Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 537

  • Elections régionales. Le FN veut créer la surprise en Normandie

    En Normandie, Nicolas Bay est le premier candidat aux élections régionales à présenter ses listes complètes. C’était samedi au Havre, en présence de plus de 80 des candidats.

    L'ambition : arriver en tête

    « Les jeux sont très ouverts, analyse Nicolas Bay, le candidat du Front national aux régionales en Normandie. Le FN est arrivé en tête aux européennes en 2014, en tête au premier tour des départementales en mars. Nous pensons arriver en tête au premier tour des régionales, le 6 décembre. Si c’est le cas, nous pouvons transformer l’essai le 13 décembre. »

    La Normandie ne devrait pas basculer en faveur du FN. Mais le parti jouera à n’en pas douter les trouble-fête.

    Le parti se structure

    D’abord parce qu’en région, le Front national se structure. Nicolas Bay, 37 ans, secrétaire général du parti, président du groupe au conseil régional de Haute-Normandie, est le premier candidat à avoir bouclé ses listes départementales. Il a présenté ses listes complètes hier, au Havre : 112 hommes et femmes dans les cinq départements (pour 102 sièges à pourvoir) avec une moyenne d’âge de 50,1 ans. Plus de 80 étaient présents, au Havre.

    Déjà des mandats locaux

    La plupart de ces candidats a déjà défendu les couleurs du parti, notamment aux élections départementales de mars, avec un FN présent dans tous les cantons. Près de la moitié de ces candidats exerce un mandat local. Deux sont conseillers régionaux sortants (le FN comptait six élus en Haute-Normandie, aucun en Basse-Normandie). « Cela n’a pas toujours été le cas, admet Nicolas Bay. Mais nous présentons aujourd’hui des candidats bien implantés partout en Normandie, des candidats qui ont acquis leur légitimité. »

    Le contexte national

    Au-delà de la Normandie, il y a la tendance nationale, très favorable à l’extrême droite : la semaine passée, un sondage publié par le Journal du dimanche révélait qu’un Français sur trois serait prêt à voter Marine le Pen en 2017. Nicolas Bay sait qu’il a moins besoin de terrain que les candidats de la gauche et de la droite. « Il suffit de regarder froidement les choses, la situation de politique générale, en France comme en Normandie, nous donne une vraie crédibilité. » Retrouvez le détail des listes départementales dans les éditions Ouest-France de lundi.

    Stéphanie Séjourné

    source : ouest-france :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuuVEVyEFZGMkXEMiw.shtml

  • Qui a dit...?

    Qui a dit les mots ci-dessous ?

    "Moi, ce qui me panique c'est de passer 30 ans, 40 ans, 50 ans de ma vie dans des fonctions électives. Je vois, je ne veux critiquer personne mais, un certain nombre d'élus qui à 75 ans, 80 ans ont du mal à décrocher. Alors ça, c'est ma terreur absolue, je ne vous le cache pas."

    Celui qui les a dits, ces mots, c'et lui, en 1989 :

    Sans-titreLa preuve :

    Et ce qui nous panique, nous, les Français lambda, c'est que cela fait 39 ans qu'il collectionne les fonctions électives comme d'autres les timbres poste, et qu'il envisage sérieusement d'aller user le fauteuil présidentiel à partir de 2017. C'est notre terreur absolue, ça, nous ne le lui cacherons pas.

    Marie Bethanie

  • LMPT, un mouvement agressif selon NKM

    NKM est interrogée dans Grazia :

    CRgvkKOWoAAGfUt

    CRgvkrLWoAAdF2b

    Michel Janva

  • Quelles places pour le PCD et Sens Commun sur les listes LR ?

    RJean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien démocrate, est "extrêmement agacé par la composition des listes" du parti Les Républicains aux élections régionales. Au point qu'il est "prêt à remettre en cause la participation" de son parti à ces listes.

    "Je suis mécontent et très agacé par la composition des listeset de la place accordée "au MoDem et à certains centristes de l'UDI", à qui l'on fait "des ponts d'or". Il fait notamment allusion aux listes des pays-de-la-Loire et à celle du Rhône-Alpes-Auvergne.

    Et à côté de cela, les militants de Sens Commun sont-ils en position éligible ?...

    Michel Janva

  • Et c’est avec ça que Juppé espère faire rêver les Français ?

