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divers - Page 501

  • Parents, la rentrée approche entre idéologie et destruction de la culture

    L'idéologie, c'est celle de Vallaud-Belkacem, insatiable, qui subit encore une démission dans son entourage : 

    "La députée Les Républicains Annie Genevard, membre du Conseil supérieur des programmes (CSP), annonce officiellement sa démission. Elle est la quatrième sur dix-huit membres à claquer la porte. Et à lever le voile, du même coup, sur cette institution créée par la loi Peillon sur la refondation de l'écolequi a suscité de vives polémiques avant l'été à cause de ses choix, notamment sur l'enseignement de l'histoire ou des langues anciennes.

    La démissionnaire dénonce, en premier lieu, la « folie » qui consiste à modifier tous les programmes de la maternelle à la terminale d'un même mouvement. Elle s'insurge ensuite contre la fausse indépendance du CSP, que la loi de 2013 a désigné comme une « instance indépendante placée auprès du ministre ». Une ambiguïté dont n'a cessé de jouer Najat Vallaud-Belkacem. « Nous avons appris que le cabinet de la ministre intervenait dans nos travaux en amont et sans que la plupart des membres le sachent, explique Annie Genevard au Point. Quand, lors d'un déjeuner au ministère, je me suis étonnée de cet interventionnisme, le directeur de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem m'a répondu en citant Edgar Faure sur « l'indépendance dans l'interdépendance ».

    Ainsi, quand la suppression du latin et du grec en tant que disciplines à part entière a provoqué le tollé que l'on sait, la ministre s'est retranchée derrière la prétendue indépendance du CSP, auquel elle a demandé de faire des propositions. « Mais la lettre de saisine contenait déjà la réponse aux questions qu'elle posait, s'insurge la députée. Elle découpait l'enseignement du latin en tranches, entre français pour l'étymologie, l'histoire pour la civilisation et un enseignement complémentaire pour la langue. »

    Le dossier sur le massacre de notre langue, c'est ici et c'est du lourd.  

    VA éc

    Lahire

  • Marine Le Pen : euthanasie, avortement et loi Taubira

    Nouvelles de France publie la traduction en français d'un long entretien accordée par Marine Le Pen à l’hebdomadaire polonais Do Rzeczy (icien février dernier qui ne semble pas avoir été repris en France depuisVoici plusieurs extraits concernant les points non négociables :

    Si la gauche française légalise l’euthanasie, l’interdirez-vous ?

    446126612c155ba21931e8e8be4fbecfJe suis tout à fait opposée à l’euthanasieJe pense que c’est une dérive très dangereuse. La souffrance humaine existe depuis la nuit des temps et nous ne sommes pas les seuls dans l’histoire du monde à nous être interrogés sur la fin de vie et sur la souffrance. Si jamais des lois comme celle-là n’ont été votées, c’est précisément parce que le risque de dérive de notre société et de notre civilisation était plus important que l’avantage qu’on pouvait en tirer. Moi je crois que la loi Leonetti qui est actuellement en vigueur en France répond au maximum à cette problématique de la souffrance en fin de vie. C’est une problématique très sensible et aller au delà, c’est prendre le risque d’un basculement de civilisation où le droit de vie et de mort est donné en fonction des avis des gens qui s’expriment à titre individuel. Un médecin ne porte que sa propre parole.

    N’est-ce pas la suite logique de la légalisation de l’avortement dans les années 70 ? Le FN était traditionnellement plutôt pro-vie. Il parlait de limiter les avortements, voire d’interdire les avortements de convenance. Le discours a évolué. Vous avez dit vous-même, je crois, que vous ne reviendriez pas sur la loi Veil.

