écologie et environnement - Page 99
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LOI ALIMENTATION : UN PREMIER BILAN DÉSASTREUX
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Fabien Bouglé "J'en appelle au gouvernement : arrêtez les éoliennes !"
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Brexit : enfin la fin ? – Journal du jeudi 17 octobre 2019
Brexit : enfin la fin ?
L’Union Européenne et le Royaume-Uni ont trouvé un nouvel accord pour le Brexit… un accord qui pourrait cependant être remis en cause par le vote de la Chambre des communes…
Les radars en perte de vitesse
Les recettes des radars automatiques en chute libre. Après avoir considérablement augmenté depuis 2011, les radars n’ont rapporté que 864 millions d’euros en 2018. Un manque à gagner pour l’Etat qui cible, une nouvelles fois, les gilets jaunes.
Pollution lumineuse : un drame écologique peu connu
Alors que la question écologique occupe largement l’espace médiatique, un phénomène demeure méconnu : la pollution lumineuse. L’omniprésence de la lumière artificielle en milieu urbain a fait disparaître l’obscurité de la nuit pour bon nombre d’êtres humains… les conséquences pour l’Homme, la faune et la flore sont dramatiques.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/brexit-enfin-la-fin-journal-du-jeudi-17-octobre-2019
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Zoom – Philippe Hansen : Le Nucléaire est nécessaire !
Blogueur, membre d’associations comme “Sauvons le climat”, rédacteur pour le site energie-crise.fr, Philippe Hansen a décidé de prendre la parole à contre-courant de l’opinion générale, en défendant le nucléaire français ! Philippe Hansen dispose de nombreux arguments : le nucléaire est propre et sûr, il est renouvelable et contribue à l’indépendance nationale. Il produit une électricité à bas coût etc… Le point de vue iconoclaste résiste-t-il aux faits ? Réponse dans cet entretien avec un spécialiste qui réfute toute appartenance aux lobbies.
https://www.tvlibertes.com/zoom-philippe-hansen-le-nucleaire-est-necessaire
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L'écologisme intégral, nécessité publique.
La semaine passée devait être la semaine de « l’insurrection civique pour le climat », promise et initiée par le groupe Extinction Rébellion, mais elle s’est plutôt soldée par un échec assez retentissant, malgré un soutien médiatique certain mais désormais un peu ironique, voire agacé : il semble que le discours « septembriseur » de Greta Thunberg à la tribune de l’ONU ait marqué la fin de la bienveillance à l’égard de sa croisade, pourtant honorable au regard de son ambition affichée d’alerte sur les questions environnementales, et que, désormais, le « reflux écologiste » soit prévisible malgré les dangers qui s’accumulent sur notre pauvre planète, bien mal en point depuis que les sociétés humaines ont basculé dans un consommatorisme débridé et « individualiste de masse ». Le fait que le prix Nobel de la Paix, que l’on annonçait comme destinée à la jeune militante suédoise dans cette semaine particulière, ne lui ait pas été attribuée malgré ces pronostics qui le lui offraient sans concurrence, est sans doute le symbole de ce reflux et de ce retournement en cours.
Faut-il se réjouir de la fin (provisoire ?) de cette illusion écologiste ? Je n’en suis pas certain, car il est à craindre que ce soit tout le souci environnemental et la réaction écologique tellement nécessaire à notre avenir et à celui de la beauté du monde, mais aussi à notre propre humanité aujourd’hui menacée par l’horreur transhumaniste, qui soient ainsi oubliés, en attendant de nouvelles catastrophes et pas seulement en Amazonie… Mais il faut repenser le combat écologique, et le raisonner sans forcément le dépassionner, l’ordonner sans le formater : en ce sens, l’écologie intégrale, si chère aux royalistes (et née dans leurs milieux au début des années 1980), est sans doute la meilleure proposition écologiste possible et la plus complète, même si elle n’est pas la plus facile et si ses formes peuvent être multiples, complexes et parfois encore mal définies, malgré les réflexions initiales de Jean-Charles Masson, premier théoricien de celle-ci (1), et celles de ses successeurs monarchistes (2), jusqu’aux catholiques lecteurs de l’encyclique Laudato Si’, le texte écologiste le plus lu et diffusé sur la planète.
