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Attentat : une élection sous haute tension - Journal du mercredi 19 avril 2017
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Le Démagogue et son Crétin
Bernard Plouvier
Les années électorales sont éminemment favorables à la prolifération des spécimens de ces deux variétés, indissolublement accouplées, car, sans son cortège de crétins qui ne demandent qu’à être dupés, le démagogue n’est rien. Comme les hystériques et les psychopathes, le démagogue ne vit que du regard et de l’attention d’autrui.
Ceci n’a rien de spécifiquement français ni de moderne, on le reconnaît volontiers. Mais l’An 2017 en France est manifestement un grand cru de la démagogie et du crétinisme, au moins en deux registres : l’économie et la Nation.
À l’origine, le mot « économie » signifiait l’organisation de la vie au sein de la famille. Au XVIIIe siècle en Europe, l’on se mit à parler d’économie politique pour désigner la production et la distribution des produits, ainsi que l’organisation du travail au sein d’un État. Au XIXe siècle, on abrégea l’expression en « économie » et tout le monde comprit que l’on était passé du particulier au général.
Quel que soit le système politique, économique et social, il y aura toujours des riches et des pauvres, et de façon légitime. Il est logique qu’un individu très travailleur et brillant gagne davantage d’argent que le crétin ou le paresseux. Il est évident que le sous-doué et le sous-productif n’ont pas droit aux mêmes salaires et primes que leurs antithèses. La véritable justice sociale repose sur le fait que chacun reçoive son dû, en fonction de ses seuls mérites.
Ce ne sont pas les disparités de fortune qui sont critiquables si elles reposent sur une activité honnête. C’est l’absence de reconnaissance du travail utile et la prime donnée aux techniques financières et à l’exploitation abusive du travail d’autrui qui sont ignobles… soit les deux fondements les plus évidents de l’économie globale.
Un État fondé sur l’éthique doit déterminer pour chaque emploi ce qu’est le juste salaire et faire participer les véritables travailleurs aux bénéfices de leurs entreprises. Est parfaitement illégitime la richesse gagnée sans effort ni mérite ou de façon malhonnête. L’État voué au Bien commun doit lourdement taxer le produit de la spéculation, assimilée au vol, et confisquer l’argent de la corruption et du crime organisé.
Si la définition de la démocratie est l’égalité de tous devant la loi, la justice sociale ne peut qu’être l’expression de la méritocratie. Pleurer sur la misère des sous-productifs et des sous-doués n’est d’aucun intérêt pour personne. Aux pauvres et à ceux qui sont destinés à le demeurer une génération après l’autre, par l’effet de leur bêtise, de leur paresse ou de leur médiocrité, certains ont voulu proposer un dérivatif.
Aux XIXe et XXe siècles, les sectateurs des Dioscures Marx et Engels se sont faits les chantres de la guerre des classes sociales, ce qui a enchanté les sous-doués haineux et violents. Les régimes fondés sur l’utopie communiste se sont effondrés sous le poids de l’inefficacité, liée à la sottise institutionnelle, à la corruption, au népotisme et au favoritisme, mais il demeure quelques dinosaures de la démagogie pour vanter la qualité de ce poison économique et social.
De nos jours, l’argent est redevenu la seule divinité adorable : tout est sacrifié au culte du profit maximum et immédiat. Et ce, pour enrichir toujours davantage la caste des super-riches : les grands actionnaires et leurs féaux serviteurs du petit monde des technocrates, des politiciens et des manipulateurs d’opinions publiques.
Le Système est vicié par la profonde sottise des jouisseurs amoraux qui dominent les milieux de l’économie depuis le début de l’ère mondialiste, quand les impératifs financiers l’ont emporté sur la logique de la saine entreprise : entre les années 1980 et 1995, selon les grandes zones planétaires. Les nouveaux maîtres, par leur irréflexion et leur cupidité malsaine, ont multiplié les motifs d’explosion sociale en tout pays évolué.