    Non, le Front National n’a jamais changé d’avis depuis des années. En 1986, les députés du FN au parlement français avaient déposé un projet de loi sur le non-remboursement de l’avortement. Ils n’avaient pas remis en cause l’avortement. Moi, je pense qu’il n’est pas possible d’interdire aujourd’hui le recours à l’avortement. Ce qui est possible en revanche et qui est de la responsabilité d’un État, c’est de tout faire pour limiter le nombre d’avortements, non pas en contraignant les femmes à ne pas avorter, mais en leur accordant la possibilité de choisir de garder leur enfant. Or, aujourd’hui, tout est fait dans une forme d’incitation à l’avortement, comme s’il s’agissait d’une facilité intellectuelle. Si l’on accorde aux femmes et si l’on met en place des propositions natalistes pour leur permettre d’avoir un accès privilégié à un logement, avec des aides qui leur permettent d’élever correctement leurs enfants, etc. etc., avec des campagnes de prévention aussi à l’égard des jeunes femmes et des jeunes hommes, car pour faire un enfant il faut être deux, des campagnes de responsabilisation des uns et des autres, on peut contribuer à limiter l’avortement. Le fait que le nombre d’avortements n’ait pas baissé est incontestablement un échec de notre société, mais dans un combat qui n’a pas été mené en réalité. Donc, c’est cela qu’il faut mettre en œuvre. C’est vrai que pendant la campagne présidentielle on a eu un débat sur ce qu’on a appelé l’avortement « de confort ». C’est un mot qui a choqué, car c’est vrai qu’il n’y a jamais de « confort » à avorter. Mais c’était l’idée qu’avorter 3 fois ou 4 fois, c’est considérer l’avortement comme un mode de contraception. Et cela heurte considérablement les consciences. Mais c’est un vrai sujet de société auquel le gouvernement ne s’est pas attaché de la même manière qu’il ne s’est jamais attaché à mettre en place une politique nataliste.

    En Pologne, l’adoption d’une loi qui a restreint la possibilité d’avorter à certains cas précis a beaucoup contribué à faire évoluer les mentalités et aujourd’hui la grande majorité des Polonais sont contre l’avortement. Cela ne peut-il pas être fait en France ?

    Le choix du peuple est souverain et aujourd’hui incontestablement l’interdiction de l’avortement ne recueille pas la majorité du peuple françaisMais encore une fois, je pense que mettre en place une véritable politique d’accueil de la vie et redonner le choix aux femmes de ne pas avorter – car je crois que dans beaucoup de cas aujourd’hui elles n’ont plus d’autre choix que d’avorter –, ce serait déjà une avancée très positive

    La gauche polonaise semble penser que l’évolution vers les unions civiles et les « mariages » entre personnes du même sexe est une évolution inévitable. Vous avez, vous, annoncé que si vous êtes élue, vous abrogeriez la loi Taubira. Cela veut-il dire qu’on peut revenir en arrière sur ces « mariages » homosexuels ? Ce serait une première pour une nation. La Californie l’a fait, mais ce n’est pas une nation indépendante. Comment cela se passera-t-il ? Il y a des gens « mariés », il y a des enfants qui ont été adoptés…

    Vous savez, la loi est la loi. Il n’y a pas de rétroactivité de la loi en France, cela fait partie de notre État de droit. Donc nous supprimerons la possibilité de mariage. Ceux qui se seront mariés resteront mariés car nous sommes respectueux de l’État de droit. Mais il ne pourra plus y avoir de mariages [entre personnes de même sexe]. Quant aux gens qui ont adopté des enfants, ils l’ont souvent fait en mettant les autorités devant le fait accompli, c’est-à-dire en violant eux-mêmes la loi. Les choses sont très claires : nous sommes opposés au mariage homosexuel, nous sommes opposés à l’adoption par les couples homosexuels mais nous sommes également opposés à l’adoption par des célibataires. Nous considérons qu’un enfant qui est orphelin démarre déjà dans la vie avec un handicap certain et que par conséquent il a le droit à l’équilibre d’un foyer constitué d’un référent « père » et d’un référent « mère ». C’est notre avis et nous le mettrons en œuvre si nous sommes élus parce que si nous sommes élus c’est que le peuple l’aura voulu.

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    Philippe Carhon

  • #ViandeDeFrance : "Ce qui est étonnant, c'est qu'il y ait encore des éleveurs en France !"

  • Regard sur l’actu #17: Sexualités d'aujourd'hui et de demain.

