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élections - Page 578

  • Le résultat des départementales en graphiques (50 % des ouvriers votent FN…)

    Éloquent, non ?

    la catégorie qui vote le plus PS : les cadres supérieurs !!! (pauvre Jaurès…)

    la catégorie qui vote le plus UMP : les vieux (les cadres supérieurs votent à peine plus pour l’UMP que pour le PS !)

    la catégorie qui vote le plus FN : les ouvriers, et à 49 % !

    Je pense que ça résume terriblement bien notre situation politique…

    (pour mémoire, voici la répartition des salariés en 2013 selon l’INSEE : Ouvriers : 20 % / Employés : 28% / Professions intermédiaires : 25% / Cadres sup et prof libérales : 17% / Artisans et chef entreprises : 6%)

    Bien entendu, comme il y a une énorme corrélation entre le niveau d’étude et la catégorie sociale, certains se sont amusés à présenter les choses ainsi, avec des commentaires de “qualité”, comme ici avec SOS racisme (pensez aussi à lutter contre le racisme social, les gars…) :

    http://www.les-crises.fr/le-resultat-des-departementales-en-1-graphique-50-des-ouvriers-votent-fn/

  • Scandale chez Estrosi et Ciotti ? Des subventions versées à une association pour financer les retraites des élus


    27/03/2015 – GRASSE (NOVOpress) - Dans un débat sur la chaîne locale Azur TV, le candidat FN dans le canton de Grasse 2 (Alpes-Maritimes) Domenico Cotrone a déstabilisé la conseillère générale sortante Marie-Louise Gourdon (PS) en évoquant les 490 000 € de subventions versées par le Conseil Général à l’association versant les retraites des anciens conseillers. L’élue socialiste a été incapable d’apporter une réponse franche et claire… Dimanche, elle est opposée au FN dans un duel à risques.

    Scandale socialiste : une association pour financer les retraites des élus

    Scandale socialiste : une association pour financer les retraites des élus

    Après les révélations du Point sur les retraites des conseillers généraux de l’Yonne, le même type de systèmes ont été mis à jour dans les Alpes-Maritimes et en Lorraine.

    Le FN s’est engagé à supprimer les subventions de ses caisses de prévoyance dans les départements qu’il serait amené à diriger.

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  • Lutte contre le chômage ou contre le FN ? Les priorités de Manuel Valls

    Pour un Espagnol fraîchement naturalisé français, le cochon de votant aurait été en droit de s’attendre à d’autres priorités en matière de patriotisme.

    Laisse aller, Manu, c’est une valse… Impayable hidalgo de Matignon… Qui décidément ne sait plus quoi faire pour se rendre intéressant… Qui se ridiculise à l’Assemblée en insultant Marion Maréchal-Le Pen, la plus jeune députée jamais élue en France de toute l’histoire de la Cinquième République, devant une Ségolène Royal consternée face au tremblotant spectacle d’une main gauche agitée d’une invraisemblable danse de Saint-Guy…

    Manuel Valls, en tournée à Fresnes, donc. Parti en croisade contre le Front national et à qui quelques journalistes ont l’outrecuidance de lui demander de commenter les forts mauvais chiffres du chômage, récemment tombés. Et qui rétorque : « Je suis en campagne. Je ne fais pas deux choses à la fois. Il faudra vous y habituer. » Fort bien.

    Ainsi, la lutte contre le chômage n’a-t-elle manifestement rien d’une priorité gouvernementale. Car la priorité manifeste, ce sont ces élections départementales dont le but final devrait, tôt ou tard, consister en la disparition programmée de ces mêmes départements. Et, surtout, le péril lepéniste qui, comme chacun sait, menace de dévaster la planète. Après l’État islamique, l’État lepéniste, somme toute. À l’heure où tant de monde se veut plus ou moins Charlie ; Manuel Valls serait plutôt du genre Hara-Kiri.

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  • La désillusion de Sens Commun en Gironde

    Edouard du Parc, ancien coordinateur de la Manif pour Tous en Gironde, a faitle pari de l'entrisme au sein de la majorité municipale d'Alain Juppé en étant élu sur sa liste en 2014 à Bordeaux. Pour les élections départementales, il a regretté que Sens Commun et le PCD soient exclus des listes de l'union de la droite (UMP, UDI, Modem) :

    "Le rassemblement ou l'union à droite, semble être du bon sens. Toutefois, en ce qui concerne les élections départementales en Gironde, je note que le PCD et Sens Commun, alors membre à part entière de l'UMP, pour ce dernier, en ont été exclus. Il y a donc un simulacre de rassemblement ou un rassemblement orienté, ce qui est inacceptable (...)Cette absence de vigueur et d'identité de l'UMP contribue à l'affaiblir, et par voie de conséquence, à anesthésier le débat et la démocratie locale."

