Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 444

  • Marion Maréchal Le Pen devrait intégrer le 21e RIMa de Fréjus

    Marion-M.-Le-Pen-300x300.jpgDans une interview parue aujourd’hui dans Le Parisien, Marion Maréchal-Le Pen reproche à Nicolas Sarkozy son incroyable culot: « il est tout de même invraisemblable qu’un homme dont les comptes de campagne ont été annulés, qui a violé la loi, puisse se présenter en toute conscience devant le suffrage des Français. » dit-elle. « Le voir se draper en chantre de l’identité française, après le bilan qui a été le sien à l’Elysée sur les questions d’immigration et de sécurité, c’est stupéfiant. Il ne doute de rien. »

    La jeune député brocarde les « adversaires [du FN] qui sont actuellement secoués par une guerre des ego terrible, entre une primaire de revenants à droite et une primaire de fantômes à gauche. » et « regrette » que son grand-père présente des candidats aux prochaines législatives. 

    Les combats féministes ? Des logiciels victimaires

    Elle annonce avoir  « rencontré la semaine dernière le colonel du régiment dans lequel [elle veut] entrer, le 21e RIMa de Fréjus » [Régiment d’Infanterie de Marine]: « Je dépose mon dossier vendredi. Puis il sera transmis au ministère de la Défense. Je souhaiterais faire la formation initiale des officiers à Coëtquidan, dans le Morbihan, qui implique trois semaines de formation, plus dix-neuf jours de formation à côté. »

    A propos du combat de NKM qui redoute l’absence d’une femme à la primaire de la droite: « Je n’ai jamais compris les combats qui enferment dans des communautés, des catégories. J’ai toujours le sentiment qu’à travers ces combats féministes on s’enferme dans une espèce de logiciel victimaire qui me dérange beaucoup. Il fut un temps où on s’enorgueillissait d’être des héros. Aujourd’hui, on s’enorgueillit d’être des victimes. »

    http://www.medias-presse.info/marion-m-le-pen-devrait-integrer-le-21e-rima-de-frejus/60666

  • Faiblesse mortelle ou renouveau salvateur

    Emmanuel Macron, incarnation de la deuxième gauchelibérale-européiste, détesté à la gauche de la gauche mais attirant une partie de l’électorat centrise est « le seul à pouvoir se qualifier pour le second tour » et battre Marine Le Pen en rassemblant au-delà de la gauche,  a déclaré hier le  socialiste Gérard Collomb. Dans un entretien accordé à Paris-Match il affirme que Manuel Valls et «Emmanuel Macron sont sur la même position intellectuelle. Ils peuvent apparaître comme concurrents, mais leurs timings sont différents» et précise  son propos : «Soit François Hollande réussit dans le mois et demi qui vient à reconquérir l’opinion publique et dans ce cas-là il sera vraisemblablement le candidat, soit il n’y arrive pas et je pense qu’alors, il ne pourra pas l’être. Il ne peut pas prendre le risque de terminer à la quatrième place de l’élection présidentielle. La clarification sera faite par l’opinion publique (…). Si Emmanuel Macron continue sa percée dans l’opinion publique, une partie importante du PS se ralliera à sa candidature» croit savoir le sénateur-maire de Lyon.

    Marine possède elle aussi un pouvoir d’attraction grandissant au sein d’une nouvelle fraction de l’électorat qui voit les analyses du FN validées par la situation actuelle. Et partagées par des personnalités n’évoluant pas traditionnellement dans l’orbite de l’opposition nationale.

    Les médias se sont ainsi émus de ce que l’économiste Jacques Sapir,  partisan de la démondialisation et de la dissolution de l’euro, interviendra, par le biais d’une vidéo enregistrée,  lors d’un débat sur le Brexit  aux « Estivales » de Marine Le Pen à Fréjus les 17 et 18 septembre. Notons que M. Sapir qui avait déjà créé la polémique en se prononçant l’été dernier pour un « Front de libération nationale » anti-monnaie unique, allant du  Front de Gauche au Front National,  a accordé il y a quelques jours à TV libertés (www.tvlibertes.com) un long entretien très intéressant et charpenté. Il y présentait ses critiques de l’Europe fédérale, à la lumière du livre «La grande dissimulation, l’histoire secrète de l’UE révélée par les Anglais»  de Christopher Booker etRichard North, dont il a signé la préface.

