Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 178

  • Le Rassemblement National veut multiplier les listes d’union des droites aux municipales

    Le Rassemblement National veut multiplier les listes d’union des droites aux municipales

    Perpignan est la plus grande ville que le RN peut espérer décrocher. Le candidat sera Louis Aliot, qui a reçu dimanche le soutien d’un ancien LR, Jean-Paul Garraud, co-fondateur avec Thierry Mariani du courant “La droite populaire” au sein des Républicains.

    Ils ont été élus tous les deux eurodéputés sous l’étiquette RN et ils ont réactivé leur label pour convaincre d’autres élus LR de s’allier au RN. Et d’après un membre de la direction du Rassemblement national, ça fonctionne. Jean-Paul Garraud fait partie de la commission d’investiture qui planche sur les dossiers.

    “On a quelques touches dans les départements où nous sommes bien implantés”.

    Il cite le Gard, le Vaucluse, le Var, les Bouches-du-Rhône, le Pas-de-Calais ou l’Aisne. Mais il y a aussi des contacts “prometteurs” dans des régions où il y a ce qu’il appelle un effet sauve-qui-peut” chez les Républicains. Notamment en Normandie, à l’est et en Bourgogne.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-rassemblement-national-veut-multiplier-les-listes-dunion-des-droites-aux-municipales/

  • Thierry Mariani : “Aujourd’hui, on ne sait même plus pourquoi il y a une ligne rouge entre certains du RN et certains de LR”

    Thierry Mariani : “Aujourd’hui, on ne sait même plus pourquoi il y a une ligne rouge entre certains du RN et certains de LR”

    Contrairement aux girouettes Guillaume Peltier et Geoffroy Didier, co-fondateurs de la “Droite forte” (sic) et qui militent désormais pour une droite molle, Thierry Mariani va relancer son club “La droite populaire”, qui réunissait les plus à droite de l’UMP, en vue des municipales de 2020 :

    L’ancien ministre des Transports Thierry Mariani s’apprête, lui, à relancer La Droite populaire, son club qui réunissait l’aile dure de l’UMP au temps du sarkozysme triomphant : “Aujourd’hui, on ne sait même plus pourquoi il y a une ligne rouge entre certains du RN et certains de LR, et j’espère réunir tous ceux qui veulent ce rapprochement“, annonce-t-il (…)

    Mais, surtout, le RN espère nouer des alliances, indispensables pour gagner les scrutins locaux des prochaines années, en particulier les municipales de 2020 pour lesquelles le parti ne peut compter que sur un petit réseau d’élus sortants et doit engranger des ralliements pour l’emporter au second tour.

    “Les ténors comme Wauquiez ou Larcher, on ne les fera pas bouger, mais on s’en fout, poursuit Philippe Olivier. En revanche, des élus de base vont nous rejoindre car dans leur ville ils pressentent un raz-de-marée d’En marche ou du RN, et ils savent que leurs chances de survie sont nulles s’ils restent à LR.”

    Le parti désire ainsi débaucher maires sortants ou conseillers municipaux, principalement dans des communes de taille moyenne, moins dépendantes des logiques d’appareil que les grandes agglomérations. Plusieurs municipalités, où le rapport de forces est favorable au RN, sont déjà dans le viseur. Les cadres lepénistes se refusent à tout commentaire sur ces objectifs. Dans l’entourage ­d’Emmanuel Macron, on craint que Lens (Pas-de-Calais), Toulon (Var), La Seyne-sur-Mer (Var) et Perpignan (Pyrénées-Orientales), où le RN a dépassé les 30% aux européennes, tombent dans leur escarcelle, ainsi que Nîmes (Gard) et Avignon (Vaucluse), où il a flirté avec les 25%.

    https://www.lesalonbeige.fr/thierry-mariani-aujourdhui-on-ne-sait-meme-plus-pourquoi-il-y-a-une-ligne-rouge-entre-certains-du-rn-et-certains-de-lr/

  • Hauts-de-Seine (92) : plusieurs maires claquent la porte des Républicains

    Après la débâcle des Européennes, l’heure des comptes. La démission de Laurent Wauquiez ce dimanche soir de la présidence des Républicains changera-t-elle la donne ? Pas sûr. Les maires LR des Hauts de Seine se réussissent ce lundi soir à Neuilly, au siège départemental des Républicains, pour un bureau politique exceptionnel.

