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élections - Page 403

  • Louis Aliot : "Les catholiques, qu'ils s'occupent de remplir leurs églises"

    "Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu", version musclée de Louis Aliot ce matin sur France Info (à partir de -2'30'') :

    "Je suis catholique mais je n'en fais pas un état permanent (...) Depuis que je suis au Front national, c'est-à-dire depuis pratiquement 30 ans, je n'ai jamais vu une immense majorité de catholiques voter pour nous. J'ai même vu une grande majorité d'évêques nous cracher à la figure, il faut quand même le dire, et systématiquement dénigrer le Front national, ses personnalités et sa politique.

    Les catholiques, qu'ils s'occupent de remplir leurs églises, ce qui n'est pas gagné, laissez-moi vous le dire, et qu'ils laissent après les partis politiques gérer les affaires publiques"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Journal du Lundi 26 décembre 2016 - Politique / La dure trêve de Noël des politiques

  • Éric Zemmour : « Cette année qui vit les peuples de l'Ouest dire qu'ils ne veulent pas mourir… »

    « Brexit, élection de Donald Trump, éviction d'Alain Juppé et de Matteo Renzi... Un vent à la fois révolutionnaire et réactionnaire a soufflé en 2016. » [Figarovox 23.12]. Et sans-doute Eric Zemmour pense-t-il - comme nous - que la France et le monde moderne ont grand besoin tout à la fois de révolution et de réaction. Souvent pessimiste - comme Bainville à qui il s'apparente à beaucoup d'égards - il égrène ici des notes d'espoir. Comme Villiers, comme Buisson, ses amis. Et dans le même sens. Jadis on eût appelé le grand courant qu'évoque Zemmour, contre-révolution. Même si nous en sommes encore assez loin. Aujourd'hui, on invoque « un vent à la fois révolutionnaire et réactionnaire ». Va, donc, pour l'un et pour l'autre.  Pourvu qu'ils soufflent dans le sens de l'ordre véritable et du Bien Commun. Lafautearousseau   

    Le vent a soufflé fort. Du début à la fin de l'année. Un vent d'ouest chargé de fureur, de ressentiment, de désespoir. Un vent qui emporte tout sur son passage. Un vent qui ne respecte rien, aucune vache sacrée, aucune institution, aucune tête couronnée. Un vent révolutionnaire et réactionnaire à la fois. Le vent des peuples qui ne veulent pas mourir, et des nations qui veulent rester elles-mêmes. Un vent populiste, ont dit avec mépris et colère les élites. Le vent du repli, de la peur, ont-elles continué sans rien comprendre.

    Un vent qui a d'abord frappé l'Angleterre, où il a arraché l'arbre européen. Ses racines n'étaient pas très profondes, mais les intérêts de certains étaient puissants. Le peuple anglais a, malgré toutes les mises en garde venues des élites du monde entier, opté pour la sortie de l'Union européenne : le Brexit. L'Angleterre populaire a voulu avec éclat mettre un coup d'arrêt à une immigration européenne et surtout extra-européenne qui avait transformé Londres en une cité cosmopolite d'où les Anglais de souche ont été chassés.

    Nos élites en ont tiré comme conclusion qu'il ne fallait plus organiser de référendum ; que le suffrage universel était incapable de traiter des questions trop complexes, et le peuple pas capable non plus de choisir le bon président des États-Unis. Donald Trump est sorti vainqueur d'une compétition que ne pouvait pas perdre Hillary Clinton. Le mâle blanc de plus de 50 ans (et sa femme) a vaincu la candidate des minorités. Et des médias. Un Trump qui lui aussi a séduit l'électorat en promettant un mur pour arrêter l'immigration mexicaine et le retour au protectionnisme commercial pour stopper la désindustrialisation. Bref, le retour des frontières et la défense d'une Amérique américaine.

    Le vent soufflait toujours plus fort, mais certains ont continué à ne pas l'entendre. Alain Juppé était donné gagnant de la primaire de la droite par les sondages et les médias depuis deux ans. Son ode à l'identité heureuse et à la diversité plaisait tant aux médias et à la gauche. Le vainqueur annoncé a été vaincu. Mais pas par son adversaire privilégié. Nicolas Sarkozy a bien tapé sur le bon clou, mais c'était le marteau qui était mauvais. Le marteau, c'était lui. Trop de tactique, pas assez de convictions ; trop de paroles, pas assez d'actes. Par ici la sortie. Son meilleur ennemi n'allait pas tarder à le suivre. François Hollande reconnaissait qu'il ne pouvait pas se représenter. C'était une première dans la Ve République qu'un tel renoncement. Il est vrai qu'Hollande n'avait en vérité jamais été président de la République.

