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économie et finance - Page 364

  • Réinfo, le mag du Parti de la France de cette semaine

    • Fiscalité : Les réformes fiscales de l'exécutif n'arriveront pas à endiguer l'augmentation vertigineuse des prélèvements obligatoires. Emmenant le déficit de l'État au-delà des abysses. L'État est partout, l'État coûte cher et l'on constate tous les jours la dégradation généralisée des services publics.
    • Promotion de Jean-Marc Borello : Dans la république des copains, c'est un visiteur du soir, un pilier de la Macronie, encensé par le Forum de Davos, qui s'est vu confié rien de moins que la déradicalisation. Son parcours pourtant édifiant laisse planer un doute sur ses compétences et aurait dû le tenir éloigner de toute responsabilité.
    • Tout va bien, vous êtes en Macronie. Avec le nouveau copain antillais de Macron sous les verrous, les délires christiques de Marlène Schiappa, l'accueil d'un migrant à cinq euros la nuit et la suppression des périodes militaires pour le calcul de la retraite.
    •Démocratie inquiétante en Pologne :La réforme judiciaire, soutenue par 80 % de la population polonaise, qui se passe en douceur et sans incident, inquiète l'Union européenne. Elle envoie donc une délégation du Parlement européen pour enquêter.

    Et pour finir, l’actualité du parti de la France et les prochains rendez-vous du mouvement.

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  • Carburants : la révolte monte et devient politique

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    Le quotidien Sud-Ouest du 19 octobre avait fait le compte. Pour un couple de salariés travaillant à vingt kilomètres d’Agen et contraint, par leurs horaires et leurs lieux de travail, d’avoir deux voitures, le surcoût annuel imposé par la hausse des carburants correspond à un mois de salaire au SMIC. Oui, un mois de SMIC de plus. Enfin, de moins. C’est peut-être un détail pour beaucoup, vu de la France d’en haut. Mais c’est considérable pour les ménages actifs des classes moyennes et populaires.

    Alors, forcément, quand leurs impôts locaux leur coûtent un mois et demi (et c’est la saison de la taxe foncière et de la taxe d’habitation), quand les études du grand sont chiffrées par les organisations étudiantes à environ 10.000 euros par an, cette hausse des carburants est la goutte d’eau dans le verre des colères. Déjà les 80 km/h, qui rallongeaint leurs trajets et leur budget radar, leur avaient laissé le goût amer d’être stigmatisés par le gouvernement Philippe.

    Cette colère, c’est celle que ressent, loin des grands centres urbains et des villes bien desservies, où la voiture n’est pas nécessaire, toute la France périphérique. Alors, les initiatives se sont multipliées, recueillant toutes un immense succès sur les réseaux sociaux : pétition sur change.org, appel à des rassemblements et des blocages partout en France le 17 novembre.

    Depuis vendredi, la révolte a pris une tournure politique. Nicolas Dupont-Aignan, le président de Debout la France, a ouvertement appel, sur RMC, au blocage du pays le 17 novembre :

    « Il faut bloquer toute la France le 17 novembre, il faut que la population française dise à ce gouvernement “Maintenant, ça suffit”, appelant à “changer l’histoire” avec une mobilisation contre ce “scandale absolu”. » 

    Il y a sans doute été poussé par la vidéo de l’un des militants de son parti du Tarn-et-Garonne, Frank Buhler, vue 3,5 millions de fois dont le parler cash a fait fureur sur Internet :

    « Ce gouvernement de bobos, de gens inconscients qui n’ont jamais vécu la misère humaine, ils s’en foutent complètement, et le Premier ministre a été d’une arrogance incroyable, il a dit “Ça se fera”, hé bien, chiche, chiche ! »

    Il est vrai qu’Édouard Philippe, sans doute rasséréné par des sondages le plaçant au-dessus d’Emmanuel Macron, n’a qu’un mot partout où il passe, résumé dans l’entretien qu’il a donné cette semaine aux journaux du groupe La Dépêche : « J’assume tout. » C’est son côté « droit dans mes bottes ».