Ils ont lassé les meilleurs travailleurs en instaurant une instabilité professionnelle touchant non plus seulement les fainéants, les trublions et les médiocres, mais aussi les plus performants. Une société progresse quand les meilleurs – les plus intelligents, les plus inventifs, les plus efficaces, les plus travailleurs – peuvent espérer une promotion sociale, fondée sur leurs mérites. Ce fut toujours le stimulant des pauvres actifs et ingénieux, qui se hissaient, en une ou deux générations, au niveau des classes moyennes voire supérieures.
L’absurde société globalo-mondialiste offre trois grandes causes de déstabilisation personnelle et d’aspiration à la subversion politique et sociale.
1 - Ne plus pouvoir accéder à une fonction de responsabilité alors que les mérites personnels et les services rendus justifient cette promotion, et ce en raison d’un népotisme ou d’un favoritisme (de causes raciale, sectaire – religieuse ou maçonnique -, ou relationnelle, pour caser les rejetons des amis et des actionnaires ou les amants et amantes du moment).
2 - Pour un honnête travailleur, ne plus avoir la possibilité d’acquérir son logement du fait d’une spéculation immobilière effrénée, ou de le conserver à cause de l’instabilité de la vie familiale induite par le féminisme hystérique, qui banalise les divorces liés au désir de la princesse de dominer son mâle.
3 – La délinquance, la criminalité et l’activisme religieux d’immigrés issus d’autres continents et qui se comportent en conquérants, alors même qu’ils sont arrivés en mendiants.
Ce sont ces problèmes que d’authentiques gouvernants doivent s’attacher à résoudre et rapidement… avant que ne survienne l’explosion violente génératrice de morts et de dégâts.
Enfin, l’unique réponse à donner aux agités du bocal qui viennent à nouveau proposer à la Nation française le brouet marxiste, à la sauce bolchevique, léniniste, stalinienne, trotskiste, maoïste, castriste, etc. est de rappeler cette profonde vérité : la Démocratie ne repose que sur l’égalité des droits et sur la méritocratie. Il est vrai que ce sont les fondements des régimes populistes où la Nation est homogène.
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Pourquoi Marine est désignée comme l’ennemie à abattre?
Une campagne politique se nourrit aussi de symboles mais certains ne sont pas du goût des garde-chiourmes de l’orthodoxie bruxelloise qui se ont émus de ce que Marine Le Pen ait demandé (et obtenu) de TF1 que le drapeau européen ne figure pas dans le décor pour son passage dans l’émission politique Demain, Président . Le drapeau tricolore est bien obligatoire quand il s’agit de pavoiser les édifices publics notamment, mais nullement le drapeau européen. De symbole il est encore question avec le « projet d’action imminente » selon le procureur de Paris, François Molins, l’attentat projeté visant potentiellement une personnalité politique engagée dans la présidentielle, qui avait été décelé ces derniers jours par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Le converti Clément B., 23 ans, proche de la communauté tchétchène de Nice et Mahiedine M., 29 ans, deux suspects, fichés « S » de nationalité française qui se sont connus en 2015 à la prison de Sequedin (Nord), incarcérées alors pour des faits de droit commun, ont été arrêtés hier à Marseille. Des armes, un sac de boulons, une caméra Gopro et trois kilos d’explosif artisanal TATP ont été découverts dans leur appartement. Un explosif instable, difficilement transportable, qui laisse penser aux enquêteurs que les islamistes voulaient frapper certainement la capitale phocéenne, là où Marine Le Pen tient justement une grande réunion publique ce soir… Fous d’Allah qui ont utilisé ces derniers jours des armes chimiques contre l’armée irakienne à l’offensive contre les milices de l’Etat Islamique (EI) , et qui ont encore ensanglanté la Syrie samedi. Un attentat-suicide mené aux abords d’Alep par les djihadistes combattant la République Arabe Syrienne, au bilan terrible - au moins 126 personnes tués, dont 68 enfants. Ce sont encore et toujours les personnalités les plus résolus à résister, les Etats clés qu’il s’agit de déstabiliser, d’éliminer, qui sont visés par les partisans du chaos et autres illuminés plus ou moins manipulés…
