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élections - Page 336

  • Selon l’IFOP, 51 % des gendarmes s’apprêtent à voter Marine Le Pen

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    Ce sondage ne suscite par l’enthousiasme à la Direction générale de la gendarmerie nationale…

    Un sondage IFOP/L’Essor de la gendarmerie nationale confirme les enquêtes du CEVIPOF (Sciences Po) sur l’importance du vote mariniste dans les professions de la sécurité (militaires, gendarmes et policiers). Selon ce sondage, 51 % des gendarmes s’apprêteraient à voter pour Marine Le Pen, contre 22,5 % des Français – soit plus de deux fois plus. Très loin, nous trouvons Emmanuel Macron (16,5 %) et François Fillon (14 %), les huit autres candidats se partageant les 18,5 % restants. Le vote lepéniste serait particulièrement fort en gendarmerie mobile (65 %). Les officiers, eux, ne seraient que 17 % à voter Marine Le Pen, leurs suffrages se portant à 42 % sur François Fillon. Sans surprise, l’enjeu le plus important est celui de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme (74 % contre 43 % pour l’ensemble des Français). En 2012, 43 % avaient voté Marine Le Pen, soit 8 points de moins qu’aujourd’hui.

    Élément intéressant, le vote FN est nettement moins répandu parmi les gendarmes qui ont moins de deux ans d’ancienneté (33 %) que parmi ceux qui ont intégré les rangs de la maréchaussée depuis plus de deux ans (plus de 50 % de vote FN). Cet écart s’explique par le fait que les personnes les plus récemment entrées dans la gendarmerie ont été moins exposées que leurs collègues plus anciens à la délinquance.

    Trois chiffres sont révélateurs :

    – D’abord celui, général, de 51 %. N’oublions pas que les gendarmes sont des militaires avant d’être des policiers, l’esprit de corps et l’entraide y sont toujours présents. Ils savent qu’en 2015, 4.886 de leurs camarades ont été blessés en service commandé, dont 1.816 dans le cadre d’agressions, et que celles-ci ont fortement augmenté en un an (+26,7 %). 

    La ruralité est de moins en moins épargnée, la délinquance urbaine n’hésite plus à se déplacer dans les campagnes. Cette France périphérique et les pandores avec elle observent dans les villages ces bandes urbanisées envahir fêtes de village et bals populaires en essayant d’y faire régner leur loi. Nos militaires sentent monter la délinquance et discernent le désarroi de la population en se désolant d’une justice qu’ils perçoivent comme inefficace. 

    – Celui de 65 % pour la gendarmerie mobile est, lui aussi, significatif. Celle-ci, depuis l’opération Sentinelle et les manifs de l’extrême gauche, est suremployée. Elle prend des coups, elle se fait insulter mais, surtout, elle ne voit pas, derrière ces manifestations violentes, une réelle volonté de l’État à vouloir réprimer celles-ci. De plus, dans les cars, lors d’attentes parfois interminables, les « moblots » (surnom des mobiles) ont tout loisir de s’exprimer sur leur ras-le-bol, sur la politique ou sur les blessés et l’agressivité des manifestants.

    – Celui, faible (17 %), des officiers votant Le Pen. Trois raisons : la première tient à l’espérance de carrière, le but est de terminer officier supérieur, voire officier général. L’avancement ne se fait pas uniquement au mérite mais aussi sur des critères non professionnels (opinions politiques, adhésion à la franc-maçonnerie, etc.). Souvenez vous du général Soubelet expliquant, après les régionales : « Six millions de Français ont voté FN, cela me glace le sang. » La deuxième au fait que les officiers éloignés du terrain n’ont pas le stress des sous-officiers. Leur travail se fait plus dans les bureaux. Enfin, la troisième à la nature du milieu officier, un milieu où l’on se croise et s’observe. Si l’on peut pardonner que la fougue d’un officier subalterne l’entraîne à voter Marine, on excusera difficilement un tel choix pour un officier confirmé.