    Une frustration sexuelle très ancrée

    Impossible de ne pas constater qu’on fait face, à notre époque, à un très grave et très sérieux problème autour de tout ce qui touche au sexe et à la sexualité. C’est le règne de l’image et de l’esbroufe. On affiche partout des corps dénudés afin de vendre la moindre saloperie (cela va du shampooing au cinéma) et on affirme que la parole serait complètement décomplexée sur ces sujets. Sur la forme, c’est vrai, on n’entend parler que de triolisme, de sodomie et d’expériences homosexuelles à tester absolument. Mais sur le fond, c’est différent… Entre les témoignages incessants de personnes ou de stars qui auraient, disent-elles, une « vie sexuelle épanouie » et la pornocratisation de la société, on croirait naïvement que le sexe apporterait l’harmonie à tout un chacun alors que je suis certain qu’on a jamais aussi peu baisé qu’aujourd’hui... Entre les puceaux de 40 ans, les addicts au porno et les maris qui veulent tringler n’importe qui sauf leur femme devenue imbaisable à leurs yeux (Mesdames, un petit effort vous est tout de même demandé... Restez désirables SVP!) , on est servis ! Résultat: des tonnes de névrosés sexuels qui ne pensent qu'au sexe et qui imaginent, à tort, que tout le monde baise (sauf eux).  Eux aussi veulent obtenir une part de ce gâteau constitué d'images attrayantes, de filles faciles et de jouissance. Et pour les plus faibles d'esprit, les plus malades ou les plus pervers d'entre eux, tous les moyens sont bons!

    La France: l'autre pays du viol?

    Cette frustration sexuelle qui n’a jamais été aussi répandue qu’aujourd’hui explique une certaine partie des « Trente-trois viols [qui] sont déclarés chaque jour en France, soit un toutes les quarante minutes en moyenne ! ». Inutile de discuter des chiffres, on sait qu’ils sont bien plus élevés. Même nos chers médias, à l’image du Figaro qui a dévoilé tous ces chiffres, n’hésitent pas à écrire que les résultats cités plus haut ne représenteraient que moins de 10% du total car la plupart des cas ne sont jamais signalés… Et où y-a-t-il le plus de viols selon vous ? En Guyane, Martinique et Guadeloupe, suivis de près par Paris. Quelle surprise ! J’avoue avoir du mal à comprendre la corrélation qui existe entre ces charmants endroits, pas vous ? Je me lance quand même : un certain type de population qui a tendance à considérer les femmes, et surtout les blanches (qui sont toutes des salopes, merci le porno !) comme des objets ? Allez savoir… En tout cas, le taux de viols sur les mineurs ne fait qu'augmenter lui aussi, ce qui est là encore d'une logique imparable. Ils sont d'ailleurs assez souvent commis par d'autres mineurs car d'après la Brigade de Protection des Mineurs (BMP), à Paris, "un tiers des viols recensés sur mineurs est commis par un jeune âgé de moins de 18 ans". On commence très jeune au pays vous savez! Le "boss" de la BPM, Vianney Dyèvre, fait un constat (partiel) que l'on ne peut que partager: « L’accès à la pornographie est tellement facile que les jeunes prennent exemple de ces films dans leurs relations amoureuses au collège ou au lycée. » Evident! Ajoutez à cela l'importation (et la normalisation) de nombre de mœurs archaïques et exotiques où les femmes ne tiennent pas une place similaire à celle qu'elles ont, de base, en Europe et vous aurez tout compris... On lit encore dans le même article: "Les viols entre mineurs, concernant principalement les 12-18 ans, sont généralement issus de chantages. Victimes et bourreaux évoluent généralement dans la même sphère amicale ou scolaire. La menace d’une mauvaise « réputation » est souvent un argument de poids pour faire accomplir au souffre-douleur la tâche qui lui est demandée. Pour un téléphone ou pour éviter les rumeurs dégradantes, certains jeunes sont capables de céder. Pire encore, les victimes de ces viols ont tendance à minimiser les actes de leur(s) agresseur(s)." Inutile de lire entre les lignes, tout est clair. On parle bien ici majoritairement du viol de Blanches dans les territoires ethniquement perdus (ou non). Les Européens ne protégeant plus leurs femmes, les nouveaux arrivés se servent... On voit le même schéma se reproduire partout en Europe, il suffit de se renseigner sur ce qui se passe en Scandinavie où les chiffres sont effrayants!

    Du porno en niqab!

    Pour contenter nos violeurs en herbe, qu’ils sachent que l’industrie pornographique reprend tout et sait s’adapter à son époque, le sexe étant devenu une marchandise soumise aux lois du marché et « sans frontières » suivant la logique libérale… S’ils veulent du porno en niqab, ils n’ont qu’à aller materWomen of the Middle East, de PornFidelity, qui « est le premier long-métrage porno centré sur le hijab et le niqab » nous apprend le site vice.com. Je vous ai d'ailleurs mis une image (en tête de cet article) pour que vous puissiez vous faire une idée de ce que Women of the Middle East vous propose. Peu respectueux de l’Islam, sans doute, mais on ne peut pas tout avoir… 