    Cette diffusion des analyses du FN sont encore plus prégnantes  sur les thématiques liées à l’immigration. Le dernier sondage Ifop  pour le magazine Valeurs actuelles le confirme sans surprise :  59% des Français interrogés sont ainsi  favorables à «la suppression de l’acquisition automatique de la nationalité française pour les enfants nés en France de parents étrangers » et à l’instauration du droit de la filiation (jus sanguini). Là aussi les lignes bougent puisque si ce postulat est partagé  par 75% des sympathisants du  FN, 73% de ceux de LR, de nombreux électeurs du PS  (52%) l’approuvent également. Pareillement   la «suppression du regroupement familial» est plébiscitée par 60% des personnes sondées ( dont 89% des sympathisants  frontistes, 77% de ceux de LR… et  46% des sympathisants socialistes !).

    Dans ce contexte de montée des aspirations nationales , le site slate.fr vient de publier  une analyse sur la dangerosité, toujours bien réelle,  de l’Etat islamique malgré ses revers en Syrie et en Irak ,  des spécialistes  neocons   américains Christopher Kozak, et Jessica Lewis Mc Fate , tous deux  membres de l’Institut for the  Study of War.  Ils affirment notamment  que « L’État islamique sait que de nombreuses attaques en Occident vont pousser les sociétés à se retourner contre les populations immigrantes, et tout particulièrement dans le contexte de la crise des migrants. Au vu de la montée en flèche des partis nationalistes et anti-immigrés en Europe, les barrières à cette polarisation sont vacillantes. Des coalitions militaires comme l’Otan pourraient bien voler en éclats. Les États-Unis ont l’armée la plus puissante du monde, mais le nouvel ordre mondial est en train de basculer sous nos yeux et il est plus favorable  à l’État islamique et à d’autres menaces plus à même d’exploiter le désordre et l’incertitude. »Analyse bien spécieuse bien, tronquée bien perverse, éléments de langage repris ces derniers mois par les adversaires du FN , sur le danger que représenterait les Européens hostiles à la poursuite de l’immigration  pour la paix,. Ainsi l’antidote patriotique au laisser-faire laisser -passer,  à la suppression des frontières et  des protections,  à l’invasion serait en fait le bacille de la guerre civile !

    Mais qui pourra enrayer  la révolte des peuples  contre un Système  qui refuse de les protéger au nom d’une  idéologie proprement antinationale ? Le  très bruxellois site euractiv  relayait le 6 septembre  les peurs de la Caste européiste, au lendemain de  la nouvelle percée  de l’AfD  enregistrée dimanche lors de l’élection du parlement régional du länder de Poméranie-Mecklembourg. «La poussée des populismes frappe désormais tous les États de l’Union européenne, y compris des pays comme l’Allemagne qui étaient épargnés du fait de leur histoire», « les votes populistes sont «une réaction à l’absence de réponses européennes crédibles et une contestation des États, qui n’arrivent pas à trouver de solutions aux questions qui préoccupent les gens»,  s’inquiète  Jean-Dominique Giulani, président de la Fondation Robert-Schuman à Paris.

    Nicolas Lebourg, de lObservatoire français des radicalités politiques, estime de son côté que « les mouvements populistes bénéficient, avec l’afflux de migrants, d’ une conjonction des crises qui semble valider des discours tenus depuis des décennies. «On est face à une crise géopolitique majeure évidente, qui s’ajoute à la crise financière et à la crise de l’Europe. Or l’extrême droite répète depuis des années que le transnational et l’UE sont des échecs », souligne-t-il. Dans ce contexte, «l’extrême droite est la seule à tenir un discours très clair sur l’accélération de la mondialisation, perçue comme une orientalisation de l’Europe. Et ce, face à une offre politique par ailleurs très faible.» Une faiblesse mortelle affirme Bruno Gollnisch, et cela les peuples le comprennent instinctivement, ce qui explique l’assomption des formations  qui, au nom d’un sain pragmatisme, prônent une fermeté salvatrice.

    http://gollnisch.com/2016/09/08/faiblesse-mortelle-renouveau-salvateur/

  • Les journalistes doivent tenir compte de ce peuple qui clique et qui poste

    André Bercoff vient de faire paraître Donald Trump, les raisons de la colère. Il déclare au Figarovox :

    6a00d83451619c69e201b8d21a91f5970c-800wi.jpg"[...] Trump est l'un des premiers à avoir compris et utilisé la désintermédiation. Ce n'est pas vraiment l'ubérisation de la politique, mais ça y ressemble quelque peu. Quand je l'ai interrogé sur le mouvement qu'il suscitait dans la population américaine, il m'a répondu: Twitter, Facebook et Instagram. Avec ses 15 millions d'abonnés, il dispose d'une force de frappe avec laquelle il dialogue sans aucun intermédiaire. Il y a trente ans, il écrivait qu'aucun politique ne pouvait se passer d'un quotidien comme le New York Times. Aujourd'hui, il affirme que les réseaux sociaux sont beaucoup plus efficaces - et beaucoup moins onéreux - que la possession de ce journal.

