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élections - Page 291

  • Emmanuel Macron est moins populaire que Trump

    La cote de popularité d'Emmanuel Macron chute très lourdement, passant de 43% d'opinions à 36% en un mois. C'est moins que Donald Trump, qui oscille entre 36 et 40% d'opinions favorables.

    Cet effondrement de 7 points conclu un mois de juillet riche en couacs pour le chef de l'État : baisse du budget de la Défense, départ du chef d'état-major des armées, baisse des APL, cacophonie à l'Assemblée, communication hasardeuse (la meuf is dead...)...

    Les choses ne sont guère plus réjouissantes pour le Premier ministre Edouard Philippe, qui voit en effet sa cote baisser de 2% pour arriver à 37% d'opinions favorables, dépassant d'une courte tête celle du locataire de l'Elysée.

    La baudruche des médias se dégonfle. Avec deux mois de retard hélas. 

    Le Salon Beige

  • Facebook a censuré 70,000 comptes critiquant Emmanuel Macron pendant les élections présidentielles

    BREIZATAO – POLITIKEREZH (28/07/2017) En avril dernier, Facebook avait annoncé la suppression surprise de 30,000 comptes en France qui publiaient « du spam, de la désinformation ou d’autres contenus trompeurs ».

    Une décision opaque et unilatérale qui a très souvent touché des comptes orientés à « droite » regroupant des critiques de l’immigration, de l’islamisme, du multiculturalisme, etc. Nombreux sont les utilisateurs du réseau qui, depuis plusieurs mois, ont ainsi vu leurs comptes supprimés sans préavis alors qu’ils animent des pages identitaires.

    Une politique qui a par exemple frappé le Youtubeur Majid Oukacha, très critique de l’islam.

  • Pour une droite qui ne s’excuse plus d’être de droite

    « Nous avons commis la plus belle escroquerie du siècle : nous avons fait croire aux Français que nous étions de droite », a un jour concédé feu Charles Pasqua, comme un écho cinglant à la formule énoncée quelques décennies plus tôt par l’académicien Maurice Druon selon laquelle la droite ne serait qu’une autre gauche.

    La droite a perdu la bataille des idées

    Dix années après sa dernière victoire à une élection présidentielle et alors qu’elle s’apprête à figurer dans l’opposition pour au moins une décennie, la droite, lestée d’une partie de ses « constructifs » macronisés, a pourtant une occasion unique de résoudre la question de son identité idéologique et de ses frontières sur l’échiquier politique.

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  • La nouvelle Assemblée ou la philosophie du foutoir

    Par André Bercoff

    Dans cette humeur selon son style si personnel et si sympathique [Figarovox 28.07] André Bercoff exprime un fort point de vue. Derrière l'amateurisme des députés LREM, les amendements antiracistes liés à la loi de moralisation montrent une volonté de réduire au silence tous ceux qui ne rentrent pas dans les clous de la « police novlangue ». André Bercoff a raison.  LFAR

    En politique comme ailleurs, il est peut-être bon de ne rien savoir, mais il ne faut point en abuser. Ils furent nombreux à se réjouir, et légitimement, de l'éruption des jeunes pousses de la société civile dans la République en Marche. Le Monde Nouveau surgissait enfin sur les bancs du Palais Bourbon, balayant les caciques fatigués, les septuagénaires blasés, et les vieilles formations gouvernementales en déroute. Reste qu'être député exige un certain nombre de connaissances quant au fonctionnement de l'appareil législatif : faire la différence entre article et amendement, savoir formuler sa question de façon à ce qu'elle n'apparaisse pas comme un sabir au goût étrange venu d'ailleurs ; de ce point de vue, le présent spectacle apparaît, selon que l'on appartienne à la majorité sonore ou à l'opposition indignée, réjouissant ou navrant.