    Marine Le Pen, sur Europe 1, a aussi annoncé que son parti rejoindrait le mouvement le 17 novembre.

    « L’ensemble de nos élus et délégués départementaux, de nos fédérations, rejoindra la contestation qui est en train d’émerger. Il va falloir que le gouvernement comprenne que les Français n’en peuvent plus, ils ne peuvent plus se déplacer en voiture […] Nos ministres vivent à Paris, mais dans la ruralité la voiture c’est essentiel. »

    Il y eut les Bonnets rouges, il y a quatre ans, puis la fronde des 80 km/h il y a quelques mois. Voici, donc, la colère contre la hausse des carburants.

    Édouard Philippe pourra toujours jouer le combat du progressisme – selon la feuille de route du Président – et de la fiscalité écologique, politiser à son tour le conflit en dénonçant le soutien des partis de droite au blocage et miser sur un essoufflement du mouvement. Il ne fera qu’aggraver le fossé entre la France urbanisée et mondialisée et la France périphérique. Et remplir un peu plus le verre des colères. Jusqu’à la prochaine ?

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/carburants-la-revolte-monte-et-devient-politique/

  • Face à la hausse des taxes et impôts : Carl Lang apporte son soutien à l'initiative populaire du samedi 17 novembre

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    Un communiqué de Carl Lang,

    Président du Parti de la France :

    Tandis que le prix du pétrole ne cesse de monter et que le baril de brent vient de dépasser les 80 dollars (+ 15% en deux mois), le gouvernement choisit d'aggraver encore la charge fiscale sur les carburants, soumettant ainsi les automobilistes français  – et singulièrement nos compatriotes vivant dans les zones rurales ainsi que ceux pour qui la voiture est un instrument de travail indispensable – à une pression intolérable. 

    Depuis janvier, les taxes ont augmenté de 7,6 centimes par litre pour le gazole et de 3,9 pour l'essence.

    Pour faire simple, pour un plein de 50 litres de diesel hebdomadaire, l'augmentation fiscale sur l'année 2018 sera de 200€ et de 100€ pour l'essence. Une hausse inacceptable qui obère un peu plus le pouvoir d’achat des familles et contraint certains de nos compatriotes à limiter leurs déplacements. 

    Le samedi 17 novembre 2018, à l'appel de nombreuses associations et collectifs, les automobilistes français sont appelés à manifester leur colère et à bloquer pacifiquement les routes. Le Parti de la France s'associe à cette mobilisation nationale et invite ses adhérents et sympathisants à y participer.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La dédollarisation, enjeu de sécurité économique pour la Russie

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    La dédollarisation serait un gage de la sécurité économique de la Russie… et c’est bien cette idée qui sous-tend la stratégie russe.

    Il ne faut pas croire que le dollar soit en train de perdre sa valeur, ou encore son statut de monnaie de référence internationale.

    En raison de la politique extraterritoriale que mènent les États-Unis en pénalisant toutes les entreprises qui utilisent le dollar à leur bon vouloir, il ne faut pas s’étonner que les pays souhaitant avoir leur propre politique se passent du billet vert.

    Pour rendre crédible le rouble russe, et qu’il soit accepté en termes de monnaie d’échange sérieuse, Poutine augmente considérablement ses réserves de métal jaune.

    En dédollarisant l’économie, on se rend compte que ce n’est pas le dollar qui s’effondre ou chute, c’est l’or qui se remonétise et reprend une place importante pour garantir la valeur des monnaies.

    Son rôle historique depuis 6 000 ans en somme !

    Charles SANNAT

    Dans le contexte des sanctions, l’économie russe a besoin d’une dédollarisation pour garantir sa sécurité, estiment des experts interrogés par Sputnik.

