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Mao Tsé-Cron veut faire croire qu’il est de gauche. Lui, le banquier d’affaires (il n’y a aucune honte à cela d’ailleurs) qui aime les beaux costards n’est pas plus de gauche que Gattaz, le patron du Medef ! Ne pas être de gauche n’est pas un crime ! Mentir est autre chose.
Mao Tsé-Cron veut nous faire croire qu’il est le candidat de l’antisystème alors qu’il ne semble être que le nervi d’un système économico-financier aux liens troubles et opaques.
Mao Tsé-Cron veut faire sa grande marche, nous faire rentrer dans son espérance, mais comme à chaque fois, il faut se poser les bonnes questions.
Qui soutient Macron ?
Pourquoi ces personnes-là soutiennent Macron ?
Qui finance Macron ?
Pourquoi ces personnes-là financent-elles Macron ?
Comment Macron, qui ne représente rien, peut-il avoir une telle couverture médiatique ? Comment ses temps de parole vont-ils être comptabilisés par le CSA ? Sur quelle base électorale ? Va-t-il simplement obtenir un temps de parole sur la base de sondages montés au cric de la propagande médiatique de masse ?
Avez-vous sous les yeux l’émergence d’un sauveur de façon démocratique ou assistez-vous au contraire, sans doute aussi médusé que moi, à la fabrication de toutes pièces d’un candidat dont on forge une histoire et une légende sur mesure pour lui faire jouer et tenir un rôle au costume, certes très beau et comme il les affectionne, mais bien trop grand pour lui ?
et le reste de son articleapporte des réponses précises, sourcées et circonstanciées qui montre que Macron est le prête-nom de représentants éminents de l'oligarchie financière qui assèche notre pays et formate l'opinion.
Les gens qui créent des associations destinées à brouiller les cartes et tromper les jeunes patriotes peu informés doivent être combattus.
Ils divisent pour construire leur propre petit territoire d’influence.
Je pense que les patriotes méritent mieux que d’être avec des musulmans dans un groupe contre l’islam ! Et surtout pas de s’associer au Front de gauche ou au NPC…
Il fallait les dénoncer, voilà qui est fait, et rappeler qu’être alternatif et sur internet ne garantit ni l’honnêteté, ni l’authenticité, ni l’absence de manipulation.
Membre du Front national à partir de 1979, il en est un cadre influent dans les années 1990 avant de rejoindre en 1998 le Mouvement national républicain de Bruno Mégret, avec son épouse Marie-Caroline Le Pen, la fille de Jean-Marie. À partir de la fin des années 2000, il devient conseiller de sa belle-sœur Marine Le Pen. Aux élections cantonales de 2011, il est candidat sur le canton de Lézignan-Corbières. En 2012, il est pressenti pour occuper le poste de directeur stratégique de la campagne de Marine Le Pen, mais Florian Philippot est finalement nommé à sa place.
Il est candidat divers droite aux élections législatives qui suivent dans l'Essonne, dans la neuvième circonscription, en tandem avec son frère jumeau Jacques et contre notamment la candidate FN Isabelle Cochard. Candidat tête de liste sans étiquette (SE) à l'élection municipale de 2014 à Draveil face à Georges Tron. Il rejoint en janvier 2015 Debout la France (DLF), le mouvement de Nicolas Dupont-Aignan, pour lequel il se présente lors des élections départementales de 2015 sur le canton de Draveil.
Après avoir conseillé Marine Le Pen lors de sa campagne régionale de 2015 en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, il est investi par le FN pour les élections législatives de 2017 dans le Pas-de-Calais. À l'automne 2016, il prend la direction de la nouvelle cellule « Idées et Image » du dispositif de campagne présidentielle de Marine Le Pen, en tandem avec Sébastien Chenu.
Extrait de son portrait établi par Valeurs Actuelles :
Invitée d'Europe 1, Marion Maréchal-Le Pen est revenue sur la question du remboursement de l'avortement, qui provoque l'hystérie du système politico-médiatique et de Florian Philippot.
"Je m’en tiens à la position qui était celle du Front national en 2012. Et à partir de là, c’est l’occasion pour Marine Le Pen de rappeler qu’elle ne souhaitait pas intégrer cette partie-là à son programme, voulant éviter, je pense, et probablement à juste titre, un sujet qui est malheureusement profondément tabou en France". "J’ai des convictions, je n’en changerai pas, même si elles ne sont pas forcément majoritaires en France". "Je ne pense pas que Marine Le Pen ait changé de position".