    Force est de reconnaître qu'une dimension quasi zoologique vient d'être atteinte avec des députés qui votent contre un article de la loi de « confiance dans l'action publique » qu'ils avaient pourtant ratifié en commission. Ce qu'on appelle peut-être en psychanalyse la schizophrénie heureuse ; en réalité ici, l'envers d'un amateurisme appelé sans doute à s'estomper quand les néophytes apprendront à la fois la base du métier et la maîtrise de leurs affects. Pour le moment, ils semblent fonctionner à l'aveugle en attendant les instructions de messieurs Ferrand et Castaner, et la baguette du chef d'orchestre de Rugy : en l'absence de ceux-ci, tous les désespoirs sont permis, ce qui laisse aux aimables comédiens de la France Insoumise le loisir de se livrer aux jeux de rôles dont ils sont, faute de vrai pouvoir, si friands.

    Mais tout cela n'est que billevesées à côté d'amendements qui viennent d'être votés et qui rendent définitivement inéligibles tout candidat qui se serait livré à des déclarations discriminatoires, injures publiques, provocations à la haine raciale: tout le vocabulaire des associations « droitsdelhommistes » à sens unique, anti-racistes deux poids deux mesures, qui consiste en fait à censurer et à paralyser toute personne qui oserait s'exprimer en dehors des passages cloutés de la police novlangue. Soyons clairs : il ne s'agit en aucun cas ici de cautionner ni d'admettre le racisme d'où qu'il vienne et la haine d'où qu'elle jaillisse. Mais comme la parole dominante et la pensée toujours unique s'attachent à ne culpabiliser et à ne condamner que ceux qui ne pensent pas comme elles, on s'aperçoit que le curseur est mis de façon à ne frapper que d'un côté. Aujourd'hui, cela vise les politiques et déjà les intellectuels, demain les humoristes et bientôt - pourquoi pas - les citoyens. Je relisais récemment une collection du magazine Hara Kiri des années 60-70 ; j'écoutais les monologues de Pierre Desproges, de Coluche et d'autres : ils seraient tous aujourd'hui dans le collimateur de la nouvelle Inquisition. Sous les pavés des faux débats parlementaires, la plage de Big Brother s'étend. Régressivement. Dangereusement.  

    André Bercoff

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Trump : derrière le chaos, la victoire ? (1re partie)

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    Faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille…

    Il est dit que Trump, chaotique, tombe en vrille. Avant de nous prononcer, faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille (avant de prévoir, en 2e partie, les prochains mouvements tactiques et stratégiques du président).

    Reprenons :

    1) Trump a gagné l’élection du 8 novembre avec un nombre écrasant de grands électeurs, et peut-être même la majorité du vote populaire (l’enquête menée par le vice-président Pence sur les fraudes électorales – dont le vote des illégaux – permettra de le savoir).

    2) Depuis la rencontre du 14 novembre (à l’hôtel Mandarin de Washington) entre la chef de file démocrate Nancy Pelosi, George Soros et un certain nombre de capitalistes, un coup d’État rampant a été mis en branle, visant à transformer Trump en Viktor Ianoukovytch. Il fallait trouver une histoire à vendre au public, tout en lançant une sédition à géométrie variable.

    3) On se souvient que tout avait démarré avec le piratage, en 2016, du serveur du Parti démocrate, et les publications de WikiLeaksdes courriels de Podesta (le directeur de la campagne Clinton). Ces deux actes ont été « imputés » à Poutine en personne, orchestrant un « acte de guerre » à l’encontre des États-Unis.

    4) Puis est survenu le fameux « dossier Trump » en janvier 2017, décrivant un Trump se livrant à la débauche dans un hôtel de Moscou. Ce dossier assemblé pour le compte du Parti démocrate par la firme américaine de salissage politique Fusion GPS a été, depuis, unanimement démoli.

    5) Depuis six mois, la relation entre Trump et le Congrès est à « qui manipule l’autre ». Le Congrès tentant d’imposer son programme à Trump (autrement dit celui des bailleurs de fonds électoraux), Trump cherchant à se rallier les élus républicains.