Dans ce climat inquiétant, devant les périls encore plus nombreux qui s’accumulent à l’horizon, c’est de lucidité, de fermeté, d’ordre, d’un cap clair, dont les Français ont besoin à la tête de la France et non d’un grand diseu petit faiseu interchangeable, du même acabit que ceux que nous subissons depuis des décennies. Le tout dernier sondage Kantar Sofres-OnePoint pour RTL, Le Figaro et LCI indique pourtant que nos compatriotes continueraient à qualifier Emmanuel Macron pour le second tour avec avec 24% des intentions de vote, dans un mouchoir de poche avec Marine Le Pen créditée de 23% des suffrages. Selon cette même enquête François Fillon devancerait Jean-Luc Mélenchon d’une courte tête ( respectivement 18,5% et 18%), loin devant Benoit Hamon (8%), Nicolas Dupont-Aignan (4%) , Philippe Poutou (2%)…
Restons dans le domaine de la symbolique évoqué plus haut, puisque un article du Point nous révèle le lieu initialement prévu pour la rencontre programmée rencontre aujourd’hui entre François Fillon et Alain Juppé. « Pour immortaliser la poignée de main de la réconciliation avec le Bordelais », la rencontre dans les « les couloirs de l’école 42 de Xavier Niel » a finalement été « annulée par crainte d’agitation estudiantine autour des affaires –, elle aura finalement lieu dans l’entreprise Deezer à Paris. »
On reste ainsi assez stupéfait par ce choix premier car ce n’était pas tant le risque de l’agitation estudiantine qui aurait fait mauvais effet que celui d’un lieu appartenant à Xavier Niel, passé du minitel rose à la téléphonie, soutien officiel d’Emmanuel Macron, patron de l’opérateur de téléphonie Free associé avec le militant milliardaire rose Pierre Bergé et le banquier Matthieu Pigasse, tous trois à la tête du groupe Le Monde, L’Obs, Télérama, La Vie, Courrier International.… Personnalité symbolisant là aussi la mainmise des grands groupes financiers sur l’information. 10 milliardaires possèdent ainsi 90 % des quotidiens nationaux, des télévisions et radios de grande audience. Outre l’attelage Niel-Berger-Pigasse, on peut citer Bernard Arnault, PDG du groupe de luxe LVMH (patron des Echos, du Parisien), Vincent Bolloré (Canal+), Martin Bouygues (TF1, LCI, TMC…), Serge Dassault (Le Figaro), Patrick Drahi, autre soutien affiché de M. Macron, principal actionnaire de SFR (Libération, L’Express, BFM-TV, RMC), François Pinault (Le Point), Arnaud Lagardère (Europe 1, Elle, Paris-Match...)…
Gros médias qui privilégient l’idéologie dominante et servent de chambre d’écho aux adversaires du FN. Le Monde est toujours à la manœuvre dans les grandes occasions, ce fut le cas encore ces dernières heures dans cette toute dernière ligne droite avant le premier tour, avec la mise en ligne d’une tribune à charge de de 25 Prix Nobel, dénonçant le programme eurosceptique du Front National, dans laquelle même Joseph Stiglitz est convoqué pour y aller de son admonestation obligatoire. Mais nous ne sommes plus ici dans la raison objective, il s’agit de faire oeuvre de militantisme, comme le note implicitement d’ailleurs la déclinaison francophone du Huffington Post dirigé par Anne Sinclair: « Si Joseph Stigtlitz refuse d’être associé au Front National, il a pourtant dressé un diagnostic sans pitié de l’échec de la monnaie unique dans son dernier livre L’euro : Comment la monnaie unique menace l’avenir de l’Europe. »
