45% des résidences principales d’Ile-de-France entraient, en 2018, dans l’une des trois classes énergétiques G, F ou E. Un chiffre qui monte à 55% pour les logements locatifs privés.
économie et finance - Page 123
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La moitié des logements en Ile-de-France ne pourra plus être louée à partir de 2023 car ceux-ci sont trop énergivores
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La crise énergétique en Europe sera longue et s'étendra jusqu'en 2023 et 2024, voire au-delà, prévient le ministre hongrois des affaires étrangères, Peter Szijjarto
La crise énergétique actuelle en Europe sera longue et s'étendra jusqu'en 2023 et 2024, voire au-delà, a averti le ministre hongrois des affaires étrangères, Peter Szijjarto, à l'issue d'une réunion des ministres européens de l'énergie mercredi. Selon lui, des problèmes géopolitiques et de sécurité sous-jacents sont à blâmer.
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« L’économie russe à l’agonie ! » (ironie)
Du moins dans les fantasmes délirants de l’économiste
en chefen herbe B. Lemairepar Vincent Gouysse.
N’en déplaise au sinistre de la macronie en charge de l’économie et des finances qui promettait il y a sept mois de « livrer une guerre économique et financière totale » afin de « provoquer l’effondrement de l’économie russe », la cible principale (revendiquée) des sanctions atlantistes semble aujourd’hui être totalement manquée ! En ce jour d’octobre 2022, la journaloperie merdiatique atlantiste reconnaît en effet que « L’économie russe résiste mieux que prévu aux sanctions » :
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« Réveillez-vous ! L’écosystème industriel hexagonal est en danger ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je le dis et je le répète depuis des semaines.
Si nous ne devions sauver qu’une catégorie d’acteurs économiques et que nous devions choisir entre les entreprises et les particuliers, la logique et le bon sens voudraient que l’on choisisse non pas de sauver le chauffage des particuliers mais l’énergie des entreprises.
C’est très simple finalement et très rationnel.
Si nous sauvons les particuliers au détriment des entreprises qu’on laisse mourir, en quelques mois c’est tout l’écosystème industriel et productif de ce pays qui va disparaître. Puis les particuliers seront massivement mis au chômage. Puis face au nombre de faillites d’entreprises, le coût du chômage explosera, les cotisations sociales disparaitront, les caisses de l’Etat se videront à vitesse grand V. Au bout d’un an, l’Etat ne pourra plus payer le chauffage des particuliers, qui auront froid ET seront en plus au chômage.
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Pénurie de carburant : Le gouvernement annonce le début de la réquisition des personnels de la raffinerie ExxonMobil, alors que la grève est reconduite ce matin
Le gouvernement a annoncé ce mercredi matin le début de la réquisition des personnels de la raffinerie ExxonMobil de Gravenchon-Port-Jérôme en Normandie alors que les salariés de la raffinerie ont voté la reconduction de la grève ce matin.
Le ministère de la Transition énergétique explique que la mesure concerne les salariés "indispensables au fonctionnement" du site, pour débloquer les dépôts pétroliers. "La réquisition débutera ce jour", assure le ministère.
A suivre...
JMMorandini -
Coupure d'électricité, insécurité, Ukraine, Charles Gave et Léonard refont l'actualité.
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« Carburant, le début du désastre et de la pénurie ou la fin de la grève ? ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Des millions de Français courent chaque jour pour essayer de faire le plein et trouver le carburant nécessaire pour aller travailler ou pour emmener les enfants à l’école par exemple.
J’étais hier l’invité d’Ecorama sur le sujet justement de cette grève et la question était de savoir si elle allait durer ou si nous arrivions plutôt à la fin ?
Il n’est pas facile du tout de répondre à cette question, car en réalité, si l’on y pense bien, tendanciellement avec la fin souhaitée des moteurs thermiques, avec la montée en puissance des voitures électriques et des mobilités dites douces (pour ne pas dire la mobilité du pauvre) comme le vélo ou la trottinette électrique, le besoin en carburants va structurellement diminuer. Je ne parle même pas des voitures à hydrogène ou même des ZFE ces zones à « faibles émissions » qui vont interdire de rouler à des millions de voitures.
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Les nations les plus pauvres du monde souffrent du régime de sanctions européen
Au cours des près de trois mois qui se sont écoulés depuis que l’Ukraine, la Russie, la Turquie et une délégation de l’ONU se sont rencontrées à Istanbul pour élaborer un accord qui créerait des procédures pour l’exportation sûre de céréales à partir de certains ports afin de prévenir une crise alimentaire mondiale, un fait clair est abondamment clair – la soi-disant Black Sea Grain Initiative a été un fiasco catastrophique à presque tous les niveaux.
Tant avant qu’après l’accord de juillet, les Nations unies et l’Union européenne déclarent régulièrement que le commerce de produits agricoles et d’engrais entre la Russie et des entités russes avec des tiers n’est pas soumis aux sanctions imposées à la Fédération de Russie depuis que Moscou a ordonné une invasion totale de l’Ukraine fin février.
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Avec son cumul de revenus, Pierre Moscovici bien loin de « l’état de sobriété subie »
À côté des histrioniques ténors de la NUPES qui réussissent à faire le buzz quasi quotidiennement, il est de plus modestes tâcherons qui aspirent laborieusement aux mêmes réussites dans la provocation. C’est ainsi qu’en séance de la commission des affaires sociales chargée d’examiner le rapport de la Cour des comptes, et en présence du premier président de ladite cour Pierre Moscovici, le député insoumis Frédéric Mathieu - totalement hors sujet - s’est mis à égrainer la longue liste des retraites dont l’ancien ministre de Jospin sous Chirac, puis de l’Économie et des Finances sous Hollande, bénéficie aujourd’hui. Retraites auxquelles s’ajoute son indemnité actuelle, soit un total de 26.300 € mensuels correspondant à 14 fois le salaire médian des Français !
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Pénuries de carburant : bouchons, colère, grèves… le gouvernement ne sait plus où donner de la tête
La situation a continué à se dégrader sur le front de l'approvisionnement en carburant, tandis que les grèves se poursuivent dans les raffineries. Selon les chiffres communiqués par le ministère de la Transition énergétique le 9 octobre, 29,7% de stations-service connaissaient des difficultés sur au moins un produit, contre 21% le 8 octobre. Comme le souligne BFM TV, les Hauts-de-France et l’Ile-de-France sont particulièrement touchés, avec respectivement près de 55% et de 45% des stations en butte à des ruptures sur au moins un produit. Plusieurs préfectures ont décidé de mettre en place des restrictions, dont l'interdiction de remplir des jerricans d'essence lors du passage à la pompe.