    6) La réalité est que la majorité des élus républicains veulent le vice-président Mike Pence comme président et, passivement ou activement, ont été complices de l’inquisition visant à faire tomber Trump pour collusion dans « l’ingérence russe dans nos processus démocratiques ».

    7) Cette inquisition se matérialise aujourd’hui par quatre enquêtes parlementaires (sans succès), une enquête du FBI (sans succès) et, enfin – in cauda venenum –, celle du procureur spécial Robert Mueller, républicain « bushiste » qui a recruté une équipe juridique… pro-Clinton afin de fouiller dans les affaires personnelles de Trump.

    8) Or, les lois américaines sont telles qu’on peut toujours trouver un crime. Le journaliste Tucker Carlson disant récemment : « Si je vais au restaurant à Moscou, il y a fort à parier que je serai inculpé par le FBI pour blanchiment d’argent ! »

    9) Début juillet, lorsque sa famille est passée à la moulinette des enquêtes, Trump a alors compris que sa mise à mort se profilait. Il a réagi…

    En 2e partie nous verrons comment Trump a ridiculisé les élus républicains « gestionnaires » tout en motivant les élus « idéologiques », comment il a débloqué un certain nombre d’obstacles, comment il a repeint le paysage à coups de tweets, de couteau (ou de massue !), et enfin comment il réorganise sa maison afin de tenter une échappée quand tous dormiront en août.

    http://www.bvoltaire.fr/trump-derriere-chaos-victoire-1re-partie/

  • Fin de carrière politique pour Bruno Gollnisch

    Lu dans Valeurs Actuelles :

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    Le Salon Beige

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La France a l’Assemblée qu’elle mérite

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    Des séances houleuses, l’Assemblée en a connues, mais des pitoyables comme celle de cette semaine, rarement.

    Joseph de Maistre (1753-1821), qui fut membre du souverain Sénat de Savoie avant que l’invasion française ne l’oblige, en 1792, à émigrer, est l’auteur de cette sentence : « Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite. » Une sentence maintes fois reprise et qui peut se décliner à l’envi. Et donc, par construction, dans une démocratie représentative, toute nation a l’Assemblée nationale qu’elle mérite. Les Français ont voulu, par action ou par inaction, une large majorité macronienne. Ils ont voulu, par action ou par inaction, faire rentrer des sans-culottes au palais Bourbon. Maintenant, il faut assumer. Pour cinq ans.

    Or, au cours de la semaine qui vient de s’écouler, l’Assemblée nationale a globalement donné une bien piètre image, largement relayée sur les réseaux sociaux et dans les journaux télévisés. En effet, pour qui est habitué aux débats au sein de l’Hémicycle, il y avait de quoi être consterné.

    Que Jean-Luc Mélenchon, à raison ou pas, quitte la séance avec sa phalange d’enragés, rien d’étonnant : pour faire le buzz, faire parler de soi et tenter de s’imposer comme force d’opposition, rien de tel. Il ne faudra, cependant, pas qu’il le fasse trop souvent car cela risque de lasser, à la fin. Mais qu’un Jean-Louis Bourlanges, député MoDem, modéré parmi les modérés – tant dans ses convictions que dans la manière de les exprimer –, dépité, quitte avec fracas la séance ne peut que laisser perplexe. Une perplexité accrue par le consternant commentaire de la présidente de séance : « Bah, il part, tant pis… »

    Certes, l’Assemblée nationale a toujours connu des séances houleuses. Il fut même un temps, pas si lointain, où les différends dans l’Hémicycle pouvaient se régler, au petit matin blême, par un duel. Le dernier connu eut lieu en 1967, opposant les députés Gaston Defferre et René Ribière, celui-ci ayant été traité d’abruti en séance par un Gastounet excédé d’être interrompu alors qu’il s’exprimait à la tribune. Le combat eut lieu à l’épée et s’acheva au premier sang. On imagine le massacre aujourd’hui !

