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économie et finance - Page 362

  • Honte à l’Union européenne, qui n’a pas le courage de commercer en euros avec l’Iran !

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    L’Union européenne, protectorat de l’Amérique, a fait le bon diagnostic sur le scandale des sanctions américaines à l’égard de l’Iran, mais elle n’a pas la volonté politique d’une Europe puissance des nations pour commercer en euros avec l’Iran et le monde entier. « Il est absurde que l’Europe paie 80 % de sa facture énergétique de 300 milliards d’euros par an au total, en dollars alors que 2 % seulement de notre énergie provient des États-Unis », a déploré M. Juncker, jugeant également « ridicule » que les entreprises européennes achètent des avions européens en dollars plutôt qu’en euros.

    La majorité des hommes politiques européens qui parlent du problème du règlement international en euros ne comprennent pas ce qui se passe et les raisons exactes ne sont jamais expliquées d’une façon claire, technique et précise dans les médias. L’une des raisons est qu’en fait, l’euro, monnaie unique, contrairement à ce que l’on nous raconte, n’existe pas !

    L’euro est monnaie unique en apparence seulement car les euros italiens ne peuvent pas dévaluer vis-à-vis des euros français ou allemands mais, en fait, les banques centrales des pays européens sont toujours techniquement indépendantes les unes des autres et présentent toutes les symptômes d’une monnaie propre à chaque pays avec leurs propres réserves physiques en or. Elles pourraient reprendre immédiatement, chacune, leur indépendance vis-à-vis des autres banques centrales. La BCE n’est, en fait, que la consolidation comptable des bilans des différentes banques centrales européennes. La zone euro peut se défaire techniquement en une nuit, si elle explose !

    La preuve en est le « système Target 2 » de règlement entre les banques centrales qui fait qu’aujourd’hui, dans la zone euro, la Bundesbank détient 1.000 milliards d’euros de créances bancaires sur les autres banques centrales alors que la Banque centrale d’Italie est débitrice de 460 milliards d’euros, principalement vis-à-vis de l’Allemagne.

    Et comme il n’y a pas, techniquement, une véritable zone euro, la BCE et l’Union européenne ont été incapables, jusqu’à ce jour, de mettre en place un système européen interbancaire européen indépendant du système international SWIFT (Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication) sous l’emprise de Washington, de la Fed, des banques américaines et du roi dollar. La volonté de mise en place de ce système est en paroles seulement. « Nous devons augmenter l’autonomie et la souveraineté de l’Europe en matière économique, commerciale et financière », a déclaré le ministre des Affaires étrangères allemand Heiko Maas, le mois dernier, à Berlin. Un système interbancaire de paiement européen indépendant, conforme au droit européen, avec l’euro comme moyen de paiement international pour commercer avec le monde entier est urgent.

    L’Europe impuissante face aux sanctions américaines contre l’Iran souhaite mettre en place seulement un système de troc sophistiqué à partir de la vente de pétrole iranien. L’Union européenne sera amenée à créer, comme du temps du rouble dans les pays satellites de l’ancienne URSS, une chambre de compensation sans transactions financières dans la zone euro. Si l’Iran vend du pétrole à l’Espagne, ces euros serviront à régler pour un même montant directement l’exportateur allemand des machines-outils à l’Iran en évitant les transactions en dollars qui pourraient exposer les acheteurs et les vendeurs européens à des sanctions américaines.

    L’impérialisme américain est odieux, scandaleux, inacceptable. Les grands groupes tels que Total, Peugeot, Renault, Airbus, Siemens, suite aux menaces de représailles sur le marché intérieur américain, ont déjà tous renoncé. Mais la malheureuse chambre européenne « croupion » de compensation s’attire, cependant, les foudres du conseiller à la sécurité nationale de la Maison-Blanche John Bolton. Il a osé déclarer :

    « Les États-Unis seront “agressifs et inflexibles” dans l’application des sanctions […] L’Union européenne est forte dans sa rhétorique, mais faible pour l’appliquer. Nous allons surveiller le développement de cette structure qui n’existe pas encore et pour laquelle aucune date de création n’a été fixée. Nous n’avons pas l’intention de permettre à l’Europe ou quiconque d’éviter nos sanctions. »

    Debout, l’Europe puissance des nations anti-Macron à construire !  

