Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 339

  • 50 fiches de désintoxication sur l'immigration

    57% des Français trouvent les immigrés trop nombreux ; 80% de nos concitoyens partagent l’idée selon laquelle parmi les très nombreux migrants qui arrivent actuellement en Europe, il se trouve des terroristes potentiels,… : ces vérités incontestables sont murmurées doucement, dissimulées par les médias de l’oligarchie bon tons incapables de se confronter au réel. Jacques Bompard révèle au détour de cinquante fiches détox ces réalités sur l’immigration !

    Qu’est-ce qu’un immigré ? Quelles sont les véritables aspects du grand remplacement ? Quels sont les impacts des procédures françaises et européennes sur l’immigration ? Tant de questions auxquelles répondent ces fiches argumentées, s’interrogeant sur les phénomènes historiques qui ont encouragé le mouvement migratoire. « Qu’il faille exclure les clandestins, nous en sommes d’accord. Qu’il faille réduire le nombre des immigrés venus régulièrement, j’en suis convaincu et c’est pourquoi la loi de réinsertion dans leur pays a été adoptée au gouvernement Mauroy. Il faut continuer », soulignait François Mitterrand dans les années 1970. Une citation que les grands médias semblent oublier et que rappelle le député de Vaucluse.

    Au rythme de quinquennats aveuglés par les aspirations partisanes, l’immigration est devenue un argument de campagne, destiné à servir les velléités de politiques libertaires et démagogues. Un argument qui pèse lourdement sur le contribuable : à l’heure où la pauvreté des Français atteint des seuils particulièrement élevés, ce sont les 150 000 € par jour dépensés à Calais pour assurer la sécurisation d’une ville française submergée par des vagues migratoires incessantes ; ce sont les millions de subventions publiques dépensés pour une Cité de l’Immigration aux ordres d’une administration tentant de légitimer des politiques inanes.

    Alors qu’à l’Est, le groupe de Visegrad propose de réguler raisonnablement les flux migratoires, incite à résoudre ses problèmes démographiques par le regain de sa politique familiale, la France préfère remplacer sa population. A l’heure où l’Allemagne reconnaît que sa politique d’accueil systématique se révèle chaque jour un peu plus désastreuse, la France préfère continuer d’accueillir des populations qu’elle n’a pas le luxe de recevoir.

    Ce sont tant d’éléments que les Cinquante fiches détox sur l’immigration révèlent. A la veille de l’élection présidentielle, les politiques migratoires actuelles ne peuvent rester en vigueur. Pour préserver l’identité française, c’est à l’aune du réel, au service du Bien Commun, que doit s’inscrire la politique migratoire du prochain président français.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Face à la gauche, le vote utile, c’est Marine, pas Fillon !

    95b791e2-8d5a-11e1-b0a5-27a13017d311-800x532.jpg

    À quelques jours du premier tour, la pression de la part de certains supporters fillonnistes se fait plus intense, tant auprès des électeurs de Dupont-Aignan que de Marine Le Pen. Face à la gauche, le seul vote utile serait le vote Fillon car c’est lui qui aurait le plus de chances…

    Ce paradigme ne résiste pas longtemps à un examen attentif. Même s’il convient d’être prudent sur les sondages, dans les projections du second tour, face à Macron, Marine Le Pen fait un meilleur score que Fillon. Elle est donnée entre 37 et 41 % alors que Fillon ne dépasserait pas la barre des 35 %. Par conséquent, si l’on s’en tient à un argument purement pragmatique, face à la gauche, il vaut mieux voter Marine que Fillon, notamment parce que ce dernier, au second tour, ne ralliera pas les classes populaires.

    En réalité, lorsque l’on creuse un peu, on s’aperçoit que cet argument n’est souvent qu’un prétexte. Si véritablement la défaite de la gauche était la priorité de la droite, on ne comprend pas pourquoi les ténors de la droite n’hésitent pas à jurer qu’en cas de second tour Marine/Macron, ils voteraient sans hésiter pour Macron.

    Bien plus : Gérard Larcher, l’un des soutiens les plus importants des Républicains, n’hésite pas à s’afficher aux côtés de la ministrable NKM, de la féministe LGBT Caroline Mécary, de BHL ou encore de Caroline Fourest à un rassemblement prétendument antiraciste prévu ce 18 avril à la Mutualité, avant de se décommander in extremis.

    C’est dire si le champion de la droite des « valeurs » présente des gages de rupture peu rassurants.