    Tout comme Vladimir Poutine, qui a déclaré que la dédollarisation de l’économie russe ne poursuivait pas l’objectif de torpiller la monnaie américaine, mais de garantir sa sécurité, les experts interrogés par Sputnik à ce sujet évoquent eux aussi de la sécurité économique.

    L’objectif de la dédollarisation est, en effet, la sécurité, estime Anna Kokoreva, de la société Alpari.

    « L’économie russe est très dépendante du taux de change et la haute volatilité du taux de change du dollar rend nos revenus instables. En outre, l’évolution du taux de change produit un impact direct sur les indicateurs macroéconomiques », a-t-elle ajouté.

    « Étant donné que le pays émetteur de dollars introduit régulièrement des sanctions contre la Russie et menace d’imposer des restrictions aux obligations d’État, il convient de minimiser les risques et de réduire les paiements en dollars », conclut Mme Kokoreva.

    Selon Valeri Bezouglov, de la société d’investissement Freedom Finance, on entend par dédollarisation le fait d’utiliser en partie des monnaies nationales dans le cadre des échanges extérieurs, sous-entendant aussi que les exportateurs qui concluent des contrats en roubles se voient concéder des avantages.

    Évoquant la protection contre les sanctions, il signale que la dédollarisation vise en tout premier lieu à protéger les paiements intérieurs en prévision des restrictions qui pourraient éventuellement concerner les transactions en dollars des banques d’État russes.

    De nouvelles sanctions américaines contre la Russie étaient entrées en vigueur le 27 août. Un nouveau train de sanctions encore plus dures pourrait être introduit en novembre prochain pour frapper l’octroi de crédits aux personnes morales russes et les opérations d’import-export. Toujours en août, un projet de loi avait été soumis à l’examen du Congrès américain contenant un large éventail de mesures antirusses, y compris des sanctions contre la nouvelle dette publique et les banques d’État russes, parmi lesquelles Vneshekonombank, Sberbank, VTB, Gazprombank, Rosselkhozbank et Promsviazbank.
    Les experts ont signalé à Sputnik que les formulations de ce document concernant les banques sont très vagues et que selon toute évidence, elles pourraient également être frappées d’interdiction de paiements en dollars.

    Source Sputnik.com ici

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2018/10/24/la-dedollarisation-enjeu-de-securite-economique-pour-la-russ-6099252.html

  • L’Union européenne met la pression sur la coalition anti-système italienne

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    C’est une première dans l’histoire de l’Union européenne. La coalition entre le mouvement 5 étoiles et la Ligue présentaient les détails de leur budget à la commission.
    Le commissaire européen aux Affaires économiques Pierre Moscovici a demandé à l’Italie de réviser dans un délai de trois semaines son budget. Dans le cas contraire, elle risque l’ouverture d’une “procédure pour déficit excessif”, susceptible d’aboutir à des sanctions financières correspondant à plusieurs milliards d’euros.

    Cela ne change rien, que ces messieurs de la spéculation se rassurent, on ne retourne pas en arrière“, a déclaré le patron de la Ligue.

    Et Matteo Salvini d’ajouter :

    Ils ne sont pas en train de s’attaquer à un gouvernement mais à un peuple. Ce sont des choses qui mettent les Italiens encore plus en colère et après on se plaint que la popularité de l’Union européenne soit au plus bas.

    https://fr.novopress.info/

  • Allocation du demandeur d’asile revalorisée de 1,6%, retraites et allocations familiales de 0,3%

    Allocation du demandeur d’asile revalorisée de 1,6%, retraites et allocations familiales de 0,3%

    Cherchez l’erreur :

    https://www.lesalonbeige.fr/allocation-du-demandeur-dasile-revalorisee-de-16-retraites-et-allocations-familiales-de-03/

  • Brexit, budget italien, réformes polonaises : Union européenne et démocratie ne font pas bon ménage !