    Ce sera l’occasion, pour certains d’entre eux, d’annoncer qu’ils quittent le parti. Le maire de Saint-Cloud Eric Berdoati n’a pas attendu cette réunion exceptionnelle pour s’exprimer. « Je ne souhaite plus prendre part à toutes ces vaines querelles, et décide de rester un élu attaché à sa ville sans appartenance partisane », expliquait-il ce dimanche dans le JDD.

    Ils seront plusieurs à lui emboîter le pas.

    Le Parisien

    http://www.fdesouche.com/1217319-hauts-de-seine-92-plusieurs-maires-claquent-la-porte-des-republicains

  • Le Vlaams Belang est de retour... enfin !

    tomvangrieken.jpg

    Pieter Kerstens

    Voici le courrier que j’avais adressé en mai 2007 aux parlementaires du Vlaams Belang, après une première défaite aux élections législatives.

    Bruxelles, le 9 mai 2007.

    Camarade,

    Depuis des mois, que dis-je, depuis plusieurs années, j’entends certains d’entre vous m’affirmer qu’il faut adapter notre discours.

    Parce que le chômage a diminué ?

    Parce que le gouvernement nous épargne ?

    Parce que la drogue a disparu de nos écoles ?

    Parce que la sécurité est telle que l’on peut maintenant se promener partout le soir après 20 heures sans aucun risque ?

    Parce que notre pouvoir d’achat a augmenté et que la pression fiscale a diminué ?

    Parce que enfin, et c’est visible, l’immigration a été stoppé et que de nouveau les églises sont pleines (de sans-papiers...) ?

    On m’a dit que l’étiquette de la bouteille était changée, plus attrayante, mais que le contenu restait le même.

    Cela me rappelle ce que Annemie Neyts (député libérale) racontait -un soir de décembre 1988, rue de la Commune à Saint-Josse ten Noode- lors d’une réunion où la Commissaire Royale du Gouvernement –Paula D’hondt- devait aussi s’exprimer. « Annemieke » prétendait que « les Belges devaient mettre de l’eau dans leur vin et que les étrangers, eux, mettraient alors du vin dans leur eau !! »

    Presque 20 ans plus tard 56% des Bruxellois sont d’origine étrangère et les 44% de blancs envoient leurs enfants à la cantine où la viande est Hallal !

    « C’est une évolution impressionnante et unique en Europe, voir même dans le monde », selon le sociologue Jan Hertogen.

    Et on doit l’accepter ? Ne pas s’y opposer ? Baisser son pantalon?

    C’est pourquoi il faudrait alors adopter un langage « soft », pour ne pas choquer ces « nouveaux belges » ? Adapter nos mentalités ? Réformer nos habitudes, nos coutumes, nos traditions, parceque le monde « bouge » ? Se soumettre ?

    C’est vrai, l’évolution scientifique et technique a considérablement boulversé notre vie quotidienne et après la « vache folle » (qui est devenue carnivore en bouffant des résidus de toutes sortes) allons nous bientôt voir des « clones » partout et des clowns au prochain gouvernement ?

    Soyons pragmatiques : en suivant les règles du jeu imposées par nos ennemis, ceux qui nous soutiennent ne verront plus la différence Nous devons reprendre l’offensive et attaquer le Régime des saltimbanques et des corrompus qui depuis 30 ans nous mènent au gouffre : une dette de 30.000 € per capita ! C’est cela leur bilan !! STOP !

    SORTONS LES SORTANTS !

    Comme l’a écrit notre président (Frank Vanhecke) dans le mensuel de mai 2000 “wij zijn een revolutionaire partij : de enige partij die het opneemt voor de belangen van de kleine man”. Voor mij blijft dit nog altijd geldig nu. Niets is verbeterd sinds 7 jaren ! Traduction : “nous sommes un parti révolutionnaire : le seul parti qui s’engage dans la défense des intérêts du petit peuple”. Pour moi, cela reste toujours valable. Rien ne s’est améloiré depuis 7 ans!

    Nous devons aussi combattre les collaborateurs de l’invasion musulmane qui, comme un cancer, propage ses métastases partout dans nos villes et nos campagnes;

    en Flandre comme ailleurs en Europe. Ces laquais de l’euromondialisme et de la finance apatride veulent dissoudre notre identité et notre culture dans un melting pot universel. Pas d’accord !

    Qu’on le veuille ou non, nous sommes les héritiers de 40 siècles de civilisation, de la croix celtique à nos jours, civilisation dont les valeurs ont rayonné dans le monde et à travers le temps.