    Alain Juppé rêve de devenir président de la République, c’est entendu. Rêve-t-il de devenir celui de la France et des Français ? À lire sa « bonne colère salutaire » épanchée sur son blog, le 10 octobre, la réponse ne va pas de soi.

    D’abord, parce que les sentiments qu’il nourrit à l’égard de son pays et du peuple qui le compose – « Une France ratatinée dans ses égoïsmes, frileuse devant le monde global, barricadée dans d’illusoires frontières nationales, prête à jeter aux orties l’union construite si patiemment avec nos voisins européens » – renvoient de l’un comme de l’autre une image humiliante. Comme méthode de séduction, on a connu mieux.

    Car M. Juppé croit-il vraiment qu’en bottant ainsi le cul des « chantres du déclinisme », des « nostalgiques d’un prétendu âge d’or », des « Cassandre qui annoncent l’effondrement de la civilisation », il provoquera l’adhésion à sa petite personne des eurosceptiques, des immigrationnistes de moins en moins convaincus et des 85 % de Français qui jugent la politique de Christiane Taubira « médiocre » ? De plus, pense-t-il que son idée de passer « une alliance avec les socialistes », en cas de victoire remportée face à Marine Le Pen, lui amènera dans son giron les LR hésitants ? Il veut nous refaire le coup de Nicolas Sarkozy, Alain Juppé ?

    Ensuite, l’Europe vantée par le meilleur d’entre nous, celle qui était censée nous apporter plus de croissance, plus de justice sociale et plus d’emploi n’a tenu aucune de ses promesses. Et pour cause, puisque son but ultime œuvrait à l’anéantissement des souverainetés nationales en coupant chacune d’elles de ses racines et de ses repères. Il fallait, en effet, les préparer au grand marché planétaire de masse (TAFTA), substituant définitivement le politique à l’économique. M. Juppé le sait bien qu’il vient d’être « adoubé » par le très sélect groupe Bilderberg – groupe mondial de la finance, de la politique, de l’économie et des médias -, comme l’a rappelé Philippe de Villiers, invité de Radio Courtoisie.

    L’Europe, Philippe de Villiers l’a bien connue (1), c’est aussi 3.000 « policiers managers » et leur « tableau de profil » connaissant tout des goûts, des petites et grandes faiblesses des députés européens, à la solde de 30.000 lobbyistes. L’Europe, ce sont des carrières « essuie-glaces » où les gens des lobbies deviennent commissaires et les commissaires partent dans les lobbies. Un « mouvement de corruption institué », affirme-t-il, auquel il est difficile de résister et où tous « se tiennent par la barbichette ». Quand les nominations remplacent les élections, qui en douterait ?

    Enfin, quand le maire de Bordeaux décrète que « la patrie française ne se définit pas par la couleur mais par le partage du bien commun que constituent les valeurs de la République, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, l’égalité entre les hommes et les femmes, le respect de la laïcité », on lui fera remarquer que c’est précisément là que le bât blesse. L’islam, de plus en plus vigoureux en France comme en Europe, nulle part au monde ne montre d’engouement pour aucune de ces valeurs. 

    « Faisons-nous confiance », dit Juppé. Quand il sacrifie la France pour la République ?

    Caroline Artus

    notes

    (1) http://www.bvoltaire.fr/videos/philippe-de-villiers-raconte-la-corruption-systemique-de-lunion-europeenne,211852

    source : Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuuuAZpluyyEWhqQan.shtml

  • Appel de Jean-Marie Le Pen au Conseil régional de Provence pour que ses partisans se rallient à la candidature de Marion

    Plusieurs conseillers régionaux du FN de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, s’étaient désolidarisés de la direction du FN après l’exclusion de Jean-Marie Le Pen, et c’étaient donc écartés de la candidature de Marion. C’est à ceux-ci que s’adresse Jean-Marie Le Pen et à ceux qui les suivent parmi les militants. 
    Jean-Marie Le Pen est l’actuel Président du groupe Front national au Conseil régional de PACA à Marseille. Le groupe FN de PACA est le plus important de France.

    Lire la suite

  • Montée du FN : et si la gauche s’interrogeait sur son incompétence ?

    Le pouvoir me fait penser à un avocat qui, en cour d'assises, perdrait tous ses procès mais s'obstinerait à n'incriminer que les jurés pour expliquer ses déconvenues systématiques sans jamais s'interroger sur sa propre responsabilité, voire son incompétence de plaideur.