Un quatrième pouvoir rappelle Benjamin Dormann dans Éléments, qui a clairement fait son choix, en adoubant le leader d’En Marche! et en gardant sous le coude l’hypothèse Fillon en cas de qualification de ce dernier pour le second tour. Médias dominants qui se taisent sur « les zones d’ombres d’Emmanuel Macron, membre des Young Leaders (…) ce réseau franco-américain élitiste (…), un des sept français participants au Groupe Bilderberg en 2014, aux côtés de Fleur Pellerin, de François Baroin (promis au Poste de Premier ministre en cas de victoire de M.Fillon, NDLR), de Nathalie Nougayrède alors directrice du Monde et d’Henri de Castries, président de ce puissant réseau d’influence internationale » et soutien de François Fillon . C’est ce même Henri de Castries qui fait le lien entre un Macron et un Fillon qu’il a intégré au groupe Bilderbeg. Soutien de Nicolas Sarkozy en 2007, il apporté sa participation financière à la campagne de Hollande en 2012. Toutes choses qui permettent de mieux comprendre pourquoi Marine Le Pen est désignée comme l’ennemie à abattre par les tenants du capitalisme planétaire d’obédience mondialiste, avec une unanimité qui doit interpeller les Français note Bruno Gollnisch.
https://gollnisch.com/2017/04/19/marine-designee-lennemie-a-abattre/
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Conférence présidentielle n°5 : « La France face au défi terroriste » | Marine 2017
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Marine et nos fondamentaux…au zénith face au déclin programmé !
Il y avait la belle et très chaude ambiance des grands soirs, beaucoup de jeunes hier au Zénith de Paris où Marine tenait son avant dernière réunion publique (la prochaine est à Marseille mercredi) avant le premier tour. Une allocution perturbée quelques petites secondes par l’irruption d’une Femen sur scène, vite évacuée, et par la tentative de chahut d’une autre dans la salle, toute aussi vite refrénée. Si ces humanistes et progressistes aiment souiller nos églises, ces chiennes de garde de l’ordre libéral-libertaire ne se trompent pas en attaquant la candidate d’un mouvement incarnant en effet la défense de valeurs qui sont les piliers de notre civilisation helléno-chrétienne. L’extrême gauche à capuche s’est elle aussi manifestée. Éternels idiots utiles du capitalisme hors-sol, d’une euro-atlantisme qui en toute logique désigne le FN comme son adversaire le plus sérieux, les antifas se sont employés à créer un climat de violence autour du Zénith. Les policiers et les Français votant FN ont été agonis d’insultes, visés par des projectiles et des cocktails Molotov - ce fut le cas de Gilbert Collard et son épouse à leur arrivée sur place. Tensions qui ont débuté dés le rassemblement anti FN organisée la veille par les mêmes groupuscules immigrationnistes dits antifascistes, avec le soutien des partis de gauche et d’extrême gauche, et qui avaient pour but de dissuader patriotes parisiens et de la proche banlieue d’aller écouter Marine.
Les médias ont souligné que cette réunion hier soir a vu Marine Le Pen revenir dans son discours aux fondamentaux frontistes, pointant notamment une vibrante défense pour la liberté des femmes menacée par la montée des violences physiques et communautaristes, le vœu d’un « moratoire immédiat sur toute l’immigration légale ». Il est vrai que la dénonciation des cinq i (immigration-invasion, inversion des valeurs dés l’école, insécurité endémique, islamisme radical prosélyte et terroriste, impôts confiscatoires…) est plus mise en avant dans cette dernière ligne droite avant le premier tour.