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    C’est le gouvernement des hauts fonctionnaires et des juges éclairés.

    La semaine écoulée a vu la convergence des luttes : les luttes de l’Union européenne contre la démocratie, selon l’adage du « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté ».

    La constatation de l’échec des négociations sur le Brexit, d’abord, au sommet européen du 17 octobre. Cela, alors que le Premier ministre britannique, Theresa May, semble sur le point de tomber à cause de ses trop nombreuses concessions sur les conditions de la sortie de l’Union européenne, face à des négociateurs bruxellois qui n’ont pas bougé d’un iota. Plutôt que de négocier un accord profitable à tous, le négociateur de la Commission Michel Barnier, que l’on accuse de prendre ses ordres à Paris et à Berlin, instrumentalise la question de la frontière irlandaise pour forcer les Britanniques à rester dans l’union douanière, c’est-à-dire à continuer de se soumettre aux règles européennes sans plus pouvoir participer à leur élaboration.

    Ce n’est pas du goût des partisans du Brexit, qui se sentent floués, et cette stratégie européenne peut déboucher sur deux choses : un deuxième référendum pour annuler le premier ou bien le remplacement de Mme May par un vrai partisan du Brexit et une sortie du Royaume-Uni sans accord, ce qui ne serait la meilleure solution pour personne.

    Il y a, ensuite, eu le rejet du projet de budget italien par la Commission européenne, et notamment par le commissaire Moscovici qui, quand il était ministre des Finances de la France sous Hollande, était bien moins vertueux avec son déficit public à plus de 4 % du PIB français. Mais conformément au pacte budgétaire européen en vigueur depuis 2013, la Commission européenne peut exiger d’un gouvernement qu’il revoie son budget. Le gouvernement italien précédent avait promis de réduire le déficit à 0,8 % du PIB en 2019. Eh bien, tant pis si les Italiens se sont choisi une nouvelle majorité – qu’ils sont 60 % à plébisciter dans les sondages –, c’est la Commission européenne qui décide, et pas question pour elle d’accepter un déficit à 2,4 %, même si la France affiche, elle, un déficit en hausse à 2,8 %.

    Et si l’Italie ne cède pas, ce sera la majorité qualifiée du Conseil de l’Union européenne, c’est-à-dire les autres gouvernements de l’Union européenne, qui pourra la forcer à accepter, comme pour la Grèce avant elle. Le problème, c’est que ni la Commission ni les autres gouvernements de l’Union européenne n’auront, ensuite, à répondre de leurs décisions concernant le budget de l’Italie devant les électeurs italiens. Ils ont déjà enfoncé la Grèce avec leurs plans successifs, ils peuvent recommencer avec l’Italie !

    Par ailleurs, le 19 octobre, la vice-présidente de la Cour de justice de l’Union européenne, une juge espagnole, signait, seule, une ordonnance enjoignant Varsovie à titre provisoire, suite à une plainte de la Commission européenne, de suspendre l’application de sa réforme de l’âge de la retraite des juges de la Cour suprême polonaise – sorte de Cour de cassation – et de faire revenir les juges mis à la retraite. Cela, avant même d’avoir jugé de l’affaire sur le fond et malgré le fait que l’organisation des institutions judiciaires relève de la compétence des États et non pas de l’Union européenne. Qu’à cela ne tienne : dans l’Union européenne, un juge agissant seul peut décider d’outrepasser les compétences qui lui sont reconnues dans les traités et de suspendre une loi votée par un Parlement issu d’élections démocratiques. Si un juge de la CJUE peut suspendre cette loi polonaise, alors les juges de la CJUE peuvent suspendre n’importe quelle loi de n’importe quel pays de l’Union européenne.

    L’Union européenne, en 2018, c’est le gouvernement des hauts fonctionnaires et des juges éclairés contre la démocratie parlementaire, décidément trop populiste.

