religions, jusqu'au point Oméga de la fusion universelle. N'est-ce pas le programme luciférien ?
Quand Bergoglio le jésuite invite les traditionalistes à revenir dans son giron, on croit rêver. On ignore que les jésuites financent les lamas tibétains. On ignore que des jésuites ayant des grades dans l'armée américaine ont planifié Nagasaki, etc. On n'en finirait jamais de dérouler la liste de leurs coups tordus, au risque de passer pour des conspirationistes, alors que tout ceci est prouvable.
R. : Le succès rapide de votre formation vient de la qualité de vos compositions, mais aussi de leur mise en scène, vos chansons n'auraient-elles pas le même succès sans vidéo ? Pourquoi avoir sorti un CD et non un DVD ?
L. B. : Notre modeste succès provient de notre détermination à ouvrir une brèche dans la chanson française. Il faut se réapproprier un espace, en dépit des temps actuels.
Nous sortons un CD pour répondre à la demande de ceux qui veulent écouter nos chansons au travail ou en voiture. Une chanson, c'est de la musique. Nous produirons une compilation des vidéos si notre CD met du beurre dans les épinards.
R. : Vous n'allez pas vous arrêter en si bon chemin, quels sont vos projets ?
L. B. : Nous avons quelques projets concrets que nous préférons garder confidentiels pour le moment, car l'ennemi veille... À court terme, nous allons lancer une nouvelle série de chansons, si toutefois l'inquisition de Youtube ne nous cherche pas de noises.
Entretien réalisé par Thierry BOUZARD.
CD Le Grand Remplacement, 23 euros port compris à Barka Productions BP7 34330 La Salvetat-sur-Agout, www.lecomitedesalutpublic.com.
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Discours de Roger Holeindre à la 9ème journée nationaliste et identitaire
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The End of Europe?
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Plus que jamais, la réaction c’est la vie
La réprobation, l’émotion, la condamnation ont été générales. 129 morts, des centaines de blessés, les abords du stade de France à Saint-Denis mais surtout Paris, ont été ensanglantés vendredi par huit actions coordonnées notamment contre des bars, une salle de concert, le Bataclan. La pire attaque terroriste subie sur le sol français depuis la seconde guerre mondiale, la première menée par des « kamikazes », des assaillants munis de gilets d’explosifs et se faisant sauter. La France est en deuil, elle pleure ses victimes, l’état d’urgence est déclaré. L’Etat français a répliqué ces dernières heures par une série de perquisitions et d’arrestations sur notre territoire et par des frappes aériennes importantes sur la ville de Raqqa dans le nord de la Syrie, « capitale » de l’Etat islamique (EI) . L’opération menée à Paris a en effet été revendiquée par l’EI, télécommandée probablement depuis la portion du territoire syrien aux mains des milices de l’EI. Elle a été préparée au niveau logistique et opérationnel par des immigrés mahométans fanatisés, Français et Belges de papiers, du quartier dit « populaire » (en langage socialo-journalistique) de Molenbeek dans la banlieue de Bruxelles. Une France et une Belgique qui ont le triste privilège d’être les premiers pays européens exportateurs de djihadistes vers la Syrie et l’Irak.
Camille-Marie Galic le rappelait dans son éditorial publié sur le site polemia, « Sur le territoire national même a été passé le cap des 10.000 individus, pour la quasi-totalité allogènes et jeunes, signalés pour leur radicalisation et dont le nombre a triplé en trois ans. » Quant aux cibles visés par les fous d’allah vendredi elles ne relèvent pas du hasard : « (elles) avaient évidemment été déterminées en raison de leur clientèle, très majoritairement européenne. Mais c’est aussi son mode de vie décadent et contraire aux enseignements du Coran que visaient les fanatiques (…). Au Bataclan, se produisait le groupe californien Eagles of Death Metal dont un plumitif admiratif nous disait avant le drame que les spectacles sont empreints de lascivité dans un esprit très sexe, drogues et rock and roll . Ils venaient d’entonner leur tube Kiss the Devil (Embrasse Satan) quand l’enfer s’est déchaîné (…).»
Concentré de tous les échecs, des lâchetés, des démissions, de l’aveuglement du système, le cas d’une des assaillants du Bataclan, âgé de trente ans, Omar Ismaïl Mostefaï, est tristement emblématique. Originaire de Courcouronnes dans l’Essonne, ce voyou faisait l’objet d’une fiche Spour radicalisation depuis cinq ans. Il avait été condamné 8 fois par la justice entre 2004 et 2010…sans jamais être allé en prison. Il était aussi un habitué de la mosquée de Lucé, près de Chartres (Eure-et-Loir). A l’époque notre ami Philippe Loiseau, député européen FN et tête de liste FN dans la région Centre-Val de Loire, alors conseiller municipal dans cette ville, avait fait campagne contre la construction de ce centre culturel mahométan, ce qui lui avait valu de recueillir des insultes de la gauche et de la droite…
« Polémos a engendré le monde, Polémos règne sur le monde » constatait Héraclite il y vingt-six siècles ; les Français se sont cruellement souvenus vendredi que la paix n’est jamais qu’une période transitoire dans l’Histoire et que nous sommes en guerre contre le terrorisme. Et ce, au moins depuis les meurtres commis par Mohammed Merah en 2012, comme le notait samedi le criminologue Xavier Raufer sur l’antenne de TV Libertés, qui pointait la responsabilité de la classe politique dans les attaques terroristes qui traduisent un défaut de contrôle du territoire, de nos frontières.