    On peut comprendre, dans ces conditions, pourquoi ce sondage ne suscite par l’enthousiasme à la Direction générale de la gendarmerie nationale.

    http://www.bvoltaire.fr/selon-lifop-51-gendarmes-sappretent-a-voter-marine-pen/

  • Et si Emmanuel Macron n’était pas au second tour… Colloque sentimental

    Conversation-fiction du père Hollande avec son fils spirituel, par Jean-Paul Brighelli

    Une fiction façon Brighelli, éclairante et vivante, lucide et perspicace, que nous avons aimée. Un peu d'humour et de fantaisie au sein d'une campagne indigne ... Merci à son auteur* ! LFAR

    C’était l’heure de l’appeler. Il négligea la batterie téléphonique juste derrière lui sur sa droite, renonça à l’i-phone 4 cher à son cœur dont il n’avait pas pu se séparer tout à fait, même après avoir appris qu’il était sur écoutes, et fouilla dans le désordre de papiers et de dossiers qui encombraient l’élégant bureau Louis XV. Il eut un bref moment de panique, et remit enfin la main sur le Hoox M2, le téléphone ultra-sécurisé de Bull qu’Emmanuel lui avait recommandé — plus élégant et bien plus pratique que le Teorem de Thalès. Il fit glisser son doigt sur la bande de reconnaissance biométrique, et tapa son code — MLP2017, un sigle que personne ne pouvait décemment le soupçonner d’avoir adopté.

    Ils avaient convenu de ne pas se voir, du jour où Emmanuel s’était mis en marche. Mais ils se téléphonaient tous les jours, à heure fixe, pour faire le point. C’était pour lui un plaisir ineffable que d’entendre la voix de son poulain, son fils politique, son double non boudiné. Quelles crises de rire ils s’offraient tous les deux, tous les jours !

    Le portable cryptait automatiquement les conversations. Les grandes oreilles indiscrètes qui cherchaient à capter, au scanner, ce qui sortait des murs épais du Palais en seraient pour leurs frais. 

    - Tu as lu le Point ? dit-il de but en blanc.

    - Tu as un peu forcé, quand même ! FOG s’en va claironnant partout que tu voteras pour moi !

    Il paraît soudain plus pâle sous la lumière des deux grands abat-jour à six fausses chandelles posés de part et d’autre du grand bureau.

    - Tu… tu n’as pas aimé ? Cette manière délicate d’insérer le mot « marche » dans ma phrase… Comme lors de l’interview à Konbini… L’histoire, elle ne s’arrête pas, donc il faut aller vers la marche du progrès. »

    Un temps.

    - Tu es dur, Emmanuel…

    Il a, dans la manière de dire ces quatre syllabes, en particulier la première, « aime », quelque chose de douloureux — comme un reproche rentré.

    - Nous étions convenus de ne pas afficher notre… grande complicité ! Je suis obligé maintenant de démentir ! Tu sais quoi ? Tu es comme le sparadrap du capitaine Haddock !

    - Mais Emmanuel ! Tu as vendu toi-même la mèche, dans le Wall Street Journalil y a déjà deux ans ! Quand tu as avoué que je t’avais chargé de rassurer la Finance au moment même où je faisais semblant de la vitupérer, en 2012 !

    - Nous sommes dans le présent désormais ! Déjà, le soutien de Manu, je m’en serais passé — d’autant que tu l’as plombé avec cette histoire de sondage sur la longueur de sa mèche ! Joli coup !

    - Ah, tu as aimé ? Sur France 2, ils sont bien, hein ? 50 000 euros pour savoir s’il dégage le front et si son défaut de parallélisme auriculaire se voit en couverture de Match ! Enfoncé, le costard de Fillon ! Et le SIG a fait semblant de refuser de donner les contenus d’autres sondages — les gens penseront que ce qui est caché est encore plus monstrueux ! Elle peut toujours essayer de revenir en 2002, la petite tique !

    - Comprends-moi : plus j’ai l’air d’être un Hollande-bis — et la couverture de Causeur, le mois dernier, m’a fait beaucoup de tort —, et moins la droite béate votera pour moi ! Faire élire aux primaires puis canarder Hamon, OK, pour faire glisser vers moi tous les vrais hollandistes, ah ah ! Mais le problème, c’est que maintenant Mélenchon…

    - Ce connard de Mélenchon ! Ce qu’il a pu me les briser, quand il était au PS !

    - Mélenchon passe pour être un recours à gauche — et tout le PS un peu mou qui allait voter pour moi hésite, à présent… Leurs militants, qui sont moins cons ou moins crapuleux qu’eux, ne les suivront pas ! Je vais avoir bonne mine, moi, avec Bayrou à main droite et Le Foll à main gauche — et rien derrière !

    - Bon, bon, j’en ai un peu trop fait — c’est mon défaut majeur. Avec Davet et Lhomme, déjà, j’en avais remis plusieurs couches… Promis, je ne dis plus rien jusqu’au second tour !