    Malgré nos spécificités, Jules César écrivait dans sa Guerre des Gaules :

    « Gallorum horum omnium fortissimi sunt Belgae »

    Vous n’avez pas été élu pour faire du “SOFT”, vous avez reçu les suffrages des électeurs , parce que le V.B disait tout haut ce que eux pensaient tout bas !

    Alors si vous abandonnez les fondamentaux qui ont contribué à la puissance de notre Parti pendant 30 ans, et bien les électeurs vous abandonneront aussi, comme ils l’ont fait ailleurs, dans d’autres pays. PENSEZ-Y …..

    En France, le 22 avril a été une douche froide pour les sympathisants du FN et J-M Le Pen a ironiquement reconnu son « erreur d’appréciation ».

    Elle est de taille et la perte de 25 % de son électorat (1 million de voix par rapport à 2002) est imputable totalement à son équipe de campagne dont il est le « Chef ».

    Sa stratégie, ses thèmes politiques, ses affiches, ses déclarations pro-immigrées et surtout le refus de créer une réelle Union Patriotique, ont déstabilisé ceux qui -à tort- se sont réfugiés chez Sarközy, le vampire du FN.

    En voulant faire du « soft », en donnant dans la « respectabilité », en utilisant la « dédiabolisation », en ouvrant ses portes à des libéraux et des marxistes, le FN a abandonné les points forts de son combat depuis 30 ans.

    Pendant des mois, tout au long de la campagne électorale, ceux qui s’étaient révoltés contre la particratie le 21 avril 2002, n’ont pas entendu ni lu de réelles différences avec le ministre « sortant » responsable de l’ordre public dans les banlieues : Nicolas Sarközy. Et dès lors, puisque la différence était minime, les électeurs du FN se sont tournés en masse vers le charlatan du « Kärcher » et de la « racaille » !

    Le Pen a perdu parcequ’il n’était plus le « rebelle » dangereux, il a été normalisé .

    La Flandre n’est pas la France ? Peut-être, mais que cela nous serve de leçon !

    « Le cordon sanitaire, c’est notre meilleurs assurance-vie » disait Karel Dillen et pour tous ceux qui ont assisté à sa messe d’enterrement ce 5 mai à Anvers, il nous avait transmis un dernier message.

    Il nous a tracé la Voie, nous devons repecter sa volonté. Requiescat in pace !

    Avec mes salutations nationalistes révolutionnaires,

    Pieter KERSTENS.

    12 ans après ce courrier, de nouvelles élections générales ont eu lieu en Belgique et les résultats du VB sont vécus comme “un dimanche noir”, “un tsunami politique” et “choquent” les médias et les politicards de tous bords qui de concert entamment le refrain éculé de “la colère, du repli sur soi, de l’émotion ou de la peur de l’autre” concernant ses électeurs. Ils n’ont rien compris et refusent d’affronter la réalité des maux auxquels sont confrontés les citotens belges. En outre, ils font abstaction du devoir de mémoire.

    De 1978 à 1989, le VB peine à briser l’omerta politico-médiatique, mais Karel Dillen est élu au Parlement Européen en 1989 grâce aux voix du PFN et dès lors le parti nationaliste décolle dans les urnes avec un résultat remarquable en 1991 avec 12 députés au Parlement, puis 15 députés en 1999 et 18 en 2003. Au Parlement Régional Flamand, il arrive à 20 député en 1999, puis 32 en 2004 et 21 en 2009. Quant à la Région Bruxelloise, il envoie 4 députés en 1999, puis 6 en 2004 et 3 en 2009.

    Le déclin s’amorce dès 2005, sous la présidence de F.Vanhecke, et s’accentue avec son successeur Bruno Valkeniers (2008-2012) et s’aggrave encore sous la présidence de Gerolf Annemans (2012-2014).

    On se souviendra de la conférence de presse tenue le 8 décembre 2005 à Rabat au Maroc où se trouvait une délégation du VB avec Vanhecke, Dewinter et Marie-Rose Morel, entre autres. Morel (transfuge du parti libéral VLD vers le nouveau mouvement NVA avant d’être recrutée par Dewinter) a été l’élement déstabilisant au sein du parti, en imposant par ses manigances, ses chantages et ses intrigues, une stratégie suicidaire du “politiquement correct” et l’exclusion des éléments radicaux et nationalites durs au sein du parti.