    Économiste

    Ancien haut dirigeant d'entreprise

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2018/10/02/honte-a-l-union-europeenne-qui-n-a-pas-le-courage-de-commerc-6094049.html

  • Le géographe Christophe Guilluy annonce la fin de la classe moyenne

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Christophe Guilluy s’est rendu célèbre avec la publication en 2010 de Fractures françaises, suivi en 2014 d’un ouvrage au titre éloquent La France périphérique : comment on a sacrifié les classes populaires.

    Quelle était la ligne directrice de son analyse ?

    Il a mis en lumière le rejet progressif des classes moyennes et populaires aux marges des grandes villes. Les catégories populaires n’ont pas disparu, mais elles ont dû s’éloigner des agglomérations. C’est pourquoi le géographe estime que « le problème crucial politique et social de la France, c’est que la majeure partie des classes populaires ne vit plus là où se crée la richesse ».

    Dans son nouvel essai, Christophe Guilluy évoque cette fois la fin « de la classe moyenne occidentale ».

    Il a choisi d’élargir son analyse à l’ensemble des milieux populaires des pays occidentaux. Il constate une même inquiétude sociale et identitaire. Cette « insécurité culturelle », pour reprendre le terme du politologue Laurent Bouvet, appelle une réponse politique qui est disqualifiée par les élites sous le nom de « populisme ». Pourtant, ce sont ces populations, souvent éloignées des centres-villes, qui subissent le plus la pression migratoire.

    La classe moyenne ne constitue-t-elle pas pourtant la majorité de la population d’un pays ?

    Guilluy souligne que le contexte des trente glorieuses a profondément changé sous l’effet de la mondialisation. Les ouvriers, les paysans ou les employés qui constituaient la classe moyenne, à la fois économiquement et culturellement, ont été profondément fragilisées, voire déclassées.

    Ce sont d’abord les ouvriers, puis les employés et les agriculteurs qui ont été touchés.

    A tel point que le géographe estime que les personnes que l’on regroupe désormais sous le terme de « classe moyenne » appartiennent en réalité aux catégories supérieures. Reste à savoir quelle sera la traduction politique définitive de ce phénomène d’érosion de la classe moyenne majoritaire.

    https://fr.novopress.info/212162/le-geographe-christophe-guilluy-annonce-la-fin-de-la-classe-moyenne/

  • La grande braderie: au nom de la concurrence libre et non faussée…

    barrage-300x225.jpgAprès la grande braderie que fut la  privatisation des autoroutes sur le dos des Français, en avant pour celle  des barrages hydroélectriques!  Arnaud Raffard de Brienne le déplorait  dans Présent début septembre,  Emmanuel Macron va céder « aux  pressions répétées de la Commission européenne  »  exigeant  « l’ouverture à la concurrence de la gestion des (400)  barrages hydrauliques (dont l’Etat est propriétaire). »  Il s’agit, et  de  loin,   « de  la première des énergies renouvelables en France » (20 % de la production nationale), de la seconde source de production électrique du pays, soit  20 % de la puissance installée du mix électrique, 12 % de l’électricité utilisée par les Français, 66 % de la capacité de production de  pointe.  Un secteur dans lequel EDF se taille la part du lion,  à la tête de 85% des concessions de barrages, accordées en moyenne   pour une durée de 75 ans. Le journaliste le rappelle,  les  pressions de Bruxelles  s’exercent   « depuis une dizaine d’années et elles auront donc eu raison  des velléités de résistance passive de la France », passive étant le mot juste…   

    Le journal de l’environnement l’évoquait alors,  c’est en effet  le 3 novembre 2015 que la Commission européenne avait  dans ce dossier  «  adressé une mise en demeure au gouvernement français »,   au  nom du dogme selon lequel « les Etats membres sont tenus de veiller, en ce qui concerne les entreprises publiques ou celles disposant de droits spéciaux ou exclusifs, à ne maintenir aucune mesure contraire aux traités, notamment en matière de concurrence. »