D'Eric Letty dans le dernier numéro de Monde & Vie :
"La « vérité » démocratique est si relative, évolutive et changeante, qu’un acte comme l’avortement, qui voilà quarante ans était considéré et puni comme un crime, est regardé aujourd’hui comme un droit « fondamental », si précieux que non seulement l’opposition, mais la simple recherche d’une alternative à la mort de l’enfant devient délictueuse. Ce « sujet de société », qui est un enjeu de civilisation, représente aujourd’hui le tabou majeur du politiquement correct.
Lors de la primaire de la droite, Alain Juppé, fort de l’appui du tribunal médiatique, a agressé sur ce thème François Fillon, qui jurait pourtant, la main sur le cœur, avoir voté toutes les lois socialistes aggravant le carnage des enfants français. Malgré ces gages, il s’était rendu suspect en déclarant que « philosophiquement » et « compte tenu de [sa] foi personnelle » il n’approuvait pas l’avortement, sans pour autant vouloir y porter atteinte: « Je suis capable de faire une différence entre ces convictions et l’intérêt général ». En somme, l’ancien premier ministre est convaincu en son for interne que cet acte est intrinsèquement mauvais, mais non moins persuadé en son for externe – qui s’accorde merveilleusement avec sa carrière politique – qu’il est excellent pour l’intérêt général. Admirable grand écart ! En 1945, les accusés du procès de Nuremberg auraient dû penser à cette fine distinction : Auschwitz, j’étais contre, mais en mon for interne…
On a récemment vu aussi Marine Le Pen désavouer sa nièce Marion, « coupable » d’avoir annoncé qu’en cas de victoire à la présidentielle le Front national reviendrait sur le remboursement de l’avortement, qui range la grossesse au rang des maladies graves et traite l’enfant à naître comme une tumeur pernicieuse. « Que les choses soient très claires, je ne remettrai pas en cause l’accès à l’IVG, de quelque manière que ce soit », a rectifié sur TF1 la présidente du Front national. Nous en prenons note.
La gauche, elle, s’acharne contre la vie. En janvier dernier, elle avait supprimé le délai de réflexion qui précédait un avortement. Onze mois plus tard, elle fait voter une loi liberticide – une de plus –, condamnant le prétendu « délit d’entrave à l’avortement » sur Internet, pour censurer toute opposition à son idéologie mortifère et empêcher de dissuader les jeunes mères de laisser tuer leur enfant dans leur sein. Le caractère totalitaire de ce projet a inquiété même des journalistes de gauche aussi peu suspects d’être « pro-vie » que ceux de Charlie Hebdo.
Mgr Pontier, président de la Conférence des évêques de France, a également protesté dans une lettre adressée à François Hollande. Le gouvernement en déroute de ce président déchu est pourtant parvenu à faire voter ce texte par les chambres grâce à l’abstention de nombreux parlementaires prétendument de droite, tandis que les centristes bêlaient au cul des socialistes.
Cette nouvelle offensive coïncide avec le début de l’Avent. Est-ce un hasard ? La furie avec laquelle Marisol Touraine et Laurence Rossignol accomplissent leur œuvre létale ne peut pas s’expliquer seulement par des mobiles politiques. On devine là une intention religieuse. En organisant le massacre des innocents, c’est Dieu que ces hérodiennes cherchent à tuer. La marche pour la vie organisée le 22 janvier prochain donnera l’occasion aux défenseurs des enfants à naître de riposter en montrant qu’ils ne se laissent pas intimider. Dire non au totalitarisme, c’est déjà résister."
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
On laisse à Nicolas Boileau la responsabilité de ses édifiants propos (publiés sur ce site – ndlr) en faveur de François Fillon. On pense ce qu’on veut du néo-FN (c’était quoi l’ancien FN ? Le point de détail et la nostalgie de la milice ?), mais le néo-FN ne se soumet pas à Castries et aux Bilderbergs. Le néo-FN ne menace pas le risque bénin en médecine qui risque de s’étendre à toute la médecine. Il semble que Fillon a vu sa campagne exploser grâce aux patrons qui ont vu que Juppé n’était pas le bon candidat. Trop gauche et médiatique.
Je cite Marine qui fait le point entre les liens entre Macron-Rotshchild et Axa-Fillon-Bilderbergs.
« Sur tous les sujets de fond, ils sont parfaitement d’accord. Ils s’inscrivent dans l’UE, la soumission aux traités, la politique d’austérité, ils refusent les frontières nationales, le patriotisme économique, la moindre forme de protectionnisme, ils veulent gagner de la compétitivité en effondrant les salaires, ils sont tous les deux pour la suppression de la durée légale du travail (…), pour la destruction d’un système de protection sociale auquel les Français sont extrêmement attachés », a accusé l’eurodéputée.