    Silence — comme dans une pièce de Beckett.

    - Dis-moi… C’est toujours MLP2017, le code de ton Bull ?

    - Oui — c’est drôle, hein ?

    - Oui, très drôle. Tu es sûr qu’au fond, ce n’est pas ça, ton souhait réel ? Voir élire la blondasse ?

    - Ecoute… Imagine que ça ne marche pas — et quand je dis « marche », hé hé…

    - Tu as des infos que je n’ai pas ?

    - Quatre candidats dans un mouchoir ! C’est ce que disent les RG. Eux, ils ne travaillent pas pour la télé, ils n’oublient pas la fourchette d’incertitude ! 23% pour toi, 20 pour Fillon et pour Mélenchon, rajoute et ôte 2,8 de part et d’autre, te voilà à 21,2 et l’un ou l’autre des deux suivants est à 22,8… Et la Marine caracolera en tête !

    - Je ne te savais pas si doué en maths ! Et alors ?

    - Bref… Imagine que tu arrives troisième — derrière Mélenchon, ou même derrière Fillon… S’ils sont élus, l’un ou l’autre, nous sommes balayés pour cinq ans au moins. Mélenchon fera du Mélenchon, c’est-à-dire n’importe quoi, Fillon fera de la droite classique, ils ne nous laisseront pas même les miettes ! Mais si tu ne passes pas au premier tour…

    - Eh bien ?

    - On croisera les doigts en espérant que la Marine passera. En convainquant la droite classique de ne pas voter pour Mélenchon — et puis après on dénoncera la rupture du « pacte républicain » ! Ou en suggérant à la gauche de ne pas appuyer Fillon. Elle peut passer, si je m’en occupe ! Et dans la semaine, je t’organise quelques manifs spectaculaires dans le genre « refus du fascisme », dix millions de sans-dents dans la rue, on se débrouille pour que ça dérape sérieux, que les flics interviennent, de toute façon ils votent pour elle au moins à 50%, ils adoreront casser du gaucho — et dans la foulée on fait un raz-de-marée aux Législatives, et on reprend le pouvoir — et tu es Premier ministre ! Hein ! Qu’en penses-tu ?

    - Gagnant-gagnant, quoi ! Moi ou elle, ça reste toi !

    - Ah, c’est comme l’Institut Montaigne — deux fers au feu, toi et Fillon. Et ne me dis pas non, moi, j’ai mes sources ! Jean-Pierre me tient au courant ! Gagnant-gagnant, comme tu dis. Mais je préfèrerais que ce soit toi !

    - Ah quand même !

    Silence.

    - Tu es trop fort, dit Emmanuel.

    Ton mi-chèvre, mi-chou.

    Silence.

    - Tu me manques, dit l’autre.  

    * Bonnet d'âne [14.04]

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Chômage de masse & revenu universel ou grand projet national ?

    Bernard Plouvier

    Telle est l’angoissante question pour les années à venir. Et chacun de nos politiciens y répond selon ses motivations, c’est-à-dire selon ses intérêts (qui sont, bien entendu, ceux de ses généreux bailleurs de fonds électoraux).

    L’économie globale telle qu’elle est pratiquée n’offre, en pays de hauts salaires et de forte protection sociale, un travail bien rémunéré que dans les industries de pointe, les services haut de gamme, l’agriculture spécialisée (encore faut-il noter, pour ce dernier secteur, que les intermédiaires s’enrichissent beaucoup plus que les producteurs).

    De ce fait, l’instruction publique devrait être orientée vers la formation de savants et de techniciens de très haut niveau, tandis que l’éducation (dévolue à la famille) devrait être élitiste, reposant sur une exigence quantitative et qualitative en matière de travail scolaire, primaire, secondaire, puis supérieur.

    On en est très loin en France. Tout est fait, au contraire, pour produire des niais paresseux, bourrés de sentiments humanitaires, mais à la cervelle aussi vide que celle d’un dinosaure marxiste.

    Le sieur Saül de Tarse, plus connu sous l’appellation de Saint Paul, a écrit il y a deux mille ans dans sa 2e Épître aux Thessaloniciens (III-10, selon le découpage de Saint Jérôme) : « Qui refuse de travailler ne doit pas non plus manger ». C’est un raisonnement d’une logique imparable, mais obsolète.