    Claude Bartolone, dans ONPC, sans doute aussi festif et hilare que d’habitude, a annoncé que Marine Le Pen serait qualifiée pour le second tour de l’élection présidentielle.

    Le Premier ministre, qui ne veut pas être en retard d’un avertissement républicain – à force, on ne les entend plus -, a déclaré, très inquiet, que le FN était susceptible de vaincre dans trois régions.

    On pourrait se moquer de ces intuitions crépusculaires qui cherchent à se faire passer pour des prédictions audacieuses alors que, depuis l’élection de François Hollande, le FN ne cesse de monter et que les différents sondages le constatent.

    Lire la suite

  • Aux régionales, le FN part ambitieux

    Certains, dans le parti d’extrême droite, parlent de trois à quatre régions comme objectif en décembre. Mais seules le grand Nord et Paca semblent prêtent à basculer.

    Le Front national se verrait-il trop beau à l’approche des élections régionales ? Florian Philippot, son numéro deux, l’a répété à plusieurs reprises : "nous pensons qu'il y a quatre ou cinq régions gagnables" sur les 13 que comptera la France métropolitaine à l’issue du scrutin de décembre. Comme aux départementales (aucun département remporté), le parti d’extrême droite risque de déchanter. N’empêche. Le FN pourrait bien remporter au moins une région, et ce serait déjà un nouveau séisme politique à mettre au crédit du parti de Marine Le Pen. Explications.

    La triangulaire n’est plus un handicap

    Souvent, le Front national a pesté contre les modes de scrutin qui, affirmait-il, ne lui étaient pas favorables. Pour ces régionales 2015, cette critique n’a pas été formulée par Marine Le Pen et ses lieutenants. Et pour cause. D’abord, le seuil pour se maintenir au second tour, 10% des suffrages exprimés, est relativement bas. Au point que les listes FN pourront se maintenir quasiment à coup sûr dans toutes les régions, ce qui, en soi, sera déjà une petite révolution. Et dans le cadre de triangulaires, inutile d’atteindre la barre des 50% au second tour, un score que le parti frontiste semble encore incapable d’atteindre. Un gros tiers des voix, entre 35 et 40%, peut suffire pour arriver en tête et rafler les 25% des sièges supplémentaires promis au vainqueur. Et cette barre-là n’est plus un mirage pour Marine Le Pen et ses troupes, du moins dans certains territoires.

    Le Front républicain, quel front républicain ?

    Aux départementales, beaucoup de candidats de gauche, et quelques-uns de droite, s’étaient désisté pour faire barrage au Front national. Avec succès, puisqu’au final, le FN, qui comptait bien enlever deux départements minimum, a dû se contenter de 62 cantons. Cette fois, point de scrutin nominal à deux tours, très défavorable au FN, mais un scrutin de liste. Et là, le Front républicain sera au moins marginal, sinon inexistant, car dans une telle hypothèse, un parti qui se retirerait de la course laisserait ses deux adversaires occuper seul le Conseil régional, et renoncerait au moindre élu régional. Tout simplement inimaginable.

    Un PS à la peine

    Depuis l’élection de François Hollande à la présidence de la République, le PS enchaîne défaite électorale sur défaite électorale. Cette fois encore, le parti majoritaire à l’Assemblée nationale devrait souffrir, au point de ne pouvoir conserver qu’une seule des 13 grandes régions, lui qui en détient 21 sur 22 actuellement. En cause, le contexte actuel donc, mais aussi le relatif anonymat de certaines de ses têtes de listes, tels Pierre de Saintignon dans le grand Nord, ou Christophe Castener en Paca, et les divisions, avec les écologistes notamment. Autant de facteurs qui pourraient bien amener le FN en première ou deuxième position dans beaucoup de régions, à part dans l’Ouest et en Ile-de-France. Le parti frontiste profiterait alors d’une dynamique positive entre les deux tours.

    Les régions que le FN peut vraiment gagner

    Dans ce contexte, et à l’aune des derniers résultats électoraux (départementales 2015 et européennes 2014, voir carte ci-dessous), le Front national semble en mesure de l’emporter dans deux grandes régions : le grand Nord, et, dans une moindre mesure, Paca. Pour la première, c’est Marine Le Pen en personne qui défendra les couleurs de son parti, avec, en cas de victoire, la ferme intention de se servir de la région comme tremplin vers la présidentielle de 2017. Et les chiffres peuvent l’inciter à l’optimisme. Aux départementales, le parti d’extrême droite avait recueilli 34,19% des voix, et 36,24% aux européennes. En cas d’élection serrée, cela peut suffire. D’ailleurs, un sondage publié mi-septembre dans La Voix du Nord, donnait la présidente du FN victorieuse au second tour avec 35% d’intentions de vote, contre 33% au Républicain Xavier Bertrand et 32% au socialiste Pierre de Saintignon.