L’écologie intégrale est la reconnaissance du « souci environnemental » comme étant celui, éminemment politique, de la recherche du bien commun des sociétés en lien avec leur environnement et avec la nature profonde des hommes, loin des définitions idéologiques qui réduisent les personnes à des individus égaux et interchangeables quand elles n’existent, en fait, que par leurs actions et interactions avec le milieu naturel qui les nourrit et qui les fait (et voit) vivre. Elle est autant défense de la biodiversité végétale et animale que de l’espèce humaine comme partie intégrante de celle-ci, avec cette particularité que cette dernière a la capacité de domination sur le reste de la Création, pour employer la terminologie religieuse commune aux religions du Livre, mais que cela lui donne le devoir de protéger tous les autres êtres vivants et leurs milieux, dans leur variété : protection des autres espèces (et de la sienne propre) et humilité devant les mystères et richesses de la vie, devant ses cycles et sans négliger d’en corriger les effets si ceux-ci risquent d’attenter à la pérennité de l’ensemble. C’est pourquoi l’écologie intégrale ne cherche pas à créer un « homme nouveau » mais considère ceux d’aujourd’hui tels qu’ils sont, non pas par impuissance car elle cherche à changer leurs comportements quand ils sont inappropriés au bien commun ou à l’équilibre écologique, et cela sans pour autant céder aux facilités du fatalisme…
Est-ce un hasard si l’écologisme intégral conclue à la Monarchie royale, pouvoir le plus « naturel » qui soit au regard de la transmission de la magistrature suprême de l’Etat, le fils succédant au père, avec tous les liens filiaux et les différences qu’il y a du père au fils, comme dans toutes les familles humaines ?
Notes : (1) : les premières occurrences de « l’écologisme intégral » apparaissent dans le mensuel Je Suis Français, publié par les royalistes marseillais d’Action Française, dans deux articles de 1984. Dans ceux-ci écologisme équivaut, plus largement, à écologie, même si, à bien y regarder, l’écologisme est ce qui doit permettre à l’écologie d’advenir et d’être une mise en pratique de la théorie par l’Etat politique.
(2) : en particulier Frédéric Winkler, ancien rédacteur de la revue Le Paysan biologiste dans les années 1980-90, et aujourd’hui dans les colonnes de Libertés, publication du Groupe d’Action Royaliste, et les jeunes plumes toulousaines de l’Action Française, entre autres…
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Les éoliennes polluent
Fabien Bouglé est interrogé par Guy Denaer dans Présent à propos de son dernier ouvrage sur les éoliennes. Extrait :
Le premier paradoxe de l’éolien est d’utiliser des matières pas vraiment écologiques. Lesquelles ?
Une éolienne est constituée de quatre parties : les pales, le rotor, le mât, le socle. Le mât est le seul élément recyclable. Les trois autres parties sont polluantes et non recyclables. Les pales sont en fibre de carbone, les brûler produirait une poussière cancérigène. Même Veolia reconnaît que c’est un problème majeur. Elles devront être enterrées, ce qui représente des milliers et des milliers de tonnes à enfouir. Pour les rotors, on utilise des terres rares, 200 kg à une tonne suivant la taille. Elles ne sont plus extraites dans les pays occidentaux à cause de leur impact sur l’environnement : la Chine s’en charge. Pour obtenir un produit de grande qualité, il faut laver dix fois ces terres rares avec de l’acide sulfurique, d’où des déchets radioactifs qui se répandent dans les nappes phréatiques. Les socles de béton sont enterrés « à vie » : c’est comme des bunkers allemands, impossibles à détruire ou en tout cas très coûteux – contrairement à ce que disent les promoteurs éoliens. Sachant qu’une éolienne a une durée de vie de vingt ans, cela fait beaucoup de déchets, non recyclables donc, ce qui va à l’encontre des principes écologiques.
On pourrait penser que cet impact négatif sur l’environnement est contrebalancé par une énergie très verte ?