    Car la grande distribution, l’une des reines de notre société, a ses impératifs. Elle vit de l’hyperconsommation des riches, mais aussi de la consommation quotidienne, vitale, des pauvres : ceux qui vivent d’allocations-chômage, d’allocations-immigrés (clandestins compris), de revenu minimum, etc.

    Effectivement, confrontés à un chômage de longue durée, car structurel, les politicards de base (les chevaliers servants de la globalo-mondialisation) n’ont ni le droit de renvoyer les 14 à 15 millions d’allogènes dans leurs continents d’origine, ni l’honnêteté de reconnaitre le parasitisme interne de 5 à 6 millions de fonctionnaires et l’échec lamentable du corps enseignant qui fabrique 35 à 40% de futurs petits salariés et 50% de futurs chômeurs, permanents ou intermittents ; l’élite, la vraie, se forme en grande partie elle-même par son exigence éthique et grâce à de rares enseignants d’élite.

    Le chômage n’est structurel, en France, que du fait de la mollesse de la jeunesse autochtone et de la démission d’une énorme majorité de parents et d’enseignants. Il est facile d’y remédier, à l’unique condition de le vouloir.

    Aucun emploi ne doit être distribué à des non-Européens tant qu’il reste un seul Français de souche européenne au chômage et les consommateurs allogènes parasitaires doivent être renvoyés impitoyablement dans leur continent d’origine. C’est le premier principe.

    Les sommes ainsi économisées doivent être investies dans une véritable instruction de la jeunesse française, avec prime à l’efficacité. C’est assez dire qu’il y a un gigantesque travail de remotivation de la Nation et du corps enseignant, de façon à ce que les Français redeviennent performants et compétitifs, comme ils ont si souvent démontré, durant les deux derniers millénaires, qu’ils pouvaient l’être.

    C’est l’unique grand projet national pour notre temps. Cela exige des chefs dignes de ce nom : honnêtes, efficaces, durs, mais dévoués au Bien commun et à l’idée nationale. Cela exige un effort de la part de chaque citoyen. À population larvaire, gouvernants lamentables. Cela fait trente ans que nous vivons de cette façon. Il est plus que temps de changer de mode de vie en commun.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Aux urnes, au nom du peuple!

    ayxlqlkhjvzwhch-400x400-nopad-300x300.jpgC’est une confirmation des craintes exprimées par le FN, de l’évidence des mesures prônées par Marine Le Pen dont nous nous serions bien passées. La candidate national rappelait hier soir dans l’émission 15 minutes pour convaincre diffusée sur France 2 et France Inter,  la nécessité impérieuse  d’« expulser les imams étrangers qui prêchent la haine », «  tous les étrangers vivant sur notre territoire et qui ont un lien avec le fondamentalisme islamiste » et « l’intégralité des fichés S étrangers. Pourquoi garder sur notre territoire des bombes potentielles ? ». Elle pointait la mollesse de la réponse des partis au gouvernement dans la lutte « contre l’insécurité et le terrorisme », sujets « absents » du débat et pour lesquels « rien n’a été fait». Au même moment vers 21h, sur les  Champs-Élysées à Paris, un policier était abattu  et deux autres grièvement blessés à l’arme lourde par un islamiste qui a été mortellement touché par des tirs de riposte, agissant au nom de l’Etat Islamique (EI) qui a revendiqué cet attentat.  

    La personnalité de l’assaillant, Karim Cheurfi,  un français de papier né en 1977 à Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), est emblématique de la dérive islamo-racaille d’une certaine immigration, encouragée de facto par le laxisme criminel d’une justice gauchisante. Il avait été condamné à 20 ans de réclusion criminelle en 2003 devant une cour d’assises, pour trois tentatives d’homicide volontaire dont deux visant des policiers en 2001, à l’issue d’une course-poursuite et deux jours plus tard contre un policier qui le sortait de sa cellule et dont il avait saisi l’arme. Une peine ramenée à 15 ans en février 2005, ce criminel étant décrit par ses soutiens  comme une pauvre victime de la société, de l’exclusion et du racisme. Cheurfi avait été brièvement interpellé et interrogé il y a quelques semaines suite aux menaces de mort contre des policiers dont il s’était rendu coupable… avant d’être libéré rapidement par le parquet selon  certaines sources proches de l’enquête…

