économie et finance - Page 100
-
Premier bilan de Milei et déclassement des travailleurs français, Charles Gave décrypte
-
Le rêve américain? vraiment?
Une énorme partie de la population américaine est sans abri, vit dans la pauvreté ou est considérée comme faisant partie des travailleurs pauvresAlors que l’économie américaine ralentit, ce sont ceux qui se trouvent au bas de la chaîne alimentaire économique qui sont les plus durement touchés.
Le nombre de sans-abri est en augmentation, le nombre d’Américains vivant dans la pauvreté augmente et plus d’Américains que jamais sont considérés comme faisant partie des « travailleurs pauvres ». Malheureusement, nous assistons actuellement à un changement économique historique, et les conditions économiques ne feront que devenir encore plus difficiles au cours des mois à venir. Inutile de dire que c’est une très mauvaise nouvelle pour nous tous.
-
3/4 des start-up s’assoient sur le droit du travail… et elles n’ont pas forcément tort !
« Les start-up se font épingler sur les réseaux sociaux pour leurs pratiques managériales. » selon cet article du Figaro.
Pour avoir démarrer ma carrière il y a fort longtemps, dans les start-up d’autrefois et de jadis, la culture du travail n’y a pas changé.
« Semaine de quatre jours, vacances illimitées, transparence, hyperflexibilité… Les jeunes pousses aiment se démarquer en adoptant des pratiques RH innovantes. Mais, pour les salariés, ce n’est pas toujours le bonheur assuré. Certains dénoncent les humiliations, les horaires sans fin et les licenciements abusifs.
-
Clap de fin pour la voiture électrique ?

Ça ne sent pas bon pour la voiture électrique et plusieurs indices sont concomitants pour indiquer un crash généralisé. Plusieurs milliers de voitures électriques chinoises commencent à s’agglutiner dans les ports européens, ne trouvant pas preneurs. Tesla est confronté à la baisse de la demande et licencie, Hertz revient de sa flotte électrique, les clients ne suivent pas, plusieurs constructeurs de voitures électriques ont mis la clé sous la porte et la baisse mondiale globale de la demande est en cours. Voilà déjà plusieurs mois, des capitaines de l’industrie automobile avaient jeté le trouble.
-
Voitures électriques : par naïveté, bêtise et prétention, l’Europe s’est vendue à la Chine
-
- Daniel Bachet & Gilles Ringenbach sur le thème : Refonder l'entreprise et son modèle
-
Racket des automobilistes : deux milliards d’euros pour la seule année 2023 !
-
Programme spatial européen : l’Allemagne s’oppose au projet IRIS², le « Starlink d’Europe », jugé trop favorable à la France

Tension sur le Vieux Continent ? En effet, cette semaine, le gouvernement allemand, par la voix de son ministre de l’Économie, Robert Habeck, s’est opposé à un projet européen, baptisé Iris2. Ce programme, similaire à Starlink, serait jugé outre-Rhin, comme étant un peu trop favorable à la France.
-
Décarbonisation : Mensonges d’Etat !
Copyright : DRPublié le 03 mai 2024Macron : le président du « Décarbonistan »
Le 24 avril, Emmanuel Macron a prononcé un discours à la Sorbonne en tant que candidat à la présidence de l’UE, non pas comme Charles Michel, mais en tant que véritable président d’une future union fédérale. Dans un discours de près de deux heures, il a annoncé, sans le dire, qu’il fallait fusionner les États en une seule entité dont le président - lui ? - dirigera tout le monde. Ce sera démocratique, bien sûr, mais les décisions s’appliqueront à tous, même si elles ne correspondent pas à la culture, aux fondements des nations fusionnées. Car il veut fusionner les nations comme il a fusionné des entreprises. Il a parlé de souveraineté, mais jamais de souveraineté nationale ; elle sera uniquement européenne.
-
Le salaire décent, une réponse à la question sociale ?
Illustration ci-dessus trouvée sur la toile, sur le site de Famille Chrétienne.
Dans un précédent article, je dénonçais l’hubris capitalistique de M. Tavares et des rémunérations peu raisonnables au regard de la décence sociale. Mais, que faire face à ces excès qui semblent devenus si naturels que l’on en oublie parfois ce que devraient être la mesure et, au-delà, la justice sociales ? Plutôt que d’évoquer, à nouveau, la politique d’État possible face à cette situation, il me semble intéressant, cette fois-ci, de regarder ce que les grandes entreprises elles-mêmes peuvent faire pour remettre un peu de social dans l’économie : le cas de Michelin peut servir d’exemple utile et inciter à réfléchir à un « autre modèle »…
Certains, à la lecture des lignes précédentes (cf article précédent sur l’indécence sociale), hausseront les épaules et me taxeront peut-être d’utopiste (version sympathique) ou de démagogue (version classique), voire de dangereux gauchiste (version stupide). Et pourtant ! Si M. Tavares est le symbole d’une indécence sociale qu’il convient de dénoncer, sans doute parce qu’il représente et incarne le capitalisme dans ce qu’il peut avoir de plus odieux (1), il est des patrons qui n’ont pas son cynisme et son avidité, preuve s’il en faut que c’est un système idéologique et son esprit dominant qu’il faut combattre et non les chefs d’entreprise ou les cadres de celle-ci qui n’en sont, trop souvent (mais pas toujours, heureusement !), que le reflet ou les exécutants rendus dociles par l’intérêt ou la peur de ne plus valoir (ou paraître ?) aux yeux de la société contemporaine.