    Mes amis, ne cédons pas à l’affolement de dernière minute et gardons le calme des vieilles troupes. Le véritable enjeu de cette élection n’est ni économique ni budgétaire, même si ces questions sont essentielles. L’enjeu est civilisationnel. Il s’agit de préserver ce qui reste de la substance même du peuple français, de son identité face à un raz de marée migratoire voulu notamment par un patronat irresponsable, en particulier le MEDEF qui y voit une main-d’œuvre bon marché. Et face à ce raz de marée, Marine a plus qu’une longueur d’avance sur un François Fillon qui, en 2004, se déclarait favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Europe et qui, trois ans plus tard, a fait ratifier par voie parlementaire un traité que les Français avaient pourtant massivement rejeté.

    Le vote utile, c’est un vote pour ses convictions et non pour des hommes qui ont contribué pendant des décennies, lorsqu’ils étaient ministres, au déclin de la France. Pourquoi feraient-ils demain ce qu’ils n’ont pas fait hier ?

    Alors, dans cette dernière ligne droite, chaque voix patriote comptera et chacun doit encore se mobiliser pour convaincre les indécis et les hésitants de voter Marine Le Pen. Comme le disait le général et théoricien militaire Carl von Clausewitz, « la victoire appartient à ceux qui tiennent le dernier quart d’heure »

    http://www.bvoltaire.fr/face-a-gauche-vote-utile-cest-marine-fillon/

  • Marine Le Pen : « Le 23 avril, ne vous trompez pas ! » | Marine 2017

  • L’hebdomadaire Minute craint l’abstention des électeurs de droite

    Minute-Pêche-interdite-abstention.jpg

    Minute-Présidentielle-Droite-251x350.jpgPour l’hebdomadaire Minute, qui affiche en Une un panneau « Pêche interdite », le principal risque du scrutin de dimanche est celui de l’abstention des électeurs de droite :

    « Hier imperdable pour la droite, l’élection présidentielle est devenue imperdable pour la gauche ! Après cinq années de Hollande ! Aux fous ! Tout cela parce que les électeurs de droite, ultra majoritaires, se demandent s’ils vont aller voter ou songent à apporter leur suffrage à un petit candidat » :

    « On arrête les conneries ? »

    « Les électeurs de droite ont des états d’âme », assure Minute :

    « Les uns parce que Marine Le Pen n’a pas fait campagne sur l’identité, semble considérer que l’islam a toute sa place dans notre pays dès lors qu’il est “modéré“, et défend les “acquis sociaux“ comme les 35 heures ou la retraite à 60 ans. Les autres parce que François Fillon s’est fait prendre les doigts dans le pot de confiture, alors qu’il s’était présenté comme le candidat vertueux qui venait rompre, sur la base d’un programme libéral-conservateur plébiscité par les électeurs de la primaire de la droite et du centre, avec les années Sarkozy couronnées, si l’on peut dire, par les multiples mises en examen de celui-ci. »

    « L’issue du premier tour, insiste l’hebdomadaire, ne dépend que d’une chose : du coup de pied aux fesses que les électeurs dont le cœur penche à droite vont se donner, ou pas, pour que les deux seuls candidats de droite ayant une chance de l’emporter s’opposent au second tour et que nous soyons débarrassés de la totalité des postulants de gauche. »

    « Un second tour entre Marine Le Pen et François Fillon, explique Minute, ce ne serait pas seulement l’assurance d’être débarrassés des différents gauches pour cinq ans, ce ne serait pas seulement la configuration la plus favorable pour que Marine Le Pen accède à l’Elysée, ce serait aussi, vis-à-vis de François Hollande qui rêve de survivre par procuration en soutenant Emmanuel Macron, vis-à-vis des puissances financières qui ont également misé sur le jeune loup du progressisme libéral-libertaire, vis-à-vis des juges qui croient pouvoir faire l’élection, vis-à-vis de tout le système politico-médiatique qui ne songe qu’à sa perpétuation, un gigantesque bras d’honneur »

    Et de conclure ainsi :

    « Le bras d’honneur à tous ceux qui nous emmerdent depuis un demi-siècle, c’est le vote et c’est le vote à droite ! »

    https://fr.novopress.info/

  • La fin d’une République ou la promesse d’un nouvel État ?

    Bernard Plouvier

    La mocheté morale de la campagne de la présidentielle (et ce sera pire lors des législatives suivantes) ne fait que révéler la profondeur de notre déchéance : la Nation française, submergée d’inutiles alluvions d’origine extra-européenne, est aveulie, vulgaire, minable.