    Bien que son positionnement vis-à-vis du FN soit sans équivoque, il vient de publier un communiqué appelant " à faire barrage à la gauche" :

    "Edouard du Parc, responsable de la province Sud-Ouest de Sens Commun, regrette que son parti politique, ait été exclu de la liste "Gironde Positive", à l'occasion de ces élections départementales.  La promotion de la famille, de la liberté d'entreprendre, de la culture française sont pourtant clairement à mettre au centre des priorités. Ces trois volets se retrouvent dans les compétences départementales. En sa qualité de conseiller municipal délégué de Bordeaux, il invite néanmoins, tous ceux qui se reconnaissent dans ces valeurs, à faire barrage à la gauche dimanche prochain."

    Dans un département où le FN sera présent au second tour dans 14 cantons sur 33, ce n'est pas tout à fait la ligne d'Alain Juppé... 

    Philippe Carhon  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le 2e tour des départementales s’annonce bien pour l’ensemble de la droite

     En dépit des turbulences sociétales qui surgissent durant l’entre-deux-tours des élections départementales, un pilote d’Airbus aux graves antécédents psychiatriques auteur d’un meurtre collectif, un directeur d’école soupçonné de pédophilie, nommé il y a peu alors qu’il avait déjà été condamné pour des faits similaires, un ancien président de la République qui se livre en public à de grossières injures lancées contre la personne d’un chef de parti concurrent etc., il y a heureusement à court terme une perspective sympathique : le 2e tour des départementales s’annonce bien pour l’ensemble de la droite.

    Polémia

    Le bulletin de réinformation en rendait compte dès lundi : contrairement à la présentation tronquée qui en a été faite par les médias de propagande, le 1er tour a été un succès à la fois pour le centre‑droit et pour la droite nationale. Reprenons quelques chiffres : le Front national dépasse les 25 % des suffrages, soit un résultat très comparable à celui des européennes de l’an dernier. Tous partis confondus, la gauche et le centre‑droit font jeu égal, avec environ 37 % des voix pour chaque camp.

    Au total, la droite au sens large atteint 62 % des suffrages : le 1er tour est donc bien une défaite sévère pour la gauche.

    Cette défaite devrait s’accentuer au 2e tour. En effet, la gauche est partie divisée au combat et se trouve par conséquent en mauvaise posture : dans plus de 500 cantons sur environ 2000, la gauche a été éliminée. Les socialistes et les communistes comptent néanmoins sur la stratégie du « cordon sanitaire » pour conserver des départements : l’UMP et l’UDI refusant tout accord avec le Front national, la droite est divisée en deux blocs.

    En définitive, sur la soixantaine de départements que gère actuellement la gauche, il ne devrait pas en rester la moitié.

    Selon le « Cantoscope » d’Opinonway, 63 départements seraient au centre‑droit, 25 resteraient à gauche et 5 se retrouveraient sans majorité absolue. Quelques départements, comme les Pyrénées‑Orientales, devraient être « sauvés » par le camp socialiste, qui profiterait de la division entre UMP et FN.

    Le Front national peut‑il remporter des départements ?

    Le parti de Marine Le Pen n’est pas assuré d’emporter la majorité absolue des sièges d’un conseil départemental. Mais il en est proche dans le Vaucluse et l’Aisne, voire dans le Gard et le Pas‑de‑Calais. A défaut de majorité absolue, il pourrait diriger des départements avec une majorité relative. Dans cette situation malcommode, les exécutifs départementaux FN seraient contraints de trouver des arrangements avec les élus UMP ou divers‑droite.

     Dans le Vaucluse, une alliance FN‑Ligue du Sud se profile.

    Dans le Vaucluse, le Front national pourrait diriger le département avec l’appoint de la Ligue du Sud ?

    Le FN a atteint 37,5 % des suffrages au 1er tour. De leur côté, les trois candidats de la Ligue du Sud, le parti localiste de Jacques Bompard, ont récolté 3,5 % des voix des Vauclusiens. Avec 41 % des voix au total, les deux partis de la droite nationale devancent largement la gauche — 32 % des voix — et encore davantage le centre‑droit — 27 %.

    En analysant la situation canton par canton, le FN peut raisonnablement espérer battre la gauche et remporter au moins une majorité relative des sièges au conseil départemental.

