Je vous laisse écouter la dernière chronique de Lenglet du TF1 qui parle non pas des 3 petits cochons, mais des trois taxes du petit Macron.
Taxer, taxer, taxer.
Heureusement que notre pays est dirigé par un Mozart de la finance.
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Je vous laisse écouter la dernière chronique de Lenglet du TF1 qui parle non pas des 3 petits cochons, mais des trois taxes du petit Macron.
Taxer, taxer, taxer.
Heureusement que notre pays est dirigé par un Mozart de la finance.
Voici les premiers mots de cet article du Point. « Allemagne : le bonus électrique sacrifié au nom des économies. Confronté à des difficultés budgétaires pour 2024, le gouvernement allemand cesse le bonus pour les voitures électriques. Un coup dur pour l’industrie automobile. »
Voilà qui est clair.
Macron qui rate à peu près tout ce qu’il touche tant ce dirigeant manque de vision, d’analyse, de courage politique et en clair de toutes les qualités qui font un bon leader, venait juste d’annoncer en fanfare et tout fiérot de son coup, le leasing électrique qui va servir à bien peu de monde et coûter très cher à tout le monde !
par | 18 Déc 2023 |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Voici ce que disait Jacques Attali il y a 10 ans en 2013.
« Il est évident que ça se terminera un jour par un gouvernement mondial, équilibré, démocratique, qui mettra en place des règles, qui dominera le système financier et ne sera pas dominé par lui. Tout ça aura lieu. Les plus jeunes dans cette salle le verront. Comme il y a une monnaie européenne, il y aura une monnaie mondiale. Il y aura un revenu minimal mondial. Tout ça existera à mon sens.
Encore une fois, ce n’est pas moi qui vais me plaindre de ces bonus écologiques qui avantagent les voitures françaises et européennes. Mais tout de même, il faut noter que quand je disais comme d’autres il y a 10 ans qu’il fallait un protectionnisme si nous voulions réindustrialiser nos pays, nous étions traités au mieux d’imbéciles qui n’avaient rien compris à la beauté du mondialisme, au pire d’affreux fachos forcément xénophobes et sans doute un peu racistes.
Entre temps, même les grands de ce monde ont du se rendre à l’évidence de ce qui était parfaitement prévisible. La mondialisation est un piège à cons, ce sont les Chinois qui ont gagné et ce sont nous les cons, et le vrai racisme était celui de ceux qui nous dirigent et qui pensaient que les petits Chinois resteraient bien sagement à fabriquer nos tee-shirts pour un bol de riz par mois.

Depuis quelques années, les bouleversements mondiaux ont eu un impact direct sur notre économique. Les décisions politiques lors de la crise de la covid-19 ont paralysé les systèmes de production pour ensuite gonfler illusoirement l’économie grâce au fameux argent magique. Après un rebond éphémère, l’Union européenne a fait le choix de sanctionner la Russie pour la guerre en Ukraine… Ainsi, l’UE a suspendu ses importations de gaz et… au cas où certains auraient eu des tentations de désobéissance, d’aucuns ont littéralement saboté les gazoducs Nord Stream…

Un « capitalisme cannibale » met les corps en pièces et la Terre à sac – croissance obsessionnelle des « profits » oblige... Sa pulsion d’illimitation se nourrit autant de la destruction de la nature et des personnes que de « l’absorption de toutes les réalités qui lui échappent »... Pour le sociologue Fabrice Colomb, « nous marchons les yeux bandés sur la pente du capitalisme cannibale en étant convaincus qu’il va résoudre les problèmes qu’il crée ». Celui-ci se goinfre des « fragments biologiques pour sa propre perpétuation », jusqu’à précipiter son auto-destruction.
Quel est donc ce « système » qui « produit » de la pauvreté partout, dilapide de l’énergie au-delà de toute mesure et fait le malheur du monde ? Plus précisément, il fait le malheur d’une multitude oppressée de petits perdants, au seul « profit » d’une infime poignée de « gros gagnants », embusqués au sommet de la chaîne alimentaire.
par | 11 Déc 2023 |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Cette semaine dans le JT du Grenier, je voulais partager avec vous quelques réflexions concernant la matérialisation des conséquences de la hausse des taux dans l’économie.
Cela prend du temps.
Cela peut même sembler long.
Cela pourrait même donner l’impression qu’il ne se passera rien.
Vous voyez cette image d’illustration ?
C’est le navire européen qui fonce vers la tempête.

par Matteo Bortolon
Source: https://www.sinistrainrete.info/neoliberismo/26884-matteo-bortolon-capitalismo-woke.html
Le capitalisme est-il devenu "de gauche" ? Ce qui semble être un paradoxe, plutôt qu'une provocation, est une question au cœur d'un texte (C. Rhodes, Capitalismo woke, Fazi 2023) d'une grande actualité, et peut-être même d'une anticipation par rapport au débat italien et européen qui ne manquera pas d'émerger. Il se concentre sur un phénomène typiquement américain, qui ne semble pas encore avoir touché de manière significative le Vieux Continent, à savoir l'attitude des entreprises à soutenir des causes progressistes telles que l'environnement, les causes LGBT, l'antiracisme, les droits de la femme, etc.

Ils se présentent alors devant la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) dans l’espoir d’infléchir la décision. Ils sont accompagnés d’avocats qui agacent parfois jusque dans les couloirs du ministère de l’Intérieur. Non pas parce qu’ils exercent leur métier, mais en raison de leur capacité de blocage et de leur volonté de préserver un système parfois dévoyé. En coulisses, au plus près du sommet de l’État, une question est clairement posée : le magot que constitue l’aide juridictionnelle allouée aux étrangers motiverait-il l’ardeur et la pugnacité de ces avocats ? C’est en tout cas l’avis d’un ancien membre de la Direction générale des étrangers en France : « Il s’agit d’un petit groupe d’avocats extrêmement bien organisé, très puissant, qui a un quasi-monopole sur les demandes d’asile. Ils constituent une sorte de lobby et sont essentiellement regroupés au sein d’une association européenne baptisée Elena, se partageant ainsi un gâteau extrêmement lucratif. »
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
C’est une tribune collective qu’a publié le Figaro le 4 décembre dernier intitulée « un État endetté est un État empêché ». C’est donc ici désormais, des parlementaires de la majorité alertent sur l’état des finances publiques.
Que disent-ils ?
« S’il faut se réjouir du maintien de la note souveraine de la dette française, des efforts sont encore nécessaires pour consolider la crédibilité budgétaire de notre pays, argumentent le rapporteur général du budget, Jean-René Cazeneuve, et les quatre représentants de la majorité au Parlement ».