    « Je laisserai à mon successeur un pays en bien meilleur état que celui que j’ai trouvé » déclarait sans rire François Hollande hier ,  se vantant de manière ahurissante d’un bilan en tout point désastreux dont Emmanuel Macron porte toute sa part. Ce dernier  affirmait ce matin  sur RTL que « Marine Le Pen n’est pas celle qui pourra protéger nos concitoyens ». Le programme du gourou d’En marche !, qui a avoué de manière bien  pathétique dans cette même émission qu’il n’avait pas de plan pour lutter contre le terrorisme ( !)  est pourtant  aussi anémique que celui  de M Fillon. Ils partagent ainsi le même refus de retrouver nos frontières, de limiter l’immigration, de restaurer le droit du sol, de doter nos forces de l’ordre et nos armées des moyens et des effectifs nécessaires pour parer aux menaces grandissantes.

    D’autant que M. Macron, dans la logique purement anglo-saxonne et mondialiste qui est la sienne,  défend plus ou moins implicitement le développement d’un communautarisme lourd de conséquence pour notre unité nationale, dans une France en voie de babélisation-tiers-mondisation accélérée.  Une drague communautaire qui explique certainement qu’il est refusé d’exclure d’En marche ! Mohamed Saou, « un type bien » a-t-il dit,  son référent dans le Val d’Oise, un proche de Marwan Muhammad. Ce monsieur rappelons-le,  est  le président du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) qui prône le communautarisme et pourfend le « racisme » des  Gaulois,  comme Macron insulte la France et les Français en les accusant d’avoir commis un crime contre l’humanité en Algérie.

     Un CCIF qui a toute sa place dans le projet d’un candidat « qui est allé en Allemagne récemment pour dire toute l’admiration qu’il avait pour l’accueil de 1,5 million de migrants Outre-Rhin »,  « pour justifier l’autoroute migratoire qu’il veut instaurer entre Alger et Paris», comme l’a noté Marine. Un CCIF qui a touché des subsides  de l’Open Society Institute de l’idéologue  immigrationniste  et bruxellois  George Soros. Lequel a été mis en accusation par les autorités italiennes, sur la foi d’un rapport de Frontex,  au moment ou l’Italie est confrontée à une invasion migratoire sans précédent. Medias-presse.info  rapportait  ainsi  que «  les bateaux des ONG qui viennent en aide aux migrants devraient les ramener au port d’escale le plus proche, le long de la côte nord-africaine, mais au lieu de cela, ils les emmènent en Italie. » Les bateaux en question sont «  notamment ceux de Migrants offshore aid station (MOAS). Or, l’une des principales sources de financement de MOAS est Avaaz.org, à hauteur de 500.000 dollars pour ses opérations en Méditerranée. Et Avaaz.org est une émanation de MoveOn.org qui (…) organise des manifestations en faveur de l’accueil des immigrés illégaux. Or MoveOn.org appartient à George Soros. »

    Face à la montée des périls, aux défis migratoires, démographiques, sociaux, économiques  gigantesques auxquels sont confrontés la France , les pays européens affirme Bruno Gollnisch, les Français ont besoin d’une main  ferme à l’Elysée  pour  naviguer dans la tempête, (re)prendre le bon cap,  éviter les écueils.  Nous nous rendrons aux urnes le  23 avril, fête de Saint-Georges. Cet  officier romain mis à mort au IVème siècle pour avoir refusé de rendre un culte aux Dieux de l’Empire, torturé plusieurs fois jusqu’au trépas  mais qui chaque fois  ressuscita et multiplia  les miracles. Saint-Georges, symbole lumineux  du courage du soldat, des vertus martiales, dont la geste puise sa source dans notre plus longue mémoire. Saint-Georges   qui dans « La légende dorée » de Jacques de Voragine,   terrassa le dragon qui exigeait son tribut quotidien de chair fraîche   et empoisonnait de son souffle tous ceux qui se trouvaient à sa portée… Cette élection présidentielle  est en effet « un enjeu de civilisation ». Pas une voix patriote, souverainiste,  national  ne doit manquer à Marine. Tous aux urnes, au nom du peuple !

    https://gollnisch.com/2017/04/21/aux-urnes-nom-peuple/

  • Discours de Marion Maréchal-Le Pen et Stéphane Ravier à Marseille (19/04/2017) | Marine 2017

  • Hier soir, les islamistes se sont invités dans la campagne

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    Un policier (de 26 ans) a été assassiné sur les Champs-Élysées.