On pourrait le penser… mais le facteur de charge d’une éolienne, c’est-à-dire sa production réelle par rapport à son utilisation théorique maximale, n’est que de 22 %. Il faut donc compenser par une production d’électricité au pétrole, au gaz, ou au charbon. Les fameuses énergies fossiles, qui produisent des gaz à effet de serre.
Et donc, plus on installe d’éoliennes, plus il faut produire d’électricité à base d’énergie fossile ?
Exactement. C’est un paradoxe incroyable puisqu’on va produire des gaz contre lesquels l’éolien est censé lutter. L’Allemagne émet dix fois plus de gaz à effet de serre que la France à cause, en grande partie, de ses centrales au lignite qui compensent la faible production électrique de ses éoliennes. Alors que la France, grâce au nucléaire et à l’hydraulique, produit une électricité décarbonée à 90 %. […]
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A Londres, des militants du mouvement « Extinction Rebellion » auraient été payés 450 euros par semaine
Selon The Mail en Sunday, certains militants britanniques du groupe écologique seraient grassement financés par de riches donateurs. En effet, selon le journal qui a eu accès à des documents financiers, le groupe Extinction Rebellion, qui mène des actions dans plusieurs capitales, dont Londres et Paris, aurait payé ses militants et ce jusqu’à 450 euros par semaine au Royaume-Uni. En quatre mois, le « défraiement » des activistes aurait atteint 80.000 euros, précise le journal, insistant sur le fait que la plupart des milliers de militants qui ont pris part au mouvement à Londres sont des bénévoles. Ce sont les organisateurs qui sont payés.
Toutefois, selon le site Checknews, si « plusieurs millionnaires ont fait d’importants dons au mouvement, qui a perçu au total 2,5 millions de livres depuis le mois de mars », cette accusation « ne peut pas être faite contre le mouvement français, qui a refusé les dons du Climate Emergency Fund et ne se finance que grâce à du crowdfunding local ».
Un député du parti conservateur a demandé qu’une enquête fiscale soit réalisée. Le mouvement pourrait subir un important redressement fiscal s’il s’avère que les sommes versées sous forme de défraiement doivent être requalifiées en salaires.
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L’éolien n’est pas une solution
Dans son récent livre, le militant Fabien Bouglé démonte un à un les arguments en faveur de l’éolien: imposture écologique, dangers pour la santé, gaspillage d’argent public, corruption… Il est interrogé sur RCF.
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Sainte Greta, endoctrinez-nous!
Bébé a fait son caprice. Ça y est, après plusieurs mois sous biberons médiatiques l’enfant s’est enfin rebellé contre ses parents et autres tuteurs moraux. Malheureusement pour elle, sa soudaine crise d’ados a levé le voile sur le rôle opaque et nauséabond qu’elle interprète. Du « je ne devrais pas être là » au « vous m’avez volé mon enfance », la fillette aux tresses blondes, a voulu donner une leçon d’écologie aux chefs d’Etat en réunion exceptionnelle à l’ONU le 24 septembre dernier. Bien que simple pion, elle incarne à elle seule toute une stratégie de propagande alliant deux facteurs inédits.
Au-delà de la bassesse intellectuelle et morale de son intervention, son coup de gueule permet de dévoiler au grand jour la stratégie d’infantilisation de l’écologie. Bien armée, Greta a su user de son statut de nouvelle prophétesse du réchauffement climatique, en se laissant adouber comme nouvelle amazone d’un combat mené depuis de nombreuses années. A coup de grandes tirades émotives, de sourires falsifiés et d’une maladie mentale étalée publiquement Greta a su charmer le public qui laissa ainsi venir à elle les petits enfants. Dès lors, suivant ses homélies à la lettre, collégiens et lycéens ont joué, le temps d’une grève pour l’environnement, aux héros climatiques en ramassant trois mégots et deux emballages plastiques dans les rues. Pas de quoi changer la face du monde.