    Cela n’est nullement une nouveauté dans l’histoire de la France. L’époque des ultimes Mérovingiens puis celle des derniers Carolingiens, la Guerre de Cent Ans, le règne du controversé Louis XVI, les années 1899-1912, la triste décennie 1931 sq. furent des exemples de dépression de la volonté nationale et de vie végétative, suivies d’un extraordinaire regain d’activité, souvent brouillonne, mais pleine d’énergie et de gloire, donnant naissance à ces mythes historiques qui soudent la collectivité

    L’on se moque des turpitudes et des crimes d’un Charlemagne ou d’un Philippe II (devenu Auguste, soit : un roi qui se voulait l’égal de l’Empereur germanique, après la victoire de Bouvines) ; l’on n’a rien à faire des guillotinés de la Terreur et des agissements des soudards de 1792 à 1805, des offensives stupides et criminelles d’un Joffre ou d’un Foch, ou encore de l’énorme part de supercherie des « épopées » gaulliste et de la Résistance.

    Il suffit que ces actions aient fait rêver la Nation et, qu’en dépit de leurs échecs apparents, de leurs erreurs et/ou de leurs imperfections, une Jeanne d’Arc, un Napoléon, le Pétain des années 1914-18 et de l’An 40, le De Gaulle du 18 juin 1940 et quelques héros qui ont laissé une trace dans l’histoire nationale, servent d’exemples (ou d’archétypes, comme disent les savants).

    Tout (ou presque) est faux dans l’histoire telle qu’elle est racontée par les aèdes officiels des universités & des media, mais cette narration fortement idéalisée est indispensable à la vie d’une Nation : elle soude la collectivité et enseigne les vertus de noblesse et d’abnégation au service de la collectivité, du dévouement à l’État lorsque ses chefs en paraissent dignes, éventuellement du sacrifice suprême pour la grande cause.

    De fait, rien n’est enthousiasmant, ni même beau dans la Ve République agonisant dans les malversations et l’absence de fierté nationale, parce que ses soi-disant élites se sont vendues aux multinationales, se vautrant avec délices dans le monde du fric aisément gagné et du mensonge de propagande. On veut bien reconnaître que l’un ou l’autre des candidats inconnus sont sincères et prononcent des paroles qui ne sont pas sottes, mais qui va suivre des cuistres de sous-préfecture ?

    Ce n’est pas d’un Président de la République, comme elle en a trop vus, dont la Nation a besoin, mais d’une grande aventure – que l’on peut nommer « projet politique », si l’on n’est pas trop écœuré par l’adjectif, dénaturé par des milliers d’élus inefficaces, ineptes et trop souvent malhonnêtes.

    Comment croire que ces guignols qui se succèdent à l’Élysée depuis quelques décennies pour faire tous la même politique du chien crevé dérivant au fil de l’eau – une politique qui leur est dictée par le Pouvoir économique – pensent, ne serait-ce qu’une seconde, à l’intérêt de la Nation française ?     

    En favorisant l’avortement de complaisance des Françaises de souche européenne et en important plus de dix millions d’Africains et de Proche- et Moyen-Orientaux ? En implantant l’islam djihadiste et en laissant s’implanter deux mille cités de non-droit sur le sol national ? En laissant se détruire l’industrie française et en bradant l’agriculture aux multinationales de la distribution ? En amusant la galerie avec de faux problèmes de soi-disant écologie, qui servent à mieux vendre d’onéreux produits de substitution ou à taxer davantage les contribuables ?

    Que les électeurs veuillent bien méditer un instant sur leurs buts de vie et sur l’avenir de leurs enfants. Que, surtout, ils veuillent bien penser par eux-mêmes, en faisant abstraction du bourrage de crânes des media télévisés, tous – même les chaînes financées avec l’argent public – aux ordres du Pouvoir économique.

    Le bon gouvernement est celui qui s’occupe exclusivement du Bien commun… et l’on ne peut guère attendre d’un affairiste qu’il se consacre à la communauté. La propagande actuelle est de type individualiste, car, en persuadant chacun qu’il est un petit roi ou une jolie princesse, cette propagande permet de noyer les véritables problèmes de fond sous une avalanche de petits besoins et de jouissances au quotidien.

    L’avenir de la France, l’avenir du continent européen – étendu de l’Islande à Vladivostok – sont en passe d’échapper à leurs maîtres légitimes. Il est temps d’ouvrir les yeux et de se poser les bonnes questions : celle de l’adéquation d’un continent et de son peuplement, celle du but d’un État et d’un gouvernement. Par le peuple, pour le peuple… ou le néant.