    Pour « faire barrage à la gauche », le Front national a accepté de se désister au profit de la Ligue du Sud dans le canton de Bollène

    Oui, c’est Marine Le Pen en personne qui a annoncé hier ce désistement. Elle a précisé qu’il s’agissait du seul désistement du FN dans toute la France. Il permettra à Marie‑Claude Bompard de se faire réélire confortablement face au PS. En contrepartie, la Ligue du Sud appellera à voter pour le Front National dans les cantons où elle n’est pas candidate. En revanche, Yann Bompard maintient sa candidature à Orange, où il affrontera le Front national en duel !

    Quoi qu’il en soit, les fondements d’une alliance objective pour diriger demain ensemble le département semblent posés

    Il faut dire que, dans le Vaucluse, le Front national tendance Marion Maréchal‑Le Pen et la Ligue du Sud partagent la même ligne politique droitière : identitaire et conservatrice. En outre, le clan Bompard bénéficie d’un ancrage croissant dans le Vaucluse, et peut même compter sur des soutiens au centre-droit : c’est avec le soutien de la Ligue du Sud qu’un maire « divers droite » a été élu président de la communauté de communes d’Orange

    Est‑ce à dire que la stratégie du Front républicain ne fonctionne pas dans le « 84 » ?

    Cette stratégie sera en tout cas mise en œuvre par le parti socialiste et même par l’UMP. Selon L’Express, deux binômes de gauche et un binôme UMP se retirent pour éviter une triangulaire. Cette manœuvre pourrait coûter au moins un siège à la droite nationale, dans le canton de Cheval‑Blanc. Résultats à suivre dimanche !

    Pour clôturer, une évaluation du vote musulman.

    Selon une étude Opinion Way pour le journal l’Opinion, le vote FN musulman apparaît comme un mythe. Moins de la moitié des citoyens musulmans se seraient exprimés au 1er tour des départementales dimanche dernier. Parmi eux, seuls 3 % ont voté Front National.

    http://www.polemia.com/le-2e-tour-des-departementales-sannonce-bien-pour-lensemble-de-la-droite/

  • Bernard Antony appelle à voter pour les candidats du Front National

    Communiqué de Bernard Antony  (photo : Bernard Antony commente les élections françaises à la télévision polonaise):

    Bernard_antony_elections"L’institut du Pays Libre considère comme un fait très positif pour la France la défaite électorale de la gauche au premier tour des élections locales. Il faut l’amplifier au deuxième tour. 

    Dans la campagne électorale le premier ministre Manuel Valls s’est totalement disqualifié par ses discours incendiaires contre le Front National relevant d’un fanatisme de propagateur néo-bolchévique de guerre civile. On avait déjà observé cela avec sa politique de répression dictatoriale des pourtant très paisibles foules de la Manif pour tous. À l’évidence, les attitudes et les mots de Manuel Valls ne relèvent pas que de postures calculées mais de graves phobies d’ordre psycho-idéologiques. 

    Hélas, l’attitude de Nicolas Sarkozy s’inscrit aussi dans le même registre de hargne démesurée quoique sans doute plus calculée avec d’ailleurs des effets dialectiques allant à l’inverse du but recherché. Peut-être Nicolas Sarkozy cherche-t-il  à faire oublier qu’il est le responsable majeur, sous influence de Bernard-Henri Lévy,  de la situation en Libye dont on peut craindre de plus terribles conséquences encore ?

    L’Institut du Pays Libre est loin d’être inconditionnel de la politique du Front National. Il est même en divergence constante avec certaines de ses positions telles que son refus de toucher à la loi Veil. Mais l’hystérie antidémocratique contre ce parti est indigne. L’Institut du Pays Libre appelle donc à voter dimanche dans le refus de ce fanatisme et selon les principes suivants : 

    -         Aucune voix de patriote et de chrétien ne saurait se porter sur des candidats ayant professé le slogan du grégarisme totalitaire : « je suis Charlie ».

    -         On ne votera donc que pour des candidats dont on sait ou dont on peut penser qu’ils adhèrent à notre devise expressive des nécessaires combats aujourd’hui pour les valeurs de notre civilisation : « ni charia ni Charlie ».On peut penser qu’il en est heureusement ainsi de la plupart des candidats du Front National. 