Il s’agirait pour la candidate national de se démarquer et de contenir l’embellie sondagière d’un Mélenchon reprenant des thématiques du FN ( disparition des services publics, paupérisation de la France périphérique, dictature bruxelloise, ravage du capitalisme spéculatif, soumission à l’Otan…) et d’un Fillon martelant sa (re)découverte de l’identité française, de ses racines, les promesses de 2007 d’une maîtrise de l’immigration et de la pression fiscale pesant sur les ménages, nos commerçants-artisans, nos entreprises…
Au delà du calcul tactique qu’on lui prête, et qui n’est bien sûr pas absent d’une campagne, Marine a aussi plus profondément, à quelques jours du 23 avril, rappelé l’importance fondamentale de cette élection. Un scrutin déterminant en ce qu’il est « un enjeu de civilisation ». Civilisation dont tous les adversaires les plus sérieux du Mouvement national patriotique , du candidat du Grand orient socialo-trotskyste de la France (pseudo) insoumise, à celui de l’eurolibéralisme de l’attelage LR-UDI, se sont employés à abattre les murs porteurs par leurs (in)actions depuis qu’ils sont entrés en politique.
Un enjeu civilisationnel car nous sommes à la croisée des chemins, et la candidate du FN , elle l’a redit ce matin au micro d’Elizabeth Martichoux sur RTL, est la seule à porter un discours cohérent pour protéger la France et les Français, dans son refus des deux fléaux enfantés par la mondialisation, un libre-échangisme destructeur et une immigration sauvage qui ne l’est pas moins; deux faces d’une même médaille note Bruno Gollnisch que les Fillon, Macron, Mélenchon ne veulent ou ne peuvent appréhender dans leur simultanéité.
Un Emmanuel Macron qui était aussi hier soir en meeting à Paris, à Bercy, dans une capitale boboland où il se sent chez lui, envoyant des bisous au public sous des projecteurs multicolores, façon nrj music awards... Comme à son habitude, le candidat de Hollande, Bruxelles, Minc, Attali, BHL, Soros, Merkel, et des fonds de pension yankees a dévidé la pelote de ses formules creuses, dénonçant « l’enlisement » de la France « depuis vingt ans »… tout en louant le Jacques Chirac de la « fracture sociale » – slogan , escroquerie marketing qui plait forcément au fondateur d‘En marche! - , dont les deux calamiteux septennats marqué par l’immobilisme ne sont pas pour rien dans le déclassement de notre pays… comme le fut à son niveau la participation de l’ex de la banque Rothschild au quinquennat Hollande.
Objet publicitaire (interchangeable) placé en tête de gondole par un Système tentant de sauver sa peau, l’inquiétante entourloupe Macron, façonnée par des médias complaisants, tiendra-t-elle jusqu’au 7 mai? Faut-il croire aux sondages qui démontreraient l’assise qui est la sienne au sein de l’électorat? Sondages dénoncés par Alain Garrigou, fondateur de l’Observatoire des sondages, qui affirme qu’ils « ne valent rien très longtemps avant l’élection, et quand ils commencent à valoir quelque chose, ils ont des effets sur les conduites. Ils encouragent notamment le vote stratégique au détriment du vote d’adhésion ». Une élection marquée plus globalement par une stratégie visant à faire de M. Macron le candidat idéal face à Marine Le Pen, comme l’analyse Michel Geoffroy sur le site Polemia. Les Français trancheront, espérons-le en toute connaissance de cause.
https://gollnisch.com/2017/04/18/marine-nos-fondamentaux-zenith-face-declin-programme/
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J'ai besoin de Marine. Diffusion du clip au meeting de Paris.
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50 fiches de désintoxication sur l'immigration
57% des Français trouvent les immigrés trop nombreux ; 80% de nos concitoyens partagent l’idée selon laquelle parmi les très nombreux migrants qui arrivent actuellement en Europe, il se trouve des terroristes potentiels,… : ces vérités incontestables sont murmurées doucement, dissimulées par les médias de l’oligarchie bon tons incapables de se confronter au réel. Jacques Bompard révèle au détour de cinquante fiches détox ces réalités sur l’immigration !