    Faute de pouvoir donner l’assaut dans le cadre du marché  de l’électricité  contre le monopole de l’Etat sur nos centrales nucléaires,  (encore) protégées des velléités prédatrices des bruxellois   car  incluses par la France  au nombre des « activités d’importance vitale », nos ressources hydroélectriques sont dans le collimateur.  En l’espèce celui  de la Danoise  Margrethe Vestager, commissaire européenne à la concurrence  et accessoirement membre du  très immigrationniste parti social libéral danois rattaché au parlement à l’Alliance des libéraux et des démocrates pour l’Europe (ALDE) et à  l’Internationale libérale.

    Mme Vesdtager s’est émue de la « position dominante » en France d’EDF,  d’« une inégalité de chances »  sur notre sol  entre   opérateurs pour l’accès à la production hydroélectrique.  Le duo Hollande-Valls avait  commencé à céder aux  exigences de mise en concurrence de Bruxelles en avril 2016,  avec la publication d’un décret ouvrant notamment à des sociétés d’économie mixte (SEM) la concession des barrages. Et pour mieux  complaire à l’idéologie européiste,  l’Etat  interdit désormais à EDF de postuler  à la reprise d’une de ses concessions… quand bien même l’offre proposée par celle-ci serait la meilleure!

    Bref, une ouverture imposée au  nom du principe de  la concurrence libre et non faussée,   auquel nous devrions nous plier au mépris de notre intérêt national, et qui attise sans surprise l’intérêt  des groupes étrangers. Le contraire serait en effet  étonnant au vu de la  rentabilité  des barrages hydroélectriques  - ouvrages  d’art  construits  et entretenus,  faut-il le préciser, avec l’argent des contribuables Français -, les chiffres publiés évoquant environ 2,5 milliards d’excédent brut annuel pour les concessions. 

    En juin 2018, une dépêche de l’Afp  reprise sur le site euractiv notait que le gouvernement d’Edouard Philippe   « aurait proposé à Bruxelles la mise en concurrence de certaines concessions dès cette année, en plafonnant les lots que peut remporter une entreprise, selon la CGT et des députés qui suivent ce dossier. » « La crainte d’EDF comme des salariés est que les concessions les plus rentables partent à la concurrence et qu’EDF se retrouve avec les petits barrages, faisant dérailler l’équilibre économique de l’ensemble. » Une péeoccupation  parfaitement justifiée, d’autant qu’ en dépouillant ici  EDF , dont le capital social est détenu à 83,7% par l’Etat, il est loisible de  craindre une  augmentation pour les Français du prix de l’électricité.  A titre indicatif, soulignons le faible coût de celle-ci quand elle est   produite par les barrages, entre 20 et 30 euros le mégawattheure, prix sensiblement plus bas que celui de  l’électricité nucléaire notamment

    En mars  dernier,  l’élue national   Christelle Lechevalier (groupe ENL) rappelait à Strasbourg  que «la privatisation des barrages hydroélectriques dépouillerait la France d’une ressource d’énergie, régulatrice de l’écosystème, décarbonnée et rentable. » La collègue de Bruno Gollnisch soulignait également  que les syndicats (qui) protestent aujourd’hui  contre la mise en concurrence des concessions hydrauliques s’étaient  tous ralliés derrière l’européiste Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle.  « Syndicats (qui) ne remettent jamais en cause les traités européens et la mondialisation-destruction (…) complices, par leur silence, de la disparition de nos services publics et de la perte de l’autonomie de notre nation en matière énergétique.»

    A la soumission des gouvernements successifs aux oukases de la technocratie européiste répond l’inféodation globale des syndicats à ce système par essence antinational. Mais peut-on demander à des syndicats dirigés, formatés, contrôlés par  des socialo-trotskystes, des communistes de sortir de l’ambiguïté ? Comment pourraient-ils avouer que le Grand Satan national contre lequel ils appellent systématiquement à voter,  défend avec une grande  cohérence politique une  préférence nationale  plébiscitée par les travailleurs Français  mais combattue par l’oligarchie bruxelloise?

    https://gollnisch.com/2018/10/05/la-grande-braderie-au-nom-de-la-concurrence-libre-et-non-faussee/

  • Un député LREM proche de Macron visé par une enquête pour avoir cumulé les indemnités de ses différents mandats

    Jean-Jacques Bridey, président de la commission de la Défense à l’Assemblée nationale, est visé par une enquête préliminaire pour concussion, selon une information de Mediapart confirmée par franceinfo.