    Des séances houleuses, oui, l’Assemblée en a connu, mais des pitoyables comme celle de cette semaine, rarement.

    Pitoyable par l’incompétence des présidents et présidentes de séance, obligés de se faire souffler ce qu’ils devaient dire par les administrateurs de l’Assemblée. Il est vrai que, durant la campagne, nombre des candidats d’En Marche ! avaient pris l’habitude qu’on leur mâche ce qu’ils devaient ânonner… lorsqu’ils daignaient participer à un débat. Il paraît qu’il faudrait les excuser et qu’ils auraient subi un bizutage de la part de ces vieux parlementaires, qui plus est sexistes. L’argument ne tient évidemment pas quand on sait qu’en grande partie, les attaques vinrent des Insoumis, qui n’étaient pas députés dans le précédent mandat, ou encore de parlementaires comme Mme Batho, pourtant peu suspecte de machisme !

    Pitoyable, évidemment, par la tenue des Insoumis. C’est bien connu : moins on est exigeant sur la tenue, plus c’est pire ! Pitoyable, aussi, dans le langage de plus en plus dépenaillé, à l’image de la défroque de M. Ruffin. Et que dire de ce député Insoumis qui, à la tribune, s’exclame, sentant sans doute l’impatience de ses collègues, qu’il reste « dix minutes avant d’aller manger » ? Sommes-nous à une AG d’étudiants ou dans le « temple de la démocratie française » ?

    Le paradoxe est que le débat portait sur le rétablissement de la confiance dans la vie publique. L’affaire est bien mal engagée. Heureusement, tout de même, durant cette semaine parlementaire calamiteuse, des députés ont fait honneur à leur charge. Et sur tous les bancs. Je pense au socialiste Olivier Faure, au communiste André Chassaigne, au LR Julien Aubert. Et, bien évidement, à Emmanuelle Ménard !

    La France a l’Assemblée qu’elle mérite.

     

    http://www.bvoltaire.fr/france-a-lassemblee-merite/

  • La coqueluche Macron, ça ne marche plus ! [rediffusion]

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    Par Michel Geoffroy, essayiste ♦ Hier soir je voulais regarder la télévision. Horreur : sur trois chaînes généralistes d’information vers 21 heures, il y avait devinez qui ?… Emmanuel Macron ! Sur l’une il parlait de la banlieue avec des jeunes ; sur les autres il commentait le programme de François Fillon, gorge déployée. C’est simple : on trouve du Macron partout : sur nos télévisions, sur la première page des hebdomadaires, dans les journaux, à la radio, sur nos smartphones. Car il est la coqueluche de nos médias mainstream, dont tout le monde connaît l’objectivité et la sagesse. On en vient à souhaiter une journée sans Macron, comme il y a des jours sans auto : afin de limiter la pollution. Le mot coqueluche correspond bien à la réalité, d’ailleurs : une maladie infantile qui se transmet très facilement, par voie aérienne, aux personnes fragiles. Par voie hertzienne donc, dans le cas du virus Macron.

    La campagne du vide

    La campagne de la coqueluche Macron compense, il est vrai, par son matraquage terroriste le vide abyssal de son programme. L’intéressé n’a-t-il pas affirmé dans le Journal du dimanche que « c’est une erreur de penser que le programme est le cœur » d’une campagne électorale, alors que, selon lui, la politique, c’est « mystique », c’est un « style », une « magie (1) ».

    Avec Macron la politique, comme à Disneyland, est en effet magique. Abracadabra !

    Macron n’est ni de gauche ni de droite. Mais Abracadabra : toute la gauche, de Robert Hue à Pierre Bergé, se rallie à lui. L’immigration ? Abracadabra : pas de problème puisque « c’est aussi une opportunité économique car ce sont des femmes et des hommes qui ont aussi des qualifications remarquables (2) ». Le chômage ? Abracadabra : « le point-clé c’est de sécuriser la rupture et l’après-rupture (3) », donc, en clair, de faciliter… les licenciements. La durée du travail ? Abracadabra : « Il faut s’adapter aux individus (4) ». Les retraites ? Abracadabra : « Il faut pouvoir moduler selon les individus et les situations (5) ». La sécurité ? Abracadabra : « Je poursuivrai les bonnes décisions de Jean-Jacques Urvoas (6) ». L’Europe ? Abracadabra : « Nous avons besoin de l’Europe parce que l’Europe nous rend plus grands, parce que l’Europe nous fait plus forts (7) ».