    Le vent ne cessait de souffler. Il emportait encore le premier ministre italien, Matteo Renzi. Encore un référendum, encore une coalition des non. Encore un social-libéral emporté par la houle populaire. Déjà la routine. Sur une photo prise quelques mois plus tôt, on voit Obama, Cameron, Renzi et Hollande entourer Angela Merkel pour un sommet occidental. L'Allemande est la dernière à garder son trône. Pour combien de temps encore ?  

    Eric Zemmour        

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • L’AfD peut s’implanter de manière durable en Allemagne

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    Lionel Baland Boulevard Voltaire cliquez ici

    Depuis la Seconde Guerre mondiale, aucun parti patriotique n’est arrivé à s’implanter durablement au sein du paysage politique allemand. Pourtant, l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), née en 2013 en réaction à la politique de sauvetage de l’euro mise en œuvre par le gouvernement d’Angela Merkel, est désormais en passe de surmonter ce défi.

    La tâche est pourtant ardue car l’Allemagne est un État fédéral composé de seize Länder (États fédérés) qui ont chacun leurs propres spécificités. Les problèmes qui touchent leurs habitants sont très différents d’un endroit à l’autre, ainsi que la mentalité et les idées de la population. De plus, « le Mur est toujours présent dans les têtes » car les citoyens de la partie orientale du pays, qui a connu le communisme, ont des opinions différentes et sont moins enclins à voter pour les partis du système en place, ce qui profite à l’AfD mais aussi au parti post-communiste die Linke et au parti ultranationaliste NPD.

    En 2016, lors d’élections des Parlements de différents Länder, l’AfD a obtenu dans l’Est 20,8 % au Mecklembourg-Poméranie-Occidentale et 24,3 % en Saxe-Anhalt, alors qu’à l’Ouest, le parti a décroché 12,6 % en Rhénanie-Palatinat et 15,1 % au Bade-Wurtemberg. Berlin, ville réunifiée depuis la chute du communisme, est elle aussi séparée politiquement : l’AfD y a décroché au total 14,2 %, soit 12,1 % à l’Ouest et 17 % à l’Est. Le parti doit affronter la presse et l’establishment qui lui sont globalement hostiles, ainsi que la propagande antipatriotique diffusée dans les écoles et les violences physiques exercées par des gauchistes.
    Les éléments qui permettent de penser que l’AfD dispose de sérieuses chances de s’implanter durablement au sein du paysage politique allemand résident non seulement dans les évolutions favorables à l’émergence d’idées patriotiques que connaissent le pays et la société (envoi d’argent par le gouvernement vers le sud de l’Union européenne, crise migratoire de 2015 qui a engendré une montée de la délinquance, attaques islamistes…) mais aussi dans le fait que l’AfD ne remet pas en cause les conséquences de la Seconde Guerre mondiale comme l’ont fait, explicitement ou implicitement, les autres partis patriotiques ou nationalistes. L’AfD n’entretient pas la nostalgie d’une grande Allemagne, mais celle du miracle économique de l’après-guerre attribué à l’économie sociale de marché basée sur l’ordolibéralisme – souvent associé au ministre CDU de l’économie de 1949 à 1963 Ludwig Erhard et au chancelier CDU Konrad Adenauer – et fondé sur l’idée que l’État doit créer et maintenir le cadre normatif qui permet la concurrence libre et non faussée ainsi que la liberté des citoyens sur le marché.

    Alors que l’AfD est donnée à 15,5 % aux prochaines élections législatives prévues à l’automne 2017, dans un sondage INSA, réalisé après l’attaque contre le marché de Noël à Berlin, la dirigeante de l’AfD, Frauke Petry, a épousé en privé, jeudi dernier, à Leipzig en Saxe, son compagnon, le député européen Marcus Pretzell. Chacun d’eux a quatre enfants. Selon certains organes de presse, Frauke Petry est enceinte de Marcus Pretzell.