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  • Macronie – Le budget de l’Assemblée nationale explose

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    Le Parisien a dévoilé quelques éléments d’un document confidentiel concernant les dépenses du Palais Bourbon qui dépassent largement le budget prévisionnel 2019. L’Assemblée nationale devra puiser dans ses réserves près de 47 millions d’euros l’an prochain – sur un total de 318 millions d’euros -, contre 28,4 millions d’euros prévus à la fin de l’année 2017.

    Le document cité par Le Parisien souligne : «Les charges prévisionnelles de l’exercice 2019 sont supérieures à la dotation de l’État et aux recettes propres de l’Assemblée».

    Les dépenses somptuaires s’accumulent sous l’ère Macron.

    Acquis en 2016 pour 63 millions d’euros, l’Hôtel de Broglie à la suite du vote des députés en décembre 2017, sera aménagé en bureaux-couchettes et espaces de travail pour les élus et leurs collaborateurs.

    Les retraites des députés – une des causes principales causes de la hausse des dépenses – atteignent les 67 millions d’euros pour l’année 2018 mais devraient augmenter de 11% l’an prochain. Un déficit aggravé que l’Assemblée nationale doit combler grâce à une subvention interne d’équilibre d’environ 40 millions d’euros.

    La catégorie «Autres charges» augmente de près de 160%, passant de 16 à 60 millions d’euros, entre le budget initial 2018 et celui prévu l’an prochain. Ces autres charges sont notamment les frais postaux ou de taxi, le téléphone, ou encore l’équipement numérique des députés et de leurs collaborateurs (tablettes, ordinateurs et connexion Wi-Fi).

    https://www.medias-presse.info/macronie-le-budget-de-lassemblee-nationale-explose/98607/

  • Frais bancaires : 6,5 milliards sur le dos des pauvres !

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    Système bancaire ne rime jamais avec philanthropie, loin s’en faut. Que les méthodes soient peu scrupuleuses, tout le monde s’en doutait. Business is business. Mais de là à franchir allègrement la frontière de l’illégalité… Et pourtant, les banques rivalisent d’ingéniosité quand il s’agit de voler de l’argent. Une enquête menée de front par le magazine 60 millions de consommateurs et l’UNAF dévoile les rouages d’un système bancaire prêt à tout pour remplir les caisses, quitte à appauvrir un peu plus ses clients déjà vulnérables financièrement.

    Les pauvres en ligne de mire

    Agios, frais de rejet de paiement, commissions d’intervention… Lorsque le découvert autorisé est dépassé, le couperet tombe et, avec lui, son avalanche de frais liés aux incidents bancaires. Ces sommes montent parfois jusqu’à 700 euros par mois pour les clients les plus en détresse. Difficile, alors, de sortir du cercle vicieux. Mais certaines banques ne s’arrêtent pas là : non contentes de facturer aux clients submergés toutes les lettres de recommandation et autres frais de rejet de chèque sans provision (entre 30 et 50 euros), elles inventent de nouvelles règles de tarification.

    Ainsi, lorsque le solde du compte finit malheureusement la journée en débiteur, la commission d’intervention à 8 euros ne sera pas facturée uniquement sur la dernière opération fatale mais sur toutes celles effectuées au cours des dernières 24 heures. Ce ne sont donc pas 8 euros qui seront facturés au client, mais bien 8 euros multipliés par le nombre d’opérations jugées « débitrices » au cours de la journée. Le groupe BPCE (Caisse d’Épargne et Banque populaire) mais aussi le Crédit mutuel, pour ne pas les nommer, sanctionnent donc le comportement des consommateurs, voire les appauvrissent littéralement. Une folie tarifaire jugée totalement illégale par les deux associations.