    En 2010 le VB ne compte plus que 12 députés et 3 sénateurs; en 2014 il perd 75% de ses électeurs et de ses parlementaires, et ne conserve que 3 députés à la Chambre, 6 députés au Parlement Flamand et un seul europarlementaire à Stasbourg.

    Avec l’arrivée de Tom Van Grieken à la tête du VB en 2014, changement de style, de comportement, de stratégie et de tactique, tout en pérénisant une ligne plus “radicale” incarnée par Filip Dewinter qui, lui, persiste sur les thèmes immuables de l’immigration, de l’insécurité et de l’islamisation, réels fontamentaux du parti.

    C’est ce tandem qui a permis de redresser la barre et de mener une campagne électorale convaincante pour le scrutin des élections générales du 26 mai dernier en envoyant 18 députés à la Chambre, 23 élus au Parlement Flamand et 1 seul à la région Bruxelloise, seule ombre au tableau.

    Le Roi Philippe a reçu, au même titre que les présidents des autres partis politiques, ce 29 mai Tom Van Grieken, alors que le dernier invité nationaliste au Palais Royal avait été en 1936, Léon Degrelle, chef de REX. Ce geste a soulevé un tollé de la part de tous ceux qui se prétendent “démocrate” et “humaniste”…

    Le VB a donc effectué sa “traversée du désert” durant une douzaine d’années, et selon le réveil des peuples en Europe, on peut espérer qu’il puisse encore prospérer dans les urnes, en s’affichant clairement contre les effets du mondialisme, pour la défense de l’Homme blanc et de la civilisation européenne, tout en dénonçant les supercheries du réchaufement climatique et en s’opposant à l’impérialisme américano-israélien.

    2017 12 01 PUB SITE 1.jpg

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Sortir de la logique des partis

    Sortir de la logique des partis

    Interrogé dans L’Incorrect, Henri Guaino déclare :

    […] Vous raisonnez avec vos histoires de partis comme si les électeurs étaient désormais rangées dans des boîtes, petites ou grandes, dont ils ne sortiraient plus. Mais les électeurs n’appartiennent à personne et passent leur temps à sortir des boîtes. À compter par boîtes, en 1969 le candidat communiste faisait, au premier tour de l’élection présidentielle, 21 % des voix, le candidat centriste, Alain Poher, plus de 23 %, Georges Pompidou 44,5%, Il n’y avait alors aucune place pour les socialistes dont le candidat, Gaston Deferre, faisait 5 %. Mais en 1971, c’était le congrès d’Epinay et trois ans plus tard, le nouveau parti socialiste de François Mitterrand portait son candidat à 43,25 % au premier tour de l’élection présidentielle. En 2017, entre la boîte du Front National, celle des Républicains et celle du Parti socialiste, il n’y avait pas d’espace. Pourtant, Emmanuel Macron a gagné la présidentielle et, «En Marche », créé un an auparavant, a envoyé 302 députés sur 577 à l’Assemblée. Au Royaume-Uni, le parti pro-Brexit, fondé en février dernier, vient de remporter près de 32% des voix aux élections européennes. Tout cela ne relève pas de la logique des petites boîtes. Encore une fois la politique c’est une une rencontre, une alchimie, encore faut-il vouloir les créer. […]

    https://www.lesalonbeige.fr/sortir-de-la-logique-des-partis/

  • Laurent Wauquiez démissionne de la présidence des Républicains

    L.Wauquiez.pngUne semaine après la déroute historique de la droite aux européennes, de nombreux élus en avaient appelé à un changement de direction.
    La pression était devenue intenable. Une semaine jour pour jour après la déroute historique des Républicains aux élections européennes (8,48%), 
    Laurent Wauquiez a annoncé dimanche soir qu’il quittait la présidence du parti.

    «J’ai décidé de prendre du recul et (...) je me retire de ma fonction de président des Républicains», a-t-il tranché.

    En attendant, selon les statuts de LR, c’est au vice-président délégué Jean Leonetti d’assurer l’intérim, le temps que la Haute Autorité organise une nouvelle élection.

  • Marion Maréchal souhaite que les Républicains acceptent le principe d’une grande coalition avec le Rassemblement national

    Marion Maréchal souhaite que les Républicains acceptent le principe d’une grande coalition avec le Rassemblement national

    Marion Maréchal était l’invitée de LCI hier. Si elle n’était « pas là pour faire campagne », la fondatrice et directrice de l’Institut des sciences sociales, économiques et politiques (ISSEP) a analysé la situation politique, suite aux élections européennes. Pour elle, « Macron est un président qui résiste bien », parvenant à « réunir la famille progressiste »mais c’est avant tout « un diviseur », notamment sur « le plan social ».