    Sexe virtuel VS sexe réel

    On peut toutefois espérer !! D’avoir des relations sexuelles avec des robots par exemple ! Ça existe oui, comme ce robot dont parle Numerama « conçu pour masturber un usager équipé d'un casque de réalité virtuelle » ! Helen Driscoll, qui est maître de conférences en psychologie à l'université de Sunderland (Royaume-Uni) prédit ainsi que « dans quelques décennies, en tout cas avant la fin du siècle, il ne sera pas rare que des humains entretiennent des relations sexuelles avec des robots, voire tombent amoureux de leur partenaire artificiel. » Nombre de chercheurs se penchent sur le sexe virtuel et même Bill Gates a investi dans "un projet de « préservatif du futur » en hydrogel (un matériau biodégradable plus agréable que le latex), capable de délivrer des petites doses de Viagra et des stimulations électriques…" lit-on dans le Parisien... Qui s'émerveille: "Les dernières avancées techniques veulent révolutionner notre sexualité." A l'image des casques de réalité virtuelle qui permettront à tous et à toutes d'oublier leurs frustrations passées! En effet: « On pourra remplacer, en pleine action, le corps de notre partenaire par celui de notre acteur ou actrice préférée [...] On pourra aussi dupliquer notre partenaire, rejouer nos scènes préférées. Le potentiel est énorme ! Ce sera une nouvelle ère, où le sexe s’enrichira des possibilités infinies du réseau. » nous conte l'un de ces docteurs Maboul. Un futur qu'ils veulent nous construire où "Le sexe sera de plus en plus virtuel. Finis, la drague en boîte de nuit et les sites de rencontres, le jeu de la séduction se fera à distance, au cœur d’univers générés par ordinateur dans lesquels nous naviguerons." Un univers virtuel basé sur la prédominance de la technique sur l'humain devenu un simple individu gris, interchangeable et isolé. Un individu qui aura perdu tout lien avec son identité et la réalité. Un esclave parfait contrôlé par le marché et des pulsions sexuelles virtualisées qu'il assouvira avec des robots créés à cet effet...

    Avant de se marier avec eux ? Ce que David Levy (non, je n’ai pas trafiqué le nom), chercheur rattaché à l'université de Maastricht, ne prend pas à la légère. Selon lui, les rapports hommes-robots vont «  conduire tôt ou tard à se poser la question de la possibilité de légaliser le mariage humain-robot en 2050. »… Nous y voilà !! 

    Les robots s’installent !

    Si vous vous mariez avec un robot, vous aurez au moins la certitude que votre conjoint aura un emploi ! D’après une étude du Journal du Dimanche (source), « les robots seraient responsables de la suppression de 3 millions d'emplois en France, d'ici à 2025 en raison de 20% des tâches devenues automatisées. Ainsi, "le taux de chômage en pertes brutes s'élèverait à 18%". »… « Le bâtiment, l'industrie, l'agriculture, l'administration publique, l'armée, la police et le service aux entreprises devraient être particulièrement touchés » lit-on encore et "les classes moyennes, y compris les classes moyennes supérieures" devraient être les plus exposées. Cependant, on nous promet 500.000 nouveaux emplois mais aussi « 30 milliards d'euros (recettes et économies) [qui] seraient engrangés et 13 milliards d'euros de pouvoir d'achat [qui] seraient libérés (en dividende et baisse de prix) ». Champagne quand même et puis, si on peut en plus se taper ou se faire branler par des robots, je crois qu’on n’aura pas perdu au change ! Vivement, hein ?

    Restez connectés!

    En attendant de vous taper des robots hyper sexy à l'image de la nouvelle égérie du C.N.C. visible plus haut, vous pourrez toujours vous satisfaire de votre Iphone qui est l'alpha et l'omega de la vie moderne. En Allemagne, pays où les mœurs sexuelles sont encore plus "libérées" que chez nous, vient de paraître une version test d'une application à la Uber mais version sexe. Voyez donc à quel point votre Iphone va devenir encore plus important pour vous grâce à l'application Ohlala (!!!) qui "permet en quelques clics de « tirer son coup » avec des particuliers. L’utilisateur indique sa localisation, ses horaires, la prestation souhaitée et le prix qu’il est prêt à payer. Cette demande est alors transmise aux filles de joies en herbe, elles peuvent accepter ou refuser l’offre. Si l’une des candidates est partante, le client et la prestataire seront alors mis en relation pour se donner rendez-vous…". Génial, non? La fille du dessus chez toi tout de suite! Manque plus qu'à savoir si l'AppStore acceptera cette application... Priez mes amis! Et espérons qu'Ohlala ne discriminera pas nos amis robots!