    SNBQ Popul.jpg

    En savoir plus cliquez ici

    Le commander en ligne cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/04/17/la-fin-d-une-republique-ou-la-promesse-d-un-nouvel-etat-5933716.html

  • Alain Juppé ne soutiendra pas un gouvernement dont la ligne serait dictée par Sens Commun

    Sc

    Philippe Carhon

  • Election présidentielle : éliminer la gauche au premier tour

    Communiqué du MNR

    Le MNR attire l’attention des électeurs sur le fait que l’issue du scrutin présidentiel se joue au premier tour, le 23 avril prochain. Il est donc essentiel d’écarter du second tour Macron et Mélenchon représentants de la gauche immigrationniste et mondialiste.
    Marine Le Pen étant assurée d’être qualifiée pour le second tour, le MNR invite les Français à assurer la présence de François Fillon au second tour. Un vote responsable qui créera une configuration sans risque pour notre pays et par ailleurs électoralement plus favorable pour la candidate du FN.
    Ce vote responsable est celui qui garantit le mieux la défense de notre nation et de son identité.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • A J-5, l’appel détendu de Marion Maréchal-Le Pen à voter pour Marine Le Pen

    Marion-Maréchal-MLP-600x219.jpg

    A cinq jours du premier tour de l’élection présidentielle, Marion Maréchal-Le Pen a enregistré une vidéo appelant à ne pas céder au vote utile, dont « la France crève » depuis trente ans. Se référant à la victoire de Trump ou de celle du Brexit, et aux 48 % obtenus par Norbert Hofer en Autriche, elle affirme, d’un ton particulièrement détendu qui tranche avec la nervosité ambiante :

    « Votez donc Marine. Votez pour la candidate de la France. Votez pour la candidate des Français de cœur ou des Français d’héritage. Votez tout simplement pour l’intérêt national et pour l’intérêt de vos enfants. »

  • La machine à promotion d'Emmanuel Macron recourt à Mélenchon

    Lu sur Polémia :

    "La stratégie de l’attention vise à promouvoir la candidature d’Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle. Elle consiste à mettre en scène en permanence le candidat surgi de nulle part et son mouvement prétendu, En Marche !, par le truchement des médias et des instituts de sondage. La stratégie de l’attention a correspondu au matraquage publicitaire du produit Macron. Les médias ont rendu Macron omniprésent pour diffuser dans l’opinion la conviction qu’il serait présent au second tour de l’élection présidentielle, ce qui ne va pourtant pas de soi.

    Les médias ont scénarisé ses moindres faits et gestes comme ses meetings préfabriqués. Ainsi, par exemple en février, BFMTV a diffusé au total autant de minutes de meetings du fondateur d’En Marche… que de l’ensemble de ses quatre principaux concurrents réunis ! Comme d’habitude, d’ailleurs, puisque depuis sa déclaration de candidature à l’élection présidentielle, tous les meetings d’Emmanuel Macron sont diffusés en intégralité sur la première chaîne d’information en continu. Ce qui est bien loin d’être le cas pour les autres candidats.

    Tout comme ils ont scénarisé les ralliements successifs dont Emmanuel Macron bénéficiait, afin de suggérer l’idée d’une dynamique politique à son profit.

    Les sondages ont fermé la boucle promotionnelle

    Les instituts de sondages ont ensuite donné la réplique aux campagnes médiatiques en faisant apparaître les bons scores du candidat : les commanditaires étant les mêmes, la machine promotionnelle fonctionnait donc en boucle ! Elle a donc permis d’enfermer les électeurs dans une bulle médiatique, destinée à leur faire croire ce qu’on leur disait : les sondages paraissant confirmer les dires des journalistes et ces derniers commentant les résultats qui allaient dans le bon sens… CQFD.

    Favoriser les outsiders, mais au profit de Macron

    La stratégie de l’attention a aussi concerné, dans un second temps, les « petits » candidats. Tant qu’il s’agissait de promouvoir le produit Macron on les a réduits au silence médiatique. Mais cela a changé à partir du débat télévisé à 11 du 4 avril 2017. En effet, pour exister, les petits candidats, en majorité plutôt à droite, ont tenu à marquer leurs différences critiques vis-à-vis de François Fillon et Marine Le Pen : ils sont donc susceptibles de leur ôter des voix au premier tour et c’est pourquoi on s’efforce aussi de les encourager. La stratégie de l’attention assure maintenant la promotion de Jean-Luc Mélenchon. Il s’agit de faire croire que l’intéressé talonnerait dans les intentions de vote François Fillon, afin de suggérer l’absence de dynamique au profit du candidat de la droite et du centre. Ce qui serait pour le moins étrange compte tenu de l’état de l’opinion et de la réalité du terrain. Mais le produit Mélenchon a aussi pour fonction de marginaliser un peu plus le candidat du PS, Benoit Hamon, pour présenter le moment venu Emmanuel Macron comme l’ultime recours de la gauche face à la droite ou à « l’extrême droite ». [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html