Comme tous les bourgeois honteux, Nicolas Boileau pleure les ratés du catholicisme au FN, et le faible soutien aux familles. Or les familles bourgeoises et cathos sont depuis longtemps rentrées à la niche (elles ne sont pas très révolutionnaires) et elles se soumettent à Fillon, qui leur garantira une baisse des remboursements médicaux pour rassurer les marchés – en attendant la disparition du cash façon hindoue pour rassurer les banksters. Mais elles s’en foutent les familles cathos car en général elles sont très bourgeoises ; soit elles ont du pognon, soit elles se foutent de la manière dont on croquera ce qui reste de Français à 1000 ou 1500 euros par mois. Ce n’est pas leurs oignons. Elles sont rassurées comme le dit très bien Houellebecq par la bêtise de Fillon, comme elles étaient rassurées par la bêtise de Bayrou. On change de guignols (Renzi, Juppé, Cameron) pour poursuivre la même politique et ça suffit au téléphage.
Enfin Fillon n’est pas Trump. Trump incarne pathos, colère et tout. Fillon incarne la continuité de la soumission à la française. Le Français n’est jamais rassasié d’en reprendre plein le cul ou le QI. Il en redemande, c’est sa nature de bourgeois ou de petit-bourgeois. On cite Céline encore et toujours :
Tout ça plus décidé que jamais à ne jamais céder un pouce de ses Fermes, de ses Privilèges de traite des blancs par guerre et paix jusqu’au dernier soubresaut du dernier paumé d’indigène. Et les Français sont bien contents, parfaitement d’accord, enthousiastes.
Une telle connerie dépasse l’homme. Une hébétude si fantastique démasque un instinct de mort, une pesanteur au charnier, une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer sinon que les temps sont venus, que le Diable nous appréhende, que le Destin s’accomplit.
Quant à la russophilie de Fillon je demande à la voir.
De révocations en provocations internes, l’élastique se tend chaque fois un peu plus. Mai 2017 est à la fois proche… et lointain.
Il y avait quelque chose de tout aussi poignant que déroutant, que d’entendre Marine Le Pen, lors de son dernier passage dimanche sur le « Grand Jury RTL« , marteler à propos du récent tangage opposant Florian Philippot à Marion Maréchal-Le Pen : « Cela n’a pas d’importance. » Une sorte de méthode Coué pour signifier « Circulez, il n’y a rien à voir ». Poursuivant, ce qui est important, que la France « retrouve sa souveraineté… que le peuple recouvre sa liberté ». Oui, mais pour quoi faire et pour aller où ?
Alors, qu’est-ce qui n’a pas d’importance ? Une certaine vision anthropologique de l’homme ? La place de la famille en tant qu’élément organique essentiel constitutif de la société ? Et pourtant, qui ne voit que nous sommes à l’heure où le sens de l’Histoire est en train de passer de bâbord à tribord, que les peuples sentent la supercherie du projet global qui fait de l’homme-individu un être réduit à sa condition d’agent consommateur de biens planétaires ? Nous sommes à l’heure où ces mêmes peuples expriment de façon encore plus ou moins consciente, plus ou moins assumée, la nécessité de retrouver leurs racines, cherchant des appuis naturels qui sont le meilleur rempart de ce monde réel combattu et raillé depuis 40 ans par les élites mondialisées. Au premier rang de ses appuis, la famille et, en Occident, une certaine vision de la famille, celle dont la chrétienté n’a pas le monopole, mais qu’elle a su faire sienne et maintenir jusqu’aux années 1960.
Dans son cas, pas de discussion, d'hésitation, d'incertitude : c'est l'adversaire pur, l'ennemi déclaré
Dès l'annonce de sa candidature à la primaire de la gauche, il l'a dit et redit, sur tous les plateaux télé et devant les micros de toutes les radios : « Notre identité, c'est la République ».
Avec le retour de ce Grand Prêtre fanatique de la Révolution, ce sont tous les grands ancêtres, Robespierre et Saint Just en tête, qui reviennent en force, et c'est Clemenceau aussi, qui disait - avec raison - que la Révolution était « un bloc » et qu'elle n'était pas terminée.
Et le court extrait que vous lisez sur le montage ci dessous est tiré du livre de Vincent Peillon, La Révolution française n’est pas terminée (Seuil, 2008) :
Ecoutez les douze minutes du montage suivant (d'ailleurs, assez mal fait, et assez désagréable, dans la forme...) : vous y entendrez un Peillon totalement anti-catholique, et désireux de détruire la religion traditionnelle de la France pour la remplacer par une religion républicaine :
Et vous verrez qu'il parle exactement comme Viviani, devenu un obscur méconnu aujourd'hui.