    Le blog de Lionel Baland cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pour 2017 innovons : souhaitons-leur une mauvaise année !

    Souhaitons une mauvaise année à la classe médiatique, payée à prix d’or pour nous désinformer et manipuler notre « temps de cerveau disponible ». En 2017 faisons-lui perdre encore plus d’audience, donc de recettes publicitaires. Et pour cela fermons nos télévisions et réinformons-nous ailleurs !

    Souhaitons une mauvaise année à tous les sondeurs qui nous trompent « scientifiquement » pour promouvoir les candidats du Système. En 2017 souhaitons-leur plein de nouveaux « résultats surprenants » en répondant systématiquement n’importe quoi à leurs enquêtes !

    Souhaitons une mauvaise année à tous ceux qui nous expliquent que les « réfugiés » sont une chance pour la France. En 2017, militons pour que l’on installe vite un nouveau camp de « migrants » juste à côté de leur domicile ou de l’école de leurs enfants !

    Souhaitons une mauvaise année à tous ces patrons du CAC 40 grands donneurs de leçons au nom de la mondialisation heureuse et de la diversité. En 2017 réclamons la publication de leurs rémunérations et de tous leurs avantages en nature. Et préférons acheter des produits locaux fabriqués en France par des Français, plutôt que des produits chinois vendus dans les centres commerciaux par des multinationales !

    Souhaitons une mauvaise année à tous les soixante-huitards, fauteurs de guerre et amateurs de révolutions orange ou de printemps arabes. En 2017, organisons donc la révolution chez nous, c’est-à-dire déconstruisons l’oligarchie des déconstructeurs !

    Souhaitons une mauvaise année à tous les djihadistes et à leurs protecteurs des pétromonarchies. En 2017, consommons donc moins de pétrole en provenance du Moyen-Orient !

    Souhaitons une mauvaise année à tous ces eurocrates qui détruisent l’Europe. En 2017 exigeons l’organisation de référendums populaires partout en Europe !

    Souhaitons une mauvaise année à tous ces prétendus laïcs qui font la chasse aux crèches de Noël mais qui encouragent l’islamisation de l’espace public. En 2017 affirmons notre identité européenne avec fierté et installons des sapins et des crèches partout !

    Souhaitons une mauvaise année à tous les censeurs du politiquement correct . En 2017, osons appeler les choses par leur nom !

    Souhaitons une mauvaise année au ministre de la Rééducation Nationale. En 2017, apprenons nous-mêmes à nos enfants à lire, à écrire et à connaître l’histoire de leur pays !

    Souhaitons enfin une mauvaise année à tous ces politiciens corrompus qui nous conduisent au désastre en habillant leur impuissance de valeurs frelatées. En 2017 offrons-leur, grâce à notre bulletin de vote, une retraite bien méritée !

    Michel Geoffroy, 22/12/2016

    http://www.polemia.com/pour-2017-innovons-souhaitons-leur-une-mauvaise-annee/

  • Lettre de ma fachosphère

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    Comprenez bien, les frileux, les tartuffes, les crédules, les égoïstes, qu’il n’y a pas de fachosphère, désolé : il n’y a que des patriotes.

    Au « Grand Jury » de RTL, Jérôme Chartier, conseiller spécial de François Fillon, s’est ému de la caricature du candidat en Farid Fillon, laquelle succède sur les médias libres à celle d’Ali Juppé. Et de faire remarquer qu’Alain lui-même attribue son échec à Ali… Ce qui est un peu facile et bien peu lucide de la part d’Alain.

    Chez François, on flaire le danger et on ressort une vieille ficelle rebaptisée la « fachosphère » dont nous, lecteurs de Boulevard Voltaire, sommes d’odieux membres.

    Penchons-nous, fachosphériens, sur ce terme.

    La fachosphère, invention médiatico-gauchiste à l’origine, procède du « plafond de verre », du « cordon sanitaire », du « front républicain ». « Tous ensemble contre les fachos, tous ensemble, tous ensemble ! » L’accusation de nazisme contre n’importe quel opposant, dans la bouche des inventeurs du « padamalgam », ils ne sont pas à une contradiction près !