    Rüdiger / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Où est le courage de ceux qui nous dirigent ? (Présent 8425)

     

    En arrêtant et en tabassant un dangereux terroriste islamiste sauvant une centaine de voyageurs du massacre, les héros du Thalys ont aussi envoyé un foutu coup de pied au PADAMALGAM et insufflé sur la France comme un vent de courage et de patriotisme.

    C’était assez révélateur hier soir lorsque l’on écoutait les témoignages de voyageurs dans le train à qui France 2 demandait : « Et vous mon brave monsieur et ma brave dame qu’auriez-vous fait ? », s’attendant manifestement à « On n’a pas fait l’armée, on n’est pas des marines ».
    Et là, surprise, nouveau ton : « Je me serais levé », « J’espère que je serais allé aider ces garçons », « Je veux croire que j’aurais eu du courage », « Ils nous ont donné une leçon, on ne doit plus se laisser faire. » Le discours de Chris Norman a fait mouche : « La seule chose à faire c’est d’agir plutôt que de rester assis dans un coin et de se faire tuer. »
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    Et Hollande et Valls devraient se méfier, car leur Légion d’honneur éperdue de reconnaissance est à double tranchant. Peut-être est-ce pour ça que Taubira est aux abonnés absents, horrifiée par ce mauvais scénario raciste à la Clint Eastwood ? Qu’on ne compte pas sur elle pour cautionner ce réveil de l’homme blanc. 40 ans d’antiracisme et de prêchi-prêcha du vivre-Ensemble pour en arriver là ?
    Même le ministre socialiste des Transports Alain Vidalies s’est senti pousser des… (on va dire des ailes) en préférant que l’on pratique des fouilles discriminatoires sur les voyageurs plutôt que de rester spectateur. Et ce policier qui déclare à France TV Info : « On est spécialement attentif aux signes extérieurs, comme la barbe. »

    Il n’y a guère que François Hollande qui n’a toujours rien compris et qui posait ridiculement en petit gros haut comme trois pommes au milieu des quatre Fantastiques. Avant d’invoquer le bien et le mal :

    Face au mal du terrorisme, il y a un bien, vous l’incarnez.

    Il n’a pas dit le terrorisme islamique, une fois de plus. Comment le mal pourrait-il être islamiste ? Attention quand même.

    On en aurait pleuré en voyant les Américains quitter l’Élysée en nous laissant avec Hollande et Valls. Nous avons eu une chance inouïe cette fois-ci. Et pas grâce à nos dirigeants incapables de prendre les mesures politiques et militaires radicales qui s’imposent, à commencer par l’expulsion immédiate de notre territoire de tous les étrangers connus pour leurs liens avec l’islamisme radical. Où est leur courage à eux ?

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • Najat Vallaud-Belkacem assassine l’école publique française

    Elle ne hait pas la France, elle la nie. Elle ne hait pas notre histoire, elle pense qu’elle est finie. Jamais, depuis qu’elle est ministre, Najat Vallaud-Belkacem n’a parlé de l’apprentissage, de la transmission des savoirs, et même des savoirs.

    « La conception du paradis est au fond plus infernale que celle de l’enfer. L’hypothèse d’une félicité parfaite est plus désespérante que celle d’un tourment sans relâche, puisque nous sommes destinés à n’y jamais atteindre », écrivit un jour Gustave Flaubert à Louise Collet. Ainsi en est-il du rêve de Najat Vallaud-Belkacem, son utopie sera le cimetière de ses ambitions. En souhaitant créer un paradis éducatif d’obédience sociétaliste, tout à fait inatteignable – en plus d’être dangereux -, elle a parachevé le travail de ses prédécesseurs de « droite » et acté la destruction de l’école de la République.

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  • Résister au capitalisme dans un système capitaliste

    Un de nos jeunes lecteurs est rentré emballé de l'Université d'été d'Academia Christiana, dont le thème cet été était le suivant : la critique du capitalisme est moralement nécessaire, spirituellement salutaire; est-elle possible ?