    Est-ce une mauvaise nouvelle pour les journalistes?

    C'est en tout cas une très vive incitation à changer la pratique journalistique. Contrairement à ceux qui proclament avec légèreté et simplisme, la fin du métier d'informer, on aura de plus en plus besoin de trier, hiérarchiser, et surtout de vérifier et de mettre en perspective. En revanche, l'on pourra de plus en plus difficilement cacher la francisque de Mitterrand ou le magot de Cahuzac, et qu'on le déplore ou pas, avec Wikileaks et autres révélations, il faudra dorénavant compter avec les millions de lanceurs d'alertes qui feront, pour le meilleur et pour le pire, œuvre d'information, à tous les niveaux. Le monde n'est pas devenu peuplé de milliards de journalistes, mais les journalistes doivent tenir compte de ce peuple qui clique et qui poste. [...]

    Michel Janva

  • Juppé, Sarkozy, Copé, Fillon NKM, Le Maire… où est la droite ?

    Tout sera fait, finalement, pour que tout change sans que rien ne change.

    Et de huit ! Nathalie Kosciusko-Morizet (NKM) aurait, selon ses dires, réuni l’intégralité de ses parrainages qui lui permettront de participer aux « primaires de la droite ». La dame vient, ainsi, grossir les rangs des putatifs de son camp, tous masculins, Nadine Morano ayant déclaré forfait (à l’instar d’Henri Guaino, d’ailleurs), malgré une forte mobilisation de ses soutiens ces jours derniers. Et exeuntFrédéric Lefebvre, Geoffroy Didier ou l’illustre inconnu Hassen Hammou, revenus à leurs collages et tractages de cantons.

    D’ici à quelques semaines, le député de l’Essonne, ex-ministre de son concurrent Sarkozy, va se mesurer à celui-ci et aux autres caciques promettant de laver plus blanc que blanc, tous ayant pour dénominateur commun de « vouloir faire de la politique autrement », antienne répétée ad nauseam, à droite comme à gauche, à qui ne souhaite plus l’entendre.

    Lire la suite

  • A suivre

    « Deux mois et demi après le référendum, les bons chiffres se succèdent sur la consommation, les services ou l’industrie. » « L’effondrement de l’économie britannique prédit par l’ex-chancelier de l’Échiquier, George Osborne, en cas de victoire du Brexit, ne s’est pas produit » relevait Le Figaro ces dernières heures. Les prédictions apocalyptiques pour instiller la peur, dissuader les électeurs de quitter l’enclos du Système,  atteignent désormais leur obsolescence programmée à une vitesse accélérée. Un souci de plus pour la Caste politico-médiatique qui va mettre dans les mois à venir les bouchées doubles pour empêcher toute alternative nationale, souverainiste, populiste, patriotique. Dans cette entreprise, le quotidien Libération de l’homme d’affaire Patrick Drahi, se veut  un propagandiste zélé de l’antimarinisme et de l’antifrontisme. L’inénarrable Jonathan Bouchet-Petersen, modéle de langue de bois et de conformisme,  explique dans ses colonnes que « Libération va lancer début octobre Un œil sur le Front, son observatoire du FN et de la droite extrême. Avec l’ambition d’en faire la plateforme de référence », « Un site (…) pour montrer, analyser, repérer, révéler ou comparer, mais aussi pour dénoncer, désintoxiquer » ‘(sic) . Et ce  » en partenariat avec la Fondation Jean-Jaurès (liée au PS, NDLR) et l’agence la Netscouade », dirigé par Benoît Thieulin, ami d’Edwy Plenel, membre du conseil d’administration du groupe de réflexion (« think-tank ») socialo-progressiste Terra Nova. Tout cela n’aura aucune incidence sur les résultats des élections de 2017 (Libé comme Le Monde n’étant qu’un journal de l’entre soi) mais contribuera aubruit de fond antinational, la petite berceuse qui permet aux élites de se rassurer à bon compte.