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  • EN CAS DE DUEL FN-PS EN 2017, FARID FILLON APPELLERA À VOTER POUR LE CANDIDAT SOCIALISTE « SANS AUCUNE HÉSITATION »

    Et ça étonne qui ?
    On vous avait dit quoi sur cet homme, qui a passé 5 ans le cul posé sur nos impôts et qui se la joue Trump pour bourgeois naïfs ?
    Peut-être bien que si Juppé a été aussi baboucholâtre, c’était pour assurer une victoire écrasante de Fillon sans qu’il n’ait un seul mot dur à dire contre l’islam, et ainsi passer pour le défenseur de la France sans prendre le risque de choquer son électorat de connards consensuels.
     

    Y.M.

  • Le sabotage de l’élection officielle de Trump : c’est raté

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    A trois reprises, ils auront avidement cherché à barrer la route de la présidence à Donald Trump en démonétisant le personnage, en torpillant sa campagne. Ce fut d’abord durant les semaines précédant la convention républicaine, en juillet, dans l’Ohio, pour l’empêcher de monter sur le podium en vainqueur des primaires. Ce fut ensuite lors de l’ultime ligne droite avant l’élection du 8 novembre, en lâchant à ses trousses une presse haineuse qui dépassa toutes les bornes de la désinformation et de l’intoxication. Ce fut enfin, lundi 19 décembre, pendant la dernière opération de ce long processus électoral qui consista à permettre à chacun des « grands électeurs » de se prononcer en son âme et conscience pour le candidat républicain, la candidate démocrate ou pour tout autre individu. Trois tentatives de sabotage : trois échecs. L’establishment gaucho-libéral, les spadassins patentés du globalisme et les apatrides de Wall Street ont cette fois définitivement perdu la partie. Elle aura duré un an, presque jour pour jour.

    8761-20161222.jpgLundi dernier, le Collège électoral, une création qui remonte à 1787, s’est réuni au grand complet à travers tout le pays. Il y eut, répartis et mobilisés dans les enceintes législatives des cinquante Etats – ainsi que dans le District of Columbia qui recouvre la capitale, Washington – 538 notables que l’on appelle en la circonstance des grands électeurs et qui appartiennent aux deux principales formations politiques. Chaque Etat et le District furent très précisément dotés du nombre de ces grands électeurs correspondant à leur poids spécifique dans l’Union fixé une bonne fois pour toutes : à titre d’exemple, Washington en a trois, le Maine quatre et la Floride vingt-six. Mais pourquoi 538 grands électeurs ? C’est le nombre total des représentants (435) et des sénateurs (100) au Congrès, auquel on ajoute trois de plus pour Washington. Lundi, ils ont voté. En temps normal, ce vote n’aurait été qu’une formalité. Mais, l’exceptionnalisme couronnant cette année électorale 2016, le suspense dura jusqu’au soir.

    En principe, les grands électeurs se doivent de voter pour le candidat ayant remporté l’Etat auquel ils sont liés. Logique : ces notables n’apparaissent après tout que comme les hérauts de l’expression populaire. En théorie, on ne les crédite d’aucun état d’âme, d’aucun choix personnel. En théorie seulement, et c’est bien là le problème. Ni la Constitution, ni la loi fédérale ne les obligent à se soumettre aux résultats, Etat par Etat, de l’élection présidentielle. Devant ces urnes typiques du fédéralisme américain, ils sont libres de redistribuer les cartes et de faire d’un vainqueur un vaincu.

    C’est dans cette originalité, voulue par les Pères fondateurs, que se sont engouffrés les ennemis de Trump. Celui-ci a obtenu, le 8 novembre, 306 grands électeurs alors que 270 lui auraient suffi pour entrer à la Maison Blanche. La tentative de sabotage dont il fut victime consista à convaincre 37 grands électeurs républicains de voter pour toute personne autre que lui. Dans cette opération indigne d’un grand pays mais très adaptée à « leur » démocratie, la plus infecte panoplie fut déployée : intimidations, menaces de mort, corruption, manifestations… Tout parut bon pour délégitimer Trump. Durant cette épreuve, la confiance du New-yorkais resta de bronze. Il perdit deux grands électeurs seulement dans cette misérable offensive. Comble d’ironie : Hillary Clinton en perdit deux fois plus.

    Christian Daisug

    Article paru dans Présent daté du 22 décembre 2016

    http://fr.novopress.info/