Le 8 novembre 1906, Viviani (co-fondateur de « L'Humanité » et président du Conseil lors de la déclaration de la guerre de 1914) prononça ce discours brutal (extraits), à la tribune de l’Assemblée nationale : révélateur !... « ...Nous sommes chargés de préserver de toute atteinte le patrimoine de la Révolution... Nous nous présentons ici portant en nos mains, en outre des traditions républicaines, ces traditions françaises attestées par des siècles de combat où, peu à peu, l’esprit laïque s’est dérobé aux étreintes de la société religieuse...
...Nous sommes face à face avec l’Église catholique...
...Au-dessus de ce combat d’un jour, n’est-il pas vrai que se rencontre une fois de plus ce conflit formidable où le pouvoir spirituel et le pouvoir temporel se disputent des prérogatives souveraines, essayant, en s’arrachant les consciences, de garder jusqu’au bout la direction de l’humanité ?...
...La vérité, c’est que se rencontrent ici... la société fondée sur la volonté de l’homme et la société fondée sur la volonté de Dieu...
...Les Congrégations et l’Église ne nous menacent pas seulement par leurs agissements, mais par la propagation de la foi...
...Nous avons arraché les consciences à la croyance. Lorsqu'un misérable, fatigué du poids du jour, ployait les genoux, nous lui avons dit que derrière les nuages, il n'y avait que des chimères.
Ensemble, d'un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des étoiles qu'on ne rallumera plus...
...La neutralité fut toujours un mensonge.
Nous n'avons jamais eu d'autre dessein que de faire une université antireligieuse... de façon active, militante, belliqueuse...
...Nous nous sommes attachés dans le passé à une œuvre d'irreligion; nous avons arraché la conscience humaine à la croyance...
...Ensemble, et d'un geste magnifique, nous avons éteint dans le ciel des lumières qu'on ne rallumera plus...
...Nous ne sommes pas seulement en présence des congrégations, nous sommes en face de l'Eglise Catholique, pour la combattre, pour lui livrer une guerre d'extermination...»
Chantal Delsol a raison : quand Vincent Peillon, ex-ministre de l'éducation nationale, déclare « qu'il faut arracher l'élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social », quand il concocte une charte de la laïcité obligatoire, « il est dans le rôle parfait d'un idéologue un peu daté, persuadé que l'état peut éduquer les enfants à la place des parents et en faire un bataillon de petits soldats à son service et à sa solde. Il ne faut pas hésiter à le dire : c'est du fascisme. Ce n'est pas parce que Monsieur Peillon parle au nom des Lumières qu'il peut tout se permettre. Arracher l'enfant à l'influence de sa famille pour le mettre sous influence étatique, c'est meurtrier de toute façon, quelle que soit l'idéologie au nom de laquelle on le fait. Devant cela, nous n'avons plus qu'à entrer en dissidence... »
Dans Les 4 Vérités, Guillaume de Thieulloy évoque la discorde au sein du FN. Extrait :
"[...] Toujours est-il que l’opposition entre le FN « canal historique », représenté par Marion Maréchal, et le « néo-FN », représenté par Florian Philippot, est à son comble. Le second veut tout axer sur l’économie (avec un programme, hélas, très à gauche) et la défense de la souveraineté française. Le premier est bien plus attaché aux libertés économiques et veut également défendre l’identité de la France.
Marine Le Pen pourrait parfaitement jouer les deux partitions – « marcher sur les deux jambes de l’identité et de la souveraineté », comme disait joliment un cadre du parti. Au lieu de quoi, refusant depuis des mois, semble-t-il, de débattre avec ses principaux lieutenants de la stratégie de la campagne, elle a laissé s’envenimer une querelle potentiellement mortelle pour le FN.
Sa nièce, se trouvant seule en mesure de résister à la sorte d’OPA de M. Philippot sur l’appareil du parti – et sur les investitures aux législatives –, paraît prendre son autonomie.
En la déclarant « seule et isolée au sein du FN », Florian Philippot a réveillé une « bronca » qui couvait. D’autant que Marion ne faisait que rappeler la doctrine officielle du FN sur l’avortement.
Sa tante a déclaré – avant de tenter, trop tard, de le faire effacer d’internet – qu’elle n’avait défendu cette position que par concession tactique pour prendre le contrôle du parti. Si c’est le cas, ce n’est pas très rassurant sur le crédit que l’on peut apporter à ses promesses actuelles. En tout cas, Marine Le Pen a tout intérêt à parler vite, et en chef. Sans quoi, le FN risque fort d’exploser prochainement. Et elle a tout intérêt à donner davantage de poids à Marion Maréchal qui « colle » beaucoup mieux à l’électorat et à l’évolution de la société française que son rival. Sans quoi le FN risque fort de ne pas être au deuxième tour..."