Cette volonté d’infantiliser une problématique pour mettre en place une folie populaire, à la botte des biens pensants, devaient bouleverser le courant des choses en forçant dirigeants et citoyens à changer radicalement politiques et modes de vie. Malheureusement le hochet s’est brisé devant le monde entier. Bien que ridiculisée, Greta a incarné et incarne encore cette volonté d’user également de la peur et de l’angoisse afin de convertir le plus grand nombre à sa cause. Discours apocalyptiques et autres déclarations prédisant l’éclatement de la planète se jumelaient parfaitement avec son personnage enfantin. Rien d’étonnant donc quand elle exhorte nos députés européens, le 16 avril dernier « à paniquer comme si la maison était en feu ». Sa volonté clairement affichée d’opter pour une stratégie d’intimidation a participé à la propagande de masse. En cherchant à déclencher une hystérie populaire, c’est notre libre arbitre et notre libre discernement que l’enfant a voulu noyer dans ses larmes bourrées des gaz à effets de serre de toute la planète.
Cette propagande hystérique, dénaturant le sujet en lui-même est, de surcroit, une preuve supplémentaire de l’existence du courant pastèque, écolo d’extérieure, communiste de l’intérieure, qui sévit depuis trop longtemps. De fait, les t-shirts de la fillette plaident pour un écologisme allié aux aimables antifascistes et autres LGBT. Bien qu’insupportable, Greta ne nous enlèvera pas de l’esprit que l’écologie reste un enjeu majeur pour notre civilisation et que nous devons y trouver des réponses non pas idéologiques mais pragmatiques.
Bien que reçus en grande pompe au palais bourbon le 23 juillet dernier, dirigeants et députés français n’ont pas manqué leur correction médiatique. Ces derniers ont enfin reconnu en elle un garde vert d’une écologie non pas intégrale mais radicale. Seulement âgée de 16 ans et manipulée par beaucoup, elle incarne une propagande parfaitement huilée sachant attendrir et faire frémir pour mieux convertir. Il est grand temps pour elle de retourner à l’école, en hélico ou en bateau.
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Catastrophe économique et écologique, risque pour la santé: l'appel de Fabien Bouglé pour arrêter les éoliennes
Ce scandale est dénoncé par Fabien Bouglé, qui publie une enquête sur ce sujet.
Fabien Bouglé estime que les éoliennes n’aident pas à la transition écologique et en plus coûtent cher aux contribuables “On a une électricité excédentaire. C’est-à-dire qu’on produit plus d’électricité que nos besoins.
On produit une électricité subventionnée qui coûtent à peu près 100 milliards d’euros selon la Cour des comptes pour une électricité qu’on va revendre au cours du brut à 45 euros le mégawat/theure. Donc on finance à fonds perdus, une électricité dont on n’a pas besoin“.
Il affirme aussi que, aujourd’hui, la France est l’un des pays les plus vertueux en ce qui concerne l’énergie décarbonée et d’émission de gaz à effet de serre.
“90% de notre électricité entre le nucléaire et l’hydraulique est non-émettrice de gaz à effet de serre. Et comme on veut remplacer cette électricité par celle des éoliennes qui sont par essence intermittentes, ça conduit à compenser le moment où les éoliennes ne peuvent pas fonctionner par de l’électricité d’origine fossile comme le gaz, le charbon, ou le pétrole”.
Il dénonce un gaspillage d’argent public qui ne permet d’ailleurs pas de financer des projets de recherche sur des alternatives beaucoup plus crédibles.
“J’en appelle à Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie à l’heure où on va ouvrir la convention citoyenne pour le climat, arrêtez les éoliennes !”
Outre l’aspect économique, les éoliennes seraient nocives pour la santé : “Il y a eu une étude de la NASA dans les années 80 qui a montré que les infrasons, qui sont faut-il le rappeler une arme de guerre, conduisent à des problèmes de santé grave. Un biologiste allemand qui vient de sortir un livre en juillet 2019 sur les impacts moléculaires des infrasons qui sont diffusés jusqu’à 20km des éoliennes”.
Sans compter que les éoliennes polluent nos paysages.
Source:Le Salon Beige
Rappelons aussi le livre d'Alban d'Arguant sur les éoliennes :
Le commander cliquez ici