Dans ce contexte, le président Hollande exhorte en en toute logique à l’unité nationale, Manuel Valls dénonce les attaques « contre la République » – le Premier ministre a plus de mal à prononcer le mot France que le mot République…- Nicolas Sarkozy galope derrière le FN pou réclamer plus de fermeté. C’est pourtant ce même Sarkozy, champion toute catégorie de l’immigration de peuplement sous son quinquennat, qui avait supprimé la fameuse «double peine» permettant d’expulser les voyous dans leur pays d’origine.
Marine Le Pen a expliqué pour sa part les mesures d’urgence qu’il s’agirait de mettre en place :une politique internationale cohérente de lutte contre le terrorisme, c’est-à-dire un soutien aux pays engagés en première ligne contre ce fléau islamiste, et de facto, une prise de distance avec les bailleurs de fonds saoudiens et qataris notamment du djihadisme. Il est tout aussi impératif dit elle, de retrouver définitivement la maîtrise de nos frontières ; d’expulser sans délai tous les individus qui sont fichées en France comme ayant des liens avec le terrorisme ; de renforcer considérablement les moyens pour protéger la France et les Français, les moyens et les effectifs de notre police, gendarmerie, de notre armée, de nos services de renseignement.
Le ministre grec de la protection publique, Nikos Toskas, expliquait samedi que le passeport syrien retrouvé par près du corps d’un des djihadistes auteurs des attaques de Paris appartenait à un « migrant » enregistré lors de son arrivée sur une île grecque en octobre. Cela certes ne prouve pas formellement que ce passeport était bien celui de l’assaillant mais cela confirme plus globalement les craintes exprimées par le général Vincent Desportes. Ce dernier expliquait samedi sur le site Atlantico que «la vague de violences ne s’arrêtera pas car elle est liée à la crise des migrants ».
Deux jours avant les attentats, un entretien du général Desportes avec Hervé Brusini a été mis enligne sur le site de France TV info à l ’occasion de la sortie de son dernier livre, «La Dernière Bataille de France». Il y décrit l’usure d’une armée française à la limite de la rupture. « Les menaces s’accroissent et en particulier depuis deux ans. On peut dire qu’autour de nous le monde a pris feu (…). Et nos armées sont sur-déployées par rapport à leurs capacités. Que ce soit sur mer, à terre ou dans le ciel, toutes nos armées sont en train de s’user. Je dirais même que la corde est sur le point de casser. »
« Les deux dernières lois de programmation militaire ont porté des coups terribles aux armées. Celle de 2008-2013, votée sous la présidence Sarkozy, a enlevé 25% des capacités opérationnelles françaises. Celle de 2014-2019, votée sous la présidence Hollande, a fait de même. Ces deux lois ont prévu une réduction de 80 000 postes dans nos effectifs entre 2008 et 2019, ce qui est le plus grand plan social subi par les administrations (…).Il faut savoir ce qu’on veut (…), les gens aujourd’hui au pouvoir parlent de guerre. De fait, il existe une menace sur notre sécurité. Il faut donc logiquement conforter notre outil de défense et consentir ailleurs des économies. La défense ne doit pas payer comme les autres. La défense, c’est le pilier de l’Etat à travers sa mission de sécurité. (…) ».
« Le problème fondamental de notre défense est que ce n’est plus une question citoyenne. Le pouvoir politique peut, quelle que soit sa couleur, faire des coupes sombres dans le budget des armées sans perdre une seule voix aux élections » explique encore le général Desportes. Gageons que la situation a peut être également évolué sur ce point.
Comme ne cesse de le répéter Bruno Gollnisch, le FN n’oublie pas les enseignements de l’Histoire, et les faits hélas nous ont tragiquement donné raison, qui veut la paix prépare la guerre. un Etat ne peut déléguer à d’autres la responsabilité de la protection de son peuple et son territoire. Les moyens donnés pour notre sécurité sont les gages de la préservation de nos libertés, de notre identité, de notre, prospérité, de notre souveraineté. Il est proprement affolant que ceux qui ont, qui avaient la charge les destinées de la France aient pu un jour, si ce n’est l’oublier, du moins ne pas prendre la mesure du péril.
http://gollnisch.com/2015/11/16/plus-que-jamais-la-reaction-cest-la-vie/
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[Paris] Cercle de Flore
Hier soir, vendredi 13 novembre, le Cercle de Flore recevait François Guillaume, ancien ministre de l’agriculture sous Chirac et ex président de la FNSEA. Près de 100 personnes sont venus l’écouter parler de l’état de l’agriculture en France et des politiques du gouvernement.
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Michel Drac invité de l'Action Française - Le Peuple de France face au Chaos à venir