    Olivier Bault

    http://www.bvoltaire.fr/brexit-budget-italien-reformes-polonaises-ue-et-democratie-ne-font-pas-bon-menage/

  • Deux mesures qui vont jeter un froid sur l’emploi dans les régions !

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    Le projet de loi de finances 2019 contient deux mesures « cachées » qui risquent de mettre en péril toute la filière du transport frigorifique et de la logistique frigorifique ! Rien que cela !

    C’est le message que fait passer Jean-Eudes Tesson, président de « la chaîne logistique du froid », association regroupant les professionnels du transport sous température dirigée : Transfrigoroute France, l’UNTF et l’USNEF.

    Le projet de loi de finances 2019 prévoit, en effet, la suppression du taux réduit sur la TICPE (la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques) et sur le gazole non routier (le GNR). Or, chaque professionnel du transport sous température dirigée sait qu’il faut alimenter en permanence le moyen de transport en énergie, que ce soit un conteneur ou une semi-remorque frigorifique, quand le tracteur est à l’arrêt. Cette énergie est fournie par des groupes frigorifiques fonctionnant au GNR. Il n’est pourtant pas difficile de comprendre, même pour un député LREM, que si on débranche son réfrigérateur, les denrées périssables qu’il contient seront vite perdues ! La profession estime que cette suppression des taux réduits entraînera une augmentation des taxes de 350 % ! Augmentation qui sera, naturellement, répercutée sur le prix des prestations, donc finalement sur le prix du yaourt ou de l’esquimau Gervais, si cela existe encore.

    Au surplus, il est envisagé, au nom de la protection de l’environnement, de mettre en place une « taxe additionnelle » sur les fluides frigorigènes HFC (hydrofluorocarbone) pour inciter les entreprises à accélérer le remplacement de ces fluides dangereux !

    Or, la logistique et le transport sont des secteurs d’activité très porteurs en termes d’emplois et d’investissements et il y a un cruel manque de main-d’œuvre. Pour 2018, 109.805 embauches sont prévues par l’Observatoire prospectif des métiers et des qualifications dans les transports et la logistique (OPTL). Et il s’agit essentiellement d’emplois régionaux susceptibles de redynamiser les territoires. Malheureusement, un emploi sur deux ne peut être pourvu, faute de candidats.

    Cette « péripétie » illustre bien, si besoin en était encore, l’incroyable incompétence des « gens qui nous gouvernent » et la mainmise totale des fonctionnaires de Bercy sur le pouvoir. Ces fonctionnaires sont des experts pour aller « gratter le fric » partout où c’est possible et se fichent « comme de l’an quarante » des conséquences pratiques de leurs décisions.

    Patrick Robert

    http://www.bvoltaire.fr/deux-mesures-qui-vont-jeter-un-froid-sur-lemploi-dans-les-regions/

  • Avec Macron, l’agression fiscale se poursuit – Journal du 25 octobre 2018

    Fiscalité / Avec Macron, l’agression fiscale se poursuit
    Après cinq années de socialisme, les électeurs d’Emmanuel Macron pensaient en avoir fini avec la fiscalité oppressive… pas de chance après un an et demi de mandat, le président en marche est une pâle copie de ses prédécesseurs en la matière.

    Société / Paris : une capitale clochardisée
    Alors qu’Anne Hidalgo est de plus en plus contestée à la mairie de Paris, la capitale continue sa descente aux enfers… aux problèmes de circulation et de propreté s’ajoute la recrudescence de sans-abri notamment des femmes.

    Economie / Français : vers un grand déplacement ?
    Alors que la situation économique du pays est morose et que les français sont de plus en plus inquiet de leur sécurité, une étude révèle qu’une très large majorité des jeunes entendent quitter le pays !

    Europe / Hongrie : Un 23 octobre entre commémoration et élections

    L’actualité en bref

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

  • Zoom – Eudes Baufreton : Le combat de Contribuables Associés