Qu’est-ce qu’un immigré ? Quelles sont les véritables aspects du grand remplacement ? Quels sont les impacts des procédures françaises et européennes sur l’immigration ? Tant de questions auxquelles répondent ces fiches argumentées, s’interrogeant sur les phénomènes historiques qui ont encouragé le mouvement migratoire. « Qu’il faille exclure les clandestins, nous en sommes d’accord. Qu’il faille réduire le nombre des immigrés venus régulièrement, j’en suis convaincu et c’est pourquoi la loi de réinsertion dans leur pays a été adoptée au gouvernement Mauroy. Il faut continuer », soulignait François Mitterrand dans les années 1970. Une citation que les grands médias semblent oublier et que rappelle le député de Vaucluse.
Au rythme de quinquennats aveuglés par les aspirations partisanes, l’immigration est devenue un argument de campagne, destiné à servir les velléités de politiques libertaires et démagogues. Un argument qui pèse lourdement sur le contribuable : à l’heure où la pauvreté des Français atteint des seuils particulièrement élevés, ce sont les 150 000 € par jour dépensés à Calais pour assurer la sécurisation d’une ville française submergée par des vagues migratoires incessantes ; ce sont les millions de subventions publiques dépensés pour une Cité de l’Immigration aux ordres d’une administration tentant de légitimer des politiques inanes.
Alors qu’à l’Est, le groupe de Visegrad propose de réguler raisonnablement les flux migratoires, incite à résoudre ses problèmes démographiques par le regain de sa politique familiale, la France préfère remplacer sa population. A l’heure où l’Allemagne reconnaît que sa politique d’accueil systématique se révèle chaque jour un peu plus désastreuse, la France préfère continuer d’accueillir des populations qu’elle n’a pas le luxe de recevoir.
Ce sont tant d’éléments que les Cinquante fiches détox sur l’immigration révèlent. A la veille de l’élection présidentielle, les politiques migratoires actuelles ne peuvent rester en vigueur. Pour préserver l’identité française, c’est à l’aune du réel, au service du Bien Commun, que doit s’inscrire la politique migratoire du prochain président français.
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Face à la gauche, le vote utile, c’est Marine, pas Fillon !
À quelques jours du premier tour, la pression de la part de certains supporters fillonnistes se fait plus intense, tant auprès des électeurs de Dupont-Aignan que de Marine Le Pen. Face à la gauche, le seul vote utile serait le vote Fillon car c’est lui qui aurait le plus de chances…
Ce paradigme ne résiste pas longtemps à un examen attentif. Même s’il convient d’être prudent sur les sondages, dans les projections du second tour, face à Macron, Marine Le Pen fait un meilleur score que Fillon. Elle est donnée entre 37 et 41 % alors que Fillon ne dépasserait pas la barre des 35 %. Par conséquent, si l’on s’en tient à un argument purement pragmatique, face à la gauche, il vaut mieux voter Marine que Fillon, notamment parce que ce dernier, au second tour, ne ralliera pas les classes populaires.
En réalité, lorsque l’on creuse un peu, on s’aperçoit que cet argument n’est souvent qu’un prétexte. Si véritablement la défaite de la gauche était la priorité de la droite, on ne comprend pas pourquoi les ténors de la droite n’hésitent pas à jurer qu’en cas de second tour Marine/Macron, ils voteraient sans hésiter pour Macron.
Bien plus : Gérard Larcher, l’un des soutiens les plus importants des Républicains, n’hésite pas à s’afficher aux côtés de la ministrable NKM, de la féministe LGBT Caroline Mécary, de BHL ou encore de Caroline Fourest à un rassemblement prétendument antiraciste prévu ce 18 avril à la Mutualité, avant de se décommander in extremis.
C’est dire si le champion de la droite des « valeurs » présente des gages de rupture peu rassurants.