    C’était le dernier débat avant les élections et, jusqu’à présent, on avait réussi à laisser peu ou prou les islamistes avec leurs godillots sales derrière la porte de la campagne soigneusement verrouillée. Pont-levis levé, herse abaissée. Soulagé, on ne pensait pour ainsi dire presque plus à ces tristes sires. On avait décidé de parler avec componction entre gens de bonne compagnie de choses plus ou moins insignifiantes comme le travail de Penelope, le prix des costumes, la sortie de l’euro, l’augmentation de la CSG et la cote immobilière au Touquet.

    Et puis, sans crier gare, les terroristes ont débarqué. Un policier (de 26 ans) a été assassiné sur les Champs-Élysées. Au début, on ne voulait pas y croire : sûrement un vol de sac à main qui a mal tourné. À la kalachnikov ?

    Sur les réseaux sociaux, Bruno Masure a recommandé de ne surtout pas s’échauffer, de ne pas tirer de conclusions hâtives, de garder son sang-froid et d’attendre… las, on a attendu, mais le problème n’a pas été résolu.

    Le maire du IVe arrondissement, Christophe Girard, un chouia complotiste, a tweeté quant à lui qu’il devait sûrement s’agir d’un coup de Poutine (vous avez compris, hé hé, pour servir sa blonde copine…). Et pourquoi pas, aussi, de Trump, d’ailleurs ? À cause des 140 caractères auxquels Twitter donne droit, sans doute. Il fallait faire un choix.

    Las, Daech a revendiqué. L’assaillant, qui a été abattu, était fiché S et avait été condamné en 2003 à 20 ans de prison pour tentative d’homicide sur… des policiers. Karim Cheurfi (c’est son nom) a même été arrêté – puis relâché – en février dernier, pour avoir claironné vouloir tuer des gardiens de la paix.

    Sur les réseaux sociaux, on a pleuré, on s’est lamenté. Un peu sur le sort de ce pauvre et vaillant policier (d’autant qu’un autre a été blessé), beaucoup sur celui des présidentielles, risquant d’être « impactées ». Très vite, on a accusé – les salauds ! – Le Pen et Fillon de « récupérer ». Sans tenir le moins du monde grief à la gauche d’avoir laissé l’engeance terroriste proliférer, ni cet islamiste dûment repéré en liberté. Poutou, d’ailleurs, a continué, à la télé, de pérorer : désarmons les policiers ! Tout cela faisait pour le moins… comment dire cela gentiment… décalé. C’est cela. Pas tout à fait ajusté.

    Pour contrer le hashtag #ChampsElysées – par trop déprimant -, voilà que des twittos ont décidé de lancer le mot-dièse #BellesChoses, tellement plus ravissant. Et pourquoi pas #PolitiqueDeLAutruche » et #VoilonsNousLaFace ?

    Jusqu’à quand ? Et si, au contraire, dimanche, dégrisés, les idées remises en place, les Français décidaient de voter en regardant leur destin en face ?

     Ecrivain, journaliste Son blog
  • 48% des Français se déclarant très proches de La Manif pour tous envisagent de voter pour Marine Le Pen et 42% pour François Fillon

    Selon un sondage en ligne.

    Ludovine de La Rochère appelle à voter :

    « Nous appelons nos sympathisants à se mobiliser massivement lors de tous les scrutins et naturellement pour le plus important de tous : la présidentielle ». «Notre mouvement est engagé depuis plus de 4 ans pour défendre la complémentarité des sexes, le droit des orphelins, la filiation et la famille. Nous ne cessons d'encourager les candidats à proposer une vision et une politique ambitieuse pour la famille, premier lieu de solidarité et refuge pour les plus vulnérables, particulièrement en période de crise. Cellule de base de la société, atout pour notre cohésion sociale et garant de la paix civile, la famille échappe aux clivages partisans. A l'issue d'un quinquennat qui aura fait mal, très mal, aux familles, au point de faire chuter la natalité, les sympathisants de La Manif Pour Tous souhaitent une réponse politique à la hauteur des enjeux. La Manif Pour Tous fait campagne pour un seul candidat : la famille ! C'est sans doute ce qui explique ce sentiment partagé qui, à l'image de l'ensemble des Français, est susceptible d'évoluer dans la dernière ligne droite d'une drôle de campagne ».

    Un second tour Le Pen - Fillon, en plus d'être cocasse, marquerait l'entière victoire de LMPT.

    Michel Janva

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