    Contrairement aux idées reçues, les victimes principales de ces politiques sournoises ne sont pas les clients en grande détresse financière, protégés par les lois de plafonnement de frais. Pas besoin d’être fiché à la Banque de France pour voir au moins une fois son compte en négatif : la mère de famille célibataire faisant face aux frais de rentrée, le petit chef d’entreprise vivant un mois difficile… Le profil type de la classe moyenne ni riche ni trop pauvre, et surtout bien incapable de se payer le moindre avocat. Selon l’association de consommateurs, ils sont huit millions, en France, à voir leur compte régulièrement dans le rouge. Il suffit d’un rien pour mordre un peu sur le découvert autorisé et se faire immédiatement asphyxier par la banque…

    Et pour cause : les frais liés aux incidents représentent un pactole de 6,5 milliards d’euros chaque année pour les banques. Las, Bruno Le Maire et les principaux représentants des banques ont pourtant eu le culot d’annoncer, début septembre, un plafonnement global de ces frais à 200 euros par mois… Une promesse qui n’engage que ceux qui voudront bien y croire puisqu’aucun contrôle n’est prévu pour sanctionner les mauvais élèves. Comment imaginer une seconde que les banques respecteront cet engagement alors que de nouveaux frais infondés, comme cette règle des 24 heures citée plus haut, font sans cesse leur apparition en toute impunité ?

    De la poudre de perlimpinpin envoyée à la face du gouvernement mais dont les consommateurs sortiront une fois de plus grands perdants.

    Anne de Méric

    http://www.bvoltaire.fr/frais-bancaires-65-milliards-sur-le-dos-des-pauvres/

  • Philippe et Wauquiez : à la croisée des droites ? – Journal du vendredi 28 septembre 2018

    Politique / Philippe et Wauquiez : à la croisée des droites ?
    Le premier ministre Edouard Philippe a fait face au président de son ancien parti, Laurent Wauquiez… une petite passe d’armes qui illustre la confusion qui règne à droite de l’échiquier politique français.

    Sécurité / Grenoble, le Chicago à la française
    Insécurité en milieu alpin ! La ville de Grenoble est devenue la capitale de la délinquance. Alors que la situation est hors-de-contrôle, le ministre de l’intérieur, Gérard Collomb, s’est rendu sur place ce vendredi.

    Santé / Nos régions ont leur addiction
    Dis-moi où tu habites je te dirai ce que tu consommes ! Une étude fait état des différentes addictions selon des critères régionaux… malgré des chiffres en baisse, la France reste l’un des plus gros consommateurs de produits licites et illicites en Europe.

    Économie / Un made in France écolo

    L’actualité en bref

    Lien serveur TVL :

    Lien DailyMotion :

     
  • Google finance le quotidien communiste L’Humanité

    Google finance le quotidien communiste L’Humanité

    Lu sur l’OJIM cette alliance entre des marxistes et le grand capital :

    En 2016 (source Lettre A) le fonds Google avait financé deux projets numériques du journal communiste. Le premier Cerise prenait la forme d’un réseau social. Le second Partage social club (PSC) se présentait comme une plate forme de partage de vidéos et d’informations. Ni l’un ni l’autre n’ont connu le succès escompté.

    En 2018 Google remet au pot sous la forme d’une aide pour la réalisation d’Humagora, le futur support digital du journal. La responsabilité en a été confiée à Valère Staraselski qui n’a aucune expérience en la matière mais présente l’avantage d’avoir été le directeur de la culture de la Caisse centrale d’activités sociales (CCAS) du comité d’entreprise EDF. La CCAS a servi de tiroir caisse pendant de nombreuses années au PCF et à la CGT, l’ami Valère saura se montrer loyal.

    Humagora se présenterait sous la forme d’un site de débats style FigaroVox. Google remettra la main à la poche (comme sans doute l’État).

    https://www.lesalonbeige.fr/google-finance-le-quotidien-communiste-lhumanite/

  • Audiovisuel : ne m'appelez plus service public

    6a00d8341c715453ef022ad3b43102200b-320wi.jpgDans son édition du 26 septembre la chronique quotidienne de Valeurs actuelles donnait des indications fort instructives, et inquiétantes, sur la déprogrammation du passage d'Éric Zemmour sur France 2.