    Certes, le « machin » y va aussi de son rituel petit couplet contre « l’Axe du Mal. » Le Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, le Jordanien Zeid Ra’ad Al Hussein, lors d’une conférence sur la sécurité et la justice aux Pays-Bas, a attaqué lundi Donald Trump, Nigel Farage, Viktor Orban, Geert Wilders et Marine Le Pen, accusés de de recourir à une dangereuse « stratégie de la peur ». « A travers son mode de communication, ses demi-vérités, ses simplifications excessives, la propagande de l’Etat islamique utilise des tactiques semblables à celles des populistes. »

    « Ce que monsieur Wilders partage en commun avec monsieur Trump, monsieur Orban, madame Le Pen ou monsieur Farage, il le partage aussi avec l’Etat islamique. Ils cherchent tous, dans des degrés divers, à faire ressurgir un passé merveilleux et pur où les champs ensoleillés sont habités par des peuples unis par l’ethnicité et la religion (…) Un passé qui n’a jamais existé, nulle part.  » Il est assez facile de rétorquer à ce prince jordanien que le futur que nous promettent les idéologues mondialistes,  à coup de demi-vérités, de simplifications excessives et de propagande, n’a jamais existé nulle part« … et n’a aucune chance de voir le jour autrement que par le chaos.

    Donald Trump lui aussi serait assuré de perdre  en novembre face à  la très inquiétante Hillary Clinton selon les spécialistes , ce qui n’empêche pas un  » trump-bashing » massif et à sens unique sous nos latitudes. Dans Les échos,  Lucie Robequain résume la situation: « Donald Trump n’a en fait pratiquement aucune chance de rassembler les 270 délégués nécessaires pour accéder à la Maison-Blanche. D’abord, parce que la carte électorale avantage massivement les démocrates » et parce que  M. trump « ne défend aucune mesure susceptible de séduire les minorités (Noirs, Latinos, homosexuels, etc.) » pouvant faire basculer des « Etats clés. »

    « La démographie est-elle à ce point défavorable que les républicains n’ont aucune chance de reconquérir la Maison-Blanche ? Certains le pensent… D’autres estiment que c’est au Parti républicain de faire son aggiornamento en s’ouvrant aux minorités. Donald Trump a totalement échoué de ce point de vue-là. Sourd aux conseils de son entourage, il s’est concentré sur un pan extrêmement étroit de l’électorat : l’homme blanc du Midwest. Pratiquement toutes les autres populations lui échappent : Hillary Clinton affiche ainsi une très confortable avance auprès des femmes (51 %, contre 35 % pour Donald Trump), des Noirs (91 % contre 1 %), des jeunes (46 % contre 34 %) et des diplômés (47 % contre 40 %). »

    Question des minorités aux Etats-Unis qui a son pendant en France avec celui du vote des Français issus du continent africain, de  l’immigration arabo-musulmane. Sous la plume d’Anna Villechenon,Le Monde s’arrêtait le 3 septembre sur le collectif FN Banlieues patriotes dirigé par le jeune  dyonisien Jordan Bardella,  conseiller régional FN d’Ile-de-France, dans une optique de réconciliation nationale, de pédagogie, d’explication du programme frontiste dans les banlieues.

    Ce ne sera pas facile: « Historiquement, ces zones ont toujours voté massivement à gauche, et c’est encore le cas. L’idée qu’elles se mettent de plus en plus à voter Front National est un fantasme, souligne Jérôme Fourquet, directeur du département opinion à l’IFOP. Selon lui, non seulement il n’y a pas de vote frontiste massif dans les banlieues, mais il y a en plus une mobilisation anti-FN assez importante, particulièrement au second tour en cas de duel entre le FN et la droite ou la gauche. »

     » Ils (les membres du  FN, NDLR),  peuvent réussir à séduire un électorat arabo-musulman sur certains points, notamment sur l’insécurité souvent très forte dans ces quartiers, estime Jérôme Fourquet. Mais, à partir du moment où le principe actif du vote frontiste demeure le rejet de l’immigration et la crainte de l’islamisation, je ne vois pas comment le FN peut s’adresser efficacement à cette population et se poser comme une alternative à la gauche et à la droite. » « C’est un blocage idéologique insoluble. Mais c’est aussi le prix à payer pour faire de bons scores auprès d’un électorat sensible à la thématique des méfaits attribués à l’immigration. »