    « Nous assistons à un remplacement d’un clivage par un autre ». « Un clivage générationnel, puisque plus de 47% des électeurs de Macron ont plus de 65 ans, et aussi un clivage sociologique qui s’accentue ». « Dorénavant, on a l’impression d’être dans une nouvelle lutte des classes, qui prend une forme plus moderne : les gagnants de la mondialisation contre les perdants, les métropoles contre les territoires périphériques ».

    « Moi, je me qualifie de droite, clairement, je n’ai jamais nié ce terme. Droite nationale, souverainiste, populaire, conservatrice… ».

    « Je suis toujours membre du Rassemblement national mais je n’y œuvre plus ». « Une grande partie de l’électorat de droite n’arrive plus à se mobiliser ». « Le RN est indispensable à la vie politique, mais il n’est pas suffisant ». « Il faut permettre qu’il puisse y avoir d’autres voix qui s’expriment à travers d’autres mouvements » et favoriser « un grand compromis patriotique qui aboutisse à une coalition gouvernementale, pour contrer le grand projet progressiste ».

    LR « paie une ambivalence de longue date qui est la création de l’UMP ».

    « J’espère que ce courant de droite qui a été un peu malmené, trahi à certains égards, qui a subi une certaine forme de terrorisme intellectuel de la gauche et qui a été victime de sa stratégie au centre va se faire entendre ». « Ce que je crois indispensable, c’est que puisse émerger de cette débâcle un courant de droite qui se structure, que les Républicains puissent accepter le principe d’une grande coalition avec le Rassemblement national ».

    https://www.lesalonbeige.fr/marion-marechal-souhaite-que-les-republicains-acceptent-le-principe-dune-grande-coalition-avec-le-rassemblement-national/

  • Le Plus d’Eléments n°12 : Andréa Kotarac, l’insoumis qui casse la baraque

    Olivier François et son équipe parlent d’Andréa Kotarac de la France Insoumise, du rattachement de la Crimée à la Russie, du réalisateur Paul Vecchiali et du dernier roman de l’académicien Andreï Makine :”Au-delà des frontières”.

    https://www.tvlibertes.com/le-plus-delements-andrea-kotarac-linsoumis-qui-casse-la-baraque

     

  • Présidentielle: En cas de deuxième tour Le Pen/Macron, 61% des Insoumis voteraient RN

    marine-le-pen-candidate-fn-a-la-presidentielle-le-26-fevrier-2017-a-saint-herblain-pres-de-nantes_5807921.jpgL'actuel président l'emporterait par 57% des voix contre 43%. 
    Une semaine après les élections européenne, un sondage Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNews et Sud-Radio se projette déjà sur la prochaine élection présidentielle, dans trois ans.
    Selon ces résultats, Emmanuel Macron et Marine Le Pen arriveraient logiquement en tête au premier tour, et les voix de LFI se reporteraient majoritairement vers Marine Le Pen au second tour, lui permettant d’atteindre 43% des suffrages.
    Dans le cas d’un second tour Emmanuel Macron/Marine Le Pen, l’actuel président de la République serait réélu avec 57% des voix, mais il perdrait du terrain par rapport à 2017, où il avait été élu par 66% des voix. Au contraire Marine Le Pen, même battue, obtiendrait un score inédit de 43%, contre 34% en 2017. Ce haut score, la présidente du RN le devrait en partie… à La France insoumise, selon le JDD. En effet, toujours selon le sondage, 61% des électeurs de Jean-Luc Mélenchon donneraient leur vote à Marine Le Pen en cas de deuxième tour contre Emmanuel Macron.
    [...]
    En savoir plus sur valeursactuelles.com
    Sur le même thème lire aussi:

  • Guillaume Peltier gagne haut la main le premier prix au festival international du retournement de veste

    Guillaume Peltier gagne haut la main le premier prix au festival international du retournement de veste

    Vidéo intégrée
    Ridicule TV@RidiculeTV

    Guillaume Peltier vient de gagner haut la main le premier prix au festival international du retournement de veste pour son spectaculaire revirement idéologique après le 26 mai.

    201 personnes parlent à ce sujet

    https://www.lesalonbeige.fr/guillaume-peltier-gagne-haut-la-main-le-premier-prix-au-festival-international-du-retournement-de-veste/