    L'une des conférences proposées lors de l'université d'été a été retranscrite sur le site du "Cercle non conforme", sur le thème « Résister au capitalisme dans un système capitaliste », par Jean Terroir. Ci-dessous, l'introduction :

    1977128428"[...] La France est un système hybride entre étatisme et capitalisme, notre propos doit donc prendre place dans le cadre national, quand bien même nous sommes dans une société marquée par la mondialisation. Mais on ne peut pas aborder en France une « résistance au capitalisme » sans aborder la résistance à l'Etat.

    Si l'omnipotence de l'Etat est pour beaucoup de « libéraux » le signe que la France n'est pas vraiment un pays libéral au sens où eux l'entendent : c'est à dire la liberté complète en matière économique, qui effectivement n'existe pas en France pour la majorité des citoyens, c'est en revanche l'Etat qui a permis au capitalisme de devenir dans notre pays un fait anthropologique total.L'Etat en France, c'est en grande partie l'administration et la bureaucratie. Exemple simple : c'est l'Etat qui a contribué au développement de l'agriculture productiviste, donc de l'industrie-agro-alimentaire, donc des grandes surfaces, donc des zones commerciales, donc de la mort de la paysannerie traditionnelle et des commerces de proximité, de la sociabilité locale au profit de territoires entièrement dédiés à la consommation (et de la vente des centres villes aux enseignes comme H&M, Zara, Starbucks, Subway, Carrefour contact, etc...). Cette consommation entraîne d'importantes mobilités, et ces mobilités sont donc un élément du déracinement et de l'atomisation des rapports sociaux (via la voiture individuelle).

    Par cet exemple simple, on comprend mieux le lien entre consommation, déracinement et individualisme. On comprend mieux aussi pourquoi on parlera de « fait anthropologique total ». Le rapport à l'Etat a aussi pour conséquence de renforcer l'individualisme : puisque l’État papa ou l’État maman est là (c.a.d : la version rassurante ou répressive de l'Etat), alors quel intérêt d'entretenir des liens de solidarité ? Nous sommes « seuls ensembles ». On devient un « sujet de l'Etat » et finalement tout le monde accepte tacitement le contrat : payer ses impôts pour avoir des « droits à » mais aussi le « droit de ».La loi prend la place de la coutume (locale) ou de la décence commune (pour replacer direct du Michéa).

    Le Leviathan étatique permet l'intégration de la quasi totalité de la population, d'une manière ou d'une autre, au système capitaliste : par la formation (école), par l'aménagement du territoire (routes, permis de construire, grands travaux, etc...), par la culture qui est diffusée (télé, théatre, pub, ...), par (tout simplement) les modes de vie, par la consommation (on peut consommer grâce aux aides sociales) [Encyclique Laudato Si' – VI - 203]. Personne n'échappe réellement à la matrice et l'Etat doit vérifier que rien n'échappe à la matrice. Mais cela n'est pas étonnant, puisque tout pays capitaliste a besoin de l'Etat, au moins pour deux institutions : l'armée et la police. L'armée qui sécurise l'approvisionnement, et la police qui protège la propriété privée et les appareils de production. Mais l'armée et la police ont aussi pour fonction de protéger les citoyens et donc de déplacer le rapport de force des communautés humaines vers les Etats (c'est à dire que les peuples n'entrent plus en confrontation que si l'Etat le décide).

    Par conséquent, je disais dès le début que résister au capitalisme c'était résister à l'Etat, mais résister à l'Etat c'est se mettre hors la loi. C'est donc la quadrature du cercle, comment résister au capitalisme de façon légale ? A la lumière de mon introduction, on pourrait s'imaginer que c'est contradictoire. En réalité, sauf sur quelques éléments, il est possible de se soustraire légalement à l'Etat sur un certain nombre de domaines, d'utiliser une partie du système contre lui. Toute sortie intégrale d'un quelconque système que ce soit est de toute façon chimérique. Citons en ce sens Serge Latouche : « Si la rigueur théorique exclut les compromissions de la pensée, le réalisme politique suppose des compromis pour l'action ». Même les moines ont besoin des touristes qui achètent leurs bières ou leurs confitures... car l'échange, même commercial, n'est pas forcément la recherche de l'enrichissement. Partons des moines pour poser notre plan : 1) comme le moine résister c'est donc d'une part une démarche individuelle (retourner le système c'est sûrement retourner l'individu contre l'individualisme), 2) résister au capitalisme c'est constituer une communauté sur des valeurs et d'une identité communes, 3) comme le moine, résister au capitalisme, c'est s'approprier un lieu, un territoire. [lire la suite ici]

    Marie Bethanie