    En Paca, c’est une autre Le Pen qui concourra. Après l’éviction de Jean-Marie, c’est Marion Maréchal Le Pen qui a repris le flambeau bleu blanc rouge. Là encore, les résultats des derniers scrutins ont placé le FN à des hauteurs de vainqueurs potentiels : 32,21% en 2014, 33,65% en 2015. Et là encore, un sondage est venu alimenter l’optimisme du FN. Une étude Ifop-Fiducial plaçait en effet la nièce de la présidente du parti frontiste à 33%, juste derrière la liste de droite menée par Christian Estrosi (35%), amis devant la liste d’une gauche unifiée (32%).

    Ailleurs, ce sera objectivement bien difficile pour le FN de rafler la région. En Alsace-Lorraine-Champagne-Ardennes, le FN avait remporté 29,6% aux européennes de 2014, 30,7% aux départementales. Cela semble bien compliqué de gagner les 4 ou 5 points nécessaires. Idem en Bourgogne-France-Comté, où le FN n’a pas dépassé les 28% des suffrages. Dans toutes les autres régions, le parti d’extrême droite n’a pas dépassé les 27%. Le retard semble trop difficile à combler. 

    Des écueils, tout de même

    Sur le haut de la vague actuellement, le Front national doit tout de même se méfier du grand plongeon. Entre crise des migrants et crise économique, l’actualité est actuellement porteuse pour le FN, mais cela pourrait changer en deux mois.

    Par ailleurs, si le psychodrame familial et l’éviction de Jean-Marie Le Pen semble n’avoir aucune conséquence sur l’électorat frontiste, à en croire les sondages, il pourrait en être différemment dans les urnes, notamment en Paca, où une liste dissidente, rassemblant pas mal de fidèles de l’ex-président d’honneur, a vu le jour. Il y a, enfin, pour les électeurs, à franchir un cap psychologique. Voter Front national en guise de protestation est une chose, porter le parti d’extrême droite au pouvoir en est une autre. Cela pourrait jouer dans l’entre-deux-tours. Entre-deux-tours qui réserve toujours, ne l’oublions pas, son lot de surprises. Dont certaines pourraient être défavorables au parti de Marine Le Pen.

    Si d’aventure le FN remportait au moins une région, il pourrait donc crier au triomphe. Mais en cas de zéro pointé, ses leaders pourront à l’envi crier au complot droite-gauche et se poser en martyr, la défaite sera bel et bien réelle.

    Rémi Duchemin

    source : Europe 1 :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuulAkyVyNunDxXwk.shtml

  • Sans illusion sur Juppé et Sarkozy, le président des Jeunes Pop' tire sa révérence

    Pierre Gentillet s'était illustré à plusieurs reprises pour son attitude politiquement incorrecte : il avait assumé avoir participé à des soirées rassemblant des jeunes de l'UMP et du FN, milité contre le nom "les Républicains", désapprouvé la distribution de préservatifs par les jeunes LR...

    Après trois ans passés à la tête des Jeunes de la Droite populaire, il ne se représentera pas à la présidence de ce mouvement interne aux Républicains le 24 octobre :

    "Je ne vois aucun espoir à l'UMP, hormis la Droite Populaire mais cette dernière m’apparaît aujourd'hui trop faible pour peser dans un parti en voie de centrisation. Dans les candidats déclarés ou potentiels je ne vois aucun espoir. Se profile déjà un duel Juppé-Sarkozy, c'est dire si le choix est attrayant. Je ne veux pas soutenir un candidat tout en sachant très bien que l'un comme l'autre ne changera strictement rien aux problèmes principaux qui intéressent la France et les français que ce soit en matière d'immigration, de respect de notre identité, de sécurité, de souveraineté, de grandeur de la France. Je ne veux pas induire en erreur mes amis et de potentiels électeurs en jouant le rôle de flotteur droit davantage idiot utile d'un Sarkozy menteur qu'un réel poids à l'intérieur du parti forçant le candidat déclaré à respecter sa parole donnée devant les électeurs de droite."

    Louise Tudy