Mes amis, ne cédons pas à l’affolement de dernière minute et gardons le calme des vieilles troupes. Le véritable enjeu de cette élection n’est ni économique ni budgétaire, même si ces questions sont essentielles. L’enjeu est civilisationnel. Il s’agit de préserver ce qui reste de la substance même du peuple français, de son identité face à un raz de marée migratoire voulu notamment par un patronat irresponsable, en particulier le MEDEF qui y voit une main-d’œuvre bon marché. Et face à ce raz de marée, Marine a plus qu’une longueur d’avance sur un François Fillon qui, en 2004, se déclarait favorable à l’entrée de la Turquie dans l’Europe et qui, trois ans plus tard, a fait ratifier par voie parlementaire un traité que les Français avaient pourtant massivement rejeté.
Le vote utile, c’est un vote pour ses convictions et non pour des hommes qui ont contribué pendant des décennies, lorsqu’ils étaient ministres, au déclin de la France. Pourquoi feraient-ils demain ce qu’ils n’ont pas fait hier ?
Alors, dans cette dernière ligne droite, chaque voix patriote comptera et chacun doit encore se mobiliser pour convaincre les indécis et les hésitants de voter Marine Le Pen. Comme le disait le général et théoricien militaire Carl von Clausewitz, « la victoire appartient à ceux qui tiennent le dernier quart d’heure »…
http://www.bvoltaire.fr/face-a-gauche-vote-utile-cest-marine-fillon/
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Marine Le Pen : « Le 23 avril, ne vous trompez pas ! » | Marine 2017
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L’hebdomadaire Minute craint l’abstention des électeurs de droite
Pour l’hebdomadaire Minute, qui affiche en Une un panneau « Pêche interdite », le principal risque du scrutin de dimanche est celui de l’abstention des électeurs de droite :
« Hier imperdable pour la droite, l’élection présidentielle est devenue imperdable pour la gauche ! Après cinq années de Hollande ! Aux fous ! Tout cela parce que les électeurs de droite, ultra majoritaires, se demandent s’ils vont aller voter ou songent à apporter leur suffrage à un petit candidat » :
« On arrête les conneries ? »
« Les électeurs de droite ont des états d’âme », assure Minute :
« Les uns parce que Marine Le Pen n’a pas fait campagne sur l’identité, semble considérer que l’islam a toute sa place dans notre pays dès lors qu’il est “modéré“, et défend les “acquis sociaux“ comme les 35 heures ou la retraite à 60 ans. Les autres parce que François Fillon s’est fait prendre les doigts dans le pot de confiture, alors qu’il s’était présenté comme le candidat vertueux qui venait rompre, sur la base d’un programme libéral-conservateur plébiscité par les électeurs de la primaire de la droite et du centre, avec les années Sarkozy couronnées, si l’on peut dire, par les multiples mises en examen de celui-ci. »
« L’issue du premier tour, insiste l’hebdomadaire, ne dépend que d’une chose : du coup de pied aux fesses que les électeurs dont le cœur penche à droite vont se donner, ou pas, pour que les deux seuls candidats de droite ayant une chance de l’emporter s’opposent au second tour et que nous soyons débarrassés de la totalité des postulants de gauche. »
« Un second tour entre Marine Le Pen et François Fillon, explique Minute, ce ne serait pas seulement l’assurance d’être débarrassés des différents gauches pour cinq ans, ce ne serait pas seulement la configuration la plus favorable pour que Marine Le Pen accède à l’Elysée, ce serait aussi, vis-à-vis de François Hollande qui rêve de survivre par procuration en soutenant Emmanuel Macron, vis-à-vis des puissances financières qui ont également misé sur le jeune loup du progressisme libéral-libertaire, vis-à-vis des juges qui croient pouvoir faire l’élection, vis-à-vis de tout le système politico-médiatique qui ne songe qu’à sa perpétuation, un gigantesque bras d’honneur »
Et de conclure ainsi :
« Le bras d’honneur à tous ceux qui nous emmerdent depuis un demi-siècle, c’est le vote et c’est le vote à droite ! »