    « On a observé souligne encore M. Fourquet, à Marseille notamment, que c’était justement dans les bureaux de vote où résidait majoritairement une population issue de l’immigration que le FN réalisait ses plus faibles scores et, qu’inversement, c’était dans les quartiers et bureaux de vote à faible proportion de personnes issues de l’immigration (mais jouxtant souvent les bureaux précédemment évoqués) que le FN obtenait ses scores les plus importants. »

    Sur le site Polemia,  Etienne Lahyre, valide implicitement l’ analyse de M. Fourquet , telle qu’elle est détaillée dans » l’ouvrage collectif dirigé, et principalement écrit, par Jérôme Fourquet » (Karim vote à gauche et son voisin vote FN),  qui « (confirme) de manière scientifique le caractère particulièrement homogène du vote arabo-musulman » en faveur de la gauche.

    « Il semble que le comportement électoral des musulmans ait consisté jusqu’à maintenant à voter pour les plus faibles » note M. Lahyre : « la gauche des curés xénophiles, qui a substitué l’immigré à la figure du prolétaire  bien de chez nous  qu’elle méprise depuis qu’il lui a fait faux bond en 1968. Cette gauche héritière de Bourdieu et Foucault, qui voit le monde par le prisme exclusif de ladomination, considère que l’immigré extra-européen a été, est, et sera toujours un dominé ; et qu’à ce titre il doit être défendu envers et contre tout. »

    « Tel est le fondement premier de la pensée des islamo-gauchistes. Mais ceux-ci ne sont en réalité que les idiots utiles de l’islam (…) Pour conquérir, il faut saper les identités nationales. Les études électorales consécutives au  Brexit  du 23 juin dernier ont révélé que 70% des musulmans avaient voté (…)   pour le maintien de la Grande-Bretagne dans une Union européenne, libérale-libertaire, fondée sur la religion des droits de l’homme et la souveraineté de l’individu (valeurs bien éloignées de l’islam) mais dont l’objectif principal est surtout la destruction des Etats-nations qui la composent, de leur souveraineté et de leurs défenses immunitaires. L’Europe a un credo : le refus de l’ennemi, le pacifisme intégral comme vertu cardinale. Ses habitants lobotomisés, dévirilisés, persuadés que l’UE les conduit vers un paradis post-historique, feraient d’excellents dhimmis, bien plus aisément soumissibles que des citoyens d’un Etat-nation libre et souverain. Les musulmans britanniques ont voté pour les européistes, pour les plus faibles. »

    « Pour ceux qui en doutaient encore, la défense de l’identité nationale française est intimement liée au combat en faveur de notre souveraineté. Sous couvert de lutte contre les discriminations,l’Union européenne et la Cour européenne des droits de l’homme imposent progressivement une préférence étrangère de fait (…). Elles privent les Etats de toute marge de manœuvre en ce qui concerne la politique migratoire. Pour pouvoir redevenir elle-même, la France doit d’abord quitter l’Union européenne et dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme. »

    Reste qu’il s’agit aussi de ne pas considérer, de notre point de vue,  les populations musulmanes, d’origine  ou de culture musulmane,  comme un bloc homogène, une communauté animée par une volonté opiniâtre  de détruire nos Etats nations, notre civilisation européenne…du moins ce qu’il en reste encore debout.  M. Fourquet lui même le soulignait dans son entretien au Monde évoquant Banlieues Patriotes,   « Si le FN parvient à passer dans l’électorat issu de l’immigration de moins de 5 % à 10 % ou 15 %, cela peut représenter une marge de progression non négligeable au niveau global.  » Et participer de notre indispensable accession au pouvoir.   D’autant que   comme l’a déjà dit Bruno Gollnisch, une partie des Français issus de cette immigration là a  également vocation à nous rejoindre. Elle est certes encore très minoritaire,  rien ne prouve qu’elle ne le restera pas, mais cette main doit être tendue par le FN,  et les initiatives patriotiques, comme notamment  celle de l’association Fils de France de Kamel Bechikh,  suivies avec intérêt.

    http://gollnisch.com/2016/09/07/a-suivre/

  • Angela Merkel vacille au Mecklembourg-Poméranie occidentale

    Leif-Erik-Holm.jpg

    Leif-Erik Holm, tête de liste de l'AfD au Mecklembourg-Poméranie occidentale, fête la victoire.