    L’impunité pour la coqueluche

    La coqueluche répand à longueur d’ondes et en toute impunité son enfilage de perles, calculé dans le moindre détail pour ne déplaire à personne, car elle ne craint pas la contradiction. Au contraire, elle l’évite soigneusement.

    Pour cette raison la coqueluche n’a pas voulu participer à la primaire de la gauche. De même, la coqueluche ne craint ni les médias ni le parquet financier : personne ne lui posera les questions qui fâchent. Ni sur ses financements, ni sur son patrimoine, ni sur ses impôts, ni sur le prix de ses costumes. Personne ne lui demandera non plus comment elle a pu construire un « mouvement » en si peu de temps. Mais, comme disaient nos ancêtres, « à vaincre sans péril on triomphe sans gloire ».

    La coqueluche se répand d’autant plus facilement dans notre quotidien qu’elle se déploie dans un monde aérien et donc hors sol : celui des réunions de banquiers, des médias de propagande, des meetings préfabriqués, du politiquement correct et des sondages bidonnés.

    L’hologramme de la superclasse mondiale

    La superclasse mondiale, inquiète de la progression de la révolte populaire en Occident et déçue du fiasco « hollandais », misait sur deux candidats pour l’élection présidentielle française de 2017, pour garder la main : à droite Juppé et à gauche Macron.

    Juppé tombe à l’eau. Qu’est-ce qui reste ? Macron !

    La coqueluche Macron n’est donc qu’un clone, qu’un hologramme politique : l’hologramme de la superclasse mondiale et le dernier espoir des bobos.

    Un clone qui promet en effet de ne rien changer à la politique mise en œuvre depuis bientôt 30 ans en France et en Occident, sinon une nouvelle fois de « transformer le pays (8) ». On sait ce que signifie cet appel maladif au changement dans la bouche d’un oligarque…

    D’ailleurs qui se ressemble s’assemble. Quels sont les soutiens officiels de Macron ? Le gratin mondialiste d’Alain Minc à Jacques Attali. Voilà qui devrait ouvrir les yeux, s’il en était besoin, sur la signification politique d’une telle candidature.

    On ne marche plus !

    Dans les meetings de la coqueluche, également organisés dans leurs moindres détails par des sociétés de conseil très bien payées, les caméras complaisantes nous montrent des figurants brandissant une pancarte sur laquelle on peut lire « Je marche », l’air épanoui.

    « Lève-toi et marche » : Emmanuel en nouveau Messie en quelque sorte ? Hélas, les communicants qui entourent le clone ignorent manifestement que marcher signifie aussi, dans la langue de la France d’en bas, « se faire avoir ». En d’autres termes suivre En marche ! revient à se faire avoir ou à « marcher dans la combine », pour les plus rusés.

    La coqueluche frappe, c’est bien connu, surtout les bébés et les personnes fragiles.

    La France réelle, elle, ne marche pas.

    Michel Geoffroy 14/03/2017

    Notes :
    1
     TV libertés du 13 février 2017.

    2 Interview sur la chaîne israélienne i24 news, le 25 décembre 2016.
    3 Marianne du 13 novembre 2016.
    4 Interview à L’Obs du 9 novembre 2016.
    Interview à L’Obs. du 9 novembre 2016
    6 LeFigaro.fr du 17 février 2017.
    7 LeFigaro.fr du 14 janvier 2017.
    8 Le 20 janvier 2017.

    https://www.polemia.com/la-coqueluche-macron-ca-ne-marche-plus/