    -         On sait bien sûr que les dirigeants de ce parti le maintiennent dans une stratégie de « ni droite ni gauche » et pour certains dans une affirmation véritablement de gauche, jacobine, laïciste, crypto-socialiste. Mais ce n’est pas le cas de beaucoup de candidats constituant ce que l’on peut appeler le « pays réel » de ce parti. Ceux-ci défendent toujours les valeurs les valeurs et les idées de la droite de conviction, celles de la partie de notre peuple non soumise à la domination de l’idéologie du déracinement et de la culture de mort. Ils les défendent notamment sur le respect de la vie innocente et de l’écologie humaine contre les lois antisociales et antifamiliales dites « sociétales » concoctées par les officines de manipulation idéologique  de la gauche dont l’influence s’étend loin hélas dans la droite déliquescente. 

    Exception faite de quelques cas légitimant une objection de conscience idéologique ou morale, l’Institut du Pays Libre appelle donc à voter dimanche pour les candidats du Front National."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Attentat contre Steeve Briois, maire FN d’ Henin-Beaumont où le FN est assuré d’emporter les 2 cantons

    Un incendie a endommagé les locaux du service courrier et un tag de menace de mort contre le maire Steeve Briois a été découvert. Ci-dessus, photo de l’élection de S. Briois à la mairie.

    Selon Ouest-France, l’alerte a été donnée mercredi vers 6h par des femmes de ménage qui ont prévenu les sapeurs-pompiers et la police, a indiqué Bruno Bilde, adjoint au maire chargé de la communication.

    « L’incendie est vraisemblablement d’origine criminelle », a déclaré une source policière, précisant qu’une vitre du rez-de-chaussée du bâtiment avait été brisée.

    « Charlie est mort » , menaces de mort

    Le ou les auteurs de l’incendie se sont introduits dans le service de documentation où ils ont endommagé du matériel informatique, a précisé Bruno Bilde. Ils ont ensuite forcé une serrure et ont pénétré dans les locaux du service courrier où ils ont mis le feu qui a détruit deux scooters qui se trouvaient sur place, selon la même source. « La pièce du service courrier a brûlé », a déclaré M. Bilde, selon lequel « tout est à refaire ».

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  • Le bastion FN du Var

    Le Front national est présent partout au second tour dans le Var. Avec 38,9 % des suffrages, il a obtenu dans ce département son plus fort score national. Il a remporté le canton de Fréjus haut la main dimanche dernier. C’est la politique locale menée par David Rachline qui est ici plébiscitée. Maire de Fréjus à 26 ans, puis le plus jeune sénateur de l’histoire de la Ve République, il est une figure symbolique de la percée du Front national.

    — Municipales, sénatoriales, départementales, tout vous sourit David Rachline une fois encore, avec le canton de Fréjus très largement remporté par vos deux adjoints Julie Lechanteux et Richard Sert dès le premier tour. Quelle est votre recette ?

    — D’abord je crois que nous bénéficions de la dynamique portée par Marine Le Pen qui nous permet de rassembler au-delà de notre famille politique, sur des aspirations qui manifestement sont conformes aux attentes des Français. Et puis je crois que localement depuis un an, nous avons un bilan qui convient aux habitants de la commune de Fréjus. Parce que ni la hausse des impôts, ni l’augmentation de l’insécurité, ni l’endettement dans des proportions délirantes ne sont inéluctables. Il y a une autre voie possible. Les Fréjussiens l’ont compris et veulent qu’on l’applique demain au niveau départemental.

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  • Départementales : quand les électeurs revendiqueront maturité et liberté !

    La certitude est que le Front national n’est plus un micro-parti voué à la vaine protestation : il fait partie des grands.

    Ouf ! Cette fois, c’est fait, le premier tour des « départementales » a eu lieu, les choses commencent à être plus claires.

    Quoique, à bien y regarder…

    Reprenons depuis le début : avant le scrutin, les médias et Manuel Valls nous avaient expliqué que l’enjeu était d’empêcher le Front national (le FN, comme ils disent) de s’imposer comme le premier parti de France. Naïvement, nous avions envisagé qu’il pouvait s’agir de doter le pouvoir local de délégués compétents et actifs… Mais nous, les électeurs, ne sommes que de « petites gens » si innocentes, si incultes que la leçon ne fut pas accessoire.

    Le scrutin se déroula, sous la pluie, qui fit diminuer le nombre des pêcheurs à la ligne et occasionna un peu plus de travail que la fois précédente aux dévoués citoyens qui gèrent les « flux » dans les bureaux de vote.

    C’est après le scrutin que les choses devinrent déroutantes. Dès 20 heures, chaque média (TF1, France 2, BFM) soupira (de soulagement) avec ses invités (NKM, J.-M. LE Guen, Dupont et Dupond) : le Front national n’est pas le premier parti de France, ça, au moins, c’est « gagné ».

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