    Lionel Baland EuroLibertés cliquez ici

    Lors des élections pour le Parlement du Land de Mecklembourg-Poméranie occidentale de ce 4 septembre 2016, la CDU d’Angela Merkel arrive en troisième position avec 19 % des voix. Le Parti social-démocrate SPD est premier avec 30,6 % et le parti patriotique AfD (Alternative pour l’Allemagne), nouveau venu, obtient 20,8 % des voix. Les post-communistes de Die Linke sont quatrième avec 13,2 %.

    Les deux faits remarquables de ce scrutin sont que l’AfD dépasse la CDU et que l’AfD obtient trois mandats directs.

    Mandats directs

    Les électeurs allemands disposent de deux voix. La première est accordée lors d’un scrutin majoritaire uninominal à un tour et la deuxième lors d’un scrutin de listes au niveau de l’ensemble du Land. Au sein de trois des 36 circonscriptions du Land de Mecklembourg-Poméranie, l’AfD est arrivée première malgré la présence du parti ultranationaliste NPD qui y a obtenu de bons résultats.

    Une région peu prospère

    Le Mecklembourg-Poméranie occidentale est un des seize Länder (États) de la République Fédérale d’Allemagne. Située dans l’est du pays sur la mer Baltique, cette très belle région attire des touristes, quasi-exclusivement allemands, en juin et juillet lorsque la météo y est clémente. Certaines années, le beau temps se fait attendre et les touristes, notamment berlinois, s’y font rares.

    Durant la période de plus d’un quart de siècle qui nous sépare de la chute du communisme, le Mecklembourg-Poméranie a connu, à l’instar des autres régions de l’ancienne République Démocratique Allemande, des changements radicaux, appréciés diversement par les habitants.

    Si l’afflux massif de capitaux venus de l’ouest a inondé l’Est à partir du début des années 1990, la population, qui a vu le niveau matériel de son existence s’améliorer, a dû faire face à un chômage de masse, phénomène inconnu sous le communisme, et à une modification complète de son cadre de vie. Après la réunification du pays en 1990, de nombreux travailleurs ont été contraints de partir vers l’ouest du pays afin d’y trouver un moyen d’existence.

    Si certaines zones de l’est de l’Allemagne, comme Dresde qui est la capitale du Land de Saxe, ont connu un fort développement économique au cours des dernières années, d’autres sont toujours lésées par la prospérité. Coupés de ses liens naturels avec la ville et le port de Stettin (Szczecin) devenus polonais à l’issue de la IIe Guerre mondiale, les villages et villes de l’est du Mecklembourg-Poméranie occidentale sont dans ce cas. Certaines habitations sont à l’abandon et les petites villes voient quelques-uns de leurs appartements rester vides. Le coût de l’immobilier y est relativement bas, alors que dans les métropoles du sud de l’Allemagne, telles Stuttgart et Munich, les logements sont hors de prix. C’est dans cette partie orientale du Mecklembourg-Poméranie occidentale que l’AfD obtient trois mandats directs.

    La question des migrants

    À côté de la faiblesse démographique et économique du Mecklembourg-Poméranie occidentale, la question de la migration a joué un rôle prépondérant lors de ce scrutin. En effet, l’afflux massif de migrants survenu en 2015 suite à l’ouverture des frontières par la Chancelière Angela Merkel a changé la structure des villes et villages de ce Land jusqu’alors non-peuplé d’étrangers. De plus, les actes de violences, attentats, agressions sexuelles et viols commis par les migrants à travers l’Allemagne, ainsi que les nombreuses agressions sexuelles dans les piscines, conduisent à un rejet de plus en plus profond, de la part d’une partie de la population, des migrants.

    L’est, moins touché par la propagande du régime

    Mais la différence principale entre ces zones économiquement modestes de l’est de l’Allemagne et l’ouest prospère du pays réside avant tout dans le fait que dans l’est du pays, le système actuel n’a pu mettre en place sa propagande de masse, via les médias et l’enseignement, que depuis un quart de siècle. Les personnes de plus de 45 ans n’ont pas été scolarisées sous le régime actuel.

    Chez les marchands de journaux de l’est, il est courant de trouver une liasse d’exemplaires d’un quotidien communiste et, un peu dissimulée, une liasse d’exemplaires d’un journal nationaliste, alors que dans l’ouest du pays, ces organes de presse ne sont pas disponibles dans ce genre d’établissement.