    Valeurs actuelles fait le bilan: "Pas de Zemmour dans Histoire d’une nation, la série documentaire de France 2 qui raconte le rôle des immigrés en France de 1870 à 2005, à travers notamment le récit des histoires familiales de certaines personnalités issues de l’immigration. Pas de Zemmour dans Les 4 Vérités, pas de Zemmour dans l’Émission politique, qui reçoit ce jeudi le Premier ministre Édouard Philippe, et pas de Zemmour, donc, dans On n’est pas couché, malgré la volonté de certains animateurs de ces grandes émissions qui se sont systématiquement heurtés à un refus de la chaîne. Son absence du service public télévisuel pour la promotion de son nouveau livre, alors même qu’il constitue l’un des événements médiatique de la rentrée, pose la question de sa censure par la direction de France Télévisions."

    La marée du sectarisme semble ainsi monter comme inéluctablement.

    Or, en bas de page, peut-être simple effet du hasard, car la rédaction ne souligne aucun rapprochement, est publiée entre autres la courbe d'évolution de ce qu'on appelle la redevance. Cette taxe que l'on paye depuis quelques années avec la taxe d'habitation a pour vocation de financer les chaînes publiques de radio et de télévision.

    Il n'est guère possible de s'y soustraire volontairement même si on ne désire jamais écouter les médias contrôlés par l'État.

    Les conditions d'exonération ou de réduction de cette taxe, fixée par la loi de finanaces pour 2018 à 138 euros, en attendant d'être encore augmentée, révèlent d'ailleurs, une fois de plus, les tares du système : les ressortissants de l'outremer, où la plupart des autres prix sont plus élevés, payent 88 euros, et un nombre non négligeable de gâteux ou d'illettrés sont gavés gratuitement de propagande marxisto-gouvernementale.

    Ne laissons pas croire à nos lecteurs francophones résidant à l’étranger qu’en échange de cette contribution, les citoyens de l’Hexagone seraient libérés de la part publicitaire de l’abrutissoir : les chaînes étatiques ont été autorisées à capter une partie des budgets d’annonces qui permettraient au secteur privé de s’exprimer plus librement.

    Par exemple "C'est Canteloup" à 20 h 50 sur TF1[1] constitue, à l'évidence, l’une des rares sources d’information presque objective du PAF. Ici paf ne doit pas être compris comme l'onomatopée retraçant le coup qui nous est assené dans le visage. PAF veut dire paysage audiovisuel français. Et bien entendu l'émission est diffusée par une télévision privée. Si l’on souhaite l'écouter, on supporte patiemment les fadaises publicitaires qui précèdent la séquence, qui sera rehaussée par la collaboration de la ravissante Alessandra Sublet. On sait qu'il s'agit de la rançon de la liberté.

    Si des subventionnaires, surpayés, sectaires et en sureffectif s'emploient à siphonner ces ressources, cela signe aussi les cyniques censures du système.

    Qu'on ne vienne pas parler du rôle régulateur du CSA, qui depuis sa fondation par Mitterrand fonctionne en vue du Contrôle socialiste sur l'audiovisuel. Cette instance est actuellement, depuis 2013 et en principe jusqu'en 2019, présidée de droit divin par Olivier Schrameck. Cet ancien directeur du cabinet et ami de Jospin, pilier de cet hypocrite laïcisme républicain camouflant mal la tyrannie jacobine, ne fait que continuer la longue série de censures feutrées dont l'instance a fait sa fonction.

    Quand nous payons la redevance nous ne payons pas pour un service public mais pour financer à la fois le bourrage de crâne monopoliste de gauche et les sinécures des radioteurs de la médiocrité.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Les internautes ne payant pas encore de redevance au titre de leur ordinateur, nous suggérons à ceux qui ne la connaîtraient pas de prendre connaissance comme échantillon de "C'est Canteloup" du 24 septembre 2018.

    http://www.insolent.fr/