    Les habitants les plus âgés de l’est ont également l’habitude de la résistance à l’État. Ainsi, la ville de Dresde s’est rendue célèbre à travers le pays par les manifestations organisées par le mouvement anti-islamisation PEGIDA, qui a pu y attirer, certains lundis, plusieurs dizaines de milliers de personnes. La même organisation n’a pu rassembler dans les cités de l’ouest, telles que Munich, Nuremberg, Duisbourg ou Hanovre que quelques centaines de personnes.

    La circonscription d’Angela Merkel

    La Chancelière d’Allemagne Angela Merkel a été élue député national en 2013 au sein d’une circonscription électorale située au Mecklembourg-Poméranie occidentale. Bien que la CDU arrive première dans la zone de cette circonscription, le parti est largement battu, tant par le SPD que par l’AfD, au niveau du Land Mecklembourg-Poméranie occidentale.

    Qui a voté pour l’AfD ?

    Les ouvriers et les chômeurs sont surreprésentés parmi les électeurs de l’AfD, ainsi que les hommes, les personnes ayant fait peu d’études, les individus d’âge moyen ainsi que les électeurs qui se sont abstenus lors du scrutin précédent. L’AfD est également allé pêcher parmi les électeurs des autres partis.

    Qui siège au sein du nouveau Parlement ?

    Les écologistes et les ultranationalistes du NPD ne siègent désormais plus au sein du Parlement et les libéraux-centristes du FDP n’y entrent pas. Quatre partis se partagent les 71 sièges : les sociaux-démocrates du SPD disposent de 26 sièges, les patriotes de l’AfD de 18 sièges, la CDU de 16 sièges et les post-communistes de Die Linke de 11 sièges.

    Le prochain gouvernement du Land devrait être SPD-CDU, comme précédemment, ou SPD-die Linke, bien que cette dernière solution conduise le nouveau gouvernement à devoir s’appuyer sur une majorité très étroite.

    Conséquences du scrutin

    Malgré cette raclée électorale au sein du Land de Mecklembourg-Poméranie qui compte seulement 2 % de la population allemande, Angela Merkel ne modifiera probablement pas fondamentalement sa politique migratoire. La contestation au sein de la CDU, même si elle existe, ne conduira pas à un soulèvement contre la chancelière car celle-ci a décapité depuis longtemps les poids lourds de l’aile conservatrice du parti.

    Angela Merkel est, bien qu’elle ne l’ait pas annoncé officiellement, candidate à sa propre succession à l’issue des élections législatives de 2017. La défaite de son parti lors du scrutin au Mecklembourg-Poméranie ce 4 septembre 2016 la fragilise. Le parti-frère bavarois CSU, qui critique fortement la politique migratoire d’Angela Merkel, sort renforcé et pourrait bien vouloir imposer son dirigeant le Ministre-président de Bavière Horst Seehofer comme candidat de l’Union (CDU-CSU) à la Chancellerie.

    La CSU, restant fidèle à la célèbre déclaration de sa figure de proue Franz Josef Strauß (1915-1988) « Il ne doit pas exister de parti démocratiquement légitimé à la droite de la CSU », ne peut que reprocher à Angela Merkel d’avoir, par son virage à gauche, ouvert une énorme brèche au sein de laquelle l’AfD a pu s’engouffrer. Ce parti siège désormais au sein des Länder suivants après avoir obtenu : 5,5 % à Brême, 6,1 % à Hambourg, 12,6 % en Rhénanie-Palatinat, 15,1 % au Bade-Wurtemberg, 10,6 % en Thuringe, 9,7 % en Saxe, 12,2 % en Brandebourg, 24,2 % en Saxe-Anhalt.

    Le 18 septembre 2016 auront lieu les élections pour le Parlement du Land de Berlin et l’AfD devrait faire son entrée au sein de cette assemblée. Le parti patriotique siégera alors au sein de l’ensemble des parlements de l’est du pays.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/09/05/angela-merkel-vacille-au-mecklembourg-pomeranie-occidentale-5844266.html

  • Hillary Clinton et la Fin du Monde

    Internet et la culture libertaire du web ne peuvent rien contre la télé, ni contre la bêtise humaine. 90% des gens restent rivés toute leur vie devant leur télé, gobant ses messages et ses ordures, pendant que leurs gosses sont rivés nuit debout devant leur Pokémon-Go, transformés en marionnettes des Annunaki ou d’on ne sait quelle sub-agence de la CIA ou de la NSA. Et quand ils sont sur le web, les 90% cherchent à commander un sushi aux hormones, à consulter un site porno, à rechercher entre deux attentats une piaule de bonne à mille euros.

    Le fascisme médiatique exercé contre Donald Trump va faire élire l’épouse cocue Clinton. Elle aura été élue par les médias, les oligarques US et par la plèbe (je reprends le mot utilisé par Todd) multiraciale, obèse et gavée de télé. Peter Brimelow la décrit très bien dans son Alien Nation, quand en 1992, le mari Clinton fut élu pour promouvoir ces différents agendas : liquidation démographique de son pays ; destruction de l’Europe ; programmation de la guerre éternelle pour la paix éternelle, pour parler comme l’historien Charles Beard.

    Clinton-femme élue, elle fera en premier lieu la guerre à la Syrie et à la Russie. Si Erdogan est alors allié de Poutine, nous aurons une guerre européenne comme celle de quatorze, avec notre destruction à la clé. La Russie et la Turquie seront les nouveaux empires centraux, les nouvelles puissances de l’axe pour nos éminents imbéciles. Feront l’affaire les éternels idiots utiles polonais, mais aussi les nationaux-traîtres Hollande et Merkel, qui salueront béats la guerre contre les nouveaux Hitler, guerre destinée à « faire du monde lieu plus sûr pour la démocratie ». Le week-end suivant la destruction de la vieille Europe, la grosse impératrice Clinton, en femme pourpre de cette Apocalypse, déclarera sa guerre à la Chine pour préserver trois îlots et son allié vietnamien ; ces communistes se seront pris un milliard de bombes pour finir inféodés au capital.

    La folie de Clinton est claire et nette ; l’abrutissement de la masse aussi. La masse répète ce que disent les médias tout en se convainquant qu’elle est libre et pense par elle-même. La plèbe de Clinton représente cinquante millions de ploucs multiraciaux gavés aux Food Stamps. On est nourris pour regarder la télé, pour voter Hillary et pour déclarer la guerre à la Russie. C’est l’empire romain d’occident à l’échelon (clin d’oeil à la NSA) terrestre, et tant pis pour les gaulois que nous sommes et que nous resterons.

    Que Clinton soit une psycho bonne pour le bagne n’est ici que secondaire. Car on a créé le monde d’imbéciles et d’invertis universels dont ont rêvé depuis toujours les élites les plus dégénérées. Tout ce qu’on peut espérer, quand leur candidate luciférienne aura appuyé sur les petits boutons rouges, c’est que les russes mettront le paquet et que les sagouins y passeront aussi.

    Et vous verrez que déjà morts, comme cet électorat moribond, ils ne s’en rendront même pas compte.

    http://www.voxnr.com/3220/hillary-clinton-fin-monde

  • Pour les catholiques américains il est impensable de voter Clinton

    Extrait d'un article de Hugues Lefèvre dans Famille chrétienne sur Hillary Clinton :

    6a00d83451619c69e201b7c890c9a7970b-200wi.jpg"[...] Les opposants d’Hillary Clinton la qualifient de caméléon qui change de discours à mesure que l’opinion évolue. En 2002, alors qu’elle est sénatrice, elle confirme son opposition au mariage entre les personnes de même sexe. Deux ans plus tard, elle ajoute que le mariage « n’est pas seulement un engagement mais une union sacrée entre un homme et une femme ». Mais la candidate finit par apporter son soutien à la communauté LGBT et au mariage homosexuel, dans un clip en 2013. « Nous avons tous évolué », se défend-elle, en 2014.

    [...] Mais, pour bon nombre de catholiques pratiquants, ses prises de position en matière d’éthique ne passent pas. Par exemple, l’avortement. Même si, par une pirouette oratoire, elle reconnaît que « le potentiel de vie commence à la conception », Hillary Clinton y reste favorable. « Je crois que l’on devrait faire confiance aux individus [...] pour prendre ce genre de décision grave » explique-t-elle sur le plateau de CNN, en 2008. Dans son programme de 2016, la candidate s’engage donc à défendre « l’avortement légal et sécurisé, pas seulement en principe, mais dans la pratique ». En janvier, elle a reçu le soutien du Planning familial américain (Planned Parenthood), principale organisation pro choice aux États-Unis. Le New York Times rapportait alors que l’organisation verserait 20 millions de dollars pour l’aider dans sa campagne ainsi que dans celle des sénateurs qu’elle soutiendrait. Une aide engageante."

    C'est de bonne guerre : au pouvoir, les Démocrates subventionnent le Planning familial, qui reverse ensuite l'argent pour financer la campagne politique...

    Michel Janva